Month: May 2020

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They lost both of their parents. Yet they lived in a strong tight-knit community. The one thing the three Timpanaro teens thought they couldn’t lose was trust.

But that’s just what happened to Nicole Timpanaro, 19, and her 17-year-old twin brothers, Anthony and Louis. They thought they could trust a well-liked member of the community, a woman identified as both a Boy Scout leader and PTO president who set up a “Meal Train” fundraiser for them.

That woman, Kellyann Nielsen Carney, 43, was arrested Tuesday by the Northvale Police Department and charged with stealing more than $9,000 from the online fundraiser she set up for the Timpanaro family.

Nicole claims that Carney, who was her brothers’ scout leader, started stealing money within just weeks after setting up the Meal Train in February.

“This was the farthest thing from my mind, that something like this could happen,” Nicole told Patch.

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Carney was charged with misapplication of entrusted property, a third-degree crime. She was released on her own recognizance, police said.

Nicole said Carney was merely an acquaintance when she reached out to help soon after her mother, Theresa, died in February at age 50. Their father, Donald, died in 2011 when he was just 44.

“My mother never talked to her on the phone or anything,” she said. But because Northvale’s such a tight-knit community, she didn’t think it was suspicious. If anybody did anything bad, people would know about it.

“I didn’t think anything of it. My family thought nothing of it,” she said.

The questions about Carney’s alleged behavior started when a representative from the victim’s family made multiple attempts to contact Carney via the telephone, and through their attorney, police said. Those attempts were ignored.

Those questions lingered through the summer, and the family talked to police. By August and September, after a lengthy investigation, the police moved forward with charges.

“It’s been a long 2 weeks,” said Nicole, who hasn’t been able to go to college because she can’t afford it.

The Meal Train page is actually still active, and it’s raised more than $10,000. It’s not clear if the family is going to be reimbursed for what has been taken.

For Nicole, it’s just all “weird.”

“I just didn’t think anybody could do something like that,” she said. “Nothing about it was suspicious”

Photo courtesy of Nicole Timpanaro, showing herself and her mother and two brothers

Vous connaissiez la stérilisation à froid, la pasteurisation, la congélation, la surgélation, l’appertisation… Mais vous ne saviez peut-être pas que l’irradiation est elle aussi utilisée pour la conservation des aliments ! En effet, la technique d’ionisation, terme officiel, est une technique répandue mais peu contrôlée.

