Month: March 2020

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Une victoire qui relève du “miracle”. La coalition conservatrice du Premier ministre australien, Scott Morrison, a créé la surprise samedi 18 mai, en remportant les élections législatives, malgré les sondages qui donnaient le camp travailliste vainqueur, après six années de gouvernement de centre-droit. “J’ai toujours cru aux miracles. Comme l’Australie est formidable !”, a lancé samedi Scott Morrison, âgé de 51 ans, à ses partisans réunis à Sydney (Australie), tout en saluant les Australiens de la majorité silencieuse.Reste encore à savoir si la coalition, formée par le Parti libéral et le Parti national, aura la majorité absolue, ou si elle devra aller courtiser des élus indépendants. Les dernières projections de la Commission électorale australienne, dimanche, indiquaient qu’il manquait six sièges à la coalition pour atteindre la barre des 76, nécessaires pour avoir la majorité absolue à la Chambre des représentants. La tâche de Scott Morrison, connu pour ses positions climatosceptiques, pourrait s’avérer compliquée s’il doit chercher le soutien des indépendants, soucieux d’écologie. Il marchera aussi sur des oeufs dans son propre camp, puisqu’il ne pourra se permettre aucune défection dans la coalition.Le leader du parti travailliste démissionneLe président américain, Donald Trump, a salué la victoire du Premier ministre conservateur dans un tweet, les deux hommes s’engageant ensuite par téléphone à poursuivre une “coopération étroite sur nos priorités communes”, selon la Maison blanche.Le réchauffement climatique a été au cœur de la campagne pour ces élections. Donné perdant du scrutin par les instituts de sondage, Scott Morrison a passé la campagne, non pas à expliquer son projet, mais à dénoncer celui de son concurrent travailliste Bill Shorten, en présentant ses propositions fiscales et environnementales comme risquées pour l’économie nationale. Au sein de l’opposition travailliste, Bill Shorten a reconnu sa défaite et démissionné de son poste de leader du parti. Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

“C’est un village dogon qui a été quasiment rasé.” Au moins 95 habitants du village dogon de Sobane-Kou, dans le centre du Mali, ont été tués, dans la nuit du dimanche 9 au lundi 10 juin, par des hommes armés, selon un élu local et une source sécuritaire.Les auteurs du massacre ne sont pas identifiés. Cette région du Mali est, depuis 2015, le théâtre d’affrontements entre les Peuls, traditionnellement éleveurs, et les ethnies bambara et dogon, qui pratiquent essentiellement l’agriculture et ont créé leurs “groupes d’autodéfense”. L’apparition du groupe jihadiste du prédicateur Amadou Koufa, qui recrute prioritairement parmi les Peuls, joue aussi un rôle.“Selon les civils, ce sont des hommes armés qui sont venus tirer, piller et brûler. C’est un village de 300 habitants. C’est vraiment la désolation”, a ajouté, sous le couvert de l’anonymat, un élu de la commune de Koundou, où se situe ce village. “Nous avons pour le moment 95 civils tués, les corps sont calcinés, nous continuons de chercher des corps”, a déclaré l’élu. Une information confirmée par une source sécuritaire malienne.Un massacre d’un village peul en marsLe nord du Mali est tombé, en mars-avril 2012, sous la coupe de groupes jihadistes, en grande partie dispersés par une intervention militaire lancée en janvier 2013 à l’initiative de la France, qui se poursuit. Mais des zones entières échappent au contrôle des forces maliennes, françaises et de l’ONU, malgré la signature en 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards.Depuis 2015, ces violences se sont propagées du nord au centre du pays, voire parfois au sud. Elles se concentrent surtout dans le centre, se mêlant très souvent à des conflits intercommunautaires, un phénomène que connaissent également le Burkina Faso et le Niger voisins. Elles ont culminé le 23 mars avec le massacre à Ogossagou, près de la frontière burkinabè, de quelque 160 villageois peuls par des membres présumés de groupes de chasseurs dogons.Click Here: Putters

