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Le chanteur Amir Haddad vit le parfait amour avec sa femme Lital Aharonovitch, avec qui il est marié depuis le 7 juillet 2014. Une romance qui vient après de nombreuses peines de cœur. En effet, l’ex-dentiste n’a pas connu toujours des idylles heureuses. Il se confie dans Pure Charts.

Dans son album Addictions, sorti le 27 octobre dernier, Amir chante avec son âme-sœur, sa femme Lital, sur le titre Idéale idylle. Trois ans que l’ex-dentiste vit le grand amour. Et pourtant, à l’entendre, dans une interview accordée à Pure Charts, ses romances passées n’ont pas toujours été faciles. “J’ai eu des histoires où j’ai eu mal, où j’ai pleuré, où j’ai couru après une fille parce que ça s’est avorté brutalement et que je voulais plus que ça, plus longtemps, faire mes preuves pour arranger ce que j’ai manqué“, raconte le chanteur. De quoi alimenter son inspiration pour écrire ses plus belles chansons d’amour.

Aujourd’hui, sa femme est l’un de ses plus grands soutiens. Un amour qui est tout de même mis à rude épreuve. « Ma femme a épousé un dentiste, et là, elle a plus de mal avec ma carrière. La notoriété est évidemment une épreuve pour le couple. (…) J’aime ma femme, elle me fait confiance et j’essaie au maximum de préserver ma vie privée », avait déclaré l’interprète de J’ai cherché dans les colonnes de Gala en 2016.

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Il est vrai qu’Amir a tout quitté pour réaliser son rêve. « Au départ c’était difficile pour ma famille d’accepter cette nouvelle tournure de carrière parce que j’avais un métier, j’étais dentiste, ça n’a rien à voir, mais ça donnait beaucoup plus d’assurances en termes de qualité de métier, de gagne pain pour la vie. Et depuis que je les ai « trahis » et que je suis parti n’en faire qu’à ma tête, et chanter, au départ ils avaient du mal à m’encourager », a confié le jeune homme au magazine Voici. Aujourd’hui Amir n’a d’yeux que pour son épouse et comme il le déclare en duo avec elle : “Dans mon cœur c’est l’incendie“. Amour quand tu nous tiens.

Marie Drucker a un fils, Jean, âgé de 2 ans et demi. La naissance de son enfant a chamboulé l’ex-journaliste, qui a amorcé un gros tournant dans sa vie professionnelle. « Après vingt-deux ans de journalisme, j’ai eu envie d’arrêter l’info… », admet-elle.

Il y a deux ans et demi, Marie Drucker et son compagnonMathias Vicheratdonnaient naissance à un fils Jean – un prénom hérité du papa de l’ancienne journaliste et frère de Michel Drucker, décédé en 2003. L’arrivée de son chérubin a totalement bouleversé la vie de l’ex-reporter qui, à l’âge de 42 ans, a amorcé un tournant dans sa carrière : « Après vingt-deux ans de journalisme, j’ai eu envie d’arrêter l’info… », confie-t-elle à nos confrères de Paris Match jeudi 2 novembre. « Je n’aurais pas pris ce risque si j’avais pensé que ça me manquerait. J’étais arrivée au bout de quelque chose. J’avais envie de plus de liberté, mon obsession depuis que je sais marcher et parler », continue-t-elle. Un changement plutôt radical pour celle qui a été joker de Laurent Delahousse puis David Pujadas au JT de France 2. Marie Drucker réfute pourtant avoir renoncé à sa carrière à France 2 pour Jean. « J’étais déjà très installée dans ma vie professionnelle quand mon fils est né, je n’ai donc pas le sentiment d’avoir sacrifié quoi que ce soit », explique-t-elle.

Jean prend en tout cas toute sa place dans la vie de l’ex-journaliste, qui a rendu sa carte de presse pour s’atteler à d’autres projets enrichissants, via sa société de production No School. « Avant, je travaillais tout le temps. Maintenant, il m’arrive de dire stop, de prolonger les week-ends, de rentrer chez moi et de poser mon portable pour ne le retrouver que le lendemain », se réjouit-elle. Une nouvelle vie de maman, plus libre et indépendante.

