Lundi soir, Texas était sur la scène du Zénith de Paris, une nouvelle étape dans la tournée du groupe écossais qui entretient une véritable histoire d’amour quasi fusionnelle avec le public français. Un concert d’une énergie folle qui a permis de se replonger dans tous les grands tubes de Sharleen Spiteri et ses boys.

Même si on a pu apercevoir quelques enfants en bas âge, vacances scolaires obligent, c’est un public essentiellement composé de quadras et de quinquas qui s’est déplacé au Zénith de Paris lundi soir, pour voir le concert du groupe Texas. L’occasion pour les spectateurs de se replonger dans la musique et les paroles de chansons qui ont bercé leurs jeunes années. Et de ce point de vue là, ils n’ont pas été déçus.

Après une ouverture avec le puissant Detroit City, extrait du dernier album The Conversation sorti cette année et qui lance le spectacle, Texas enchaîne avec un classique, Halo, qui met tout le monde d’accord. Texas est bel et bien de retour, après huit ans d’absence, et, en plus de se faire plaisir, le groupe est bien décidé à s’offrir à son public. La France est plus qu’une terre d’accueil, presque une seconde patrie pour Sharleen Spiteri qui a vécu à Paris et se dit éternellement reconnaissante vis-à-vis du public pour son soutien indéfectible au groupe. La chanteuse, d’ailleurs très bavarde hier soir, n’a pas hésité à ponctuer ses nombreuses interventions de mots en français, avec ce fameux accent écossais.

Le public, très, très chaud, était en demande interpellant à plusieurs reprises Sharleen qui ne se faisait pas prier pour lui répondre. Mais comme il s’agissait bien d’un concert, et pas d’une conversation, malgré le titre du dernier album, Texas a enchaîné les chansons sur un bon rythme, mêlant comme il se doit nouveautés (Dry your eyes, If this isn’t real, I need time) et incontournables. Et là, les fans ont été comblés, ils ont (quasiment) tout eu: Once in a lifetime, So called friend, Everyday now, Black eyed boy… Avec coup sur coup I don’t want a lover («avec lequel tout a commencé») et Summer son, les Ecossais ont mis debout les derniers qui n’avaient pas encore cédé et fait chavirer le Zénith. Say what you want puis Inner Smile ont ensuite offert un joli moment de communion entre Sharleen et son public. Après deux rappels, le concert s’est terminé sur une reprise survoltée (malgré un démarrage en deux temps) de River Deep, Mountain High de Ike et Tina Turner.

On regrettera juste que le concert n’ait duré que 1h40. Un peu court tant la discographie de Texas est riche et aurait permis de rallonger le spectacle d’au moins une demi-heure, ce qui n’aurait pas dérangé le public. Malgré tout, ce dernier est ressorti conquis, ravi de ce bain de jouvence et sous le charme de Sharleen Spiteri. Du haut de ses 45 ans, la chanteuse est en pleine force de l’âge et démontre qu’elle reste l’une des plus belles et plus puissantes voix de la scène pop rock actuelle. Elle dégage surtout une aura et un charisme sur scène qui expliquent en partie le succès inusable de Texas qui fêtera l’an prochain le 25eme anniversaire de leur premier album Southside.

Entre la gagnante de l’édition 2005 de la Nouvelle Star et le juré du télé-crochet à succès de d8, la tension est palpable et se règle par voie de presse interposée…

Ces derniers jours André Manoukian ne s’est pas montré très tendre avec Myriam Abel.

Après avoir assuré à TVMag que la chanteuse n’avait pas mérité sa victoire en 2005 dans Nouvelle Star, le juré de D8 en a remis une couche dans l’hebdomadaire Closer.

“J’ai été déçu de ce qu’elle a fait par la suite avec la voix qu’elle avait, a-t-il déclaré à l’hebdomadaire(…) Il faut savoir bien s’entourer. Ça fait mal, avec des voix géniales, de voir que le boulot ne suit pas».

Touchée par ces critiques, la gagnante de la troisième de Nouvelle Star a riposté auprès du magazine Télé Star.

