BALTIMORE, MD — Police said a Harford County woman was killed in Baltimore early Saturday morning. She was stabbed to death trying to help a woman begging for money on the side of the road, according to the Baltimore Police Department.

Jacquelyn Smith, 54, was riding in a vehicle in the 1000 block of Valley Street in east Baltimore when she rolled down her window, officials reported.

According to police, Smith was giving money to a woman who had been carrying a cardboard sign that said: “Please help me feed my baby.” Authorities said the panhandler was holding a baby or an object wrapped to look like a baby.

Police said a man approached the vehicle appearing to thank Smith and instead reached inside and tried to grab her wallet.

They struggled, and the man stabbed Smith in the torso with a knife, police allege.

Officials said Smith was the front-seat passenger in a vehicle with family members. She had reportedly been in the car with two relatives after a family gathering in Baltimore.

After the stabbing, Smith sought medical attention.

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Officers from the Eastern District were notified by a local hospital about a walk-in stabbing victim around 12:34 a.m. on Saturday, Dec. 1, police said.

Despite the efforts of doctors, officials reported that Smith succumbed to her injury — a stab wound to the chest — and was pronounced deceased.

Following the stabbing, the assailant and the woman with the sign left on foot. Investigators are still working to identify the suspect.

Police provided the following descriptions of those involved:

Have a tip? Here is how to submit the information:

Editor’s note: This post was updated after police corrected the victim’s age, which was 54 rather than 52.

Image via Shutterstock.

Bien qu’ayant été déclaré Grande cause nationale en 2012, l’autisme reste un handicap dont la prise en charge est lacunaire. C’est du moins l’avis de Conseil économique, social et environnemental (CESE), rendu public le 9 octobre. Formation des professionnels et accompagnement des familles et des malades insuffisants, diagnostic trop tardif, financements mal adaptés et mal répartis… De nombreux points doivent être améliorés et pour ce faire, le CESE avance 52 mesures concrètes.

Le CESE propose 52 mesures concrètes pour améliorer la prise en charge de l'autisme.

En France, on compte entre 250 000 et 600 000 personnes personnes autistes d’après le CESE. Néanmoins, l’association Vaincre l’Autisme parle de 643 000 personnes atteintes. En fait, plus qu’une seule maladie, l’autisme recouvre en fait un large spectre de troubles regroupés sous le terme des troubles, du spectre autistique (TSA). Pour autant, cette maladie, déclarée handicap depuis 1995, reste encore méconnue à bien des égards (origines, traitements optimaux, etc.) même si, ces dernières années,

la recherche n’a cessé de faire des progrès. Pourtant, le financement de la recherche sur l’

autisme – 2,5 millions d’euros par an lors du 2^ème plan autisme 2008-2010- “peut paraître moindre par rapport à d’autres pathologies“, notamment eu égard du nombre de personnes concernées note  le CESE dans son avis.

Mais surtout, ce handicap est trop souvent absent de la “formation initiale et continue des personnels de santé, des enseignants et des éducateurs“ alors même que “les attentes des familles sont immenses au regard de la pénurie des réponses qui devraient maintenant être concrètement apportées“.  
Diagnostic trop tardif (en moyenne à 6  ans alors qu’il pourrait être fait dès 30 mois), manque de structures d’accueil adaptées, insuffisance du nombre de professionnels formés et disponibles, parents laissés-pour-compte… Pour “faire sortir cette problématique majeure de l’enlisement duquel elle ne parvient pas à s’extraire“ comme l’explique Christel Prado, le CESE propose 52 mesures à mettre en place pour une politique adaptée.Six axes majeurs peuvent être distingués :

•  Partage des connaissances et formation : stage d’immersion dans la formation initiale des enseignants, mutualiser les dispositifs de formation, faciliter l’accès au congé formation des parents…
•  Organisation et financement de la recherche : mieux lier recherche fondamentale et recherche clinique, perenniser les financements existants, maintenir les déductions fiscales sur les dons…
•  Définir une politique publique : disposer de chiffres précis sur l’autisme, enquêter sur les conséquences sociales pour les familles d’élever des enfants autistes, tenter de comprendre les différences de coûts de prise en charge entre la Belgique et la France…
•  Améliorer le diagnostic : pouvoir proposer un diagnostic dès 30 mois, lancement d’une opération de diagnostique chez les ados et les adultes, création d’un label délivré par les centres ressources autisme (CRA)…
•  Coordonner le parcours :  reconnaître la famille dans son rôle de coordinateur du parcours, encourager la mobilité entre les spécialités, mieux articuler le rôle des CRA avec les autres secteurs…
•  Améliorer la vie des familles : création d’un numéro vert national, financement de l’aide à domicile, plan personnalisé de compensation…
•  Mieux répondre aux besoins des personnes autistes : places d’accueil dans les lieux collectifs petite enfance et chez les assistantes maternelles, développer l’offre en structure alternative

