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MICHIGAN — While many Michiganders are dismayed at the approaching subzero temps, unplowed roads and devastating wind chills, one school district is having some fun with their snow day opportunity.

Swartz Creek Community Schools Superintendent Ben Mainka and Principal Jim Kitchen appeared in a video this week to announce a snow day in a unique way. The duo took on the classic “Hallelujah,” with some changes to the lyrics.

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Take a look at the video, it’s pretty great.

Screenshot via Youtube.

Généralisation du tiers-payant, création d’un parcours éducatif en santé, instauration du médecin traitant pour les enfants, mise en place d’un numéro unique pour connaître les praticiens de garde… Telles sont quelques-unes des idées contenues dans le projet de loi santé dont Marisol Touraine a présenté les orientations le 19juin2014. Avec quels moyens ces mesures seront-elles mises en œuvre? La ministre de la Santé n’en a rien dit…

Marisol Touraine a présenté les principales mesures de la nouvelle loi de santé.

Refonder notre système de santé“, pas moins. C’est la lourde tâche à laquelle Marisol Touraine entend s’atteler afin de répondre aux défis du vieillissement et des maladies chroniques, enjeux majeurs des prochaines décennies auxquels ne saurait faire face un “système de santé arrivé au bout de sa logique“, selon les termes de Bernadette Devictor, présidente de la Conférence nationale de santé. Pour cette dernière, il y a une “véritable urgence à proposer une loi ambitieuse pour donner un nouveau souffle à notre système de santé“ et répondre ainsi aux acteurs qui “sont dans l’attente d’un signal politique fort“.
S’il prolonge la feuille de route présentée par la Marisol Touraine le 23 septembre 2013, ce projet de loi santé s’inspire également des 160 débats régionaux tenus entre novembre 2013 et février 2014, auxquels ont participé plus de 25 000 personnes, s’est félicitée Marie-Sophie Desaulle, présidente du Collège des directeurs généraux des Agences Nationales de Santé (ANS). Il s’articule autour de quatre grandes orientations :
– la prévention et l’éducation en santé ;
– le parcours de soins, afin d’assurer une prise en charge dans la proximité et la continuité ;
– l’innovation, pour maintenir à son plus haut niveau la qualité des soins ;
– et enfin les droits des patients, avec une association plus forte de ces derniers à l’élaboration de la politique de santé.La prévention, enfin une priorité de santé publique ?“Apporter aux Français les moyens de se prémunir et de se protéger“ contre la maladie. Pour cela, Marisol Touraine propose de mettre la prévention au cœur de la politique de santé. Si cette proposition est validée, il sera désormais de la responsabilité de l’État de prévenir la maladie. Comment ? Pas par des mesures de fiscalité, a assuré la ministre pour qui prévention ne rime pas nécessairement avec punition, réglementation ou taxe. Non, Marisol Touraine veut agir tôt en sensibilisant les enfants aux enjeux de santé et suggère pour cela d’instaurer un parcours éducatif en santé. “Il s’agit que les enjeux de santé imprègnent le contenu de tous les enseignements“, a-t-elle précisé, pour assurer de l’importance qu’elle accorde à cette idée.La ministre de la Santé envisage également d’élargir aux enfants de moins de 16 ans le recours au médecin traitant (généraliste ou pédiatre). Une proposition qui, sans surprise, recueille l’aval des médecins généralistes, mais à laquelle les pédiatres français s’opposent farouchement. “Les parents doivent garder le libre choix de consulter un pédiatre ou un médecin généraliste, en fonction des besoins de leur enfant et des disponibilités des professionnels de santé“, estiment-ils dans un communiqué de presse, appelant les Français à les soutenir sur le site

