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Une nouvelle étude danoise révèle qu’il n’y a pas d’augmentation de survenue de sclérose en plaques et de maladies démyélinisantes (troubles qui affectent le système nerveux central) après une vaccination contre le papillomavirus (HPV). Des résultats qui viennent corroborer d’autres études et avis faits en Europe, en France, aux Etats-Unis et dans d’autres pays.

Une nouvelle étude danoise confirme l'absence de lien entre le vaccin contre la papillomavirus et l'augmentation de cas de sclérose en plaques ou de maladies démyélinisantes.

Sommaire

  1. Aucun lien de cause à effet entre vaccination anti-HPV et sclérose en plaques
  2. Vaccin contre le papillomavirus : une plainte déposée contre le Gardasil © en 2013
  3. Le rapport bénéfice/risque du vaccin reste favorable
  4. Des cancers évités et des vies sauvées grâce à la vaccination

Aucun lien de cause à effet entre vaccination anti-HPV et sclérose en plaquesL’étude, menée par des chercheurs danois du Statens Serum Institut, a porté sur des jeunes filles et femmes danoises et suédoises âgées de 10 à 44 ans. La cohorte a été suivie de 2006 à 2013. Pendant cette période, 789 082 participantes ont été vaccinées contre le

papillomavirus. Dans ce groupe, 4 322 cas de

sclérose en plaques et 3 300 cas de maladies démyélinisantes ont été signalés : 73 cas de SEP et 90 cas de

maladies démyélinisantes sont apparus pendant la période dite “à risque“ (soit deux ans après la vaccination).Après analyse des données, les auteurs de l’étude n’ont établi aucun lien entre le vaccin anti-HPV et l’augmentation de cas de sclérose en plaques ou de maladies démyélinisantes. “Les résultats de notre étude vont à l’encontre des études et experts qui affirment qu’il existe un lien de cause à effet entre vaccin anti-HPV et maladies démyélinisantes. La cohorte importante et le choix des participantes qui ne s’est pas fait selon des critères précis permettent de généraliser ces résultats à grande échelle“, concluent les chercheurs.Vaccin contre le papillomavirus : une plainte déposée contre le Gardasil © en 2013Comme le vaccin contre l’hépatite B, et plus globalement les vaccins contenant des adjuvants à base d’aluminium, le vaccin 

Gardasil © est soupçonné par certains d’être à l’origine de cas de sclérose en plaques. Plusieurs plaintes ont été déposées en France contre le laboratoire Sanofi Pasteur MSD qui commercialise ce vaccin. Marie-Océane fait partie des plaignantes. Vaccinée en 2010 à l’âge de 15 ans, la jeune fille a développé une sclérose en plaques quelques mois après l’injection de Gardasil. Une expertise menée par plusieurs médecins conclut “qu’il n’existe aucun argument scientifique en faveur de l’incrimination du Gardasil comme facteur causal pour les pathologies inflammatoires démyélinisantes du

