Diane Femme Flic pourrait rendre son arme, sa carte tricolore et sa place de parking. Les jours de la série avec Isabel Otero seraient comptés., selon Le Parisien.
La carrière de Diane, Femme Flic, n’aura pas passé le cap critique de son couple avec TF1. Après 7 ans d’aventures commmunes, la Une et Isabel Otero se sépareraient. C’est du moins ce que nos confrères du Parisien. Les derniers épisodes inédits seront proposés à la rentrée.
Un carnage dans les rangs de la police « traditionnelle »de la télé, puisque Navarro, Brigade Navarro ou encore Une Femme D’Honneur, Diane, Femme Flic est partie pour ses dernières missions. L’ultime devrait être diffusée à la rentrée alors que Diane, alias Isabel Otero étaient su ce terrain depuis décembre 2003, même si son compère Laurent Gamelon avait tiré sa révérence l’année dernière.
Pour mémoire, Diane, femme flic est une série made in France, créée par Marie Guilmineau qui relate les aventures de Diane Carro, commissaire de police dans une brigade à échelle humaine, mère de famille mariée à son chef. Une version policière de la femme moderne, pro dans son boulot, épouse qui fait de son mieux et -mère-de-famille. Mais avec un gyrophare.
Sur les yeux bleus d’, qui en fut la dernière visiteuse, s’était close, à Boulogne-Billancourt, l’Exposition . Elle a rouvert ses portes, dans une version aménagée, à Saint-Tropez où l’a inaugurée, entourée par le maire de la ville, trois cent Tropéziens de souche, Chico et les Gypsies et la voix de Brigitte Bardot, en direct au téléphone…
Gala: Quelle raison particulière vous fait tant aimer Brigitte Bardot ? Laure Manaudou: J’admire son parcours qui m’émeut et qui m’épate. Il me donne envie de prendre le relais et de m’engager à mon tour dans la protection animale.
?
Gala: Que connaissez-vous, en fait, de Brigitte ? L.M.: Née en 1982, je fais partie d’une génération qui n’a jamais été confrontée à la folie Bardot. La seule chose que je connaisse vraiment de Brigitte, qui fut et qui reste une immense star, c’est son combat en faveur des animaux. A mes yeux, son image est liée à toutes celles, atroces, de souffrances infligées à des êtres vivants.
Gala: Y a t il des scènes ou des titres de films auxquels vous associez néanmoins le parcours artistique de BB ? L.M.: Je n’ai pas encore vu tous les films de Brigitte. Je sais qu’elle a tourné plus de quarante, qui ont marqué, du début des années cinquante au début des années soixante-dix, plusieurs générations. J’espère qu’elle ne sera pas formalisée d’apprendre que je suis plus impressionnée par la militante des droits des animaux que par l’actrice de cinéma.
Henry-Jean Servat
La suite dans le magazine Gala demain en kiosques…
L’union de et n’est pas un long fleuve tranquille. En témoignent les révélations de la star à InStyle…
Courteney Cox et David Arquette se sont rencontrés sur le tournage de Scream en 1997. Ils seront bientôt à l’affiche du 4e volet de la saga sanglante aux côtés de
et Adam Brody. Coup de foudre servi sur un plateau, divine idylle et baisers rejoués à l’infini pour faire oublier le film d’épouvante… les deux acteurs ont aussi donné dans les scènes de ménage. Mais si leur histoire a connu des hauts et des bas, les amoureux n’ont jamais baissé les bras. C’est que confie Courteney, en couverture du magazine InStyle.
Jusque-là, l’inoubliable interprète de Monica Geller s’épanchait dans la presse sur ses envies de bébé. Maman épanouie d’une petite Coco Riley, 6 ans, elle envisageait, à 46 ans passés, une nouvelle maternité. Une grossesse néanmoins difficile à concevoir: « Nous rallumons les machines. Je me sens prête parce que mon horloge biologique me l’impose», avait-elle expliqué, il y a quelques mois, au magazine OK!
Son désir d’enfant toujours inassouvi, la brunette se répand aujourd’hui sur les crises conjugales qu’elle a traversées.
Après onze ans de mariage, madame Cox-Arquette est fière de s’être battue pour sauver son couple. Elle sait que la vie à deux est faite de déconvenues, de déceptions, de concessions… De séparation aussi, comme pour sa meilleure amie, Jennifer Aniston, qu’elle a soutenue dans l’épreuve de son divorce avec Brad Pitt.