Ce 8 novembre sort en salles le film Borg/McEnroe avec Shia LaBeouf. Il retrace la rivalité qui a fait vibrer le tennis dans les années 80 : celle entre John McEnroe et Bjorn Borg. Retour sur un duo de légende.

Vous faisiez quoi le 5 juillet 1980 ? C’était un samedi, le premier d’un été exceptionnellement pluvieux. Le temps était à l’orage et n’invitait franchement pas à sortir. Alors, comme des millions de Français c’est certainement devant le poste de télévision que vous avez passé cet après-midi-là : Antenne 2 – comme s’appelait alors la deuxième de nos trois chaînes – diffusait la finale de Wimbledon. Une affiche de rêve. Le choc de deux mondes ! D’un côté, le Suédois Björn Borg, impassible, vingt-quatre ans seulement mais un palmarès déjà long comme le bras. De l’autre côté du filet, John McEnroe, le révolté, de trois ans son cadet. Un fils à papa de New York. Depuis peu, on le surnomme Superbrat, « le sale morveux ». Dans la vie, c’est un fêtard qui ne répugne pas à se droguer et à boire les veilles de match. Mais sur le court, une teigne. La terreur des arbitres. Ils se sont déjà affrontés sept fois, et ce huitième face-à-face, décorum oblige, tient du duel dantesque entre superhéros. C’est la glace contre le feu, la discipline contre le désordre. Deux façons opposées de se comporter dans la vie…

Quatre longues heures durant, les deux hommes vont disputer cinq sets d’anthologie. Une intensité jamais vue. Borg vient de gagner à Roland-Garros et, à Wimbledon, personne n’a encore été capable de le battre depuis sa première victoire en 1976. McEnroe, l’imprévisible gaucher, va être tout près de faire tomber celui qu’on appelle « le Martien ». Tout près. Mais pas assez cependant. Et Borg entre encore dans l’histoire, avec une cinquième victoire d’affilée en terre britannique, sous les yeux de Katharine, duchesse de Kent qui lui remet la coupe. Pourtant, quelque chose s’est brisé en lui au terme de cette confrontation épique, ainsi qu’il le confiera. Ayant dû puiser dans ses réserves, il a éprouvé les limites de sa force de caractère après quinze ans d’abnégation, à taper des balles comme on plante des clous. « Tout ça n’avait plus le même sens. » L’année suivante, sur le même gazon, Borg perdra même son trône presque soulagé, face à McEnroe, son jeune challenger, avant de vite prendre sa retraite. Pour lui, le début d’une nouvelle vie, faite, cette fois, d’échecs et de désillusions. Le film Borg/McEnroe revient sur l’opposition mythique entre les deux champions, en s’attachant surtout à dépeindre leur humanité, leurs failles. Et elles furent nombreuses hors des courts où ils avaient bâti leur légende.

Björn Borg est né en 1956. A grandi dans la banlieue de Stockholm dans un milieu modeste. Il a neuf ans seulement lorsque le tennis, « sport de riches », entre dans sa vie. Son père, joueur de tennis de table émérite, vient de remporter un tournoi et offre à son fils la raquette en bois doré qu’il a reçue en trophée. Björn, le mutique, le renfrogné, ne va plus la lâcher, s’entraînant à frapper des balles contre la porte du garage familial, jour et nuit, en mode psychotique. A dix ans, il attire l’attention d’un grand coach, Percy Rosberg, surpris par sa prise de raquette à deux mains. Il l’invite à s’entraîner avec lui, ce qui contraint le gamin à faire une heure et demie de transport aller et retour, chaque jour après l’école. Week-ends compris. Pendant cinq ans ! Tant de régularité paie. Rapidement, le surdoué remporte ses premiers tournois, débute (et gagne) en Coupe Davis à seulement quinze ans et devient champion du monde junior.