Ils étaient environ 430 000 personnes à participer à la marche. Une nouvelle manifestation monstre des opposants au gouvernement a eu lieu, dimanche 21 juillet, à Hong Kong. La marche était pacifique jusqu’à ce qu’elle dégénère en fin de journée. La police a en effet tiré des balles en caoutchouc et fait usage de gaz lacrymogène dans la soirée, pour disperser des groupes de protestataires.Hong Kong est le théâtre depuis le 9 juin de gigantesques manifestations contre le gouvernement local pro-Pékin, marquées de façon sporadique par des affrontements violents avec la police. Le mouvement est parti du rejet d’un projet de loi sur les extraditions vers la Chine continentale. Le texte est désormais suspendu, mais la contestation s’est élargie à des exigences plus vastes sur la préservation des acquis démocratiques et des libertés dont cette ancienne colonie britannique revenue dans le giron chinois en 1997 jouit.Des consignes pour manifester “sans violence”Dimanche, pour le septième week-end d’affilée, les manifestants anti-gouvernement ont défilé dans les rues de façon pacifique. Les protestataires exigent la démission de la cheffe de l’exécutif local, Carrie Lam, que Pékin soutient de tout son poids. Mais aussi le retrait pur et simple du texte sur les extraditions, une enquête indépendante sur les violences policières supposées et l’amnistie des personnes arrêtées. Ils appellent aussi à l’élection au suffrage universel du chef de gouvernement. Ils ont communiqué entre eux des consignes pour manifester “sans violence”, selon notre journaliste envoyée spéciale, Elise Lambert.Voici un résumé des demandes des manifestants aujourd’hui et de la façon de manifester « pas de violence, rester unis, pas de division » #HongKong pic.twitter.com/3O9JpZUgZ4 — Elise Lambert (@lambert_elise) July 21, 2019

Des consignes appliquées puisque le plus gros de la manifestation s’est terminée sans heurts.

Le parcours autorisé était plus court que d’habitude. La police avait refusé le parcours initial demandé par les organisateurs afin d’éviter que le cortège ne passe devant des bâtiments officiels.Des œufs lancés sur un bâtiment chinoisToutefois, certains protestataires ont passé outre les consignes en allant jusqu’au bureau de liaison chinois, représentant le gouvernement de Pékin. Des milliers de manifestants portant des masques ont investi la rue devant cet imposant immeuble, érigé des barricades, et pris pour cible le bâtiment : ils ont jeté des œufs et d’autres projectiles et inscrit des graffitis sur sa façade.“Nous sommes ici pour dire que Pékin viole nos valeurs fondamentales et nos procédures judiciaires”, a déclaré à l’AFP un manifestant de 19 ans. Un homme portant un masque noir et un casque de vélo a ensuite lu une liste de revendications dans un mégaphone. “Il n’y a pas de protestataires violents ni d’émeutiers, il n’y a que la tyrannie. Nous protègerons notre patrie par tous les moyens”, a-t-il dit.Le chef du bureau de liaison du gouvernement chinois à Hong Kong a dénoncé lundi cette attaque des lieux. “Ces [agissements] ont sérieusement porté atteinte à l’esprit de l’Etat de droit auquel Hong Kong est fortement attaché (…) et sérieusement blessé l’ensemble du peuple chinois, y compris les sept millions de compatriotes hongkongais”, a-t-il déclaré à la presse.Une mystérieuse attaque “mafieuse”Par ailleurs, dans une gare du nord-ouest de la ville, dans le district de Yuen Long proche de la frontière chinoise, un groupe d’individus vêtus de blanc, pour certains équipés de bâtons, ont fait irruption dans un train où ils ont attaqué des passagers. C’est ce que montrent des images filmées par des passagers et par un élu du Parti démocratique. Ils ont également passé à tabac une journaliste qui diffusait un live des événements. L’opposition hongkongaise a annoncé, lundi, l’ouverture d’une enquête à la suite de cette attaque qu’elle attribue à une bande “mafieuse”.Click Here: Golf special

The issues for the EU

March 24, 2020 | News | No Comments

The issues for the EU

Energy security and oil prices

Updated

Oil prices have soared in recent days because of fears over the impact of the unrest on Libya’s oil and gas supplies. Several European energy companies, including Italy’s Eni, Spain’s Repsol YPF and Germany’s Wintershall, have closed or scaled back their operations in Libya and repatriated many of their staff, fearing for their safety.

