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Il aura fallu attendre deux ans pour que les téléspectateurs français puissent découvrir en clair Scandal, mais leur patience est récompensée puisque M6 diffuse à partir de ce soir et pendant tout l’été les deux premières saisons de la série. Voici cinq bonnes raisons de découvrir les histoires d’Olivia Pope et ses gladiateurs.

1– Le scénario: Scandal se déroule à Washington, dans les coulisses de la Maison Blanche et met aux prises le président des Etats-Unis, son épouse, ses conseillers et Olivia Pope, spécialiste de la communication de crise qui dirige un cabinet d’experts, les fameux « gladiateurs en costume ». Une intrigue fil rouge, des histoires indépendantes, les épisodes avancent sur un rythme soutenu, sans temps mort.

2– Un House of Cards survitaminé: c’est la série idéale pour l’été, à suivre après une journée de plage, sans trop se prendre la tête. Montage percutant, dialogues enlevés, coups de théâtre, Scandal captive dès le premier épisode pour ne plus vous lâcher. La saison 1 comporte seulement sept épisodes, suffisant pour rendre le téléspectateur accro, mais M6 a la bonne idée d’enchaîner sur la deuxième, véritable feu d’artifice.

3– Les coulisses du pouvoir: Scandal explore les méandres du sommet de l’Etat et décortique les relations complexes entre politiques, conseillers, journalistes… Moins retors et complexe que la magnifique House of Cards, les intrigues n’en sont pas moins habilement construites et de haute volée.

4– Parce que Scandal sent le souffre comme son titre l’indique. Le sexe est omniprésent, que ce soit dans la relation entre Olivia Pope et le président des Etats-Unis, la plus forte et celle qui cimente toute la série, ou dans celles des différents protagonistes. Mieux qu’une saga d’été!

5– Et puis le meilleur pour la fin, Scandal ne serait pas Scandal sans son interprète principale Kerry Washington. L’actrice porte littéralement la série. Une présence, une voix, un sex appeal… cette sublime jeune femme, vue depuis dans Django Unchained, crève l’écran. Dans le privé, la jeune maman s’est fait remarquer par son extrême élégance. Sa grossesse a d’ailleurs conduit les scénaristes a écourté la saison 3, dont la diffusion s’est terminée en mai aux Etats-Unis. C’est dire son importance dans l’histoire. La bonne nouvelle c’est qu’une saison 4 est annoncée.

Après le train de vie du couple Copé, c’est au tour de Xavier Bertrand d’être épinglé. Les récentes révélations du JDD stipulent que le député-maire de Saint-Quentin a passé un réveillon, en famille, dans un Center Parcs aux frais de l’UMP.

Tout est parti d’une source anonyme citée par le Journal du Dimanche. Après les frais de transport de Nadia Copé pris en charge par l’UMP, c’est au tour de Xavier Bertrand d’intégrer la spirale infernale des scandales politico-médiatiques. L’élu est ainsi accusé d’avoir réveilloné dans un Center Parcs en famille aux frais de son parti, quand celui-ci était Secrétaire Général de l’UMP de 2008 à 2010.

Une source rapporte explicitement que, « du temps de Xavier Bertrand, la masse salariale était de 8 millions d’euros. Mais à l’époque on payait aussi le réveillon, au président et à sa famille… dans un Center Parcs ». Le parlementaire s’est d’abord défendu sur son compte Twitter, contestant « absolument les allégations rapportées par le JDD. Evidemment, jamais n’a été payé un quelconque réveillon à Center Parcs pour moi ou pour ma famille ». Il précise également que « Les frais incombant à l’UMP concernaient les personnes chargeés de la sécurité du secrétaire général ».

