Month: December 2019

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Depuis le retour d’hospitalisation de Johnny Hallyday, son épouse Laeticia s’occupe absolument de tout à La Savannah. Leur résidence de Marnes-la-Coquette que la femme du rockeur a transformé en véritable forteresse afin de préserver au maximum l’intimité de son mari.

Depuis son retour en France en septembre dernier, Johnny Hallyday s’est installé avec sa famille à La Savannah, sa spacieuse résidence de Marnes-la-Coquette, dans les Hauts-de-Seine à 20 kilomètres de Paris. Une demeure de 900 mètres carrés que le rockeur de 74 ans a rejoint il y a deux semaines après cinq jours d’hospitalisation à la clinique Bizet dans le 16ème arrondissement parisien pour « détresse respiratoire ». Un retour chez lui contre l’avis des médecins mais qu’a compris son épouse Laeticia. Depuis la maman de Joy et Jade se donne corps et âme pour garder intacte la dignité de Johnny. Ce dernier qui comme le confiait récemment Jean-Claude Camus à Closer, « ne voulait jamais qu’il soit dit qu’il était malade : “ Débrouille-toi. Trouve un motif!“ », a expliqué le producteur historique du rockeur en évoquant les concerts à annuler à la dernière minute au motif que le chanteur était souffrant.

Et c’est la même disposition d’esprit qui gouverne le couple Hallyday à présent. Aussi décision a été prise par l’épouse de l’éternelle « idole des jeunes » de transformer La Savannah en forteresse et de restreindre les visites pour que l’artiste puisse pleinement se reposer. Ainsi seuls les membres du premier cercle sont admis dans sa chambre médicalisée, comme Eddy Mitchell. « Schmoll » qui cette semaine est retourné au chevet de « son frère ». Un passage à Marnes-la-Coquette qui l’a retourné. Car Johnny déjà frêle a perdu du poids, beaucoup de poids, 15 kilos. Un état de faiblesse extrême que risque d’accroître sa prochaine séance de chimiothérapie, prévue, selon Closer, ce 4 décembre. L’hebdomadaire people qui rappelle aussi que Laeticia l’a convaincu de reprendre ses séances de chimiothérapie arrêtées au sortir de la clinique Bizet. De même, c’est elle qui le motive à quitter son lit au moins une heure par jour dans le but qu’il continue une activité physique. Laeticia Hallyday s’occupe donc de tout. Résultat ? Une hyperactivité qui couplée à son anxiété de voir l’amour de sa vie disparaître, lui a fait perdre également énormément de poids.

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Crédits photos : Crédit photo : Bestimage

5 choses à savoir sur Une heure de tranquillité !

December 31, 2019 | News | No Comments

A l’occasion de la sortie de la comédie “Une heure de tranquillité” réalisée par Patrice Leconte et emmenée par Christian Clavier, pleins feux sur les anecdotes du film !

Luchini fait place à Clavier

Une heure de tranquillité est une adaptation cinématographique d’une pièce de théâtre éponyme, portée par Fabrice Luchini, mise en scène par Florian Zeller au Théâtre Antoine, et qui fut un véritable succès dans l’Hexagone. Au cinéma, Christian Clavier reprend son rôle, celui de Michel, lequel vient d’acheter un nouveau disque de jazz, qu’il souhaite écouter en toute tranquillité, ce qu’il ne peut pas faire puisqu’il est constamment dérangé.

Retrouvailles

Christian Clavier retrouve Patrice Leconte, 36 ans après leur première collaboration sur Les Bronzés (1978) et 9 ans après leur dernière collaboration sur le troisième volet de cette lucrative trilogie, Les Bronzés 3 amis pour la vie (2005).

Une adaptation remodelée

Le film et la pièce de théâtre Une heure de tranquillité ne sont pas exactement identiques. Au théâtre, l’action se situait dans un salon alors que cette fois il s’agit d’un appartement, de façon à avoir davantage de possibilités de plans. De plus, si la trame reste identique, c’est le personnage du fils de Christian Clavier, interprété par Sébastien Castro, qui a été modifié. Le protagoniste est passé d’un musicien à un militant d’extrême gauche, totalement perdu. Il n’est pas le seul, puisque l’ouvrier portugais et la femme de ménage ont eux aussi subi des changements.

