Month: June 2021

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Un énorme dinosaure dont des fossiles avaient été découverts en 2006 en Australie a formellement été identifié comme le spécimen d’une nouvelle espèce. Cette dernière a été baptisée Australotitan cooperensis. Il s’agit d’un des plus grands animaux connus à avoir foulé la surface du globe.

Ce dinosaure appartient au groupe des titanosaures, herbivores au long cou, qui a vécu il y a près de 100 millions d’années. Des spécimens ont été retrouvés sur tous les continents. Le spécimen mesurait a priori 5 à 6,5 m de haut et de 25 à 30 m de long, ce qui en fait le plus grand dinosaure australien connu.

Un processus « long et fastidieux »

« Ce nouveau titanosaure fait partie des cinq plus grands au monde », selon Robyn Mackenzie, de l’Eromanga Natural History Museum, propriétaire de la ferme où les os fossilisés ont été découverts. Le squelette avait été baptisé « Cooper », du nom d’une rivière de l’Etat. La découverte avait d’abord été tenue secrète tandis que les chercheurs réalisaient le chantier de fouilles. Le squelette a été exposé pour la première fois au public en 2007.

La confirmation de l’appartenance de Cooper à une nouvelle espèce est le résultat d’un « processus très long et fastidieux », a indiqué Scott Hocknull, paléontologue au Queensland Museum. Les recherches, qui ont impliqué des comparaisons en 3D entre plusieurs ossements, ont été publiées ce lundi dans la revue scientifique PeerJ.

De nombreux os de dinosaures ont été découverts dans la même zone selon Scott Hocknull, pour qui davantage de fouilles sont nécessaires. « Des découvertes comme celles-ci ne sont que la pointe émergée de l’iceberg », selon lui. Le plus grand dinosaure connu à ce jour est Patagotitan mayorum, le « Titan de Patagonie » découvert en Argentine. Il pouvait peser environ 70 tonnes et mesurer 37 m de long et 8 m de haut au garrot.

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Plusieurs dizaines de salariés d’Apple ont exprimé leur réticence à l’idée d’un retour au bureau trois fois par semaine à partir de septembre et de la fin du télétravail. C’est la règle que la direction de l’entreprise a indiqué vouloir mettre en place pour la rentrée, indique The Verge.

« Nous voudrions saisir cette opportunité pour communiquer une crainte grandissante parmi nos collègues, indique un courrier interne corédigé par 80 salariés. La politique d’Apple sur le travail à distance ou en lieu flexible, et la communication qui l’accompagne, ont déjà forcé certains de nos collègues à démissionner. »

Mise en place d’une organisation hybride

De nombreux employés ont ainsi le sentiment qu’ils doivent choisir entre leurs « familles », leur « bien-être » et leur « capacité à faire au mieux [leur] travail ». Comme de nombreux autres géants de la tech américaine, Apple autorise ses salariés à pratiquer le télétravail depuis le début de la crise du Covid-19 mais veut désormais évoluer vers un modèle hybride où les employés seraient présents sur le lieu de travail plusieurs jours par semaine.

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Dans un e-mail envoyé début juin, Tim Cook, PDG d’Apple, a indiqué que la plupart des salariés devraient faire acte de présence le lundi, mardi et jeudi à partir de septembre. De son côté, Twitter a décidé d’autoriser les employés qui le souhaitent à rester en télétravail de manière permanente.

Des salariés « plus connectés que jamais »

Dans leur lettre, les salariés d’Apple expliquent que le travail à distance est un système qui fonctionne bien et leur offre un meilleur équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle tout en réduisant les risques de contagion au coronavirus. Ils se satisfont aussi de ne pas avoir à passer du temps dans les transports ou à partager un espace de travail surchargé.