Des heures sombres, Courteney en a vécues avec David… sans jamais imaginer se séparer de lui!
«Nous avons fait une thérapie dans le passé. On ne chôme pas lorsqu’ il s’agit de sauver notre mariage!», déclare l’actrice dans une interview au numéro d’août de la revue. ??
Confessions encore, la plus maniaque des Friends focaliserait sur les petits travers de son conjoint. «Les petites choses qui vous font craquer peuvent devenir ce que vous détestez le plus chez une personne. Si nous ne vivions pas ensemble, David ne remarquerait même pas qu’une ampoule est grillée. Il collectionne des tonnes de trucs. Pas moi. Lorsque nous nous sommes installés ensemble, je devais supporter ses tableaux de clowns et ses figurines Bobbleheads. Je n’en suis désormais plus capable», raconte la comédienne.
Leur passion ne serait-elle plus qu’un souvenir terni par la routine?
Loin de là. Les tourtereaux veillent sur leur nid, et sur leurs noces.
«Certaines choses ne changent jamais chez l’autre, quoi qu’on y fasse. On s’amuse ensemble mais aussi séparément. Nous nous accordons la plus grande liberté du monde, ce qui facilite notre relation. Vous devez faire des efforts pour rester connectés. C’est une chose sur laquelle on travaille».
«Le plus important est que je laisse David être lui-même et il me laisse être moi-même», conclut-elle.
Mais, attention! Si l’héroïne de la série Cougar Town semble toujours accro à son petit mari, 39 ans au compteur, Courteney Cox révèle aussi craquer pour les minots Zac Efron et Robert Pattinson! Des fantasmes d’adolescente, sûrement…
Notre blonde héroïne ne serait-elle pas accro qu’au shopping? , dont les frasques alimentent depuis plusieurs années la chronique scandaleuse de la jet-set, a été arrêtée vendredi soir, à Las Vegas, pour possession de drogue. Elle a dégrisé une nuit avant d’être libérée sur parole.
La ravissante lolita qui fait la pluie et le beau temps de la planète People a débronzé, samedi, dans une prison du Nevada. Paris Hilton, qui affirme pourtant être blanche comme neige, trimballait quelques grammes de coco dans son sac siglé Chanel…
Connue pour sa sex-tape et son sens inné de la fête, la it-girl avait été condamnée en 2007 à de la prison ferme pour conduite en état d’ivresse et violation d’une suspension de permis. L’été se poursuit sur les chapeaux de roue pour Paris Hilton. Et ses excès sont toujours stupéfiants!
Notre enfant gâtée, qui n’en peut plus de se faire remarquer, a été arrêtée vendredi devant le Wynn Hotel et inculpée pour détention de cocaïne. Le porte-parole de la police de Las Vegas, la ville du pêché, a précisé de l’héritière se trouvait à bord d’un véhicule intercepté en raison de l’épaisse fumée qui en sortait.
Incarcérée au centre de détention du Comté de Clark, la turbulente jeune femme, 29 ans, a été remise en liberté le lendemain après avoir affirmé que les bagages (griffés) incriminés n’étaient pas les siens, selon TMZ.com. La Blonde bling-bling devra se présenter à une audience en justice dont la date n’a pas été fixée. Elle a immédiatement engagé le ténor du barreau David Chesnoff, célèbre avocat des stars.
Le conducteur du coupé sport, son nouveau toy-boy, le directeur de night-club Cy Waits, est lui poursuivi pour conduite sous l’emprise de substances nocives.
Notre jolie poupée serait-elle lasse de sa vie de palace au point au point de se poudrer le nez au volant?
Décidée à se mettre au vert, notre vedette avait déjà été prise, lors du Mondial, un joint au coin des lèvres, dans les gradins du stade Soccer City, pendant le match Brésil-Pays-Bas. En juillet, la miss avait été interpellée par la gendarmerie des transports aériens de Figari, du cannabis plein son vanity. Relaxée en Corse, la donzelle a laissé tomber la marijuana… mais n’a pas renoncé aux paradis artificiels!
Alors que la sortie de The Dark Knight Rises” approche, gros plan sur quelques livres disponibles en librairies qui mettent à l’honneur le super-héros Batman.