La maîtrise de l’énergie nucléaire a de multiples débouchés, de la propulsion navale à la production d’électricité en passant par l’armement. Mais depuis plusieurs années, l’industrie agro-alimentaire elle aussi se délecte des opportunités offertes par cette technologie, sans en informer vraiment les consommateurs.
L’énergie nucléaire au service de l’alimentation
L’ionisation des aliments, terme officiel pour désigner leur irradiation, est utilisée pour conserver et de décontaminer les aliments. Techniquement, il s’agit d’exposer un aliment à un flux de rayonnements ionisants, générés par une source radioactive, du cobalt 60 et parfois du cesium 137. Ce traitement permet de décontaminer les denrées, de ralentir le mûrissement, d’inhiber la germination et de conférer une meilleure conservation. Dans un contexte de mondialisation de l’industrie agro-alimentaire, cette technique est employée pour tenter de “limiter“ les risques liés au transport des marchandises et donc les pertes pour les industriels.
Un procédé aux conséquences mal connues
Ce procédé ne rend pas les aliments radioactifs, il s’agit d’un processus de destruction de la matière : après exposition aux rayons gamma, on obtient des électrons et des radicaux libres, des bouts de molécule en quelque sorte. Mais ces derniers sont très réactifs et cherchent naturellement à se recombiner. Soit ils se recombinent de manière à reconstituer la molécule originelle, soit de manière aléatoire, formant ainsi de nouvelles molécules, les produits néoformés. “Le problème, c’est qu’il est très difficile de savoir quelles sont les molécules en question. Et donc, il est pratiquement impossible d’en étudier l’éventuelle toxicité“ alerte Roland Desbordes, président de la Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la Radioactivité (Criirad) et membre du Collectif contre l’irradiation des aliments (1).
Malgré ces inconnues, les réglementations, tant européennes que nationales, autorisent l’emploi de cette technique (2), mais en limitant les doses d’irradiation et les denrées pouvant y être soumises. En France, l’ionisation est autorisée pour 14 type de denrées (3).
Des troubles neurologiques constatés chez les chats
Une chose est sûre, c’est que les chats australiens, eux, ne semblent vraiment pas apprécier les aliments irradiés. Au pays des kangourous, l’irradiation des aliments pour animaux a longtemps été obligatoire, jusqu’au moment où l’entreprise Champion Petfoods Ltd a retiré du marché ses produits destinés aux chats en novembre 2008. Le motif ? Une enquête du groupement de vétérinaires australiens avait constaté des troubles neurologiques sur des chats nourris avec des aliments irradiés à doses élevées par cette firme. Du coup, le gouvernement australien a annulé l’obligation d’irradiation.
Des risques sanitaires pour les hommes ?
En avril 2007, l’Agence française pour la sécurité sanitaire des aliments (Afssa) s’est montrée rassurante, concluant dans son rapport que “l’examen de la littérature scientifique récente n’apporte pas d’éléments nouveaux qui permettraient (…) de remettre en question les conclusions des évaluations conduites jusqu’à présent concluant à la sécurité des aliments traités par ionisation“. Néanmoins, Roland Desbordes souligne que “le processus provoque une perte de vitamines importante dans les aliments, (notamment les vitamines A, B1, C et E)“, ajoutant que “certains virus résistent bien à l’irradiation. Donc même si on arrive à éliminer les bactéries et virus “faibles“, cela laisse plus de place aux organismes résistants pour se développer.“
Par ailleurs, suite à la polémique sur le bisphénol A, l’Afssa s’est également intéressée au traitement ionisant des emballages destinés au contact alimentaire. Dans cet avis, l’agence stipule qu’elle “n’a pas pu réunir d’éléments sur la nature et le niveau de migration des substances néoformées qui permettraient d’évaluer de manière rigoureuse l’effet de l’irradiation (…) sur des matériaux et objets plastiques destinés au contact alimentaire et ainsi de s’assurer de leur innocuité. “ Pas très rassurant…
Des contrôles insuffisants et peu pertinents
Ce qui est encore moins rassurant, c’est de savoir que la France est l’un des pays où il y a le moins de contrôles effectués sur ces produits. Selon les deux derniers rapports annuels de la Commission européenne (2006 et 2007), l’Allemagne reste le pays qui effectue le plus de contrôles (3 744 en 2007). En France, seuls 216 échantillons ont été contrôlés en 2006 et 117 en 2007 ! De plus le taux de fraude (produits mal étiquetés ou non autorisés) constaté est plus élevé : 14,8 % en 2006 et 5,13 % en 2007, contre 1,6 % en 2006 et 1,47 % en 2007 en Allemagne…
Selon Roland Desbordes, “le problème majeur des contrôles est qu’il est difficile de savoir quoi chercher car nous n’avons pas isolé des molécules néoformées. Pourtant, l’Europe a imposé qu’il y ait des techniques de contrôle et en a validé une dizaine. Mais aucune d’entre elles n’est fiable à 100%. En particulier, aucune technique ne permet d’estimer la dose d’irradiation et la date. C’est une aberration que d’autoriser une technique, l’irradiation, sans même savoir s’il existe un moyen de contrôler a posteriori.“
