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Cara Delevingne, le nouveau visage de Rimmel

April 17, 2020 | News | No Comments

Le modèle anglais devient l’ambassadrice de la marque de cosmétique Rimmel, annonce le site WWD.

Cara Delevingne devient l'ambassadrice de Rimmel.

Après Kate Moss, Georgia May Jagger et Rita Ora, Rimmel a jeté son dévolu sur Cara Delevingne. La Britannique, déjà choisie par Saint-Laurent, apparaîtra dans la prochaine campagne publicitaire attendue fin 2016. Une annonce officielle devrait être faite ce mercredi 13 avril, selon le site spécialisé.Une conférence via Snapchat sera organisée le 15 avril par la marque. Des questions peuvent d’ores et déjà être envoyées à Cara Delevingne, avec le hashtag #RimmelxCara. L’égérie répondra à quelques questions en live.Le modèle, qui a récemment entamé une carrière d’actrice, sera cet été au casting de “Suicide Squad“ et l’année prochaine dans “Valerian“ de Luc Besson.AFP/RelaxnewsClick Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Une thérapie qui conjugue médicaments contre la démence et approche personnalisée (programme diététique, sommeil, activité physique, stimulation cérébrale) pourrait avoir un effet positif sur la perte de mémoire provoquée par Alzheimer. Selon des chercheurs, le déclin cognitif lié à cette maladie serait donc réversible.

La perte de mémoire liée à la maladie d'Alzheimer serait réversible grâce à une combo-thérapie.

Les auteurs de l’étude, publiée dans la revue Aging, ont intégré 10 patients atteints d’Alzheimer ou de déficience cognitive légère à un nouveau programme pour traiter la maladie. Ce dernier mêle prise de médicaments et de vitamines pour traiter la démence, activité physique, stimulation cérébrale et changements dans l’hygiène de vie (alimentation et sommeil).
Chaque participant a bénéficié d’une approche personnalisée. Le traitement a duré entre 5 et 24 mois, selon les patients.Les patients ont recouvré la mémoireLes résultats de l’étude indiquent que tous les patients traités grâce à cette méthode ont vu leur mémoire s’améliorer. Après le traitement, certains ont même pu réaliser des tâches qu’ils n’étaient auparavant plus capables de faire à cause de la maladie.”C’est la première fois que l’on observe des progrès aussi importants. Cette étude prouve que cette approche programmatique personnalisée est très efficace pour lutter contre le déclin cognitif ” explique le chercheur Dale Bredesen, qui a dirigé ces travaux.Alzheimer : la combo-thérapie plus efficace que les traitements classiquesIl s’agit, en effet, du premier essai clinique qui démontre que la perte de mémoire peut être réversible. Selon les chercheurs, les effets de la maladie d’Alzheimer ne sont pas les mêmes pour chaque patient. Il est donc nécessaire d’avoir une approche personnalisée pour la traiter efficacement. Bredesen et ses collègues indiquent que les combo-thérapies ont déjà fait leurs preuves sur d’autres maladies telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et le sida.”Combiner traitement médicamenteux et changements dans l’hygiène de vie est de loin la meilleure façon de traiter Alzheimer”, concluent les chercheurs.Plusieurs études ont, par ailleurs, prouvé qu’avoir un mode de vie sain pouvait réduire le risque de souffrir de la maladie d’Alzheimer. Pour maintenir une

bonne santé cognitive, les spécialistes conseillent d’adopter de bonnes habitudes alimentaires et de faire du sport.D’autres études ont également montré qu’il existait un lien entre

santé cardiovasculaire et risque de démence. Or, avoir une bonne hygiène de vie protège des maladies du cœur.

Pour combattre le surpoids et l’obésité, qui favorisent de nombreuses maladies (diabète, cancers, maladies cardiovasculaires…), des experts recommandent de mieux protéger les enfants du marketing en faveur des "produits de mauvaise qualité nutritionnelle".

