Month: April 2020

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Three Houston-area residents drowned and two children were rescued while on vacation in the Turks and Caicos Islands earlier this week, according to officials and news reports.

A search and rescue mission was underway in the islands on Monday, the Royal Turks and Caicos Islands Police Force said. Island officials began the search and rescue mission around 1 p.m. local time.

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About an hour later, a 33-year-old woman was confirmed dead and the body of an adult male was recovered just after 5 p.m. The following day, the body of a second man was recovered shortly after 6 a.m.

Two girls were rescued by good samaritans and are in the care of social services. The authorities said the two girls were related to the adults but didn’t say how.

According to a report in KPRC, one of the girls was the daughter of two of the drowning victims, who family members identified as Irma Barrera, 33, and Roy Perez, 38, of Lake Jackson. The second girl was the daughter of the third victim, identified in the KPRC report as Dr. Richard Okoloise.

“Yesterday the Turks and Caicos suffered a very human and terrible tragedy when five tourists from two families got into difficulties in the waters off Middle Caicos,” the Turks and Caicos Commissioner of Police said in a statement on Tuesday.

The nature of the difficulties the tourists faced was not immediately clear.

DEARBORN, MI — Ford has released a safety recall for some 2015 Ford Fusions and 2015 Lincoln MKZ models, according to a release from the company. The cause of the recall is seat belt anchor pretentioners.

In these affected vehicles, which total over 100,000, “increased temperatures generated during deployment of the driver or front-passenger seat belt anchor pretensioner could degrade the tensile strength of the cable below the level needed to restrain an occupant.”

The company adds that seat belt assemblies that can’t restrain the occupant can increase the risk of injury in an accident.

One person so far has been injured in relation to this defective seat belt assembly.

The affected 2015 Ford Fusions were built at Flat Rock Assembly Plant from Aug. 1, 2014 to Jan. 30, 2015 and at Hermosillo Assembly Plant from Aug. 1, 2014 to Nov. 24, 2014.

The affected 2015 Lincoln MKZs were built at Hermosillo Assembly Plant from Aug. 1, 2014 to Nov. 21, 2014.

In total the vehicles affected total:

When owners bring their vehicles in, the dealer will apply a coating to protect the cable during pretentioner deployment. The recall reference number is 19S25

Une étude à échelle européenne dévoilée par le site Naturavox a évalué l’influence des diktats de beauté sur la perception des Françaises de leur propre apparence physique. L’enquête révèle une forte propension à l’auto-dévalorisation

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  1. Dévalorisation vis-à-vis du partenaire

Qui n’aime pas se prélasser sur sa serviette de plage et plonger dans une piscine bien fraîche quand le thermomètre affiche plus de 30 degrés ? Mais pour certaines femmes, la saison estivale rime avec complexes, voire la peur de se dénuder et de confronter ses rondeurs aux diktats impitoyables de beauté imposés par la société.Où se situent les Françaises par rapport à leurs voisines européennes ? C’est la question posée par cette enquête Ifop x

Naturavox, réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 5.000 femmes européennes (Italiennes, Espagnoles, Allemandes et Anglaises), dont 1.000 Françaises. L’étude montre que l’auto-critique est fortement répandue parmi les habitantes de l’Hexagone : seules 22% d’entre elles s’estiment “jolies”, contre 28% chez les Espagnoles et les Anglaises et 39% chez les Italiennes. Dévalorisation vis-à-vis du partenaireConformément à l’injonction fortement ancrée dans les esprits selon laquelle minceur et beauté vont de pair, l’impression d’être physiquement attirante est particulièrement forte dans les catégories de la population féminine les moins affectées par des problèmes de surpoids : 40% des femmes à l’indice de masse corporelle “normal” se jugent “jolies,” contre 10% des femmes en situation d’obésité. L’étude rappelle toutefois qu’en terme d’obésité, les Françaises se situent en bas de l’échelle européenne (15,3%), loin devant les pays du Nord-Ouest (21% au Royaume-Uni et 20% en Allemagne), ce qui laisse sous-entendre que ce diktat pèserait davantage sur l’image et l’estime des habitantes de l’Hexagone. Le sondage montre également une tendance des femmes interrogées à survaloriser l’attrait physique de leur conjoint par rapport à la leur. Près d’un tiers des sondées (29%) estiment en effet que leur partenaire est “plus beau” qu’elles (contre 24% moyenne dans les autres pays étudiés). Sans surprise, cette impression est nettement plus marquée chez celles qui ont une piètre opinion de leur physique (57%).

