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AURORA, IL — Ryan Dowd doesn’t really know what day it is when you ask him. That’s not because he doesn’t care. In fact, it’s because Dowd cares so much. What’s on Dowd’s mind during the new coronavirus crisis is helping the people he calls the “most vulnerable” at Hesed House in Aurora, the second-largest homeless shelter in the state and where executive director Dowd has been living for the past 18 days.

Dowd told Patch he’s staying at the shelter because people are needed there 24/7. “In a crisis like this, we need to have staff on-site all the time,” he said

He’s also staying there to protect his wife, a cancer survivor, from possible infection because he is in contact with a lot of people in his work at Hesed House.

Dowd told Patch that staying at Hesed House also shows residents and staff that he “agree[s] with every safeguard [the shelter has] been using.”

According Dowd, as of Friday, there have been no known or suspected cases of the coronavirus at the shelter, which he calls “nothing short of a miracle.”


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Changes At The Shelter

Dowd has been keeping a daily YouTube diary of his stay at Hesed House. In each update, he shares what Hesed House is doing to help the homeless population in Aurora to stay safe during the coronavirus outbreak.

He said there has been an increase in residents during the day as libraries and other places are closed and “people have nowhere to go.”

In response, Dowd and the team at Hesed House rolled up their sleeves and converted a warehouse space into a third shelter in the course of a weekend. The former adult shelter was converted to house potentially immunocompromised people in the space, with every other bed occupied to practice social distancing.

Meanwhile, the new shelter will house otherwise-healthy adults.

The new shelter space is complete with a no-touch hand-washing station, showers and a kitchen space. In a video on YouTube, Dowd said the tents, which include sleeping bags and blankets, will help encourage social distancing and will help keep residents warm.

To help keep people occupied throughout the day, Dowd said Hesed House plays movies on a projection screen. The residents also had a special visit from Aurora Public Library to drop off books and DVDs for the residents to enjoy.

Dowd also told Patch all residents have a medical clinic with two nurses on-site and a doctor who participates via the Zoom videoconference app.

“We’re gonna spend whatever it takes to keep people alive, and we’ll figure it out later,” Dowd said.

How Residents Can Help

Hesed House relies on the help of residents and church groups to make food and monetary donations throughout the year, and the need is even greater during the coronavirus shutdown, according to Dowd.

Dowd told Patch, “It’s been really exciting to see the community rally around the most vulnerable at a time when it would be so easy for people to just worry about themselves.”

Groups and individuals can still drop off food donations to Hesed House while practicing social distancing. They can simply drive up to Hesed House, at 659 River St., and place the items on the back of the white truck there.

Dowd said needs at Hesed House change daily. Residents can find out what items are needed as well as donate funds by visiting the Hesed House website.

Lessons Dowd Has Learned

Dowd told Patch that staying at Hesed House has taught him some valuable lessons that he thinks can benefit others.

He said, “The camaraderie with the staff has been something I’ll look back on for the rest of my life. Being down in the trenches with the other staff has been meaningful.”

Dowd said living with Aurora’s “most vulnerable” has taught him how to cope with the coronavirus crisis. He said, “I don’t see the level of panic among individuals living in the shelter that I see elsewhere”

He added that he thinks it’s because “this vulnerability and uncertainty that we feel now in the midst of this crisis is the vulnerability that our residents feel every day.”

“When your lives already have fallen apart, a global pandemic doesn’t really change it that much,” Dowd said.

In a heartfelt comment in one of his YouTube videos, Dowd addressed the impact staying at the shelter has had on him. He said, “People ask me: With all the horrible things you see in a homeless shelter, how can you believe in the innate goodness of humanity?”

His response: “I think it’s because I’m here that I do.”

Illinois Coronavirus Update April 4: 10,357 Cases, 243 Deaths

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Alors que le débat sur la réouverture des écoles fait rage dans plusieurs pays, de nombreuses inconnues demeurent sur le Covid-19 chez les enfants, en particulier leur capacité à transmettre la maladie. Le point sur ce qu’on sait et ce qu’on ignore encore.

Sommaire

  1. Quels risques pour les enfants ?
  2. Quel niveau d’infection?
  3. Sont-ils vecteurs de l’épidémie?
  4. Une nouvelle maladie inflammatoire?
  5. Faut-il rouvrir les écoles?