Jaimemonpediatre.com ou les réseaux sociaux (

Facebook et

Twitter) qu’ils ont dédiés à cette cause.Sans plus de précisions, Marisol Touraine a également fait part de son souhait de protéger les jeunes contre les addictions, que ce soit le tabac (la ministre devrait annoncer son programme national de réduction du tabagisme “prochainement“, a-t-elle indiqué) ou “les séances d’alcoolisation excessive“. Difficile de ne pas adhérer à cette idée… Mais quant aux mesures et aux moyens qui seront mis en œuvre, nous n’en saurons pas plus.La ministre a par ailleurs indiqué qu’elle souhaitait généraliser la pratique des Tests Rapides d’Orientation Diagnostiques (TROD) pour faciliter l’accès au dépistage du VIH des personnes les plus exposées et définir le cadre de l’expérimentation des salles de shoot.Si elles sont des priorités de santé, ces questions doivent faire l’objet d’une politique coordonnée entre les différents ministères, a plaidé la ministre, qui a annoncé la création d’un comité interministériel pour la santé “aujourd’hui même“. Et pour mesurer l’efficacité des mesures qui seront prises, “les résultats devront se voir, s’identifier rapidement“, a-t-elle souligné. Des études d’impact sur la santé des décisions politiques sont d’ailleurs appelées de leurs vœux par les acteurs de terrain, a fait savoir Marie-Sophie Desaulle. À cet effet, Marisol Touraine souhaite “doter la France d’un Institut pour la prévention, la veille et l’intervention en santé publique“.Simplifier le système de santéLa ministre de la Santé veut par ailleurs simplifier un “système de santé devenu trop complexe, opaque“ où le risque d’une médecine à deux vitesses est “bien réel“, par “la mise en place d’un service territorial de santé au public pour améliorer la prise en charge des patients“. Organiser le parcours de soins du malade afin qu’il sache à qui s’adresser, telle sera sa mission. Cela passe notamment par le renforcement des liens entre médecins de ville et médecins hospitaliers avec la remise à chaque patient sortant de l’hôpital d’une lettre de liaison, qui “pourra être dématérialisée“, et d’un “programme personnalisé de soins“ pour guider les patients chroniques. Les professionnels de santé bénéficieront pour cela de l’appui des agences régionales de santé, avec lesquelles ils concevront des “plateformes territoriales d’appui“ censées faciliter la prise en charge de leurs patients les plus complexes. Cette implication sera reconnue par une évolution de leurs modes de rémunération, qui font actuellement l’objet d’une négociation entre leurs représentants et l’assurance maladie. S’ils ne parviennent pas à un accord avant fin juillet, Marisol Touraine procédera à un règlement arbitral, a-t-elle prévenu.Pour les soins urgents, chaque département disposera d’un numéro d’appel unique à trois chiffres informant sur les médecins de ville de garde la nuit et le week-end. Et pour pallier le manque d’information qui constitue un obstacle à l’accès aux soins, un portail web d’information en santé, sur le modèle du site

