Month: April 2020

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À la veille d’un des week-ends de départ en congés les plus chargés, l’Institut de veille sanitaire (InVS) rappelle aux voyageurs quelques recommandations sanitaires élémentaires, que vous partiez en France ou à l’étranger.

Quelques conseils s'imposent avant de partir sous les tropiques.

Les risques associés aux piqûres de moustiquesVecteurs de nombreuses maladies comme la

dengue ou le

chikungunya, les moustiques peuvent transformer des vacances en véritable cauchemar.L’InVS recommande donc de se protéger contre les moustiques avec des protections adaptées, que ce soit les moustiques qui piquent en journée (dengue, chikungunya) ou la nuit (filarioses). Plusieurs solutions sont à envisager : les répulsifs cutanés à appliquer sur les parties non couvertes du corps, l’utilisation de vêtements couvrants, ou encore l’usage d’une moustiquaire imprégnée d’insecticide pour dormir.L’exposition à la chaleur et au soleilSi cela peut paraître évident, certains gestes doivent être adoptés pour réduire les risques liés à la chaleur et au

soleil, comme l’hyperthermie ou la déshydratation.Il est préconisé de ne pas s’exposer au soleil pendant les heures les plus chaudes de la journée (entre 12h et 16h), de boire fréquemment de l’eau pour s’hydrater, et de rester dans des lieux ventilés en cas de fortes chaleurs.Les voyageurs doivent également limiter leurs activités physiques et ne pas voyager trop longtemps en situation de confinement.Les

lunettes de soleil à verres filtrants et de norme CE, ainsi qu’un écran solaire adapté à son phototype (entre roux et noir) font partie des incontournables pour des vacances estivales.La diarrhée du voyageurIl s’agit d’un problème sanitaire lié à l’alimentation ou à la consommation de boissons et rencontré fréquemment par les voyageurs.L’InVS indique que la prévention passe essentiellement par les mesures d’hygiène, comme le lavage des mains avant les repas et après le passage aux toilettes, ou l’obligation de ne consommer que de l’eau en bouteille capsulée. Il est également conseillé de ne pas consommer de la nourriture vendue dans la rue et de se renseigner localement sur les risques de toxicité des poissons de mer.Une vigilance accrue pour les femmes enceintesLes voyages en avion ne sont pas conseillés en fin de grossesse. Les compagnies aériennes refusent d’ailleurs les femmes enceintes au-delà du 7e mois, et même parfois dès le 6e mois de grossesse. Il est également déconseillé de faire de longs voyages en voiture, et bien évidemment de pratiquer des activités non adaptées comme le trekking ou la plongée.Il n’est pas question d’interdire aux

femmes enceintes de profiter des vacances estivales, mais leur état nécessite une attention particulière. Elles doivent impérativement consulter leur obstétricien avant le départ en vacances.RelaxnewsClick Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

La ministre de la Santé Marisol Touraine a mis en avant jeudi “la sécurité renforcée“ autour du médicament Diane 35, un temps retiré du marché français au vu des risques de thrombose mais qui va y revenir sur

décision de Bruxelles. “Le volontarisme et l’initiative française (de saisir les instances européennes) a permis d’apporter une sécurité renforcée pour l’ensemble des citoyens européens“, a jugé la ministre sur RTL.

La pilule Diane 35 devrait prochainement être à nouveau prescrite, mais en seconde intention.

Un logo pour indiquer que “ce n’est pas un médicament comme un autre““L’agence européenne a considéré que des restrictions devaient être apportées à la prescription de Diane 35 (…) que ce médicament présente un intérêt pour certaines formes d’acné, mais qu’il ne peut en aucun cas être prescrit systématiquement comme c’était le cas auparavant“, a-t-elle poursuivi.