Xavier Bertrand commentait ce matin au micro de France Info les faits qui lui sont reprochés. Il se dit « écoeuré par ces calomnies ». Pour sa défense, il a apporté avec lui, lors de son arrivée dans le studio de radio, la facture de son séjour dans un Center Parcs. Une facture qui date du 16 décembre 2009, pour une réservation du 28 au 31 décembre 2009 que Xavier Bertrand a lui-même acquitté. Une somme de 649,60€ que le politique déclare avoir réglé lui-même le 21 décembre de la même année par carte bleue, puis débitée sur son compte personnel.

Propre et bien amidonné. Pour Mark Wahlberg, c’est un « extreme makeover », une incroyable métamorphose, tant au niveau des vêtements que de la personnalité. Ex-bad boy de Boston, lancé dans le show-business sous une casquette de rappeur, mais révélé aux yeux du monde entier grâce à une campagne très hot pour les sous-vêtements Calvin Klein, l’acteur assume ses quarante-trois ans, fêtés le 5 juin dernier, à l’écran comme à la ville. Exit les rôles de pornostar (Boogie Nights de Paul Thomas Anderson), de mafieux (Les infiltrés de Martin Scorsese) ou de fiancé buveur de bières et fumeur de joints (Ted de Seth MacFarlane). Dans le quatrième volet de la saga Transformers, le voilà… papa pas franchement cool !

Gala: Dans Transformers: l’âge de l’extinction, comme à votre habitude, vous donnez la réplique à une jolie blonde, mais cette fois vous incarnez son père. Une claque ?

Mark Wahlberg : Non, je n’ai pas peur de vieillir et étant moi-même papa de quatre enfants, l’idée de jouer un père m’a plu. Un père mal à l’aise à l’idée que sa fille ait un petit ami, en plus… Ce rôle m’était plus que familier : ma fille aînée, Ella Rae, fêtera ses onze ans en septembre…

Gala: Vous êtes, comme votre personnage, du genre jaloux et ultraprotecteur ?

M. W. : Je suis encore pire que ça ! (Il rit) J’ai été un vrai salopard avec les filles, plus jeune. Je connais les garçons. Aucun ne trouvera jamais grâce à mes yeux. Je ne souhaite même pas y penser. Personne ne brisera le cœur de ma fille !

Gala: Quel type de boyfriend étiez-vous donc ?

M. W. : Tout n’est pas racontable… J’ai tout fait pour séduire le père de ma première vraie petite amie. J’étais déjà pote avec son frère. Mais rien à faire, je n’étais vraiment pas le bienvenu chez eux. J’aurais pu grimper jusqu’à sa chambre avec une échelle, mais j’aurais pu me faire tirer dessus…

>Lire la critique de Transformers

Gala: Et vous voilà aujourd’hui dans le rôle du daddy pas cool !

M. W. : J’essaie de rester à l’écoute de mes enfants. Même en cas de litige, je m’efforce de trouver une solution. Tenez, l’autre jour, Michael, mon fils de huit ans, préférait participer à un match de football plutôt que de chanter à une messe importante avec sa chorale. Bon, il a eu du mal à le comprendre, mais je lui ai expliqué combien la foi m’avait servi de garde-fou au cours de ces vingt dernières années. Je pousse également mes enfants à être créatifs et à être prêts à beaucoup travailler pour réussir dans la vie. J’avoue que pour l’instant, je suis un peu la voix qui crie dans le désert…

Gala : N’avez-vous pas donné du fil à retordre à vos propres parents ?

M. W. : Oh la la, c’était le chaos à la maison ! (Sourire.) Mon père qui était vétéran de la guerre de Corée me racontait des histoires toujours plus abracadabrantesques à mesure qu’il buvait. Mes parents n’ont jamais été très religieux, qui plus est. Parfois, ils nous conseillaient d’aller à l’église, mais surtout pour que nous ne traînions pas dans la rue. Un ami nous prêtait une bible et nous rentrions à la maison comme si nous avions assisté à une messe, alors qu’il n’en était rien…

Gala : Votre paternité influence-t-elle vos choix d’acteur ?

