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Alain Delon: son fils sort de l’ombre

March 1, 2020 | News | No Comments

Dans la famille Delon, je demande le petit dernier, Alain-Fabien. Même regard frondeur, un brin charmeur, le jeune homme de tout juste 18 ans profite de sa majorité pour se confier au magazine VSD. Un entretien sans concession sur son père, son parcours, ses erreurs et ses projets.

La photo en Une de VSD est troublante: Alain-Fabien ressemble comme deux gouttes d’eau à son père. A 18 ans, le fils d’Alain Delon sort enfin de sa réserve. Et à la question «Comment faut-il vous appeler?», le jeune homme répond sans détour, «Alain Delon! Je préfère. Après tout c’est mon nom et mon prénom.»

Plus jeune fils du monstre sacré du cinéma, Alain-Fabien a bien conscience de son héritage familial, de ses contraintes, mais aussi de l’enfance privilégiée qu’il a eue. Sans jamais critiquer, il explique toutefois sa révolte contre les inégalités, et contre les salaires mirobolants des footballeurs par exemple. Adorable et un brin idéaliste, Alain-Fabien est un futur séducteur invétéré… A l’image de son père, son Pygmalion.

Car malgré la difficulté de vivre dans l’ombre d’Alain Delon, on sent toute l’admiration que le jeune homme voue à son père. Et vice-versa. Ce père qui l’a toujours imaginé comédien, comme le reste de sa progéniture – Anthony ou encore Anouchka – et qui lui souhaite peut-être secrètement de goûter au même succès qui l’a porté tout au long de sa carrière…

Alain-Fabien a les pieds sur terre. Il ne s’imagine pas tout de suite en haut de l’affiche, conscient des failles de la société d’aujourd’hui qui propulse sous le feu des projecteurs d’éphémères célébrités. Mais qu’importe, cette gueule d’ange au franc-parler est une pile électrique qui veut s’essayer à tout, découvrir, rencontrer…

En filigrane, on devine le chagrin aussi qu’il a pu causer à ses proches avec l’histoire du coup de feu tiré malencontreusement dans l’appartement de son père, lors d’une soirée entre amis. Une jeune fille a été touchée à l’abdomen, elle s’en est sortie mais aura des séquelles à vie. « Contrairement à ce qui a été dit, je ne suis pas le tireur, je n’ai pas essayé de fuir, je n’ai pas essayé de camoufler quoique ce soit. Au contraire. » Cette arme était un objet de collection dont la place était évidemment derrière une vitrine et non dans les mains d’un ado imprudent…

Mais Alain-Fabien n’est pas un méchant garçon fils à papa, qui s’embourgeoise gentiment dans l’ombre du mythe vivant… C’est un jeune homme aux prises avec les problématiques de son temps: savoir qui il est, et où il va.

Interview et photos exclusives, dans VSD, ce jeudi en kiosque.

Un biopic de Lindsay Lohan par James Franco?

March 1, 2020 | News | No Comments

Véritable surdoué et touche-à-tout, James Franco n’est pas seulement acteur, il réalise, peint, écrit, cumule les cursus universitaires, donne des cours et multiplie les projets. Son dernier en date risque d’ailleurs de faire parler de lui… et de Lindsay Lohan! En effet, l’acteur-réalisateur compte tourner un biopic sur sa vie et celle LiLo, entre réalité et fiction.

C’est par une annonce de casting sur Actor’s Acces que l’information est tombée. James Franco est en effet à la recherche d’acteurs et actrices ressemblant à lui et Lindsay Lohan, aux âges respectifs de 13, 21, 30, 45 et 60 ans. Le film s’intéressera à «deux célébrités hollywoodiennes» et devrait mêler réalité, fantasme et fiction. Aucune confirmation que James ou encore Lindsay joueront leurs propres rôles, mais il serait étonnant qu’ils ne le fassent pas vu la nature arty du projet.