Quels risques pour les enfants ?”Il y a trois questions clés: quel est le

niveau d’infection des enfants, quelle est la gravité de la maladie chez eux, et la transmettent-ils aux autres. Il n’y a que pour la deuxième que nous avons de bonnes données“, résume le Pr Russell Viner, président du Collège royal de pédiatrie britannique.Ces données montrent que les formes graves du

Covid-19, et a fortiori les décès, sont exceptionnels chez les enfants.Dans le monde, “les formes critiques de la maladie chez les enfants semblent très rares (autour de 1% du total)” et “seule une poignée de cas de

décès a été rapportée“, selon le site Don’t Forget The Bubbles (DTFB). Ce site britannique spécialisé dans la pédiatrie a analysé toutes les études sur le sujet.Le risque pour les enfants de tomber gravement malade en retrouvant leurs copains à la réouverture des écoles semble donc faible.Quel niveau d’infection?Il est en revanche plus difficile de dire si les enfants sont aussi susceptibles que les adultes d’attraper la maladie.L’OMS juge que “les enfants et les adolescents sont aussi susceptibles d’être infectés que n’importe quelle autre classe d’âge”.Pourtant, les

cas pédiatriques de Covid-19 ne représentent qu'”une faible partie (1 à 5%) de l’ensemble des cas rapportés dans le monde“, selon l’agence sanitaire française Santé publique France, qui a publié sur son site une synthèse des études internationales sur le sujet.Selon elle, cela vient du fait que les enfants infectés par le coronavirus font très majoritairement des formes “peu graves” de la maladie, voire

sans symptôme du tout, ce qui les rend plus difficiles à détecter.D’autres experts estiment à l’inverse que les enfants, et en particulier les moins de 10 ans, sont moins susceptibles d’attraper le Covid-19 que les adultes.Sur le site Don’t Forget The Bubbles, deux spécialistes en pédiatrie, Alasdair Munro et Damian Roland, jugent “de plus en plus probable qu’il y ait moins d’enfants touchés par le Covid-19” que d’adultes.Ils se basent sur des tests réalisés massivement en Corée du Sud, en Islande ou dans la ville italienne de Vo, où le nombre d’enfants positifs était bien inférieur à celui des adultes.Sont-ils vecteurs de l’épidémie?C’est la grosse inconnue.Les dernières données semblent montrer que les

enfants transmettent moins le SARS-CoV-2 que les adultes, contrairement à ce qu’on croyait initialement par analogie avec d’autres maladies virales, dont la

grippe.Plusieurs études appuient cette hypothèse, même s’il n’y a encore aucune certitude. L’une d’elles porte sur l’un des premiers foyers observés en France, parti d’un chalet en Haute-Savoie.Parmi les malades figurait un enfant de 9 ans. Or, il n’a contaminé personne, pas même les deux autres membres de sa fratrie, alors qu’il avait été en contact avec 172 individus, dont 112 élèves et professeurs. Il a en revanche transmis d’autres virus hivernaux qui l’avaient également infecté, dont celui de la grippe.Toutefois, une étude allemande mise en ligne le 29 avril a jeté le doute.Conduite par le virologue Christian Drosten, conseiller d’Angela Merkel, elle conclut que les enfants infectés par le nouveau coronavirus ont une charge virale comparable à celle des adultes et “pourraient être aussi contagieux” qu’eux.Mais d’autres scientifiques, dont Alasdair Munro et l’épidémiologiste suisse Leonhard Held, ont contesté la méthodologie et la conclusion de l’étude. En réanalysant ses résultats, ils penchent même plutôt pour l’interprétation inverse et une charge virale moins élevée que les adultes.En outre, la charge virale n’est pas le seul critère. La contagion des enfants pourrait être moindre en raison “du fait qu’ils n’ont pas de symptômes et ne toussent pas”, a avancé l’expert français Arnaud Fontanet le 30 avril lors d’une audition parlementaire.”On a un faisceau d’arguments qui nous laisse entendre que chez les moins de 10 ans la situation est probablement moins sévère que chez les adultes, à savoir qu’ils sont probablement moins susceptibles à l’infection et moins contagieux. Mais on veut pouvoir le vérifier“, a-t-il ajouté.Pour cela, il mène une étude auprès d’enfants de six écoles primaires de Crépy-en-Valois, commune française très touchée au début de l’épidémie, pour “savoir s’ils ont été infectés pendant la période épidémique de février”. D’autres travaux similaires sont en cours ailleurs dans le monde.Une nouvelle maladie inflammatoire?Ces deux dernières semaines, plusieurs pays ont signalé des cas d’enfants touchés par une maladie inflammatoire aux symptômes proches d’une affection rare,