Des experts recommandent de mieux protéger les enfants du marketing en faveur des "produits de mauvaise qualité nutritionnelle". ©kate_sept2004/Istock.com

Un groupe d’experts, réuni par l’Inserm, vise en particulier les plages horaires visionnées par un grand nombre d’enfants, au-delà des seuls programmes jeunesse. Interdire certaines techniques de marketingIls suggèrent également dans un ouvrage titré “Agir sur les comportements nutritionnels”, publié mardi, “d’interdire le recours à des techniques dotées d’un pouvoir de persuasion particulièrement fort, comme l’utilisation de porte-parole de marque (sportif, chanteur, etc.)”.Pas de promotion dans les média les plus plébiscités par les enfantsComme les restrictions de la loi actuelle ne visent qu’un petit nombre de médias, voire exclusivement la télévision, le groupe d’experts propose de “limiter” également le marketing sur des supports de plus en plus plébiscités par les enfants (internet, réseaux sociaux, applications mobiles…). Faire passer des messages sanitairesEn revanche, il préconise de “se servir des méthodes du marketing qui marchent très bien auprès des enfants, en utilisant des personnages de dessin animé ou des personnalités qu’ils apprécient pour faire passer des messages sanitaires” sur tous les supports (web vidéos, jeux sur mobile et tablettes, fenêtres pop-up…), relève Laurent Fleury, responsable des expertises Inserm.La pub supprimée de la télé en 2018Une loi adoptée en 2016 prévoit de supprimer la publicité dans les programmes pour enfants de France Télévisions – y compris sur ses sites internet – à partir de 2018, ainsi que quinze minutes avant et après leur diffusion.L’ouvrage s’intéresse aussi aux adultes et, plus généralement, aux moyens d’améliorer les messages sanitaires dans un contexte d’obésité en hausse en France. Un taux d’obésité importantDéjà parmi les adultes, 7 millions sont obèses et environ un tiers en surpoids. Les taux d’

obésité et de surpoids  des enfants se situent respectivement à environ 8 % et 20 %.Des messages sanitaires de moins en moins écoutésPour faire face à cette tendance, des messages sanitaires (éviter de grignoter, de manger trop gras…) ont été imposés en 2007 dans les publicités en faveur de produits industriels à la télévision, la radio ou par affichage publicitaire. Mais au fil du temps, ils attirent moins l’attention et sont parfois perçus comme une caution des produits vantés par la publicité.Jouer sur l’interactif et évaluerLes experts avancent une série de propositions : jouer sur l’interactif (jeux, quizz…), s’adapter aux différents publics plus ou moins éduqués, donner des repères qui illustrent les notions de “trop gras, trop sucré”.Ils insistent sur la nécessité d’évaluer systématiquement les stratégies de communication avant de les lancer, par exemple par des expérimentations en entreprises, restaurants, supermarchés. Ces évaluations devront dépendre entièrement d'”équipes indépendantes de l’industrie agroalimentaire”.Click Here: West Coast Eagles Guernsey

AURORA, IL — Nearly eight years after 6-year-old Timmothy Pitzen vanished and his mother was found dead in a Rockford motel room, Aurora police and the FBI are reportedly investigating a possible break in the case. The FBI confirmed to the Chicago Tribune that it is working with police agencies, including the Aurora Police Department, to determine if a boy found Wednesday in Kentucky is Pitzen, and authorities say the investigation has since led them to Cincinnati.

Aurora police have now sent two detectives to Ohio as part of the investigation, according to the Chicago Tribune.

“We still have no confirmation of the identity of the person located, but hope to have something later this afternoon or early this evening,” Aurora police said Thursday morning. “Our primary focus here is in assisting the FBI in their investigation, and provide information from our missing person case involving Timmothy Pitzen, should this prove to be him. Unless or until his identity is confirmed, we have no official statement at this time.”

A teenage boy reportedly told police he is Timmothy Pitzen and that he escaped his captors in Ohio and ran across a bridge into Kentucky, according to Cincinnati.com.

Six-year-old Timmothy was last seen on May 13, 2011, with his mother, Amy Fry-Pitzen, on surveillance camera footage at the Kalahari Resort in the Wisconsin Dells.

Amy Fry-Pitzen was later found dead in a Rockford hotel room after having apparently taken her own life. Fry-Pitzen left behind a suicide note saying Timmothy was safe with someone who would take care of him, adding, “You will never find him.”

Where Is Timmothy Pitzen? Aurora Boy Vanished 6 Years Ago

Timmothy has been missing ever since — but police in Newport, Kentucky, said a 14-year-old boy found wandering Wednesday told officers he been kidnapped years ago and that his name is Timmothy Pitzen, according to CBS affiliate WKRC-TV. Police were reportedly called because the boy looked out of place.

