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Les victimes d’inceste souffrent de nombreuses pathologies et l’impact du traumatisme passé sur leur vie familiale, affectueuse et professionnelle est considérable, selon les résultats d’une enquête menée par l’institut Ipsos pour l’Association Internationale des Victimes d’Inceste (AIVI).

En comparant les comportement de 341 victimes d’inceste avec ceux d’une population représentative de 946 Français, les enquêteurs ont tenté de dresser un état des lieux de la situation des victimes de ce type d’agressions sexuelles. Les résultats montrent que les victimes d’inceste souffrent de pathologies multiples dans des proportions bien plus importantes que la majorité des Français. La quasi totalité des victimes ressentent ou ont ressenti dans le passé le sentiment d’être régulièrement déprimés, contre seulement la moitié des Français. La peur de l’autre et le simple fait de répondre “non“ est un comportement retrouvé chez 93 % des victimes (contre 29 % des Français). Les troubles compulsifs alimentaires, tels l’anorexie ou la boulimie sont rapportés pour 76 % d’entre elles, contre 9 % seulement dans la population générale. Par ailleurs, l’irritabilité, la colère, les sursauts ou les tremblements sont aussi des attitudes observées en proportion bien plus importante.L’enquête révèle également l’impact de ce traumatisme sur leurs vies quotidiennes, mais aussi dans leurs relations avec leur entourage. Près de la totalité des victimes éprouvent des difficultés à dormir (90 %) et font régulièrement des cauchemars (86 %). Les comportements d’addiction sont particulièrement fréquents : consommation de plus de 10 cigarettes par jour (55 % vs 44 %), de plus de 3 verres par jour d’alcool (30 % vs 17 %), ou la prise de drogue chaque semaine (27 % vs 9 %). Les trois quarts des victimes ont déjà été dans l’impossibilité d’avoir un rapport sexuel, même souhaité. Enfin, plus des deux tiers sont ou ont été dans l’impossibilité de se concentrer ou d’exercer une activité professionnelle.Ainsi, le traumatisme semble tel qu’il semble difficile à ces victimes de vraiment reconstruire leurs vies. Le souvenir de l’agression (pour 94 %) et la culpabilité (88 %) sont les deux principales notions qui les hantent. L’appréciation personnelle des victimes sur leur vie amoureuse (4,9/10), familiale (5,4), et professionnelle (5,4) dévoile d’ailleurs des notes peu satisfaisantes.Le fait de parler de l’inceste représente déjà une belle avancée. Mais les victimes attendent en moyenne 16 ans après l’agression avant de passer le cap ! De plus, cette révélation se fait pour les trois quarts des victimes hors du cercle familial, préférant amis ou conjoint. Cependant, les 341 victimes ayant répondu à cette enquête ont forcément franchi le cap du témoignage et sont suivies pour 84 % d’entre elles par un spécialiste. Mais qu’en est-il des innombrables autres victimes encore restées silencieuses ?Frédéric TronelSource : “Sondage AIVI/IPSOS 2010 : la santé des victimes d’inceste“ –

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De multiples explications ont déjà été avancées pour expliquer la survenue d’une schizophrénie ou d’un trouble psychotique : terrain génétique, consommation de cannabis, traumatismes, etc. Afin d’en savoir plus, une grande étude européenne débute en juin 2010, sous l’égide de la fondation FondaMental.

Plusieurs études ont déjà tenté d’isoler les facteurs environnementaux favorisant la constitution d’un trouble psychotique. Ainsi il est démontré que le fait de grandir en ville plutôt qu’à la campagne double quasiment le risque pour les garçons de développer une schizophrénie (risque multiplié par 1,9 pour les garçons, 1,3 pour les filles). Mais le facteur de risque précis n’est pas connu : pollution urbaine  ? Exclusion sociale plus fréquente ?
Le fait d’être un migrant, de venir d’un autre pays majore également le risque de schizophrénie, à la fois par rapport à la population d’origine et par rapport à celle du pays d’accueil.
Le

cannabis, en particulier lorsqu’il est utilisé à forte dose chez les adolescents, augmente aussi le risque de schizophrénie. Cette augmentation est faible, mais vu l’importance de la consommation de cette drogue en Europe, ce risque faible devient un facteur majeur en termes de santé publique (voir notre article : “