EU energy ministers, who are meeting in Brussels on Monday (28 February), will probably raise the subject of oil prices and the situation in north Africa over lunch. Libya is an important supplier of oil and gas to the EU. It was the fourth biggest supplier of oil to the EU in 2008, behind Russia, Norway and Saudi Arabia, and the fifth biggest supplier of gas oil, after Russia, Norway, Algeria and Nigeria.

Italy is heavily reliant on supplies for gas and, to a lesser extent, oil. Italy, which imports 90% of its gas needs compared to the EU average of 62%, obtains 13% of its total gas imports from Libya. Algeria is the largest supplier of gas to Italy, accounting for 35% of Italy’s total imports, followed by Russia (32%). Italian energy companies have stressed the drop in supply from Libya can be made up by supplies from elsewhere. They have said there are no plans to tap the country’s gas reserves.

European energy companies have made very large investments in Libya since international sanctions were lifted in 2004. BP, Royal Dutch Shell and Total have invested heavily in exploration and extraction. The country is now the world’s 12th largest exporter of oil, accounting for 5% of OPEC’s output, and 2% globally.

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EU direct investment in Egypt was €27.2 billion in 2009, and in Morocco was €13.6bn. The figures indicate the EU’s close trade and commercial relations with north African countries. It is the biggest trading partner of Tunisia, Morocco, Algeria and Egypt, and has agreements that include trade liberalisation and political co-operation with all of them.

Foodstuffs and live animals accounted for 26.5% of Morocco’s exports to the EU in 2009, worth €1.7bn, while the largest export category was manufactured goods, mainly textiles, accounting for 35.3%. The EU’s imports from Algeria consist almost entirely of energy products.

Most of the countries of north Africa are reliant on food imports, especially of wheat and rice. Egypt is the world’s largest importer of wheat. According to the Food and Agriculture Organisation (FAO), the increase in wheat prices at the start of the year will add substantially to the cost of Egypt’s programmes for wheat import and bread subsidy. Wheat prices in Egypt rose by 32% in the year to December 2010, but government subsidy programmes partially protected consumers. Rising food prices were one of the drivers of the initial protests against the Mubarak regime. Food prices increased by 17.2% in December 2010, according to the FAO.

Libya has observer status in the Euromed partnership. It is not part of the European Neighbourhood Policy although it is entitled to take part because of its geographical position. Negotiations on a framework agreement between the EU and Libya started in November 2008, but have been suspended.

Failed development policies?

The Arab revolts have raised some serious questions about the value of the EU’s development policies.

Andris Piebalgs, the European commissioner for development, admitted on Tuesday (22 February) that the “classic approach” had failed to deliver results in the Middle East. Despite top rankings for Tunisia and Egypt in meeting the Millennium Development Goals, the countries had experience revolts triggered by “lack of political reform and huge youth unemployment” – neither of which is measured under the MDG process.

Classic development achievements such as school enrolment have even contributed to disaffection as graduates failed to find jobs. Egypt doubled its tertiary enrolment rate to 28% over the last 20 years and Tunisia raised it from 8% to 34%. Development aid under the European Neighbourhood Policy (See Analysis – Page 7) provides around €80m a year in 2011-13 for Tunisia, and €150m for Egypt. Libya has never fully participated in the ENP and the €20m a year that was earmarked for the country in 2011-13 is blocked.

The EU held talks yesterday (23 February) with the US, Japan and international financial institutions on co-ordination of financial assistance to democratising countries in north Africa. The European Investment Bank is to raise its lending to the region for 2011-13 by €1 billion, to €3.8bn.

Evacuation of EU citizens

The Commission believes that there are around 10,000 EU citizens in Libya. EU member states have dispatched warships to protect citizens who are being evacuated and to guard against illegal migrants, with Italy taking the lead.

Since the EU has no delegation in Tripoli, member states are responsible for evacuations on the ground. Member states’ diplomats at Tripoli airport are monitoring the chaotic situation there as foreigners try to escape the violence.

The EU’s political and security ambassadors met yesterday afternoon (23 February) to discuss co-ordination. Several energy firms have organised the evacuation of their staff. Around 3,000 Turkish citizens yesterday left Benghazi aboard two ferries. The Turkish government believes that around 25,000 nationals, most of them construction workers, are in Libya. Ukraine is reported to have around 3,000 citizens in the country.