la maladie de Kawasaki.Le

lien avec le Covid-19 n’est pas formellement établi, mais les scientifiques le jugent probable.Quelques dizaines de cas ont été signalés à New York, en France, au Royaume-Uni, en Italie ou en Espagne.Les symptômes sont une forte fièvre, des douleurs abdominales et troubles digestifs, une éruption cutanée, suivis dans certains cas d’une défaillance cardiaque.Dans un article publié en ligne mercredi par la revue médicale The Lancet, des médecins britanniques décrivent les 8 premiers cas observés à Londres.Ils émettent l’hypothèse d’un “nouveau phénomène touchant des enfants qui ne présentaient auparavant pas de symptômes, et chez qui l’infection au SARS-CoV-2 se manifeste comme un syndrome hyperinflammatoire”.Il pourrait s’agir d’un

emballement du système immunitaire de certains enfants, quelques semaines après l’infection par le virus. Les enfants atteints répondent bien aux traitements.Ces cas ont marqué les esprits et ravivé les peurs chez certains parents avant la réouverture des écoles. Pour autant, les spécialistes insistent sur le fait qu’ils sont rares.”Le fait d’avoir ce signal faible sur les syndromes de Kawasaki ne remet pas en cause l’ouverture des écoles”, a estimé le virologue français Bruno Lina le 29 avril lors d’une audition parlementaire.Faut-il rouvrir les écoles?Les scientifiques sont divisés sur la question.En Italie, l’Institut supérieur de la Santé (ISS) pense que cela ferait “immédiatement” repartir l’

épidémie, et le Premier ministre Giuseppe Conte a insisté à plusieurs reprises sur le risque d’infecter les professeurs. L’Italie a le corps professoral le plus âgé des pays de l’OCDE et presque 60% des enseignants ont plus de 50 ans.A l’inverse, plusieurs pays ont ou vont

rouvrir leurs écoles après une période de confinement, dont l’Allemagne, le Danemark ou la France.Le comité scientifique qui conseille le gouvernement avait estimé fin avril que les écoles devraient être fermées jusqu’en septembre si on se plaçait du strict point de vue sanitaire.Mais “il y a d’autres éléments à prendre en compte“, comme des enjeux sociaux, avait reconnu auprès de l’AFP son président, Jean-François Delfraissy, en citant l’exemple d’enfants de familles en difficulté pour qui “l’école peut représenter un havre de paix“.Les instances représentant les pédiatres français ont elles aussi soutenu la réouverture des écoles, en respectant les

mesures barrières et la distanciation.”Les enfants ne sont pas des super-transmetteurs du Covid-19, il est temps de retourner à l’école“, ont plaidé Alasdair Munro et un autre spécialiste britannique des maladies infectieuses, Saul Faust, dans une tribune publiée mercredi par la revue médicale Archives of Disease in Childhood.Pour eux, les bénéfices d’un retour à l’école pour les enfants dépassent largement les risques.Du point de vue épidémiologique, mener des études sur les enfants à la réouverture des écoles permettra de lever certaines inconnues sur leur contagiosité.”Dans la mesure où de nombreuses écoles vont rouvrir en Europe, l’impact de leur fermeture et de leur réouverture (sur l’épidémie) va devenir apparent”, note Keith Neal, professeur émérite d’épidémiologie des maladies infectieuses à l’Université de Nottingham (Angleterre).Un impact qui pourrait aussi être lié au fait que les parents vont forcément plus se côtoyer en emmenant les enfants à l’école.

Le confinement a entraîné une forte réduction de la pollution de l’air en Ile-de-France, du dioxyde d’azote et du CO2, mais moindre pour les particules fines, a fait savoir mardi Airparif, alors que la pollution de l’air est soupçonnée d’aggraver l’épidémie de coronavirus.

Entre le 17 mars et le 6 avril, le dioxyde d’azote, polluant local essentiellement émis par le trafic routier, a diminué de 20 à 35% selon les semaines. “En bordure d’axe routier, cette diminution peut atteindre jusqu’à 50% avec des niveaux qui rejoignent les niveaux observés habituellement dans les parcs”, selon un communiqué.”Du jamais vu en 40 ans de mesure pour Airparif, avec une telle ampleur et autant de stations“, souligne l’association de surveillance de la qualité de l’air en Ile-de-France.Les émissions de CO2, responsables du changement climatique, reculent aussi, d’environ 30%, selon le communiqué.”L’impact du confinement est resté moins visible sur les particules (PM10 et PM2,5), avec des niveaux toujours soutenus certains jours“, relève Airparif.Ces particules ne sont pas seulement issues du trafic routier, mais aussi de l’agriculture et du chauffage. “Une météo printanière (…) a favorisé les réactions chimiques et la formation de particules” et ces particules ont aussi été transportées depuis d’autres régions, explique Airparif.Le 28 mars, le seuil d’information aux particules a été constaté, pour les PM2,5, dont 6% imputables au trafic routier, 6% au chauffage au bois et 32% “aux particules inorganiques secondaires dont l’agriculture est un contributeur”.”Avec des conditions de trafic normales, les niveaux auraient été plus conséquents et plus problématiques du fait du rôle aggravant joué par la pollution de l’air dans l’épidémie de Covid-19“, relève Airparif.Click Here: ADELAIDE CROWS 2019 MEN’S HOME GUERNSEY