La Diane 35 pourra être prescrite mais seulement en 2e intention, c’est-à-dire une fois qu’on aura essayé d’autres traitements“, a expliqué Marisol Touraine.Par ailleurs, “il devra y avoir une information sur les risques (…) avec notamment sur la boîte un logo indiquant que ce n’est pas un médicament comme un autre“.Vers une prescription de Diane 35 moins largeMardi, la Commission européenne a imposé à la France de remettre sur le marché le traitement anti-acné Diane 35, largement prescrit comme pilule contraceptive avant son retrait en mai au vu des risques de thrombose.Prenant en compte les inquiétudes françaises, la Commission a toutefois décidé de restreindre les prescriptions de ce médicament, et d’imposer une meilleure information sur ses contre-indications, pour minimiser le risque “connu de thrombo-embolie“ (formation de caillots sanguins pouvant boucher un vaisseau irriguant les poumons).Mme Touraine a réfuté le terme de “camouflet“ pour l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui avait décidé du retrait de la Diane 35 en janvier dernier.“Il n’y a pas de camouflet car, avant la saisine des instances européennes, ce médicament était prescrit de façon extrêmement large, sans information sur la dangerosité“, a estimé la ministre.AFP/RelaxnewsSource : RTL – août 2013Photo : ©AFP PHOTO / PHILIPPE HUGUENClick Here: NRL Telstra Premiership

Tuto coiffure : le brushing volumineux

April 29, 2020 | News | No Comments

Tendance forte de cet automne, le brushing volumineux était de tous les podiums. On l’a notamment vu chez Marc by Marc Jacobs et Diane Von Furstenberg. Le look ne nécessite pas forcément de visite au salon : ces quelques tutoriels vous aideront à recréer cette coiffure chez vous.

Comment faire un brushing volumineux ?

Tyler Laswell montre comment réaliser un brushing chez soi sans posséder des équipements très élaborés. Répartir de la mousse coiffante sur cheveux mouillés avant de passer le sèche-cheveux en séparant les mèches à la main jusqu’à ce que la chevelure soit sèche à 80%. Utiliser ensuite une brosse ronde et appliquer des bigoudis velcro pour recourber les pointes. Pour finir, brosser et vaporiser un peu de laque.

Pour cette technique, xoVain recommande de commencer par l’application d’un sérum sur toute la longueur des cheveux afin d’éviter leur dessèchement. Utiliser un spray protecteur et passer le sèche-cheveux à pleine puissance. Une fois la chevelure quasi-sèche, utiliser une brosse ronde pour finir le séchage mèche par mèche. Terminer en appliquant un peu de laque. 

Dans son tutoriel, Elle recommande d’appliquer un produit pour protéger les cheveux de la chaleur du sèche-cheveux sans trop alourdir les pointes. Une fois les cheveux quasi-secs, finir le séchage des mèches en utilisant une brosse ronde. Se concentrer sur le haut de la tête est primordial selon la blogueuse qui explique en détail comment obtenir un beau volume. Terminer en ajoutant un peu de crème pour un résultat brillant.

Source : Relaxnews

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Mediapart met en cause l’agence nationale de sécurité du médicament dans le scandale des prothèses PIP. Le site d’informations rapporte qu’un rapport interne très critique dénonçant l’inaction de l’agence entre 2007 et 2010 aurait été dissimulé aux autorités de santé. L’agence dément toute dissimulation et assure sa pleine contribution avec la Justice.

L'Agence du médicament a-t-elle tardé à interdire la commercialisation des prothèses PIP ?

Prothèse PIP : Mediapart met en cause l’Agence du médicamentMediapart a rapporté mardi qu’un rapport interne de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) s’avérait très critique sur l’absence d’alerte concernant les

prothèses PIP. Selon

le site d’informations, ce rapport qui date du premier trimestre 2012 aurait été dissimulé au ministre de la Santé de l’époque Xavier Bertrand. Ce document aurait été sais lors d’une perquisition au siège de l’ANSM.Selon Mediapart, “La direction de l’agence n’a pas divulgué ce document interne dont elle avait connaissance, mais a diffusé un rapport officiel, remis à Xavier Bertrand en février 2012, expurgé des informations les plus gênantes pour l’Afssaps“(ancien nom de l’ANSM). Ce rapport non divulgué soulignerait que l’augmentation du taux de rupture des prothèses PIP était amorcée dès 2006et aurait dû faire réagir les autorités dès 2007 ou au plus tard 2008… Alors que la suspension de la commercialisation de ces prothèse n’est intervenue qu’en mars 2010 et la