Quand le joint monte à la tête…“).
Par ailleurs, les recherches montrent un lien entre l’existence de traumatismes durant l’enfance et la survenue ultérieure de troubles psychotiques. Là encore, malheureusement les maltraitances ou la négligence pendant l’enfance sont très fréquentes, d’où l’importance d’en savoir plus sur ces liens.
Enfin les études chez les jumeaux ont permis de constater qu’il y avait une vulnérabilité génétique particulière chez les personnes schizophrènes. Cependant cette vulnérabilité et les variations génétiques la sous-tendant n’ont pas encore été identifiées précisément, probablement en raison de l’interaction entre les différents facteurs de risques, génétiques et environnementaux : le terrain génétique altéré pourrait rendre la personne vulnérable aux autres facteurs, comme les traumatismes, le cannabis, l’urbanicité, la migration.

Il est donc nécessaire d’en savoir plus, en réunissant à la fois les chercheurs spécialistes de la génétique et ceux qui travaillent sur les circonstances environnementales. C’est l’objectif de la grande étude collaborative lancée début juin par la communauté européenne, avec un budget de 10 millions d’euros. En France, cette étude est placée sous l’égide de la fondation FondaMental et sera mise en place en ville (région du Val-de-Marne : Créteil, Boissy, Maisons-Alfort) et à la campagne (Puy-de-Dôme), afin de comparer l’impact des facteurs génétiques et environnementaux.
Les troubles psychotiques touchent de 2 à 3 % des adolescents et jeunes adultes, avec le plus souvent une évolution chronique et des traitements au long cours. Les personnes atteintes ignorent souvent leur pathologie, d’où un retard au diagnostic fréquent et un traitement insuffisant.
De plus ces personnes sont souvent stigmatisées (voir notre interview du Pr. Leboyer, présidente de FondaMental, et du Pr. Sartorius, Président de l’Association for the Improvement of Mental Health Programmes : “

Maladies mentales : mieux informer pour éviter la stigmatisation“) et ne sont donc pas une priorité de santé publique, alors qu’il s’agit pourtant de pathologies fréquentes, graves, touchant des jeunes et avec une prise en charge à vie.
Ce genre d’études peut permettre de faire avancer la connaissance de ces maladies, d’améliorer leur dépistage et donc de permettre une prise en charge plus précoce, plus adaptée. Les maladies mentales représentent la

première cause d’invalidité en France.
Jean-Philippe Rivière
Sources :
– “Lancement d’une grande étude européenne pour identifier les facteurs environnementaux et génétiques dans les troubles psychotiques“, fondation FondaMental, 15 juin 2010
– “Schizophrenia and the city: A review of literature and prospective study of psychosis and urbanicity in Ireland.“ Kelly BD et coll., Schizophr Res. 2010 Jan;116(1):75-89, résumé

accessible en ligne

Les salles de consommation à moindre risque pour les toxicomanes vont peut-être bientôt voir le jour en France. Leur expérimentation est en effet préconisée par l’Inserm, qui a remis début juillet un rapport sur la réduction des risques des usagers de drogues à la ministre de la santé Roselyne Bachelot. Cette dernière, en marge de la conférence de Vienne sur le sida, s’est également montrée favorable à une telle expérimentation, déjà en cours d’examen à Paris suite à l’initiative de Jean-Marie LeGuen.

 Roselyne Bachelot avait déclaré en octobre 2009 attendre les conclusions de l’enquête collective de l’Inserm sur les salles de consommation contrôlée avant de décider, ou non, leur expérimentation.
 