Bloqués chez eux, les Britanniques se tournent vers leur passion favorite: les animaux. Les demandes d’adoption de chiens et chats affluent vers les refuges, au point que certains mettent garde contre toute décision précipitée.

Les demandes d'adoption de chiens et chats affluent vers les refuges, au point que certains mettent garde contre toute décision précipitée.

La semaine précédant le confinement général, décrété par le gouvernement le 23 mars, alors que les restrictions aux déplacements étaient progressivement mises en place, 86 chiens et 69 chats ont quitté les refuges de Battersea, à Londres, soit plus du double qu’à la même époque l’an dernier.”Un grand nombre de chiens a été adopté alors que pour certains on avait des difficultés à leur trouver un foyer“, se félicite Steve Craddock, responsable du centre de Battersea interrogé par l’AFP.Si les trois centres de Battersea ont fermé depuis le confinement, “les gens continuent à faire des demandes d’adoption en ligne“, raconte-t-il. Parallèlement, “on ne constate pas d’augmentation du nombre d’abandons, ce qui est encourageant“, observe-t-il, soulignant que le Royaume-Uni est “un pays qui adore les animaux“.Même phénomène observé par le Kennel club, célèbre association britannique consacrée aux chiens, qui note une “poussée d’intérêt”. Les recherches de chiots sur son site internet ont augmenté de 53% entre février et mars, avec un pic la semaine précédant le début du confinement général (+84% de recherches comparé à la même semaine l’an dernier). Avec en tête des recherches, trois races prisées des familles: les labradors, les cockers spaniels et les golden retrievers.”C’est une énorme augmentation“, a dit à l’AFP Bill Lambert, responsable Santé et bien-être au Kennel Club. Il l’explique car “les gens passent plus de temps à la maison et se disent qu’en fait, ils pourraient avoir un chien“.“Calme dans le foyer”Mais le Kennel Club met en garde contre toute acquisition “impulsive” : “les gens prennent des décisions en fonction de leur situation actuelle mais elle pourrait changer et ils pourraient retourner au travail à plein temps“, laissant le chiot seul et désoeuvré. “Or les chiots, et même les chiens plus âgés, ne devraient pas être laissés seuls longtemps“, prévient-il.Le Kennel Club souligne toutefois les effets bénéfiques d’un animal de compagnie en cette période de pandémie, propice à l’angoisse et à l’isolement : “il est prouvé que les chiens améliorent la santé, c’est une bonne façon de réduire la tension artérielle, ça amène le calme dans le foyer et ça pousse les gens à se concentrer sur quelque chose, en particulier dans ces moments difficiles“.”Surtout pour les gens vivant seuls“, un chien représente “un compagnon, quelqu’un à qui parler“.Les Britanniques ne se sont pas contentés de faire des provisions de papier toilette pour le confinement, ils ont aussi pensé à chouchouter leurs animaux. Les magasins d’articles pour animaux, qui figurent sur la liste des commerces autorisés à rester ouverts affichent des records de vente.La chaîne Pets At Home a ainsi enregistré en mars des “niveaux exceptionnels de demande à la fois en ligne et en magasin, tandis que la crise du Covid-19 se développait“, tout en soulignant dans un communiqué que ses perspectives financières pour l’année 2020/2021 restaient incertaines.Si les achats de chiens sont plus compliqués en ce moment en raison de restrictions dues à la pandémie, Bill Lambert juge de toute façon “préférable” d’attendre la fin du confinement pour se décider.”Ce que nous espérons c’est que certaines personnes qui travaillent de chez elles en ce moment trouvent une façon de travailler plus fréquemment de chez eux une fois le confinement terminé“, explique-t-il, afin que les propriétaires de chiens continuent ainsi à avoir du temps pour s’occuper de leurs animaux.