« Beaucoup d’entre nous ne se sentent pas seulement bien connectés avec leurs collègues du monde entier, mais ils se sentent mieux connectés que jamais », écrivent les signataires, notant une « déconnexion » entre la vision des dirigeants et celles des employés. « Nous en sommes arrivés à nous enthousiasmer de continuer à travailler comme nous le faisons actuellement sans le besoin quotidien de retourner au bureau. »

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Adopté en 2019, le Plan local d’Urbanisme intercommunal de Toulouse métropole vient d’être annulé par le tribunal administratif.Cette décision remet à l’ordre du jour les règles antérieures et va complexifier dans un premier temps la délivrance des permis de construire sur 37 communes.Politiques et promoteurs doivent s’adapter à cette nouvelle donne.Stratégies adoptées, projets à revoir, « 20 Minutes » déblaie le terrain.

Les bétonnières doivent désormais tourner selon de nouvelles règles dans toute la métropole toulousaine. Le tribunal administratif vient en effet d’annuler, à effet immédiat, le fameux Plan local d’urbanisme intercommunal et de l’habitat (PLUiH), le document qui fixe les règles d’urbanisme, quasiment parcelle par parcelle, sur 37 communes de l’agglomération. Son élaboration a pris quatre ans, demandé un consensus entre maires de bords politiques différents. Que va changer son annulation ? 20 Minutes fait le point sur les enjeux de ce dossier complexe.

Que reproche le tribunal au PLUiH ?

Le PLUiH est entré en vigueur le 11 avril 2019. Il a fait l’objet de 41 recours de propriétaires ou associations concernés par telle ou telle disposition, ce que le maire de Toulouse et président de la métropole Jean-Luc Moudenc (LR) appelle avec amertume « des intérêts particuliers ». Mais ils l’ont « emporté sur l’intérêt général ». Le tribunal a retenu 11 requêtes, à Castelginest pour le poumon vert du « Parc Boyer », Tournefeuille pour la zone La Ramée-Marquisat ou encore à Toulouse. Surtout, il a détecté une mauvaise base de calcul. Le PLUiH devait prouver ses vertus en termes de ralentissement de la consommation d’espaces naturels comparé à la décennie précédente. Les juges ont estimé que les arguments présentés, et notamment les estimations concernant le passé, n’étaient pas « probants ». Et ils ont annulé l’ensemble du document.

Quelles règles appliquer maintenant ?

Les permis de construire « purgés », qui datent de plus de deux mois et n’ont pas fait l’objet d’un recours, restent valables. Pour les plus récents et tous ceux à venir, ce sont les règles d’urbanisme antérieures au PLUiH qui s’appliquent désormais : les plans locaux d’urbanisme (PLU) pour trente communes dont Toulouse, les Plans d’occupation des sols (POS) pour sept autres communes. Quelle est la différence ? Jean-Luc Moudenc prend deux exemples. « Les 30 PLU et les 7 POS protégeaient en tout 90 hectares d’espaces naturels, le PLUiH en protégeait 400 hectares, plus de quatre fois plus », explique-t-il. L’édile cite aussi l’obligation de construire 35 % de logements sociaux sur les 7.000 constructions prévues dans le PLUiH « détruit par les juges », quand la loi fixe l’obligation à 25 %.

Une question de philosophie

La métropole a fait appel de la décision mais si ce recours n’aboutit pas, il faudra plusieurs années pour négocier et rédiger un nouveau document. Alors, que faire en attendant ? « C’est clair, cela ne va pas nous simplifier la vie, reconnaît Stéphane Aubay, le président de la fédération des promoteurs immobiliers Occitanie – Toulouse Métropole. Mais on ne peut pas arrêter la production de logements car une réduction de l’offre conduirait mécaniquement à une augmentation des prix ». Le professionnel se dit prêt « à une gymnastique complexe » qui consistera à garder « l’esprit du PLUiH dans les règles du PLU ». Même intention du côté du monde politique. « J’ai proposé aux maires un pacte pour produire les objectifs du PLUiH en termes de logements, détaille Jean-Luc Moudenc. Ce document permettra de conserver un maximum des objectifs du PLUiH. Il n’aura pas de valeur réglementaire mais une valeur morale, avec l’engagement de 37 maires. Les promoteurs sont pragmatiques et nous essaierons de les convaincre par le dialogue ».