système nerveux central“. Mais ils ajoutent que chez cette jeune fille ayant des antécédents familiaux de sclérose en plaques, “la cascade inflammatoire démyélinisante post-vaccinale ayant atteint l’intéressée présente tous les caractères objectifs d’imputabilité médico-légale“. En conséquence, “ils évaluent l’imputabilité totale de la vaccination sur le dommage à 50 %“. En novembre 2013, alors âgée de 18 ans, la jeune fille porte plainte contre le laboratoire Sanofi Pasteur MSD pour “atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine“.Le rapport bénéfice/risque du vaccin reste favorableSuite à ces plaintes, le laboratoire Sanofi Pasteur MSD fait une mise au point sur les données de surveillance post-enregistrement qui montrent qu’il n’y a pas d’augmentation de survenue de maladies auto-immunes après la vaccination par Gardasil ©. Une mise au point publiée par l’Agence de sécurité du médicament (ANSM) va dans le même sens et rappelle que le rapport bénéfice/risque de ce vaccin reste favorable.Par ailleurs, les données du SNIIRAM (Système national d’information inter-régimes de l’assurance maladie), portant sur une cohorte de près de 2 millions de jeunes filles nées entre 1992 et 1996 et suivies sur une période allant de 2008 à 2010, confirment ces résultats : “le taux d’apparition des maladies auto-immunes observé chez les personnes vaccinées ne différait pas de celui observé chez les personnes non vaccinées“.Des cancers évités et des vies sauvées grâce à la vaccinationLes papillomavirus humains seraient responsables de plus de la moitié des cancers du col de l’utérus, à l’origine de 1 000 décès par an en France. Dans son avis du 20 mars 2013, la Haute Autorité de Santé (HAS) “considère que le service médical rendu par ce vaccin est important dans la population recommandée par le Haut Conseil de Santé Publique dans le calendrier vaccinal en vigueur“.  L’ANSM rappelle également que les vaccins contre le papillomavirus font l’objet d’une surveillance renforcée.

Des patients atteints de la maladie de Parkinson, traités à leur insu avec un placebo, réagissent mieux lorsqu’ils croient que le médicament plus cher. La perception du coût du traitement pourrait ainsi avoir un effet sur son efficacité.

La perception du coût d'un médicament pourrait affecter son efficacité.

Les attentes des malades jouent un rôle important dans l’efficacité de leur traitement et cet effet

placebo a été bien établi pour différentes maladies. Le Dr Alberto Espay, de l’université de Cincinnati dans l’Ohio a voulu évaluer cet effet placebo chez des patients atteints de la

maladie de Parkinson, en y introduisant un nouveau paramètre. “Nous avons voulu vérifier si la perception du coût d’un médicament pouvait affecter l’effet placebo“, explique-t-il. Pour l’évaluer, ils ont mis au point une méthodologie assez singulière.Plus un traitement est perçu comme cher, plus il semble efficaceLes chercheurs ont indiqué à 12 patients souffrant de la maladie de Parkinson qu’ils recevraient des injections de deux formulations d’un même médicament, la deuxième une fois que les effets de la première auraient cessé. Les chercheurs leur ont aussi expliqué que les deux formulations avaient la même efficacité, mais qu’elles avaient été fabriquées à des coûts différents : 100 dollars pour l’une et 1 500 dollars pour l’autre.En fait, les participants ont reçu deux injections d’une solution saline, mais on leur a alors dit qu’il recevait soit le médicament bon marché, soit le médicament très onéreux. Avant et après chaque injection, les participants ont répondu à différents tests permettant d’évaluer leur capacités motrices et des scanners ont permis de mesurer leur activité cérébrale.Chez les deux groupes, les injections de placebo ont amélioré les capacités motrices. Mais chez ceux qui ont reçu la dose prétendument la plus chère, cette amélioration a été de 28 % par rapport à une amélioration de 13 % chez ceux traités avec la dose “bon marché“.“Si on peut trouver des stratégies pour contrôler la réaction placebo, on pourrait potentiellement optimiser les effets des traitements, en réduisant les doses et peut-être aussi les effets secondaires“, relève le Dr Espay.Des résultats qui restent à confirmerSelon ce spécialiste, l’effet placebo pourrait être plus puissant chez les malades de Parkinson car cette maladie réduit la quantité de dopamine dans le cerveau alors qu’on sait que les effets placebo sont connus pour accroître la production de ce neurotransmetteur.La dopamine agit au niveau des mouvements (le manque expliquant les problèmes moteurs liés à la maladie de Parkinson), mais elle est également impliquée la motivation, l’anticipation d’une récompense et la réponse aux nouveautés. Les participants ayant reçu les injections les plus chères attendaient peut-être un plus grand effet, un peu comme l’attente d’une récompense favorisée par la dopamine, selon ce neurologue.Au terme de l’étude, les patients ont été informés de la véritable nature des travaux. Parmi eux, huit participants ont expliqué qu’ils s’attendaient à davantage d’effets de l’injection la plus chère et étaient très surpris de l’ampleur des différences liées à leurs attentes. Les quatre autres malades, sans attente particulière, n’ont connu que peu de changement de leur état de santé.Les résultats de cette petite étude (12 patients) restent à confirmer sur un plus grand échantillon et sur d’autres pathologies. Néanmoins, comme le souligne un éditorial accompagnant l’article dans Neurology, il pourrait s’agir d’une mauvaise nouvelle pour les autorités en charge du contrôle du prix des médicaments…David BêmeSources :Placebo effect of medication cost in Parkinson disease – Alberto J. Espay et al. – Neurology –Published online before print January 28, 2015 (