Le confinement n’est pas synonyme de vacances. Cela semble évident et pourtant, à l’arrivée des congés de Pâques, le Premier ministre a annoncé des contrôles renforcés sur les grands axes routiers ainsi que dans les aéroports et les gares.

Confinement : renforcement des contrôles pour les vacances

Sommaire

  1. Contrôles sur les grands axes routiers, dans les aéroports et les gares 

Il ne doit pas y avoir de départs en vacances dans les jours qui viennent pour que le début des vacances scolaires ne se traduise pas par des trajets qui viendraient ruiner l’effort collectif mené depuis trois semaines“, a rappelé le Premier ministre, Edouard Philippe, sur TF1 le jeudi 2 avril. “Tous ceux qui seront en contravention se verront sanctionner“, a-t-il également affirmé. Les vacances scolaires de Pâques commencent officiellement le vendredi 3 avril pour la zone C, c’est-à-dire l’Île-de-France et l’Occitanie. Alors que la France est

confinée pour lutter contre l’épidémie de

coronavirus, les autorités craignent que certains ne voient les vacances de printemps comme une occasion de s’échapper vers leur maison de campagne. Pour éviter les déplacements de population, un renforcement des contrôles de police a été annoncé. Contrôles sur les grands axes routiers, dans les aéroports et les gares 

Notre objectif est de dissuader les départs en vacances, avec des contrôles renforcés au départ des grandes villes, dans les gares, sur les routes et dans les lieux touristiques“, a déclaré le ministre l’Intérieur, Christophe Castaner, dans entretien au Parisien.Les contrôles sont ainsi d’ores et déjà renforcés sur les grands axes routiers, ainsi que dans les aéroports et les gares. Par ailleurs, rappelons que seuls 6% des trains continuent de circuler et l’aéroport Paris Orly a été fermé le 31 mars et transformé en base d’évacuation d’urgence des malades du coronavirus.Environ 60 000 militaires seront mobilisés pour assurer ces contrôles, selon les informations de la Gendarmerie nationale. En Île-de-France, sept escadrons de gendarmerie mobile et trois hélicoptères sont mobilisés. Le préfet de police de Paris, a quant à lui annoncé qu’il agirait “avec la plus grande fermeté“, pour faire respecter les mesures de confinement.

Télétravail, chômage partiel, arrêt de travail… voici les dernières modalités d’organisation du travail précisées par le ministère du Travail à la suite des annonces d’Emmanuel Macron lundi.

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  1. Le télétravail est-il impératif ?
  2. Qui bénéficie du chômage partiel ? 
  3. A combien est indemnisé l’arrêt de travail pour les parents d’enfants ?

Le télétravail est-il impératif ?Selon le ministère, le

télétravail est la règle impérative pour tous les postes qui le permettent. L’employeur est tenu d’organiser un travail à distance. Près de 8 millions d’emplois (plus de 4 emplois sur 10) sont aujourd’hui compatibles avec le télétravail dans le secteur privé.Un salarié mis en

chômage partiel ou en arrêt de travail doit évidemment refuser de télétravailler si son entreprise le lui demande, ce qui serait de l’activité dissimulée.
Un employeur peut-il demander à un salarié de se rendre sur son lieu de travail ?
Seulement si son travail “ne peut être effectué à distance” et s’il “ne peut être différé“. L’employeur est alors tenu de respecter et faire respecter les gestes barrières sur le lieu de travail et les règles de distanciation.Les salariés devront être munis de l’attestation de déplacement dérogatoire exigée par le ministère de l’Intérieur.Les entreprises sont invitées à repenser leur organisation pour éviter les réunions, limiter les regroupements de salariés dans des espaces réduits, annuler les déplacements non indispensables. L’organisation du travail doit être au maximum adaptée, par exemple la rotation d’équipes.Les restaurants d’entreprise peuvent rester ouverts mais doivent être aménagés pour laisser un mètre de distance entre les personnes à table.Qui bénéficie du chômage partiel ? Toutes les entreprises qui subissent une baisse partielle ou totale d’activité sont éligibles au chômage partiel. Les entreprises disposent d’un délai de trente jours pour déposer leur demande, avec effet rétroactif.Le chômage partiel indemnise le salarié à hauteur de 70% du salaire brut et 84% du salaire net. Il est désormais pris en charge intégralement par l’Etat jusqu’à 4,5 Smic, ce qui représente 95% des salaires. Au-delà, le différentiel est à la charge de l’employeur. Les apprentis bénéficient également du chômage partielLe ministère a annoncé la mise en place d’un “système similaire au chômage partiel” pour les personnes employées à domicile (assistantes maternelles, femmes de ménage…) qui n’ont plus de travail ou en ont moins.Les employeurs continueront de les rémunérer à hauteur de 80% de leur salaire habituel et ils se feront ensuite rembourser, via le Cesu, le centre auprès duquel ils déclarent les heures de travail.A combien est indemnisé l’arrêt de travail pour les parents d’enfants ?Si le télétravail n’est pas possible et sans de solution de garde pour des enfants de moins de 16 ans, l’un des deux parents peut demander un arrêt de travail indemnisé, sans délai de carence, et valable le temps que dureront les fermetures des structures d’accueil.Il s’agit d’un arrêt maladie qui ne nécessite pas d’aller chez le médecin pour obtenir un certificat. C’est l’employeur qui doit faire la démarche sur le site ameli. Ce congé est fractionnable. L’employeur ne peut refuser cet arrêt.Le parent en arrêt de travail est indemnisé à au moins 90% du salaire net, sans condition d’ancienneté (le ministère va supprimer la condition d’un an). C’est à l’employeur de se faire rembourser par la Sécurité sociale de la partie indemnité journalière (qui est de 50%).Click Here: camiseta boca juniors