Guy Kastler, président de Nature et Progrès regrette quant à lui d’être “dans l’incapacité de garantir que les produits bio n’ont pas été irradiés. L’information n’est pas fournie et nous n’avons pas les outils nécessaires pour contrôler“.
Un étiquetage obligatoire pour mieux informer le consommateur ?
Même si les contrôles sont peu efficaces et peu nombreux, ils ont le mérite d’exister. Parce que ça n’est pas le cas partout. De nombreux produits asiatiques (crevettes par exemple) sont irradiés sur place pour leur permettre de mieux supporter le voyage et d’arriver chez nous comme s’ils étaient frais. Or les unités d’irradiation asiatique ne sont pas contrôlées, contrairement aux 22 unités se trouvant dans les 11 états membres de l’Union européenne. C’est d’autant plus problématique que l’Europe importe de nombreuses denrées asiatiques. “L’irradiation peut parfois être un moyen de masquer des carences dans la chaîne du froid“, souligne Roland Desbordes. Et il est évidemment impossible pour le consommateur d’en savoir plus sur la vie de son produit, dans la mesure où la mention “ionisé“ n’est pas obligatoire sur l’étiquette. “Il y a une tromperie évidente pour les consommateurs“, déplore-t-il. “Les fruits et légumes irradiés ont l’aspect du frais alors même qu’ils ne le sont pas. D’où la nécessité d’instaurer un étiquetage obligatoire pour informer correctement les consommateurs.
Le Collectif se mobilise contre cette technologie depuis plusieurs années, au nom du principe de précaution. Pour Guy Kastler, c’est clair, “l’irradiation est un outil de la mondialisation sanitaire. Nous sommes des cobayes pour ces expérimentations“. Le Collectif lance constamment des appels auprès des institutions françaises et européennes et des entreprises pour faire avancer les connaissances sur le sujet, alerter l’opinion publique et mieux informer le consommateur, qui, une fois n’est pas coutume, se retrouve être le dindon de la farce.
Yamina Saïdj
Sources :
Conférence de presse du Collectif français contre l’irradiation des aliments, 26 novembre 2009
“Revue des données récentes relatives à l’ionisation des denrées destinées à l’alimentation humaine“, rapport de l’Afssa, avril 2007, téléchargeable en ligne :
http://www.afssa.fr/Documents/AAAT-Ra-Ionisation.pdf
Crédit Photo : THOMPSON TERRY/SIPA
1 – Le Collectif français contre l’irradiation des aliments regroupe en tout 20 membres : Action Consommation, Adéquations, Agir Pour l’Environnement, Les Amis de la Terre, Association Léo Lagrange pour la Défense des Consommateurs, Association pour l’Information sur la Dénaturation des Aliments et de la Santé (AIDAS), ATTAC, Biocoop, Collectifs Bure-Stop, Confédération Paysanne, CRiiRAD, Ecoforum, Ekwo, Fédération Nature et Progrès, Food and Water Watch Europe, Mouvement pour les Droits et le Respect des Générations Futures (MDRGF), RECit (Réseau des écoles de citoyens), Réseau “Sortir du nucléaire“.
2 – Historiquement, cette technique est née dans les années 60, époque où le président Eisenhower déclare vouloir mettre “l’atome au service de la paix“. S’en suit la création de l’agence internationale de l’énergie atomique (AEIA) et de plusieurs comités mixtes (AEIA, FAO et OMS) destinés à étudier l’emploi de la technologie nucléaire au domaine alimentaire. Ces comités ont abouti à la légalisation de l’irradiation des aliments. En 1998, un groupe de travail réunissant les mêmes protagonistes conclut que les aliments irradiés “peuvent être consommés sans danger er présentent une qualité nutritionnelle suffisante“. Enfin, en 2003, le Codex alimentarius a agrée l’irradiation pour tous les aliments.
3 – Liste des denrées et ingrédients alimentaires pouvant être soumis à un traitement par ionisation en France (selon directive 1999/3/CE et document 2006/C 112/05 du journal officiel de l’Union Européenne) : abats de volaille, ail, blanc d’œuf, caséine, caséinates, condiments végétaux, crevettes congelées décortiquées et étêtées, cuisses de grenouilles congelées, échalotes, épices, farine de riz, flocons et germes de céréales pour produits laitiers, gomme arabique, herbes aromatiques séchées, herbes aromatiques surgelées, légumes et fruits secs, oignons, sang séché, plasma, coagulats, viande de volailles, viande de volailles séparées mécaniquement.
Un site pour aller plus loin :
Collectif français contre l’irradiation des aliments :
http://www.irradiation-aliments.org/Campagne-contre-l-irradiation-des.html
Un livre pour aller plus loin :
“Aliments irradiés. Atome, malbouffe et mondialisation“ – Collectif français contre l’irradiation des aliments, Editions Golias, 2008. 17 euros.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Le Parti Socialiste a aujourd’hui réaffirmé que la création d’une mission d’information parlementaire “s’impose plus que jamais“. Selon Marisol Touraine, la secrétaire nationale du PS à la santé, “en annonçant le non achat de 50 millions de doses non produites et le recours possible aux généralistes, Roselyne Bachelot désavoue sa propre politique“.  