Timmothy Pitzen would be 14 years old now.

Aurora police spokesman Sgt. Bill Rowley told the Chicago Tribune that the department receives thousands of tips on the Pitzen case each day.

“We have no idea if this is Timmothy Pitzen,” Rowley said. “We don’t know if it’s a hoax. Obviously, everyone’s hopeful, but we have to be super judicious.”

An FBI spokesman in Louisville, Kentucky, said the agency is working with Cincinnati and Newport police, the Hamilton County, Ohio, sheriff’s office and Aurora police. Sharonville, Ohio, police said they were sent to a local Red Roof Inn Tuesday morning to look for possible abduction suspects but did not find anyone, according to the Tribune.

Prior to her suicide, Fry-Pitzen pulled Timmothy out of class at Greenman Elementary School on Aurora’s West Side on the morning of May 11, 2011. Police at the time said the mother and son spent an afternoon at the Brookfield Zoo before checking into Key Lime Cove in Gurnee, then headed to the Kalahari Resort — the last place Timmothy was seen.

In 2011, police said Amy Fry-Pitzen and husband Jim Pitzen were married and living together but “there were signs of marital strife” and her departure wasn’t unusual, according to the Rockford Register Star.

Based on Fry-Pitzen’s cell phone records, police believe she and Timmothy were in the Sterling area between noon and 1:30 p.m. on Friday, May 13, two days after Timmothy was pulled out of school. The mother made several phone calls to friends and relatives indicating that she and Timmothy were OK, and a relative was able to speak to the boy on the phone at around 1:30 p.m., according to police.

Fry-Pitzen was seen alone around 8 p.m. on May 13 at a grocery store in Winnebago, and Timmothy wasn’t with her when she checked into the Rockford Inn around 11:30 p.m. that night, the Register Star reported.

Fry-Pitzen’s body was found at around 12:30 p.m. the next day, dead of an apparent suicide with slashes to her wrists and neck. Her vehicle, a 2004 Ford Expedition, was in the motel parking lot.

This is not the first time police have received a tip from someone who believed they had spotted Timmothy alive.

Since 2011, leads on the boy’s whereabouts have turned up little. But in 2014, on the same day an age-progressed photo of Timmothy was released, a Winnebago County woman claimed to have seen him at a garage sale, according to NBC Chicago. That lead didn’t pan out, nor did a 2015 tip that a child living in Orlando, Florida, looked just like little Timmothy.

This story is developing. Check back for updates.

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More than 300 people saw a possible meteor zipping across the New Jersey sky and along the East Coast on Tuesday night (see videos below).

Videos captured the possible meteor as it crossed roads and towns and apparently burst into a fireball around 10:57 p.m. on Tueday.

The American Meteor Society said it recieved 325 reports about a meteor/fireball seen over New Jersey, Washington DC, Delaware, Maine, Maryland, North Carolina, New Hampshire, Pennsylvania, South Carolina, Virginia, Vermont and West Virginia.

A number of people in Egg Harbor Township said they saw a bright flash across the sky, NJ.com reported, and Cape May County residents reported houses shaking as the possible meteor zipped by.

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On connaît les méfaits du tabac sur la santé, des chercheurs américains révèlent aujourd’hui son effet sur le chômage. Selon leurs résultats, les fumeurs auraient plus de mal à se faire embaucher que les non-fumeurs et resteraient de ce fait nettement plus longtemps sans emploi.Et quand ils trouvent un emploi, les fumeurs gagneraient moins que les personnes qui ne fument pas.

Douze mois après le début de l'enquête, seulement 27% des fumeurs avaient trouvé un emploi comparativement à 56% pour les non-fumeurs.

Les fumeurs retrouveraient plus difficilement un emploiPour éclaircir le lien entre

cigarette et chômage prolongé, ces chercheurs ont interrogé 131 fumeurs au chômage et à la recherche d’un emploi et 120 autres personnes, également au chômage, mais qui ne fumaient pas au début de cette étude. Ils les ont de nouveau interrogés six mois et un an après. 