Les épisodes caniculaires sans répit nocturne vont se multiplier dans l’hémisphère nord même si les émissions de gaz à effet de serre devaient baisser, posant de sérieux risques pour la santé, selon une étude publiée mardi dans la revue Nature Communications.

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  1. 4 fois plus d’épisodes caniculaires

Les épisodes de “chaleurs cumulées extrêmes” se caractérisent par une période de 24 heures quand les températures maximales et minimales dans un lieu donné sont, de jour comme de nuit, dans les 10% les plus élevées enregistrées. Ils présentent un danger sanitaire particulier car ils ne permettent pas au corps humain de se rafraîchir à la faveur de températures nocturnes plus clémentes.Une équipe de chercheurs chinois a analysé des données de température de l’hémisphère nord – où réside environ 90% de la population mondiale – sur la période 1960-2012, mettant en évidence une augmentation de la fréquence et de l’intensité de ces épisodes.4 fois plus d’épisodes caniculairesUtilisant des modélisations météo régionales ils ont calculé que l’exposition humaine à ces épisodes devrait pratiquement quadrupler d’ici 2100, passant de 19,5 milliards de journées humaines dans la décennie 2010 à 74 milliards dans la décennie 2090. Et ce dans l’hypothèse d’une croissance limitée de la population mondiale et de limitation des émissions de gaz à effet de serre au niveau des ambitions de l’accord de Paris, soit un réchauffement global “nettement en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels“, objectif qui semble déjà hors d’atteinte.Dans un scénario d’émissions non maîtrisées et de forte croissance démographique, l’augmentation pourrait dépasser un facteur 8, avec une exposition montant à 172,2 milliards de journées humaines.”Ce type mésestimé de chaleur extrême augmente de façon significative en fréquence et en intensité,” ont souligné les chercheurs Yang Chen, de l’Académie chinoise des sciences météorologiques, et Jun Wang de l’Institut de physique atmosphérique de Chine. “Et ces tendances à la hausse devraient se poursuivre et même s’accélérer à l’avenir“, selon eux.Click Here: st kilda saints guernsey 2019

“Mon mari ne veut plus faire l’amour! Que faire, docteur ?“, implore, désespérée, la digne épouse pakistanaise qui appelle en direct sur le plateau. Au “pays des purs“, une émission télé réussit le pari délicat de parler sexe et “maladies honteuses“ sans fâcher les conservateurs. Et le public en redemande…

Une fois par semaine, le docteur Nadim Uddin Siddiqui répond en direct aux questions des téléspectateurs.