medicaments.gouv.fr sera mis en place.Généraliser le tiers-payant à tousMesure phare qui a fait couler beaucoup d’encre avant même son annonce officielle, la généralisation du tiers-payant à tous. Autrement dit, les patients n’auront plus à avancer les frais lorsqu’ils se rendront chez leur médecin. Si beaucoup de médecins spécialistes libéraux  pratiquent déjà le tiers-payant, les généralistes se montrent assez réticents, reconnait MG France, arguant des difficultés techniques et du manque de coordination entre régimes obligatoires et complémentaires. Cette mesure interviendrait dès 2015 pour les bénéficiaires de l’aide à la complémentaire santé, puis d’ici 2017 pour tous les assurés. Répondant aux critiques formulées par certains, Marisol Touraine a insisté sur les avantages de ce système, qui “apportera au médecin une garantie de paiement sans délai et sera simple à utiliser“. “Le tiers-payant est une avancée pour les patients qui ne change en rien la conception de l’exercice des professionnels de santé. La liberté de choix du médecin traitant, du mode d’exercice médical reste inchangée ; il ne s’agit pas d’une invention étatiste issue de pays ex-soviétiques“. S’il est favorable à cette mesure, MG France conditionne son succès à sa facilité de mise en œuvre pour le médecin, sa simplicité (une facture, un paiement) et à la garantie du paiement (sans vérification préalable des droits), indique-t-il dans un communiqué.Le dossier médical partagé… le retour !Marisol Touraine a par ailleurs annoncé le retour du DMP… sigle qui signifiera désormais Dossier Médical Partagé. La maîtrise d’œuvre en sera confiée à l’Assurance maladie, alors que l’Asip Santé qui à la gérait jusqu’alors.La ministre a également évoqué la possibilité d’actions de groupe (“class action“) pour protéger les citoyens face à “la puissance de certains industriels“.Elle veut également “prolonger le mouvement d’ouverture des données de santé“, l’“Open data“, tout en garantissant le respect de la vie privée.À l’hôpital, les conditions de l’exercice libéral et de l’intérim médical seront clarifiées, a annoncé Marisol Touraine, ajoutant que les rémunérations seront plafonnées. Les groupements hospitaliers de territoire seront désormais obligatoires pour mutualiser certaines activités, tels que les achats.Enfin, parce que “la santé n’est pas seulement un coût, mais un atout formidable pour l’avenir de notre pays“, grâce notamment aux progrès scientifiques et technologiques, Marisol Touraine veut faire le pari de l’innovation et donner à la France les moyens d’être compétitive sur la scène internationale. Avec Arnaud Montebourg, ministre de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique, et Geneviève Fioraso, secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, elle vient de simplifier considérablement les démarches nécessaires aux industries souhaitant lancer des essais cliniques en France4, de façon à accélérer la recherche clinique, permettre à davantage de patients d’accéder aux dernières innovations thérapeutiques et de renforcer l’attractivité des hôpitaux français.Quant aux droits des usagers, Marisol Touraine a annoncé la création d’une commission et l’extension de l’obligation de représentation des usagers dans toutes les agences nationales de santé. Elle a également réaffirmé son soutien à la création d’un Institut du patient, confié à l’École des Hautes Études en Sante Publique. Enfin, les concubins ou partenaires de PACS pourront bénéficier des mêmes droits que les personnes mariées en termes d’accès au dossier médical d’une personne décédée.Le projet de loi sera présenté en septembre en Conseil des ministres, avant d’être transmis à l’Assemblée nationale et examiné début 2015 au Parlement.
Amélie Pelletier,
Créé le 19 juin 2014.Crédit photo : Lcham/SIPA
Sources
1. Présentation des orientations du projet de loi santé par Marisol Touraine, en présence de Bernadette Devictor, présidente de la Conférence nationale de santé, Geneviève Fioraso, secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, et de Marie-Sophie Desaulle, présidente du Collège des directeurs généraux des Agences Nationales de Santé (ANS), le 19 juin 2014.2. “Tiers-payant : MG France rappelle l’inquiétude légitime des médecins généralistes“. Communiqué de presse MG France3. “

Gracias a Marisol ?“. Communiqué de presse du CISS4. “Essais cliniques industriels : Le gouvernement simplifie et raccourcit la procédure“. Communiqué de presse, 18 juin 2014.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

L’éradication de l’amiante est loin d’être réalisée en France, car tous les bâtiments publics et privés construits avant 1997(date de son interdiction en France) en contiennent potentiellement. Rendu public en juillet 2014, un rapport sénatorial pointe les faiblesses de la lutte contre ce fléau et veut faire de la prévention des risques liés à l’amiante une grande cause nationale.

Compte tenu du délai entre l’exposition et la survenue de la maladie, 60 000 à 100 000 décès liés à l'amiante sont attendus dans les 20 à 25 ans à venir.

Amiante : l’indemnisation des victimes pose toujours problèmeLe 28 février 2013, la commission des affaires sociales a créé un comité de suivi

amiante afin de dresser un bilan de la mise en œuvre des propositions formulées en 2005. Regroupant des sénateurs issus de tous les groupes politiques, le comité a souhaité approfondir la réflexion sur l’indemnisation des victimes et les enjeux du désamiantage.