Des projets impactés

Mais même en faisant le distinguo entre l’esprit et la lettre, certains projets permis par le PLUiH ne peuvent pas être menés dans le carcan du PLU « ressuscité ». A Toulouse, le dossier déjà extrêmement complexe des terrains de l’ancienne clinique Saint-Jean du Languedoc va encore se compliquer. Les 300 logements prévus ont du plomb dans l’aile pour la simple et bonne raison que l’ancien PLU réserve les terrains uniquement à des projets liés à la santé.

Même chose pour le quartier Brouardel, autour de la place de L’Europe dans le secteur de Compans-Cafarelli. « Nous n’allons pas renoncer aux projets, assure le maire de Toulouse. Nous allons les préparer pour pouvoir délivrer les permis de construire tout de suite quand le nouveau PLUiH sera prêt ».

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Depuis le 19 mai et la seconde étape du déconfinement, la France connaît une croissance très forte.Un phénomène passager dû à l’euphorie des premiers jours ou une réelle tendance pour les mois à venir ?Selon l’économiste Stéphanie Villers, l’été devrait être au beau fixe sur le plan économique.

Ce dimanche, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie s’est félicité dans le JDD que « l’économie française repartait fort ». Les premiers chiffres du déconfinement semblent bien lui donner raison. Les dépenses effectuées par carte bleue depuis le 19 mai et la deuxième étape du déconfinement dépassent de 20 % celle de la même période en 2019, les achats dans l’habillement y sont supérieurs de 70 %, quand les bars et les restaurants – malgré jauges et interdiction de consommation en intérieur – ont déjà retrouvé 90 % du chiffre d’affaires de 2019.

Pour l’économiste et spécialiste de macro-économie Stéphanie Villers, cette reprise euphorique devrait se poursuivre tout l’été, avant d’arriver au véritable enjeu de cette année 2021 : la relance – ou non – en septembre.

Une telle reprise économique est-elle surprenante ?

La consommation représente plus de la moitié du produit international brut (PIB) du pays et 60 % de sa croissance. Il était certain que cette réouverture des commerces allait entraîner un rebond de la croissance, c’est un effet sans grande surprise, même dans ces proportions. A partir du moment où les commerces rouvrent, les gens consomment, surtout après des mois de frustration. Le retour au travail est également une bonne chose pour des secteurs comme la restauration.

Des Français ont bien sûr été impactés économiquement par cette crise, mais au niveau macroéconomique et si on fait une moyenne, le pouvoir d’achat des ménages s’est maintenu, tout en accumulant une épargne, notamment grâce à l’activité partielle prise en charge par l’Etat. Il y a donc toute une euphorie due à la réouverture qui peut être assouvie.

Cette euphorie ne risque-t-elle pas de durer seulement quelques jours avant de s’essouffler ?

Non car le retour à la « normale » est progressif et la consommation rouvre en plusieurs étapes, ce qui va donner des rebonds de consommation là où l’euphorie aurait pu diminuer au fur et à mesure. Par exemple, le 9 juin, il sera possible de retourner en salle de sport ou de rester au bar jusqu’à 23 heures, ce qui n’est pas pareil que ce qu’on pouvait faire le 19 mai. Il y a donc encore le sentiment de découvrir et de pouvoir s’offrir de nouvelles choses qui continuera jusqu’en juillet et prolongera l’euphorie.

Ensuite, on arrive à la période de juillet août, les congés, qui est naturellement porteuse et connaît chaque année, même sans coronavirus, un niveau de consommation élevé. L’année dernière, la croissance avait augmenté de + 18,2 % au troisième trimestre, mais c’est normal, on passe du pire au meilleur en termes de consommation, ce qui creuse ce chiffre. Bien sûr, ce rythme actuellement constaté ne va pas se maintenir sur le très long terme, mais à court terme, entre les déconfinements et l’été, l’euphorie devrait durer.