abstract accessible en ligne)The pharmacodynamics of placebo – Peter A. LeWitt and Scott Kim – Neurology –Published online before print January 28, 2015 (

extrait accessible en ligne)Click Here: cheap sydney roosters jersey

La chanteuse Emma Louise donnera un concert gratuit le vendredi 27 février au sein de la parfumerie Marionnaud des Champs-Elysées.

La chanteuse Australienne Emma Louise est l'image sonore du parfum Black Opium d'Yves Saint Laurent.

Emma Louise, l’interprète de la chanson “Jungle“ utilisée dans le spot publicitaire du parfum

Black Opium d’Yves Saint Laurent, sera en show case exceptionnel à Paris.

Ouvert au grand public, ce concert se tiendra au sein du magasin Marionnaud des Champs-Elysées (104, avenue des Champs-Elysées) de 18h à 18h30, le 27 février prochain.ASSource : communiqué de presse Marionnaud.

Marre de votre collègue râleur? Apparemment, vous n’êtes pas le/la seul(e) puisque 36% des salariés considèrent la râlerie comme le pire défaut qu’un collègue de travail puisse avoir, selon un sondage OpinionWay pour Monster.

Interrogés sur les défauts les plus pénibles que peuvent avoir leurs collègues, 36% des salariés citent le fait de se plaindre tout le temps et 30% le manque d'hygiène.

Interrogés sur les défauts les plus pénibles que peuvent avoir leurs collègues, 36% des salariés citent le fait de

se plaindre tout le temps et 30% le manque d’

hygiène.Viennent ensuite le fait de parler trop fort (10%), d’étaler sa vie privée (8%), de se montrer trop curieux (7%) ou encore de raconter des blagues nulles (2%).Arrêter de râler, c’est possible !“Il fait trop chaud dans ce bureau !“, “J’ai trop de travail !“… Les bonnes raisons de râler sont légion ! Toutefois, pester, bougonner, ronchonner sans cesse peut procurer un sentiment d’insatisfaction chronique doublé d’une profonde lassitude. Avec à la clé “un sentiment de gâchis“ assure Christine Lewicki, auteur du livre/manuel “J’arrête de râler !“. Voici ses pistes pour se débarrasser de la râlerie.Au lieu de râler : demander de l’aideUne