Les deux acteurs ont déjà joué ensemble, le temps d’une apparition, dans le film The Holiday en 2006, mais lors de la cérémonie des Golden Globes qui suivit, James Franco snobait purement et simplement Lindsay Lohan. Depuis, Lindsay a affirmé qu’elle et James étaient comme des meilleurs amis. D’ici-là, les spectateurs pourront retrouver l’actrice dans le téléfilm Liz & Dick, où elle joue Elizabeth Taylor, et l’acteur dans Le Monde fantastique d’Oz de Sam Raimi.

Anne Sinclair aurait retrouvé l’amour

March 1, 2020 | News | No Comments

Il y a dix jours, VSD faisait sa une avec DSK et sa prétendue nouvelle compagne. Dans son édition de demain, Voici annonce qu’Anne Sinclair aurait retrouvé l’amour avec un éditeur prénommé Olivier.

La page semble définitivement tournée entre DSK et Anne Sinclair.

Dans une interview au Parisien datée du 31 août, Anne Sinclair avait confirmé implicitement être séparée de Dominique Strauss-Kahn. Dans son édition de demain, Voici annonce un scoop en publiant des photos de celui qui partagerait désormais la vie de la directrice éditoriale du Huffington Post : le patron des éditions Grasset, Olivier Nora. Voici qui précise qu’Anne Sinclair et Olivier Nora se seraient rapprochés « pour finaliser le livre consacré au grand-père de la journaliste Paul Rosenberg, 21 rue de la Boétie ». Ce scoop intervient donc dix jours après la publication des photos de DSK et son amie dans VSD puis dans Closer et Voici. L’ex-patron du FMI entend d’ailleurs poursuivre en référé les trois hebdomadaires qui « font commerce de la vie privée d’autrui », a déclaré Me Richard Malka, son avocat qui considère que son client subit une « véritable chasse à l’homme, c’est insupportable ». De son côté Anne Sinclair, lors de son dernier entretien au Parisien, s’était montrée rassurante quant à son état d’esprit du moment. « J’ai bonne mine, j’ai pris des vacances, je retravaille durement, je suis à fond sur les élections américaines, avait-elle précisé. J’ai toujours un lien très fort avec mes six enfants (NDLR : deux fils qu’elle a eus avec Ivan Levaï et les quatre enfants nés des précédentes unions de DSK). Et je vais très bien, merci. » Celui qui partagerait sa vie n’y serait-il pas étranger?

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Arnaud Montebourg adopte la marinière

March 1, 2020 | News | No Comments

C’est la Une du Parisien Magazine qui fait le plus de buzz sur les réseaux sociaux depuis ce matin. A paraître vendredi, on y retrouve un Arnaud Montebourg souriant défendant le «made in France», marinière sur les épaules et robot mixeur Moulinex entre les mains.

Allier humour à débat politique de fond, telle semble être la devise d’Arnaud Montebourg pour louer le «Made in France». Et c’est donc paré d’une marinière Armor Lux et d’une montre Herbelin -que des produits so Frenchy- qu’Arnaud exhibera fièrement un robot-mixeur Moulinex en Une du Parisien Magazine (vendu avec Le Parisien) de ce vendredi.

«Le Made in France, il y croit, on l’a testé». Les quelques mots accompagnant le cliché fleurant bon le nationalisme à la Française des années 50 (les couleurs du drapeau français figurent en arrière plan) annoncent sans détour l’intention du Ministre du Redressement productif de promouvoir les productions locales françaises à l’avenir. Et pourquoi pas bretonnes, à l’image de la célèbre marinière coton, donc. «Il est le premier à dire qu’il faut acheter français et que cela est possible. Il fallait bien qu’il montre l’exemple», explique François Vey, le rédacteur en chef du magazine.

D’après nos confrères du Lab Europe 1, l’idée vient en fait du Parisien Magazine: “C’est le quotidien qui l’a contacté pour faire la couverture de son spécial Made in France. Le ministre était prêt à un brin d’humour si ça peut permettre de lancer le débat. Nous n’avons pas eu droit de regard sur les photos ou la maquette.” Et le ministre aurait eu le choix entre “un costume de James Bond, le port du traditionnel béret ou la marinière”.

