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Sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin, ce 11 décembre, Roselyne Bachelot a évoqué son poste de ministre de la Culture, qui lui tient toujours très à coeur, malgré la situation sanitaire et économique critique, liée au Covid-19.

Il faut reconnaître que Roselyne Bachelot n’a pas la tâche facile depuis le 6 juillet 2020, date durant laquelle elle a été élue ministre de la Culture. Avec la crise sanitaire liée au Covid-19, le milieu de l’art et du spectacle semble quelque peu laissé à l’abandon par le gouvernement. Les salles de cinéma et de théâtre resteront donc toujours fermées pendant plusieurs semaines. L’ancienne ministre de l’Ecologie et de la Santé était, ce vendredi 11 décembre 2020, sur le plateau de BFMTV / RMC. Elle en a profité pour assurer qu’il s’agit d’un “crève-cœur” pour elle.

“On ne laissera tomber personne”, affirme Roselyne Bachelot, qui estime être en “colère contre le coronavirus”, mais “certainement pas” envers Jean Castex et ses mesures gouvernementales. “Croyez-vous, Jean-Jacques Bourdin, qu’on fait ça pour notre plaisir ? On serait fous… Est-ce qu’on fait ça pour fouetter les Français ? On fait ça pour les protéger”, s’insurge la ministre de la Culture. “Ne cherchons pas des polémiques où il n’y en a pas”, lance-t-elle, agacée par les réflexions de l’animateur télé. “Le lieu de culture en lui-même n’est pas dangereux. Ce qui pose problème, c’est le brassage de population qui se fait autour de ça”, tient à rappeler la femme politique de 73 ans.

“Il n’y a rien de plus important” que la culture

Estimant que l’art sous toutes ses formes est bel et bien essentiel, Roselyne Bachelot poursuit : “La culture fait vivre, mais les politiques de prévention empêchent de mourir”. Lorsque Jean-Jacques Bourdin lui demande si elle se sent actuellement utile à son poste, la ministre assure que oui, puisqu’elle se “bat pour la culture”. “Il n’y a rien de plus important pour moi”, souligne-t-elle en évoquant le Premier ministre, qui l’écoute au quotidien. “Quand j’obtiens des arbitrages budgétaires comme ceux que j’obtiens, il m’écoute ! Moi je l’écoute aussi”, conclut-elle.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

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Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

Raymond Depardon, réalisateur d’un documentaire sur la campagne présidentielle de 1874 de Valéry Giscard d’Estaing, s’est souvenu de l’ancien chef d’Etat dans une interview au JDD.

Raymond Depardon, réalisateur d’un documentaire sur la campagne électorale de Valéry Giscard d’Estaing de 1974, a eu un aperçu de la fragilité de l’ancien chef d’Etat, mort de la Covid-19. Dans le JDD ce dimanche 6 décembre, le photographe, auteur du portrait officiel de François Hollande en 2012, raconte le moment où il lui a fait découvrir son long-métrage 1974, une partie de campagne, et où il s’est retrouvé censuré.

Je crois que derrière la grande carcasse de Giscard il y avait beaucoup de fragilité. Du pathétique, parfois…“, a-t-il confié. D’après lui, Valéry Giscard d’Estaing a “mal” réagi au documentaire. “Il l’a trouvé très violent. Pendant la projection dans la petite salle de cinéma de Claude Lelouch à Paris, je le voyais s’enfoncer dans son fauteuil“, a-t-il relaté dans cette même interview. Cette séance de cinéma en très petit comité s’est terminée sur un moment de gêne : “Il y avait le monteur et moi, ainsi que le projectionniste, que je ne connaissais pas. Giscard s’est tourné vers lui pour savoir ce qu’il en pensait. Le petit jeune n’a su répondre que ‘eux, euh…

Click Here: lions rugby online storePremière diffusion en 2002

Valéry Giscard d’Estaing a mis des dizaines d’années à se remettre de son premier visionnage du documentaire, qu’il avait lui-même commandité. Il en a autorisé la diffusion près de trente ans après son tournage. “En 2001, je lui ai dit vouloir exploiter le film avec ma maison de production, a dévoilé Raymond Depardon. Cette fois, il était d’accord : il ne m’en voulait pas, il m’a fait confiance, n’a imposé aucune coupe et n’a même pas demandé à le revoir.1974, une partie de campagne, a été diffusé pour la première fois en 2002. Arte le programme en soirée, ce dimanche 6 décembre, au lendemain de ses obsèques.