surcharge de travail, une amie envahissante… quand le problème est bien réel, essayez plutôt de demander de l’aide au lieu de râler. “Derrière nos bougonnements se profile bien souvent un sentiment que tout repose sur vos épaules“ précise Christine Lewicki. Son conseil : “Vous pouvez commencer par identifier votre besoin et l’exprimer, sans râler“. Instaurer un tour de vaisselle ou de course au sein du couple, apprendre à déléguer au bureau, ou à dire non, sont autant de pistes à mettre en place. La clé ? “Je suis devenue flexible sur la façon dont mon besoin pouvait être satisfait“ témoigne l’auteur.Au lieu de râler : apprendre à dire le mot justeC’est toujours la même chose“, “Je ne m’en sortirai jamais“, “C’est insupportable“… A bien y regarder, notre tendance à exagérer est souvent concomitante avec nos “râleries“. Ce qui a pour effet d’amplifier considérablement l’impact négatif de la situation, qui plus est en la figeant dans le temps… “Toujours“ et “jamais“ se disputent le palmarès de nos agacements. Son conseil : “Commencez par observer toutes les fois où vous dramatisez“. Puis essayez plutôt de décrire la situation telle qu’elle est tout en la consignant dans l’instant présent. Vous ouvrez ainsi la possibilité d’un changement.Et pour les collègues qui dégagent des effluves désagréables, les solutions (douche, déodorant, chewing-gum…) sont beaucoup plus simples mais plus délicates à conseiller à la personne dont l’hygiène laisse à désirer. Bon courage !Avec AFP/RelaxnewsSource : sondage OpinionWay réalisé en ligne du 27 au 29 janvier auprès d’un échantillon représentatif de 1.074 salariés.Click Here: cheap all stars rugby jersey

La candidature de Paris à l’organisation des JO-2024 sera officiellement lancée en deux temps, le 23 juin, date de la journée olympique, et le 14 juillet, jour de la Fête nationale, a confirmé mardi un responsable de l’Association Ambition Olympique.

Paris en lice pour les Jeux Olympiques 2024.

Jeudi dernier, les participants à la deuxième réunion plénière de l’Association (19 représentants du mouvement sportif, de la Ville, de la Région et de l’État) avaient repoussé de quelques jours leur décision sur le sujet, mais leur président Bernard Lapasset avait laissé entendre à l’AFP que cette annonce en deux temps était le scénario le plus probable.Une première annonce officielle de la candidature, qui ne fait par ailleurs plus aucun doute, aura donc lieu le 23 juin, journée olympique mondiale et date en France de l’assemblée générale des Olympiens “afin de mettre les sportifs sur le devant de la scène“, indiquait alors Bernard Lapasset.Une première annonce qui sera donc suivie d’un message plus officiel du sommet de l’État le 14 juillet, l’exécutif devant officiellement s’engager auprès du CIO par une garantie de la candidature.La Ville de Paris et la région Ile-de -France ont déjà voté à une large majorité le soutien au dossier.Le dépôt officiel de la candidature doit se faire avant le 15 septembre auprès du CIO. Le dossier technique sera lui adressé à Lausanne en janvier.A ce jour, Boston, Hambourg et Rome sont officiellement candidats à l’organisation des JO-2024 dont la ville hôte sera choisie à l’été 2017 lors de la session annuelle du CIO à Lima.Source : Relaxnews

Pour éviter les blessures, il est indispensable de se préparer physiquement à l’effort et à l’endurance. Cap sur le renforcement musculaire et les exercices à privilégier, à quelques semaines de l’ouverture des pistes.

A quelques semaines de l'ouverture des pistes, cap sur une bonne préparation physique pour bien préparer son corps.

A l’image du Decathlon Village de Rennes, qui propose ce samedi 24 octobre une séance de préparation physique aux sports d’hiver, il est temps de remettre son corps sur les rails du

ski.Préparation cardio à l’endurance

  • Si vous êtes plutôt d’un naturel sportif : alternez phases intenses et plus douces de plusieurs séries hebdomadaires de sports que vous pratiquez habituellement tels que

    course ou

    vélo, qui demandent une certaine endurance, ainsi que du souffle.

  • Si vous n’êtes pas adepte de sport d’endurance, entraînez

    cœur et poumons à l’effort en vous mettant au

    rameur en salle, au vélo, à la

    natation ou à la

    marche rapide avec bâton. Les

    sports collectifs ou le

    tennis font également travailler ces 2 organes primordiaux. La régularité en est la clé de votre entraînement : 3 séances de 45 minutes environ.

Renforcement musculaireSki, luge, snowboard ou skating sollicitent essentiellement les membres inférieurs. Mollets, cuisses, triceps, fessiers, abdos dorsaux sont autant de groupes musculaires à renforcer.