«Je trouve cela complètement faux-cul de sa part de me juger, s’énerve la chanteuse de 32 ans vue dans les Anges de la télé-réalité 4 et 5. Pour lui, ce n’est pas compatible avec la vie d’artiste, explique-t-elle à nos confrères de Télé Star. Mais ça m’est complètement égal venant de lui qui a fait Danse avec les stars.”

À part juré dans Nouvelle Star, je pense que de son côté, il n’a pas vendu beaucoup d’albums de jazz. Je pense qu’il est un peu frustré aussi.»

1–1 balle au centre?

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Avec 552 766 entrées pour son premier jour d’exploitation en France, le dernier volet de la saga Twilight réalise le meilleur démarrage de l’année. Le film dépasse ainsi “The Dark Knight rises” et “L’Age de glace 4”, respectivement 2e et 3e plus gros démarrages de l’année.

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Avec 552 766 spectateurs sur 823 écrans pour son premier jour (dont 220 000 en avant-première), Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie réalise le plus gros démarrage de l’année. Le dernier film de la franchise passe ainsi devant The Dark Knight Rises (423 970 entrées) et L’ Âge de glace : La dérive des continents (402 081), meilleurs démarrages 2012 jusqu’ici.

Notre interview avec l’équipe du film :

Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie

Petits et grands restent fasciné par sa longue barbe, son costume impeccable rouge et blanc et sa hotte magique. On le sait moins mais le père Noël est aussi l’ami des stars…

Toute l’année nous vous relatons avec bonheur les petites et grandes histoires des célébrités monde entier. Mais loin devant les chanteurs, acteurs, sportifs ou politiciens de ce monde, un homme dépasse tous les seuils de la gloire. Sa vie est fantasmée par tous et ses fans se comptent en milliards. La plus grande star du monde n’est autre que le père Noël.

Le mois de décembre lui étant tout particulièrement dédié, certains se sont pressés à sa rencontre. Si les enfants sont les premiers à poser sur ses genoux, les célébrités semblent, elle aussi, avoir gardé leurs âmes d’enfants devant lui.

Barack Obama, Président des Etats-Unis, est un proche de Santa Claus. L’an dernier, pour le Noël de la Maison Blanche, son locataire conviait son vieil ami venu du grand nord à interpréter un chant de Noël en duo. Certains disent qu’il est tombé sous le charme de Carla Bruni-Sarkozy, de son temps à l’Élysée… Intime des grands de ce monde, il s’est également rapproché du prince Charles et de son épouse Camilla. Petit papa Noël semble pourtant préférer la douceur du climat monégasque, où il passe chaque année, quelques jours auprès du prince Albert II et de la princesse Charlène.

Quand le gotha le libère, Santa s’en va rejoindre les artistes. Chez Cartier, la hotte pleine de jolis bijoux, il a su mettre dans sa poche Sienna Miller et Ben Affleck. Les filles Kardashian, se sont, elles, toutes invitées sur les genoux du père Noël qui ne demande pas son reste. Miley Cyrus lui a récemment offert son plus beau twerk, et Cara Delevingne son plus gros câlin.

Dernièrement, cet intrépide papa Noël a été aperçu bien entouré, entre Johnny Hallyday et Jean-Paul Belmondo. Et entre eux trois, nous savons très bien qui est le plus connu…

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Flora Coquerel, Miss France 2014, était ce Vendredi à L’INSEP pour une séance d’initiation au badminton. Pendant près d’une heure, entourée des meilleures joueuses et joueurs de L’Equipe de France.

Depuis l’élection de Miss France 2014, Flora Coquerel a vu son quotidien bouleversé. Avec son son nouvel emploi du temps, la nouvelle protégée de Sylvie Tellier a notamment dû faire une croix sur la danse et le badminton qu’elle pratiquait assidûment il y a encore quelques semaines.

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Miss Orléanais, n’a donc pas boudé son plaisir ce matin alors qu’elle était invitée à l’Insep (L’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance,) pour une séance d’initiation à son sport fétiche.