Crédits photos : Gwendoline Le Goff / Panoramic / Bestimage

Le 4 décembre, Philippe Levasseur, directeur de CAPA Presse, était l’invité de “C à vous” pour évoquer la sortie du documentaire “Chambre 2806 : l’affaire DSK” sur Netflix. En plateau, Marion Ruggieri a relayé des propos de Jack Lang, qui n’ont pas tardé à faire polémique sur la toile.

C’est une affaire qui continue d’intéresser. Ce lundi 7 décembre, les téléspectateurs ont pu découvrir sur Netflix la série documentaire Chambre 2806 : l’affaire DSK, consacrée à la chute de l’ancien patron du FMI et de l’affaire du Sofitel. Réalisé par Jalil Lespert et produit par CAPA Presse, plusieurs protagonistes ont accepté de se confier, à l’instar de la femme de chambre Nafissatou Diallo, mais également Tristiane Banon, autre victime présumée de Dominique Strauss-Kahn. Des proches de l’ancien homme politique ont eux aussi été sollicités pour livrer leur témoignage. Parmi eux, Jack Lang, qui a tenu des propos polémiques, comme l’a rappelé Marion Ruggieri, sur le plateau de C à vous, le 4 décembre.

Alors que le directeur de CAPA Presse, Philippe Levasseur, se trouvait face à elle, la journaliste a souhaité le faire réagir sur les propos tenus par l’ancien ministre de la Culture dans le documentaire diffusé sur Netflix : “Vous interviewez aussi Jack Lang, qui déclare, à propos de DSK : ‘L’amour n’est pas un complot du diable. Dominique Strauss-Kahn est un peu plus porté vers les choses de l’amour et alors ?’ Une déclaration qui, je crois, avant même la diffusion du film, fait déjà un peu polémique parce qu’il semble assimiler des accusations de tentatives de viol à une histoire d’amour ?“, s’est-elle interrogée. “Alors lui, il se place du point de vue du droit. Il n’y a pas eu de condamnation, il y a la présomption d’innocence”, a alors rappelé Philippe Levasseur.

Les internautes choqués par les propos de Jack Lang

Les propos de Jack Lang n’ont en tout cas pas échappé aux internautes, qui ont fait part de leur indignation sur la toile. “Jack Lang toujours aussi détendu aujourd’hui: ‘l’amour n’est pas un complot du diable. DSK est peut être plus porté aux choses de l’amour, et alors? Un président doit il être sans sensualité?'”, a commenté, outrée, l’une d’entre elles. Les mots prononcés par Jack Lang dans cette série documentaire n’ont pas manqué de choquer les téléspectateurs, qui ont réagi en nombre sur Twitter.

Parmi les autres réactions, voici ce qu’on a pu lire sur Twitter : “J’ai vu que deux épisodes et pour l’instant Jack Lang est le pire personnage ever. Force à Nafissatou Diallo en revanche qui rayonne de courage”, “Absolument chaque déclaration de Jack Lang dans le docu sur #DSK est gênante. Dix ans après, il ne voit toujours pas le problème” ou encore “Jack Lang et Elisabeth Guigou ont accepté d’être interviewés pour ce documentaire. Ils y parlent de Strauss-Kahn, avec tendresse, amitié, admiration… Mais quel respect ces gens ont pour Nafissatou Diallo??”