A moins de dix jours de la sortie en salles de The Dark Knight Rises, pourquoi ne pas patienter en se plongeant dans quelques ouvrages mettant en vedette le célèbre super-héros ? Petit florilège des ouvrages disponibles :
L’album “Batman Knightfall” (tome 1), inédit en France, premier tome d’une série de cinq volumes, écrit par Chuck Nixon et Doug Moench. Dans ce livre, le super-héros y affronte le terrible Bane. (Urban Comics, 28 euros)
L’album “Batman Année Un”, réédition d’un classique signé Frank Miller, qui voit Bruce Wayne devenir Batman. A noter que l’album est accompagné d’un DVD/Blu-ray de l’adaptation en dessin animé. (Urban Comics, 20 euros)
Le livre “Batman, l’encyclopédie”, signé Daniel Wallace, qui s’intéresse aux métamorphoses du héros depuis les années 30. (Huginn & Muninn, 27 euros)
La série “Batman Alliance des héros”, pour les plus jeunes. (Urban Comics, 9,9 euros)
L’album “La Cour des Hiboux” (tome 1), signé Scott Snyder et Greg Capullo, série la plus récente consacrée à l’homme chauve-souris.
Actuellement en Belgique pour le tournage du Houba! Le Marsupilami et L’Orchidée de Chicxulub, dont il tient le rôle principal, a dû être hospitalisé suite à une fracture du poignet. Une fois n’est pas coutume, le comique aurait-il fait une mauvaise chute?
À l’affiche du controversé Hors-La-Loi, de
, Jamel Debbouze occupe actuellement une place de choix dans l’actualité. Et pas de chance, le comédien fait à nouveau les gros titres, mais cette fois pour une nouvelle moins réjouissante: il se serait blessé sur un tournage, selon le site Purepeople.
En Belgique pour les besoins du tournage du prochain long dont il tient le rôle principal, Houba! Le Marsupilami et L’Orchidée de Chicxulub, Jamel Debbouze s’est fracturé le poignet, et a été hospitalisé.
Un accident de travail qui vient suspendre le tournage du film, réalisé par
, puisque Jamel en interprétait le rôle principal, celui du dresseur de la bestiole bondissante à la peau tachetée léopard, créée par Franquin, auquel on doit déjà Gaston Lagaffe.
Gérard Depardieu, Lambert Wilson (à l’affiche des Hommes Et Des Dieux), Fred Testot (D’Omar et Fred), Géraldine Nakache (Tout Ce Qui Brille) mais encore Julie Delpy, vont donc avoir un bref répit forcé avant de reprendre le boulot mais cette fois en Amérique du Sud, où Alain Chabat se trouve actuellement en repérage.
Il s’agira de la première adaptation cinématographique des aventures du Marsupilami, dont la sortie est prévue le 4 avril 2012.
Depuis mercredi, différentes versions s’opposent sur une éventuelle réconciliation entre et Marco Materazzi. Difficile de savoir ce qui s’est réellement passé en marge du match de Ligue des Champions Milan AC/Real Madrid.
Décidément, ce maudit coup de têtecontinue de poursuivre Zinedine Zidane et de faire parler de lui. Même l’enfer de la dernière coupe du Monde en Afrique du Sud, les insultes d’Anelka, le scandale du bus de Knysna ou les provocations de
n’ont réussi à effacer le cauchemar qu’a vécu le capitaine des Bleus lors de la finale contre l’Italie, en 2006.
La preuve encore cette semaine, où la presse s’est faite l’écho d’une rencontre fortuite et d’une éventuelle réconciliation entre les deux hommes, en marge de la rencontre qui opposait le Milan Ac et le Real Madrid en Ligue des Champions.
C’est le quotidien espagnol Marca qui rapporte en premier la scène. Selon le journal, Marco Materazzi, qui évolue à l’Inter Milan, se serait rendu à l’hôtel milanais dans lequel l’équipe du Real logeait afin de saluer José Mourinho, l’entraîneur de l’équipe espagnole qui était son coach à l’Inter l’an dernier. Et dans le hall, Materazzi serait tombé, non pas sur un coup de tête, mais nez à nez avec Zinedine Zidane, membre de la délégation madrilène. Le premier salut aurait été particulièrement froid, mais au terme d’un bref échange, plutôt calme et serein, les deux hommes se seraient quittés sur une franche accolade. L’information a fait grand bruit puisque l’ancien capitaine des Bleus a toujours déclaré qu’il ne pardonnerait jamais à l’Italien les insultes proférées pendant la finale et qui lui avaient mis les nerfs en boule.