recommandation de retrait préventif pour les femmes ayant reçu ces implants à la fin 2011 ! Un retard qui ne serait pas sans conséquence puisqu’on estime qu’entre 2007 et mars 2010, 6 500 à 10 500 femmes se sont faites implanter ces prothèses (soit près d’un tiers des porteuses de prothèses PIP).A la date de la suspension de leur commercialisation, 30 000 femmes étaient porteuses d’implants mammaires en gel de silicone PIP. Selon les données recueillies par l’ANSM jusqu’en décembre 2012, 14 990 femmes ont subi une explantation de leur(s) prothèse(s) en gel de silicone PIP entre 2001 et fin décembre 2012 (un chiffre qui pourrait être supérieur compte-tenu de la sous-notification des incidents de matériovigilance). Au total, 5 048 femmes ont rencontré au moins un dysfonctionnement de leur(s) implant(s) et 2 697 au moins un effet indésirable. Ces chiffres ne peuvent s’additionner, une même femme pouvant cumuler dysfonctionnement de l’implant et effet indésirable.L’ANSM dément toute dissimulation et conteste la chronologie des faitsSuite à l’article de Mediapart, l’ANSM a publié un communiqué contestant la volonté de dissimulation de ce rapport. Elle précise que ce rapport serait intervenu deux mois après la remise du rapport officiel et serait issu de l’initiative personnel d’un salarié de l’ANSM : “Ce n’est que deux mois après la remise publique de ce rapport (NDLR : le 1er février 2012), qu’un salarié de l’ANSM, a remis de sa propre initiative à la direction générale, une analyse personnelle et rétrospective établie sur la base des mêmes données toxicologiques et de matériovigilance que celles figurant dans le rapport remis au ministre le 1er février 2012. Ainsi, le rapport officiel rendu public 2 mois plus tôt n’a en aucun cas été expurgé des éléments contenus dans un document produit ultérieurement“.Elle conteste également la volonté d’avoir voulu caché ce document : “Une instruction judiciaire étant ouverte sur ce dossier, l’Agence a spontanément remis au juge en charge de l’instruction le document élaboré par son salarié“ et assure sa pleine contribution avec la Justice, “en vue de la manifestation de la vérité et afin que toutes les responsabilités puissent être établies“.Le jugement du procès pénal attendu pour le 10 décembrePour se remémorer l’ampleur de l’affaire, rappelons que Jean-Claude Mas président de l’entreprise PIP était devenu le troisième producteur de prothèses mammaires, fournissant plus de 100 000 prothèses par an, principalement à l’étranger. Mais une partie de ces implants a été rempli de gel de silicone “maison“, moins cher mais irritant et non destiné à un usage médical avec un risque supplémentaire de rupture. En mars 2010, la France suspend la mise sur le marché et l’utilisation des implants PIP. Le 23 décembre, le ministère de la Santé recommande que

les femmes porteuses de ces prothèses se les fassent retirer, “même en l’absence de signes de détérioration de l’implant mais sans caractère d’urgence“. Ces opérations préventives (au nom du “principe de prévention“) sont prises en charge par la Sécurité sociale. Mais la pose de nouvelles prothèses n’est remboursée que pour les femmes ayant eu recours à la mammoplastie pour des raisons médicales et non esthétiques.Lors du jugement du

procès pénal contre Jean-Claude Mas pour “escroquerie“ et “tromperie aggravée“ débuté en mars devant le tribunal correctionnel de Marseille, l’ANSM était sur le banc des parties civiles… Le jugement doit être rendu le 10 décembre. Quatre ans de prison ferme et une amende de 100.000 euros ont été requis contre Jean-Claude Mas.David BêmeSources :Mediapart – 1er octobre 2013Communiqué de l’ANSM – 1er octobre 2013Photo : BEBERT BRUNO/SIPAClick Here: Golf special

On observe une plus grande quantité de protéine β-amyloïde dans le cerveau des personnes dormant mal ou trop peu, selon les auteurs d’une étude américaine publiée dans le Journal of the American Medical Association Neurology(Jama Neurology), qui soulèvent la question d’un lien entre un sommeil de mauvaise qualité et la maladie d’Alzheimer.

Mal dormir contribue-t-il au développement ou à l'accélération de la maladie d'Alzheimer ?