Cinq jours plus tôt, la compagne d’Arnaud Montebourg, Audrey Pulvar, s’était attiré les foudres de nombreux industriels sur Twitter en omettant de citer, dans son émission Le grand Huit de la nouvelle chaîne D8, les Français parmi les grands fabricants de couteaux. Coïncidence ou bourde rattrapée in extremis, l’enchaînement des événements fait sourire…

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Après des débuts compliqués, l’heure est aujourd’hui à l’apaisement pour Valérie Trierweiler, qui a bien l’intention de changer son image auprès des Français.

Cinq mois après son gros loupé, Valérie Trierweiler est plus que jamais déterminée à passer haut la main ses épreuves de rattrapage. Soucieuse de se racheter la sympathie des Français (début octobre, un sondage Harris Interactive pour VSD montrait qu’à peine 29% des Français avaient une opinion positive de la première Dame), et on l’imagine désormais fort bien conseillée par une équipe de communicants, elle vient de se confier à RTL sur sa vie de première Dame depuis six mois. Décrite comme apaisée, elle dit «se sentir bien à l’Elysée, la pression retombe», et être soulagée de ne plus être «un sujet de polémique». Elle a notamment apprécié «qu’aucune question sur la vie privée du président n’ait été posée lors de la grande conférence de presse à l’Elysée.» Elle avoue même qu’elle se verrait bien Première dame pour deux quinquennats.

La journaliste a gardé un pied chez Paris-Match et est toujours installée à son domicile privé. «Ce qui paraissait dingue il y a six mois est aujourd’hui accepté», constate-t-elle avec une joie évidente. De plus en plus sollicitée, elle a reçu 170 lettres le mois dernier et commente: «J’essaye d’y répondre quand je peux moi-même. Il y a beaucoup de requêtes qui concernent des femmes seules avec enfants et ensuite des femmes qui sont contentes de voir à ce rôle (de première Dame) une femme qu’ils considèrent comme une femme indépendante.»

En réalité, cette intervention sur les ondes radio de Valérie Trierweiler constitue la troisième étape de son opération réhabilitation. Fin septembre, elle faisait son grand retour sur la scène médiatique en devenant ambassadrice de la Fondation Danielle Mitterrand, un rôle taillé sur-mesure pour une première Dame. Puis, début octobre, Valérie Trierweiler profitait d’une interview «purge» au quotidien le plus lu de France, Ouest-France, pour faire un mea culpa jugé gagnant en politique. Et elle entend bien poursuivre ses offensives de charme: «ce ne sont pas les causes à défendre qui manquent: la luttte contre le Sida la semaine prochaine, un dîner de bienfaisance au profit d’Action contre la faim le 5 décembre, sans oublier les enfants d’Afrique et la fondation Mitterrand. D’ici Noël, la première Dame aura même sa propre page internet avec ses vidéos sur le site de l’Elysée», annonce le journaliste de RTL.

L’Angevine n’a néanmoins rien perdu de son caractère ni de son humour caustique: «Désormais, quand on l’attaque, elle se retient, mais elle avoue dans un sourire qu’il y a parfois des tweets qui se perdent.»

Nolwenn Leroy et Gaspard Ulliel prêteront leurs voix aux personnages de la Fée et de Jack Frost dans le film d’animation “Les Cinq légendes”, en salles le 28 novembre.

Gaspard Ulliel / © StudioCanal

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Nolwenn Leroy et Gaspard Ulliel prêteront leurs voix aux personnages de la Fée et de Jack Frost dans le film d’animation Les Cinq légendes, en salles le 28 novembre. Il s’agit de leur toute première expérience dans le domaine du doublage d’animation. Les Cinq légendes raconte l’aventure fantastique d’un groupe de héros, tous doués de pouvoirs extraordinaires. Lorsque Pitch, un esprit maléfique, décide de régner sur le monde, ces cinq légendes vont devoir, pour la première fois, unir leurs forces pour protéger les espoirs, les rêves et l’imagination de tous les enfants.