«Ça faisait longtemps que je n’en n’avais pas fait, a-t-elle confié le sourire aux lèvres. J’ai retrouvé de bonnes sensations et pris beaucoup de plaisir, c’est l’avantage du badminton où l’on prend du plaisir après quelques échanges. Toute l’équipe de la Fédération française de badminton m’a très bien accueilli, je pense que je vais m’y remettre!».

Du haut de son mètre 81, la jolie franco-béninoise a affiché une certaine maîtrise de la raquette et du volant à en croire les observateurs présents sur place à l’insep.

Si elle reprend du service, la jolie franco-béninoise de 19 ans, assurera une belle promotion à ce sport qui ravie de nombreuses femmes (37% des 180 000 licenciés). «En moyenne on court 4 fois plus sur un terrain de badminton que sur un court de tennis, pourtant 4 fois plus petit, expliquait Marion, entraîneur depuis 8 ans, à Flora et les autres invités de l’Insep ce matin. Dès lors que l’on garde ce chiffre en tête, on comprend mieux pourquoi la pratique régulière du badminton permet de travailler sa silhouette et de brûler des calories.Lors d’une heure de cours bien rythmée, il est possible de perdre +/- 500 calories.» Un discours qui a visiblement convaincu Flora déjà prête à s’aménager du temps pour reprendre sa raquette.

Crédits photos : Non renseigné

Invitée vendredi à la soirée Nylon Magazine Young Hollywood au Roosevelt Hotel, la deuxième fille de Bruce Willis et Demi Moore s’est exhibée poitrine en vue sur le red carpet.

Heureusement que Bruce Willis a depuis longtemps choisi une coupe très courte, car avec ses filles il n’a pas fini de se faire des cheveux blancs. Alors qu’il devenait lundi dernier le papa d’Evelyn, sa cinquième fille, quelques jours plus tôt il criait sa honte à qui voulait l’entendre de voir son aînée, Rumer, afficher ses courbes en public.

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Sa cadette, Scout, 22 ans, a bien compris que papa Willis n’avait pas apprécié qu’on puisse apercevoir les sous-vêtements de ses filles. Alors, en toute logique, elle n’en a pas mis. Pour se présenter sur le red carpet de la soirée Nylon Magazine Young Hollywood, la jeune fille avait enfilé un jean délavé sur un body en lycra légèrement rosé, et transparent, laissant clairement apparaître sa poitrine. On a vu plus chic.

Souhaitons à Bruce Willis que les couches d’Evelyn l’occupent suffisamment pour ne pas se rendre compte de l’affront de sa cadette.

This year’s massive box office slump took another hit when Easter delivered the worst weekend in “well over a decade,” Deadline reports.

New Line’s $9 million horror entry, The Curse of La Llorona, captured the top spot with $26.5 million; it even over-performed. But it was still not enough to pull the weekend out of its death spiral, or the overall box office year out of its dive.

Thus far, the 2019 domestic box office is down 16.3 percent compared to last year, down 17.3 percent compared to 2017,  down 12.3, 6.7, and 2.9  percent compared to 2016, 2015, and 2014, respectively.

In other words, we are nearly four full months into the year and the box office is as bad as its been in at least five years.

The primary reason you are not reading much about this, even here at Breitbart, is because everyone continues to assume something’s going to hit big and end the slump. But then…

Dumbo tanked and Alita: Battle Angel tanked and Pet Sematary tanked and The LEGO Movie: Part 2 tanked and Hellboy tanked, The Kid Who Would Be King tanked, and Happy Death Day 2 U tanked…

We are nearly four months into the year and only eight films have passed the $100 million mark, only three have passed $150 million, and ONE has passed $175 million.

We are nearly four months into the year and there have only been two breakout hits: Captain Marvel ($400 million) and the horror film Us ($170 million).

Thus far, 2019 has been a five-alarm disaster.

Nevertheless, no one is panicking yet, nor should they… Summer is on the horizon and it begins this coming weekend with what will almost certainly be the biggest movie of the year and one of the biggest of all-time: Avengers: Endgame.