Supporting democracy

The EU has had close relations with most of the autocratic regimes in north Africa and the Middle East. It is now seeking to support democratic processes in Tunisia and Egypt, but without encouraging violent regime change elsewhere. Funding for programmes in Egypt in governance, democracy, human rights and justice currently totals €39m, and a further €20m is planned for “current needs”. In Tunisia, the Commission envisages a new €20m programme to support the justice system over the next three years. This year, around €2.5m should be available in grants for local civic groups, and a further €17m in aid has just been announced. Across north Africa and the Middle East in 2007-10, the EU provided €141m for programmes on human rights, good governance, justice reform and democracy under the European Neighbourhood Policy.

Middle East peace process

The overthrow of Hosni Mubarak in Egypt has removed a crucial player in the moribund Middle East peace process, heightening EU and US fears of a less friendly attitude in Egypt towards Israel, and complicating attempts to restart the talks. Following the Arab uprisings, restarting the process is “even more crucial”, János Martonyi, Hungary’s foreign minister, said on Tuesday (22 February), after a meeting of member states’ foreign ministers. But critics, such as Marwan Muasher, a former foreign minister of Jordan, believe that the current bilateral approach to seeking a settlement is doomed to failure in view of the resistance of Pale-stinians and Israelis to compromise. A regional approach, by contrast, could provide Arab cover for painful compromise by the Palestinians, while Israel could obtain security guarantees from a wider circle than just the Palestinians.

Commission wants more judicial progress in Bulgaria, Romania

Interim reports on two countries’ judicial reform and fight against corruption paint mixed picture.

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Updated

The European Commission has called on Bulgaria and Romania to strengthen their judicial systems and to step up their fight against corruption. In interim reports on Bulgaria and Romania published today (18 February), the Commission highlighted shortcomings but also acknowledged progress in both countries.

Since they joined the EU in 2007, both countries have been subject to regular reporting under the Verification and Co-operation Mechanism.

Bulgaria is committed to implementing its judicial reform strategy, the report has found, and has created a specialised court and prosecution office for organised-crime cases. Convictions in high-level corruption cases have increased, but there have also been prominent acquittals, the report notes.

However, Bulgaria should improve the structure and management of the judiciary, the police and investigative bodies, according to the report.

Romania has provided a “constructive response” to the last report’s recommendations, the Commission said. The country has taken steps to speed up judicial proceedings and to improve the recruitment and training of magistrates. It has continued preparations for implementing new civil and criminal codes.

Romania’s National Anti-Corruption Directorate has continued investigating high-level corruption, the report has found, but also noted that the National Integrity Agency has suffered from budget cuts.

Romania should now focus on implementing the new legislative framework in civil and criminal law and undertake an independent review of the judicial system, the Commission has said. It also called on the country to speed up high-level corruption trials and strengthen its anti-corruption measures.

The next reports are to be presented in the summer.

 

Authors:
Toby Vogel 

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The man known as The King in Brazil has a remarkable scoring record and a haul of honours to his name

Brazil legend Pele is widely agreed to be one of the best footballers of all time, having excelled on the national and world stage for over a decade.

A prolific goalscorer for Santos and his national team, he remains part of a conversation which has expanded to include exceptional talents such as Diego Maradona, Lionel Messi and Cristiano Ronaldo.

Goal takes a look at Pele’s achievements, including his goals, trophies and more.

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How many goals did Pele score in his career?

The exact number of goals Pele scored in his career is a matter of dispute and figures vary, but he is reported to have found the net over 1,000 times.

According to FIFA’s official website, Pele scored 1,281 goals in 1,363 games, but it must be noted that this figure includes date from a significant number of unofficial matches, such as friendly tours with Santos and the New York Cosmos. Guinness World Records, meanwhile, state that Pele scored 1,289 times in 1,363 matches.

The bulk of Pele’s goals were scored for Santos, where he spent the majority of his career. He scored 643 goals for Santos in 656 competitive appearances. He netted 64 strikes in 107 games for the New York Cosmos.