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Crédits photos : Capture d’écran France 5

Emmanuel Macron compte énormément sur Jean Castex, le Premier ministre qu’il a choisi pour son attachement aux territoires. Une façon pour le président de se la jouer stratégique à l’approche de la prochaine élection présidentielle de 2022.

Un recrutement qui n’est pas le fruit du hasard. Si Jean Castex a succédé à Édouard Philippe au poste de Premier ministre lors du dernier remaniement, ce n’est pas sans arrières-pensées de la part d’Emmanuel Macron, que l’on dit déjà dans la course pour 2022. Jean Castex dispose de l’image d’un Premier ministre proche des territoires au contraire d’un Emmanuel Macron très urbain.

Ainsi, selon nos confrères d’Europe 1, l’ancien monsieur déconfinement serait “le gardien du bastion électoral de la droite du président” pour la prochaine élection. “Le couple Castex/Macron est l’alliance des contraires entre un chef de l’État urbain et un Premier ministre qui parle aux territoires”, écrivent nos confrères.

“Castex est un type bien, fais-lui confiance”

Jean Castex, en plus de parler aux territoires, a en effet comme mission de creuser le sillon du centre droit, d’où il est issu, et de permettre à Emmanuel Macron de gagner des voix de ces électeurs. Un bouclier qui semble pourtant se fissurer de jour en jour. En effet, depuis sa nomination à Matignon, Jean Castex fait l’objet de nombreuses critiques notamment en raison de sa gestion de crise du Covid-19. L’entourage d’Emmanuel Macron s’inquiète des répercussions sur le gouvernement. “Les autres, les Darmanin, les Le Maire, c’est comme les lions sur une gazelle : à la fin, la meute l’emportera”, confiait un macroniste de la première heure auprès de l’Opinion. Mais qu’importe, Emmanuel Macron croit encore en Jean Castex. Castex est un type bien, fais-lui confiance, aurait-il assuré à un parlementaire.

Crédits photos : Eliot Blondet/Pool/Bestimage

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Le 19 décembre prochain, les Français auront une nouvelle Miss France. En attendant, Gala vous propose de faire un tour d’horizon sur les couples emblématiques formés par les anciennes Miss. Que ce soit Iris Mittenaere, Mareva Galanter, Marine Lorphelin ou encore Linda Hary. Découvrez si les anciennes Miss France sont en couple et avec qui.

Ce samedi 19 décembre, les Français éliront leur Miss France 2021. Après un an de règne, Clémence Botino couronnera la nouvelle élue parmi les 29 candidates. C’est une année intense en émotion qui attend donc la prochaine Miss. Au fil des années, les représentantes de la France se sont imposées dans le quotidien des Français. Même au-delà de leur règne, elles restent des figures emblématiques. Si leur année de Miss France est peu propice aux relations amoureuses, qu’en est-il désormais ?

La plupart semble être sur un petit nuage. C’est le cas par exemple d’Iris Mittenaere qui file le parfait amour avec Diego El Glaoui. D’ordinaire discrète sur sa vie sentimentale, Miss France 2016 n’hésite plus à partager de tendres instants de complicité en amoureux. Même constat pour Alexandra Rosenfeld et Hugo Clément. Depuis l’officialisation de leur idylle, s’exposer n’est plus un souci. Et c’est bientôt à quatre qu’ils s’affichent – en comptant Ava, la fille aînée d’Alexandra Rosenfeld –, puisqu’ils ont accueilli leur premier enfant.

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Mareva Galanter est quant à elle en couple avec Arthur. Ensemble, ils ont même eu une fillette, qui agrandi cette jolie famille recomposée. Et depuis plus de cinq ans, Marine Lorphelin vit le grand amour avec Christophe – et ce, malgré la distance qui les sépare. Une épreuve qui n’a fait de renforcer leur amour. Puisqu’ils s’apprêtent à se marier. Quid des autres ? Retrouvez-les dans notre diaporama.