L’été dernier, les Français n’ont pas consommé toute leur épargne de la crise sanitaire, malgré les incitations du gouvernement. Ce problème peut-il se représenter cet été ?

Il y a deux forces contraires. D’un côté, la vaccination qui offre une visibilité qu’on n’avait pas à l’été 2020, on est en quelque sorte “sortis d’affaire”, surtout avec les chiffres très importants et les intentions de vaccination chez les jeunes. Intentions qui montrent d’ailleurs une forte envie de consommer en termes de voyage, concerts et festivals.

De l’autre, on sait désormais qu’une quatrième vague est possible. Néanmoins, ce point peut avoir un effet également incitatif, notamment chez les jeunes qui peuvent se dire « Vu qu’on ne sait pas de quoi septembre sera fait, qu’on sera peut-être reconfinés, autant consommer à fond cet été. »

Mais les Français savent qu’il risque d’y avoir de mauvaises nouvelles à la rentrée concernant les défaillances d’entreprises. Malgré tout, il y a quelques indicateurs, comme les subventions du plan de relance européen qui arrive, et qui peut adresser un signal positif en face des chiffres de défaillances d’entreprises.

Click Here: custom-stamp-die-mouldingL’enjeu est-il plutôt de voir la consommation se maintenir en septembre ?

Oui, car même les indicateurs évoqués ne suffiront pas à faire baisser la peur du nombre de défaillances d’entreprises. Il y a eu 38 % de moins de défaillances que l’an passé juste grâce aux aides de l’état qui ont maintenu artificiellement certaines entreprises qui auraient coulé sans. Du coup, quelle que soit la situation économique en septembre, il va y avoir, par un juste retour à la normale, une hausse très importante des dépots de bilan. Mal expliqué, cela peut faire peur aux Français et avoir un mauvais effet psychologique sur la croissance et la consommation.

Néanmoins, deux éléments peuvent faire relativiser ce mauvais effet. Premièrement, les Français ont normalement une bonne visibilité sur la situation financière de leur entreprise, et savent donc s’ils peuvent se permettre de consommer ou non.

De plus, c’est l’histoire éternelle de l’œuf ou la poule : si les ménages dépensent beaucoup, cela envoie un signal positif aux entreprises pour ne pas trop débaucher. Après, il ne faut pas se faire d’illusion, cette crise va être une aubaine pour les entreprises pour restructurer ou réduire leur effectif. Mais le clair enjeu de cette croissance, c’est septembre. L’été est presque assuré.

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Laurence Boccolini va prendre la place de Nagui. Selon les informations du Parisien mardi, confirmées par la chaîne ce mercredi dans un communiqué, l’animatrice reprendra les rênes de Tout le monde veut prendre sa place sur France 2, à partir du mois d’août.

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Comme le rapporte le quotidien, Laurence Boccolini a passé des essais concluants en plateau au mois d’avril dernier, après l’annonce du départ de Nagui. L’animateur présentait TLMVPSP depuis son lancement en 2006 sur la chaîne de France Télévisions.

Une nouvelle animatrice et des petits changements

Quelques modifications du programme devraient accompagner ce changement d’animateur. Ainsi, le décor de l’émission pourrait être repensé, tout comme la première partie de l’émission, qui pourrait être resserrée.

Animatrice de Mot de passe depuis l’été 2020, après un transfert de TF1 à France 2, Laurence Boccolini reprend donc la présentation du jeu phare de la mi-journée sur la chaîne. Elle aura pour concurrence directe Jean-Luc Reichmann et ses Douze coups de midi.

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Une trentaine de célébrités ont appelé mardi les membres du G7 à donner aux pays pauvres des doses de vaccin contre le Covid-19, à l’approche de leur sommet de vendredi à dimanche en Cornouailles, dans le sud-ouest de l’Angleterre. Dans une lettre ouverte, ces célébrités du spectacle et du sport exhortent les dirigeants du Royaume-Uni, de la France, de l’Italie, du Canada, du Japon, de l’Allemagne et des Etats-Unis à s’engager à partager en urgence avec les pays pauvres au moins 20 % de l’approvisionnement en doses de vaccin contre le Covid-19.