Alors que deux des principaux laboratoires fournisseurs de vaccins se sont dits

prêts à renégocier les contrats de commande de vaccins, le PS indique que “de nombreuses interrogations subsistent, notamment sur les aspects financiers“. “La France devra-t-elle s’acquitter de pénalités ou de compensations du fait de cette annulation de commande ?“, s’interroge Marisol Touraine. La question de la gestion du stock d’antiviraux et de masques de protection est également posée. Roselyne Bachelot a précisé ce matin sur RTL que la commande de 9 millions de doses passée au laboratoire Sanofi-Pasteur (Panenza®) a été “purement et simplement résiliée sans aucune indemnité“. Selon la ministre de la santé, des négociations sont en cours avec les deux autres laboratoires concernés : GSK pour 32 millions de doses résiliées et Novartis pour 7 millions de doses. “Nous allons discuter très fermement et nous avons un certain nombre d’arguments à faire valoir“, a ajouté Roselyne Bachelot. En effet, si les contrats passés avec les laboratoires ne comprennent pas de clause de résiliation, ils ont été signés avant que l’efficacité d’une seule dose de vaccin ne soit démontrée. Enfin, la Commission des affaires sociales du Sénat a indiqué aujourd’hui qu’“elle s’intéresse de très près à la gestion de la pandémie grippale H1N1“. Dès le mois d’octobre 2009, elle avait demandé la création d’une enquête de la Cour des comptes sur le bon usage des fonds dédiés à la grippe A. Elle souhaite “disposer des conclusions de la Haute juridiction financière courant 2010 afin de faire le point sur ce dossier sensible“. En attendant, la Commission des affaires sociales se propose d’entendre la ministre de la santé ainsi que les représentants des laboratoires pharmaceutiques concernant la résiliation des 50 millions de doses de vaccin. Sarah LaînéSource :RTL – 5 janvier 2010Communiqué de presse du PS – 5 janvier 2010Communiqué de presse de la Commission des affaires sociales du Sénat – – 5 janvier 2010PHOTO : XING GUANGLI/CHINE NOUVELLE/SIPAClick Here: cd universidad catolica

Vendredi, le Comité des médicaments à usage humain de l’Agence européenne du médicament a donné un avis positif pour la commercialisation d’un nouveau vaccin contre la grippe A. Il s’agit de l’Arepanrix ® fabriqué par le laboratoire GSK. C’est le quatrième vaccin autorisé par l’agence européenne, après le Celvapan ® de Baxter, le Pandemrix ® de GSK et le Focetria ® de Novartis. Le vaccin Panenza ® de Sanofi-Pasteur avait, quant à lui, fait l’objet d’une

autorisation décentralisée, émise par la France.  

Le vaccin Arepanrix ® est la version canadienne du Pandemrix ®, vaccin adjuvanté également fabriqué par GSK. Cette nouvelle autorisation ne devrait rien changer en France, étant donné le surplus actuel de vaccins déjà difficile à écouler.
Par ailleurs, l’Agence européenne du médicament a donné pour la première fois un avis favorable pour l’utilisation compassionnelle d’un médicament. Il s’agit d’une procédure exceptionnelle visant à autoriser l’usage d’un médicament pas encore commercialisé, à l’attention de patients gravement malades ne pouvant bénéficier d’aucun traitement disponible. Cet avis positif fait suite à une demande de la Finlande et concerne une version injectable en intraveineuse du Tamiflu ®.
Ce traitement sera destiné aux patients gravement atteints de la grippe A ou saisonnière qui ne peuvent, en raison de leur état, absorber l’antiviral en l’avalant ou en l’inhalant. Pour le moment, les données cliniques sont trop limitées pour permettre la commercialisation de cette nouvelle version du Tamiflu ®, son usage reste donc limité aux cas sévères. Sarah LaînéSource :Communiqués de presse de l’EMEA – 21 et 22 janvier 2010Click Here: Putters

Le fait qu’un bébé attrape un index placé dans sapaume n’est pas qu’un simple réflexe. Un nouveau-népossède, dès ses premières heures, une perceptionmanuelle. Mais un bébé prématuré présentedes fonctions neurologiques plus immatures. Il semblerait pourtantque ses sens soient plus développés que l’on pourrait lecroire. Les bébés prématurés peuvent, en effet,différencier la forme d’objets avec leurs mains, comme l’adémontré une étude récente de chercheurs duCNRS

Un bébé né à terme, au bout de neuf mois degrossesse, reçoit des stimulations en grand nombre :lavé, langé, posé sur le ventre de la maman,allaité, il entre en effet en contact avec de nombreux objetset d’autres peaux que la sienne, ce qui fait progresser saperception manuelle. Mais il en est tout autrement pour lesbébés prématurés (nés environ deux moisavant le terme), qui sont souvent mis en couveuse et sont alorsmoins stimulés par les éléments extérieurs.Pourtant cela n’altère en rien leur perception des formes desobjets, selon les résultats d’une étude de chercheurs delaboratoires spécialisés en psychologie (CNRS :Université Grenoble 2,Université deChambéry,Université Paris Descartes). En collaborationavec une équipe du service de néonatologie du CHU deGrenoble, ils ont mené une expérience basée surl’apprentissage et la réaction à la nouveauté,auprès de 24 bébés prématurés nésaprès environ 7 mois de grossesse, âgés de deuxsemaines.