L’expertise de l’Inserm sur les salles de shoot 

L’expertise collective de l’Inserm, basée sur l’étude de plusieurs centaines d’articles par un groupe pluridisciplinaire d’experts, passe en revue les données françaises et européennes de la politique de réduction des risques sanitaires et sociaux : actions, dispositifs particuliers, programmes, médicaments, outils, dépistages, milieu carcéral, etc. Parmi les dispositifs de prévention étudiés, les salles de consommation contrôlée d’opiacés, ou Centres d’Injection Supervisée (CIS), sont jugées positivement. Les études montrent que les CIS “assurent une promotion de l’hygiène de l’injection (lavage des mains, désinfection)“. Les CIS ont également “fait leurs preuves sur la réduction de la morbidité et de la mortalité associées aux overdoses“. Ils permettent “une diminution des abcès et autres maladies liées à l’injection, une diminution des comportements à risque de transmission du VIH/VHC (partage de matériel usagé ou de matériel servant à la préparation de l’injection) chez les usagers, avec une probable influence plus large sur la communauté des usagers“. Par ailleurs, l’Inserm souligne que les intervenants dans les CIS, en plus des soins de base effectués sur place, orientent les usagers vers d’autres structures de soins et d’aide sociale. Il y a donc une “complémentarité entre CIS et traitement de la dépendance“. Ces salles existent pour le moment dans 8 pays -Allemagne, Australie, Canada, Espagne, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas et Suisse- et sont favorablement accueillies selon les sondages. De plus, aucune augmentation de consommation de la drogue y a été constatée, et “les études font état d’une diminution rapportée de l’injection en public ainsi que d’une diminution du matériel d’injection et des déchets abandonnés dans l’espace public“. Roselyne Bachelot prend acte 

Dans une interview

donnée hier au journal Libération, la ministre de la santé prend acte de cette “recommandation favorable à la mise en place expérimentale de centres de consommation supervisés“. Madame Bachelot s’engage donc à “prendre en considération cet avis et [à] engager une concertation avec tous les partenaires concernés, notamment les collectivités locales“. Un pas en avant salué par plusieurs associations comme Asud ou Act Up, qui se sont depuis longtemps exprimées sur la nécessité d’ouverture de telles salles.
 
 Act Up Paris, dans un autre communiqué, s’étonne cependant que la ministre de la santé “renvoie la responsabilité aux collectivités locales“, soulignant que “c’est à l’Etat d’assumer et de mettre en place la politique de réduction des risques liés à l’usage de drogues, y compris financièrement“.
 
Une mission d’évaluation en cours à Paris 

En décembre dernier, la Ville de Paris a voté une subvention à l’association Elus, Santé Publique et territoires (EPST) afin d’étudier l’intérêt et la faisabilité de l’ouverture d’un CIS à Paris. Selon Mr Le Guen, député socialiste et médecin à l’initiative de cette subvention, “dans ces salles, on peut mettre [les personnes toxicomanes] dans un environnement sécurisé, établir un premier contact et essayer de les faire rentrer dans les circuits de soins et de prévention qui existent“. Les conclusions de cette mission sont attendues pour fin septembre.
Jean-Marie Le Guen se réjouit donc dans un communiqué que “la Ministre de la santé, Roselyne Bachelot, semble enfin soutenir la mise en place de salles de consommation contrôlées à moindre risque pour les toxicomanes, conformément aux conclusions de l’expertise collective de l’Inserm“. Il appelle à ce que ces déclarations soient suivies d’actes, “pour permettre l’amélioration du recours aux soins et aux dispositifs sociaux, et réduire les souffrances humaines et sociales“.
Mais il souhaite également, à l’instar d’Act Up Paris, que l’Etat ne se défausse pas sur les collectivités locales pour ce genre d’opérations qui s’intègrent dans le dispositif global de lutte contre la toxicomanie, dispositif qui est “de la responsabilité principale de l’Etat“.Les CIS feront-ils donc bientôt partie de la politique de réduction des risques française pour les usagers de drogues intraveineuses ? Réponses dans quelques mois, à l’occasion du bilan de l’EPST puis, peut-être, du vote du plan de financement de la sécurité sociale fin octobre.
 
 Jean-Philippe Rivière
 
Sources :
 – “Réduction des risques chez les usagers de drogues“, Inserm, 30 juin 2010, pages 27-29,

téléchargeable en ligne
 – “Bachelot : «Il faut banaliser le dépistage anonyme et gratuit»“, Libération, 19 juillet 2010,

accessible en ligne
 – “Roselyne Bachelot veut aboutir sur les projets de centres de consommation supervisées“, communiqué de presse d’Asud, Anitea, Act Up Paris, Gaïa Paris, Safe, Sos Hépatites Paris, salledeconsommation.fr, 19 juillet 2010,

accessible en ligne
 – “Roselyne Bachelot-Narquin à Vienne : la réduction des risques exige du courage politique“, communiqué d’Act Up Paris, 19 juillet 2010,

accessible en ligne
 
Photo : préparation à une injection d’héroïne intra-veineuse dans le mini-bus* de l’association “AIDES 93“, Saint-Denis, 2007, © CHAUVEAU NICOLAS/SIPA
 