L’utilisation détournée du protoxyde d’azote comme gaz hilarant inquiète de plus en plus, aussi bien dans les soirées étudiantes que sur les réseaux sociaux. Car aussi “drôle” soit-il, ce gaz, lorsqu’il est aspiré, n’est pas sans risques pour la santé.

Usuellement appelé “proto” ou

“gaz hilarant”, le protoxyde d’azote est un gaz principalement utilisé dans le milieu médical, comme anesthésiant, ou industriel, comme gaz de pressurisation d’aérosol. Mais depuis plusieurs années, il est détourné de son usage initial pour ses propriétés euphorisantes et se retrouve conditionné dans des ballons de baudruche afin d’être inhalé. Une pratique inquiétante et qui tend à se banaliser sur certains réseaux sociaux, en particulier Snapchat, d’après le site web d’actualité informatique Numerama. Le média spécialisé s’appuie notamment sur l’exemple récent d’une candidate de téléréalité qui a publié des images d’une soirée où elle aspire à plusieurs reprises le contenu d’un ballon de baudruche. Fin 2018, l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies s’inquiétait également de la résurgence de ce gaz dans divers contextes festifs observée depuis 2015 ainsi que par sa visibilité accrue dans certaines métropoles où “les cartouches vides jonchent les trottoirs de certains quartiers”. Des risques, quelque soit la fréquence de l’usage ou la doseOutre une courte sensation d’euphorie, qui disparaît au bout de quelques minutes, l’inhalation du protoxyde d’azote expose à plusieurs effets indésirables, comme le rapporte le site du ministère de la Santé drogues-info-service : nausées et vomissements,

maux de tête,

crampes abdominales,

diarrhées,

somnolence et baisse de la vigilance,

vertiges,

acouphènes. A plus forte dose, le gaz peut engendrer une

confusion, une

désorientation, une

difficulté à parler et à coordonner ses mouvements, une faiblesse musculaire et des

irrégularités cardiaques. Le surdosage se manifeste, lui, par des troubles moteurs,

des altérations de la perception, et plus rarement des convulsions.Toujours d’après le site gouvernemental, en cas d’usage régulier, le protoxyde d’azote peut entraîner des

pertes de mémoire,

des troubles de l’érection,

des troubles de l’humeur de type paranoïaque,

des hallucinations visuelles,

des troubles du rythme cardiaque ainsi qu’une baisse de la tension artérielle. Ces altérations sont néanmoins réversibles à l’arrêt de la consommation. De plus, indépendamment de la fréquence d’utilisation, le gaz hilarant expose à un risque de brûlure par le froid due à sa température, à un

trouble de la déglutition ainsi qu’à un manque d’oxygène pouvant provoquer la mort par

asphyxie en raison de la très forte concentration en protoxyde d’azote des cartouches. Des troubles neurologiques en cas d’usage chronique à forte doseLa consommation chronique de protoxyde d’azote à fortes doses expose, sans surprise, à des effets encore plus sévères. Le gaz peut effectivement causer

une carence en vitamine B12, à l’origine de troubles neurologiques tels que des

engourdissements des doigts ou des orteils, un difficulté à se mouvoir due à une faiblesse des jambes,

des troubles de l’équilibre ainsi que des sensations de décharges électriques dans la nuque. Cette carence en vitamine B12 peut également être à l’origine d’une

anémie. Ces troubles peuvent apparaître tardivement, après plusieurs mois d’utilisation. Ils sont généralement réversibles à l’arrêt de la consommation et en cas de traitement à base de vitamine B12.Une situation à risque donc, qui pousse certains élus à réagir. Début juillet, deux maires de la métropole Lilloise ont pris un arrêté interdisant la vente de cartouches de protoxyde d’azote aux mineurs. Le département du Nord étant particulièrement impacté par ce phénomène.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Les femmes pourront-elles un jour se vacciner contre l’infection à chlamydia, maladie sexuellement transmissible courante qui rend parfois stérile ? Des travaux préliminaires sur un vaccin ont donné des résultats encourageants, même si le chemin est encore long, selon une étude publiée mardi.