Diaporama réalisé par Lisiane Gourdon

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

Invité des Grosses Têtes ce 14 décembre, Mathieu Madénian est revenue sur sa surprenante rencontre avec Kim Jong-nam, le demi-frère de Jim Jong-un, quelques semaines avant son assassinat.

En février 2017, Kim Jong-nam, le demi-frère de Kim Jong-un, a été assassiné en plein jour à l’aéroport de Kuala Lumpur, en Malaisie. Celui qui était considéré comme un “informateur” de la CIA est décédé après avoir reçu au visage du VX, un agent neurotoxique hautement mortel. Quelques semaines auparavant, le grand frère déchu du dictateur de Corée du Nord avait rencontré… Mathieu Madénian. Ce 14 décembre, l’humoriste, invité exceptionnel des Grosses Têtes, diffusée sur RTL, a partagé cette anecdote surprenante, intervenue lors de son avant-dernier dîner avec Charles Aznavour.

“Avec Aznavour, on mange ensemble au sein d’une longue tablée. En face de moi, j’ai une personne asiatique assez forte avec sa femme. On parle de vins. Le mec est négociant en vins. Et Aznavour me fait : ‘Demande lui son nom à cette personne !’. Moi je dis : ‘Vous vous appelez comment ?’, et l’homme me dit Kim Jong-nam, raconte Mathieu Madénian, provoquant l’étonnement de l’assemblée. Le frère de Kim Jong-un, héritier déchu du pouvoir, évoque avec l’humoriste comment il a été chassé de Corée du Nord.

Une bouteille empoisonnée ?

“Il est allé à Disney au Japon. Et son père (Kim Jong-il, dirigeant de la Coréen du Nord entre 1994 et 2011 – NDLR) lui a dit : ‘C’est terminé, je ne veux plus te voir’. Le mec me dit : ‘Depuis, mon demi-frère veut m’assassiner’, se souvient Mathieu Madénian. Kim Jong-nam vient par la suite le voir en spectacle, un 24 décembre. “Il m’offre une bouteille de Cheval Blanc, parce que j’aime bien le vin”, partage l’humoriste. “(Quelques semaines après), j’allume BFM et je vois que ce mec a été assassiné par son frère dans un aéroport.”

Et de poursuivre : “Le premier truc que je fais, c’est que je me tourne vers la bouteille de vin. Je me dis que, comme l’homme a été empoisonné, cette bouteille pourrait l’être. J’appelle mes parents. Je dis : ‘Maman, que dois-je faire avec la bouteille de vin ?’, et là mon père me fait : ‘Goûte et tu verras après’.” Quelques mois plus tard, Mathieu Madénian croise Charles Aznavour et lui fait part de son inquiétude. “Je lui ai dit : ‘vous avez vu ce qui s’est passé avec Kim Jong-nam ? Il a été empoisonné par son frère’, et Aznavour me fait : ‘Ah, ce sont des choses qui arrivent!’.

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Crédits photos : PATRICK BERNARD / BESTIMAGE

Hyon Song-Wol, petite-amie de Kim Jong-Un par intermittence depuis vingt ans, est de retour sur le devant de la scène nord-coréenne. Les médias rapportaient son assassinat il y a un an.

On ne l’a pas vue pendant plusieurs mois, au point qu’on la pense assassinée. La voilà de retour dans les plus hautes sphères de Corée du Nord. Hyon Song-Wol, pop star et ancienne -actuelle ?- petite-amie de Kim Jong-Un, s’impose et éclipse la femme et la sœur du dictateur.

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Le 10 octobre dernier, elle tenait un rôle de premier plan lors de la parade militaire célébrant les 75 ans du parti des travailleurs de Corée. D’après le Times of London, on l’a vue accompagner les dignitaires jusqu’à leurs sièges, prendre les bouquets de fleurs offerts à Kim Jong-Un, et s’installer juste derrière lui. La sœur de ce dernier, Kim Yo-jong, ancien bras-droit de son frère et investie dans les relations diplomatiques du pays, prenait auparavant cette place. Elle a été rétrogradée quelques rangs derrière.

