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Les femmes souffrant de maladie cœliaque auraient un risque supérieur aux autres de présenter des troubles de la fertilité, de faire des fausses-couches ou d’accoucher prématurément, selon une nouvelle étude publiée sur le site Internet de la revue spécialisée Annals of Gastroenterology.

La maladie cœliaque est-elle responsable des cas d'infertilité de fausse-couche ou de prématurité inexpliqués ?

Sommaire

  1. Fausse-couche et prématurité plus fréquentes chez les femmes atteintes de maladie cœliaque
  2. Tester les femmes ayant des difficultés à mener à terme leur grossesse

La

maladie cœliaque est un 

syndrome de malabsorption dû à une intolérance à une fraction du gluten : la gliadine. Les symptômes dus à cette véritable intolérance au gluten sont très divers : diarrhée graisseuse (

stéatorrhée),

asthénie (fatigue), troubles du caractère, anorexie (perte de l’appétit), amaigrissement,

douleurs abdominales,

ballonnement abdominal, nausées, vomissements,

tétanie, douleurs osseuses, œdèmes,

pigmentation cutanée, glossite (

inflammation de la langue), aphtes buccaux… Le seul traitement efficace est la mise au régime sans gluten : les symptômes disparaissent alors en quelques semaines ou quelques mois.

Fausse-couche et prématurité plus fréquentes chez les femmes atteintes de maladie cœliaqueDe nombreux travaux de recherche ont porté sur le lien éventuel entre maladie cœliaque d’une part, et troubles de la fertilité,

accouchements prématurés ou

fausses-couches d’autre part, mais avec des résultats contradictoires.

Le Dr Stephanie Moleski, chercheuse à l’hôpital universitaire Thomas Jefferson de Philadephie, ont mené une étude auprès de 329 femmes atteintes de maladie cœliaque, et dont le diagnostic avait été confirmé par biopsie, ainsi que 641 femmes sans problème de tolérance au gluten. A l’aide d’un questionnaire en ligne, ils leur ont posé diverses questions de santé, allant de l’âge de leurs premières règles au nombre de grossesses qu’elles avaient eues en passant par les circonstances de leurs accouchements.Si les chercheurs n’ont observé aucune différence statistique en termes de nombre de grossesses entre les deux groupes, ils ont constaté que les femmes atteintes de maladie cœliaque menaient moins souvent que les autres leur grossesse à terme : soit elles faisaient une fausse-couche (dans la moitié des cas contre 40 % des femmes en bonne santé), soit elles accouchaient prématurément (1 femme malade sur 4, contre environ 16 % parmi les autres).Tester les femmes ayant des difficultés à mener à terme leur grossessePour l’auteur principale de l’étude, les femmes qui n’arrivent pas à être enceintes ou ne mènent aucune de leur grossesse à terme devraient vérifier si elles ne souffrent pas de maladie cœliaque. “Chez les patients atteintes de maladie cœliaque, la fausse-couche a été associée à un déficit en zinc, sélénium, fer et acide folique, indique-t-elle. Lorsque je vois des patientes qui ont eu des problèmes de fertilité ou pendant leur grossesse, je trouve légitime de rechercher si elles souffrent de maladie cœliaque“.Pour le Dr Govind Makharia, professeur de gastroentérologie et nutrition à New Delhi, l’étude ne permet pas de comprendre le mécanisme expliquant ce lien. Par conséquent, elle estime que “l’association entre l’infertilité, la fausse-couche, l’accouchement prématuré et la maladie cœliaque est conjoncturelle et en aucun cas définitive“. Elle rappelle que si la maladie cœliaque peut être une cause, d’autres causes sont plus probables. Pour autant, elle rejoint les auteurs de l’étude qui suggèrent de rechercher cette pathologie chez les femmes présentant des troubles de la fertilité ou victimes de fausses-couches ou d’accouchements prématurés à répétition, une démarche non-invasive et peu coûteuse.

Le Haut Conseil de la santé publique reconsidère sa position et suspend sa recommandation de vaccination des nourrissons contre les gastroentérites à rotavirus en population générale, dans un avis mis en ligne le 7mai.