M. W. : Disons que je suis devenu un peu plus prude. J’essaie de bien séparer ma vie professionnelle et ma vie de famille, mais il y a certaines scènes que je ne veux plus tourner maintenant que j’ai des enfants.

Gala : Dans le nouveau volet de la saga Transformers, vous incarnez un mécanicien. On vous imagine sans mal, les femmes surtout, à l’aise avec le cambouis.

M. W. : Je suis capable de réparer n’importe quelle voiture avec un ancien moteur. La première que j’ai conduite était une Coccinelle Volkswagen. J’avais tout juste quinze ans. Je venais de la racheter à un ami pour une cinquantaine de dollars seulement. Je faisais fièrement le tour du quartier au volant. Jusqu’au jour où la fourrière l’a embarquée.

Gala : Jeune homme, vous avez connu quelques démêlés avec les forces de l’ordre. Où en sont vos relations avec la police ?

M. W. : Je n’ai plus grand-chose à cacher. Avant, je regardais toujours derrière moi ! Je suis devenu un autre homme et, bien évidemment, j’adooore la police !

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Crédits photos : Photo credit: Andrew Cooper

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En août, François Hollande s’accordera quelques jours de vacances dans sa maison de Mougins; peut-être ira-t-il à La Lanterne à Versailles et finalement, le château de Berrac dans le Gers pourrait l’accueillir. C’est là, dans la propriété de ses parents, que Julie Gayet et ses fils séjourneront. En attendant son Président?

“Le seul évènement que je connaisse le 12 août c’est mon anniversaire. Pas besoin de ramener des dragées” aurait déclaré François Hollande lors d’une rencontre avec l’Association de la presse présidentielle. Une phrase qui vient répondre aux rumeurs d’une possible union prévue pour le début du mois prochain entre le chef de l’État et Julie Gayet.

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“Avec Julie, c’est du sérieux”. Cette autre petite phrase d’un fidèle du Président, court jusqu’en Corrèze, chef lieu de François Hollande. Le leader socialiste serait “un grand pudique” mais la lassitude de devoir se cacher pourrait l’emporter. Sans se marier, le couple pourrait officialiser en faisant une apparition lors d’une manifestation culturelle. L’occasion d’une photo en duo. L’an passé, Manuel Valls s’était ainsi fait “voler” l’image d’un tendre baiser échangé avec son épouse, en marge d’un concert.

Les rumeurs de célibat présumé de François Hollande auraient ces derniers temps agacé Julie Gayet. La comédienne, peu adepte de l’ultimatum, laisse quand même entendre qu’elle n’est pas “une fille de passage”. Mais François Hollande est le seul à savoir comment il souhaite voir sa belle histoire se refléter dans le regard de Julie Gayet.

Découvrez notre analyse complète de l’histoire que partagent Julie Gayet et François Hollande dans Gala n°1102 en kiosque ce mercredi.

Depuis la fin du printemps, les stars en couple paradent avec leur heureux évènement à venir. Scarlett Johansson, Mila Kunis, Christina Aguilera et bien d’autres se préparent à donner la vie au coeur de l’été.

Est-il plus facile de cacher son ventre rond en robe légère ou sous des couches de vêtements? Pour certaines célébrités, la question se pose réellement à l’heure de devenir mère. L’été et ses douces températures semblent être pour les personnalités sous les feux des projecteurs une saison idéale pour attendre bébé. De Los Angeles à New York en passant par Paris, le nombre de stars enceintes s’est donc multiplié ces derniers mois.

Si Scarlett Johansson a choisi de vivre sa grossesse aux États-Unis, tout laisse à penser que Paris fut l’écrin de son amour avec Romain Dauriac. La jolie blonde camoufle depuis habilement sa grossesse entre tissus amples et salopettes en lin. En mars, on disait l’héroïne de Lucy enceinte de 5 mois, ce qui rendrai imminente l’arrivée de son premier enfant.