  • Le

    gainage est primordial pour vous aider à travailler votre

    ceinture abdominale et votre

    dos. Entrainez-vous à l’exercice de la planche, sur un tapis de sol, en appui sur la pointe des pieds et les coudes. Tenez la position au moins 30 secondes. Variez l’exercice en vous adossant à un mur, les genoux fléchis, comme si vous étiez assis sur une chaise imaginaire.
     

  • Les

    squats renforcent cuisses, jambes, genoux et mollets. En position debout, pieds écartés à la largeur des épaules, fléchissez les jambes, le dos droit et sans tomber en avant, puis redressez-vous. Commencez par 3 séries de 30 flexions avant d’augmenter progressivement et à votre rythme le nombre.

Equilibre, stabilité et concentrationPour vous préparer au mieux, certains exercices nécessitant adresse et équilibre peuvent être réalisés à raison de quelques séances chaque semaine :

  • Travaillez, si possible avec un

    ballon géant de pilates, l’équilibre tout en mobilisant vos abdos et travaillez les

    fessiers.
     

  • Sur un sol mou ou instable (une couverture repliée sur elle-même, par exemple), tenez-vous droit sur un pied. Puis, marchez au ralenti et entrainez-vous à faire quelques sauts dans différentes directions. Vous pouvez aussi fermer les yeux pour compliquer l’exercice.
     
  • Apprenez à chuter en vous réceptionnant sur un tapis en avant, en arrière et sur le côté pour préparer votre corps à amortir les éventuels impacts.

EtirementsLes

étirements sont indispensables pour détendre les muscles après un effort.

  • Couché sur le dos, attrapez vos genoux dans les mains avant d’effectuer plusieurs mouvements de balancier sur le côté et d’avant en arrière.
     
  • Debout, étirez les quadriceps en repliant une jambe derrière vous. Attrapez votre pied avec votre main en essayant de le coller à votre fesse, tout en gardant votre équilibre plusieurs secondes.
     
  • Debout, tendez une jambe devant vous, talon au sol et doigts de pied vers le ciel. Descendez ensuite la poitrine en direction du genou, à votre rythme, dos droit.
     
  • En position assise, gardez une jambe tendue et croisez l’autre par dessus, pied à hauteur du genou au sol. Tenez la posture plusieurs secondes.

Retrouvez aussi les conseils de base et évaluez votre niveau de préparation physique en ligne sur la page

Prévention Hiver du ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports.Relaxnews

WASHINGTON, DC — Attorney General William Barr is reportedly preparing to announce the completion of the Russia probe — and that announcement could come as early as next week. That’s according to CNN crime and justice reporter Shimon Prokupecz, who tweeted Wednesday afternoon that the plan is for Barr to soon submit a summary of the secret report to lawmakers in Congress.

CNN reported the news citing anonymous sources familiar with the plans. Click here to read the full story.

The news comes as President Donald Trump prepares for a summit abroad with North Korean leader Kim Jon Un. In order to avoid interfering with the White House’s diplomatic efforts, the exact timing of Barr’s announcement could change.

Special counsel Robert Mueller’s Russia investigation has dogged the first two years of Trump’s tenure and led to numerous outbursts from the president, who has repeatedly denied colluding with the country and called the probe a “witch hunt.”

CNN reported that workers in the special counsel’s office were seen hauling boxes out of the office, as well as pushing away cartloads of documents. Several prosecutors on Mueller’s team had also finished their tenures and resumed their previous duties in the Justice Department.

So far, the Mueller probe has resulted in 34 indictments and guilty pleas from both individuals and companies. That group includes six former advisers for Trump, 26 Russian nationals, three Russian companies, a California man and a London-based attorney, according to Vox. The allegations have ranged from election meddling to lying to the FBI to bank fraud.

