Red Bull has extended its partnership with Renault until the end of 2018, with Toro Rosso also included in the deal.

After a breakdown in the relationship last year, Red Bull attempted to find a new power unit supplier but eventually stayed with Renault and rebranded the engines as Tag Heuer this season. Having been powered by Renault, Toro Rosso did secure another supply, receiving year-old power units from Ferrari.

However, with Red Bull happy with the progress from Renault since the end of last season, both teams will use the French manufacturer’s power units in 2017 and 2018.

“We are delighted to extend our partnership which has proved very successful over time,” Red Bull team principal Christian Horner said. “After the reconstruction that Renault has undertaken, clear progress has been made which has made it logical to continue with the TAG Heuer badged engine.”

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Jérôme Stoll, President of Renault Sport Racing, said the deal shows the faith he has in the works team to deliver in future.

“We are very pleased to partner with two such strong teams as Red Bull Racing and Scuderia Toro Rosso,” Stoll said. “Having competitive partners demonstrates the confidence both have in the improved Renault power unit and in our organisation as a whole.”

Toro Rosso will also receive current specification power units and the deal allows both teams to badge the engine as they wish.

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“Parasite”, le nouveau film de Bong Joon-ho couronné par la Palme d’or en mai dernier, pourrait avoir droit à son remake américain même si pour l’instant, rien n’est confirmé. 

Parasite, le nouveau thriller de Bong Joon-ho qui a reçu la Palme d’or à Cannes au mois de mai, en salle en France depuis le 5 juin et dans lequel une famille pauvre parvient à se faire engager dans une famille riche sans qu’aucun ne dévoile sa véritable identité, pourrait bien faire l’objet d’un remake américain. CJ Entertainment, la plus grande société de production et de distribution de films de Corée du Sud, envisagerait de produire divers remakes de succès du cinéma sud-coréen et Parasite pourrait faire partie de la liste. 

“Nous sommes en ce moment au premier stade [du projet]”, a indiqué Francis Chung, chef de la division américaine de CJ Entertainment, au magazine américain IndieWire. Manuel Chiche, dont la société The Jokers distribue le film en France, a rapidement fait savoir son mécontentement sur Twitter : “Bong Joon-ho est unique”, a-t-il déclaré. “C’est une grosse erreur d’essayer de faire un remake. Le résultat sera probablement désastreux.”

L’information a été démentie dans la foulée par un autre représentant de CJ Entertainment, qui a précisé la société n’était pas en discussion ni en négociation formelle pour un remake de Parasite et le tweet de Manuel Chiche a été effacé. Cela n’exclut toutefois pas que l’idée ait été évoquée et pourrait simplement suggérer que le projet ne soit pas suffisamment avancé pour en parler de manière officielle. Si rien n’est donc acté, la possibilité d’un remake n’est complètement à exclure pour autant. Affaire à suivre, donc. 

La bande-annonce de Parasite, actuellement en salle :

Parasite Bande-annonce VO

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Bob Iger a annoncé que de nombreux projets de remakes allaient être mis en chantier pour la plateforme Disney+ : Maman j’ai raté l’avion, La Nuit au Musée et quelques autres.

Quand on s’offre une plateforme de streaming, il faut créer de quoi l’alimenter. Si le patrimoine de Disney (et FOX) permet d’avoir un conséquent fond de catalogue, il est nécessaire de proposer des nouveautés pour appâter le client. Enfin, ces derniers temps les projets de remakes ont le plus souvent été privilégiés, ce sera une nouvelle fois le cas. Lors de son bilan trimestriel, le président Bob Iger a en effet annoncé la mise en route de nouvelles versions de Maman j’ai raté l’avion, la Nuit au Musée, 13 à la Douzaine et Journal d’un Dégonflé.

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Pour l’instant, rien ne dit s’il s’agira de séries ou de films mais la récente acquisition du catalogue de FOX rendait imminent et prévisible une telle opération. D’autant plus quand la politique actuelle de Disney verse dans les remakes à la chaîne.

La firme aux grandes oreilles investit ainsi pour Disney+ dans le film familiale. Entre le classique Maman j’ai raté l’avion et (les pourtant récents) 13 à la Douzaine (2004), La Nuit au Musée (2006) et Journal d’un Dégonflé (2010), on voit la volonté de réunir toute la famille devant les écrans (reste à savoir si tout le monde sera dans la même pièce).

On pourra également noter qu’un déplacement de stratégie s’est effectué : le streaming a remplacé le direct-to-vidéo. Au même titre que le remake live de La Belle et le Clochard, ces potentiels films ne sont pas destinés à sortir en salle. Et au lieu de gonfler un marché du DVD/BR un peu moribond, la piste de la plateforme est désormais privilégiée.