A quelques semaines, voire quelques jours près, Mila Kunis donnera également naissance à son premier bébé. Et le climat californien semble être bénéfique à la compagne d’Ashton Kutcher. En t-shirt moulant (aux couleurs des Dodgers, l’équipe de baseball) et blue jean, la future maman ne se cache plus. La joie d’être bientôt parents ne suffit même plus à Ashton Kutcher et Mila Kunis qui envisagent déjà de se marier à l’été prochain et, pourquoi pas, à l’occasion du premier anniversaire de leur baby girl.

L’enfant star le plus mystérieux et le plus attendu de ces prochains jours est le bébé qu’attendent Eva Mendes et Ryan Gosling. La comédienne a réussi à cacher sa grossesse jusqu’à 7 mois en choisissant de vivre totalement recluse. La naissance du petit garçon (selon les rumeurs) du couple le plus sexy d’Hollywood est attendu pour le début du mois d’août.

Chrisitna Aguilera, déjà maman d’un petit Max né à l’hiver 2008, attend actuellement une fille. Très pressée de donner naissance à cette enfant, la chanteuse devrait bientôt être délivrée. Elle a en tout cas porté ses formes voluptueuses jusque sur scène dans une robe noir en dentelle très sexy.

De ce côté-ci de l’Atlantique, Jenifer, notre future maman préférée, porte haut les couleurs du chic à la française en marinière Jean Paul Gaultier et micro-short Tara Jarmon. La chanteuse et jeune comédienne poussera son heureuse grossesse jusqu’à la fin août. En attendant, la star profite pleinement des bains de mer avec bébé, en Corse.

Retrouvez tous les détails des grossesses estivales de Zoe Saldana, Chelsea Clinton, Rachel Bilson, Christina Ricci, Poppy Mongomery, Jelena Ristic…

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Crédits photos : Interstar / NPG / Starface

Depuis son altercation avec Orlando Bloom dans une boîte de nuit à Ibiza, Justin Bieber est plus que jamais dans l’œil du cyclone. Avec cette histoire, il ne s’est pas fait que des amis. Loin s’en faut.

En provocant Orlando Bloom, Justin Bieber est devenu persona non grata auprès de nombreuses personnalités à Hollywood.

Dernière en date à s’en être prise à l’idole des jeunes filles en fleurs : Kate Moss.

Connue pour son caractère bien trempé, le top-modèle ne s’est pas fait prier pour dire ce qu’elle avait sur le cœur au jeune chanteur canadien dont elle pourrait être la mère (elle était de 20 ans son aînée)…

Le Sun relate la savoureuse scène dans son édition du jour alors qu’ils étaient tous les deux invités à la soirée privée des 40 ans du créateur Ricardo Tisci qui avait lieu à Ibiza. «C’était comme une enseignante avec un élève, explique une source au tabloïd. Évidemment, Justin lui a dit salut avec son air arrogant habituel et s’attendait surtout à ce qu’elle l’embrasse. C’était une belle claque pour lui. C’était assez embarrassant”. Aux dires des témoins de cette scène, Justin n’en menait pas large après pareille remontrance. Il a au moins pu se faire reconforter par le clan Kardashian avec lequel il s’est montré très proche tout au long de la soirée en multipliant les photos.

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Il se murmure même que Kendall Jenner ne serait pas restée insensible au charme de l’insaisissable Justin qui n’aura donc pas tout perdu de son périple à Ibiza.

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Bradley Cooper a annoncé qu’il allait jouer dans “Chef”, le prochain film de Derek Cianfrance (“Blue Valentine”, “The Place Beyond the pine”), et qu’il pourrait y donner la réplique à Omar Sy.