Mais ce vendredi, c’est le journal La Gazetta dello Sport qui donne sa version. Selon le quotidien italien, les deux homme se seraient effectivement croisés, mais dans le parking de l’hôtel et non dans le hall. Et ils ne se seraient pas parlés, juste serré la main. Zidane aurait déclaré: «Au début, quand il s’est approché, je ne l’ai pas reconnu. J’ai cru qu’il s’agissait d’un supporter. C’est seulement quand nous nous sommes serré la main que j’ai compris que c’était lui». Materazzi de son côté auraient répondu aux journalistes qui l’interrogeaient sur le sujet ce vendredi: «Une chose est certaine, il n’y a pas eu d’accolade».
aurait été atteint par un projectile dans le dos durant un repérage pour ses Immersions: un oeuf lancé par une prostituée manifestante lyonnaise.
C’est un peu comme l’omelette et les oeufs: on ne fait pas de journalisme sans risquer la coquille. L’affaire ne devrait pas nécessiter l’intervention de Reporters Sans Frontières, mais Harry Roselmack vient de faire les frais (du moins espérons qu’ils l’étaient) d’une agression aux zygotes en pleine capitale des Gaules, où il semble préparer une immersion dans le milieu de la prostitution.
Ville historiquement liée au militantisme des travailleuses du sexe, c’est à Lyon que la fameuse Ulla avait lancé, il y a une trentaine d’années, son appel à ses consœurs et mené l’occupation de l’Eglise Saint-Nizier. Et c’est vers ce lieu de culte que les belles de nuit- et de jour- se sont dirigées le 19 mars dernier.
Une manif’ pour « protester contre le projet de pénalisation du racolage passif, contre la pénalisation du client, contre une politique gouvernementale qui finalement les poussent à travailler dans des conditions toujours plus difficiles, donc plus dangereuses ». La précision vient du site Mediapart qui a publié un blog signé Florentin Cassonet.
Lequel précise qu’”il y a les journalistes aussi. RTL, France 3, et Harry Roselmack en observation. Quelques cacahouètes en guise d’insultes leur sont jetées par un groupe dans le groupe, au son de « Etat proxénète, journalistes complices! »”
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Car, selon un autre compte-rendu publié sur Indymedia, « Harry Roselmack souriait d’un air partenaire, sûrement fier d’être reconnu. Une douzaine d’oeufs ont été lancés sur des vitrines de banques et ont de même atterri sur le blouson de la star télévisée. » Puis des insultes à l’égard de TF1 ont aussi plu. Il y a des jours, comme ça, où même les professionnels de l’amour vous font la tête, même si elle est connue. C’est dur et ça vous met à plat, une telle histoire d’oeufs.
Environment ministers were briefed by Achim Steiner, executive director of the United Nations Environment Programme (UNEP), on the result of last year’s Rio+20 conference and the upcoming negotiations for a new globally binding climate deal agreed by 2015 and in place by 2020.
The ministers discussed a communication that the European Commission, published last month on possibilities for the new agreement. Poland is hosting this year’s UN climate summit in the autumn, and it is hoped that a new deal can be finalised at a summit in Paris in 2014. Two UN negotiating sessions are taking place in Bonn at the end of this month.
According to people involved in the discussions, ministers are increasingly focused on making sure a new deal is practical enough to be agreed by the EU’s global partners. Phil Hogan, Ireland’s environment minister, said after the discussion that there is a “central need to have a broad-based and implementable agreement which is applicable to all.”
Jos Delbeke, director general of the Commission’s climate department, said recently that a new deal might be left without a high level of detail in order to make sure all countries were on board. That deal could then be ‘ratcheted up’ in later years to make sure it could deliver results that would limit global temperature rise to the 2°C that scientists say is necessary to avoid extremely serious climate change. Ministers expressed strong interest in this idea.
While some member states forge ahead with exploiting reserves of shale gas, others are banning the practice
Over the past 20 years, possibilities to exploit reserves of hydrocarbon have been transformed by a combination of technological advances and altered economic circumstances.