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  1. L’infection à chlamydia, fréquente et potentiellement grave 
  2. “Le besoin d’un vaccin est réel”

Publiés dans la revue The Lancet Infectious Diseases, ces travaux montrent qu’un vaccin en cours d’élaboration est “sûr et capable de provoquer une réponse immunitaire“.Mais même si ces éléments sont “encourageants“, on n’en est encore qu’à un stade très préliminaire : d’autres recherches seront en effet nécessaires “pour déterminer si la réponse immunitaire provoquée protège efficacement contre l’infection à chlamydia“, selon l’étude.L’infection à chlamydia, fréquente et potentiellement grave Il s’agit du premier vaccin contre cette infection bactérienne à être testé dans le cadre d’un essai clinique (il en est à la phase 1, le stade le plus préliminaire).Chaque année, 131 millions de personnes dans le monde contractent une infection à la bactérie chlamydia, selon des estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces estimations pourraient être en-dessous de la réalité, car quelque 70% des femmes infectées ne ressentent aucun symptôme et ignorent qu’elles ont contracté cette infection sexuellement transmissible (IST).Elle est plus fréquente chez les femmes de 18 à 25 ans que chez les hommes du même âge. Chez les femmes, elle peut entraîner des complications sévères, parmi lesquelles des inflammations pelviennes, des grossesses extra-utérines voire la stérilité.En outre, elle augmente les risques de contracter d’autres IST, comme la gonorrhée ou l’infection au VIH, le virus du sida.”Le besoin d’un vaccin est réel”L’infection à la bactérie chlamydia peut être soignée grâce à un traitement antibiotique. Mais “vu l’impact de cette épidémie sur la santé des femmes, sur la santé reproductive, sur la santé des enfants en cas de transmission (…), le besoin d’un vaccin est réel“, estime l’un des auteurs de l’étude, le professeur Peter Andersen, de l’institut de recherche danois Statens Serum Institut.Les chercheurs ont mené l’étude sur 35 femmes qui n’avaient pas été infectées par la chlamydia, en utilisant deux formulations différentes du vaccin.Quinze femmes ont reçu l’une de ces formulations (administrée en cinq fois, par piqûres dans le bras puis vaporisations dans le nez), quinze autres ont reçu la seconde (également en cinq fois), et les cinq dernières ont reçu un placebo.Les deux formulations du vaccin ont provoqué une réponse immunitaire (c’est-à-dire la production d’anticorps) chez toutes les femmes testées.Pour autant, les performances de la première formulation étaient meilleures car elle a permis de produire davantage d’anticorps. C’est donc elle qui a été choisie pour la suite des recherches.”Bien que de nombreuses années supplémentaires de recherche soient nécessaires, nous prévoyons de passer au prochain state, l’étude clinique de phase 2“, a expliqué l’une des scientifiques, Helene B. Juel.

Les gouvernements canadien et écossais sont en train d’évaluer l’intérêt d’apposer des messages d’avertissement sur toutes les cigarettes et plus simplement le paquet pour arrêter de fumer. Et selon une étude, cette mesure serait efficace.

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  1. Un message d’avertissement plus difficile à éviter 
  2. Une stratégie politique jugée viable

Dans le cadre de leur programme national de

lutte contre le tabac, les gouvernements écossais et canadien suggèrent que le message d’avertissement “Fumer tue” apparaisse sur chaque cigarette, en plus de celui apposé sur le paquet. Dans une étude publiée le 29 août dernier dans la revue Addiction Research and Theory, les chercheurs de l’université de Stirling ont souhaité connaître l’impact d’une telle mesure si elle était adoptée. Et visiblement, celle-ci aurait l’effet escompté.Un message d’avertissement plus difficile à éviter Les scientifiques écossais ont demandé à 120 fumeurs âgés entre 16 et 50 ans de donner leur avis sur cette approche innovante. Et tous ont en effet affirmé qu’elle serait efficace pour les décourager : “un avertissement sur chaque cigarette est perçu comme un prolongement du message sanitaire, étant visible lorsque la cigarette est sortie du paquet, allumée, laissée dans un cendrier et à chaque bouffée. Il est donc plus difficile pour le fumeur de l’éviter”, suggèrent les chercheurs. Certains interrogés ont expliqué que cet avertissement exposé à la vue de tous pouvait leur donner une image négative et ainsi les embarrasser. Des participantes ont par ailleurs jugé ce message répété “déprimant, inquiétant et effrayant”. Les plus jeunes ont assuré que si la mesure était mise en place, elle les encouragerait à réduire leur consommation de tabac, voire à l’arrêter complètement.Une stratégie politique jugée viable“Le consensus est que cela serait rebutant pour les jeunes, les personnes qui commencent à fumer et même les non-fumeurs”, écrivent les auteurs de l’étude. “Ces résultats suggèrent que l’introduction de tels avertissements pourrait avoir un impact sur les décisions de ces groupes d’individus. Cela montre également que cette approche est une option politique viable qui pourrait, pour la première fois, étendre le message sanitaire jusqu’à l’expérience de consommation.”Des résultats en phase avec les études ultérieures menées depuis la mise en place du