Une pure invention

L’album que le personnage interprété par Christian Clavier souhaite tant pouvoir écouter est inventé. Il s’agit du titre “Me, Myself and I” de Neil Youart, qui fait évidemment écho à ce personnage égoïste, qui se moque des problèmes qui peuvent l’entourer, car il désire seulement pouvoir obtenir une heure de tranquillité.

Entre amis

L’idée d’écrire la pièce de théâtre Une heure de tranquillité est apparue à Florian Zeller lors de vacances entre amis où il écrivait la journée des petites scènes comiques qu’il lisait ensuite autour de la table, simplement pour faire rire son entourage. Après avoir mis cette pièce de côté, c’est un an plus tard qu’il décida de la ressortir pour la faire lire à Fabrice Luchini.

Voir tous les secrets de tournage de “Une heure de tranquillité”

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Terriblement affectée par la mort de son fils unique, Ludovic, en juillet dernier, la chanteuse Sheila peine à retrouver sa joie de vivre. Grâce à la musique et à une poignée d’amis sincères, elle assure aujourd’hui remonter doucement la pente.

La date restera à tout jamais gravée dans la mémoire de Sheila. Le 7 juillet 2017, la star de la chanson a perdu son fils unique, Ludovic, des suites d’une surdose médicamenteuse. Un drame terrible dont elle peine aujourd’hui encore à se remettre. Interviewée cette semaine par Télé-Loisirs, Sheila a cependant tenu à rassurer ses fans et à relativiser sa détresse. Je remonte doucement la pente, a-t-elle assuré. Une remontée aidée et facilitée par les quelques amis proches de la chanteuse. Cependant, impossible pour la mère de famille d’échapper entièrement à la dure réalité. “Je suis solide mais il m’ar­rive d’avoir des petits coups de mou, admet-elle. Comme à la Tous­saint où j’ai dû mettre des fleurs sur la tombe de Ludo.” Une confrontation brutale à la réalité, au fait que son fils s’en est allé. “Ce retour de bâton a été très difficile, témoigne-t-elle aujourd’hui. Je suis restée aphone plusieurs jours.

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A défaut d’oublier, Sheila cherche donc à se changer les idées, à occuper son esprit et son corps pour qu’il n’aient pas le temps de retomber dans les affres du deuil. Pour cela, l’interprète de L’école est finiene connaît qu’un remède efficace: la musique. Voilà pourquoi elle explique désormais chercher à “multiplier les projets“. Musique et théâtre sont au rendez-vous. Sheila avoue également penser sérieusement à écrire un livre. Une expérience qu’elle a déjà tentée par le passé et qu’elle compte réitérer pour contrer les fausses informations qui voient le jour la concernant. Trop de choses ont été dites à mon sujet, regrette-t-elle. Je m’en suis pris plein la gueule.” Heureusement pour elle, Shaila va pouvoir se ressourcer auprès des rares personnes à ne jamais l’avoir oubliée: ses fans. Les 8 et 9 décembre 2017, la chanteuse de 72 ans se produira en effet sur les planches du célèbre Casino de Paris. Une occasion rêvée pour communier avec le public et éclipser, ne serait-ce qu’un instant, la douleur qui la ronge depuis cinq mois.

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Quand Liam Neeson est énervé, d’habitude il casse des bras. Le voici armé d’une winchester, prêt à tout pour sauver son fils de la mort. Et la course à la montre commence…

Depuis la saga Taken dont le troisième volet sort le 21 janvier, on sait que lorsque Liam Neeson doit défendre un membre de sa famille, il n’y va pas avec le dos de la cuillère. Nous en avons encore une preuve avec la première vbande-annonce de Run All Night, énième thriller de l’acteur, qui cette fois-ci doit protéger son fils des attaques menées par un truand joué par Ed Harris. Sur fond de la chanson traditionnelle irlandaise “Danny Boy”, Liam joue de la winchester en mode western et fait même du bullet-time. Run All Night sortira sur nos écrans en avril prochain.