Selon le

rapport rendu public en juillet 2014 et après 42 auditions d’associations, professionnels du désamiantage, médecins, syndicats, experts, fonds d’indemnisation et branches professionnels du bâtiment, le comité de suivi constate que les propositions formulées en 2005 ont été majoritairement suivies (17 des 28 mesures préconisées en 2005). Celles-ci concernaient principalement les mesures à prendre pour la protection des travailleurs. Mais 7 propositions concernant l’indemnisation des victimes et son financement sont restées lettre morte, faute de moyens mais également de consensus sur l’idée de faire payer les entreprises ayant produit des matériaux amiantés. Relever le défi du désamiantageSelon le comité, la réglementation actuelle est globalement satisfaisante, mais quatre faiblesses ont été identifiées et les membres du comité mis en place en février 2013 avance autant de séries de propositions pour y pallier :1. Faire de la prévention des risques liés à l’amiante une grande cause nationale en mettant en place un pilotage national interministériel afin d’élaborer une stratégie nationale avec un calendrier et des priorités (sans doute sur plusieurs décennies) et la création d’une structure de coordination interministérielle rattachée au Premier ministre. Il faut également instituer une mission d’appui pour les maîtres d’ouvrage publics, flécher des crédits vers la recherche et le développement et créer une plateforme internet unique sur le risque amiante à destination à la fois du grand public et des professionnels ;2. Améliorer le repérage de l’amiante en formant de façon rigoureuse les personnes chargées d’établir les diagnostics, pour informer l’ensemble des professions du bâtiment des risques ; créer une base de données Internet avec tous les DTA (diagnostics techniques amiante) et renforcer la coordination et la cartographie ;3. Renforcer la sécurité des travailleurs exposés à l’amiante, en demandant notamment aux organisations professionnelles de sensibiliser leurs adhérents à ce risque, de renforcer le rôle des CHSCT et de l’inspection du travail et d’élargir la possibilité de “l’arrêt de chantier amiante“ ;4. Mieux protéger la population en général en abaissant le seuil d’amiante dans l’air déclenchant les travaux de désamiantage, mieux informer les particuliers sur la gestion des déchets, aider les employeurs publics à contacter les agents susceptibles d’avoir été exposés à l’amiante et renforcer les effectifs de l’InvS (Institut national de veille sanitaire).Pour Aline Archimbaud, présidente du comité de suivi sur l’amiante : “Il serait irresponsable de croire que l’amiante est un problème du passé. Près de vingt ans après son interdiction, le drame sanitaire est bien devant nous ; on comptera 100 000 victimes en 2050. Si des mesures rapides ne sont pas prises par les pouvoirs publics, le désamiantage sera fait dans des conditions catastrophiques et c’est une seconde épidémie qui pourrait se développer, concernant notamment un million de salariés du bâtiment, dont les petits artisans, les salariés des entreprises de désamiantage, mais aussi les riverains“. Tous les bâtiments publics et privés construits avant 1997 (date de l’interdiction en France de l’amiante) contiennent potentiellement de l’amiante (l’ANDEVA estime à 20 millions de tonnes les matériaux contenant de l’amiante encore en place). Aline Archimbaud a adressé ce jour le rapport au Premier Ministre et a sollicité une rencontre afin de lui présenter les propositions du Sénat à mettre en oeuvre sans délai. On estime qu’en France, plus de 35 000 décès ont été constatés en France du fait de l’amiante entre les années 1960 et son interdiction. Compte tenu du délai entre l’exposition et la survenue de la maladie, 60 000 à 100 000 décès sont attendus dans les 20 à 25 ans à venir. “Certes, la France n’est pas le seul pays touché par cette catastrophe sanitaire, mais les carences de notre système de santé au travail et de prévention des risques professionnels, l’absence à l’époque de tout système de veille et d’alerte, l’existence d’un lobby industriel de l’amiante ont contribué à une prise de conscience tardive de ce drame“ jugeait le rapport sénatorial “

Le drame de l’amiante en France : comprendre, mieux réparer, en tirer des leçons pour l’avenir“ datant de 2005. David Bême Sources :Rapport d’information du comité de suivi sur l’amiante présidée par Mme Aline Archimbaud – juillet 2014 – (

consulter le rapport en ligne)Communiqué du Groupe écologiste du Sénat – juillet 2014Photo : SIMON ISABELLE/SIPAClick Here: All Blacks Rugby Jersey

Un médicament expérimental du laboratoire Novartis s’est montré très efficace lors d’une vaste étude clinique pour prolonger la vie de malades souffrant d’insuffisance cardiaque, réduisant la mortalité d’au moins 15%. Les résultats ont été présentés à Barcelone, lors du congrès de la Société européenne de cardiologie.Ce traitement pourrait ainsi remplacer les thérapies actuelles contre cette pathologie qui affecte au moins 26 millions de personnes dans le monde.

Le LCZ696 réduit significativement la mortalité et le nombre d'hospitalisations.

