Ancien manager de l’écurie Renault en F1, Flavio Briatore vient d’être suspendu à vie par le Conseil Mondial De L’Automobile, réuni ce lundi à Paris pour juger l’affaire de tricherie au Grand prix de Singapour 2008.

Flavio Briatore ne carburera plus à l’adrénaline des circuits. Son dérapage en tant que manager de l’équipe de F1 Renault vient en effet d’être sanctionné par une mise hors circuits à vie par une décision du Conseil Mondial De L’Automobile rendue ce lundi.

Il faut dire que sa conception de la course automobile prenait quelques raccourcis assez peu sportifs. Jet-setteur et milliardaire, Flavio Briatore s’était érigé en général en chef de la F1 Team Renault où il a voulu jouer de sa stratégie toute personnelle lors du Grand Prix de Singapour, le 28 septembre 2008.

Son idée? Demander au fils du grand Nelson Piquet, Nelson Piquet Jr, devenu pilote à son tour, de provoquer un accident en se jetant dans un muret. Accident qui aurait pour conséquence de faire intervenir la voiture de sécurité et donc de ralentir la course…

Click Here: Rugby league Jerseys

Et ce, non sans avoir préalablement demandé à son poulain, Fernando Alonso, de se ravitailler au préalable. Ne restait plus à ce dernier qu’à remonter, fort de son plein, de la 14e position à la tête du peloton… tandis que ses adversaires devaient s’arrêter dans leurs stands pour ravitaillement durant ce ralentissement fort opportun. Un scénario que Nelson Piquet Jr et Fernando Alonso jouèrent parfaitement, jusqu’à la victoire de l’Espagnol.

Mais, même riche, on ne triche pas toujours impunément. Et il est des déshonneurs qui ternissent une réputation que l’argent a bien du mal à lui rendre son éclat, déjà un peu factice il est vrai, en ce qui concerne Flavio Briatore. Le voilà donc banni des circuits. Quant à son ingénieur en chef, Pat Symonds, il est lui suspendu pour cinq ans. En ce qui concerne Renault, « le Conseil mondial n’appliquera cette disqualification que si Renault se rend coupable d’une faute comparable » d’ici à la fin 2011.” Bref, il va falloir être bien sage. D’ailleurs, le fils de Nelson Piquet n’ira pas (au piquet) pour avoir révélé la fraude que cachait son dangereux sacrifice.

J.-F.T.

Lundi 21 septembre 2009

“On a dépassé le chiffre de 160 personnes tuées entre le 10 et 12 juin“, affirme le nouveau gouverneur de la province de l’Ituri, Jean Bamanisa Saïdi. Et ce en raison d’attaques menées par des miliciens non encore identifiés. “On a un grand nombre de personnes déplacées“, ajoute le responsable, reprenant le chiffre de 300 000 avancé par le Haut commissariat aux réfugiés (HCR) de l’ONU. Les violences intercommunautaires entre Lendus et Hemas, deux des communautés qui habitent la région, ont repris depuis décembre 2017. Elles ont déjà fait des centaines de morts, avant même les tueries de ces derniers jours. Ce conflit ne date pas d’aujourd’hui. Un article de Libération rappelle qu'”entre 1999 et 2003, des dizaines de milliers de personnes sont tuées, alors que le Rwanda et l’Ouganda jouent des tensions en Ituri, soutiennent et arment des milices hemas et lendues pour mener leurs batailles d’influence en RDC”.

Ituri: 161 nouveaux corps découverts dans les localités de Djugu (Société civile) https://t.co/abNl9OJp0i pic.twitter.com/uQDM00HCkp — Radio Okapi (@radiookapi) 16 juin 2019