Lors de la première phase d’apprentissage,l’expérimentateur a mis un petit objet (prisme pour lamoitié des bébés et cylindre pour l’autre) dans unemain du bébé. Dès que le nourrisson lâchaitl’objet, l’expérimentateur le lui remettait dans la main etmesurait ainsi à chaque essai le temps de tenue de l’objet.Les chercheurs ont observé que celui-ci diminue aux cours desessais, témoignant que le bébé s’est “habitué“à la forme de l’objet.
C’est là qu’intervient la seconde phase de réactionà la nouveauté. Les chercheurs présentent à lamoitié des bébés un objet avec une nouvelle forme,et à l’autre moitié l’objet devenu familier.Résultat : le temps de tenue est plus élevépour l’objet nouveau que pour l’objet familier. “Tout comme lesbébés nés à terme, si l’objet est le même,les prématurés cessent de le tenir, s’il estdifférent, ils s’y intéressent davantage. Lesbébés prématurés sont donc eux aussi desconsommateurs de nouveauté tactile, et donc des apprenants enherbe“.“Ces résultats apportent une meilleure connaissance descapacités perceptives des bébésprématurés“, conclue le communiqué. Ils devraientaider les professionnels des services de néonatologie àoptimiser les interventions et les soins qui leur sontprodigués, notamment dans le but de réduire leur stresset d’offrir des conditions optimales à leurdéveloppement.Ioanna Schimizzi
Sources :
– “Même prématurés, les bébés “voient“avec leurs mains“, communiqué du CNRS, février 2010
– “The Manual Habituation and Discrimination of Shapes in
Preterm Human Infants from 33 to 34+6 Post-
Conceptional Age“, PLoS One, février 2010,

téléchargeable en ligne (enanglais)
Photos : bébés prématuréstenant des objets, © FrédériqueBerne-Audéoud
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Le sommeil n’est pas une perte de temps, bien au contraire c’est une composante essentielle pour bien vivre et bien vieillir. La 10ème Journée du Sommeil s’intéresse ainsi au sommeil de nos aînés. Principal constat : les seniors dorment bien.