The Rec Sport Soccer Statistics Foundation (RSSSF) reported that Pele’s official goal tally – based on competitive matches only – was 767 goals in 831 games, though their overall (including unofficial games) tally varies from the others too, putting the Brazilian at 1,284 strikes in 1,375 fixtures.

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How many goals did Pele score for Brazil?

Pele scored 77 goals for Brazil in 92 appearances. He is the top goalscorer of all time for Brazil.

He scored his first goal for his country in 1957 in a 2-1 defeat against Argentina in Rio de Janeiro and continued to find the net regularly through the late 1950s, 1960s and into the 1970s.

Of Pele’s 77 goals, 12 were scored in World Cups, with his biggest tally for a single tournament being six in the successful 1958 campaign.

His last goal for Brazil came in a 1971 friendly match against Austria in Sao Paulo, which ended 1-1.

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How many World Cups did Pele win?

Pele played at four World Cups and was part of three winning Brazil teams in 1958, 1962 and 1970. 

The striker exploded onto the scene at the 1958 World Cup in Sweden, playing a pivotal role as the Selecao clinched their first ever world title.

Brazil won the World Cup again in 1962 in Chile, but Pele’s influence at that tournament was unfortunately limited due to an injury sustained early in the campaign.

They could not defend their title at the 1966 World Cup as hosts England sealed glory, but reclaimed the crown in 1970, with Pele – an elder statesman among a cast of exciting stars – winning the Golden Ball.

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What trophies did Pele win?

table.tableizer-table { font-size: 14px; border: 1px solid #CCC; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; } .tableizer-table td { padding: 4px; margin: 3px; border: 1px solid #CCC; } .tableizer-table th { background-color: #00A9CE; color: #FFF; font-weight: bold; }

Competition No. of titles Years won
World Cup 3 1958, 1962, 1970
Competition No. of titles Years won
Campeonato Brasileiro Serie A 6 1961, 1962, 1963, 1964, 1965, 1968
Campeonato Paulista 10 1958, 1960, 1961, 1962, 1964, 1965, 1967, 1968, 1969, 1973
Copa Libertadores 2 1962, 1963
Intercontinental Cup 2 1962, 1963
Intercontinental Supercup 1 1968
Competition No. of titles Years won
North American Soccer League Atlantic Conference 1 1977
North American Soccer League Soccer Bowl 1 1977

As well as three World Cups with Brazil, Pele was highly successful with Santos during his career.

Playing in what is sometimes referred to as a Golden Generation at the club, Pele won six Campeonato Brasileiro Serie A titles and two Copas Libertadores.

Domestic glory also came in the Campeonato Paulista – Sao Paulo’s state championship – with Pele collecting 10 winners medals in that competition, as well as four Torneio Rio-Sao Paulo triumphs.

Having already won the World Cup with Brazil, he became a world champion at club level as Santos defeated Benfica to win the Intercontinental Cup in 1962, repeating the feat the following year against AC Milan.

In addition to two Intercontinental Cups, Pele’s Santos won the shortlived Intercontinental Supercup in 1968.

In the closing stages of his career, Pele won the North American Soccer League Atlantic Conference and the North American Soccer League Soccer Bowl – both in 1977.

Interestingly, Pele never won a Copa America (or, as it was known then, the South American Championship), with Argentina and Uruguay dominating the tournament during his playing days.

The legendary forward also never played in the Olympics

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“C’est magique.” Le prince Harry et son épouse Meghan Markle ont présenté leur bébé, mercredi 8 mai. Harry, en costume gris, et Meghan, en robe blanche, ont montré leur nourrisson emmitouflé dans un lange blanc et coiffé d’un petit bonnet. Ils ont échangé quelques mots avec les journalistes qui filmaient la scène dans une allée du château de Windsor, près de Londres. “C’est incroyable. Je suis entourée des deux meilleurs hommes de la Terre, je suis vraiment heureuse”, a commenté la duchesse de Sussex. Elle a ajouté que l’enfant était très calme et dormait bien.