De là à dire que

mal dormir favorise le développement et la progression de la

maladie d’Alzheimer, il n’y a qu’un pas que les auteurs des travaux se gardent bien de franchir. “Notre étude montre que parmi les adultes les plus âgés, dormir peu ou avoir un sommeil de mauvaise qualité étaient associés à des concentrations cérébrales élevées en β-amyloïde, mesurées par PET-scan“, précise Adam Spira, qui a dirigé les travaux au sein de l’Ecole de santé publique Johns Hopkins Bloomberg.La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative qui se manifeste par une perte irréversible de la mémoire et des capacités cognitives. Au niveau physiologique, elle se caractérise par l’agrégation de protéine β-amyloïde au niveau des neurones, formant une plaque visible à l’imagerie médicale. Il n’existe pour le moment aucun traitement, malgré les efforts de la recherche. En France, le nombre de malades est d’environ 860 000 mais devrait atteindre 2 millions en 2020.Pour leurs travaux, les chercheurs ont analysé les données d’une vaste étude longitudinale sur le vieillissement, dans laquelle les participants étaient âgés de 76 ans en moyenne. Ils ont plus précisément examiné l’association entre les informations données par les participants sur leur sommeil et la quantité de protéine β-amyloïde observée par TEP (tomographie par émission de positons) dans leur cerveau. Des courtes nuits et un sommeil de mauvaise qualité étaient tous deux associés à des dépôts plus importants de protéine β-amyloïde dans le cerveau.“Ces résultats sont importants notamment parce que les troubles du sommeil peuvent être traités chez les personnes âgées. Dans la mesure où un mauvais sommeil favoriserait le développement de la maladie d’Alzheimer, des traitements ou des efforts visant à maintenir une bonne qualité de sommeil peuvent aider à prévenir ou à ralentir la progression de la maladie“, estime Adam Spira.Il souligne toutefois que ces travaux n’établissent en aucune manière un lien de cause à effet entre un mauvais sommeil et la maladie d’Alzheimer, et que des études longitudinales avec des mesures objectives du sommeil sont nécessaires pour déterminer si, effectivement, mal dormir contribue ou accélère cette pathologie.Amélie Pelletier
Source
Self-reported sleep and β-amyloid deposition in community-dwelling older adults“, Jama Neurology, (

résumé en ligne).Click Here: camiseta rosario central

D’après les enquêtes effectuées, on peut estimer que 10% des écoliers et des collégiens rencontrent des problèmes de harcèlement et que 6 % d’entre eux subissent un harcèlement que l’on peut qualifier de sévère à très sévère. Pour lutter contre ce problème, Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale, a lancé la campagne “Agir contre le harcèlement à l’École“. Découvrez les principales mesures annoncées par le ministre et Éric Debarbieux, délégué ministériel chargé de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire.

Aux côtés de la chanteuse Chimène Badi et du champion d’Europe d’athlétisme Christophe Lemaitre, Vincent Peillon lance une campagne contre le harcèlement à l'école.

Lutter contre le harcèlement : un enjeu éducatif majeurLe fait d’être victime ou auteur de harcèlement entre élèves peut être à l’origine de difficultés scolaires, d’absentéisme, voire de décrochage, et peut aussi engendrer, chez les élèves, de la violence ou des troubles de l’équilibre psychologique et émotionnel. C’est notamment le cas du cyberharcèlement, dont le développement est aujourd’hui un sujet de préoccupation important. D’après les enquêtes effectuées, on estime que 10 % des écoliers et des collégiens rencontrent des problèmes de harcèlement et que 6 % d’entre eux subissent un “harcèlement sévère à très sévère“.Mais pour lutter efficacement contre ce harcèlement, encore faut-il l’identifier… Dans les écoles et les établissements scolaires, chacun doit connaître la réalité du phénomène. “Parce qu’il est souvent dissimulé ou insidieux, le harcèlement n’est pas facilement détecté par les adultes, qu’il s’agisse des parents, des enseignants ou de l’ensemble des personnels de l’éducation. Le harcèlement est source d’humiliations, si bien que les victimes osent rarement évoquer les souffrances qu’elles traversent. Et, dans bien des cas, des élèves, témoins de ces faits, préfèrent se taire. Nous ne lutterons efficacement contre le harcèlement à l’École qu’en brisant cette loi du silence. Pour y parvenir, nous engageons une action résolue, qui passe par la sensibilisation du grand public aux multiples formes de ce phénomène“ déclare le ministre de l’Education.Parce que la lutte contre le harcèlement est l’affaire de tous, une campagne de sensibilisation est lancée et une politique précise est avancée par le ministre autour de trois axes principaux.1 – Sensibiliser chacun aux dangers du harcèlement

  • Une nouvelle campagne de sensibilisation prend pour ambassadeurs des personnalités qui ont elles-mêmes subi des faits de harcèlement et qui sont désormais nationalement reconnues. Le but est de montrer aux jeunes victimes de harcèlement qu’ils n’ont aucune raison de se laisser intimider ou rabaisser. 