 
Sur ce dernier point, la rapporteure précise d’ailleurs que “quinze ans après la reconnaissance de l’autisme comme un handicap par notre société, le sujet des réponses adaptées tout au long de la vie reste entier. Cet état de fait génère un réel coût pour notre société puisqu’un manque d’accompagnement majore la dépendance de la personne et aggrave ses besoins futurs en accompagnement, nécessitant souvent des hospitalisations“.En 2010, l’État a déboursé 1,4 milliard d’euros pour les personnes atteintes d’autisme (680 millions d’euros à l’accueil en établissement et services médico-sociaux ; 664 millions au versement d’allocations et 55 millions pour l’éducation). L’association Vaincre l’autisme, quant à elle, “déplore l’absence de prise en compte des coûts hospitaliers qui représentent la majorité des coûts à ce jour, portés par le contribuable. Ces coûts sont estimés à 600 à 1300 euros par jour et par enfant, pour financer des prises en charge pour certaines

remises en cause par le dernier rapport de la Haute Autorité de Santé (HAS) en mars 2012 : pataugeoire, packing ou encore thérapie psychanalytique“.Si le 2^ème plan autisme prévoit la  création de 4100 places spécifiques (pas encore installées), le CESE insiste sur la nécessité de poursuivre ce plan “afin d’adapter progressivement l’offre aux besoins des personnes autistes“.  Un troisième plan devrait voir le jour d’ici la fin 2012.
Yamina Saïdj
 
Source : Le CESE a voté son avis sur “le coût économique et social de l’autisme“, Communiqué de presse, 9 octobre 2012

Si la prophétie maya s’avère exacte, la fin du monde est prévue pour le 21 décembre. Parmi les milliers de choses à faire avant la dernière heure, les Français ont opté pour le sexe. D’après un sondage réalisé par FirstAffair.fr, 47 % des hommes et 25 % des femmes veulent un dernière relation sexuelle avant de rendre leur dernier souffle.

La priorité des Français avant la fin du monde est d'ordre sexuel.

Quel(le) partenaire pour un fin en apothéose ?Pour atteindre ce dernier orgasme, les hommes choisiraient une torride inconnue (39 %), alors que leurs homologues féminins opteraient pour leur partenaire régulier (31 %). Plutôt que de voir leur vie défiler devant leur yeux avant le jour fatidique, nos compatriotes préfèrent se retourner sur leur passé plus “concrètement“ : plus de 17 % des sondés aspirent à des relations sexuelles avec leur ex-partenaire avant la fin du monde.Et quand on aime, on en compte pas puisque les hommes et les femmes s’accordent sur le fait que faire l’amour à trois serait la meilleure façon de quitter la planète (41 % des hommes et 32 % des femmes).La star la plus convoitée pour le dernier rendez-vous est…Le sondage révèle que s’ils devaient faire l’amour avec une célébrité, les hommes pencheraient pour Marion Cotillard, Angelina Jolie ou Mila Kunis.De leur côté, les femmes seraient plutôt tentées par Jean Dujardin, Georges Clooney ou Leonardo DiCaprio.Cette étude a été réalisée par le site de rencontres libertines FirstAffair.fr, entre le 19 et le 30 octobre derniers, auprès de 3.400 membres âgés de 18 à 76 ans.RelaxnewsSource : Communiqué du siteFirstAffaire – novembre 2012Photo :©MarishaSha/Shutterstock.comClick Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

La planète mode a été bouleversée par de nombreux changements artistiques au cours de l’année 2012, notamment avec l’arrivée du célèbre créateur Hedi Slimane chez Saint Laurent Paris. D’autres grands noms ont marqué cette année couture, pour l’empreinte qu’ils laisseront à jamais dans le monde de la mode.

Selon vous, quels sont les créateurs et les fashionistas qui ont marqué 2012 ?