Le prince Harry et son épouse Meghan présentent leur “Royal baby” à Windsor, près de Londres, le 8 mai 2019. (DOMINIC LIPINSKI / POOL / AFP)

Un prénom encore inconnuMercredi, le prénom du nourrisson, né lundi 6 mai, est encore inconnu du grand public. Les Britanniques ont l’habitude : ils avaient dû patienter une semaine avant de connaître celui de William et un mois, en 1948, pour celui de Charles. Alors en attendant de découvrir le choix des nouveaux parents, ils jouent aux devinettes. Alexander, James et Arthur figurent parmi les prénoms favoris des parieurs.Click Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Les deux Français enlevés le 1er mai au Bénin ont pris “des risques majeurs” en se rendant dans le nord du pays, selon Jean-Yves Le Drian. “Les conseils aux voyageurs [du Quai d’Orsay] doivent être respectées intégralement, a affirmé le ministre des Affaires étrangères à leur arrivée à l’aéroport de Vélizy-Villacoublay (Yvelines), samedi 11 mai, en s’adressant aux touristes et aux agences de voyage. Ce ne sont pas des vœux pieux, ce sont des incitations impératives.” “Certainement aurions-nous dû prendre davantage en considération les recommandations de l’Etat et la complexité de l’Afrique”, ont estimé pour leur part les ex-otages Laurent Lassimouillas et Patrick Picque.Quelles étaient ces recommandations ? Plus tôt dans la journée, Jean-Yves Le Drian avait affirmé que “la zone où étaient nos deux compatriotes était considérée depuis déjà pas mal de temps comme une zone rouge, c’est-à-dire une zone où il ne faut pas aller”.La zone frontalière “formellement déconseillée” juste avant l’enlèvementLe 27 avril, soit cinq jours avant le kidnapping, une bande frontalière avec le Burkina Faso apparaissait bien en rouge sur la page “Conseils aux voyageurs” consacrée au Bénin sur le site du ministère (la page est archivée ici)“Compte tenu de la présence de groupes armés terroristes et du risque d’enlèvement, les déplacements à la frontière nord du Bénin sont formellement déconseillés”, était-il précisé. 

Carte de vigilance du Bénin sur le site du ministère français des Affaires étrangères, fin avril 2019. (MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES / FRANCEINFO)

Mais Patrick Picque et Laurent Lassimouillas se trouvaient-ils bien sur cette bande ? Le jour même, les deux touristes étaient partis du Pendjari Lodge, situé à la limite de la zone rouge. Ils devaient visiter le nord-est du parc national de la Pendjari. La plus grande partie du parc, sanctuaire de la faune sauvage d’Afrique de l’Ouest, n’était qu’en orange (“zone déconseillée sauf raison impérative”) ou en jaune (“zone de vigilance renforcée”). Cet espace n’était pas explicitement mentionné sur le site du ministère, contrairement à un autre parc béninois, le parc national du W, où il était “formellement déconseillé de se rendre et de séjourner”.Un parc en zone rouge ou orange ?“On ne sait pas précisément où ils ont été enlevés, donc on ne sait pas si c’était en zone rouge ou orange, a affirmé dans la journée de samedi une source diplomatique française, jointe par franceinfo. Quoi qu’il en soit, une zone orange est en soi déconseillée pour le tourisme.” Selon les autorités béninoises, citées par RFI, des traces de traversée de la rivière vers le Burkina Faso ont été relevées. La direction du parc a confirmé à France 2 avoir identifié des traces et précise que le corps du guide a été retrouvé “à un ou deux kilomètres de la frontière”. Le véhicule a ensuite été retrouvé plus loin, au Burkina Faso. Mais le lieu précis du kidnapping n’est pas connu à l’heure actuelle.Depuis quand les Français avaient-ils organisé leur déplacement ? En novembre 2018, dans une précédente version de sa page “Conseils aux voyageurs”, le ministère des Affaires étrangères ne classait aucune partie du parc national de la Pendjari en rouge, ni même en orange. “Une vigilance particulière est conseillée dans les zones frontalières”, expliquait simplement le Quai d’Orsay. La carte, inchangée depuis 2015, avait commencé à changer de couleur en décembre 2018.

Cartes de vigilance du Bénin telles que présentées par le ministère des Affaires étrangères en novembre 2018, en décembre 2018 et en mai 2019. (MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES / FRANCEINFO)

Désormais, le parc national de la Pendjari figure parmi les “zones formellement déconseillées” sur la page du ministère, “en raison d’activités possibles de groupes armés et du risque d’enlèvement”.