Lors d’une interview accordée à RTL pour la promotion de son nouveau film Happiness Therapy, Bradley Cooper a annoncé qu’il allait jouer dans Chef, le prochain film de Derek Cianfrance (Blue Valentine, The Place Beyond the Pines), et qu’il pourrait y donner la réplique à Omar Sy. Annoncé depuis 2008 avec David Fincher à la réalisation et Keanu Reeves au casting, le long métrage est en cours d’écriture par Steven Knight (Les Promesses de l’ombre). Produit par les frères Weinstein le film suit les aventures du chef cuisinier (Bradley Cooper) d’un restaurant parisien qui vient de perdre son classement dans le guide Michelin. Bien décidé à retrouver sa place il embarque toute son équipe (dont Omar Sy) en Angleterre afin d’ouvrir le meilleur restaurant de Londres ! Omar Sy serait donc actuellement en négociations pour jouer dans Chef, le premier long métrage en langue anglaise de sa carrière. Bradley Cooper est également annoncé au casting du film policier The Man from Primrose Lane et sera à l’affiche le 20 mars prochain de The Place Beyond the Pines de Derek Cianfrance.

The Place Beyond the Pines

Laëtitia Forhan avec RTL et Variety

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Après Marion Cotillard, Jean Dujardin et plus récemment Omar Sy, c’est aujourd’hui au tour de Bérénice Béjo de faire ses premiers pas à Hollywood. La compagne de Michel Hazanavicius démarre fort puisqu’elle partagera l’affiche avec Robert Pattinson.

Dans le sillage du succès de The Artist, Jean Dujardin a immédiatement saisi sa chance et traversé l’Atlantique pour s’essayer au cinéma américain. Il faut dire que sa victoire aux Oscars lui a donné l’élan nécessaire pour pareille transition. De son côté, Bérénice Béjo est restée en France, où elle a tourné plusieurs longs-métrages.

L’heure est enfin venue pour elle de suivre les traces de son camarade de jeu. Pour la première fois de sa carrière, l’épouse de Michel Hazanavicius s’apprête à tourner dans une production hollywoodienne, un rôle pour lequel elle peut remercier Juliette Binoche. L’actrice de 50 ans a en effet fait faux bond au réalisateur américain Brady Corbet. Résultat, à trois mois du début du tournage de son premier film, le cinéaste de 25 ans a été contraint de trouver une remplaçante prête à reprendre le rôle au pied levé.

Béjo était partante, Corbert aussi, que demander d’autre? La Française intègre donc le casting de The Childhood of a leader. Selon son réalisateur, « le film racontera la jeunesse d’un futur dictateur dans les années 30. Une sorte de mélange entre Hitler, Mussolini et quelques autres ». Pour donner la réplique à la comédienne française, pas d’acteurs de seconde zones mais deux vraies têtes d’affiche. Robert Pattinson (Twilight, Remember Me) qui se glissera dans la peau du personnage principal, et l’excellent Tim Roth (Four Rooms, Reservoir Dogs) qui récupère le second rôle. Bérénice Béjo entre donc dans la cour des grands (Américains). Sa prestation et sa maîtrise de l’anglais détermineront ensuite son avenir à Hollywood. Le tournage débutera au mois de novembre, à Budapest.

Crédits photos : Mike Marsland / Getty

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Robert Downey Jr. a longtemps été l’esclave des drogues. Il ne s’en est jamais caché. Aujourd’hui, l’acteur se livre sur cette lutte incessante et sur la situation de son fils, qui combat lui aussi sa part d’ombre.

Robert Downey Jr a longtemps aimé les drogues. Il les aime encore beaucoup aujourd’hui, mais lutte pour ne plus jamais y toucher. L’acteur a accepté de se livrer au magazine américain Vanity Fair, pour son numéro du mois d’octobre. Assis dans le jardin de sa villa de Malibu, en Californie, il s’est repenché sur sa sortie des enfers.

Malgré les nombreuses drogues qu’il consommait à une époque, Robert Downey Jr. assure qu’il n’était pas du genre à perdre connaissance. Mais comme pour tout, il y a des exceptions à la règle. Ainsi ce jour de 1996, où les voisins du comédien rentrent chez eux et découvrent Robert, évanoui dans le lit de leur fils de 11 ans. Le genre de situation qui pousse le futur Iron Man à se remettre en question.