Le laboratoire a présenté samedi 30 août les résultats très attendus de cet essai clinique appelé LCZ696 lors du congrès de la Société européenne de cardiologie (ESC) réunie ce week-end à Barcelone en Espagne. Ces données ont été publiées simultanément dans la revue médicale américaine New England Journal of Medicine.Réduction de la mortalité et des hospitalisationsMenée auprès de 8.442 patients dans 47 pays suivis durant 27 mois, cette étude, la plus vaste jamais réalisée, visait à évaluer l’innocuité et l’efficacité de ce traitement chez des sujets souffrant d’insuffisance cardiaque en comparant avec ceux soignés avec l’enalapril, le traitement de choix actuel.A la fin de cette période d’observation, 21,8% des participants traités avec le LCZ696 sont morts d’insuffisance cardiaque et 26,5% chez ceux traités avec l’

enalapril, ce qui représente 20% de moins. Le laboratoire a souligné dans un communiqué que l’ampleur des bienfaits de ce traitement était “statistiquement et cliniquement très importante“.Outre la réduction de la mortalité cardiovasculaire, cette étude a également démontré que ce médicament réduisait de 21% le nombre d’hospitalisations pour insuffisance cardiaque.“Je pense que quand les médecins vont voir ces résultats, ils vont les trouver convaincants et nous allons assister à un changement complet dans le traitement de l’insuffisance cardiaque“, a estimé le Dr Milton Packer, un professeur de sciences cliniques à l’Université du sud du Texas à Dallas, l’un des principaux auteurs de l’étude.Malgré les traitements existants, le taux de mortalité de l’

insuffisance cardiaque demeure élevé, avec jusqu’à 50% des patients décédant dans les cinq ans après le diagnostic, a pointé le laboratoire.L’insuffisance cardiaque, qui empêche le coeur de pomper suffisamment de sang dans les organes, entraîne un manque de souffle, de la

fatigue et une rétention de liquide dans les membres inférieurs.Demande d’autorisation prévue fin 2014Selon plusieurs analystes, ce nouveau traitement pourrait devenir un “blockbuster“, un médicament dont les ventes dépassent le milliard de dollars par an. Novartis prévoit de déposer des demandes d’autorisation de mise sur le marché auprès de l’agence américaine des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA), d’ici fin 2014 et auprès de son équivalent de l’Union Européenne début 2015.
Novartis avait annoncé en mars dernier qu’il mettait fin à cet essai clinique plus tôt que prévu car le traitement était nettement supérieur à l’enalapril, le médicament le plus utilisé actuellement contre l’insuffisance cardiaque, l’

hypertension artérielle et des dysfonctionnements du ventricule gauche du coeur.
Click Here: cd universidad catolicaMais ce nouveau traitement (LCZ696) va probablement être cher, selon l’analyste Tim Anderson, de la firme Sanford C. Bernstein, cité dans le New York Times.Selon lui, ce traitement pourrait coûter sept dollars par jour aux Etats-Unis ou 2.500 dollars par an alors que les versions génériques des autres traitements contre l’insuffisance cardiaque peuvent revenir à 4 dollars par jour.Parmi les effets secondaires les plus fréquents du LCZ696, ces chercheurs ont relevé davantage d’hypotension mais moins de problèmes rénaux.Avec AFP/Relaxnews.Source : Communiqué de presse de Novartis du 28 août 2014.

On est vieux à 70 ans pour les Français

April 23, 2020 | News | No Comments

79% des Français considèrent que l’âge de la vieillesse est atteint à partir de 60 ans et 14% entre 40 et 59 ans, révèle une étude OpinionWay pour Damart. En croisant toutes les réponses de ce sondage, l’âge de la vieillesse est estimée en moyenne à 70 ans.

Ainsi, 80% des Français pensent qu'on est vieux quand on a des rides ou des cheveux blancs.

Le tabou de la vieillesse. Les Français en ont conscience, même si 55% d’entre eux se sentent en accord avec leur âge. Toutefois, 37% se trouvent plus jeune et 8% plus vieux. En confondant toutes ces réponses, il s’avère que les Français ont l’impression d’avoir trois ans de moins que leur âge réel.À noter que les hommes ont davantage de facilité avec leur âge, puisqu’ils sont plus nombreux que leurs homologues féminins à être en accord avec leur âge (59% contre 50%). Sans doute plus craintives du temps qui passe, sous peut-être l’effet des stéréotypes générés par les magazines féminins, ces dames veulent repousser l’âge de la vieillesse au maximum, soit en moyenne à 71 ans (contre 68 ans pour les hommes).Car la vieillesse est avant tout une apparence. Ainsi, 80% des Français pensent qu’on est vieux quand on a des rides ou des cheveux blancs.AFP/RelaxnewsSource : Cette étude Opinion Way pour Damart a été réalisée auprès d’un échantillon de 1.005 personnes âgées de 18 ans et plus, interrogées du 18 au 25 septembre.Photo : ©Monkey Business Images/shutterstock.comClick Here: cheap INTERNATIONAL jersey

La réalité augmentée, l'avenir du fitness ?