Grâce aux témoignages de Chimène Badi et de Christophe Lemaitre, l’objectif est d’encourager ces jeunes à ne plus se laisser faire et à briser la loi du silence en parlant, autour d’eux, de ce qu’ils vivent et de ce qu’ils subissent.

  • Le site rénové

    agircontreleharcelementalecole. gouv.fr rassemble de nombreux outils pédagogiques à destination des équipes, mais aussi des informations précieuses pour les parents et pour les élèves, témoins ou victimes de harcèlement.

  • 6 fiches pour savoir quoi faire. Pour les élèves victimes ou témoins d’actes de harcèlement, pour des parents inquiets pour leurs enfants, le ministère propose des fiches répondant à leurs questions les plus fréquentes et les accompagnant dans leurs démarches.

    Elles sont accessibles en ligne.

  • Le prix “Mobilisons-nous contre le harcèlement“ est organisé pour susciter les initiatives d’élèves en matière de prévention du harcèlement (affiches, vidéo, etc.). Les récompenses (entre 1 000 et 2 000 euros) serviront à financer des projets de sensibilisation et de formation. Le concours est ouvert aux écoles, établissements et structures périscolaires et extrascolaires pour les jeunes de 8 à 18 ans ; la participation à ce prix est obligatoirement collective.
  • 10 dessins animés pour sensibiliser les écoliers. “Et si on s’parlait du harcèlement“ est une série de 10 dessins animés thématiques, accompagnés de guides pédagogiques permettant d’engager la discussion avec les élèves des écoles primaires sur les sujets liés au harcèlement. Tous sont visibles sur dailymotion et youtube :

    définition du harcèlement : “Le harcèlement qu’est-ce que c’est ?“ ;

    la loi du silence : “Stop au silence !“ ;

    le rejet, l’importance de la sociabilité juvénile : “Non à l’exclusion“ ;

    la place du rire : «Ce n’est pas drôle !“ ;

    le phénomène de groupe: “Mauvaise influence“ ;

    la cyberviolence : “Internet et pas net !“ ;

    les différences, notamment vestimentaires : “Des apparences trompeuses“ ;

    le racket : “Le racket c’est pas du jeu“ ;

    la violence ne résout pas les conflits : “Ça va trop loin !“ ;

    le voyeurisme, le sexisme : “Laisse les filles“.

2 – Prendre en charge les cas de harcèlementPrendre en charge les cas de harcèlement de façon appropriée est le second objectif de ce plan. Cela passe par différentes actions.

  • 31 référents académiques à l’écoute des victimes et des témoins. Dans chaque académie, le traitement des cas de harcèlement est piloté par un acteur identifié, garant du respect du droit et des procédures permettant de trouver des solutions. C’est également ce “référent harcèlement“ qui coordonne les actions de formation et de sensibilisation au niveau de l’académie.
  • Un protocole de traitement des situations de harcèlement destiné aux professionnels. Diffusé sur

    le site “Éduscol“, un protocole-type de traitement des situations de harcèlement dans les écoles et les établissements publics locaux d’enseignement est mis à la disposition des responsables de ces écoles et de ces établissements.

  • Un guide pour lutter contre la cyberviolence.

    Diffusé sur le site education.gouv.fr, ce guide est destiné à aider les personnels à mieux prévenir, identifier et traiter le phénomène de la cyberviolence, via une plus grande sensibilisation des élèves aux risques liés aux technologies de l’information et de la communication, et par une meilleure formation de leur esprit critique.

3 – Mieux former les personnelsPour mieux identifier et mieux traiter les situations de harcèlement entre élèves, il convient également de renforcer la formation des adultes qui interviennent en milieu scolaire. C’est le troisième chantier de cette campagne. Un effort sera donc engagé en faveur d’une formation spécifiquement dédiée aux enjeux du harcèlement : formation des formateurs par la délégation ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre la violence en milieu scolaire à l’École supérieure de l’éducation nationale de l’enseignement supérieur et de la recherche (Esen), sessions de formation pour les personnels impliqués mais également pour des équipes d’établissement, formations et conférences à l’attention du grand public, implication et sensibilisation des élèves, notamment des délégués de classe et des élus représentant les élèves dans les différentes instances… L’UNICEF France s’associe à cette campagne et travaille notamment, avec le délégué ministériel en charge de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire, à l’élaboration d’outils en lien avec le climat scolaire ou sur la formation des enseignants. Ce travail commun va également se concrétiser sous une forme innovante puisque les Jeunes ambassadeurs de l’UNICEF en Ile-de-France vont être formés, pour mener des actions de prévention de pair à pair dans leurs lycées. David Bême Sources :Agir contre le Harcèlement à l’école – Ministère de l’éducation nationale – Dossier de presse – novembre 2013L’UNICEF France plus que jamais mobilisé pour la lutte contre le harcèlement scolaire – Communiqué de presse – novembre 2013