paquet neutre : selon

l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a passé en revue les résultats de ces travaux, “les campagnes choc contre le tabac et les mises en garde illustrées apposées sur les paquets permettent de dissuader les enfants et d’autres groupes vulnérables de commencer à fumer et d’inciter un plus grand nombre de fumeurs à décider d’arrêter”, à condition qu’elles soient renouvelées régulièrement afin que la population ne s’y accoutume pas.

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révèle ce vendredi 13 septembre que le gouvernement souhaite mettre en place une indemnisation du congé proche aidant. L’annonce officielle devrait avoir lieu à la fin du mois de septembre.

C’est peut-être un bol d’air pour les quatre millions d’actifs qui s’occupent d’une personne en

perte d’autonomie ou

handicapée. France Info révèle ce vendredi 13 septembre que le gouvernement souhaite mettre en place une indemnisation du congé proche aidant, à hauteur d’environ 40 euros net par jour. Cette mesure devrait être annoncée à la fin du mois de septembre et être intégrée au projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Actuellement, le congé proche aidant, qui permet de cesser temporairement son activité professionnelle pour s’occuper d’une personne dépendante, n’est pas indemnisé. Donc bien qu’il s’impose à l’employeur et soit fractionnable (durée maximale de trois mois, renouvelable), peu de travailleurs en font la demande en raison de l’absence de salaire versé sur la période.Certaines modalités à réglerEn outre, France Info précise que toutes les modalité de cette disposition ne sont pas encore réglées. Le ministère des Solidarités et de la Santé et l’Assurance maladie réfléchissent notamment sur les justificatifs que devront fournir les aidants à la Sécurité sociale et à l’employeur. De même, ce congé pourrait être pris en compte dans le calcul de la retraite des aidants. Le gouvernement, qui a déjà fait part de son souhait en ce sens, devrait intégrer cette mesure dans la future réforme des retraites.Click Here: nrl league jerseys

“Les femmes ne doivent pas être présentes seulement lorsque les lois qui les concernent sont légiférées ; elles doivent être impliqués dans leur écriture”, disait-elle. Cinq ans plus tard, en 1956, les Egyptiennes obtiennent le droit de vote. Une éducation française

La féministe égyptienne Doria Shafik   (AFP)

  Son doctorat de philosophie en poche, Doria rentre au pays en espérant donner des cours à l’Université du Caire. Mais elle est jugée “trop moderne” et le poste lui est refusé, comme le raconte Cynthia Nelson dans son livre Doria Shafik, Egyptian feminist. A Woman Apart (Doria Shafik, une féministe égyptienne, une femme pas comme les autres). Très engagée en faveur des droits des femmes, Doria Shafik se lance dans le journalisme et dirige plusieurs publications prônant l’égalité des droits, comme le magazine français La Femme Nouvelle. “L’Egypte restera une société non démocratique tant que les femmes seront privées de leurs pleins droits politiques”, écrivait-elle à la fin des années 40, rapporte sa biographe Cynthia Nelson. La désillusion Elle ne reculait devant rien pour défendre l’émancipation des Egyptiennes. Mais la nouvelle République issue de la révolution de 1952 n’a pas pris le chemin de la liberté rêvée. Elle s’indigne et écrit : “Vers quel abîme se dirige mon pays ?”