© Aflo / BestimageHyon Song-Wol se rend à Séoul avec une délégation nord-coréenne, quelques semaines avant les Jeux olympiques d’hiver, le 21 janvier 2018.

Femme et sœur mises de côté

Pop-star connue en Corée du Nord pour ses tubes Excellent Horse-Like Lady ou I love Pyongyang, Hyon Song-Wol a aussi accompagné Kim Jong-Un lors de la visite d’une région sinistrée en septembre. Ce retour médiatique survient un an après l’annonce de son assassinat par les médias internationaux.

En mai 2019, on apprenait que le dictateur avait ordonné les exécutions de plusieurs chanteuses, dont elle, suite à la diffusion d’une vidéo jugée suggestive. En 2013, une première rumeur annonçant son assassinat avait déjà circulé. On rapportait en 2019 que Ri Sol-ju, qui a épousé le chef d’Etat en 2009, aurait demandé l’élimination de Hyon Song-Wol par jalousie : sa rivale entretient une relation avec son mari depuis le début des années 2000. Mère des trois enfants de Kim Jong-Un, elle n’a pas été vue depuis plusieurs mois. Son absence inquiète la scène internationale, et le come-back de la favorite de son époux interpelle.

Crédits photos : ITAR TASS / BESTIMAGE

Donald Trump en roue libre sur… ses cheveux !

January 19, 2022 | News | No Comments

Si le monde lutte contre le coronavirus, Donald Trump, lui, a épousé un autre combat qui lui tient à cœur. En août 2020, le président livrait un discours engagé… à la quête désespérée de la coiffure parfaite.

Avant l’élection de Joe Biden, annonçant la fin de son mandat pour le mois de janvier 2021, Donald Trump s’avouait bouleversé par un tout autre problème d’ordre national. Une urgence pour celui dont la chevelure (plus ou moins) blonde ne cesse d’être remarquée depuis les débuts de sa présidence. Selon le mari de Melania Trump, la régulation sur le débit des douches ne permet pas aux Américains de se laver les cheveux correctement. “Vous allumez la douche, et si vous êtes comme moi, vous ne pouvez pas vous laver les cheveux convenablement”, déplorait-il lors d’une visite de l’usine de fabrication Whirlpool, dans l’état de l’Ohio, au mois d’août 2020, alors que la menace d’une deuxième vague de la pandémie de coronavirus planait. Et de poursuivre, faisant mine de vouloir se laver les cheveux : “‘S’il vous plaît, sortez,’ L’eau – ça goutte, non?”

Car depuis les années 1990, comme l’a rappelé le site de la chaîne CNN, les lois fédérales américaines ont prescrit que les pommes de douche “ne peuvent émettre plus de 2,5 gallons d’eau par minute, dans le but de préserver les ressources.” Un scandale pour Donald Trump qui, un mois avant sa visite de l’usine Whirlpool, s’adonnait à une autre tangente à ce sujet lors d’un événement à la Maison-Blanche. “Alors, les pommes de douche, vous prenez une douche, l’eau ne sort pas. Vous vous lavez les mains, l’eau ne sort pas. Alors que faites-vous ? Vous restez là plus longtemps ou vous prenez une douche plus longtemps ? Parce que mes cheveux – je ne sais pas pour vous, mais il faut qu’ils soient parfaits, disait-il. Sa quête de la coiffure parfaite a poussé le ministère de l’Énergie à proposer des baisses des réglementations de l’utilisation de l’eau à domicile. Une victoire que le 45ème président des États-Unis a certainement célébré à Washington.