Not only is Endgame the conclusion to Marvel’s Avengers: Infinity War, which grossed an incredible $679 million domestic last year, it is the conclusion of a 20 movie story arc that began a decade ago in 2008 with Iron Man; a story that has captured moviegoers’ attention unlike any in history and it will now, in many ways, come to an end — including, we have been led to believe, the exit-death of several iconic characters.

This is as “must see” as movies get… but will it be enough to pull 2019 out of a dive?

On its own, probably not, and for four whole weeks after Endgame’s April 26 release there is no sure thing coming to a theater near you. John Wick: Chapter 3 lands on May 17 and everyone loves John Wick, but neither of its predecessors passed the $100 million domestic mark.

Nope, the only sure thing is Disney’s live-action remake of Aladdin, which stars Will Smith as Genie. But that doesn’t arrive until May 24 … and is it a sure thing?

After the dismal performance of Tim Burton’s live-action Dumbo remake and the under-performance of last year’s Mary Poppins Returns, I wouldn’t be so sure.

May closes with Godzilla: King of the Monsters (this franchise has yet to take off as expected) and the hope that the Elton John biopic Rocketman can do Bohemian Rhapsody business.

June delivers the X-Men entry Dark Phoenix (iffy) and The Secret Life of Pets 2 (gunna make a fortune), a Will Smith-less Men In Black I wouldn’t bank on, and that sorry-looking Shaft remake-sequel-reboot-reimagining.  

Toy Story 4 will break the bank.

The rest of the summer brings another Spider-Man entry, another one of Disney’s live-action remakes (Lion King), a Fast & Furious spin-off, and, well, then that’s kind of it… No Jurassic Park, no Mission: Impossible, no James Bond, Harry Potter, Star Wars, Jumanji, Aquaman, It, or Dunkirk.

Stay tuned… 

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LONDON — It would be “very dangerous” for the EU to stall Brexit talks over the U.K.’s divorce bill because time is tight and a no-deal scenario would mean Britain leaving without paying anything, blowing a huge hole in the bloc’s budget, according to a former U.K. Brexit minister.

David Jones, who served as Brexit Secretary David Davis’ deputy in the Department for Exiting the European Union until last month, told POLITICO that the time pressure on securing a deal was “more on them than it is upon us.”

The European Commission’s chief negotiator Michel Barnier is considering “stalling” the talks until the U.K. produces a counter-proposal of financial obligations owed to the bloc upon Brexit, according to EU diplomats.

However Jones, who as Brexit minister was privy to the U.K. government’s private preparations for the talks, said that the two-year deadline on the Article 50 process was set in stone, and that if no deal was reached, the U.K. could leave without being subject to EU treaties, “which of course include us making payments.”

“Bear in mind they are at the moment getting over £10 billion per annum net from the U.K., which they are going to be concerned about … It’s a significant sum and I know that particularly some of the smaller EU nations are concerned about this,” he said.

A no-deal scenario, which would see the U.K. leave the EU on World Trade Organization terms, would also, Jones said, have “much worse consequences” for the EU in terms of manufactured goods trade than it would for the U.K.

Speaking to POLITICO in Westminster as his former colleagues were engaged in the first full round of Brexit talks, Jones, who supported Leave in the 2016 referendum, backed Davis’s approach to the divorce bill. The U.K. has indicated it will not present a counter-proposal this week, instead using the talks to interrogate the EU’s position.

“I don’t think Barnier can stall the talks. I think it’s very dangerous if he does because we’ve got a very, very short timescale for all this and I think people tend to overlook that it’s as much in the EU’s interest as it is in the British interest to get this matter resolved,” he said.

“I wasn’t party to those negotiations so I can’t say what our stage of readiness is, but it does seem to me that if the EU is demanding a sum of money from Britain, it has to set out its methodology in great detail and support that methodology,” he said.

However, in comments that will boost hopes of a final deal on financial obligations, Jones indicated that he and other Brexit-supporting MPs were open to the idea that the U.K. should at least pay something on exit.

He said a House of Lords committee report from March that concluded the U.K. could legally walk away without paying anything, which he had previously called “extremely helpful,” had caused “a significant frisson” in European capitals.