La féministe Doria Shafik lors d’un entretien avec le commandant en chef de l’armée, le général Mohammed Naguib, en août 1952.  (AFP)

Avec la nouvelle Constitution de 1956, les femmes ont certes obtenu le droit de vote, mais toutes les autres revendications ont été ignorées ou rejetées par Nasser, souligne le site dédié à Doria Shafik. En 1957, la militante féministe est assignée à résidence pour avoir protesté contre le régime. La philosophe, poète et éditrice est bannie et ses publications sont interdites. Après un isolement intenable, Doria Shafik met fin à ses jours en 1975 en se jetant d’un balcon. Elle avait 67 ans. L’une de ses deux filles, Jehane, se souvient d’une mère aimante, battante et impressionnante. “Un jour, je me suis réveillée et j’ai vu maman habillée. Je lui ai demandé où elle allait et elle a répondu : ‘peut-être un jour tu comprendras, mais je vais essayer de sauver l’Egypte d’une dictature.’Click Here: cheap nsw blues jersey

Un Centre de réponse à la catastrophe (CRC), structure présentée comme "unique en France et en Europe" pour intensifier la coopération internationale sur ce sujet, a été lancé jeudi à Toulouse, a indiqué l’organisme.

“Nous préparer aux crises, cela veut dire anticiper, rechercher, se former, s’entraîner, avoir des retours d’expérience, pas seulement au niveau national“, a indiqué le préfet de la région Occitanie, Étienne Guyot.”C’est s’inspirer de ce qui se fait aux États-Unis et dans d’autres pays du monde, de façon à ce que l’interactivité de nos échanges produise une valeur ajoutée, une meilleure réponse à la crise. Et c’est cela que nous avons l’ambition de mettre en œuvre aujourd’hui avec l’ensemble des partenaires nationaux et internationaux“, a-t-il souligné.Outre la préfecture, le CRC implique notamment l’Agence régionale de santé, le CHU de Toulouse (en particulier le SAMU 31), le Service départemental d’incendie et de secours de la Haute-Garonne (SDIS 31), l’Université Toulouse III- Paul Sabatier et enfin l’Institut toulousain de Simulation en santé (ItSims).Cette nouvelle structure travaillera en partenariat avec le Beth Israel Deaconess Medical Center Fellowship in Disaster Medicine de Boston, centre de référence international. Le CRC “a vocation à participer à un réseau mondial en lien avec les plus grands experts internationaux de réponse à la catastrophe. Toulouse sera le centre pivot en Europe de cette association de professionnels“, selon les promoteurs.”Le CHU de Toulouse a une longue expérience dans la prise en charge des situations de crise. C’est à Toulouse que le professeur Lareng a inventé le modèle du SAMU qui s’est imposé à l’ensemble du territoire français dans chaque département. C’est aussi un modèle qui a été exporté dans de nombreux pays“, a relevé Marc Penaud, directeur général du CHU de Toulouse.”Mais c’est aussi à Toulouse qu’ont eu lieu des événements de grande ampleur (AZF en 2001, attaque terroriste en 2012) qui ont forgé l’expertise du CHU de Toulouse et du SAMU 31 dans la réponse médicale aux situations de catastrophe“, a-t-il insisté.Ce réseau international rassemble pour l’instant les USA, Israël, la Belgique, l’Espagne, l’Irlande et l’Angleterre, selon le Professeur Vincent Bounes, chef de service du SAMU 31 du CHU de Toulouse.Click Here: West Coast Eagles Guernsey

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Ils veulent davantage de plantigrades en liberté. De “nouveaux lâchers” d’ours sont “indispensables” afin d’assurer “à long terme la viabilité” de la population, “encore trop petite”, dans le massif pyrénéen, assure, mercredi 26 décembre, l’association Férus, en charge de la protection et de la conservation des grands prédateurs. “La bonne nouvelle de l’année 2018 est sans conteste le lâcher de deux ourses dans le Béarn en octobre. Un moment historique ! MAIS… Un long chemin reste à faire”, estime Férus dans un communiqué transmis à l’AFP.Deux ourses, Claverina et Sorita, qui pourraient donner naissance à des petits en 2019, ont été lâchées en octobre dans les Pyrénées-Atlantiques, afin de sauvegarder l’espèce menacée d’extinction en France. Mais certains éleveurs locaux sont opposés à leur présence. Pour l’association, “la sécurité totale des ourses n’est pas assurée à cause d’une minorité d’anti-ours toujours violente”.Selon les bergers anti-ours, la présence des plantigrades n’est pas compatible avec l’élevage. L’animal, qui se nourrit à 70% de végétaux, peut s’attaquer à des brebis ou provoquer la chute de dizaines d’entre elles d’un escarpement si elles sont effrayées. D’autres bergers militent, eux, pour une cohabitation avec l’animal.Click Here: Geelong Cats Guernsey