Nous avons constaté que les fumeurs avaient beaucoup plus de mal à trouver un emploi que les non-fumeurs“, a souligné Judith Prochaska, professeur adjointe de médecine à Stanford, principal auteur de ces travaux.Douze mois après le début de l’enquête, seulement 27% des fumeurs avaient trouvé un emploi comparativement à 56% pour les non-fumeurs. Ceux des fumeurs qui avaient retrouvé du travail, gagnaient en moyenne cinq dollars de moins de l’heure.Le tabagisme : la cause ou la conséquence du chômage ?Si des recherches ont déjà montré un lien entre

tabagisme et chômage aux Etats-Unis comme en Europe, le lien de causalité est difficile à établir. Le fait de fumer est-il la cause ou la conséquence du fait d’être chômeur, souligne le Dr Judith Prochaska, professeur adjointe de médecine à Stanford, principal auteur de ces travaux.  “On ne sait pas si les fumeurs ont plus de mal à trouver du travail ou s’ils courent un plus grand risque de perdre leur emploi ou si des non-fumeurs, qui perdent leur emploi deviennent stressés et commencent alors à fumer“, explique-t-elle.La distinction entre fumeurs et non fumeurs a été basée sur des questionnaire et un test respiratoire en mesurant le monoxyde de carbone (cela permet de déterminer l’intensité avec laquelle une personne fume). Néanmoins, les fumeurs et les non-fumeurs différaient en de nombreux points. Les fumeurs étaient ainsi en moyenne plus jeunes, d’un niveau d’éducation moins élevé et dans un moins bon état de santé que les non-fumeurs. Les auteurs ont utilisé différentes corrections pour tenter de corriger ces variables et isoler le seul effet du tabagisme. Selon leurs résultats, le tabagisme représentait toujours un désavantage : après un an, la reprise du travail était de 24% inférieur chez les fumeurs.Les auteurs poursuivent leur recherche en suivant 360 chômeurs, sans emploi depuis moins de 2 ans, dont la moitié serait suivi une aide spécifique pour arrêter de fumer et l’autre moitié de simples conseils brefs avec le numéro d’une aide en ligne pour un sevrage tabagique. Leur hypothèse est que ceux qui auront réussi à arrêter de fumer trouveraient plus facilement un emploi.Avec AFP/RelaxnewsSource : Likelihood of Unemployed Smokers vs Nonsmokers Attaining Reemployment in a One-Year Observational Study – Judith J. Prochaska et al. – JAMA Intern Med. Published online April 11, 2016 (

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A l’instar de la Grande-Bretagne, la France se prépare à lancer en novembre son premier mois sans tabac, selon le directeur général de Santé publique France, la nouvelle agence nationale de santé publique.

La France lance pour la première fois le "mois sans tabac" en novembre 2016. L'idée est d'inciter les fumeurs à arrêter le tabac pendant 28 jours.

Multiplier les chances d’arrêter par cinq“L’idée est d’inciter les fumeurs à arrêter de fumer pendant 28 jours afin de multiplier leurs chances d’arrêter de fumer par cinq“, a indiqué François Bourdillon.Il précise que l’opération intitulée “moi(s) sans tabac” “sera “la première grande expérience de marketing social“, une sorte de “Téléthon du tabac” qui mobilisera notamment Tabac Info Service, un dispositif d’information et d’aide à l’arrêt du tabac qui existe depuis 1998.Ce

dispositif a déjà fait ses preuves grâce notamment à un système de coaching par e-mail qui a permis à 29 % de ceux qui en ont bénéficié de devenir non fumeurs en l’espace de six mois, selon M. Bourdillon.L’opération “moi(s) sans tabac”, précise-t-il, sera notamment relayée par des campagnes à la radio et à la télévision ainsi que par la mobilisation de partenaires comme la Ligue contre le cancer, Pôle emploi ou encore Orange.Une opération qui a fait ses preuves en Grande-BretagneLe nombre de fumeurs qui ont décidé d’arrêter a considérablement augmenté en Grande-Bretagne depuis le lancement en 2012 de l’opération Stopover, qui encourage les Britanniques à cesser de fumer pendant le mois d’octobre.Les fumeurs ne sont aujourd’hui plus que 18 % de la population âgée de plus de 15 ans contre près d’un tiers en France, un des mauvais élèves européens.Plus de 70 000 décès sont attribués chaque année au tabac en France, où un programme de lutte contre le tabagisme a été lancé par le ministère de la santé, prévoyant notamment que les buralistes ne pourront plus vendre que des paquets de cigarettes neutre, sans logo ni couleur spécifique, à partir du 1er janvier 2017.Des campagnes spécifiques à destination des femmesAu-delà de la lutte contre le