* Le minibus de l’association “AIDES 93“ est un lieu d’accueil, d’information et d’écoute, anonyme et gratuit. Au moment du reportage photo de Sipa, en 2007, Mimi Benyahya, animatrice auprès d’usagers de drogues, y distribuait des préservatifs, des gels et du matériel d’injection stérile. Une sorte de mini-CIS ambulatoire…Click Here: Golf special

Consommée régulièrement, la bière pourrait augmenter le risque de psoriasis, notamment chez les femmes, selon une étude américaine. Plus que l’alcool, c’est bien des ingrédients propres à la bière qui seraient impliqués dans cette relation.

Pour faire le lien entre la consommation de boissons alcoolisées et le risque de développer un psoriasis, les chercheurs ont demandé à 82 869 femmes âgées de 27 à 44 ans de répondre à un questionnaire. Tous les deux ans, elles devaient évaluer la quantité, le type d’alcool consommé et effectuer un diagnostic de psoriasis.
Selon les résultats publiés lundi 16 août dans le journal Archives of Dermatology, le risque de

psoriasis est 72 % plus élevé chez les femmes qui consomment 2,3 verres d’alcool en moyenne par semaine. Les chercheurs ont pu mettre en évidence une association entre la consommation d’alcool et un risque accru d’apparition d’un psoriasis. Selon eux, l’alcool pourrait également aggraver l’état des femmes atteintes de cette maladie de la peau.Dans le détail, il semblerait que la bière soit particulièrement impliquée. Une consommation de 5 bières par semaine multiplierait par deux les risques de développer la maladie par rapport aux femmes qui n’en boivent pas ! Par contre, la bière sans alcool n’induirait aucun effet, tout comme le vin blanc, le vin rouge et les alcools forts.Les scientifiques indiquent que ce sont des éléments non-alcoolisés de la bière, qui pourraient jouer un rôle important dans l’apparition du psoriasis, notamment l’orge qui peut contenir du gluten auquel les personnes atteintes de psoriasis peuvent être sensibles. Alors mesdames, si vous cédez aux charmes d’une petite mousse, faites le avec modération…Emeline Dufour avec RelaxnewsSource : “Alcohol Intake and Risk of Incident Psoriasis in US Women“, A.A. Qureshi et al, Archives of Dermatology, 16 août 2010, (

Lire l’étude en ligne )Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Marie-Antoinette version Nip/Tuck

May 8, 2020 | News | No Comments

Si l’insouciante Marie-Antoinette avait vécu au XXIème siècle, aurait-elle cédé aux sirènes de la chirurgie esthétique ? Dans son expo “La tyrannie de la beauté“, le créateur Jean-Charles de Castelbajac a soumis le portrait de la Reine de France et de Navarre au chirurgien plastique, le Dr Marc Divaris. Quelles petites corrections aurait-il effectué sur le visage de l’épouse de Louis XVI si elle avait été sa cliente ? Réponse en trois temps.Jean-Charles de Castelbajac est passé maître dans l’art de l’appropriation et du détournement. Le créateur n’hésite pas à naviguer entre mode et art pour mieux exprimer sa vision du monde et son génie créatif. Dans son exposition, à la BANK, “La Tyrannie de la Beauté“, il revient sur cet insatiable besoin qu’a notre société de plaire, de séduire et de jeunesse éternelle. Il le fait, à travers des peintures réalisées à l’huile détournant les logos des marques anti-âge ou des peintures de maîtres.Ce qui vaut le détour également dans cette expo ce sont les bustes reliftés de Marie-Antoinette. Jean-Charles de Castelbajac a demandé au Dr Marc Divaris “comment ce visage pourrait être modifié pour incarner notre époque.“ Réponse : de façons différentes selon si elle était Française, Russe ou Américaine.Sur la version Marie-Antoinette à la française, on reconnait la Reine guillotinée. Si le double menton disparait et les joues sont légèrement creusées, les yeux sont à peine retouchés et le nez et la bouche sont intacts. “C’est la plus proche de l’original“, souligne le créateur.Si Marie-Antoinette était une cliente américaine, elle aurait demandé à ce qu’on retouche son nez pour qu’il soit plus droit, ses lèvres auraient été botoxées et ses pommettes plus marquées.C’est sans doute la version russe qui a demandé le plus de retouches et qui donne un résultat assez loin de l’original. “Cette cliente accepte beaucoup plus de modifications : les pommettes sont exagérées et la bouche encore plus épaisse“, souligne JCDC.Pour obtenir ces bustes de plâtre blanc, perruqués et maquillés, les artisans ont dû travailler plus de trois mois à partir de photos, puis sur argile.Après la Marie-Antoinette de Sofia Copppola qui portait des Converses, celle de Jean-Charles de Castelbajac fait appel au bistouri. Où s’arrêtera le mythe ?The Tyranny of Beauty, exposition à la galerie La Bak, 43 rue de Volta à Paris, jusqu’au 23 octobre 2010Juliette Robin
Source :