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“Le 14 mai vers 8h locales (7h GMT) dans la zone nord de Mangaïzé (région de Tillabéri), une colonne militaire de Forces armées nigériennes (FAN) en mouvement a été prise à partie par des terroristes lourdement armés dans une attaque complexe à base d’engins explosifs improvisés. Le bilan s’établit comme suit, côté ami : dix-sept tués, six blessés, onze portés disparus, deux véhicules calcinés”, selon un communiqué du ministère nigérien de la Défense lu à la radio le lendemain soir.Une source sécuritaire a affirmé à l’AFP : “Nous avons la confirmation que les corps sans vie des onze soldats portés disparus ont été retrouvés, ce qui porte le bilan à 28 morts.” “Des renforts ont été déployés dans le secteur pour poursuivre et neutraliser les assaillants qui se sont exfiltrés vers le Nord (frontière malienne, NDLR). Des opérations de ratissage se poursuivent dans la zone avec l’appui des partenaires”, conclut le texte du comuniqué de la Défense.La France “pas associée” aux opérationsLa France, très active dans la région dans le cadre de l’opération anti-jihadiste Barkhane, a indiqué ne pas “avoir été associée” aux opérations. Les Etats-Unis disposent également d’une base au Niger. Auparavant, une source sécuritaire avait indiqué que “l’embuscade” était l’œuvre d’un “groupe terroriste composé de centaines d’hommes lourdement armés venus du Nord”, situant l’attaque en soirée et non dans la matinée.“Un véhicule (des militaires nigériens) a d’abord sauté sur un engin explosif, et puis une fusillade s’est déclenchée”, selon une autre source sécuritaire. “La patrouille traquait les terroristes qui ont attaqué lundi (13 mai, NDLR) la prison de haute sécurité de Koutoukalé”, à 50 km au nord de Niamey, et ont tué un soldat nigérien, selon cette même source.

Selon le site nigérien Actuniger, qui fait état d’un bilan de 29 tués, une patrouille constituée de 52 soldats nigériens “est tombée dans une embuscade d’individus lourdement armés mardi à Baley Beri, près de Tongo Tongo” et “les combats d’une rare violence” ont “duré plus de deux heures”. “Vingt-deux soldats ont pu rejoindre la base de Ouallam à bord de trois véhicules”, indique le site sur la base de “sources locales et sécuritaires”.Deuil national de trois jours Le gouvernement a décrété un deuil national de trois jours à compter du jeudi 16 mai, selon un communiqué lu à la télévision.Depuis 2018, l’ONU s’inquiète de la persistance de l’insécurité dans la région de Tillabéri, théâtre de nombreuses incursions de groupes jihadistes et de violences intercommunautaires. L’armée nigérienne s’est déployée massivement fin 2018 dans la région pour chasser les combattants islamistes venus du Mali et du Burkina Faso.Lundi 13 mai, les forces de sécurité avaient perdu un homme en repoussant une “attaque terroriste contre la prison de haute sécurité de Koutoukalé”, l’établissement pénitentiaire le mieux gardé du Niger, où sont détenus de nombreux jihadistes. Les assaillants, qui avaient notamment utilisé une voiture de Médecins sans Frontières (MSF) volée dans un camp de réfugiés à la frontière malienne, avaient fui vers cette même frontière du Nord.Pays pauvre du Sahel, le Niger vit en permanence sous la menace d’attaques des groupes jihadistes sahéliens dans l’Ouest et le Nord, ainsi que de celles de Boko Haram dans le Sud-Est. Les forces de sécurité sont perpétuellement sur le qui-vive.

Pour le syndicat de police Alliance, Mélissa Theuriau a franchi la ligne jaune en lançant des « accusations mensongères » contre les forces de l’ordre. Le patron de M6 prend la défense de la jolie journaliste. Mais ce vilain incident, que Gala.fr vous propose de revoir en vidéo, pourrait compliquer le travail des journalistes de la chaîne.