Christy Turlington, nouvelle égérie Missoni

April 29, 2020 | News | No Comments

La maison italienne a enrôlé le célèbre top model américain Christy Turlington pour sa campagne Printemps-Eté 2014.

Christy Turlington prend la pose pour Missoni.

A 45 ans, la sublime mannequin filiforme n’a vraiment rien à envier à ses cadettes. Mensurations de rêve, regard envoûtant, et charisme impressionnant : Christy Turlington est tout simplement divine dans la nouvelle campagne Missoni.Réalisée au beau milieu des paysages arides de l’Ile de Ténérife (Espagne) par la photographe Viviane Sassen, la campagne met l’accent sur les looks graphiques de la nouvelle collection Missoni.Pour coller à cette tendance, le top model américain tient sur chaque cliché un élément en plexiglas représentant une lettre. Mises bout à bout, les lettres forment le nom “Missoni“.Mannequin de renommée mondiale, Christy Turlington a posé pour de nombreux créateurs et marques, dont H&M, Calvin Klein, Maybelline, Jason Wu, Prada, Donna Karan, Esprit, ou encore Louis Vuitton.Source : RelaxnewsClick Here: cheap all stars rugby jersey

Les femmes atteintes d’un cancer du sein traitées par radiothérapie ont un risque accru de développer un cancer du poumon secondaire à l’exposition aux rayonnements, selon une étude danoise présentée au 33èmecongrès de la Société européenne de radiothérapie et oncologie(ESTRO33) qui se déroule à Vienne (Autriche).

La radiothérapie du sein expose à un sur-risque de cancer du poumon.

Nous avons découvert que pour chaque Gray délivré aux poumons lors d’une

radiothérapie appliquée pour traiter un

cancer du sein, le risque relatif de développer un cancer primaire du poumon augmente“, a commenté le Dr Trine Grantzau, oncologue à l’hôpital universitaire d’Aarhus au Danemark. Et le médecin d’ajouter que l’accroissement de ce risque est similaire à l’accroissement du risque de maladie cardiaque observé après une radiothérapie du cancer du sein.Dans la mesure où les progrès de la médecine permettent à de plus en plus de femmes de survivre à leur cancer du sein, il apparaît indispensable d’évaluer la balance bénéfices/risques des traitements appliqués pour soigner ce cancer afin de prendre les mesures nécessaires pour qu’elle reste toujours positive.Second cancer radio-induit : un risque de 1 pour 200Une étude portant sur 23 627 Danoises traitées par radiothérapie après chirurgie du sein entre 1982 et 2007, ainsi que sur 22 549 patientes atteintes elles aussi d’un cancer du sein mais non traitées par radiothérapie, avait montré que le risque de développer un second cancer radio-induit était d’environ 1 pour 200 femmes traitées. “Dans l’étude actuelle, nous voulions savoir s’il y avait une corrélation dose-réponse pour le développement d’un cancer primaire du poumon secondaire à une irradiation d’un cancer du sein“, a expliqué le Dr Grantzau. Avec ses collègues, elle a donc calculé l’incidence de premiers cancers du poumon secondaires à une exposition aux rayonnements. Au total, 151 femmes (0,6 %) avaient développé un nouveau

cancer du poumon. Ce groupe cas a été comparé à un groupe contrôles, constitué de 443 femmes qui n’avaient pas développé une telle tumeur.Les chercheurs ont examiné les données de radiothérapie (dose délivrée, taille de la zone irradiée, technique thérapeutique) ainsi que le statut tabagique des patientes. Ils sont ainsi parvenus à déterminer la quantité de rayons auxquels les femmes ont été exposées au niveau du poumon où s’est développée la tumeur secondaire.Cancer du poumon secondaire à la radiothérapie : un phénomène dose-dépendantLa moitié des femmes avaient eu le diagnostic de cancer du sein avant l’âge de 54 ans (ce qui, au passage, pose la question de la pertinence de la tranche d’âge pour le dépistage -50-74 ans-, sans parler de la