La vaccination des nourrissons contre les gastroentérites à rotavirus est désormais déconseillée.

Trop d’effets indésirables (invaginations intestinales aiguës, décès) auront eu raison des recommandations émises en novembre 2013 par le HCSP en faveur d’une vaccination des bébés contre les infections à rotavirus. Un suivi renforcé de pharmacovigilance a en effet fait état de situations très graves, “dont on ne peut exclure [qu’elles] se reproduisent“, indique le HCSP dans son avis afin de justifier sa décision.Le HCSP précise par ailleurs qu’aucun autre facteur de comorbidité ou facteur de risque environnemental n’a été identifié dans les pays industrialisés ; il n’est donc pas possible de déterminer une population de bébés à risque pour lesquels les avantages de la vaccination seraient supérieurs aux risques. “Ceci ne permet donc pas de proposer une stratégie de vaccination sélective, ciblée sur certains nourrissons“, traduit le HCSP.Il rappelle que “si cette vaccination est pratiquée à titre individuel et dans le cadre de son autorisation de mise sur le marché (AMM), le médecin doit informer la famille de l’enfant vacciné du risque d’invagination intestinale aiguë et des manifestations cliniques devant motiver une consultation en urgence“. Il s’agit principalement de

douleurs abdominales, pleurs répétés et inhabituels de l’enfant, 

vomissements, présence de sang dans les selles, 

ballonnements abdominaux  et/ou

fièvre élevée.Le 31 mars dernier, l’Agence nationale de santé du médicament lançait une circulaire et une lettre aux professionnels de santé afin de les sensibiliser à ces risques. Une réaction jugée tardive et survenant étonnamment la veille de la parution d’un numéro du Canard enchaîné révélant que deux bébés étaient décédés d’une invagination intestinale après avoir été vaccinés contre la gastro, en 2012 et 2014 (lire notre article “

Vaccins contre la gastro : des complications graves et parfois mortelles“)…Amélie PelletierSource : “

Infections à rotavirus : suspension des recommandations de vaccination des nourrissons“, Avis du Haut Conseil de santé publique, 7 mai 2015.Click Here: Rugby league Jerseys

De nombreuses activités physiques pourraient aider à mieux dormir, à en croire les résultats d’une récente étude.

La musculation permettrait de réduire le nombre de nuits trop courtes.

Il est bien connu que l’exercice physique améliore la qualité du

sommeil, cependant une nouvelle étude présentée le 8 juin au 29ème congrès annuel de l’Associated Professional Sleep Societies (LLC) à Seattle, précise quelles activités choisir.“Même si des recherches précédentes avaient montré que le manque d’exercice était associé à une mauvaise qualité de sommeil, les résultats de cette étude nous ont surpris“, a commenté l’auteur Dr Michael Grandner.“Cette étude montre non seulement que les personnes qui ont une activité aussi simple que la marche sont plus susceptibles d’adopter de meilleures habitudes de sommeil, mais ces effets sont encore plus forts pour des activités plus soutenues comme la

course, le

yoga et même le

jardinage et le

golf“.À partir de données concernant le sommeil et les activités physiques de 429.110 adultes, l’équipe de chercheurs a évalué 10 types d’activités différentes pour voir lesquelles étaient le plus associées à une quantité suffisante de sommeil.Ils ont comparé toutes les activités à la

marche et à une absence totale de sport, sans oublier de demander aux participants de rapporter quel type d’activité ils pratiquaient et la durée de leurs nuits.Ils ont aussi noté si chaque individu dormait suffisamment, soit au moins sept heures par nuit.Leurs résultats ont montré que toutes les activités étaient bénéfiques au sommeil en comparaison avec l’absence totale d’exercice, à l’exception des tâches ménagères et du fait de s’occuper des enfants.L’équipe a comparé toutes les activités à la marche, afin de resserrer le champ et découvrir si certaines activités étaient plus bénéfiques que d’autres.Ils en ont conclu que l’aérobic, le

cyclisme, le jardinage, le golf, la course, la

musculation, le yoga et le

Pilates aidaient à réduire le nombre de nuits trop courtes par rapport à la marche.“Ces résultats sont dans la lignée de la littérature scientifique actuelle sur le rôle du sommeil envers les performances humaines“, note le docteur Grandner. “Les études menées en laboratoires montrent que le manque de sommeil est associé à de mauvaises performances physiques et mentales. Cette étude nous montre aussi une adéquation avec les données réelles.“Source : RelaxnewsClick Here: All Blacks Rugby Jersey