Michelle Obama

Comment ne pas évoquer la première dame des États-Unis, qui a joué un rôle primordial dans la réélection de Barack Obama, le 6 novembre dernier ? Le président des États-Unis n’a d’ailleurs pas hésité à tweeter une photo de leur couple enlacé le jour de sa réélection. Devenue une véritable icône de la mode, Michelle Obama faisait même partie du haut du tableau du célèbre classement des célébrités les mieux habillées de la planète, établi par le magazine Vanity Fair.Hedi Slimane

L’arrivée du couturier français à la tête de la direction de la création d’Yves Saint Laurent a sans doute été l’évènement de l’année en mode, tout comme le changement du nom des collections de prêt-à-porter de la maison. Hedi Slimane a en effet pris la décision de les rebaptiser “Saint Laurent Paris“. La première collection féminine du créateur pour Saint Laurent a d’ailleurs fait l’unanimité lors de la dernière semaine de la mode parisienne, qui s’est déroulée du 25 septembre au 3 octobre derniers.Raf Simons

Dès que Dior a annoncé le départ de John Galliano en mars 2011, les fashionistas du monde entier attendaient avec la plus grande impatience l’arrivée de son remplaçant. C’est finalement plus d’un an après que la maison de couture a révélé le nom de son nouveau directeur artistique, Raf Simons, censé prendre en charge les collections femme haute couture, prêt-à-porter et accessoires. Le couturier belge était, jusqu’en février 2012, directeur artistique de la marque allemande Jil Sander.
Ghesquière et Kane
Après 15 années de collaboration, Nicolas Ghesquière a quitté officiellement sa fonction de directeur artistique de la maison Balenciaga, le 30 novembre. Si aucune information n’a encore été communiquée sur l’avenir du créateur, le nom d’Alexander Wang a en revanche été cité comme successeur du styliste.
De son côté, Versace a annoncé, le 19 novembre, la fin de sa collaboration avec Christopher Kane pour la ligne Versus. La marque de luxe italienne souhaite se tourner vers des collections capsules, mettant en avant la jeune création. Jonathan Anderson a d’ailleurs été choisi pour concevoir une première ligne homme, femme et accessoires.Source : Relaxnews

L’agence européenne du médicament (EMA) va réexaminer les pilules contraceptives de 3e et 4e générations à la demande de la France, a indiqué lundi l’EMA, basée à Londres

L'agence européenne du médicament va réexaminer les pilules de 3e et 4e générations

Ce réexamen va “permettre de déterminer s’il est nécessaire de restreindre l’usage de ces médicaments aux femmes qui ne peuvent pas prendre d’autres contraceptifs oraux combinés“ (pilules oestro-progestatives, NDLR), a ajouté l’EMA.La France avait annoncé le 11 janvier qu’elle demandait cette réévaluation à l’EMA, alors qu’elle veut restreindre la prescription des pilules de 3e et 4e générations au profit des 2es générations, qui présentent moins de risque.Le même jour, l’agence européenne avait souligné qu’elle n’avait à cette date reçu “aucune nouvelle preuve“ d’un état membre de l’Union européenne sur les risques de caillots sanguins de ces pilules.Il est bien établi que les contraceptifs combinés comportent un risque “très rare“ de thrombo-embolies veineuses (formations de caillots sanguins, NDLR), souligne lundi l’EMA.Le risque absolu est très petit (de 20 à 40 cas par 100.00 femmes en une année d’utilisation) et le risque diffère selon les générations de pilule : “il y a un risque plus élevé pour les 3e et 4e générations“ que pour les pilules de 1ère et 2e générations, note l’agence sanitaire européenne.Plus d’informations seront rendues publiques à la suite de la réunion du Comité pour l’Évaluation des Risques en matière de Pharmacovigilance (PRAC) de l’EMA prévue du 4 au 7 février.C’est “la première fois“ qu’un état membre saisit l’agence européenne pour lui demander d’émettre des recommandations à l’échelle européenne sur ce type de médicaments, remarque l’EMA.En France, 2,5 millions de femmes prennent actuellement des

pilules de 3e et 4e génération, soit la moitié des femmes sous pilule, une prescription jugée excessive par les autorités sanitaires françaises.AFP/relaxnewsSource : European Medicines Agency to review third- and fourth-generation combined oral contraceptives – Communiqué de l’EMEA – 28 janvier 2013Click Here: Maori All Blacks Store

“C’est comme une soirée normale, sauf que le mec sur qui tu flashes n’est pas en couple. Julie, 33 ans“. Le message de la campagne d’affichage du site de rencontre Meetic résume le besoin de revenir au réel des communautés nées sur internet ou les réseaux sociaux. Un phénomène qui ne touche pas que les sites de rencontres.