Comme le dévoile le film dans ses flash-back, c’est encore une époque où, colérique, il fracasse ses raquettes après un point raté, bien loin du « bouddha » en short qu’il personnifiera plus tard. Une mutation due au travail de son mentor Lennart Bergelin qui lui a appris à canaliser ses nerfs. « Il me disait : “Ne te lamente pas sur un point perdu. Pense au suivant ”. Et j’ai, en effet, réalisé que pour prétendre me battre, le joueur en face devrait en aligner deux mille autres. » A l’âge adulte, à mesure qu’il enchaîne les victoires, le champion a développé nombre de superstitions : il cesse de se raser lorsqu’il entame un tournoi ; réclame que, d’une année sur l’autre, son chauffeur utilise la même voiture et emprunte le même chemin pour aller au stade. Son poids aussi l’obsède. A 100 grammes près, il ne doit pas varier. Une femme est le témoin de son fastidieux rituel : l’ancienne joueuse roumaine Mariana Simionescu. Quand démarre Wimbledon, elle vient d’abandonner sa carrière pour l’homme qu’elle aime. Ils se sont connus à Roland-Garros. « Le 10 juin 1976 est marqué à vie par cette rencontre », confie-t-elle alors à la presse anglaise. Pour la séduire, le timide maladif a dû quitter sa zone de confort. « Il m’a appelée dans ma chambre à 22 heures pour me demander si je voulais sortir avec lui. J’ai demandé l’autorisation à ma mère qui m’a conseillée de ne pas m’éterniser. Il était 5 heures du matin quand je suis revenue. Le temps avait filé… » Mariana se souvient encore de son infinie douceur. « Avec moi, il exprimait très bien ses émotions sauf les jours (rarissimes) de défaite. Il lui fallait trois jours pour s’en remettre. Il ne parlait plus. » La jeune femme doit aussi faire avec l’enthousiasme que le champion soulève. C’est un boys band à lui seul ! Des nuées de filles l’attendent partout, pour un autographe, un baiser, une photo.

Lorsque McEnroe n’était encore que ramasseur de balles, il fut le témoin de cette adoration. Il l’a racontée dans son autobiographie. « Je me disais, ce type a l’air si cool ! J’espère devenir professionnel et vivre ce qu’il vit. » Borg était l’idole de McEnroe. Le film nous le rappelle. C’est l’autre attachante particularité qui caractérise la relation entre les deux hommes. « Quand tu as un modèle et que la vie te donne l’opportunité de l’affronter, puis de devenir son ami autant que son rival, c’est très étrange. Björn a été désarmant de gentillesse avec moi, y compris dans les vestiaires avant un match. Il m’encourageait à me calmer. J’avais dix-neuf ans, lui vingt-deux. Sa bienveillance m’a énormément aidé à donner une autre image de moi. » Quand par la suite, Borg connaîtra des coups durs, l’Américain sera toujours le premier à l’aider : en 2006, il lui évitera de vendre aux enchères ses coupes gagnées à Wimbledon…

Lorsque Borg a annoncé, en 1983, qu’il quittait le circuit, « Big Mac » avoue avoir été désemparé. « Notre rivalité aurait pu durer plus longtemps. Tout le tennis en bénéficiait. » Lorsque John obtient sa revanche en 1981, toujours à Wimbledon, il se souvient d’avoir vu Borg « soulagé d’avoir perdu. Libéré d’un coup de tant d’années de pression ». Et lorsqu’il le bat de nouveau, quatre mois plus tard, à l’US Open, il dit avoir vu son comparse « absent, sans jus. Je n’ai pas compris ce qu’il se passait ». L’après-tennis n’a pas été facile pour Borg. Nul en affaires, il a connu la ruine et sur le plan affectif des revers successifs. Après sa dernière victoire à Wimbledon, il a épousé Mariana et divorcé quatre ans plus tard. Ensuite, il a notamment rencontré une jeune suédoise, la mannequin Jannike Björling, qui lui a donné un enfant puis une chanteuse italienne, Loredana Bertè, qui l’a démoli dans un livre de souvenirs assassins. « Contrairement à ce qui a été écrit, jamais je n’ai voulu me suicider. Mes affaires n’étaient pas brillantes mais pas de quoi me tuer. Cette rumeur m’a blessé. » Aujourd’hui, il a soixante et un ans et est heureux en amour. Sa femme, Patricia Östfeldt, travaille avec lui dans la boutique de vêtements qui porte sa griffe. Elle lui a donné un fils, Leo, quinze ans. Son portrait craché. Il joue son père enfant dans le film qui retrace sa gloire. Comme si l’histoire recommençait.