Cinéma : il était une fois Sergio Leone

April 21, 2020 | News | No Comments

Avec Il était une fois dans l’ouest, Sergio Leone a rejoint les grands noms du septième art. Son style génial est maintenant étudié dans les écoles et a inspiré de nombreux réalisateurs après lui. Au pied d’un escalier, à Rome (Italie), qui l’a vu grandir, une plaque est installée pour lui rendre hommage. John Ford et John Wayne lui offriront sa première inspiration avec La Chevauchée fantastique.La musique mythique d’Ennio MorriconeVingt ans plus tard, il secoue la planète cinéma avec Pour une poignée de dollars. Il crée un personnage de cow-boy sans attaches, affublé d’un poncho, alterne les cadres larges et serrés. Cela deviendra un style cinématographique. L’autre révolution Leone : c’est la musique de son compère Ennio Morricone avec lequel il passe des heures à travailler et à composer. À ceux qui évoquaient le western spaghetti de manière péjorative, il répond avec humour que ce spaghetti est “bien cuit“.Le JT

  • JT de 20h du samedi 20 octobre 2018 L’intégrale

Les autres sujets du JT

  • 1

    Sécheresse : le manque d’eau redessine les paysages de France

  • 2

    Chaleur : les conséquences économiques de la sécheresse

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    Alimentation : la tendance des protéines végétales plaît de plus en plus

  • 13

    Transport : les Français se passent de plus en plus de voiture

  • 14

    Circulation routière : des PV par vidéosurveillance

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    La Cour de cassation a validé l’inscription à l’état civil d’enfants nés à l’étranger de mères porteuses. Cette décision, très attendue et qui fera jurisprudence, a été rendue le 3juillet, un an après la condamnation de la France par la Cour Européenne des Droits de l’Homme(CEDH) pour défaut de transcription dans l’état civil français des actes de naissance d’enfants issus de gestation pour autrui(GPA).

    Les enfants issus d'un processus de GPA réalisé à l'étranger pourront désormais être inscrits à l'état civil français, selon une décision de la Cour de cassation.

    A la question de savoir si “le refus de transcription sur les actes de l’état civil français de l’acte de naissance d’un enfant dont au moins l’un des parents est français, régulièrement établi dans un pays étranger, peut-il être motivé par le seul fait que la naissance est l’aboutissement d’un processus comportant une convention de

    GPA ?“, la Cour de cassation a répondu “Non“.“Une GPA ne justifie pas, à elle seule, le refus de transcrire à l’état civil français l’acte de naissance étranger d’un enfant ayant un parent français“, écrit-elle dans un communiqué de presse.L’interdiction de la GPA en France n’est pas un motif valableLa Cour était saisie de deux affaires, rappelle-t-elle : dans chacune d’elles, un Français avait reconnu la paternité d’un enfant à naître en Russie et l’acte de naissance établi dans ce pays mentionnait l’homme en tant que père et la femme ayant accouché (la mère porteuse) en tant que mère. C’est lors de la transcription de l’acte de naissance russe à l’état civil français, que les pères des deux enfants nés en Russie se sont vu refuser ce droit par le procureur de la République, “soupçonnant le recours à une convention de gestation pour le compte d’autrui (GPA)“.Or, la Cour de cassation estime dans son jugement que “les règles de transcription sur les actes de l’état civil français […] doivent s’appliquer au cas d’espèce“, et que “la théorie de la fraude ne peut donc faire échec à la transcription de l’acte de naissance“. En d’autres termes, ce n’est pas parce que la GPA est interdite en France, que les enfants issus de cette méthode de procréation réalisée à l’étranger doivent se voir interdire leur inscription sur l’état civil français.Cette décision casse de facto l’arrêt qui écartait la demande de transcription au seul motif que la naissance était l’aboutissement d’un processus comportant une convention de GPA.Amélie PelletierSource : Communiqué de presse de la Cour de cassation, 3 juillet 2015.