Pour la journée du sommeil 2010, l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV), en partenariat avec la MGEN, s’est intéressé au sommeil des seniors pour mieux connaître ses spécificités et faire évoluer les comportements et les pratiques.
Des seniors qui dorment mieux que les cadets
Nos seniors dorment plus que leurs cadets, 7h13 la semaine et 7h30 le week-end. En majorité, ils se disent satisfaits de la qualité et de la quantité de leur sommeil. Les seniors, dormant plus durant la semaine, ont un besoin de récupération moindre le week-end, augmenté de 17 minutes au lieu de 1h15 chez les adultes plus jeunes (enquête “Sommeil et rythmes de vie 2009“).Le temps sommeil des seniors est ainsi mieux réparti au fil de la semaine.
Après 50 ans, certains changements physiologiques s’opèrent :
– Réduction du temps total de sommeil la nuit (sommeil lent profond et paradoxal) ;
– Allongement du délai d’endormissement ;
– Difficulté de maintien du sommeil et de l’éveil ;
– Augmentation de la fréquence et allongement des périodes d’éveils nocturnes ;
– Répartition différente du besoin de sommeil sur 24h ;
– Augmentation de la fréquence des siestes ;
– Fréquence des avances de phase : le coucher se fait plus tôt, la quantité de sommeil nécessaire est donc obtenue plus tôt, ainsi le réveil est plus précoce. (Ce phénomène est souvent confondu avec une insomnie)
10ème Journée du Sommeil, vendredi 19 mars 2010
L’espérance de vie augmente et la population vieillit, aussi le grand public a besoin d’être informé sur son importance vitale, à tous les âges de la vie, et sur les signes d’alerte, nécessitant d’en parler avec leur médecin généraliste. Telle est la vocation de la Journée du Sommeil® qui se tient chaque année au mois de mars.
Portes ouvertes dans 58 centres de sommeil, dans 46 villes de France, destinées au grand public et aux professionnels de santé.
www.journeedusommeil.org
Des adeptes de la sieste
Près de la moitié des seniors renouent avec la sieste, 3 à 6 fois par semaine, selon leur âge 42 % des seniors font la sieste en tout début d’après-midi, pendant 28 minutes (la durée idéale de sieste recommandée par les spécialistes étant de 20 minutes). Le besoin de sieste est un besoin physiologique qui existe dès l’enfance et qui revient avec le vieillissement. A partir de 50 ans, le nombre de siestes par semaine augmente, allant de 3 entre 50 et 60 ans à 6 siestes après 80 ans.
Ce retour à la sieste s’accompagne d’une modification de sa durée ; courte chez les 50-60 ans, elle s’allonge progressivement jusqu’à 1 heure et plus au-delà de 80 ans, ce qui peut entraîner des difficultés d’endormissement. En effet, trop dormir dans la journée “consomme“ du sommeil sur la nuit suivante et diminue le besoin de sommeil lors du coucher.
Sortir pour garder son horloge biologique à l’heure
Dans l’ensemble, les seniors passent 5h19 hors de leur domicile par jour en semaine, et 4h24 le week-end. Ce laps de temps diminue avec l’âge et s’accompagne d’une augmentation de la durée de sommeil sur 24h, au risque d’entraîner une déstructuration du rythme du sommeil. En effet, 23,5 % des seniors atteints d’insomnie sortent ainsi moins d’une heure à l’extérieur, tout comme près de la moitié des plus de 80 ans…
Or, l’exposition à la lumière du jour permet de réguler l’horloge biologique interne, qui identifiera correctement l’alternance jour-nuit. A l’inverse, rester dans la pénombre durant la journée entraîne des troubles de sommeil nocturne et conduit à un état propice à la somnolence.
Des troubles du sommeil parfois liés à de plus graves problèmes
22 % des seniors rapportent des difficultés de sommeil : insomnie (72 % d’entre eux), horaires de sommeil qui se décalent, syndrome d’apnées du sommeil ou syndrome des jambes sans repos altèrent la qualité du sommeil des personnes qui ont ainsi tendance à s’endormir facilement dans la journée. Outre un état de somnolence, avéré chez 65 % de ces seniors, des pertes de mémoire sont également constatées.
Les spécialistes notent qu’une augmentation du temps de sommeil chez les personnes âgées (plus de 9h, et des siestes longues) doit être le signe d’une possible altération des fonctions mnésiques. A contrario, cause ou conséquence, le sommeil tend à se réduire (moins de 6 à 7 h) en présence de pathologies associées, telles que maladies du dos et des articulations, diabète, hypertension artérielle et maladies cardiaques, cancers…
Abandonner ses mauvaises habitudes pour devenir centenaire !
Encore aujourd’hui, plus de la moitié de seniors qui dorment mal prennent des somnifères. Les spécialistes du sommeil conseillent davantage de se tourner vers les méthodes de relaxation (8 % seulement), avant la prescription de thérapeutiques. Une règle d’or, en cas d’insomnie, pour tous : éviter les activités d’éveil dans son lit (télévision, téléphone, radio…), préférer en sortir, et n’y retourner que pour dormir !
Certes, les centenaires n’échappent pas aux troubles du sommeil liés à l’âge, mais bien dormir est pour eux une priorité ! Leur qualité de vie est liée à la conservation d’un bon rythme veille – sommeil structuré ; quand ils le peuvent, ils dorment beaucoup, près de 10 h par nuit !Source : Communiqué de l’Institut national du sommeil et de la vigilance, avec le soutien de la MGEN – 9 mars 2010Click Here: New Zealand rugby store

Pourquoi les Occidentaux ont-ils davantage de mal à digérer les sushis que les Japonais ? Une réponse sur les habitudes ancestrales de ces derniers est certes souvent avancée, mais des chercheurs français viennent d’y rajouter une explication scientifique pertinente…