But he did not rule out payment altogether. “In terms of strict legality it may well be that the House of Lords report conclusion is correct,” Jones said. “But I think that there are a wider range of considerations you have to bring into the equation, such as what kind of relationship do you want to have [with the EU] after we’ve completed our withdrawal.”

Concerns that Brexit-supporting MPs could block Theresa May’s Brexit deal if she accepts demands for a multibillion-pound exit bill have hung over Brexit talks.

Jones said he did not believe there were “many of my colleagues that are so dogmatic that they would say that nothing must be paid at all. I think everybody recognizes that there will have to be a continuing relationship.”

He also suggested that EU programs that the government should seek to remain a part of and contribute to, could include Horizon 2020 research funding and Erasmus.

Jones, a former secretary of state for Wales, was sacked from his role at DExEU after the June 8 general election, in a move that was initially seen as a signal the U.K. was softening its Brexit stance. However, another staunchly pro-Brexit MP, Steve Baker, has since been appointed.

An ally of Davis who backed the Brexit secretary’s unsuccessful leadership bid in 2005, Jones said that his former boss was doing a “very impressive” job.

“Working at close quarters with him I see an individual who is highly intelligent, extremely hard-working, contrary to what was said in the press,” he said, in a reference to comments by the former Vote Leave campaign director, Dominic Cummings, who branded Davis “thick as mince, lazy as a toad.”

“He is supported by an absolutely excellent team of officials, the best I’ve seen anywhere,” Jones added.

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At the first European Commission midday press briefing since Theresa May launched an attack on Brussels — accusing European politicians and officials of deliberately seeking to sway the U.K.’s general election — the tone was noticeably calmer.

Chief spokesman Margaritis Schinas suggested that May’s anti-Brussels rhetoric was merely electioneering. “We are not naive,” he said. “At the moment there’s an election taking place in the U.K. People get excited when we have elections.”

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Schinas also invented a word, with “Brexitize” joining the likes of “paperology” and “leakology” in the made-up-by-the-Commission dictionary.

“We here in Brussels are rather busy with our policy work. We have too much on our plate,” Schinas said, adding that “we will not Brexitize our work.”

To illustrate that Brussels is not Brexit-obsessed, Schinas referenced remarks by Jean-Claude Juncker’s chief of staff Martin Selmayr at a POLITICO Morgen Europa event on Wednesday in which he said his boss will not spend more than 30 minutes a week dealing with Brexit.

“This week it’s up,” Schinas said.

Schinas said it was not up to the Commission to provide analysis of the French presidential debate that took place between Emmanuel Macron and Marine Le Pen on Wednesday night. The debate was “for French voters, the only ones speaking this week are French voters. Not Brussels, not the European Commission,” he said.

Ratings for the Fox TV series Empire barely improved this week since hitting an all-time low last week after its star, Jussie Smollett, had felony charges for allegedly faking a hate crime against himself dropped.

According to TV Line, “Fox’s Empire this Wednesday drew 4.1 million total viewers and a 1.2 demo rating, ticking up from last week’s series lows to end a slide that spanned four episodes.”

Last week, the series cratered to a low of 3.97 million viewers and a 1.1 rating. Throughout March, the series suffered significantly lower ratings than from before Smollett’s alleged hate hoax.

Cook County prosecutors dropped felony charges against Smollett last week. The 37-year-old was originally charged in February with disorderly conduct after Chicago police reported that Smollett staged a racist, homophobic attack against himself.

In January, Smollett claimed that two men attacked him in downtown Chicago, put a rope around his neck and poured a chemical on him while yelling “This is MAGA country!”

President Donald Trump mocked the Empire star at a Michigan rally last week, saying, “Very important–MAGA country – you heard the other day? How about in Chicago?”

“He said, he said, he was attacked by ‘MAGA country.’ Ever hear that one? Maybe the only time I’ve ever agreed with the mayor of Chicago right there. That’s a terrible situation. That’s an embarrassment not only to Chicago, that is an embarrassment to our country, what took place there. Remember that.”

However, Smollett isn’t out of the woods yet. He is still reportedly under FBI investigation for mail fraud.

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