La Bank Galerie
© Jean-Charles de Castelbajac, Terror of the mirror, huile sur toileClick Here: cheap nrl jerseys

Le 14 décembre dernier, le Parlement et le Conseil Européen approuvaient une nouvelle directive sur le trafic d’êtres humains. Une adoption qualifiée de “grande avancée positive“ par l’entreprise The Body Shop à l’origine de la campagne : Stop au trafic des mineurs à des fins sexuels.

Lancée en 2009 par la marque de cosmétique éthique, The Body Shop, la campagne Stop au trafic des mineurs à des fins sexuels soutient les activités de surveillance d’organismes comme le Conseil des droits de l’Homme aux Nations Unies, la Commission des droits de l’enfant, qui visent à garantir le respect des droits des enfants pour qu’ils ne soient pas victimes de prostitution, de pornographie ou de quelque commerce que ce soit.La campagne, qui à travers The Body Shop et ECPAT (End Child Prostitution And Trafficking for Sexual purposes) connait un écho international, a pour objectif de sensibiliser l’opinion publique au fléau du trafic sexuel des mineurs. Une action soutenue en France, depuis août dernier, par une pétition signée par 188 400 personnes. La pétition demandait au gouvernement français une action accélérée pour des poursuites judiciaires contres les coupables de trafic de mineurs et une meilleure prévention du trafic. C’est l’UE qui a donc réagit la première en adoptant le 14 décembre une nouvelle directive visant à prendre de nouvelles mesures pour combattre la trafic d’être humains à travers une prévention plus rigoureuse, des peines plus lourdes pour les trafiquants et une meilleure protection des mineures. Pour Christopher Davis, DG International de The Body Shop, l’adoption de la nouvelle directive européen est “extrêmement encourageante (…) C’est un message fort envoyé aux trafiquants du monde entier pour leur dire que l’Europe ne tolèrera pas ce crime atroce.“Si vous voulez soutenir la campagne Stop au trafic des mineurs à des fins sexuels et signer la pétition, rendez-vous sur :

www.thebodyshop.comJuliette RobinSource : Communiqué The Body Shop, décembre 2010Click Here: cheap all stars rugby jersey

Le tabagisme féminin n’en finit pas d’augmenter malgré les dangers, faisant craindre une explosion du nombre de cancers et d’autres pathologies. Afin de sensibiliser le grand public, en particulier les femmes, à cette problématique et aux meilleurs moyens de s’arrêter, le

Cosem (Coordination des Oeuvres Sociales et Médicales) organise le 29 mars à Paris une conférence gratuite sur le thème “Mais pourquoi les femmes fument-elles encore ?“.

Le risque de décès par cancer du poumon

a quadruplé chez les femmes entre 1984 et 1999, alors que la mortalité est en baisse chez les hommes depuis 1993. Une telle augmentation, qui s’est probablement prolongée entre 1999 et 2010, est liée au fait que les femmes, davantage ciblées par le marketing des industriels du tabac, fument de plus en plus jeunes.
De plus si rien ne change, en 2020 la mortalité féminine par cancer sera multipliée par 20 ! Par ailleurs le tabagisme peut provoquer d’autres problèmes évitables par l’arrêt du tabac : diminution de la fertilité, grossesses à risques, problèmes d’ostéoporose, dentaires, dermatologiques, etc.