Notre flore intestinale, constituée d’une multitude de bactéries, est indispensable pour nous aider à digérer. En effet certaines molécules, comme les polysaccharides, ne peuvent être dégradées par nos cellules intestinales. Par contre nos bactéries intestinales, via des mécanismes enzymatiques spécifiques, vont pouvoir venir casser ces sucres complexes.La confection de sushis -dont les Japonais sont particulièrement friands depuis des générations- nécessite l’utilisation d’une algue rouge appelée Porphyra. Dans sa paroi, on trouve de grandes quantités d’un polysaccharide, le Porphyrane, qui est dégradé de façon spécifique par une enzyme, la Porphyranase.Des chercheurs japonais, devant le constat d’une moins bonne digestion des sushis par les amateurs occidentaux de poissons crus, ont donc étudié l’activité enzymatique de la Porphyranase : ils l’ont d’abord, et sans grande surprise, décelée dans des bactéries marines, puis, poussant leur curiosité plus loin, ils ont découvert que l’enzyme était également présente dans la microflore intestinale des 13 patients japonais chez qui ils l’ont recherché, mais pas chez les 18 patients nord-américains.Selon les chercheurs, l’explication tiendrait à un “transfert de gènes des bactéries marines vers les bactéries de l’intestin“. En effet, à force d’être exposés, via leur alimentation, aux bactéries marines possédant l’équipement adéquat, l’enzyme serait passée dans certaines bactéries intestinales des personnes vivant sur l’archipel nippon.Au-delà de la digestion des sushis, cette découverte permet surtout de comprendre comment notre flore intestinale, en consommant des produits d’origine marine, peut acquérir de nouvelles capacités enzymatiques, expliquant la diversité de celle-ci en fonction des diverses populations.Frédéric TronelSource : “Transfer of carbohydrate-active enzymes from marine bacteria to Japanese gut microbiota“ Jan-Hendrik Hehemann et coll., Nature, 8 avril 2010, résumé

accessible en ligne (en anglais).Click Here: cheap Cowboys jersey

Une équipe de chercheurs belges a peut-être identifié ce qui correspond à une signature de la maladie d’Alzheimer, en l’espèce de 3 biomarqueurs présents dans le liquide cérébrospinal dans lequel baigne le cerveau. Cette découverte, si elle était confirmée, constituerait une avancée majeure dans la recherche pour la mise au point d’un test diagnostic fiable et précoce de cette maladie neurodégénérative dont le dépistage est, pour l’heure, très tardif.

La

maladie d’Alzheimer correspond à une dégénérescence du

système nerveux central et se caractérise par une détérioration immuable des facultés mentales du patient. Elle concerne près d’un million de personnes en France et ce chiffre devrait encore augmenter avec le vieillissement de la population. A l’heure actuelle, il n’existe pas de test unique pour déterminer si une personne en est atteinte. Dans le cadre d’une évaluation systématique, on établit un diagnostic en éliminant les autres causes possibles des symptômes à l’aide d’examens médicaux, psychologiques, biologiques… Tout cela prend beaucoup de temps et retarde d’autant le diagnostic. Actuellement, on considère qu’il est établi environ 3 ans après l’installation des premiers signes. Sans compter la dizaine d’années, voire plus, pendant lesquelles le processus pathogénique a suivi son cours à bas bruit. Une sensibilité de 90 %C’est dire si les travaux de Geert De Meyer et de ses collègues de l’Université de Gand (Belgique) suscitent l’espoir ! Ces chercheurs ont en effet démontré qu’à certaines concentrations dans le liquide cérébrospinal (ou liquide céphalorachidien – LCR), trois protéines (la protéine bêta-amyloïde 1-42, la protéine tau et la protéine tau phosphorylée 181P) constituaient des indicateurs fiables du processus de pathogénicité à un stade précoce. Pour parvenir à cette conclusion, ils ont analysé les données issues de 114 adultes âgés dont les fonctions cognitives étaient normales, 200 personnes âgées présentant un