tabagisme, la nouvelle agence de santé publique entend lancer à l’automne des campagnes spécifiques à destination des femmes : une pour les encourager à avoir une activité physique et prévenir ainsi les

maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez les femmes, et une autre préconisant l’absence de consommation d’

alcool pendant la grossesse, précise M. Bourdillon.L’agence Santé publique France a été mise en place formellement le 1er mai avec l’objectif de devenir un centre de référence, capable d’intervenir sur l’ensemble du champ de la santé publique.Elle reprend les missions et les compétences des trois agences sanitaires: l’Institut de veille sanitaire (InVS), l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) et l’Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Eprus). AFP/Relaxnews

Avis médical en ligne, téléconsultation, télémédecine… Le développement de la pratique de la médecine à distance continue et les offres se diversifient avec, comme préoccupation centrale, le patient et sa qualité de vie. Lors du premier jour de l’édition 2016 de Doctors 2.0 & You, une session a été consacré à cet aspect de la e-santé, avec 3 exemples mis en avant.

Le développement de la pratique de la médecine à distance continue et les offres se diversifient.

De nombreuses conférences et échanges ont lieu lors de la édition 2016 de Doctors 2.0 & You les 26 et 27 mai à Paris pour répondre et débattre sur les dernières avancées en matière de e-santé. Applications, serious games, sécurité des données, objets connectés, stimulation et réalité virtuelle… Tout au long de cet évènement, la place centrale du patient mais aussi de la prévention  est soulignée. Car la santé digitale doit avant tout contribuer à améliorer le quotidien des patients. Nous vous présentons ici trois exemples concrets de la pratique de la médecine à distance présentés au cours d’une des sessions de cet évènement.Un deuxième avis médical en ligneDéveloppé depuis 3 ans et mis en ligne en décembre 2015, le site

Deuxiemeavis.fr propose de vous donner un deuxième avis médical par un médecin expert. Dans ce site, vous pouvez remplir un questionnaire sur votre maladie et le diagnostic, télécharger votre dossier médical et, moyennant un paiement de 295 €, obtenir cet avis dans un délai maximum 7 jours.

Lors de son lancement, le site avait été critiqué par des médecins et par le CNOM (Conseil national de l’ordre des pharmaciens) qui dénonçait une “ubérisation” de la médecine. Le prix du service était également critiqué, d’autant qu’il n’est pas pris en charge par l’Assurance maladie ni les mutuelles. Mais après 5 mois d’existence, Pauline d’Orgeval, une des initiatrices du site précise qu’il compte avec 80 médecins et 200 pathologies graves référencées. Durant ces 5 mois, plus de 500 comptes ont été ouverts avec des centaines de messages échangés. Quant au profil des utilisateurs, Pauline d’Orgeval précise qu’il s’agit essentiellement de personnes vivant dans des déserts médicaux, des malades étrangers, des personnes avec des problèmes de mobilité ou ayant besoin d’un avis rapide.La co-fondatrice du site insiste sur le caractère uniquement consultatif du site (il n’y a pas de prise en charge), la transparence de l’information et la sécurisation des données, essentielle car l’usager doit transmettre son dossier médical en entier pour bénéficier d’un deuxième avis qui “n’est donné qu’aux personnes souffrant de maladies graves, avec la possibilité d’informer ou faire intervenir le médecin traitant ou l’équipe qui suit le malade et qui a émis le premier avis“.Depuis son lancement, le site a obtenu l’autorisation de la CNIL. Un modèle économique reste à trouver qui, idéalement, serait la couverture des frais par les mutuelles. Enfin, en France, un deuxième avis est parfaitement légal et, bien qu’encadré par les prescriptions déontologiques du Conseil National de l’Ordre des Médecins (Code de déontologie médicale et Vade-mecum télémédecine de 2014), le droit à un deuxième avis n’est pas expressément établi par la loi. Pour Pauline d’Orgeval, “en plus de s’intégrer dans un contexte législatif de plus en plus favorable aux droits des patients et à l’accès au soin, deuxiemeavis.fr s’inscrit dans un mouvement plus général de modernisation et de démocratisation du système de santé que l’on observe déjà à l’étranger. C’est cette prise de conscience du “retard” français qui fonde le soutien de nombreux médecins français au projet du site deuxiemeavis.fr“.DrEd, un exemple de téléconsultation basée au Royaume-UniDrEd se présente comme le leader de la