Just as old reserves of traditional oil and gas have been exhausted, or rendered uneconomic, new reserves of hydrocarbons have been identified.
Shale gas, a type of ‘tight gas’ of poor quality trapped between layers of underground rock, was for many decades considered of little interest as a fuel. But because of the imperative (both political and economic) to find new sources of fuel and the attractive prices for doing so, a ‘shale-gas revolution’ has begun in north America. The recent and rapid exploitation of shale gas in the United States has fundamentally transformed that country’s energy market, with some analysts predicting that within ten years shale gas will make up half of all gas produced in north America. Could the same change be possible in Europe?
Conventional gas is extracted from fairly porous rock, but to extract gas from shale deposits, the rock has to be opened up, by opening fractures with a water-chemical mixture – a process known as hydraulic fracturing or ‘fracking’. The most effective way to do this is to bore ‘horizontal wells’. The wells are sunk deep underground, and then turned horizontally. The fracking mixture is forced into the shale rock through tiny holes.
How great the potential is for fracking in Europe is still uncertain. “We really don’t know very much about the exact commercial potential,” says Tristan Aspray, European exploration operations manager at ExxonMobil. “We know from the geology of these basins that they have encouraging characteristics.”
Oil companies want to begin exploration to determine the potential, while many environmental campaigners want to stop the process before it starts. They say the shale-gas boom in north America has resulted in disturbing environmental and health problems. The public concern has resulted in moratoriums on shale gas drilling in France and Bulgaria. But other countries are pressing ahead. Poland has even asked for its explorations to be exempt from European Union requirements for environmental impact assessments.
The concern about fracking is mostly about the possibility that the chemicals used might contaminate groundwater. “We still don’t know what happens to these fracking fluids when they are left underground. We have no idea what can happen in the longer term,” says Antoine Simon, a campaigner with Friends of the Earth Europe.
The contamination issue was most memorably explored in the 2010 US documentary film ‘Gasland’,
which contained pictures of a man setting his tap water on fire by lighting a match next to it. The Colorado Oil & Gas Conservation Commission later found that the contamination had nothing to do with hydraulic fracturing. Yet the image and its association with shale gas persists in the minds of the public.
Energy companies insist that the fracking process is safe and occurs too far underground to contaminate drinking water, which is located closer to the surface. They say the documentary has unfairly tarnished the practice. “We had drilled some exploration wells in 2008 and 2009 in Germany, and we encountered no opposition – in fact we encountered local support,” says Aspray. But he says everything changed in Europe after the release of the documentary. “That’s a very evocative image, which captured a lot of attention in Europe.”
Richard Davies, director of the Durham Energy Institute, believes it is unlikely that fracking would contaminate water supplies. “We find it hard to conceive that hydraulic fracking is causing contamination to water supplies,” he said.
But he also says that the prospects of shale gas transforming the energy market in Europe may be being exaggerated. “We have to have an honest discussion,” he says. “For shale gas to make any difference in Europe, you will need to drill thousands of wells, you will need to make a decent recovery of gas.
“The industry needs a social licence to operate. If this is going to make a difference we need an honest discussion about the issues, because otherwise there won’t be hundreds and thousands of wells and this will be a cottage industry.”
The EU’s response
The European Commission is treading a delicate line while the controversy simmers. It has commissioned research studies, but they have been inconclusive.
By the end of the year the Commission is expected to assemble these various reports into one “assessment framework”, which might take a firm position on whether member states should proceed with shale-gas exploration. In the longer term, the Commission might next year propose specific licensing procedures for hydraulic fracturing. For the moment, however, the Commission is adopting a wait-and-see approach.
The European Parliament has had trouble coming up with a cohesive stance on shale gas. Last year MEPs adopted two seemingly contradictory reports on the subject, one from the environment committee emphasising the dangers that fracking might pose to water supplies, and one from the industry committee emphasising the potential for shale gas to reduce Europe’s dependency on imports of energy.
The energy industry says that the continued uncertainty about the regulatory framework for shale-gas exploration in Europe is creating uncertainty for the longer term. Given the long time-scale needed for energy exploitation, this could be postponing to the distant future the successful use of this source of energy. But with the European public still deeply sceptical about fracking, the energy industry first has to win an argument about safety.