April 23, 2020 | News | No Comments

Runtastic, éditeur d’applications mobiles et montres connectées pour les sportifs, a annoncé le développement d’un programme de fitness pour casque à réalité augmentée

Runtastic développe une application de fitness pour les casques à réalité augmentée Oculus Rift.

S’immerger à 360 degrés dans un monde virtuel et personnalisable pour réaliser ses exercices physiques chez soi, c’est ce que proposera ce module adapté aux casques Oculus Rift.Cette application dispensera des exercices de musculation, cuisses-abdo-fessiers ou encore yoga. Munis du casque sur les yeux, les utilisateurs pourront se retrouver dans un décor de bord de mer ou dans une ambiance futuriste pour suivre les mouvements d’un avatar présent à l’écran, qui leur prodiguera des conseils de coach. Comme pour tous les produits Runtastic, cette application connectée au smartphone enregistrera les performances et évolutions du sportif.“L’expérience est ressentie comme totalement réelle et changera certainement la façon dont les gens s’entraînent au quotidien“, explique Florian Gschwandtner, directeur général et cofondateur de Runtastic.L’application pourra être testée au CES 2015, salon international consacré aux nouvelles technologies, qui se tiendra à Las Vegas du 6 au 9 janvier prochain. Néanmoins, aucune date de commercialisation n’est pour l’instant annoncée, et pour cause, le casque Oculus Rift, développé par une filiale de Facebook, ne devrait être distribué que courant 2015.Dans le domaine du sport individuel, l’immersion dans un univers virtuel inspire les concepteurs de programmes d’entraînement. L’Immersive Fitness, développé par Les Mills et Reebok, vient d’être lancé aux États-Unis et devrait arriver en France début 2015. Dans un studio spécialement conçu, les pratiquants sont plongés dans le noir et suivent les mouvements devant les images en HD diffusées sur un écran géant.

Source : RelaxnewsClick Here: cheap nrl jerseys

Un dépistage du sida ou de la syphilis en 15 minutes, sans passer par la case “prise de sang et laboratoire d’analyses“, c’est désormais possible. Des ingénieurs américains ont mis au point un accessoire de smartphone bon marché, capable de dépister rapidement ces maladies avec une seule goutte de sang.

L'appareil, qui se branche sur un smartphone, reproduit toutes les fonctions mécaniques, optiques et électroniques d'un système d'analyse de laboratoire. (Capture d'écran)

Un accessoire aussi fort qu’un système d’analyse de laboratoireL’appareil se branche sur un smartphone ou sur un ordinateur. L’utilisateur doit d’abord recueillir une goutte de

sang et la déposer dans un petit récipient en plastique qui sera inséré dans une puce intégrée dans l’appareil. Après une analyse de 15 minutes, l’application du smartphone relié à l’appareil vous annonce les résultats.Démonstration d’un test sanguin réalisé avec l’appareil

Cet appareil reproduit pour la première fois toutes les fonctions mécaniques, optiques et électroniques d’un système d’analyse de laboratoire, précisent ses concepteurs dans la revue médicale américaine Science Translational Medicine. Toute l’énergie électrique est fournie par le smartphone.Ce petit accessoire, qui peut aussi être branché sur un ordinateur, a récemment été testé par des personnels de santé au Rwanda. Ils ont analysé une goutte de sang prélevée sur le doigt de 96 femmes recrutées dans le cadre d’un programme de prévention de la

transmission du sida de la mère à l’enfant.Un appareil qui pourrait révolutionner les dépistages dans le monde entier“Nos travaux montrent qu’une analyse complète de laboratoire peut être effectuée par un accessoire de smartphone“, se félicite Samuel Sia, professeur d’ingénierie biomédicale à l’Université Columbia à New York, principal auteur de cette invention.“Combiner la technique des microfluides avec les récentes avancées dans l’électronique grand public peut rendre certains diagnostics de laboratoire accessibles à presque toutes les populations ayant accès aux smartphones“, explique-t-il, ajoutant que “cela peut transformer la manière dont les services de santé sont prodigués partout dans le monde“.Cet accessoire, suffisamment petit et léger pour tenir dans une seule main, peut être fabriqué à un coût usine de 34 dollars, soit nettement moins que les 18 450 $ de l’équipement équivalent de laboratoire, selon les chercheurs.Ces derniers ont trouvé un moyen pour que l’appareil consomme peu d’électricité, ce qui est essentiel dans certains pays où la distribution électrique est aléatoire. Il est aussi très solide, requiert peu de formation pour l’utiliser et ne nécessite aucun entretien, ont fait valoir ces ingénieurs.AFP/RelaxnewsSource : A smartphone dongle for diagnosis of infectious diseases at the point of care, Samuel Sia and al, 4 février 2015, Science Transnational Medecine (