Le Cosem regroupe plusieurs centres parisiens de consultations médicales et dentaires, laboratoires d’analyses et radiologie afin de “favoriser l’accès aux soins pour tous“.
Le 29 mars à 20h00 au Cercle national des Armées (Paris 8ème), le Dr Patrick Brun, conseiller médical des centres du Cosem, animera donc une conférence de sensibilisation et d’explications : – 1ère partie : “Tabagisme féminin, entre fausse route et incohérence. Le Dr Jean-Louis Guillet, gynécologue et cancérologue, reviendra sur les spécificités de la relation entre les femmes et le tabac
– 2nde partie : “Modalités du sevrage tabagique. Evolution et surveillance. Le Dr Daniel Garelik, tabacologue et spécialiste en médecine interne, s’exprimera sur les dernières avancées et actualités concernant les modalités de l’arrêt du tabac
Les bénéfices de l’arrêt du tabac sont multiples dès l’arrêt de la cigarette. Et si vous vous rendiez à cette conférence pour en savoir davantage ?
Source : communiqué du Cosem, mars 2011
En pratique : Conférence “Mais pourquoi les femmes fument-elles encore ?“, mardi 29 mars à 20h00, Cercle National des Armées, 8 place Saint Augustin, 75008 Paris (métro Saint Augustin)Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Dans le cadre de la Journée mondiale du diabète du 14 novembre, l’Organisation pour la prévention de la cécité lance une campagne de sensibilisation au dépistage de la rétinopathie diabétique, maladie responsable de malvoyance et de cécité chez des milliers de Français. Déclinée en affiche et en film, la campagne vise à encourager les patients atteints de diabète à faire examiner leurs yeux une fois par an.

La rétinopathie diabétique concerne près de la moitié des diabétiques, qui ont plus de quinze ans de contrôle de leur maladie. Malgré l’existence de traitements, cette pathologie est la première cause de cécité et de handicap visuel dans les pays développés. D’après les chiffres présentés par l’Organisation pour la prévention de la cécité (OPC), près de 2 % des diabétiques seraient aveugles après 15 ans d’évolution de la maladie. Tous les diabétiques doivent effectuer un examen ophtalmologique tous les ans.Ce dépistage permet d’apporter un traitement précoce et ainsi de limiter les stades les plus graves. Durant cet examen, un fond d’oeil permet de regarder la rétine après dilatation de la pupille et ainsi de repérer les possibles micro-anévrismes, les petites hémorragies, anévrismes… cet examen peut être complété par une angiographie. Un colorant injecté via une veine du bras permettra de visualiser plus précisément de très petites lésions visibles sur des photos agrandies. Pour en savoir plus, découvrez notre article “

Diabète : attention les yeux !“.L’OPC rappelle que les complications liées à la rétinopathie diabétique sont évitables grâce à une prise en charge précoce de la maladie. A ce titre, l’organisation appelle les personnes souffrant de diabète à se faire dépister et à faire examiner leurs yeux une fois par an chez un ophtalmologiste ou dans un centre spécialisé. Les adresses des différents centres de dépistage sont consultables sur le site internet de l’

OPC.Source : Communiqué de Giropharm – octobre 2011Click Here: Athletic Club Jersey

Fortnite Halloween costumes are on the top of everyone’s mind this year. The breakout video game is the most popular choice amongst trick-or-treaters this season, according to Google Frightgeist — a list of the 500 most-searched Halloween costumes across the U.S. In addition, the Google tool tracks all of the top trending costumes being searched in every state alongside an interactive map highlighting towns with peak search interest.

Need some last minute Halloween costume ideas? With Fortnite, Spider-Man, unicorn, dinosaur and witch currently rounding out the top spots of the national list, see where they fall locally. There’s a few outliers that may just surprise you. Not to mention, we have local rankings for all the popular candy this season too!