    L’été et la rentrée sont synonymes de remise en forme après les excès des vacances. Accueil, hygiène, vestiaires, matériel et compétences de l’encadrement sont autant d’éléments à prendre en compte avant de s’inscrire dans une salle de gym. Les conseils de Yakisan Cagdas, coach sportif, pour bien choisir l’établissement.

    Prenez vos précautions avant de choisir votre club de fitness.

    Les infrastructures : hygiène avant toutPour s’assurer que l’éclairage, la ventilation, la propreté ou encore la qualité des services sont conformes à ses attentes, demander à visiter les lieux avant. Mieux, faire une séance d’essai. Aucune salle digne de ce nom ne la refusera. Lors de la visite, jauger la température de l’endroit ainsi que les aérations.L’espace doit être également pris en compte : il en faut assez pour ne pas se marcher sur les pieds. Dans les vestiaires, l’eau chaude doit également exemple être disponible. Les toilettes sont le “vrai“ révélateur de la propreté.Les professeurs : les diplômes et la pédagogieFormation, préparation et professionnalisme des entraîneurs sont essentiels. Leur disponibilité et la clarté de leurs conseils sont également primordiales, car il ne faut pas confier au premier venu ses lombaires, fessiers, tendons et autres articulations. En France, la loi est claire, seuls les titulaires de brevets d’État peuvent enseigner.En fonction des ateliers, ne pas hésiter à contrôler la disponibilité de vos professeurs et leur professionnalisme (capacité à expliquer, à corriger, à motiver). Par exemple, un bon professeur fixera un programme d’entraînement après avoir évalué la condition physique de l’élève et surtout le suit dans la durée et fait régulièrement un bilan avec lui.Le parc des machines : un bon équilibre cardio-muscuUn bon équipement doit être à la pointe des nouveautés. Dans l’idéal, les équipements de cardiotraining (pour courir, pédaler, ramer, etc.) doivent représenter 50% du matériel, les appareils de body-building 30%, la fonte et les haltères 20%. Un bon parc de dix appareils de cardiotraining doit comporter au minimum 4 tapis roulants, 2 vélos d’intérieurs, 3 steppers et 1 rameur. Pour la musculation, les “big five“ s’imposent : une presse à jambes, une presse à pectoraux, une machine à dorsaux, une presse à épaules et une poulie haute pour les membres supérieurs.Le suivi médical personnaliséUn centre sérieux ne se contente pas de demander un certificat médical d’aptitude. Un bilan de santé approfondi est recommandé. Idéalement le centre devrait disposer de sa propre structure médicale, même si cela est difficile à réaliser. Cette dernière devrait disposer d’un matériel adéquat avec un appareil de test à l’effort, un pour mesurer la capacité pulmonaire, un autre pour la mesure de la capacité de la force musculaire. La détermination de masses maigres, de masses grasses et de muscles doit être possible de manière à pouvoir se fixer des objectifs.Les plus des clubs de fitnessVérifiez enfin qu’au niveau des tendances, le club propose les dernières activités du marché. Certains proposent également une piscine, idéal pour se détendre et se décrasser après l’effort. Enfin, les meilleures salles disposent fréquemment d’un bar-restaurant-cafétéria où sont vendus des aliments fitness sains dont l’origine et la composition sont connues.Source : RelaxnewsClick Here: cheap sydney roosters jersey

    Le mannequin Gigi Hadid n’est pas contente et elle le fait savoir ! Depuis quelques temps, de nombreux internautes n’hésitent pas à s’attaquer à son physique via des commentaires virulents. Lundi, la jeune femme a décidé de réagir en postant un long message sur son compte Instagram.

    Gigi Hadid fait partie de la nouvelle génération de mannequins que les créateurs s'arrachent.