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Dans un avis rendu publique fin juillet, le Haut conseil de la santé publique estime que le risque de propagation du virus Zika, transmis par le moustique tigre, est élevé dans les départements français d’Amérique et réel en métropole.

Le virus Zika est transmis par les moustiques du genre Aedes. 

Tout comme le virus de la

dengue et le

virus chikungunya , le virus Zika est transmis par les moustiques du genre Aedes. Depuis 2007, cet arbovirus, proche du virus de la dengue et de la fièvre jaune, a provoqué plusieurs épidémies dans le monde et actuellement, une épidémie importante sévit au Brésil.Une surveillance épidémiologique recommandéeLe Haut conseil de la santé publique (HCSP) préconise d’instaurer une surveillance épidémiologique car le risque de transmission du virus Zika est élevé dans les départements français d’Amérique, réel à la Réunion et à Mayotte mais aussi “dans les départements métropolitains ou Aedes albopictus (le moustique vecteur) est implanté pendant sa période d’activité de mai à novembre“.Le HCSP préconise également la surveillance des cas d’importation en métropole et des cas groupés, ainsi que des mesures de protection  comme l’isolement ou la protection par une moustiquaire des malades pendant la période symptomatique pour éviter la dissémination des virus à d’autres moustiques qui viendraient piquer le patient.Une maladie difficile à diagnostiquerLa maladie Zika est difficile à diagnostiquer cliniquement car les symptômes sont très proches des autres maladies provoquées par d’autres arbovirus, comme le virus de la dengue ou du chikungunya, à savoir, éruption cutanée, fièvre, conjonctivite, douleurs articulaires et musculaires.       Le diagnostic biologique est également difficile car le virus demeure peu de temps dans le sang et de ce fait son diagnostic direct est aléatoire alors que pour le diagnostic indirect, les tests présentent des réactions croisées avec le virus de la dengue.Souvent sans symptômes mais des complications possiblesL’avis du HCSP précise que dans une proportion importante des cas (74 à 81 %), la maladie de Zika donne peu ou pas de symptômes. Cependant, des formes graves et des complications ont été identifiées, notamment des complications neurologiques comme le

syndrome de Guillain-Barré . Ce syndrome a été observé notamment au cours de l’épidémie en Polynésie Française, raison pour laquelle le HCSP recommande de rechercher la maladie de Zika chez les patients présentant un Guillain-Barré.Outre la surveillance des patients, le traitement de la maladie de Zika est symptomatique, comme pour les autres maladies provoquées par des arbovirus.Enfin, le HCSP préconise un signalement des cas suspects d’infection par le virus Zika à la plateforme régionale de veille et d’urgences sanitaires de l’ARS (Agence régionale de santé).Dr Jesus CardenasSource : Avis du Haut conseil de la santé publique du 28 juillet 2015 relatif à la prise en charge médicale des personnes atteintes par le virus Zika (

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PHOENIX, AZ — The Phoenix facility where an incapacitated woman became pregnant and gave birth after being sexually assaulted will not be closing after all, Hacienda Healthcare, the company that operates the facility, said in a statement.

Hacienda HealthCare’s board of directors voted to accept voluntary regulation by the Arizona Department of Health Services, subject to a final agreement.

“In light of the recent events, we have complied with directives from multiple state agencies and done everything in our power to ensure the safety and welfare of our patients,” the company said in a statement Friday. “Among the changes now in place as a result of the incident, we have installed dozens of cameras and monitors; enhanced security; hired off-duty police officers to provide facility security; and retrained every Hacienda staff member on Abuse and Neglect protocols using an AHCCCS-approved training module.”

In a statement on Saturday, Hacienda had said “it is simply not sustainable to continue to operate our Intermediate Care Facility for the Intellectually Disabled.”