pertinence du dépistage lui-même, fortement remise en questions par bon nombre de spécialistes et que semblent soutenir de plus en plus de travaux) et la moitié avaient développé un cancer du poumon secondaire à l’âge de 68 ans. Dans 70 % des cas, le diagnostic de cette seconde tumeur était posé plus de 5 ans après la radiothérapie du cancer du sein (de 5 à 26 ans après). A noter, une écrasante majorité des patientes concernées étaient fumeuses (91 %), contre 40 % des contrôles.La dose moyenne d’irradiation reçue lors de la radiothérapie au site de la tumeur pulmonaire secondaire était de 8,7 Gray, contre 5,6 Gy sur la même zone chez les femmes qui n’avaient pas développé de tumeur secondaire. Si le risque absolu de développer un cancer du poumon secondaire reste faible, le risque relatif chez les femmes qui ont survécu au moins 5 ans à leur cancer du sein n’est pas négligeable, augmentant de 8,5 % par Gray délivré au  poumon, estime le Dr Grantzau.“Ces résultats montrent que le risque de cancer secondaire du poumon après une radiothérapie chez les patientes atteintes d’un cancer du sein au stade précoce est associé à la dosé délivrée au poumon“, conclut-elle. Et d’ajouter : “La radiothérapie post-opératoire chez les patientes atteintes d’un cancer du sein diminue le risque de récidive de cancer du sein et améliore la survie globale. Tout l’enjeu pour les radio-oncologues est de réduire la dose de radiothérapie délivrée afin de minimiser la dose reçue par le tissu sain de façon à éviter les tumeurs malignes radio-induites, sans compromettre son efficacité dans le traitement du cancer du sein“.Elle recommande aux médecins de prévenir constamment leurs patientes des risques associés à la radiothérapie mais aussi et surtout de ceux associés au

tabagisme, bien plus grands en matière de cancer du poumon. Pour le Pr Vincenzo Valentini, président du congrès et radio-oncologue à Rome, cette étude souligne l’importance de l’évaluation de la sécurité des procédures de radiothérapie afin de toujours traiter à l’aune du rapport bénéfices/risques du traitement.Amélie PelletierSource : “Increased risk of developing lung cancer after radiotherapy for breast cancer“, Communiqué de presse, Congrès ESTRO33, Vienne, 7 avril 2014.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

LEXINGTON, KY — “Counseling is available,” someone wrote on Facebook after the police department in Lexington, Kentucky, posted pictures of cops in the throes of mock grief after a Krispy Kreme doughnut truck burned. “Don’t carry this inside of you.”

Playing off the decades-old joke that police officers are about as inseparable from doughnuts as they are from their badges, the Lexington Police Department posted the photos with the message “No words” on New Year’s Eve. There were no injuries in the truck fire, except for the doughnuts, police said.

“The driver was lucky he didn’t get Kremated,” someone else wrote on Facebook.

The selfies the police officers snapped were complete with quivering lips.


The social media posts, which gained worldwide attention, prompted police departments across the country to offer sympathy

“We feel your loss,” the University of Kentucky Police Department tweeted, punctuating the condolence message with a crying face and doughnut emojis. “We donut what else to say.”

Police in Chicago’s 14th District also chimed in with “condolences from Chicago.”

Here’s another condolence to Lexington police in their hour of need:

“We’re thinking of you during this difficult time … and have more doughnuts on the way,” Krispy Kreme tweeted. “Hope,” the Lexington Police Department posted in response.

Sure enough, the police department received about 20 dozen doughnuts Wednesday afternoon, according to television station WYKT.

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The jokes about cops and doughnuts date back to the days before police working graveyard shifts had few options to grab a bite to eat.

“Graveyard cops in the forties and fifties had few choices. They could pack lunch, pray for an all-night diner on their route or fill up on doughnuts,” Norm Stamper, the former chief of the Seattle Police Department, said in “The Donut: History, Recipes, and Lore from Boston to Berlin” by Michael Krondl. “They were cheap and convenient.”