Parmi les signataires, souvent ambassadeurs de bonne volonté pour l’agence onusienne pour l’enfance Unicef, figurent les acteurs et actrices Liam Neeson, Orlando Bloom, Priyanka Chopra Jonas, Whoopi Goldberg, et chanteuses Katy Perry et Angélique Kidjo. Des stars du football, comme David Beckham ou Sergio Ramos, de course automobile (Fernando Alonso) ou du tennis (Andy Murray) ont aussi contribué à cet appel aux sept pays les plus riches de la planète.

Prévenir les variants

Avec un don attendu de plus de 150 millions de doses entre juin et août, il s’agit de réduire le risque de propagation du virus et la menace de souches mutantes, souligne leur appel. « Le monde a passé un an et demi à lutter contre la pandémie de Covid-19, mais le virus se propage toujours dans de nombreux pays et produit de nouveaux variants susceptibles de nous renvoyer tous là où nous avons commencé », avertit la lettre. « Cela signifie de nouvelles fermetures d’écoles, davantage de perturbations dans les soins de santé et une chute de l’économie encore plus grande – menaçant l’avenir des familles et des enfants du monde entier », mettent en garde ses auteurs.

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Le premier livre de Meghan Markle en tant qu’autrice est sorti et il inclut une belle surprise. Toute la famille est présente dans The Bench : Archie et le prince Harry bien sûr (le livre est centré sur leur relation), mais aussi la dernière-née, la petite Lilibet Diana !

La toute dernière illustration du livre montre une scène apparemment inspirée par la vie californienne du duc et de la duchesse de Sussex. Alors que le personnage de Harry et le petit Archie sont installés sur le banc (« the bench » en anglais), on peut voir Meghan Markle dans ce qui ressemble à un potager, avec un enfant dans un porte-bébé, comme le note People. Pour compléter le tableau, on aperçoit les deux animaux de la famille, les chiens Guy et Pula.

Battre son cœur

Dans un communiqué de presse annonçant la sortie du livre, en mai dernier, Meghan Markle avait annoncé que The Bench était inspiré par un poème, qu’elle avait écrit à son mari pour la fête des pères. « Pour l’homme et le garçon qui font battre mon cœur », a écrit la duchesse de Sussex, sous forme de dédicace, en préambule de son livre.

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« The Bench, le nouveau livre pour enfants mis en vente aujourd’hui par Meghan, duchesse de Sussex, et l’illustrateur Christian Robinson, capture l’évolution et l’expansion de la relation entre père et fils et nous rappelle les nombreuses façons dont l’amour peut prendre forme et s’exprimer dans une famille moderne », peut-on lire dans un communiqué sur le compte Twitter de Random House, l’éditeur.

Un livre qui sort à point nommé pour la fête des pères, célébrée le 20 juin au Royaume-Uni comme aux Etats-Unis (et en France).

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Florian Hessique incarne un ancien cavalier amnésique dans « L’instant présent ».Sa renaissance est le thème principal d’un film résolument optimiste.Les relations avec ses proches et avec les chevaux sont des thèmes chers à l’acteur et réalisateur.

Florian Hessique sait tout faire ! Il est non seulement l’auteur et le réalisateur de L’Instant présent, mais il incarne également le rôle principal : celui d’un cavalier amnésique. « Ce n’est pas par narcissisme que j’occupe tant de postes, explique Florian Hessique à 20 Minutes. C’est venu naturellement car j’évoque des sujets qui me sont très personnels. »

Victime d’un accident d’équitation dix ans auparavant, le héros veut remonter à cheval et réapprendre les usages dans un centre équestre. Son entraîneur bourru joué par Martin Lamotte et son ex-petite amie incarnée par Alice Raucoules l’aident à retrouver la mémoire. Ce qui ne va pas tout seul pour cet être blessé que ses proches souffrent de voir ainsi diminué.