Clément Cuyer


Les Cinq légendes

Les Adieux à la reine récompensés

March 1, 2020 | News | No Comments

Spécialiste des films en costumes, Benoît Jacquot a reçu le prix Louis-Delluc au Fouquet’s, à Paris, pour son film Les Adieux à la reine, un huis-clos passionnant sur la fin d’un monde.

Les Adieux à la reine rafle un des prix les plus prestigieux du cinéma, le Louis-Delluc – l’équivalent du Goncourt. Grâce à cette distinction, le film de Benoît Jacquot entre dans la course au César du meilleur film. Face à lui, le long-métrage avait de sérieux concurrents. Mais ni De rouille et d’os, ni Holy Motors ni même la palme d’or du dernier festival de Cannes Amour n’ont pu résister au succès de ce film en costumes.

L’histoire prend place en 1789 au château de Versailles. La caméra intimiste de Benoît Jacquot nous plonge dans les derniers jours de la cour, à travers le regard d’une jeune liseuse fascinée par la reine Marie-Antoinette, incarnée par Léa Seydoux. Diane Kruger, dans le rôle de la reine, et Virginie Ledoyen, dans celui de sa favorite, la comtesse de Polignac, rien que ça! Servi par un casting de rêve, le film a bluffé le public. Les membres du jury aussi.

En l’absence de Benoît Jacquot, en tournage en Autriche, le prix a été remis au producteur du film, Jean-Pierre Guérin. L’occasion pour lui de rappeler que seul Benoît Jacquot était en mesure de faire un tel film : «Depuis le début, je pensais que c’était un film pour Benoît parce que c’est un film de femmes et je ne connais pas meilleur que lui pour filmer les femmes».

L’année dernière, le prix Louis-Delluc avait été décerné à Aki Kaurismäki pour Le Havre, une fresque sociale sur l’immigration des enfants.

Les Misérables, ça passe ou ça casse

March 1, 2020 | News | No Comments

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Longtemps annoncé comme le nouveau chef d’œuvre de l’année, Les Misérables de Tom Hooper semble décevoir les critiques. En y regardant de plus prés, il existe bien quelques bonnes raisons d’aller redécouvrir l’œuvre de Victor Hugo version américaine.

Allons droit au but. Il existe bien sûr dans Les Misérables de gros fils dramatiques un peu indigestes. Dans l’œuvre de Victor Hugo ils font la couleur du livre, mais dans l’adaptation cinématographique de Tom Hooper en 2013 on s’en offusque. Le réalisateur se penche, il est vrai, beaucoup plus sur le drame que vivent les personnages que sur le combat social. Mais finalement, la vision d’un Américain sur l’histoire politique de France n’aurait-elle pas soulevé bien plus de débat? On se fait donc plaisir devant ces Misérables à découvrir ou seulement redécouvrir les histoires d’amour, de famille et de castes de cette époque, un point de vue déjà largement suffisant pour un blockbuster.

Côté casting, impossible de ne pas au moins saluer la prestation d’Anne Hathaway. La comédienne dans les guenilles de Fantine est tout simplement bouleversante. Pour ce rôle, la brunette s’est mise à la diète, a rasé ses cheveux et s’est volontairement fait malmener sur le tournage. Une négation d’elle-même qui paye à l’écran et sûrement bientôt aux Oscars. Les Misérables ne seraient rien sans Jean Valjean, son personnage aux multiples visages, véritable héros sur l’autel des injustices. Hugh Jackman qui sait danser, chanter et jouer la comédie rêvait depuis longtemps d’un rôle dans une comédie musicale. Il l’a décroché au cinéma.

Comme sa comparse à l’écran, l’Australien a notamment expliqué à Femme actuelle qu’il a dû se priver de nourriture. Prenant ce rôle très au sérieux, Hugh Jackman a expliqué au magazine s’être installé quelques mois en France pour s’imprégner du personnage de Jean Valjean et de l’œuvre de Victor Hugo. «Merveilleux parce que les paysages dans le Sud de la France sont extraordinaires. Difficile parce que je ne devais pas succomber à la gastronomie locale! Le rôle de Jean Valjean exigeait en effet que je perde du poids. Un vrai dilemme» raconte-il. Belle prestation également de Sacha Baron Cohen et Helena Bonham Carter en Thénardier plus miséreux et insupportables que dans n’importe quel autre adaptation.