Ces massacres ravivent le souvenir du conflit de 1999-2003 entre deux communautés locales, les Lendus, en majorité agriculteurs, et les Hemas, le plus souvent éleveurs et qui tiennent le commerce du chef-lieu Bunia, dans une province également convoitée pour son or et son pétrole le long du lac Albert.“Ce n’est pas un conflit inter-ethnique. Les Hemas n’ont pas répondu“, affirme cependant le gouverneur. Les massacres seraient le fait de membres “égarés” de la communauté lendue regroupés dans une sorte de secte politico-militaro-religieuse, la Coopérative pour le développement du Congo (Codéco).”Main noire”,”planificateur”, “tireurs de ficelles”.“La Codéco a fait croire aux Lendus qu’on leur a tout pris“, glisse une source officielle. “Ils se battent pour la libération de l’homme lendu du joug de l’homme hema, perçu comme un blocage à leur développement“, analyse l’abbé Alfred Buju, de l’organisation Caritas, cité par l’AFP.Ce discours de la Codéco est un “non-sens“, s’insurge un représentant de la communauté lendue, Me Célestin Tawara Angaika : “Nous ne sommes pas sous la domination des Hemas. Il y a des Lendus médecins ou avocats, comme moi qui vous parle. Il y a des Lendus vice-gouverneur et président de l’Assemblée territoriale”.Résultat, la thèse du complot bat son plein. On parle de “main noire”, “planificateur”, “tireurs de ficelles”…  En Ituri, dans le nord-est de la République démocratique du Congo, aucun responsable provincial ne met sur le compte d’un simple conflit communautaire, tribal ou ethnique l’irruption des tueries qui sévissent depuis le 10 juin. “Les planificateurs veulent que la province s’embrase coûte que coûte, comme en 1999”, poursuit Me Tawara Angaika, qui reprend à son compte la thèse d’une  “main noire” derrière les violences. Même discours du côté hema. Une conférence de paix est annoncée dans les mois qui viennent en Ituri. 

Une chasse à l’homme dans une région sauvage infestée d’ours. Les policiers canadiens sont à la recherche de deux fugitifs, suspectés d’avoir tué trois personnes, repliés dans une immense forêt à Gillam (Canada). Toutes les voitures sont contrôlées et même les trains sont inspectés. Armes, chiens, drones… des moyens exceptionnels ont été mobilisés.Une cavale de 3 000 km”C’est un terrain complexe, c’est étendu, c’est dense…les défis sont nombreux, c’est pourquoi nous avons déployé autant de ressources“, décrit l’agent de police Julie Courchaine. La police a diffusé une alerte au public avec les visages de deux suspects, considérés comme armés et extrêmement dangereux. Les recherches continuent, mais les forces de l’ordre n’excluent pas que les suspects aient réussi à quitter la zone, poursuivant leur cavale de plus de 3 000 km à travers le Canada.Le JT

• JT de 19/20 du samedi 27 juillet 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

Lifelong learning has become an important theme in European education policy, featuring among the priorities of successive presidencies of the EU’s Council of Ministers and in European Commission work programmes. It has also risen up the agenda for universities as they seek to diversify sources of income and address demographic changes that could cut the flow of students. 

Yet it remains a challenging concept to implement. Many universities carry out lifelong-learning activities, but few have integrated the subject into their institutional strategies. This is clear from an EU-funded project, the results of which were presented on 31 August in Southampton in the UK.

Sirus project

Click Here: cheap nrl jerseys

Led by the European University Association (EUA), the Sirus (Shaping Inclusive and Responsive University Strategies) project examined the processes being used to design, adopt and implement new strategies for lifelong learning among 29 universities from 18 European countries.

These institutions were of varying sizes, some in the process of embarking on lifelong learning activities, others fine-tuning established strategies. The most advanced were in countries such as Finland, where lifelong learning has been a legal requirement for universities for some time. Twelve of the countries involved had legislation in place for lifelong learning, but only four backed this up with funding. This gap is an important brake on developing institutional strategies, the project report noted.

The project found universities passing through three stages as they developed a lifelong learning strategy. It calls the first the adaptation stage, in which an institution adopts a strategy without necessarily defining lifelong learning; or it leaves this task to a dedicated office, most commonly dealing with continuing education. The university’s traditional activities are not significantly affected by this kind of strategy.

Second is the organisational stage, in which a university builds on continuing education activities and puts in place a well-defined strategy. There will be some integration of initial and continuing education, with study programmes adapted to attract adult learners and open participation to a broader population of students. There will also be some administrative support, services to aid access and recognition of prior learning.