Solaire et optimiste

« C’est un thème qui me touche beaucoup, reconnaît Florian Hessique. Mon père est atteint de la maladie d’Alzheimer et j’ai compris à quel point c’est dur pour les gens qui restent. » Il a mis un point d’honneur à signer un œuvre solaire autour de son personnage qui fouille dans ses souvenirs. « On a besoin de films qui font du bien dans cette période compliquée, ce qui m’intéressait, c’était de montrer la force de son entourage dans un décor champêtre », martèle-t-il. La nature et les animaux sont les éléments les plus importants de cette œuvre généreuse tournée cet automne en pleine pandémie.

Après le basket pour La Légende, c’est dans le sport hippique qu’il a choisi de placer son intrigue et ce n’est pas un hasard : « Je suis passionné d’équitation depuis mon enfance, situer cette histoire dans le monde du cheval était donc une évidence pour moi », explique-t-il.

Click Here: Warriors rugby storeComme dans le sport

Cavalier émérite, Florian Hessique a tourné avec ses chevaux dans son propre haras. « Le monde du sport me fascine parce qu’il permet de monter très haut puis de retomber subitement très bas. C’est ce qui arrive à mon personnage », précise-t-il. Voir le héros essayer de se relever dans l’adversité est l’un des thèmes majeurs de ce film conçu comme une réflexion sur ce qui compte vraiment dans l’existence. Florian Hessique va maintenant plonger sa caméra dans le monde carcéral pour Face à face, dont il est en train de finaliser l’écriture.

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Chaque jeudi, dans sa rubrique « hors terrain », « 20 Minutes » explore de nouveaux espaces d’expression du sport, inattendus, insolites, astucieux ou en plein essor.Aujourd’hui, découvrons le pickleball, sport inventé aux Etats-Unis et énormément pratiqué là-bas.Cette discipline, dont Nantes est une place forte en France, se pratique à tout âge.

Trois sports de raquette en un, voici le pickleball. Cette discipline, venue tout droit des Etats-Unis, mélange le badminton pour la dimension du terrain, le tennis pour le filet et le tennis de table pour la prise en main de la raquette. L’histoire de la création de ce sport dans les années 1960 aux Etats-Unis prête à sourire. « Un jour, un retraité, qui était avec sa famille dans son jardin, a baissé le filet et joué avec des raquettes en bois pour que tout le monde puisse jouer, raconte Ronan Le Roch, président du  pickleball Nantes. Il a fait ses propres règles. Et comme il ne savait pas comment appeler ce sport, il l’a baptisé du nom de son chien : Pickle [cornichon en anglais]. »

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Trois à cinq millions de personnes jouent désormais de l’autre côté de l’Atlantique. En France, la discipline, qui peut aussi bien se jouer en salle qu’en extérieur, est arrivée il y a seulement sept ans (un gros millier de pratiquants dans l’hexagone). Depuis quatre ans, Nantes est devenu une référence nationale. Samedi, huit terrains de pickleball, financés par la mairie, seront inaugurés, à la plaine de jeux de Sèvre et un tournoi suivra. C’est en 2017 que ce sport a fait son apparition dans la cité des ducs sous l’impulsion de Ronan Le Roch. « Je faisais beaucoup de tennis, mais j’étais souvent blessé. Un jour, j’ai tapé “tennis léger” sur Internet et je suis tombé sur le pickelball. » Car c’est une spécificité de cette discipline, « ce n’est pas un sport basé sur la force physique ».

La raquette en composite atténue la puissance de la balle, qui est « en plastique, très légère et criblée de petits trous ». Le service s’effectue à la cuillère par exemple. Hors de question donc d’envoyer « un parpaing » comme au tennis. « C’est un sport très accessible pour tout le monde, intergénérationnel et qui n’est pas traumatisant pour les articulations du haut du corps. » La catégorie reine, c’est le double mixte et ça montre à quel point « le rapport de force est très léger ».