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L’acteur américain Dustin Hoffman est une nouvelle fois accusé de harcèlement et d’agressions sexuelles par trois femmes, dont deux témoignent à visage découvert dans Variety. L’une d’entre elles était mineure au moment des faits.

Dans le magazine Variety, trois femmes accusent l’acteur américain Dustin Hoffman, bien connu pour ses rôles dans Rain Manou encore Tootsie, de harcèlement et d’agressions sexuelles. Deux des trois victimes présumées ont souhaité témoigner à visage découvert. C’est le cas de Cori Thomas. La jeune femme, qui était âgée de 16 ans à l’époque des faits supposés, était une camarade de classe de la fille de Dustin Hoffman. Aujourd’hui actrice, elle affirme que l’acteur américain s’est présenté nu devant elle dans une chambre d’hôtel puis a fait des commentaires à connotation sexuelle. Elle confie avec soulagement avoir pu quitter la pièce, grâce à un appel téléphonique de sa mère.

Une autre victime, Melissa Kester, raconte avoir été agressée sexuellement par Dustin Hoffman lors d’enregistrements sonores pour le film Ishtar sorti en 1987. Selon ses dires, le comédien aurait discrètement glissé la main dans le pantalon de la jeune femme avant d’introduire ses doigts dans son sexe. Il aurait fait pareil avec une comédienne de 22 ans qui témoigne également dans Variety. Mark Neubauer, l’avocat de l’acteur, a estimé que ses allégations étaient « des mensonges diffamatoires ». Au cours des deux derniers mois, trois femmes avaient déjà accusé l’acteur Dustin Hoffman de harcèlement ou d’agression sexuels.

Crédits photos : Best Image

Pour vous aider à faire vos choix, voici le top 10 des films les mieux notés par la presse sur Allociné !

10ème : L’ Affaire SK1

Note moyenne presse* : 3.75 / 5

L’Affaire SK1
De Frédéric Tellier

Note moyenne de la presse :

3,8

Critiques Presse

Critiques spectateurs

“Une reconstitution au plus près, quasi documentaire, d’une affaire célèbre, entremêlant la traque policière et le procès de l’assassin. Passionnant.” par La rédaction (Le Dauphiné Libéré)

“Un grand film policier dans la lignée réaliste du “L.627″ de Bertrand Tavernier.” par Julien Barcilon (Télé 7 Jours)

“Par-delà l’enquête, les crimes et l’utilisation de filtres granuleux pour donner un aspect vintage à l’image, ils font la surprise et la richesse du film.” par Guillaume Tion (Libération)

Voir toutes les critiques presse de “L’ Affaire SK1”

L’Affaire SK1 Bande-annonce VF

* Selon les notes presse du baromètre AlloCiné, à la date du vendredi 23 janvier 2015, et pour des films (hors ressorties) ayant au moins 10 critiques et étant diffusés dans au moins 50 salles.

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Mardi 26 décembre, Michel Sardou était à La Seine Musicale de Paris. Pour sa dernière tournée avant d’arrêter la musique, le chanteur a repris plusieurs de ses titres phares. Il en a profité pour revenir sur la polémique autour de la chanson Être une femme, sortie en 1981.

Michel Sardou effectue ses derniers concerts avant d’arrêter la musique pour se consacrer à une autre passion, le théâtre. À 70 ans, le chanteur s’est produit à La Seine Musicale de Paris mardi 26 décembre. Comme à son habitude, il n’a pas pu s’empêcher de jouer la provocation en évoquant certaines de ses chansons qui ont fait polémique. Le titre Être une femme, sorti en 1981, en fait partie. “Les féministes n’ont rien compris, elles n’ont rien dans la tête. J’ai été flagellé, crucifié, alors qu’il n’y avait rien d’antiféministe !, déclare-t-il en ignorant les quelques sifflets dans la salle. Et aujourd’hui elles font toutes ces métiers” affirme le chanteur.