© Backgrid USA / BestimageDonald Trump s’apprête à quitter la Maison-Blanche pour céder sa place à Joe Biden dès le mois de janvier 2021

Bientôt le grand départ

Des frasques et sorties dont certains se passeront volontiers. Alors qu’il s’apprête à célébrer son dernier Noël en tant que chef d’État, aux côtés de son épouse et de son fils Barron (et après avoir personnellement été touché par le coronavirus), Donald Trump se prépare aussi au grand départ du Bureau Ovale, lui qui cèdera sa place à Joe Biden et à sa nouvelle administration, opérationnelle dès la fin du mois de janvier 2021. Soulagement pour de nombreux politiques, notamment russes, à l’image du président du Sénat, Konstantin Kosachev, peu friand des méthodes imprévisibles de l’ex-magnat de l’immobilier.Il sera plus facile pour nous de travailler avec des diplomates professionnels”, a analysé, de son côté, le président de la commission des affaires étrangères du Conseil de la fédération dans les colonnes du journal Le Figaro. Le Kremlin n’est cependant pas dupe : peu tendre avec le gouvernement de Vladimir Poutine, le qualifiant de “la principale menace pour les États-Unis” sur l’antenne de CBS en octobre 2020, Joe Biden mènera bel et bien une “politique antirusse stricte.” De quoi faire regretter Donald Trump, qui bénéficient tout de même de soutiens ? Réponse dans un mois.

Crédits photos : Backgrid USA / Bestimage

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D’après les révélations de Capital, Thomas Langmann est condamné à indemniser son ancien bras droit, Emmanuel Montamat, pour l’avoir licencié “en dehors de toute procédure” en 2016.

Emmanuel Montamat n’imaginait pas devoir pousser la porte du tribunal. Encore moins pour attaquer en justice Thomas Langmann, pour qui il était un bras droit. Depuis 2016, les deux personnalités du cinéma français se déchirent. Une guerre déclenchée par un licenciement. Alors que le fils du producteur Claude Berri travaillait avec le directeur général de la Petite reine, recruté en 2006, Thomas Langmann a finalement décidé de se séparer de lui pour faute grave. Cela l’a alors privé de ses indemnités. “Vous avez très, très gravement manqué à l’exercice de vos missions. Vous n’avez plus assumé vos fonctions, et ce de moins en moins, plus le temps passait”, a appris Emmanuel Montamat dans un courrier, relaté par Capital ce vendredi 18 décembre. Le producteur lui reprochait alors d’avoir “piraté” leur réseau informatique et d’avoir “abusé” de son statut afin de profiter d'”avantages personnels“.

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Tombé des nues, Emmanuel Montamat a d’abord contesté ce licenciement. Mais la décision des juges ne se constituait pas en sa faveur. Toujours d’après les révélations de nos confrères, son intrusion dans le système informatique représentait “une cause réelle et sérieuse de licenciement”. Mais n’étant pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, l’ancien bras droit de Thomas Langmann a fait appel. Ce à quoi la cour d’appel de Paris – qui a finalement considéré ce licenciement “en dehors de toute procédure – lui a accordé 170 000 euros de dommages pour “licenciement sans cause réelle et sérieuse. Également, 47 005 euros d’indemnités de licenciement et 46 361 euros d’indemnités de préavis. La victime empochera également 3 000 euros pour “la brutalité de la rupture du contrat” et 5 000 euros pour le “non-respect de l’obligation de sécurité”. Soit un total de 279 000 euros, que devra payer la Petite reine.

Un homme dans la tourmente

Ce n’est pas la seule affaire qui pèse lourd sur les épaules de Thomas Langmann. Son épouse et la mère de ses deux enfants, Céline Bosquet, a porté plainte contre lui en avril 2018 pour menaces, violence et harcèlement. Un an plus tard, le producteur du film The Artist a été condamné à 10 mois de prison avec sursis, assortis d’une obligation de soins, comme le rapportait Le Figaro. Le fils de Claude Berri avait fait appel. Selon Vosges Matin, la Cour d’appel a alors allégé sa peine à 5 000 euros d’amende pour harcèlement moral le 27 novembre dernier.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

© Giancarlo Gorassini/BestimageCéline Bosquet et Thomas Langmann

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

Marie-Sophie Lacarrau ne digère pas son départ précipité de France 2. Auprès de nos confrères du magazine Télé-Loisirs, en kiosques ce lundi 21 décembre, elle fait part de tous ses regrets.