    Gigi Hadid, 20 ans, commence à peine une brillante carrière de mannequin qu’elle est déjà la cible d’internautes et de leurs commentaires haineux. Celle qui défile sur les podiums du monde entier n’a pas voulu se laisser faire et a rédigé un long texte à l’attention des “haters“ qui la jugent trop “grosse“ pour être mannequin. Le message, publié lundi sur son compte Instagram, comptabilise déjà 257 000 likes. 

    “De nombreuses personnes ont la critique si rapide ce mois-ci. D’accord, les critiques sur les réseaux sociaux proviennent de personnes qui, 99% du temps, n’ont aucune idée de quoi elles parlent, mais je suis humaine, je ne vais pas mentir, ça a commencé à me toucher un peu (…). Non, je n’ai pas le même corps que la majorité des mannequins. Non, je ne pense pas être la meilleure en quoi que ce soit (…). Non, je ne suis pas le premier ou le dernier mannequin de ce genre à travailler dans ce milieu. Vous pouvez inventer toutes les raisons pour lesquelles vous pensez que j’en suis là, mais je suis vraiment une bosseuse qui est simplement arrivée à un moment où l’industrie de la mode était prête à changer. Je fais juste mon boulot. (…) Oui, j’ai des seins, j’ai du ventre, j’ai des fesses mais je ne demande pas de traitement de faveur. Vos commentaires méchants ne me donnent pas envie de changer, ils ne me donnent pas envie de dire non aux créateurs qui me veulent dans leur défilé (…). Si vous n’aimez pas mon corps, ne me suivez pas sur les réseaux sociaux, ne me regardez pas, car je ne vais pas abandonner. Si je n’avais pas le corps que j’ai, je n’aurais pas la carrière que j’ai. J’adore être sexy. J’en suis fière.   Je l’avais déjà dit auparavant, je souhaite que chacun arrive à un stade de sa vie où il préfère parler de choses qui l’inspire plutôt que de choses qui font du mal aux autres (…)“.

    Aurélie SognyClick Here: camiseta rosario central

    On a souvent tendance à se coucher plus tard et à profiter plus longuement de notre lit le week-end. Pourtant, une nouvelle étude révèle qu’il veut mieux, pour la santé, se coucher et se lever à la même heure tous les jours de la semaine.

    Les grasses matinées du week-end seraient néfastes pour la santé.

    Ceux qui travaillent en semaine attendent bien souvent le week-end avec impatience pour dormir plus longtemps. Mais, ces grasses matinées seraient néfastes pour la santé. En effet, se coucher et se lever à des horaires différents le week-end et la semaine pourrait entraîner des problèmes métaboliques. C’est en effet ce que révèle une étude américaine publiée dans le 

    Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism. Risques plus élevés de maladies cardiovasculairesPour dresser ce constat, des chercheurs américains de l’université de Pittsburgh en Pennsylvanie ont analysé le schéma de sommeil et le risque cardiométabolique de 447 hommes et femmes, participants à la phase 2 de l’étude Adult Health and Behavior Project. Les participants étaient âgés de 20 à 54 ans, travaillaient au moins 25 heures par semaine et portaient des bracelets mesurant leurs mouvements et leur sommeil sur 24 heures durant une semaine. Les volontaires ont également complété des questionnaires sur leurs habitudes alimentaires et pratiques sportives.L’étude a démontré que 85 % des participants présentaient un décalage dans leurs cycles de sommeil, se réveillant plus tardivement durant leurs jours de congé que pour aller travailler. Ils n’étaient que 15 % à avoir un cycle raccourci en se réveillant plus tôt le week-end qu’en semaine.Mais surtout, les chercheurs ont observé que les sujets présentant un décalage de sommeil le plus important entre jours travaillés et jours chômés étaient aussi ceux qui avaient les plus mauvais

    taux de cholestérol, les plus forts taux de résistance à l’insuline, un important tour de taille et un

