Avoir un collègue râleur, pire cauchemar des salariés

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Marre de votre collègue râleur? Apparemment, vous n’êtes pas le/la seul(e) puisque 36% des salariés considèrent la râlerie comme le pire défaut qu’un collègue de travail puisse avoir, selon un sondage OpinionWay pour Monster.

Interrogés sur les défauts les plus pénibles que peuvent avoir leurs collègues, 36% des salariés citent le fait de se plaindre tout le temps et 30% le manque d'hygiène.

Interrogés sur les défauts les plus pénibles que peuvent avoir leurs collègues, 36% des salariés citent le fait de

se plaindre tout le temps et 30% le manque d’

hygiène.Viennent ensuite le fait de parler trop fort (10%), d’étaler sa vie privée (8%), de se montrer trop curieux (7%) ou encore de raconter des blagues nulles (2%).Arrêter de râler, c’est possible !“Il fait trop chaud dans ce bureau !“, “J’ai trop de travail !“… Les bonnes raisons de râler sont légion ! Toutefois, pester, bougonner, ronchonner sans cesse peut procurer un sentiment d’insatisfaction chronique doublé d’une profonde lassitude. Avec à la clé “un sentiment de gâchis“ assure Christine Lewicki, auteur du livre/manuel “J’arrête de râler !“. Voici ses pistes pour se débarrasser de la râlerie.Au lieu de râler : demander de l’aideUne

surcharge de travail, une amie envahissante… quand le problème est bien réel, essayez plutôt de demander de l’aide au lieu de râler. “Derrière nos bougonnements se profile bien souvent un sentiment que tout repose sur vos épaules“ précise Christine Lewicki. Son conseil : “Vous pouvez commencer par identifier votre besoin et l’exprimer, sans râler“. Instaurer un tour de vaisselle ou de course au sein du couple, apprendre à déléguer au bureau, ou à dire non, sont autant de pistes à mettre en place. La clé ? “Je suis devenue flexible sur la façon dont mon besoin pouvait être satisfait“ témoigne l’auteur.Au lieu de râler : apprendre à dire le mot justeC’est toujours la même chose“, “Je ne m’en sortirai jamais“, “C’est insupportable“… A bien y regarder, notre tendance à exagérer est souvent concomitante avec nos “râleries“. Ce qui a pour effet d’amplifier considérablement l’impact négatif de la situation, qui plus est en la figeant dans le temps… “Toujours“ et “jamais“ se disputent le palmarès de nos agacements. Son conseil : “Commencez par observer toutes les fois où vous dramatisez“. Puis essayez plutôt de décrire la situation telle qu’elle est tout en la consignant dans l’instant présent. Vous ouvrez ainsi la possibilité d’un changement.Et pour les collègues qui dégagent des effluves désagréables, les solutions (douche, déodorant, chewing-gum…) sont beaucoup plus simples mais plus délicates à conseiller à la personne dont l’hygiène laisse à désirer. Bon courage !Avec AFP/RelaxnewsSource : sondage OpinionWay réalisé en ligne du 27 au 29 janvier auprès d’un échantillon représentatif de 1.074 salariés.Click Here: cheap all stars rugby jersey

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