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Dans une interview accordée à l’AFP en novembre dernier, Michel Sardou est déjà revenu sur le débat qu’alimente cette chanson. “Encore aujourd’hui, je suis un dangereux machiste ! Dans Etre une femme, tout ce que je disais, elles le font aujourd’hui. Pilote d’avion, chauffeur de bus… Elles font des métiers de mecs ! Est-ce dégradant ? Pourtant, de nombreuses associations féministes m’ont bastonné“, a-t-il expliqué. Il est clair que le féminisme n’est pas la tasse de thé de l’interprète des Lacs du Connemara. En juin dernier, il a exprimé son avis jugé bien macho sur le rôle de Brigitte Macron au sein de couple présidentiel.

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Le rêve américain… et son prix. C’est le sujet du documentaire “Print the legend” autour de la révolution de l’impression 3D, à découvrir en exclusivité sur Netflix.

Découvrir “Print the legend” sur Netflix

Comment devient-on le nouveau Steve Jobs ? Ils ont été biberonnés aux publications de l’homme à la pomme, ont bricolé jour et nuit dans leur sous-sol les futures inventions de demain, puis ont pris la voie de l’ingénierie informatique, fondant petit à petit leur propre micro-entreprise.

A l’instar de Makerbot Industries, start-up à taille humaine créée en 2009 par Adam Mayer, Zach “Hoeken” Smith et Bre Pettis. Ils n’étaient que trois dans un garage : ils ont fini à plus de 250 dans des locaux new-yorkais avant de se faire racheter pour 400 millions de dollars par Stratasys, une société concurrente.

Dans Print the legend, défilent ainsi plusieurs destins d’entreprise (Formlabs, 3D Systems…) devant la caméra des apprentis réalisateurs Luis Lopez et Clay Tweel, laissant apparaître deux catégories d’hommes.

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D’un côté, les fébriles à la montée en puissance de leur entreprise familiale. Et de l’autre, ceux, comme le charismatique et presque sympathique Bre Pettis, qui n’hésitent pas à piétiner les valeurs fondamentales de l’entreprise telles que la démocratisation de leur révolution pour s’imposer face aux géants du marché. Le prix est cher à payer puisqu’il inclût le licenciement de tous ceux qui ralentissent la locomotive. Amis de longue date ou pas.

Mais comme toute invention révolutionnaire, l’impression 3D a connu des dérives, portées principalement par l’étudiant texan Colin Wilson, un anarchiste qui a fait de l’impression 3D son cheval de Troie en imprimant pour la première fois des armes à feux en plastique.

Chacun à leur manière, Cody et les autres ne cherchent qu’une seule chose : entrer dans l’histoire et réaliser leur rêve américain, en se moquant de faire bonne impression.

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A 12 ans, Emmanuel Macron a pris une décision personnelle importante, contre l’avis de son père. L’actuel chef de l’Etat avait choisi de se faire baptiser, comme il l’avait confié à nos confrères de l’Obs en 2017. Une information reprise par le magazine l’Express, qui s’est intéressé dans son nouveau numéro au président de la République et son rapport à la religion.

Dans son nouveau numéro intitulé Macron, Dieu et la politique , l’Express a choisi de s’intéresser au président de la République et son rapport à la religion. L’hebdomadaire souligne que le chef de l’Etat n’a jamais fait part en public de ses propres convictions religieuses et qu’il a toujours su habilement garder le mystère sur sa foi. « Si Emmanuel Macron invoque régulièrement une ‘quête de transcendance’ qu’il assume volontiers, il s’est toujours gardé d’évoquer son rapport à Dieu. Soucieux de préserver cette part du domaine de l’intime, et attentif à rester un président qui parle aux athées aussi bien qu’à toutes les religions » précise l’Express.

Pour approfondir le sujet, le magazine cite un entretien donné par Emmanuel Macron à l’Obs en 2017. On y apprend que le chef de l’Etat avait confié avoir choisi de se faire baptiser au début de l’adolescence, contre l’avis de son père.« Tout juste sait-on ce qu’Emmanuel Macron a consenti à raconter (mais il l’a fait à plusieurs reprises, inscrivant délibérément l’anecdote comme l’un des événements fondateurs du mythe): il a choisi le baptême à 12 ans, contre l’avis de son père extrêmement hostile à cet engagement. ‘Je suis allé tout seul à l’église’, explique-t-il à Jérôme Garcin, en février 2017, dans L’Obs. » Par la suite, le chef de l’Etat se serait quelque peu éloigné de la religion. « Ce fut le début d’une période mystique, qui a duré plusieurs années, après quoi je me suis éloigné de la religion » avait précisé Emmanuel Macron.