The incapacitated woman gave birth on Dec. 29 and police started their investigation into the sexual assault on the same day when they responded to the facility to a call of a baby in distress.

In January, police announced the arrest of a male nurse who worked at the facility and who police said was responsible for providing care to the victim at the time of the sexual assault.

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Nathan Sutherland, 36, a licensed practical nurse, pleaded not guilty earlier this week to sexual assault and vulnerable adult abuse.

Photo by Matt York/Associated Press

LAKELAND, FL — An 11-year-old Florida boy who declined to stand for the “Pledge of Allegiance” and who was later arrested after being told more than 20 times to leave his sixth-grade classroom, will most likely not face prosecution, according to the state attorney’s office responsible for Polk County.

Some national media outlets and social media posts portrayed the student as being charged for his political stance, a portrait that wasn’t accurate, local officials insisted.

“This case has never been referred to us for prosecution. We are not prosecuting it. But it’s not that we chose not to — or that we chose to,” Assistant State Attorney Jake Orr told Patch Wednesday. “We just simply have never been referred this case for criminal prosecution.”

The child, who is black, made his political stand — not to stand for the “Pledge of Allegiance” — at the Lawton Chiles Middle Academy on Feb. 4, something that he had reportedly done all year as he insisted that the American flag was racist and that the National Anthem stood for discriminatory treatment of blacks, according to published reports. But on that particular day, the sixth-grader ran up against a substitute teacher who didn’t know that Polk County Schools allow students to choose not to participate in the pledge.

As a result, the substitute teacher will be barred from all future county substitute teaching assignments based on the handling of the incident, according to Kyle Kennedy of Polk County Public Schools.

The case has generated headlines around the country, including: “Florida student arrested for disturbance after he refused to participate in the Pledge of Allegiance” from CNN, “Arrest of Lakeland 6th grader after argument over Pledge of Allegiance sparks outrage” said an NBC affiliate “Florida student faces misdemeanor charges after refusing to stand for Pledge of Allegiance” wrote USA Today and “Florida Student, 11, Arrested After Dispute Over His Refusal to Say Pledge of Allegiance” via The New York Times.

The ACLU of Florida called the child’s arrest “outrageous” in a social media post. “Students do not lose their First Amendment rights when they enter the schoolhouse gates,” ACLU officials said. “This is a prime example of the over-policing of black students in school.”

But Lakeland police and Polk County school officials were emphatic that the boy was not arrested for his refusal to stand for the “Pledge of Allegiance.” “This arrest was based on the student’s choice to disrupt the classroom, make threats and resisting the officer’s efforts to leave the classroom,” police argued.

“The school resource officer and dean of students responded to the classroom and attempted to calm the student down,” according to an account by the Lakeland Police Department. “The student was asked over 20 times to leave the classroom by the dean of students.”

The account said that the student also refused to leave the classroom when he was asked to do so by the school resource officer.

“The student left the classroom and created another disturbance and made threats while he was escorted to the office,” Lakeland police said.

Gary Gross of the Lakeland Police Department told Patch Wednesday he was not aware of any discussions to drop the charges against the boy.

“We would hope that the child would have an opportunity to participate in the Juvenile Diversion program which would redirect him away from formal processing in the juvenile justice system,” Gross told Patch.

Florida’s Tenth Judicial Circuit, where the charges were brought, offers a juvenile diversion program for certain non-violent misdemeanors. Such cases never rise to the level of prosecution by the State Attorney’s Office. But it wasn’t immediately clear if the child’s family would agree to the program.

Roderick Ford, an attorney retained by the boy’s mother, Dhakira Talbot, told Patch that he met with the child and his mother late Wednesday afternoon to discuss the case. He referred questions to a spokesperson for his law firm, who did not immediately provide a response.

Talbot, told Spectrum Bay News 9 that she believes the charges should be dropped against her son.

“I am upset. I’m angry. I’m hurt, more so for my son,” Talbot said in an earlier interview with the TV station. “My son has never been through anything like this and I feel like they should have handled it different.”

The substitute teacher was hired through temporary staffing firm Kelly Services.

“We are looking into this matter, but this individual will no longer be allowed to substitute at any of our schools,” the school district’s Kennedy told Patch last week. “Our HR department will contact Kelly Services, which provides our substitutes, to further refine how our substitutes are trained.”