Le besoin de réel envahit les communautés virtuelles.

De la rencontre virtuelle à la drague réelleMi-janvier, dans un bar à cocktails, près de Bastille. Quelque 150 personnes se pressent au sous-sol vers 20H00. En descendant l’escalier, les nouveaux arrivants jaugent l’assistance du regard. Des hommes et des femmes, équitablement répartis, âgés de 25 à 35 ans. À première vue, une soirée normale, sauf que tous sont célibataires.“C’est bien de voir la personne, ça fait gagner du temps. Derrière un écran, on ne sait pas vraiment qui il y a“, témoigne Aude, 34 ans, qui assiste à sa deuxième soirée Meetic, un mojito à la main. “Derrière l’ordinateur, on se base souvent sur l’apparence physique à travers la photo. En vrai, le feeling peut passer plus facilement“, renchérit Dan, 30 ans, accoudé un peu plus loin.Meetic, le site de rencontre créé en 2001, a lancé récemment ces soirées qui se veulent une “extension naturelle“ de son service proposé sur internet, mais aussi une façon de recruter des abonnés.“On oppose pas le réel à internet, les deux se rejoignent et se complètent“, explique à l’AFP Jessica Delpirou, directrice de Meetic France, qui organise une cinquantaine de ces soirées gratuites par mois dans une quarantaine de villes en France.“Derrière, il y a un gros travail de +profiling+ et d’analytique pour avoir la population souhaitée et que les gens aient des choses à se dire“, détaille-t-elle.À l’autre bout du spectre de ces soirées grand public, le phénomène des “barcamps“, ces ateliers participatifs nés en 2005 dans la Silicon Valley, a rapidement conquis les plus connectés en France.Un besoin de revenir au réelMediascamp, ruralcamp, vinocamp, greencamp, archicamp…ces évènements réunissent les passionnés et les professionnels des nouvelles technologies, qui ne se sont souvent jamais vus en vrai, pour des séries d’ateliers autour d’un thème, explique à l’AFP Grégoire Japiot, un des promoteurs du concept en France.Toujours gratuit, ouvert à tous, le barcamp a aussi la particularité de mettre les participants au même niveau (pas de distinction conférenciers/auditeurs) et de ne pas avoir de programme établi à l’avance : les sujets sont décidés le jour même, faisant ainsi écho au web participatif 2.0, précise ce consultant social média chez Knowledge Expert auteur d’un article détaillé sur les barcamps disponible sur vinocamp.fr/blog.Au départ, ce besoin de revenir au réel, “concernait plutôt les geeks“, analyse David Fayon, coauteur avec Christine Balagué de “Facebook, Twitter et les autres“ et “Réseaux sociaux et entreprise : les bonnes pratiques“.“Avec la connaissance grandissante des réseaux sociaux, il y a une volonté de prolonger une communauté par des évènements physiques. Ça permet de renforcer les liens de la communauté virtuelle“, ajoute-t-il.“Réaliser que l’on a besoin des deux mondes, le virtuel et le réel, et que les deux sont complémentaires, c’est un progrès de la conscience collective. Ça montre qu’il y a un plus grand niveau de maturité dans l’usage des réseaux sociaux“, conclut-il tout en prévenant : “le fait de briser la glace, de passer à la vie réelle,

ça peut être déceptif“.Autre déclinaison, propre aux réseaux sociaux, les “Twit apéros“ ou “apéros Facebook“, organisés par affinités professionnelles.Matteu Maestracci, reporter à France Info, organise les soirées “Chez Raymonde“ qui réunissent plusieurs dizaines de “journalistes, des twittos et des potes divers“.“Ca permet de se rencontrer en vrai, sans a priori, et d’échanger avec des gens qu’on connaît surtout online, parfois même sans savoir à quoi ils ressemblent! Parce que, jusqu’à preuve du contraire, il reste encore difficile de boire un coup et rire à plusieurs seul devant son ordi, d’où ce retour au réel indispensable“, explique Matteu Maestracci à l’AFP.AFP/RelaxnewsPhoto : ©Diego Cervo/shutterstock.comClick Here: camiseta seleccion argentina

SAINT LEO, FL — Santa never forgets to give his reindeer gifts. And, apparently, Americans are equally generous to their pets.