    Indice de masse corporel (IMC) élevé. Des effets mêmes chez des personnes en bonne santé Ces problèmes de santé pourraient s’expliquer par le dérèglement de l’horloge circadienne, qui perturberait le rythme biologique établi sur 24 heures avec les phases d’éveil et de sommeil auxquelles sont soumis les êtres humains et les animaux. La perturbation du sommeil est l’un des facteurs à l’origine de l’augmentation des maladies du métabolisme comme le diabète et l’obésité, même chez des personnes sans problème de santé.Inadéquation entre le rythme circadien et l’emploi du temps de sommeil socialement imposéCe décalage horaire social, que les scientifiques nomment “social jetlag“, persistait même lorsque les scientifiques ajustaient d’autres variables liées au sommeil et habitudes de vie, telles que l’activité physique ou l’apport calorique. “Le décalage horaire social se réfère à l’inadéquation entre le rythme circadien biologique individuel et l’emploi du temps de sommeil socialement imposé“, analyse Patricia M.Wong. “D’autres chercheurs ont découvert que le décalage horaire social était corrélé à l’obésité ainsi qu’à des indicateurs de la fonction cardiovasculaire. Notre étude est toutefois la première à aller au-delà de ce travail et à montrer que, même parmi des

    adultes travaillant, en bonne santé et éprouvant un moindre éventail d’inadéquation dans leurs habitudes de sommeil, le décalage horaire social peut contribuer à des problèmes du métabolisme“, conclut les chercheurs.Elodie-Elsy Moreau avec AFP/Relaxnews Sources : Press.endocrine.org, Social Jetlag, Chronotype, and Cardiometabolic Risk; (

    étude en ligne)Click Here: cheap Cowboys jersey

    Marisol Touraine donne son feu vert aux expérimentations des salles de consommation à moindre risque, plus communément appelées “salles de shoot“. L’arrêté publié aujourd’hui au Journal Officiel précise les modalités concrètes que devront respecter ces espaces. Les premières salles à Paris et Strasbourg pourraient être ouvertes avant la fin de l’année.

    Avec la publication de l'arrêté précisant les modalités à respecter, toutes les conditions légales sont désormais réunies pour que les expérimentations de “salles de shoot“ débutent.

    L’arrêté publié aujourd’hui fixe les modalités concrètes (présence du matériel médical, horaires d’ouverture, déroulement de la consultation d’accueil, etc.) que devront respecter les associations porteuses de projets de salles de consommation à moindre risque (SCMR), en lien avec les collectivités locales.Salles de shoot : pour qui et pourquoi ?Pour rappel, les SCMR sont un nouveau dispositif visant à réduire les risques auxquels s’exposent les usagers de drogues, voté dans le cadre de

    la loi de modernisation de notre système de santé. Ces 

    salles de shoot, destinées à des toxicomanes très désocialisés pour éviter qu’ils se droguent dans la rue, ne pourront accueillir que des usagers majeurs, qui apporteront leur propre produit pour leur seule consommation sur place, sous supervision d’une équipe de professionnels de santé. Les salles de consommation à moindre risque permettront aux toxicomanes de consommer leurs propres produits dans de bonnes conditions d’hygiène et sous la supervision de personnels de santé.

    Elles existent dans près d’une dizaine de pays, dont la Suisse et l’Allemagne. En 2009, il existait déjà 25 CIS dans 16 villes en Allemagne, 1 en Australie, 1 au Canada, 6 dans 3 villes en Espagne, 1 au Luxembourg, 1 en Norvège, 45 dans 30 villes aux Pays-Bas et 12 dans 8 villes en Suisse. “L’expérience étrangère a en effet montré que les SCMR permettent aux usagers de recevoir conseils spécifiques, induisant ainsi une diminution des comportements à risque, des overdoses mortelles et parfois même l’accompagnement vers des traitements de substitution. Ont également été mis en évidence une réduction de l’usage de drogues en public et des nuisances associées“ précise le communiqué du ministère de la Santé.Les objectifs des salles de consommation à moindre risqueUne expertise collective de l’Inserm publiée en 2010, ainsi que 