« Si nous vous écrivons aujourd’hui, c’est pour faire part du mécontentement unanime de nos collègues suite au dérapage verbal d’une de vos journalistes lors de l’émission Zone Interdite du 30/08/2009. » C’est ainsi que débutait un courrier récemment adressé au patron de M6 par Jean-Claude Delage, secrétaire national du syndicat de police Alliance . Et pourtant, nombreux sont les journalistes qui peuvent témoigner des excellents rapports qui régnaient jusque là entre eux et le deuxième syndicat de gardiens de la paix français. Mais, en ce qui concerne Mélissa Theuriau, puisque c’est d’elle dont il s’agit et sans doute aussi l’émission Zone Interdite, la rupture semble consommée avec toute une partie des flics de France. Jusqu’à quand?

Un incident diplomatique qui risque de compliquer furieusement le travail des reporters des sociétés de production qui vendent les reportages à l’émission, les syndicats de police étant des interlocuteurs dont la liberté de parole permet d’obtenir rapidement des éléments et des points de vue qui ne sont pas forcément en rapport avec les objectifs de communication du ministère de l’Intérieur. Car, c’est un fait, Alliance aide régulièrement les journalistes dans le cadre de leurs enquêtes par le biais d’un maillage de délégués présents dans toute la France. Les zones interdites depuis toujours par les consignes de la place Beauvau risquent donc d’être un peu plus difficiles à franchir…

Mais c’est paradoxalement suite à une interview en plateau plutôt agressive de Brice Hortefeux que le syndicat Alliance a vu rouge. Il faut avouer que Mélissa Theuriau, de retour aux commandes de l’émission Zone interdite sur M6 a tiré à l’arme lourde en insistant de longues minutes sur des affaires récentes qu’elle a qualifié de « bavures ». De quoi mettre le syndicat dans l’obligation d’écrire une missive d’indignation au président du directoire du groupe M6, Nicolas de Tavernost, transmise ce jeudi à l’AFP et visible sur le site d’Alliance.

Et Jean-Claude Delage de commenter en ces termes le comportement inhabituel de Mélissa Theuriau: « Sans doute aveuglée par une haine non dissimulée de la police, son comportement extrêmement agressif l’a amenée à salir l’ensemble des policiers, en énonçant sans discontinuer des accusations mensongères ». Bref, Alliance demandait à M6 amende honorable et qu’elle «se désolidarise» de Mélissa Theuriau.

Lettre- en partie- morte, à en juger par la réaction du patron de M6, Nicolas de Tavernost, qui a défendu ce vendredi la journaliste Mélissa Theuriau. Lequel répliquait en ces termes : « Le ministre a eu tout loisir de répondre à ce sujet et notre journaliste n’a fait que son métier objectivement, sur un sujet que nous savons tous délicat, et sur lequel les polémiques excessives ne font qu’attiser les flammes toujours promptes à repartir ». En, résumé, Mélissa Theuriau n’aurait pas soufflé sur les braises qui couvent et s’enflamment en permanence entre certains jeunes de certaines cités de banlieue et des policiers. Toutefois, Nicolas de Tavernost fait une promesse:”Notre chaîne continuera de traiter le plus objectivement possible des problèmes évoqués dans l’ensemble de cette émission en soulignant, comme il le faut, la difficile tâche qui est celle des forces de police”.

Seul problème, les accusations de Mélissa Theuriau à l’encontre de policiers qui, selon elle, restaient en activité malgré des affaires où ils sont accusés de violences ou abus de pouvoir. Or, le représentant du syndicat, notamment dans l’émission de Jean-Marc Morandini sur Europe 1, lui a rappelé le principe de la « présomption d’innocence »…

Reste que d’autres éléments sont à prendre en compte dans cette polémique qui prend des proportions depuis quelques jours. Il semble que Mélissa Theuriau n’était pas franchement ravie par le reportage diffusé avant son accrochage avec le ministre de l’Intérieur. L’aurait-elle trouvé trop complaisant? Au point de montrer les dents afin de faire machine arrière toute lors de l’interview en plateau? En tout cas, son retour ne sera pas passé inaperçu. Et la balle est maintenant dans le camp de la belle. A Mélissa Theuriau de démontrer qu’elle saura faire preuve d’autant de détermination farouche quand il s’agira de débattre avec d’autres cibles que la police lors de ses prochaines émissions.

Regardez la vidéo:

Jean-Frédéric Tronche

Samedi 5 septembre 2009

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