Jacqueline Chabridon : comment l’ex-maîtresse de Jacques Chirac a été mêlée à la séparation de François Hollande et Valérie Trierweiler

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Jacqueline Chabridon, maîtresse de Jacques Chirac de 1975 à 1976, n’a pas seulement failli faire voler en éclats le mariage de l’ancien président avec Bernadette Chirac. Bien des années plus tard, la journaliste a été aussi mêlée à la rupture d’un autre couple présidentiel, celui formé par François Hollande et Valérie Trierweiler.

Jacqueline Chabridon restera dans les mémoires comme la femme qui a fait trembler BernadetteChirac. En décembre 1974, Jacques Chirac, qui accumule les aventures extra-conjugales, croise la route de la jolie journaliste de 35 ans. Leur histoire se noue autour d’une tête de veau et s’ensuit une histoire passionnée, jusqu’à ce que Jacques Chirac, rattrapé par son ambition politique, décide d’y mettre un terme en 1976. Pour la jeune femme,à qui l’ancien président avait confié vouloir quitter Bernadette Chirac, la rupture est si brutale et douloureuse qu’elle tente de mettre fin à ses jours.

Après cette épreuve, Jacqueline Chabridon se reconstruit aux côtés d’Alain Fernbach, dont elle divorce cependant quelques années plus tard, avant de se remarier avec le professeur Olivier Lyon-Caen en 1996. Ironie du sort, le célèbre neurologue n’est autre que le spécialiste qui a soigné Jacques Chirac par le passé… Double ironie du sort, plus cruelle encore, la journaliste est à nouveau plongée, à travers son mariage, dans l’intimité d’un autre couple présidentiel, celui de François Hollande et de Valérie Trierweiler. Et ce, près de quarante ans après sa liaison avec Jacques Chirac.

Cette révélation, c’est William Massonneau, le frère de Valérie Trierweiler, qui en est à l’origine. Dans une interview accordée à la version espagnole de Vanity Fair, relayée par Le Figaro, ce dernier raconte comment, en 2014, le professeur Olivier Lyon-Caen a joué un rôle crucial le jour où les photos de François Hollande en compagnie de Julie Gayet, qui révélaient leur liaison, ont été publiées par Closer. Alors conseiller santé du président, le neurologue aurait été appelé tôt le matin de ce jour fatidique pour se rendre à l’Élysée et « exfiltrer » discrètement Valérie Trierweiler, apparemment au plus mal, vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Une situation qui a dû rappeler de douloureux souvenirs à Jacqueline Chabridon, mêlée bien malgré elle à cette histoire.

Crédits photos : Bestimage

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