Bob Iger a également profité de l’occasion pour annoncer les prix de Disney+ aux États-Unis. Le pack regroupant l’ensemble de l’offre (avec ESPN+ et HULU) s’élevera à 12.99$, s’alignant ainsi sur celle de Netflix. Aucun prix n’a été annoncé pour la France.

Fin du suspense ! C’est le film de Ladj Ly, “Les Misérables”, qui a été choisi pour être le candidat français aux Oscars 2020. “Portrait de la jeune fille en feu”, actuellement à l’affiche, et “Proxima”, étaient également en lice.

Les Misérables en piste pour représenter la France aux Oscars ! C’est donc le premier long métrage de fiction de Ladj Ly qui a été choisi, au détriment de deux autres candidats : Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma, en salles depuis mercredi, et Proxima d’Alice Winocour, dont la sortie est fixée au 27 novembre prochain.

Remarqué à Cannes cette année, et notamment apprécié par la presse internationale, Les Misérables a souvent été comparé pendant le festival à La Haine, film culte de Mathieu Kassovitz. Les Misérables suit Stéphane, tout juste arrivé de Cherbourg, intègre la Brigade Anti-Criminalité de Montfermeil, dans le 93. Il va faire la rencontre de ses nouveaux coéquipiers, Chris et Gwada, deux “Bacqueux” d’expérience. Il découvre rapidement les tensions entre les différents groupes du quartier. Alors qu’ils se trouvent débordés lors d’une interpellation, un drone filme leurs moindres faits et gestes… 

Pour mémoire, cette liste de 3 finalistes avait été établie par une commission composée des réalisateurs Pierre Salvadori et Danièle Thompson, des producteurs Jean Bréhat et Rosalie Varda, des exportatrices Muriel Sauzay et Agathe Valentin, ainsi que des membres de droit Serge Toubiana (président d’Unifrance), Thierry Frémaux (Délégué général du Festival de Cannes) et Alain Terzian (président des César).

On saura courant décembre si la France fait partie des 5 pays à concourir dans la catégorie meilleur film étranger à la Cérémonie des Oscars 2020, qui se tiendra le 9 février à Los Angeles.

La bande-annonce des Misérables qui sortira le 20 novembre prochain :

Click Here: Tienda Pachuca

Les Misérables Bande-annonce VF

Daniil Kvyat was looking much more like his old self in Singapore this weekend as he battled his way into the points at Marina Bay Street Circuit.

However, he felt that Toro Rosso might have played it too safe and could have achieved even more if they had been prepared to gamble. Kvyat started from seventh place and ran as high as fifth during the gruelling two-hour event, but he eventually had to settle for ninth when the chequered flag came out.

“Our strategy was a bit too conservative,” he said. “I’m happy because I took as much out of it in the circumstances, but I felt we didn’t even try to risk today unfortunately.

“Too conservative for our pace; if we wanted to fight with [McLaren’s Fernando] Alonso which I think we could we should have been more aggressive with the strategy,” he insisted. “I thought maybe we were going to get ahead of Alonso with clever strategy but we didnt manage to invent something clever today unfortunately.

“It was shame we didn’t risk enough with the strategy but that’s the only complaint I have about it,” he said. “[We should have] undercut people more aggressively and [left] the tyres on for longer, which I think we had the pace to do.”

Kvyat was involved in a pitched battle over several laps with Max Verstappen, that man who took his race seat at Red Bull earlier in the season. Kvyat refused to yield and Verstappen eventually had to back off because of tyre wear.

Kvyat insisted that a radio message reminding him that his real battle was with Alonso and not Kvyat hadn’t been a coded team order to let the Red Bull by.

“Absolutely not,” he stated unequivocally. “I was fighting and I think I did a good job … He had the faster car, but I kept him behind for two stints, which makes me think I’m pretty good!”

Later in the race Kvyat was finally forced to let Verstappen by, but it was in very different circumstances: “We fell behind [Force India’s Sergio] Perez so even if his tyres were more used, the engine and the straightline speed were more than enough to defend against us,” he added. “I tried to pass Perez and it was very hard to pass him because their straight line advantage is massive.

“I tried a really late braking manoeuvre and just went with four wheels outside in turn 7 and he managed to stay on the track. Then also Max passed him and I had to let Verstappen by [in order] to let Perez by, otherwise maybe I get a ten second penalty [for gaining an advantage by exceeding track limits] which would have destroyed our race.”

Even so, Kvyat had clearly thoroughly enjoyed the day’s racing action after what has been a difficult run of disappointing events.

“I enjoyed it a lot. The racing over this past month has been a big test of my passion but I’m loving it again so that’s mega. I pushed to the very last centimetre and left myself on the track.

“Great job from the team, we’re back in the points after a tough period. Good tyre management from our car, fast in both quali and race conditions so pretty satisfying to see that – but bigger challenges are ahead.”