téléconsultation en Europe. Crée à Londres en 2011, le site compte avec une équipe de 11 médecins et 4 pharmaciens permanents dans ses locaux mais il est également épaulé par des médecins externes. “Présent dans 5 pays, notre crédo est d’allier la technologie numérique et l’expertise médicale“, déclare Roxane Ferrand, qui dirige le service que DrEd va lancer en France cet été.Le mode de fonctionnement du site est simple et intuitif : le patient se connecte, remplit un questionnaire, règle la consultation. Ensuite, le médecin ayant pris en charge le dossier pose, si besoin, des questions complémentaires en ligne au patient et fait ou non une prescription médicamenteuse en ligne. Sur ce point, Roxane Ferrand précise : “”au Royaume-Uni, tout comme en France, la prescription en ligne est autorisé. Cependant, en France la vente en ligne de médicaments sur prescription médicale obligatoire est pour l’instant interdite.Dans ces cas, le médecin envoie la prescription à une pharmacie à proximité du domicile du patient, qui peut ensuite aller chercher ses médicaments en officine“. Les consultations concernent des maladies dites “courantes”, et pour lesquelles la consultation physique n’est pas indispensable. Si besoin, le médecin en ligne oriente le patient vers une consultation chez son médecin ou un spécialiste en face à face.Outre les consultations, le site propose également un service de prévention et de dépistage. Ainsi la consultation pourra aboutir à des conseils et à la prescription d’un autotest de dépistage d’une pathologie pour laquelle ce type de test existe. Pour tous ces actes, les recommandations officielles des autorités de santé sont respectées. Le site DrEd a réalisé 300 000 consultations en 2015 et le nombre de consultations est en progression constante. Le coût de la consultation sur ce siet est de 23 €, non remboursés.En France, un site de téléconsultation sera lancé l’été 2016 par la même société, et sera axé sur la santé sexuelle au début, car les restrictions réglementaires dans notre pays sont très strictes. Le site qui dans sa version française portera le nom de ZAVA commencera donc avec une activité de conseil pour la réalisation d’autotests de dépistage. L’adresse du site sera

www.zavamed.com La société est d’ores et déjà en contact avec des associations de lutte contre les

maladies sexuellement transmissibles  pour la mise en place du dispositif. L’évolution du site français se fera en fonction des demandes et dans le respect de la réglementation. Roxane Ferrand précise “nous sommes conscients que la France bénéficie d’un système de santé très performant. Notre but n’est pas de nous substituer aux médecins mais de proposer un outil complémentaire aux patients qui, selon certaines contraintes, préfèrent contacter un professionnel de santé dans l’immédiat“.La télémédecine continue son déploiement et activités en FranceLe Pr Thierry Moulin, neurologue et Président de la

Société Française de Télémédecine , a rappelé que dans notre pays, il existe des inégalités de répartition des personnels de santé et cela dans pratiquement toutes les spécialités. L’enjeu de la

télémédecine est donc de répondre à la demande au niveau des territoires isolés, d’améliorer l’accès aux soins, de diffuser les connaissances à la fois aux patients et aux médecins et de développer des compétences entre les différentes spécialités.Pour le Pr Moulin, “aujourd’hui et demain, l’inventivité dans le domaine de la santé connecté n’a et n’aura plus de limites, ce qui permettra de développer une télémédecine performante et structurée, même si le cadre juridique et le modèle économique restent à affiner“. Le spécialiste rappelle également qu’il faut distinguer les différents types de la