A new survey by the Saint Leo University Polling Institute looked at pet ownership and the holidays.

The Saint Leo University Polling Institute survey was fielded nationally online among 1,167 adults from Oct. 11-17. When all 1,167 answered questions, the margin of error for results is plus or minus 3.0 percentage points.

The polling institute also sampled opinions of 698 residents in Florida, where Saint Leo University is based. Oct. 16-22, using an online survey instrument. The Florida poll has a +/- 3.5 percent margin of error at a 95 percent confidence level (on a composite basis).

Three-fifths of Americans polled, 59.4 percent, say they have pets at home. In Florida, 60.9 percent of poll respondents say they own pets.

Poll respondents also were asked about their holiday spending on pets. The average amount pet owners anticipate spending or have spent on holiday gifts for their pets is $237.37, the Saint Leo poll shows. Among Florida respondents, the average is $233.34. These figures are much higher than when the Saint Leo University Polling Institute last posed the questions. In 2015, Americans said they would spend $98.97 and Florida respondents said they would spend $121.38 on holiday gifts for their pets.

Dr. Keith Jones, associate professor of marketing at Saint Leo University, said he has followed the pet industry for 10 years and frequently discusses it in the classroom.

“The spenders—they are called ‘pet parents’—are individuals who treat their four-legged friends as if they are actually family members,” Jones said. “As a result, people continue to spend on their pets at holidays in a similar manner as to how they spend on their actual family members. In fact in 2014, households reported that while they were going to cut back on spending for family members, they were not going to do so for their furry family members. Some even reported they were going to increase their spending. Industry officials are uncertain as to how long this trend will last.”

Saint Leo’s Dr. Rhondda Waddell agreed with Jones.

“We as a nation are embracing more than ever our pets as family members,” said Waddell, a professor of social work at Saint Leo University who teaches an interdisciplinary course about therapy and service animals. “Many people have substituted their animals for the choice to have children, and thus they lavish their pets as they normally would their own children.”

The pet industry was not negatively affected by the recession in 2008, Jones noted, and has continued to grow.

“It is estimated that pet spending this year will easily top $86 billion,” he said. “The top three categories in spending are food, veterinary services and supplies [which includes toys and Christmas pet sweaters].

The 45-to-54-year age group makes up about 26 percent of the pet store market followed by the 55-to-64-year group [22.8 percent, based on various pet industry reports].”

Whether pets are replacements for children for empty nesters or an addition to a family with children, “the most important message to note is that a growing number of households hold their animals in high esteem,” Waddell said. ‘My personal thought is ‘love is love.’ If you want to give to your pets and that makes you happy, more power to you.”

About The Poll

METHODOLOGY: This national survey was conducted Oct. 11 through 17, among a base of 1,167 respondents, using an online instrument. Politically, the composition of the sample was 24.9 percent Republican, 24.9 percent Democrat, 26.9 percent independent (or unaffiliated); and 8.7 percent from another party. The remaining 14.7 percent indicated they are unsure. The survey has a +/- 3.0 percent margin of error at a 95 percent confidence level on a composite basis.

In Florida, the survey was used to sample opinions of 698 registered likely voters across the state. The survey was conducted Oct. 16 through 22, using an online survey instrument. The political composition of the voter base was 35.5 percent Republican, 38.1 percent Democrat, 24.1 percent unaffiliated, and 1 percent from another party. The remaining 1 percent indicated they were unsure. The Florida poll has a +/- 3.5 percent margin of error at a 95 percent confidence level (on a composite basis).

The Saint Leo University Polling Institute conducts its surveys using cutting-edge online methodology, which is rapidly transforming the field of survey research. The sample is drawn from large online panels, which allow for random selections that reflect accurate cross sections of all demographic groups. Online methodology has the additional advantage of allowing participants to respond to the survey at a time, place, and speed that is convenient to them, which may result in more thoughtful answers. The Saint Leo University Polling Institute develops the questionnaires, administers the surveys, and conducts analysis of the results. Panel participants typically receive a token incentive—usually $1 deposited into an iTunes or Amazon account—for their participation.

The Saint Leo University Polling Institute survey results about national and Florida politics, public policy issues, Pope Francis’ popularity, and other topics, can also be found by clicking here.