Le Dr Love version pakistanaise Légère moustache savamment entretenue, chemise blanche tombant sur son corps rondouillard, yeux pétillants et dents d’ivoire, le docteur Nadim Uddin Siddiqui regarde fixement la caméra dans l’un des studios de la chaîne Health TV (Télé Santé) installée près du port de Karachi, la métropole économique du Pakistan, dans le sud du pays.Une fois par semaine, et pendant un peu moins d’une heure, il répond en direct aux questions des téléspectateurs sur un sujet situé à des lieues des feuilletons politiques, des craintes d’attentats et des éternels matchs de cricket, mais qui passionne tout autant le pays: le sexe. Ou, plus précisément, les problèmes sexuels.“Mon mari ne le fait qu’une fois par semaine, voire toutes les deux semaines, et cela ne dure pas très longtemps“, se plaint la femme, qui dit se prénommer Ayesha et appelle de Lahore, deuxième ville du Pakistan, dans l’est.“On appelle ça un manque de libido…. Cela arrive lorsque vous avez un faible niveau de testostérone. Il faut s’occuper de la diète de votre mari, lui faire manger plus de poisson et le pousser à faire de l’exercice“, répond le plus sérieusement du monde le Dr Siddiqui avant de conclure: “Inch’allah, votre mari ira mieux“.Érections ou libido en berne, crainte de syphilis, interrogations sur un “micro-pénis“ ou sur des tendances nymphomanes, des dizaines d’appels rythment chaque semaine l’émission “Clinic Online“ du jeudi, consacrée au sexe et inaugurée il y a un an.“Le sexe est un sujet très sensible au Pakistan, je traite donc de la chose avec respect“, explique le Dr. Siddiqui une fois l’émission terminée.Il attribue une partie du succès de l’émission à son côté utilitaire, notamment pour “combattre les maladies sexuellement transmissibles“. Mais il n’y a pas que cela: parler de problèmes sexuels, “les gens aiment ça, en particulier les religieux“, dit-il, en affichant sa fierté d’arriver à mettre les formes pour faire accepter ce dialogue dans un pays conservateur où les accusations de dépravation peuvent vite fuser: “Personne n’est jamais venu me voir en reprochant de propager la vulgarité“.Créée il y a trois ans, Health TV fait figure d’ovni au Pakistan, géant musulman de plus de 180 millions d’habitants où l’industrie télévisuelle a explosé depuis la libéralisation des ondes initiée en 2002 par le général Pervez Musharraf, alors au pouvoir.Aujourd’hui, le pays compte plus de 80 chaînes qui rivalisent d’informations en continu, talk-shows, feuilletons à l’eau de rose et matches de cricket, omniprésents, pour appâter les téléspectateurs friands de nouveauté.Des tabous encore largement présentsPropriété de la chaîne d’hôpitaux privés Ziauddin, Health TV tente, elle, d’éduquer la population aux questions de santé dans un pays où l’accès à un médecin demeure compliqué dans les zones rurales, faute d’argent ou en raison des conservatismes: les gynécologues y refusent parfois d’examiner les femmes non mariées, qui ne devraient selon eux jamais avoir eu de relations sexuelles.“Si une femme a une question délicate à poser, où ira-t-elle? Chez le docteur? Dans notre société, si une femme vient d’un milieu conservateur, quelqu’un, sa mère ou sa soeur, l’accompagnera dans le cabinet du médecin. Ici, elles sont plus à l’aise car elles peuvent conserver l’anonymat“, plaide Faizan Syed, le directeur de la chaîne, en rappelant que celle-ci se cantonne à un rôle de conseil et ne fournit “pas d’ordonnances“.L’émission est toute aussi utile aux hommes. “Nous vivons dans une société conservatrice et hésitons à évoquer ces sujets chez le docteur. Nous en tremblons“, dit à l’AFP Mehboob Ahmed, un vendeur d’ordinateurs qui regarde souvent l’émission.D’autres émissions évoquent des sujets d’actualité comme la poliomyélite, maladie dont le Pakistan est le premier foyer au monde et où la vaccination est parfois contestée par les conservateurs, ou des sujets tabous comme l’avortement et le cancer du sein, souvent pudiquement appelé “maladie des femmes“ au Pakistan.“Il n’y a pas si longtemps, on ne pouvait même pas évoquer le cancer du sein, parce que les femmes n’osaient pas parler de leurs seins, elles n’osaient pas parler de leur corps, parce que leur mari pouvait s’énerver. Maintenant, je suis vraiment étonnée, je reçois des questions qui me surprennent et je me dis +waouh+“, lance Anoushey Ashraf, mannequin et animatrice d’une émission matinale où mollah, psychiatre et travailleuse sociale discutent ce jour-là d’avortement sur un plateau scintillant.Car pour faire passer le contenu, le contenant, lui, se veut léché et attirant. Et la caution religieuse vient, elle, le plus souvent donner un poids supplémentaire à l’argument du médecin. Pro-avortement, le religieux en plateau ? “Les enseignements de l’islam font preuve de flexibilité… par exemple si la santé de la mère est en danger“, lance le mufti Shahid Madani.Le public, lui, semble suivre, au regard des dizaines d’appels aux standards des émissions, même si les chaînes pakistanaises ne dévoilent pas leur audimat. Health TV sait bien qu’elle est encore très loin de détrôner les plus grandes chaînes nationales. Mais elle assure que ses parts de marché progressent grâce à des émissions comme celles du Dr. Siddiqui et de la belle Anoushey.AFP/RelaxnewsPhoto : ©AFP PHOTO/Asif HASSANClick Here: essendon bombers guernsey 2019

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EASTON, MA – Liberty Baptist Church Pastor Adam Riveiro has joined many other churches across the country in turning to modern technology to bring his message to his Easton congregation through online services during the coronavirus health emergency. On Easter Sunday, Riveiro will attempt to bring back an element of nostalgia to try to create an even greater connection on one of the holiest days of the year for Christians.