A ceux finalement qui s’inquiéteraient de cette version des Misérables à 90% chantée, nous répondrons qu’en général la musique adoucit les mœurs. Dans la version originale, les accents américains sur «Valjean» ou «Cosette» prêtent forcément à rire à la première écoute mais on se laisse vite emporter par cette symphonie pas très normale mais si enivrante. Tous les comédiens ont enregistré leurs voix en même temps pendant leurs scènes communes. Une petite prouesse à l’époque où même Beyoncé préfère chanter en playback.

Les Misérables de Tom Hooper sont tout à la fois le pire et le meilleur des films américains. A vous de voir si vous renoncez d’office à l’indigestion où si vous vous laissez tenter pour en prendre une petite part…

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Pour sa 66e édition, le festival de Cannes a mis Paul Newman et Joanne Woodward à l’honneur en les choisissant pour figurer sur l’affiche officielle de l’événement. Un couple mythique à Hollywood qui a beaucoup partagé, à la ville comme à l’écran. Retour en images sur la vie heureuse de deux légendes du cinéma.

Le tourbillon de la vie. C’est ce que semble jouer ce couple d’amoureux fusionnels, lovés en chien de fusil, tête-bêche, dans leur contact presque enfantin sur l’affiche de Cannes 2013. Une photo inédite, prise en 1963 sur le tournage de New Kind of Love (La fille à la casquette), de Melville Shavelson.

A cette époque, Joanne Woodward (quatre-vingt-trois ans aujourd’hui) et Paul Newman (disparu en 2008) n’en sont pas à leur coup d’essai face à la caméra. En 1958, Martin Ritt, le premier, les a réuni dans Les feux de l’été, un drame écrit par William Faulkner, rien que ça. Dans la foulée, le film avait les honneurs d’une sélection à Cannes, d’où Paul Newman repartira avec le prix d’interprétation.

1958, c’est aussi l’année de leur mariage à Las Vegas, ce qui loin d’être une blague leur porterait chance. Désormais ils partageront tout, cinquante ans durant. Ils avaient sympathisé en 1953 à Broadway, durant les représentations de Picnic. «Joanne était moderne et indépendante. J’étais timide et assez réservé. Il m’a fallu du temps pour la persuader que je n’étais pas aussi ombrageux que j’en avais l’air», dira-t-il. «Depuis le début, Paul et moi avions un avantage, a confié Joanne : nous étions bons amis avant de devenir amants. On s’appréciait, on pouvait se confier l’un à l’autre, sans crainte du ridicule, ou du rejet. Il y avait de la confiance entre nous.»

Cette confiance trouvera aussi son expression à l’écran. Comme metteur en scène, Paul Newman a dirigé trois fois la femme de sa vie et notamment en 1972 dans De l’influence des rayons Gamma sur le comportement des Marguerites. L’occasion pour eux de retrouver Cannes. Cette fois, c’est elle qui repartira avec le prix d’interprétation. Quand on vous disait qu’ils partageaient tout.

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Italian In the loop July 15: TTIP, lobby e trasparenza

POLITICO’s In the loop podcast gives you a roundup of the week that has been and those events that will spark the debate in the weeks to come.

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Questa settimana sul divano POLITICO per la versione italiana del podcast In the Loop ci sarà Jacopo Barigazzi, il giornalista che ha seguito il voto in parlamento sul Ttip e ha avuto modo di riflettere sul futuro di quello che potrebbe diventare l’accordo commerciale più importante della storia. Il giornalista australiano James Panichi cercherà di stargli dietro, parlando di lobby e trasparenza, oltre che del suo podcast italiano preferito. Parola d’ordine: escamotage.

Authors:
James Panichi