Au pickleball Nantes, club affilié à l’Ufolep (Union française des œuvres laïques d’éducation physique), ils sont pas loin de 80 à se retrouver plusieurs fois dans la semaine pour transpirer. Les responsables font parallèlement la promotion d’une discipline qui se démocratise de plus en plus dans les collèges de l’agglo. « La mairie de Nantes nous aide beaucoup à nous faire connaître, reconnaît Ronan Le Roch. Elle aime en général les sports un peu méconnus comme le floorball ou le kinball. » Et Nantes peut s’enorgueillir de posséder dans ses rangs le numéro 1 français : Dimitri Rabiller, un prof d’EPS de 25 ans.

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On a testé pour vous…

Ludique, technique et un peu physique si on n’a pas envie de perdre… On a testé le pickleball en double. Accompagné d’Yves, le doyen du club, on a battu (après un petit temps d’adaptation pour comprendre le placement et le comptage des points) Stéphanie et Axel en deux sets très accrochés au bout d’une rencontre à rebondissements. On a mouillé le tee-shirt pour s’offrir un joli succès. Malgré nos quarante printemps passés, pas une douleur, pas une courbature le lendemain.

Le titre de champion de France du Losc a été largement fêté par les supporters.Une parade populaire a été organisée à Lille, lundi, malgré l’épidémie de coronavirus.Dans le milieu du cyclisme professionnel, certains dénoncent le manque de logique des autorités.

Après l’euphorie, la polémique. Les supporters du Losc ont largement fêté le quatrième titre de champion de France de leur équipe. Depuis dimanche soir, Lille a été le théâtre de deux grands rassemblements populaires qui, en ces temps d’épidémie de coronavirus, ne sont pas du goût de tout le monde. Le monde du cyclisme, notamment, se sent floué.

Dans la nuit de dimanche à lundi, des milliers de supporters lillois s’étaient rassemblés sur la Grand’Place spontanément pour fêter ensemble le sacre de leur équipe. Un engouement populaire qui a pris de court les autorités, lesquelles n’avaient rien organisé ce soir-là. Mairie et préfecture avaient bien avancé l’idée d’ouvrir la place de la Déesse aux supporters avec une jauge réduite et dans le respect des gestes barrière… Mais la foule a eu raison de cette résolution du moindre mal. Un raté qui n’était de la faute de personne.

Click Here: vans sk8 hiUne différence de traitement qui choque

Ce n’est pas la même donne pour la parade de lundi après-midi, laquelle était effectivement organisée officiellement sur un parcours défini dans le centre-ville. Et c’est justement l’autorisation d’un tel événement qui pose problème et non le fait que le Losc ait été célébré dignement. « Des milliers de personnes pour fêter le titre du Losc. Normal ! Et pendant ce temps, le public est strictement interdit aux abords des départs et arrivées des courses cyclistes », s’indigne sur Twitter Daniel Baal, directeur général du Crédit Mutuel Alliance Fédérale et ancien président de la Fédération française de cyclisme.

Et dans le monde du vélo, il n’est pas le seul à s’insurger : « Par respect pour les autres sports qui ont pris tellement cher, comment on peut autoriser aujourd’hui la procession du bus du LOSC en plein centre-ville ? », s’interroge l’ancien coureur professionnel Félix Pouilly. « Je comprends et partage la joie des Lillois… Mais j’aimerais connaître la réaction de Monsieur le Préfet qui a interdit Paris-Roubaix et les 4 jours de Dunkerque », questionne Daniel Mangeas, le célèbre commentateur sportif. Une énigme aussi pour le cycliste professionnel nordiste Florian Sénéchal qui a partagé sur Twitter le point de vue de Daniel Mangeas. « Pas grand-chose à ajouter », a aussi tweeté l’Union nationale des cyclistes professionnels (UNCP) qui avait dénoncé, quelques jours plus tôt « des mesures sanitaires inappropriées qui mettent en péril la pratique » du cyclisme.

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