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Breakfast with … Bernd Maylander

Silbermann says … Not so sleepy in Singapore

Romain Grosjean column: Drivers have a certain shelf life

Chris Medland’s 2016 Singapore Grand Prix preview

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Click Here: Tienda Pachuca

Quoi de plus mignon qu’une poupée, un poupon ou un baigneur ? Ça, c’est ce que vous pensiez avant d’avoir passé un film en compagnie de ces jouets terrifiants.

1. Annabelle
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La poupée maudite de Conjuring, très attachée à ses propriétaires successifs, a eu droit à son propre film en 2014. Et comme elle est très joueuse, elle ne pouvait pas s’arrêter là. Ses surprenantes origines nous sont donc expliquées dans un second opus intitulé La Création du Mal… Ca veut tout dire ! Dans le troisième opus, on la retrouve “à la maison”, chez les Warren, au coeur du “musée” qui abrite toutes sortes d’autres objets insolites et maléfiques… qu’elle va s’empresser de réveiller.
Annabelle – La maison du mal : tout sur le film
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© Warner Bros. Pictures

“Annabelle” dans la Maison du Mal pour une nouvelle nuit d’horreur inoubliable ? Réponse au cinéma dès le 10 Juillet

Annabelle – La Maison Du Mal Bande-annonce VO

Jenson Button’s afternoon run in Barcelona was a relatively disappointing affair for the McLaren driver who failed to follow team mate Fernando Alonso into Q3.

Button will line up P12 on tomorrow’s grid, and while he was far from pleased with his own performance he did admit that the overall result was a positive for the team as a whole.

“Getting one car into Q3 is great for the team,” Button said.

“All in all it’s not yet where we want to be, but it’s a good job by the team and I’m sure this will put a smile on a lot of people’s faces, hopefully the fans too.

“Good job by Fernando, but for me it has been a really tough weekend, really though. In the end, to be just one and a half tenths away is the best we could do.

“It’s not so bad and we’ll start the race on new tyres. This is the best I’ve done tall weekend, it’s not so bad.”

Button confessed having difficulties coming to grips with the MP4-31’s current tendency to oversteer, a characteristic he believes is hindering his driving.

“The rear is really loose, it gives a floating feeling, it’s not what I like in a car, I can’t commit. I try my best but it’s definitively my strong point.

“I adapted as much as I could, and we’re getting there. Tomorrow it’s the race and we’ll see what we can get out of it.

“I’d take it’s quite sad that we are excited by getting one car into Q3 (laughs) but we are! Fair play to Fernando, he’s been very quick all weekend. Congratulations to him.”

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Drivers react to Red Bull seat swap

Romain Grosjean column: Spain will show the real Haas

Chris Medland’s 2016 Spanish Grand Prix preview

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Si les raisons de l’échec au Box Office du film “Men in Black International” ont déjà été évoquées, la direction de Sony Pictures, productrice du film, s’était jusque-là abstenue de tout commentaire…

Fin juin, un article du Hollywood Reporter revenait en détail sur les coulisses de la production houleuse du film Men in Black International. Entre la rivalité qui n’a cessé d’opposer le réalisateur F. Gary Gray au producteur Walter Parkes qui a fini par imposer son montage au détriment de celui du cinéaste, les nombreuses modifications au scénario initial écrit par Art Marcum et Matt Holloway, avant mais aussi pendant le tournage, au point que les comédiens Chris Hemsworth et Tessa Thompson recevaient chaque jour de nouvelles pages et engagèrent leurs propres dialoguistes sur le plateau, le film s’est largement fait recaler au Box Office. Avec 245 millions $ de recettes, et à peine un peu plus de 78 millions sur le territoire américain. Pour un budget de production estimé à 110 millions $, hors frais marketing bien entendu, on ne peut pas dire que MIB international a surperformé…

Quoi qu’il en soit, c’est au tour d’un éxécutif de Sony de s’exprimer sur le sujet, ce qui n’avait pas été le cas jusque-là. Et qui plus est un haut dirigeant, puisqu’il s’agit du grand patron en personne, Tom Rothman. Dans un entretien accordé à Business Insider, celui-ci fait part de sa déception, là où la Major espérait relancer une franchise jadis lucrative, et refaire le hold up du Box Office que fut le reboot de Jumanji, qui a rapporté plus de 960 millions de $, pour un budget inférieur à 100 millions.

“Est-ce que nous avons raté notre coup ? Men in Black International n’a pas particulièrement été une déception financière, parce qu’au bout du compte, il va rapporter entre 245 et 300 millions $ au Box Office mondial. Mais ce n’est évidemment pas du tout ce que l’on ambitionnait pour un redémarrage concernant cette licence” plaide l’intéressé. “Je pense que le public a bien aimé le film, et le casting était formidable; Tessa et Chris ont fait un super boulot. Mais si nous avons fait des erreurs, je pense que c’est principalement dans le manque d’idées fortes dans l’histoire. Surtout si vous comparez avec Jumanji, qui avait une idée vraiment, vraiment forte”.