déclin cognitif modéré et 102 autres décédées pour lesquelles le diagnostic de la maladie d’Alzheimer avait été posé. L’analyse du LCR de ces volontaires a mis en évidence la présence de la “signature“ protéique chez 90 % des malades reconnus, chez 72 % des personnes présentant un déclin cognitif modéré et chez 36 % de celles en bonne santé. Pour les chercheurs, “la présence de la signature de la maladie d’Alzheimer chez plus d’un tiers des personnes normales sur le plan cognitif suggère que la maladie d’Alzheimer est active et détectable plus précocement que cela a été envisagé jusqu’alors“. Ces résultats ont par ailleurs été confirmés dans deux autres études pratiquées l’une auprès de patients dont l’autopsie avait confirmé la maladie d’Alzheimer (94 % de sensibilité au test) et l’autre auprès de personnes suivies pendant 5 ans et progressant vers la maladie neurodégénérative, précisent les auteurs. Ils plaident donc pour la révision des critères de diagnostic de la maladie, afin qu’elle soit dépistée le plus tôt possible.Toujours pas de traitementOr c’est bien là que le bât blesse. Car si cette découverte constitue une avancée remarquable dans le diagnostic de la maladie d’Alzheimer, qui souffre aujourd’hui d’un grand retard, cette pathologie n’en reste pas moins incurable. Or, que faire d’un test de dépistage précoce pour une maladie que l’on ne sait pas encore soigner ? En outre, s’il se révélait effectivement fiable (c’est-à-dire sensible -détection des malades qui le sont – et spécifique – détection des personnes saines qui le sont-), ce test serait très délicat à mettre en oeuvre : le prélèvement du LCR nécessite en effet de piquer avec une très longue aiguille dans la moelle épinière, au niveau de la colonne vertébrale, un geste délicat qui comporte des risques.Alors saluons le travail de ces chercheurs, qui représente incontestablement un progrès majeur dans la compréhension de la maladie d’Alzheimer, mais ne crions pas victoire. La route est encore longue avant de pouvoir triompher de cette terrible pathologie…Amélie PelletierSource :Diagnosis-Independent Alzheimer Disease Biomarker Signature in Cognitively Normal Elderly People – Archives of Neurology août 2010 – vol. 67(8), p. 949-956

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Présente en France métropolitaine depuis mars dernier, la varicelle s’est solidement installée dans de nombreuses régions de l’Hexagone. Avec 38 cas pour 100 000 habitants, l’activité de la maladie a été modérée à forte au cours de la semaine du 9 au 15 mai derniers, selon le dernier bulletin du réseau Sentinelles, publié mercredi 18 mai. Six régions demeurent particulièrement touchées par la

varicelle. Il s’agit de l’Auvergne avec 140 cas pour 100 000 habitants, du Poitou-Charentes (125 cas), de la Provence-Alpes-Côte d’Azur (78 cas), de la Lorraine (66 cas), du Nord-Pas-de-Calais (59 cas) et du Languedoc-Roussillon (57 cas). Les activités de

gastro-entérite, de

grippe saisonnière et de crises d’

asthme, autres maladies surveillées par les médecins Sentinelles, ont été faibles au cours de la même semaine. RelaxnewsSourceDonnées du réseau de surveillance Sentinelles n° 2011s19, pour la semaine du 09 au 15/05/11 (

accessible en ligne).Click Here: West Coast Eagles Guernsey

Countries tapping the European Stability Mechanism would then have 10 years to pay back the debt | Ina Fassbender/AFP via Getty Images

Eurozone backs 10-year credit lines for coronavirus costs

Countries have until end-2022 to obtain funds with the Commission watching how they’re spent.

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5/8/20, 6:53 PM CET

Updated 5/8/20, 7:37 PM CET

Eurozone governments have until the end of 2022 to open credit lines from a shared bailout fund to pay health costs stemming from the coronavirus, finance ministers agreed Friday.

Countries tapping the European Stability Mechanism would then have 10 years to pay back the debt, under the preliminary agreement struck by the Eurogroup ministers in a short videoconference. Their leaders have asked for the credit lines to be ready by June 1.

Once ministers complete legal formalities, the ESM rescue fund — created during the government-debt crisis last decade — could offer as much as 2 percent of a country’s annual economic output. The European Commission would monitor how the money is spent.

“There are no other strings attached to the use of the facility,” Eurogroup President Mário Centeno said after the meeting.

Roberto Gualtieri, the Italian finance minister, hailed the agreement not to impose conditions such as economic and labor reforms, mandated in the fund’s original rules for government rescues. The prospect of such terms, along with opposition to shared bonds, had sparked outrage from Italy while it was bearing the brunt of the pandemic.

The ministers who sit on the ESM board could decide later to shorten or extend the end-2022 deadline to draw on the fund.

The credit lines are part of a three-pronged, €540 billion economic package that aims to protect governments, workers and companies from financial ruin because of the pandemic.

Treasury officials earlier this week tentatively agreed on a €100 billion jobless reinsurance plan that would compensate employees for lost income if their companies reduce working hours. This jobless initiative also ends December 31, 2022.

The European Investment Bank, meanwhile, is finalizing a €200 billion guarantee fund that can issue loans to cash-strapped companies.

Authors:
Bjarke Smith-Meyer