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Ole Gunnar Solskjaer’s team have struggled to put away the Premier League’s lesser lights and with the transfer window open changes could be afoot

Manchester United will bring a mixture of confidence and trepidation to Turf Moor after their Boxing Day victory against Newcastle United. They will be relieved to have finally put one of the league’s most mediocre teams to the sword.

Misfires against the teams lower down have proven to be the undoing of United’s faltering campaign in the Premier League so far. They are yet to consistently prove themselves in front of deep defences focused on shut outs and have been shown to lack creativity, intelligence, patience and poise.

The game against Newcastle showed the players and the fans – as did the brief flash of excitement at Carrow Road against Norwich – that hitting the opposition down the wings can be effective if the delivery and technique are up to scratch.

Andreas Pereira’s layoff in the box for Anthony Martial and Aaron Wan-Bissaka’s cross for Marcus Rashford are two examples of attacking methods of that United have struggled to master.

Liverpool, by contrast, are constantly pressing through the flanks and have in Sadio Mane, Mohamed Salah and Roberto Firmino, three technically accomplished players to work openings in tight spaces.

United’s players should be concerned that they can match the teams at the top end but struggle against the also-rans. If they can’t beat Burnley, then the problems – as Jesse Lingard has suggested – could very well be on the psychological side.

This club has acquitted itself well against the very best sides in the league and occasionally in Europe since the days of Louis van Gaal’s tenure. But they cannot to raise their game week in, week out, as the Premier League now requires.

There are plenty of squads worse than United’s in terms of ability, but they don’t lack focus in the same way as Ole Gunnar Solskjaer’s players. Burnley – on paper – are an entirely surmountable obstacle, but United’s mentality problems could see them become an impossibly obdurate opponent.

This task is made harder by the almost certain absence of Scott McTominay from the side. As an example to the rest of the squad, McTominay’s desire to make the very best of himself – despite some technical shortcomings – makes it plain to those around him that effort is as essential a quality as skill.

If it is yet again made clear that the players are their own worst enemies, then Solskjaer has little choice. The clearout that began in the summer should continue in January.

Luke Shaw has not kicked on despite an extended run in the team following injury. Nemanja Matic and Andreas Pereira do not have the required pace through midfield. Martial, Jesse Lingard and Victor Lindelof are inconsistent. That is perhaps the clearest example of what needs be stamped out if the club are to improve meaningfully.

There are players who have been linked with moves inbound. Jadon Sancho appears to have put off-field issues to one side and is playing well for Borussia Dortmund.

Erling Braut Haaland has the physique of a man even at the age of 19 and is ruthless in front of goal.

Christian Eriksen remains a decisive matchwinner.

All may ultimately go elsewhere, but the fact they are targets for the Old Trafford transfer committee shows that the penny has dropped somewhere: players need to excel before there is even a chance of succeeding at United.

Nevertheless, there are reasons for optimism. Paul Pogba is back and appears to have recommitted himself to playing as he did at the very start of the season. A determined Pogba has the potential to be the very best midfielder in the Premier League, if not Europe. His presence should make light of McTominay’s absence if the French international is able to deliver something like his best against Burnley; the concern is that there is almost no guarantee of it.

Most promising though, is Mason Greenwood, now being openly compared to Robin van Persie. The youth product demonstrated yet again on Boxing Day why calls for him to now start regularly are entirely justified.

It is not just Martial blowing hot and cold that makes him the best option, but the nerveless certainty with which he approaches the goal. The strike to beat Martin Dubravka was not guided artfully into the top corner – although there is no suggestion that is beyond Greenwood – it was simply dispatched at such a pace that it didn’t matter where it was headed, as long as it was on target. A target man and focal point is one thing, a dead-eyed assassin is altogether far more exciting.

Burnley should be an easy victory for United. It will keep them in touch of the Champions League spots if they succeed, but failure may shunt them down to mid-table. If it isn’t won, then it could not only bring down the curtain on Manchester United’s 2019 but on the careers of some of their underperforming players.