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Crédits photos : BESTIMAGE

Depuis son arrivée à l’Elysée, Emmanuel Macron a fait de la transparence. La première dame Brigitte Macron n’y fait pas exception. Le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, a ainsi dévoilé les chiffres du budget de l’épouse du président : 400 000 euros lui seront donc alloués.

En tant que conjointe du chef de l’Etat, Brigitte Macron bénéficie d’officiers de sécurité, et d’une équipe. Autour de la première dame, dans l’aile ouest de l’Elysée, dite l’aile Madame, un directeur de cabinet et un chef de cabinet : Pierre-Olivier Costa et Tristan Bromet engagés après l’élection d’Emmanuel Macron pour épauler la première dame dans ses activités. Et des activités, Brigitte Macron n’en manque pas : diplomatie avec Melania Trump ou Mary du Danemark, engagement au côté d’enfants handicapés, de jeunes autistes. Il faut dire que la Première dame est très sollicitée, en témoignent les nombreux courriers qu’elle reçoit au Château qui nécessitent plusieurs employés à temps plein.

“Je peux vous indiquer un chiffre qui vient des services de Bercy: le coût des moyens mis à disposition du conjoint du chef de l’Etat, du fait des collaborateurs, sont de 440.000 euros. Elle bénéficiera aussi du renfort de sécurités parce que le conjoint du chef de l’Etat fait aussi l’objet d’une protection”, a déclaré Christophe Castaner dans l’hémicycle, rapporte Challenges, à l’occasion du vote du projet de budget de l’Elysée pour 2018. Une prise de parole et une volonté de transparence. Pas question de renouveler les polémiques de la carte bleue de Cécilia Sarkozy, du coût du site internet de Carla Bruni ou du budget déco de Valérie Trierweiler.

A noter que Brigitte Macron devrait coûter moins cher que celles qui l’ont précédée. Une volonté d’austérité affichée. La Première dame n’a que trois collaborateurs au sein de son cabinet, Carla Bruni-Sarkozy en avait huit. Quant à Valérie Trierweiler, elle disposait de 5 collaborateurs. L’intégralité des dépenses du cabinet de la Première dame provient directement du budget de l’Élysée, bien qu’elle n’ait pas de statut clairement défini dans les textes. C’est le cas par exemple de ses déplacements, de ses cadeaux ainsi que des réceptions qu’elle organise, précisait par ailleurs 20 minutes.

Pierre-Olivier Costa, directeur du cabinet de Brigitte Macron, assurait il y a quelques semaines que son agenda, désormais accessible en ligne, sera « expliqué le plus clairement possible aux Français ce qu’elle fait, comment et pourquoi ». Cette prise de parole n’a donc rien d’anodine. Le porte parole du gouvernement a insisté sur la transparence et la volonté d’économie à l’Elysée.

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Lors d’un reportage effectué à Lille pour le déplacement du président de la République, un journaliste de l’émission C à Vous ainsi que son cameraman ont été écartés de la manifestation par la sécurité d’Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron était une nouvelle fois très encadré lors de son déplacement à Lille. En effet, lors de la séquence intitulée « 5 sur 5 » diffusée dans l’émission C à Vous ce mardi 14 novembre, le journaliste Maxime Switek a pointé du doigt une injustice vécue par deux reporters de la chaîne. Durant leur reportage, Tancrède Bonora et son cameraman – qui souhaitaient poser des questions au président de la République – ont été mis à l’écart par la sécurité d’Emmanuel Macron. La raison ? Les deux journalistes étaient présents la veille lors d’une manifestation de plusieurs militants de la France Insoumise devant la préfecture de la ville. Prévenue, la police avait alors évacué les lieux.