Third is the cultural stage, in which all the university’s education activities are seen as contributing to lifelong learning. All academic and administrative staff are engaged and learners of all types placed at the centre of teaching activities.

Moving from one stage to the next is not straightforward. “In most of the cases the progression looks like a spiral, based on the successive decisions of the top management, which make progress possible or lead to regression,” the report said.

The importance of leadership was one of the findings that stood out for Hanne Smidt, a senior adviser to EUA and co-author of the report. “You need to take students and staff with you to do this,” she said. “There is an inherent thinking among some academics that lifelong learning is not high-quality.” For example, there is a perception that older students or students from unconventional backgrounds will be difficult to teach and somehow reduce the quality of the student body.

Connection failure

Smidt was also struck by the failure of some universities to make the connection between lifelong learning and widening participation, another policy imperative. “Maybe half of the universities were not aware of that because they came [to lifelong learning] from continuing education,” she said. Smidt expects the transition to take time. “We’re looking at probably between ten and 20 years before it becomes common practice or a common cultural way of doing things.”

Ian Mundell is a freelance journalist based in Brussels.

EU leaders today welcomed Croatia’s efforts to complete its negotiations to join the Union and, in a statement issued on the second day of their summit in Brussels, “invited” officials to wrap up the accession talks by the end of June.

But in language that was not contained in earlier drafts of the summit statement, they also called on Croatia to “continue its reform efforts with the same vigour” after the end of the accession talks.

The new language also refers to pre-accession “monitoring”, which several member states – notably France, the Netherlands and the UK – had demanded. Previous membership candidates, such as Bulgaria and Romania, which both entered in 2007, also had their reform efforts monitored before they joined, but in a less politically visible way.

The monitoring arrangements are seen as an important concession to national leaders in countries where enlargement fatigue runs high.

In their final summit statement, the EU leaders also warned that the European Council, acting by qualified majority on a proposal by the Commission, could take “all appropriate measures” in case of problems.

Mark Rutte, the prime minister of the Netherlands, commended Croatia on its progress, but also said that it was “important to ensure that Croatia’s reforms are sustainable and irreversible up until accession”.

Click Here: kanken kids cheap

“I’m glad that we have agreed on a monitoring mechanism with a bite,” Rutte said.

In a later press conference with Croatia’s Prime Minister Jadranka Kosor, Herman Van Rompuy, the European Council’s president, said that Croatia’s achievement would serve as a an “inspiring example” for the other countries in the western Balkans seeking to join the EU.

José Manuel Barroso, president of the European Commission, said that he was “confident” that Croatia would continue its reform efforts after the completion of membership talks with the same rigour as before.

Angela Merkel, chancellor of Germany, said that there were “no reservations” toward Croatia’s accession “of the kind which we had with Bulgaria and Romania at the time”.

Several EU member states are, though, concerned about Croatia’s reforms of its judiciary. While Croatia has put in place new rules on the hiring and promotion of judges and prosecutors and as introduced new anti-corruption legislation, they believe it has not yet built up a consistent track record of implementation.

A diplomat from one of the countries that want to see a strong monitoring system said that the summit statement mattered less than the specifics of the monitoring process, which are currently being negotiated by national diplomats in Brussels. The diplomat said that Croatia’s membership talks would only be completed once satisfactory arrangements had been put in place.

Accession in 2013

Croatia is scheduled to enter the EU on 1 July 2013, becoming the Union’s 28th member state, and the second former Yugoslav republic, after Slovenia.

Croatia and Slovenia tomorrow mark the 20th anniversary of their independence from Yugoslavia.

“This really is an historic moment for the Republic of Croatia, and all this is happening on the eve of the 20th anniversary of Croatia’s independence [from Yugoslavia],” Kosor said.

“We are going to continue to work hard not just until we become members but afterwards as well,” she said. “All these changes are irreversible, and all are going to benefit all of us living in Croatia.”

Croatia is expected to sign its accession treaty in the autumn. The treaty would then require ratification by all 27 current member states.