Among the individuals swept up in the probe include former Trump campaign foreign policy adviser George Papadopoulos, former campaign chairman Paul Manafort, former campaign aide Rick Gates, former national security adviser Michael Flynn, Trump’s former personal lawyer Michael Cohen and, most recently, Trump’s longtime adviser Roger Stone.

Photo credit: Drew Angerer/Getty Images

NEW YORK, NY — Federal health officials have issued a nationwide recall of a birth control tablet over a packaging error that could mistakenly lead women to not take a tablet or take a placebo. Apotex Corp. voluntarily recalled four lots of Drospirenone and Ethinyl Estradiol Tablets, USP, the U.S. Food and Drug Administration announced Monday. The tablets were shipped to wholesalers and distributors across the country.

The packaging could have “defective blisters” with incorrect tablet arrangements or an empty “blister pocket,” the recall notice stated. The packaging error could lead to the tablets losing their effectiveness because the dosage changed.

There have been no reported pregnancies or adverse effects, the recall stated. Individuals who received the affected packages should contact their pharmacy and consult with their healthcare provider. Just as importantly, these individuals should not interrupt their therapy or use non-hormonal birth control methods.

The affected tablets can be identified by NDC numbers stated on the inner and outer cartons:

Outer: 60505-4183-3

Inner: 60505-4183-1

Affected wholesalers and distributors received a notice in the mail about the recall. Apotex, based in Weston, Florida, is arranging to have the affected tablets returned.

The pills in the inner carton are arranged as 21 active yellow tablets followed by seven white placebo pills.

Les femmes souffrant de maladie cœliaque auraient un risque supérieur aux autres de présenter des troubles de la fertilité, de faire des fausses-couches ou d’accoucher prématurément, selon une nouvelle étude publiée sur le site Internet de la revue spécialisée Annals of Gastroenterology.

La maladie cœliaque est-elle responsable des cas d'infertilité de fausse-couche ou de prématurité inexpliqués ?

Sommaire

  1. Fausse-couche et prématurité plus fréquentes chez les femmes atteintes de maladie cœliaque
  2. Tester les femmes ayant des difficultés à mener à terme leur grossesse

La

maladie cœliaque est un 

syndrome de malabsorption dû à une intolérance à une fraction du gluten : la gliadine. Les symptômes dus à cette véritable intolérance au gluten sont très divers : diarrhée graisseuse (

stéatorrhée),

asthénie (fatigue), troubles du caractère, anorexie (perte de l’appétit), amaigrissement,

douleurs abdominales,

ballonnement abdominal, nausées, vomissements,

tétanie, douleurs osseuses, œdèmes,

pigmentation cutanée, glossite (

inflammation de la langue), aphtes buccaux… Le seul traitement efficace est la mise au régime sans gluten : les symptômes disparaissent alors en quelques semaines ou quelques mois.

Fausse-couche et prématurité plus fréquentes chez les femmes atteintes de maladie cœliaqueDe nombreux travaux de recherche ont porté sur le lien éventuel entre maladie cœliaque d’une part, et troubles de la fertilité,

accouchements prématurés ou

fausses-couches d’autre part, mais avec des résultats contradictoires.