Simple confusion ou une consigne du président de la République ? Face à cette situation, Tancrède Bonora a tenté d’avoir des explications de la part de l’attachée de presse de l’Elysée. Mais sans grand succès. Selon Maxime Switek qui rapporte les récentes déclarations de l’Elysée, les deux reporters auraient été trop « intrusifs » lors de la manifestation de la France Insoumise.

En échappant à la surveillance des quatre policiers, Tancrède Bonora a toutefois réussi à poser quelques questions au chef de l’Etat. Malheureusement, il a très vite été repéré par la sécurité du président de la République. Mis à l’écart, le journaliste et son cameraman n’ont pas réussi à réintégrer la manifestation.

Crédit vidéo – France 5

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Difficile de perdre du poids, même quand l’envie est là. Raquel Garrido le confie dans une interview : malgré sa volonté, impossible de perdre du poids. La raison ? L’ancienne porte-parole de la France Insoumise ne sait pas faire face à la frustration.

« Je suis une fonceuse, je déteste qu’on me dise non, et j’ai une tolérance faible à la frustration ». Interviewée par le magazine Elle, Raquel Garrido a livré quelques vérités sur sa vie de tous les jours. La grande amie du chroniqueur Jeremstar laisse parfois sa non-tolérance à la frustration prendre le dessus sur elle-même. Sa dernière grossesse a laissé des traces qu’elle aimerait gommer sans y parvenir. “J’ai pris quinze kilos après ma troisième grossesse, je suis mal dans ma peau mais je n’ai pas le temps de faire un régime. Avec Alexis [Corbière, son compagnon, NDLR], on essaie parfois de faire attention à deux… pour mieux remettre ça au lendemain !“, explique-t-elle.

L’ancienne porte-parole de la France Insoumise, qui a décidé d’arrêter la politique, a eu trois filles avec Alexis Corbière, âgées de 17, 15 et 4 ans. Deux adolescentes et une petite fille qui doivent faire face à la violence que subissent parfois leurs parents : « Les grandes restent philosophes face à notre médiatisation, assure Raquel Garrido. Quand on est adolescent, rien ne peut faire réellement briller ses parents. Elles ont développé des réflexes de protections, notamment face à la fachosphère ultra-violente ».

Crédits photos : JEROME MARS/JDD/SIPA

L’actrice Melissa Gilbert, connue pour avoir incarné Laura Ingalls dans la série La petite maison dans la prairie vient de dévoiler qu’elle a, elle aussi, été victime du comportement inapproprié d’un réalisateur.

Une nouvelle voix se fait entendre. Après le limogeage d’un des producteurs les plus influents d’Hollywood suite à des accusations de viols et d’agressions sexuelles, et à la libération de la parole des femmes partout dans le monde, l’actrice Melissa Gilbert a confié avoir, elle aussi été victime du comportement pour le moins déplacé d’un réalisateur de renom, Oliver Stone.

Au micro d’Andy Cohen ce lundi, elle raconte : “Un homme en particulier, m’a humiliée à un moment pendant une audition, parce que je l’avais embarrassé en public. Il s’est vengé et j’ai quitté la pièce en pleurant. Je vous raconte cette histoire avec la peur de dire son nom parce que j’ai encore peur des représailles. Il m’a fait lire une scène pendant une audition avant de me dire :  “j’ai écrit une scène spécialement pour toi et j’aimerais que tu la fasses avec l’acteur. Je voudrais voir l’alchimie entre vous deux ” Et toute la scène c’était mon personnage à quatre pattes disant “prends moi, chéri”. C’était sale et horrible. Alors il a dit “j’aimerais que tu l’interprètes pour moi”. J’ai refusé et je suis partie en larmes.”

L’actrice en fin d’interview finit tout de même par trouver le courage de nommer celui qui l’a humiliée par pure vengeance selon elle : “C’était Oliver Stone et c’était pour le film The Doors”

Crédits photos : JUAN RICO / FAME PICTURES / BESTIMAGE

Un projet de SF secret pour J.J. Abrams !