Riveiro purchased equipment that will allow the Washington Street church to provide a “Drive-In Easter Service” in which members of the congregation listen to the service on their car radios using an FM frequency in the parking lot. Riveiro told Patch that the FCC Part 15 radio transmitter — which is similar to ones that allow those driving by Christmas light displays to sync music to the light pattern using their car radios — can reach about 200 to 300 feet and cover both the Liberty Baptist Church and adjacent parking areas.

“There is a barrier there with technology,” Riveiro said. “People might not be on line, or they might not have Facebook. So we thought this would be that way to have that face-to-face connection. Even though it might be through two windshields, just that eye contact with other people might provide some comfort.”

Riveiro said the parking lot typically holds between 20 and 22 cars, but with creative vehicle placement, and the authorized used of some neighboring parking, he could broadcast to up to 50 to 60 cars on Sunday. He said there will be no contact between the occupants of the cars and members of the church staff, no hymn books or anything else distributed, and contact between vehicles will be discouraged to respect the rules of social distancing.

“I compare it a little to the Teddy Bear hunts that went on last week,” Riveiro said of the community initiatives during the coronavirus crisis where residents are encouraged to place stuffed bears in street-facing windows for families with children to try to locate as an outdoor activity. “It’s the same idea. If families can get in their car for an hour, and drive around in a way that is socially acceptable in line with the goals of the town, then I figure this is similar as long as we are responsible and everyone handles it well.”

The service is set to begin at 11 a.m. with those attending asked to arrive at least 15 minutes early so cars can be orderly arranged in the parking lot to maximize participation. Riveiro said he successfully tested out the equipment on Tuesday and that he is still trying to figure out the best spot from which to deliver his sermon.

“It may be from the back of a pickup truck,” he said. “It could be pretty rustic.”

Riveiro said members of any church looking to share in an Easter service and sense of religious community are invited to attend.

“We want to provide an Easter service keeps everyone safe and brings encouragement to some,” Riveiro said. “We want to do our part. We don’t need a government order to tell us to protect our people. We love our community.

“It’s a struggle,” he concluded. “They don’t give you a handbook in the seminary for something like this. We just want to make sure that, for the people who are feeling vulnerable, we are there for them as much as we can be.”

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(If you have a story of a local business or organization that is looking to lend a hand to those in need during the coronavirus pandemic, or lift spirits amid social distancing and isolation, Patch wants to let people in your community know about it. Contact Scott Souza at [email protected] to help us spread the positives during this uncertain time.)

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INLAND EMPIRE, CA — Walmart announced Monday it is hiring 6,200 full-time, part-time and temporary positions across California — including the Inland Empire — to keep pace with consumer demand amid coronavirus.

The positions will be filled at stores, fulfillment centers and distribution centers across the state. In addition to Inland Empire stores, the company confirmed all if its IE fulfillment and distribution centers are hiring.

Nationwide, 150,000 Walmart new hires are being sought to help get products to consumers during the COVID-19 pandemic, according to Monday’s announcement.

To get positions filled quickly, the company has expedited its hiring process, stating that candidates can apply online, get hired and begin working in a distribution or fulfillment center in as little as 24 hours.

Depending on location within the country, distribution center employees start between $17 and $18 per hour. Fulfillment center employees start anywhere between $15 and $19 per hour, according to Walmart.

The numbers reflect a new, temporary pay increase for fulfillment center associates: From now through Memorial Day, pay for all hourly associates in fulfillment centers has increased $2 per hour.

Fulfillment centers associates who refer a new hire to their facility are eligible to receive a $250 bonus. Additionally, the person being hired will also receive a $250 bonus. Both associates will be paid out after the new associate has been employed 90 days, according to the company.

“Our supply chain associates have been so vital to Walmart’s ability to serve customers and communities during this time, and I am so proud of every one of them,” said Greg Smith, Walmart’s head of supply chain. “We’re growing, expanding and looking for more people who want to make a difference providing for customers.”

To apply to work for Walmart, visit the company’s careers site.

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