Entre la prison d’état et le centre de cure de désintoxication, l’acteur se hisse lentement vers la lumière. « La première étape est de sortir de cette cave, explique-t-il. Mais beaucoup de gens s’en sortent sans vraiment changer. Donc il faut tout d’abord s’en sortir (évacuer la drogue) mais également prendre conscience du violent déni de notre destin. Sortir de ce creuset en étant forgé d’un métal plus solide. Ou quelque chose comme ça ». Une révélation qui n’est apparue à l’acteur que quelques années après sa sortie de cure. Sur le moment, il ne réalisait pas forcément les étapes qu’il était en train de franchir.

Avec ce recul, le comédien est désormais tout à fait conscient de la situation dans laquelle se trouve son fils, Indio. Le jeune homme de 20 ans a été arrêté en juin dernier par la police de Los Angeles alors qu’il consommait de la cocaïne. Selon le comédien, son cas est typique de la nouvelle génération. « Vous êtes confrontez à des prédispositions et des influences et d’un coup vous vous retrouvez à plusieurs lieux de là, au beau milieu d’un bois. Peut-on sortir la personne de ce bois? Oui, à condition de ne pas se perdre pendant que vous la cherchez. »

L’analogie du comédien pour les drogues a beau être alambiquée, elle n’en est pas moins lucide. Robert Downey Jr. se concentre désormais sur l’aide qu’il peut apporter à son fils. Cela ne veut pas dire qu’il arrête sa carrière pour autant. Au contraire, son film Le Juge remporte actuellement un grand succès dans les festivals où il est projeté. Il y joue, au côté de Robert Duvall, un fils venu sauver son père…

Crédits photos : Laurent Emmanuel / Getty

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« Marc et moi sommes pleins d’amour, d’admiration et de gratitude alors que nous célébrons la naissance de notre fille, Charlotte Clinton Mezvinsky ». C’est dans ces termes que la fille de Bill et Hillary Clinton, Chelsea, a partagé ce week-end son heureuse nouvelle avec la twittosphère. Il s’agit du premier enfant du couple Mezvinsky, marié en 2010.

Quatre ans après les noces de leur fille unique, Bill et Hillary Clinton agrandissent leur clan avec l’arrivée de leur premier petit enfant. Et c’est une fille, prénommée Charlotte! L’heureuse maman, Chelsea Clinton, a partagé la nouvelle aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Une arrivée qui comble de joie toute la famille. La petite fiancée de l’Amérique s’est donc jointe à son mari, le banquier d’affaires Marc Mezvinsky, pour officialiser : « Marc et moi sommes pleins d’amour, d’admiration et de gratitude alors que nous célébrons la naissance de notre fille, Charlotte Clinton Mezvinsky »

Cela faisait des mois que la grossesse de Chelsea était scrutée à travers la planète. Mariée depuis 2010 à son ami d’enfance, la fille de l’ancien président américain avait dévoilé le pot aux roses en avril dernier avant de partager son souhait d’être « une aussi bonne mère que la mienne le fut avec moi ». Des mots pleins de tendresse qui ont rendu la future grand-mère complètement gaga. Aussi, en attendant les cigognes, Hillary s’est dite impatiente, et « de garde en permanente », plaisantant même en public: « ne soyez pas surpris si nous devons filer (avec Bill) en coulisses! ».

La naissance de la petite Charlotte arrive à point nommé alors que le public américain attend encore de savoir si oui ou non Hillary Clinton se lancera dans la course à la Maison Blanche. Ancienne First Lady, devenue Sénateur de New York puis Secrétaire d’Etat de Barack Obama, la femme de Bill sait en tout cas qu’elle pourra compter sur le soutien de toute sa famille. Pour le vote de mini Clinton, il faudra encore attendre 18 ans.

Crédits photos : Evan Agostini/AP/SIPA