    d’autres travaux scientifiques publiés dans des revues de 

    référence Lancet ont permis de souligner l’intérêt de ces salles de consommation à moindre risque pour :- éviter les infections, les surdoses mortelles et les autres complications sanitaires des usagers les plus marginalisés en leur fournissant des conditions d’injection sécurisée et du matériel stérile ;- permettre à ces usagers d’entrer en contact avec des  professionnels du soin et de l’accueil médico-social, pour les inciter notamment à se soigner ;- améliorer la situation pour les riverains, dans des quartiers où les toxicomanes sont nombreux, en réduisant le nombre d’injections et la présence de seringues usagées dans l’espace public.Salles de shoot : ce que prévoit la loiComme le précisait la loi de santé adoptée en avril 2015, l’arrêté précise que l’expérimentation durera 6 ans des “salles de consommation à moindre risque“ destinées aux toxicomanes. L’expérimentation sera d’abord proposée à Paris, Bordeaux, Marseille et Strasbourg. Le cadre juridique précise que les toxicomanes détenant pour leur seul usage et consommant des stupéfiants dans ces salles ne pourront être poursuivis pour usage et détention illicite. Les professionnels des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques chez les usagers de drogue (Carrud) y intervenant ne pourront être poursuivis pour complicité d’usage illicite de stupéfiants. Le coût de ces salles est estimé à environ 800 000 euros par an, si l’on se base sur le projet d’expérimentation parisien. Le financement est assuré par l’Etat, via le ministère de la santé, les collectivités territoriales, les associations et la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca).“Il ne s’agit en aucun cas de banaliser la consommation de drogues. Mais fermer les yeux face à telle une réalité sociale et sanitaire ne fera pas disparaître le problème. La France fait donc le choix d’inclure plutôt que d’exclure. D’accompagner,  plutôt que de stigmatiser“ a déclaré Marisol Touraine.David BêmeSources :Communiqué du ministère de la Santé – 25 mars 2016Arrêté du 22 mars 2016 portant approbation du cahier des charges national relatif à l’expérimentation d’espaces de réduction des risques par usage supervisé, autrement appelés « salles de consommation à moindre risque » – JORF n°0072 du 25 mars 2016 – texte n° 19 (

    accessible en ligne)Photo : VALINCO/SIPAClick Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

    Michael Bloomberg Not Running For President

    April 21, 2020 | News | No Comments

    NEW YORK — Michael Bloomberg won’t be moving into the White House. The former New York City mayor and multibillionaire financial services magnate announced Tuesday that he will not run for president after months of mulling a 2020 campaign.

    In an article on his eponymous website, Bloomberg said he will instead continue his work to fight climate change, promote gun control and back candidates “who can provide the leadership we need” on those and other crucial issues.

    “I’ve come to realize that I’m less interested in talking than doing,” Bloomberg wrote. “And I have concluded that, for now, the best way for me to help our country is by rolling up my sleeves and continuing to get work done.”

    Bloomberg served three terms as the city’s chief executive, first as a Republican and then as an independent. He officially registered as a Democrat in October amid speculation that he would mount a presidential campaign under the party’s banner.

    Bloomberg said he felt confident that he would beat President Donald Trump in a general election, but was “clear-eyed” about how hard it would be to defeat an already crowded field for his new party’s nomination.

    The nation’s most dire problems — including climate change and gun violence — are also likely to worsen in the next two years, Bloomberg said. He said he’s launching a new “grassroots effort” called Beyond Carbon to address the former issue by pushing the nation toward 100 percent renewable energy “as quickly as possible.”

    While the Democratic Party has moved to the left, Bloomberg has reportedly questioned the #MeToo movement and stood behind the controversial stop-and-frisk tactics the NYPD used during his tenure as mayor.

    Even though he won’t be joining the field of presidential hopefuls, Bloomberg warned his fellow Democrats against picking someone too liberal to beat Trump.

    “It’s essential that we nominate a Democrat who will be in the strongest position to defeat Donald Trump and bring our country back together,” Bloomberg wrote. “We cannot allow the primary process to drag the party to an extreme that would diminish our chances in the general election and translate into ‘Four More Years.'”