Image via Saint Leo University

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La marque de soins autobronzants St. Tropez a dévoilé le making-of de sa campagne publicitaire avec le top model britannique Kate Moss. La brindille, qui n’a rien perdu de sa superbe, affiche une fois de plus une silhouette filiforme et musclée.

Kate Moss, nouveau visage de la marque d'autobronzants St. Tropez

Réalisée par la célèbre photographe Solve Sundsbo, la campagne montre Kate Moss dans des maillots de bain ultra-sexy. Une photographie, qui devrait plaire à la gent masculine, révèle même la brindille dans le plus simple appareil, allongée sur le ventre.A près de 40 ans, Kate Moss n’a rien à envier à la nouvelle génération de mannequins. Sa réputation et ses mensurations parfaites en font toujours l’un des tops les plus sollicités de la planète. Outre la marque St. Tropez, la Britannique a récemment posé pour Rimmel, Rag & Bone, Versace, Givenchy, ou encore Kérastase.

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OZARKS, MO — A Missouri poacher has been ordered to repeatedly watch the movie “Bambi” as part of his sentence in a scheme to illegally kill hundreds of deer.

David Berry Jr. was ordered to watch the Disney classic at least once a month during his year-long jail sentence in what conservation agents have called one of the largest deer poaching cases in state history, the Springfield News-Leader reports .

“The deer were trophy bucks taken illegally, mostly at night, for their heads, leaving the bodies of the deer to waste,” said Don Trotter, the prosecuting attorney in Lawrence County.

Berry, his father, two brothers and another man who helped them had their hunting, fishing and trapping privileges revoked temporarily or permanently. The men have paid a combined $51,000 in fines and court costs — but the judge ordered a special addition to Berry’s sentence for illegally taking wildlife.

Court records show he was ordered by Lawrence County Judge Robert George to “view the Walt Disney movie Bambi, with the first viewing being on or before December 23, 2018, and at least one such viewing each month thereafter” while at the county jail.

Berry was also sentenced to 120 days in jail in nearby Barton County for a firearms probation violation.

His father, David Berry Sr., and his brother, Kyle Berry, were arrested in August after a nearly nine-month investigation that also involved cases in Kansas, Nebraska and Canada. The Missouri Department of Conservation said information from the investigation led to 14 Missouri residents facing more than 230 charges in 11 counties.

Investigators say David Berry Sr.’s other son, Eric Berry, was later caught with another person spotlighting deer, where poachers use light at night to make deer pause and easier to hunt.
The investigation into the Berrys began in late 2015, when the conservation agency received an anonymous tip about deer poaching in Lawrence County.

Photo: This undated photo provided by in Lawerence County Sheriff in Mt. Vernon, Mo., shows David Berry Jr. (Lawerence County Sheriff via AP)

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Une étude menée sur quelques nonagénaires espagnols montre qu’il n’est jamais trop tard pour commencer à pousser de la fonte. En effet, même tardivement, le sport se révèle être un allié de poids pour une meilleure santé.

Même à 90 ans passés, le sport est un véritable allié pour rester en forme.

Après avoir fait suivre un programme de musculation à un groupes de seniors âgés de 91 à 96 ans, des chercheurs de l’Université de Navarre (Espagne) ont constaté qu’en seulement 12 semaines, les participants enregistraient d’importantes améliorations au niveau de l’équilibre (et avaient moins tendance à tomber), de leur vitesse de marche et sortaient plus facilement de leur chaise.Environ la moitié des 24 participants ont suivi un programme d’exercices comprenant de la musculation et des exercices d’équilibre à raison de deux jours par semaine, pendant que l’autre groupe, sédentaire, faisait office de groupe témoin.Les résultats de cette étude sont parus dans la revue

American Ageing Association.L’inactivité physique chez les personnes âgées entraîne une atrophie musculaire et une réduction des capacités cardiovasculaires et respiratoires, elles deviennent ainsi moins mobiles et plus dépendantes.Les chercheurs notent que l’on perd en général 30% de sa masse musculaire entre 50 et 70 ans.Des spécialistes de l’université du Michigan qui avaient rédigé une étude similaires en 2011 recommandaient de commencer par des exercices simples utilisant le poids du corps, comme les squats, les pompes modifiées, le tai-chi, le Pilates ou le yoga.Source : Relaxnews