Jordan Pickford has been first choice in recent years, but finds his position under threat from the likes of Nick Pope and Dean Henderson

Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Now that Euro 2020 has been pushed back to Euro 2021, England’s dilemma over their goalkeeping situation has been pushed firmly into the back seat.

Gareth Southgate had been facing a difficult call over who would start between the posts for the Three Lions’ opening group game against Croatia on June 14.

Now, those vying for the position will have some extra time to find their form and stake a claim to be England’s No.1.

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Le xénope lisse est un amphibien exotique échappé d’un laboratoire : un crapaud dont la prolifération menace désormais la survie de toutes les grenouilles de ces mares du département des Deux-Sèvres. Une espèce envahissante que ce technicien remonte chaque jour à l’intérieur de ses pièges. “Elle n’a pas de prédateur, donc elle prend une place importante dans le milieu naturel, elle pille un petit peu les ressources alimentaires des mares et mange les autres grenouilles”, explique Rodolphe Olivier, spécialisé dans les espèces invasives d’amphibiens150 000 euros d’aides dans les Deux-SèvresIci, depuis cinq ans, les xénopes lisses sont donc retirés des mares et remplacés par des grenouilles qui peuvent ainsi retrouver leur place. Une stratégie qui commence à porter ses fruits. Des résultats obtenus grâce à un coup de pouce de l’Europe, car la communauté de communes est inscrite dans un programme financé à 60% par l’Union européenne. Au total, 150 000 euros d’aides sont investis sur ce territoire.Le JT

• JT de 13h du mercredi 22 mai 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

• 1
  

  Ascoval : un nouveau coup dur avec le redressement judiciaire de British Steel

• 2
  

  Ascoval : les salariés sont dépités, mais le gouvernement veut rester confiant

• 3
  

  Justice : un CRS renvoyé aux assises à cause d’un tir de grenade

• 4
  

  Affaire Vincent Lambert : les demandes de directives anticipées explosent

• 5
  

  Pharmacies : des fermetures en hausse

• 6
  

  Carburants : les automobilistes tentés de revenir au diesel

• 7
  

  Pollution : abandonner l’avion pour l’environnement

• 8
  

  Etats-Unis : l’Etat d’Oklahoma frappé par une trentaine de tornades en deux jours

• 9
  

  Européennes : quel est le rôle des députés que l’on va élire ?

• 10
  

  Tour Eiffel : le plus grand jardin de Paris ?

• 11
  

  Isère : un garage solidaire vient en aide aux revenus modestes

• 12
  

  Var : une épicerie fait installer un distributeur de billets pour dynamiser la commune

• 13
  

  Frais bancaires : une légère diminution pour les Français

• 14
  

  Tourisme : la Côte d’Azur attire les vacanciers

• 15
  

  Feuilleton : Portugal, l’eldorado des Français (3/5)

Click Here: Cheap France Rugby Jersey

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !L’un ne pourrait vivre sans l’autre. L’acacia “corne de bœuf” et la fourmi Pseudomyrmex ferruginea entretiennent une relation qui bénéficie aux deux espèces. En effet, l’arbre, qui pousse en Amérique centrale, est exposé à la menace permanente des insectes parasites et des mammifères herbivores. Heureusement, il peut compter sur la présence des fourmis pour lui prêter main-forte. Celles-ci attaquent tout prédateur qui tenterait de se nourrir de l’acacia, notamment en émettant une phéromone qui pousse la colonie entière à se battre.   Des bénéfices mutuels La fourmi n’est pas en reste. L’insecte se réfugie dans les épines creuses de l’arbre dans lesquelles il peut se reproduire et se protéger du climat. Aussi, l’acacia produit des corps beltiens, de petites excroissances riches en protéines et en sucres dont sont friandes les fourmis. Celles-ci bénéficient donc du gîte et du couvert.Les fourmis entretiennent de nombreuses relations mutualistes complexes avec d’autres espèces animales et végétales. Cette association est appelée la “myrmécophilie”.   