But first, check out the top 3 most-Googled costumes in every state below:


Alabama

#1 – Fortnite (peak searches in Birmingham, Dothan, Mobile), #2 – Mouse, #3 – Superhero


Alaska

#1 – Mermaid, #2 – pirate, #3 – unicorn (peak search in Anchorage)


Arizona

#1 – Fortnite (peak searches in Phoenix, Tucson, Yuma), #2 – Spider-Man, #3 – dinosaur


Arkansas


California

#1 – Fortnite (peak searches in Eureka, Monterey, San Francisco Bay area, Sacramento, Fresno, Bakersfield, Santa Barbara, Los Angeles, San Diego, Palm Springs), #2 – Spider-man, #3 – unicorn


Colorado

#1 – Fortnite (peak searches in Denver, Colorado Springs), #2 – Spider-man, #3 – unicorn


Connecticut

#1 – Fortnite (peak search in Hartford), #2 – unicorn, #3 – dinosaur


District of Columbia

#1 – Spider-man, #2 – Ninja, #3 – The Incredibles


Delaware

#1 – Fortnite (peak search in Salisbury), #2 – Spider-man, #3 – unicorn


Florida

#1 – Fortnite (peak searches in Naples, Tampa, West Palm Beach, Orlando), #2 – Spider-man, #3 – pirate


Georgia

#1 – Fortnite (peak searches in Atlanta, Macon), #2 – dinosaur, #3 – Spider-man


Hawaii

#1 – Fortnite (peak search in Honolulu), #2 – dinosaur, #3 – Moana


Idaho

#1 – Unicorn, #2 – fairy, #3 – witch (peak search in Twin Falls)


Illinois

#1 – Fortnite (peak searches in Quincy, Springfield, Peoria), #2 – unicorn, #3 – witch


Indiana

#1 – Fortnite (peak searches in Indianapolis, Evansville, Ft. Wayne, Lafayette), #2 – Spider-man, #3 – unicorn


Iowa

#1 – Fortnite (peak search in Cedar Rapids), #2 – dinosaur (peak search in Des Moines), #3 – witch


Kansas

#1 – Fortnite (peak search in Wichita), #2 – unicorn, #3 – dinosaur


Kentucky

#1 – Fortnite (peak search in Bowling Green, Lexington, Louisville, Paducah), #2 – unicorn, #3 – Spider-man


Louisiana

#1 – Fortnite (peak search in Baton Rouge), #2 – unicorn, #3 – princess (peak search in Shreveport)


Maine

#1 – Fortnite, #2 – dinosaur, #3 – Spider-man


Maryland

#1 – Fortnite (peak searches in Salisbury, Baltimore), #2 – dinosaur, #3 – unicorn


Massachusetts

#1 – Fortnite (peak search in Boston), #2 – dinosaur, #3 – unicorn


Michigan

#1 – Fortnite (peak searches in Grand Rapids, Flint), #2 – dinosaur, #3 – unicorn


Minnesota

#1 – Fortnite (peak search in Saint Paul), #2 – dinosaur (peak search in Duluth), #3 – unicorn (peak search in Rochester)


Mississippi

#1 – Fortnite, #2 – superhero, #3 – Harley Quinn (peak search in Greenville)


Missouri

#1 – Fortnite (peak search in Kansas City), #2 – dinosaur, #3 – unicorn


Montana

#1 – Fortnite, #2 – dinosaur (peak search in Billings), #3 – Black Panther


Nebraska

#1 – Fortnite (peak search in Omaha), #2 – dinosaur (peak search in Lincoln), #3 – mermaid


Nevada

#1 – Fortnite (peak search in Las Vegas) #2 – ninja, #3 – Harley Quinn


New Hampshire

#1 – Fortnite, #2 – dinosaur, #3 – ladybug


New Jersey

#1 – Fortnite, #2 – unicorn, #3 – Spider-man


New Mexico

#1 – Fortnite (peak search in Albuquerque), #2 – unicorn, #3 – clown


New York

#1 – Fortnite (peak searches in NYC, Albany, Rochester, Syracuse), #2 – Spider-man, #3 – unicorn


North Carolina

#1 – Fortnite (peak searches in Raleigh-Durham, Greenville, Winston Salem, Charlotte), #2 – Spider-man, #3 – dinosaur (peak search in Wilmington)


North Dakota

#1 – Fortnite (peak searches in Fargo, Minto-Bismarck), #2 – dinosaur, #3 – unicorn


Ohio

#1 – Fortnite (peak searches in Columbus, Cleveland, Steubenville, Cincinnati), #2 – dinosaur, #3 – unicorn


Oklahoma

#1 – Fortnite (peak searches in Tulsa, Oklahoma City), #2 – unicorn, #3 – Spider-man


Oregon

#1 – Dinosaur (peak search in Eugene), #2 – Fortnite (peak search in Oregon), #3 – unicorn