December 31, 2019 | News | No Comments

Bad Robot, la société de production de J.J. Abrams, est derrière un projet secret de science-fiction développé avec Sony Pictures.

J.J. Abrams toujours aussi mystérieux. Alors que l’Américain a récemment dévoilé les premières images de Star Wars 7, on apprend aujourd’hui via le site Deadline que sa société de production Bad Robot travaille sur un projet secret de science-fiction développé avec Sony Pictures.

Ce long métrage, encore dépourvu de titre, aurait, selon Deadline, une tonalité proche de celle du film Cloverfield et mettrait en scène des extra-terrestres. Le projet marquera la première réalisation de Chris Alender, à qui l’on doit le court métrage Eye of the Storm.

Avec ce projet secret, J.J. Abrams souhaite lancer dans le grand bain Chris Alender, de la même manière qu’il l’avait fait pour Matt Reeves avec Cloverfield.

La bande-annonce de “Star Wars : Episode VII – Le Réveil de la Force” :

Star Wars : Episode VII – Le Réveil de la Force Bande-annonce (1) VO

 

Dans une longue interview accordée à nos confrères de Télé-Loisirs, Philippe Lellouche s’est raconté sans filtre. L’occasion pour le comédien et animateur de 51 ans de remonter son histoire personnelle et d’évoquer ses rencontres notamment celle avec une jeune fan de la série Clem qui voulait se suicider.

Dans un décor de bar accoudé au comptoir, Philippe Lellouche a joué le jeu de l’interview sans filtre de Télé-Loisirs. L’occasion, un quart d’heure durant, de voir la comédien comme à l’accoutumée, doux et franc du collier. C’est ainsi qu’interrogé sur son frère Gilles, ses amours, sa carrière, l’ex-compagnon de Vanessa Demouy a été gouverné par le seul désir de laisser ses émotions parler. Aussi à la question « As-tu eu des déclarations d’amour depuis que tu jours dans Clem ? », l’acteur – présent au casting de la série de TF1 depuis 2015 – a marqué un petit temps avant de confier avoir été en position de devoir répondre à l’appel d’une adolescente suicidaire fan du programme. Il explique : « Il y a un jour, je ne sais pas comment cette jeune fille s’était démerdée, elle avait trouvé mon numéro de téléphone et me dit (sur répondeur, ndlr) : “Il n’y a qu’à vous à qui j’ai envie de parler. Si vous ne répondez pas, je vais me tuer. “ »

Et de poursuivre l’émotion à fleur de voix : « Et là se pose une vraie problématique qui est de se dire “Qu’est-ce que je fais à ce moment-là ?“ » Et ce que je fais de la non-assistance à personne à danger sous prétexte qu’on vient me déranger dans ma vie privée ou je prends le risque de lui téléphoner, c’est ce que j’ai fait et je crois que j’ai bien fait. » Philippe Lellouche décide alors d’aller « boire un café avec elle pour lui parler », pour « lui dire que je n’étais pas ce qu’elle voyait dans la série télévisée et qu’elle avait tout le temps pour vivre sa vie, enfin j’essayais de trouver les mots ». Des paroles simples mais ô combien réconfortantes pour la jeune femme. Car il s’avère en effet qu’une deuxième rencontre a eu lieu entre elle et l’animateur de Top Gear France. Au théâtre cette fois-ci « il y a peu » alors que le comédien venait de sortir de scène, « elle est venue me voir et m’a dit merci beaucoup, je suis guérie, tout va bien ».

Crédits photos : Crédit photo : Bestimage

A la suite de menaces terroristes, Sony a décidé de ne pas sortir le long métrage L’Interview qui tue dans les salles américaines. Qu’en pensez-vous ?

A la suite des menaces terroristes proférée par le groupe de hackers “The Guardians of Peace”, le studio Sony a décidé de ne pas sortir le long métrage L’Interview qui tue, emmené par Seth Rogen et James Franco, dans les salles américaines. Qu’en pensez-vous ?

Pour vous, ne pas sortir “L’Interview qui tue” dans les salles américaines…