Nouvelle année, nouveau défi. Le 4 janvier 2021, Marie-Sophie Lacarrau change d’antenne et migre vers la présentation du journal télévisé de 13 heures de TF1. Un honneur pour celle qui prend la relève de Jean-Pierre Pernaut, tout de même marqué par une déception de taille. “Je ne veux pas jeter de l’huile sur le feu”, a-t-elle glissé lors d’une interview accordée au magazine Télé-Loisirs, à retrouver en kiosques ce lundi 21 décembre, “mais je persiste à penser que l’on aurait pu me laisser saluer les téléspectateurs du 13 heures de France 2.” En effet, avant de récupérer la place du mari de Nathalie Marquay-Pernaut, la journaliste était le visage du journal télévisé de la deuxième chaîne de France. Au mois de septembre 2020, elle quittait précipitamment France Télévisions, privée d’adieux avec son public.

Blessée, Marie-Sophie Lacarrau ne veut en aucun cas provoquer le service public. C’est derrière nous maintenant, mon seul objectif est le JT du 4 janvier”, a-t-elle poursuivi, toujours auprès de nos confrères. En revanche, la présentatrice tient à rappeler qu’elle a été une valeur sûre de France 2. “Je note que France 2 s’est souvent félicitée, ces dernières années, que mon journal grapille quelques points d’audience et batte des records de vingt ans ! Une raison de plus pour remédier à son départ sans fanfare ? Prête à se faire une place auprès du public de TF1, loin d’elle l’idée de se glisser dans le costume de Jean-Pierre Pernaut en adoptant ses coups de griffes devenus légendaires (elle n’a pas non plus souhaité négocier son salaire). “Lui seul pouvait se le permettre. TF1 m’a choisie pour ce que j’étais sur France 2. Je ne serai pas différente. Je ne suis pas là pour tricher. Mais je n’hésiterai pas à formuler mon ressenti à ma manière.” De quoi réconforter ses admirateurs après son départ abrupte de l’antenne.

© DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGEMarie-Sophie Lacarrau et Jean-Pierre Pernaut sur l’antenne de TF1, ce vendredi 18 décembre 2020

“Annonce rapide, départ rapide”

Un départ “violent et surprenant” dont elle peine manifestement à se remettre. “Je me doutais que je ne resterais pas des semaines à l’antenne, mais j’étais certaine de présenter le JT le lendemain”, racontait Marie-Sophie Lacarrau dans une interview accordée au JDD le 8 novembre 2020. Explication. Le 15 septembre 2020, Jean-Pierre Pernaut annonçait tirer sa révérence et quitter la présentation du journal télévisé dont il était devenu le visage après plus de 30 ans de bons et loyaux services. Deux jours plus tard, alors qu’elle présentait ce qui était finalement son dernier JT, celle qui cède sa propre place à Julian Bugier avait glissé un lapsus qui avait pris tout son sens seulement quelques heures plus tard, lorsqu’elle a été révélée comme la nouvelle présentatrice du journal de TF1 après un long appel avec Thierry Thuillier, directeur de l’information du groupe TF1 depuis 2017. “Je vous souhaite un bon après-midi, et je vous dis… euh… à demain ! 13 heures”, déclarait-elle, hésitante, en fin d’émission. Le lendemain, elle était remplacée au pied levé par Nathanaël de Rincquesen. “Annonce rapide, départ rapide”, comme le confiait un membre de la direction de France 2. L’impardonnable mercato télé.

Crédits photos : Laurent Vu/SIPA

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