Barack Obama : cette promesse faite à Michelle
February 9, 2022 | News | No Comments
Barack Obama a publié le premier tome de ses mémoires. Pour l’occasion, il a donné une interview à Paris Match dans laquelle il a fait des confidences touchantes sur sa vie privée.
À l’occasion de la publication de ses Mémoires, Une terre promise, l’ancien président a accordé un entretien exclusif à Paris Match. Barack Obama revient sur sa campagne et ses deux premières années de présidence. “Je suis ce que je suis grâce aux femmes qui font partie de ma vie”, a-t-il débuté. Parmi les femmes qui ont compté de sa vie, on retrouve sa maman mais aussi Michelle Obama, son épouse depuis 28 ans. Cette dernière a toujours été un précieux soutien. Au début de la campagne, Michelle Obama lui a d’ailleurs imposé deux conditions. Elle souhaitait que son époux arrête de fumer et passe plus de temps avec ses filles, Malia et Sacha. Ce que l’ancien président des Etats-Unis a fait…
Dans cet entretien accordé à Paris Match, il a d’ailleurs livré quelques détails intimes. “Je vivais en quelque sorte “au-dessus du magasin”. Je pouvais donc dîner en famille tous les soirs à 18h30, même si je devais ensuite retourner travailler. Pour autant, y a-t-il eu des moments où j’ai été en proie aux doutes ? Où j’ai été découragé ? Bien sûr. Y a-t-il eu des tensions au sein de notre famille ? Oui. Malheureusement”, a-t-il confié.
Elle lui reprochait certains sacrifices
Si ce couple faisait rêver les Américains, leur mariage a été fragilisé par le pouvoir. Barack Obama a notamment révélé avoir ressenti de la “solitude”. “Il y avait des nuits où, allongé à côté de Michelle dans le noir, je pensais à ces jours où tout était plus simple entre nous”, a-t-il expliqué dans People, voulant retrouver celle qui était plus “souriante”. Michelle Obama, même si elle “croyait beaucoup au travail” de son mari, lui reprochait certains “sacrifices faits à leur famille” pour le bien de ses fonctions de président. L’ancienne First Lady a également eu du mal à gérer “la pression” et “le stress” . “Il y a eu des moments où je pense qu’elle était frustrée, triste ou en colère, mais je savais que j’avais l’Afghanistan ou la crise financière à gérer au lieu de m’en préoccuper”, a-t-il conclu.
Crédits photos : BESTIMAGE