Le Dr Stephanie Moleski, chercheuse à l’hôpital universitaire Thomas Jefferson de Philadephie, ont mené une étude auprès de 329 femmes atteintes de maladie cœliaque, et dont le diagnostic avait été confirmé par biopsie, ainsi que 641 femmes sans problème de tolérance au gluten. A l’aide d’un questionnaire en ligne, ils leur ont posé diverses questions de santé, allant de l’âge de leurs premières règles au nombre de grossesses qu’elles avaient eues en passant par les circonstances de leurs accouchements.Si les chercheurs n’ont observé aucune différence statistique en termes de nombre de grossesses entre les deux groupes, ils ont constaté que les femmes atteintes de maladie cœliaque menaient moins souvent que les autres leur grossesse à terme : soit elles faisaient une fausse-couche (dans la moitié des cas contre 40 % des femmes en bonne santé), soit elles accouchaient prématurément (1 femme malade sur 4, contre environ 16 % parmi les autres).Tester les femmes ayant des difficultés à mener à terme leur grossessePour l’auteur principale de l’étude, les femmes qui n’arrivent pas à être enceintes ou ne mènent aucune de leur grossesse à terme devraient vérifier si elles ne souffrent pas de maladie cœliaque. “Chez les patients atteintes de maladie cœliaque, la fausse-couche a été associée à un déficit en zinc, sélénium, fer et acide folique, indique-t-elle. Lorsque je vois des patientes qui ont eu des problèmes de fertilité ou pendant leur grossesse, je trouve légitime de rechercher si elles souffrent de maladie cœliaque“.Pour le Dr Govind Makharia, professeur de gastroentérologie et nutrition à New Delhi, l’étude ne permet pas de comprendre le mécanisme expliquant ce lien. Par conséquent, elle estime que “l’association entre l’infertilité, la fausse-couche, l’accouchement prématuré et la maladie cœliaque est conjoncturelle et en aucun cas définitive“. Elle rappelle que si la maladie cœliaque peut être une cause, d’autres causes sont plus probables. Pour autant, elle rejoint les auteurs de l’étude qui suggèrent de rechercher cette pathologie chez les femmes présentant des troubles de la fertilité ou victimes de fausses-couches ou d’accouchements prématurés à répétition, une démarche non-invasive et peu coûteuse.

Le Haut Conseil de la santé publique reconsidère sa position et suspend sa recommandation de vaccination des nourrissons contre les gastroentérites à rotavirus en population générale, dans un avis mis en ligne le 7mai.

La vaccination des nourrissons contre les gastroentérites à rotavirus est désormais déconseillée.

Trop d’effets indésirables (invaginations intestinales aiguës, décès) auront eu raison des recommandations émises en novembre 2013 par le HCSP en faveur d’une vaccination des bébés contre les infections à rotavirus. Un suivi renforcé de pharmacovigilance a en effet fait état de situations très graves, “dont on ne peut exclure [qu’elles] se reproduisent“, indique le HCSP dans son avis afin de justifier sa décision.Le HCSP précise par ailleurs qu’aucun autre facteur de comorbidité ou facteur de risque environnemental n’a été identifié dans les pays industrialisés ; il n’est donc pas possible de déterminer une population de bébés à risque pour lesquels les avantages de la vaccination seraient supérieurs aux risques. “Ceci ne permet donc pas de proposer une stratégie de vaccination sélective, ciblée sur certains nourrissons“, traduit le HCSP.Il rappelle que “si cette vaccination est pratiquée à titre individuel et dans le cadre de son autorisation de mise sur le marché (AMM), le médecin doit informer la famille de l’enfant vacciné du risque d’invagination intestinale aiguë et des manifestations cliniques devant motiver une consultation en urgence“. Il s’agit principalement de

douleurs abdominales, pleurs répétés et inhabituels de l’enfant, 

vomissements, présence de sang dans les selles, 

ballonnements abdominaux  et/ou

fièvre élevée.Le 31 mars dernier, l’Agence nationale de santé du médicament lançait une circulaire et une lettre aux professionnels de santé afin de les sensibiliser à ces risques. Une réaction jugée tardive et survenant étonnamment la veille de la parution d’un numéro du Canard enchaîné révélant que deux bébés étaient décédés d’une invagination intestinale après avoir été vaccinés contre la gastro, en 2012 et 2014 (lire notre article “

Vaccins contre la gastro : des complications graves et parfois mortelles“)…Amélie PelletierSource : “

Infections à rotavirus : suspension des recommandations de vaccination des nourrissons“, Avis du Haut Conseil de santé publique, 7 mai 2015.Click Here: Rugby league Jerseys