Et de poursuivre : “la leçon de tout ça, c’est qu’il faut continuer à prendre des risques. Mais il faut aussi les gérer. Dans le cas de MIB International, on avait deux coproducteurs, donc les risques étaient calculés et gérés. Je pense sincèrement que vous ne pouvez pas éliminer les risques dans l’industrie du film. Si vous essayez de faire ça, vous tuez la créativité, et si vous tuez la créativité, vous éliminerez le succès”.

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Daniel Ricciardo is aiming to stay within touching distance of Mercedes and Ferrari this weekend at Baku, despite suggestions from Red Bull’s motorsports advisor that the circuit’s 2km main straight might result in their struggling to match the engine performance of their rivals.

Coming into the Grand Prix of Europe, Dr Helmet Marko has predicted that Red Bull might be as much as 1.2s off the pace of the team’s main competition through this part of the circuit.

“I hope he’s wrong, that sounds like a lot,” said a worried Ricciardo. “Let’s see. I hope we don’t lose that much.

“If we lose around that, let’s say we lose a second we can make up a bit of time in the corners. On Mercedes, probably not that much, they’ve got a good car as well but also Ferrari it’s probably minimal.

“On somebody like Williams we expect them to gain a bit on us down the straight but then in the corners I’m hoping our advantage takes over. 1.2 is big, I hope Helmet is wrong.”

Elsewhere the circuit is looking distinctly more promising for Ricciardo and his team mate Max Verstappen.

“There’s a lot of interesting parts, obviously everyone is talking about Turns eight, nine and 10, that looks fun. It looks pretty tight but I think obviously we are going to get pretty close to the wall there and push it to the limit.

“I think already at turns five and six that is quite technical. I think there will be two lines, whether you push on the entry of five and gain on that and lose a little bit out of six because the straight is not that long before Turn seven, so that could be interesting.

“I think Turn 16 is going to very crucial I think because then we’ve got full throttle for a long time. It will be important to get through there clean, any slide on the exit is going to kill your speed for the straight.

“[Turn 19] should be flat. I just spoke to my engineer now, he said don’t try and take it flat on the install lap but yeah I think by the time we get going and get some grip on the track it will be flat and it’s still before the DRS. If it was after the DRS then that would be a very interesting corner.”

And Ricciardo was looking forward to the challenging pit entry, which has attracted a degree of criticism from some parts for being potentially too dangerous.

“I actually think it’s going to be quite cool because pit entry is always a part you can gain a little bit of time. This one in particular I think if a driver gets it right and a driver doesn’t quite go in there as committed or makes a mistake, there’s easily half a second if not a second on that pit entry, between a good one and a bad one.

“You either crash or you lose a lot of time. It could be cool if you are battling someone in the race and you are trying an undercut or an overcut maybe what you do on the pit entry maybe dictate who wins that position.

“I like it actually, it looks good.”

Chris Medland’s 2016 Grand Prix of Europe preview

Technical analysis – Canada

Breakfast with … David Hobbs

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Si les Majors luttent sans pitié pour trôner au sommet du Box Office, il arrive parfois qu’elles se montrent Fair Play en saluant le record d’une concurrente. Même chose pour les réalisateurs ! Voici quelques savoureux – et fameux !- exemples.

1. Un gros poisson mord à l'hameçon de la ligne de R2-D2 !
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Dans son édition du 2 décembre 1977, les lecteurs de Variety eurent le plaisir de découvrir en pleine page les félicitations de Steven Spielberg adressées à son vieil ami George Lucas avec Star Wars, qui venait d’enfoncer le record des Dents de la mer, jusque-là N°1 au Box Office. “Félicitations à toute l’équipe de la Cantina et toutes les forces de ton imagination qui ont permis à Star Wars de s’asseoir sur le trône. Portes-la bien [NDR : sous entendu, ta couronne]. Ton ami, Steven”.
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Si la lutte au sommet du Box Office est devenue plus que jamais impitoyable entre les Majors, il arrive quand même quelques fois où elles se montrent Fair-Play avec leurs succès respectifs. Ou plutôt leurs records respectifs, en les saluant comme il se doit avec l’achat d’un encart publicitaire dans la bible hollywoodienne qu’est Variety, ou bien dans le Hollywood Reporter, pour féliciter son meilleur ennemi.

Le dernier exemple en date est récent d’ailleurs : James Cameron félicitant Marvel et son Avengers Endgame pour avoir battu -d’une très courte tête- le record établi par Avatar, jusque-là plus gros succès de tous les temps. A ce petit jeu, personne ne battra le duo de vieux complices George Lucas et Steven Spielberg, qui ont toujours salué leurs records respectifs de manière savoureuse.