e-santé  et en particulier les actes médicaux possibles en télémédecine :1- La téléconsultation. C’est une consultation à distance réalisée en temps réel, en présence ou non d’un autre professionnel de santé. Le médecin pose le diagnostic à distance.2- La téléexpertise. Un médecin peut poser un ou des avis à un ou plusieurs confrères pour la prise en charge d’un patient.3- La télésurveillance médicale, rend possible la surveillance à distance des données d’un patient, leur enregistrement et transmission. Cette transmission peut être automatisés ou réalisées par le patient lui-même ou par le professionnel de santé.4- La téléassistance médicale. Un médecin assiste à distance un autre au cours de la réalisation d’un acte.5- Le téléconseil, pour assurer une information médicale de qualité par des professionnels de santé et sans publicité.Pour parvenir à une coordination du parcours de soin dans la télémédecine, il est nécessaire de développer une coopération entre des professionnels médicaux en non médicaux. Deux aspects majeurs dans la pratique de la télémédecine sont essentiels, la formalisation et la contractualisation, selon l’expert. En outre, les liaisons entre établissements doivent être standardisés, en mettant  au cœur de leurs activités le bien-être du patient mais aussi sa responsabilisation, pour qu’il devienne acteur de sa propre santé, tout en conservant l’aspect humain, psychologique, social et culturel. “Ce n’est pas parce que l’on fait une consultation à distance que l’aspect humain doit être laissé de côté“, insiste le Pr Moulin.Enfin, pour le spécialiste, des progrès ont été faits en matière de télémédecine en France, notamment en neurologie et en particulier dans la prise en charge des

accidents vasculaires cérébraux, avec le développement de la

thrombolyse à distance et l’émission de recommandations dans ce domaine. Cependant, il reste encore du chemin à faire notamment la réglementation et la rémunération des actes. Par ailleurs, selon le spécialiste, il serait intéressant d’évaluer précisément le service médical rendu (SMR) de la télémédecine, notamment en utilisant comme critère principal la qualité de vie des patients après les actes réalisés.Click Here: camisetas de futbol baratas

Le fait d’envisager l’avenir de manière positive et optimiste pourrait réduire la dégradation de la mémoire et du jugement, à en croire une nouvelle étude américaine.

En prenant la vie du bon côté le seniors peuvent aussi faire reculer les troubles cognitifs.

Des recherches précédentes ont déjà montré que l’adoption de comportements positifs envers sa santé, comme par exemple le fait de faire de l’exercice ou de manger équilibré, était liée à un risque moindre de contracter différentes maladies, notamment les crises cardiaques et les

AVC.Mais cette nouvelle étude, menée par des chercheurs de l’université du Michigan, se présente comme la première à s’intéresser directement à la relation entre optimisme et santé cognitive, chez les adultes de 65 ans et plus.Alors que le nombre d’Américains souffrant de troubles cognitifs et de démence devrait passer de 5,1 millions en 2015 à 13,8 millions d’ici à 2050, et que le coût de cette prise en charge devrait exploser pendant cette période, les chercheurs pensent que c’est un domaine sur lequel il est important de se pencher.A partir de données émanant d’un sondage national financé par le National Institute on Aging, les scientifiques ont pris en compte 4624 participants qu’ils ont suivis sur quatre années.Au cours de l’étude, 502 participants ont développé des troubles cognitifs, qui se manifestent par des symptômes comme la perte de

mémoire, les difficultés à résoudre des problèmes et à prendre les bonnes décisions.Les chercheurs ont cependant remarqué qu’après avoir pris en compte divers comportements, certains facteurs biologiques et variables psychologiques, plus les sujets étaient optimistes et plus le risque de développer des troubles cognitifs reculait.Mais les personnes plutôt pessimistes ne sont pas en reste, l’équipe a commenté que des études précédentes avaient montré que le sentiment d’optimisme pouvait augmenter, avec notamment de simples exercices d’écriture. A ce sujet, l’un des auteurs de l’étude a commenté, que “l’optimisme pourrait être une cible originale et prometteuse des stratégies de prévention et d’intervention visant à améliorer la santé cognitive.”Click Here: Golf special

Chez les personnes séropositives, la prise quotidienne d’antirétroviraux permet de maintenir le VIH à des niveaux indétectables. Mais à cause des effets secondaires et de la contrainte d’une prise quotidienne, plusieurs études évaluent l’impact d’un allègement du traitement. Des données françaises semblent confirmer la possibilité de réduire les prises médicamenteuses à 4 par semaine.

Selon une étude française, il serait possible de réduire les prises d'antirétroviraux à 4 par semaine pour certains patients dont la charge virale est déjà indétectable.