Madonna n’en finira jamais de nous surprendre. A 51 ans, la reine de la pop pourrait prochainement se remarier. D’après le tabloïd anglais, OK Magazine Madonna envisagerait d’épouser Jesus Luz…

Madonna et Jesus ne se quittent plus. La chanteuse de 51 ans trimballe partout son apollon de 22 ans (la chanteuse avait même été filmée alors qu’elle se rendait au Mur des Lamentations accompagnée de plusieurs gardes du corps et de son beau mannequin brésilien qui porte un prénom de circonstance).

Les deux amants sont si fous amoureux qu’ils envisageraient de se marier.

C’est ce qu’annonce la presse anglaise, et plus particulièrement OK Magazine. Dans les colonnes du tabloïd anglais, l’interprète de Like A Virgin a laissé entendre qu’elle serait prête à s’installer en famille avec Jesus, avec qui elle est en couple depuis seulement huit mois:

«Il est si doux et attentionné avec moi. Je pourrais parfaitement m’imaginer en train de l’épouser. Oui, c’est vraiment un projet» a déclaré la madone. Si elle compte officialiser les choses avec son toy boy, Madonna devra pourtant faire preuve (cette fois-ci) d’une extrême prudence.

Et ce n’est pas Guy Ritchie qui dira le contraire. Lors de son divorce, Madonna lui a laissé 40 millions d’euros, le château du Wilshire et The Punchbowl, leur pub londonien… Un sacré pactole pour «seulement» huit années de mariage. A bon entendeur…

Lundi 28 septembre 2009

Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Click:Best knotted bracelets for meditation practice
Papa Joe Jackson réclame sa part de l’héritage de , alléché par une part d’un gâteau qu’il estime à 100 millions de dollars engrangés depuis la mort de son fils.

Depuis la mort de Michael Jackson, c’est la curée permanente autour de sa tombe. Il rongeait son frein mais, comme on pouvait s’en douter, Joe Jackson, le père de Michael Jackson, s’est jeté dans la bataille pour l’héritage. Et il n’y va pas avec les formes. Le papa de Bambi a tout bonnement saisi les tribunaux pour remporter sa part du butin. Et toute la cour du Roi de la Pop ne s’est pas encore manifestée au guichet…

Click Here: brisbane lions guernsey 2019

C’est donc en justice que Joe Jackson a déposé une demande de pension à la fondation qui gère l’héritage de Michael Jackson, emporté par une surdose de Propofol le 25 juin dernier. Propofol qui, au passage, lui avait été largement dispensé par un médecin qui, déjà vivait à ses crochets. Seulement, le décès de Michael Jackson a rapidement viré au merchandising tous azimuts et le couvercle de son cercueil sonné comme un tiroir-caisse à peine refermé.

Le père de Bambi, qui a soufflé ses 81 bougies, met en avant ans son état physique- il souffrirait de diabète, a visiblement des difficultés à s’en sortir avec le système de santé américain et peut-être plus encore avec le train de vie qu’il souhaite mener. En tout cas, le papa de Michael Jackson a mis sur la table sa liste de dépenses et le total donne le vertige: il lui faut 20 000 dollars mensuels alors que sa retraite donne envie de pleurer puisqu’elle ne s’élève qu’à 1 700 dollars. Or, jusque là, c’était son fiston le Roi de la Pop qui l’entretenait, affirme Joe Jackson.

Et comme le patriarche du clan Jackson n’est pas exactement ce qu’on appelle un mécène, il a fait ses comptes et pesé les gains de la Fondation qui gère les revenus post mortem de Michael Jackson. Car, selon les dernières volontés de Michael Jackson, son héritage est entre les mains d’une fondation qui reverse des pensions à sa mère Katherine Jackson ainsi qu’à ses trois enfants. Sans compter des subsides attribuées à diverses associations caritatives. Or, d”après Joe, la fondation aurait déjà engrangé pas moins de 100 millions de dollars. Et ce n’est pas fini. Le film This Is It, l’explosion des ventes des produits dérivés à son nom, de ses albums et compil’ font de Bambi l’un des morts les plus rentables de la planète.

J.-.F.T.

Samedi 7 novembre 2009