Pennsylvania

#1 – Fortnite (peak searches in Altoona, Lancaster, Scranton), #2 – unicorn, #3 – Spider-man


Rhode Island

#1 – Fortnite (peak search in Providence), #2 – princess, #3 – ghost


South Carolina

#1 – Fortnite, #2 – Spider-man (peak search in Columbia), #3 – Harley Quinn


South Dakota

#1 – Spider-man, #2 – pirate, #3 – dinosaur


Tennessee

#1 – Fortnite (peak searches in Knoxville, Nashville, Jackson), #2 – Spider-man, #3 – dinosaur


Texas

#1 – Fortnite (peak searches in Dallas-Ft. Worth, Waco, Houston, Austin, Laredo, Lubbock, Midland) #2 – Spider-man (peak search in Abilene), #3 – dinosaur


Utah

#1 – Unicorn, #2 -Fortnite (peak search in Salt Lake City) #3 – Spider-man


Vermont

#1 – Monster, #2 -Rabbit #3 – Wednesday Addams


Virginia

#1 – Fortnite (peak searches in Roanoke, Richmond, Norfolk), #2 -Spider-man, #3 – unicorn


Washington

#1 – Fortnite (peak searches in Seattle, Yakima), #2 -Spider-man (peak search in Spokane), #3 – unicorn


West Virginia

#1 – Fortnite (peak search in Charleston), #2 – unicorn, #3 – witch


Wisconsin

#1 – Fortnite (peak search Milwaukee), #2 – dinosaur, #3 – unicorn


Wyoming

1-Epic Games; 2-CW; 3-Hasbro

#1 – Fortnite (peak searches in Casper, Cheyenne), #2 – Arrow, #3 – unicorn


Data sourced from Google Frightgeist. Lead image credits: Fortnite by Epic Games/Hasbro; Little Mermaid, Tinkerbell by Walt Disney Studios; Mr. Incredible, Sully by Disney/Pixar Studios; Spider-Man by Disney/Marvel Studios; My Little Pony Unicorn by Hasbro; Dinosaur from “Jurassic World” by Universal Pictures; map by Shutterstock

Contre les virus de l’hiver, la nouvelle campagne de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) joue la carte humoristique et insiste sur la nécessité d’un geste central permettant de limiter leur propagation : le lavage des mains.Face aux progrès majeurs du siècle dernier qui ont permis une nette augmentation de l’espérance de vie, corrélée à une forte chute des taux de mortalité infantile (amélioration de l’hygiène, de l’habitat, de l’alimentation, progrès médicaux, etc.), le lavage des mains peut paraître trop simple pour être efficace. Pourtant, ces gestes quotidiens permettent de réduire la transmission des virus de l’hiver, et des maladies qu’ils entraînent : grippes, bronchiolites, gastro-entérites, bronchites, rhinopharyngites…

Virus de l’hiver et lavage des mains
envoyé par

Inpes. –

Découvrez les dernières tendances en vidéo.Diffusé du 1er au 21 novembre, un spot télé de 30 secondes met en scène un homme dans différentes situations de la vie quotidienne où il risque d’être en contact avec des virus de l’hiver : lieux publics, transports en commun, bureau, rencontre avec des personnes, etc. Pour garder les mains “sans virus“, cet homme choisit, tout comme les personnes qui l’entourent, de se servir de ses coudes pour limiter la propagation des virus. Cette attitude conduit à une série de situations absurdes qui rendent le lavage des mains, par contraste, évident et simple pour limiter la propagation des infections virales de l’hiver. A cette occasion seront rediffusés des outils d’information, qui font la promotion des autres gestes de prévention à adopter, avec les enfants notamment : éviter les contacts rapprochés avec des personnes malades, se couvrir la bouche avec un mouchoir ou le coude, plutôt qu’avec les mains, quand on tousse ou éternue. Plusieurs dépliants consacrés à la bronchiolite, à la diarrhée du jeune enfant, etc. seront envoyés par l’Inpes, notamment aux ARS, PMI, crèches, services pédiatriques des hôpitaux, conseils généraux et représentants professionnels. Ils sont également téléchargeables sur son site

www.inpes.sante.frLuc BlanchotSource : Communiqué de l’INPES – 2 novembre 2010
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