Les résultats de cette étude de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS) ont été présentés lors de la 21ème Conférence internationale sur le SIDA (AIDS 2016), qui se tient du 18 au 22 Juillet, à Durban (Afrique du Sud).L’allègement de la trithérapie, un enjeu thérapeutique et financierAujourd’hui, les patients séropositifs doivent suivre quotidiennement leur traitement, 7 jours sur 7 sans exception. L’objectif est d’améliorer la qualité de vie des patients (en réduisant les effets secondaires), de diminuer les coûts des traitements (environ 1 000 euros par mois pour 100 000 personnes traitées en France) et d’améliorer l’acceptabilité et l’adhésion au traitement (avec par exemple la possibilité de ne pas avoir de prise le week-end). Dans le monde, plusieurs essais sont actuellement en cours.En France, l’étude ICCARRE, menée par le Pr Jacques Leibowitch du Service d’Infectiologie de l’hôpital de Garches a donné des résultats encourageants chez des patients dont la charge virale était indétectable et dont le traitement avait été réduit à 5 puis 4 jours par semaine, voire moins pour certains d’entre eux1,2.Pris 4 jours sur 7, la trithérapie reste efficaceAfin de confirmer ces données, l’Agence nationale de recherche sur le Sida (ANRS) a lancé en 2014 un essai baptisé ANRS 162-4D. Sous la responsabilité du Pr Christian Perronne de l’hôpital de Garches, une centaine de patients ont été recrutés dans plusieurs centres cliniques afin d’évaluer l’efficacité du traitement antirétroviral pris 4 jours consécutifs sur 7 à maintenir une charge virale indétectable (inférieure à 50 copies/mL).Les 100 patients inclus étaient traités par antirétroviraux en trithérapie depuis en moyenne cinq ans, et avaient une charge virale indétectable depuis quatre ans. Leurs combinaisons thérapeutiques comprenaient deux analogues nucléosidiques associés soit à un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse soit à une anti-protéase. Après un suivi de 48 semaines, les résultats3 montrent que :

  • 96 % des patients suivaient toujours le schéma 4/7 jours, avec une charge virale inférieure à 50 copies.
  • Seuls trois patients présentaient une charge virale de nouveau détectable à la 4e semaine de l’étude (S4), à S12 et S40 (respectivement 785 cp/mL, 124 cp/mL et 969 cp/mL). Chez ces patients, la charge virale est redescendue sous le seuil de détection avec le retour à un schéma de traitement 7/7jours et cela sans apparition de résistances.
  • Un patient a abandonné l’étude de sa propre initiative à S4.

Pas d’allègement sauvage du traitementL’ANRS a initié d’autres essais pour évaluer l’intérêt de réduire les doses de médicaments, ou le nombre de prises ou encore d’épargner des classes de molécules. Attention cependant à ne pas aller trop vite, ces données ne doivent pas inciter les patients à des “allègements sauvages” de leur trithérapie, ce qui potentiellement pourrait favoriser la résurgence du virus à des niveaux plus importants, voire la survenue de résistances (principale crainte des médecins qui, selon les données actuellement disponibles, semble cependant limitée). De plus, toutes ces études sont conduites chez des patients qui ont initialement suivi un traitement quotidien pendant plusieurs mois et ont de fait, une charge virale indétectable. D’autres essais menés sur une cohorte plus importante de patients, sur une durée plus longue et avec des antirétroviraux plus récents permettront de savoir si de nouvelles possibilités de prise en charge sont possibles. C’est l’objet de l’essai ANRS QUATUOR qui va être mené auprès de 640 patients recrutés.Selon le Pr Jean-François Delfraissy, Directeur de l’ANRS “Ces résultats nous encouragent à poursuivre nos objectifs d’améliorer la qualité de vie sous traitement et à répondre à une demande forte de certains patients de subir une moindre pression médicamenteuse”. Faut-il aujourd’hui recommander 4/7 jours en pratique courante ? “Seul un essai randomisé permettra d’approuver cette stratégie” ajoute-t-il. Actuellement, les recommandations internationales sont d’initier un traitement le plus tôt possible après la découverte de la séropositivité, quel que soit le niveau des lymphocytes CD4, et ce, de manière continue.Click Here: camiseta rosario central