Police aren’t allowed to accept gifts while on duty, so it makes sense they would spend their money on a relatively inexpensive snack like doughnuts, Paul Mullins, an Indiana University-Purdue University professor of anthropology and author of “Glazed America: A History of the Doughnut,” told Time magazine.

In “Time to Make the Donuts: The Founder of Dunkin Donuts Shares an American Journey,” the chain’s founder William Rosenberg said he wanted to make sure the doughnut stores, which were open at odd hours of the night, were a hospitable place for police. “It protected the stores and kept the crime rate very low,” he said.

Here’s the tweet that started all the hilarity on social media.

For more reaction, go to theLexington Police Department Facebook page.

All photos courtey of Lexington, Kentucky, Police Department

BIRMINGHAM, AL – After national attention and counter-protests surrounding the Birmingham Civil Rights Institute rescinding an award for civil rights activist Angela Davis, Birmingham mayor Randall Woodfin issued a statement on the controversy, stressing transparency and clarity.

The Birmingham Civil Rights Institute was set to bestow upon Davis in February its highest honor, the prestigious Fred Shuttlesworth Human Rights Award, at the institute’s annual gala. However, that honor was rescinded this week after opposition from Birmingham’s Jewish community regarding Davis’ anti-Israel stance.

The backlash the BCRI has received this week from local civil rights groups also prompted the resignation from the BCRI board of three board members – chair Mike Oatridge, first vice chair Walter Body, and secretary Janice Kelsey.

(For more updates on this story and free news alerts for your neighborhood, sign up for your local Patch morning newsletter.)

Woodfin said Thursday night in a statement that there is a “crisis of leadership at the Birmingham Civil Rights Institute.” He is asking that the organization show more transparency regarding the controversy.

“Because of their poor stewardship, some in the local and national media are misconstruing the crisis of leadership at the Birmingham Civil Rights Institute as a clash of cultures, ethnic groups, or races. Let me be clear – it is not,” Woodfin said. “In fact, I would like to clarify my own initial remarks to ensure that we can bring all voices to the table for ongoing dialogue.”

Woodfin said, “Birmingham’s Jewish community is not monolithic in thought. I consider myself an ally of Birmingham’s Jewish community. In fact, African American and Jewish leaders in Birmingham have worked together to build bridges during some of Birmingham’s darkest times. I expect us to continue to do so.”

He added, “It was not my intent to suggest that the entire Jewish community was opposed to Dr. Angela Davis receiving the Fred L. Shuttlesworth Human Rights Award.”

Woodfin said that dialogue should have allowed “for the full measure of discussion about the merits of the recognition by the Birmingham Civil Rights Institute, including supporters and dissenters of some of Dr. Davis’ positions.” He referred to the lack of communication by the BCRI as “unacceptable.”

“While the resignation of some members from the Board of Directors from the Birmingham Civil Rights Institute signals a first step, there are still unanswered questions surrounding their situation,” Woodfin said. “We know very little about what transpired on that board that has brought us to this point.”

Woodfin said he requested from the BCRI Monday the following information:

“As of today, I have received copies of BCRI board minutes from September-December 2018 (you can read a PDF those minutes here: BCRI Governance 2018). No other actions have taken place yet, but I have been assured they are forthcoming,” Woodfin said.

“Two of the core values of my administration are transparency and accountability, which is why I implore and insist that every step be taken to restore confidence in the decision-making process and governance of the Birmingham Civil Rights Institute,” he added. “I intend to partner with the Birmingham City Council in holding this board accountable.”

The City of Birmingham is the largest donor to the BCRI, and Woodfin said as such the city has a fiduciary responsibility to ensure that the use of public resources reflect the values of the City of Birmingham.

“I acknowledge the formation of the citizen-led Birmingham Committee for Truth and Reconciliation which will host Dr. Davis in Birmingham on Saturday, February 16,” Woodfin said. “I welcome Dr. Davis back home and hope that her return to the City is one that helps further community conversations.”

Woodfin said he will announce a series of conversations that will facilitate constructive dialogue around civil and human rights starting January 21 during the Dr. Martin Luther King, Jr. Day of Observance.

“We do have a unique legacy that changed the events of the world more than a half-century ago,” Woodfin said. “In the spirit of those that fought and died so that we can stand on these sacred grounds, I will ensure that every step is taken to preserve and protect our civil and human rights legacy of courageous dialogue.”

Photo by Jemal Countess/Getty Images

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