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Une enquête menée à l’occasion de la 13ème journée mondiale des maladies rares révèle une grande méconnaissance sur le sujet par la plupart des Français, qui espèrent néanmoins une meilleure sensibilisation, un accompagnement plus adapté des patients et le développement de la recherche sur ces pathologies.

Sommaire

  1. 88% pensent que le grand public manque d’information
  2. Un diagnostic bien souvent tardif 
  3. 79% estiment que le gouvernement devrait investir davantage dans la recherche

Pas si rares, les

maladies rares : si on les définit comme des pathologies qui touchent moins d’une personne sur 2000, on en dénombre au total 7000. Ainsi en France, 3 millions de personnes sont concernées, soit 4,5% de la population. Pour autant, elles restent largement méconnues, comme en témoignent les résultats d’une enquête de l’Ifop menée par le laboratoire Pfizer, à l’occasion de la journée internationale des maladies rares qui se déroule le samedi 29 février.

88% pensent que le grand public manque d’informationMené auprès de plus de 1000 personnes âgées de 18 ans et plus, le sondage met en évidence les lacunes des Français sur le sujet : s’ils déclarent avoir déjà entendu parler des maladies rares, 50% d’entre eux avouent ne pas savoir ce que cela signifie précisément. Ils sont 88% à penser que “le grand public manque d’information, avec des niveaux de connaissance extrêmement variables selon les pathologies” : 94% ont déjà entendu parler de la

mucoviscidose (maladie des voies respiratoires et digestives), 86% de

l’hémophilie (anomalie de la coagulation sanguine), mais seulement 16% de

l’acromégalie (croissance exagérée du visage et des extrémités du corps).Un diagnostic bien souvent tardif Les maladies rares ont des manifestations diverses, en fonction de la pathologie mais également du patient. Ce qui peut les rendre difficiles à diagnostiquer : selon l’étude, “seule une personne atteinte d’une maladie rare sur deux bénéficie d’un diagnostic précis aujourd’hui”. Et en moyenne, il faut compter quatre ans entre l’apparition des premiers symptômes et la pose du diagnostic. “Malgré les avancées significatives des plans nationaux, les malades et leur entourage sont toujours confrontés à de longues errances diagnostiques, aux insuffisances de la prise en charge, au manque d’information des professionnels de santé, un parcours de soin complexe, des difficultés dans leur vie quotidienne, etc.”, note l’étude.79% estiment que le gouvernement devrait investir davantage dans la rechercheParmi les personnes interrogées, 87% estiment d’ailleurs que les professionnels de santé devraient eux aussi être mieux informés sur les maladies rares. Et 92% d’entre elles n’ont jamais entendu parler du

3ème Plan National Maladies Rares lancé en juillet 2018, centré sur l’innovation, le diagnostic et les traitements : ils sont 83% à penser que les pouvoirs publics ne prennent pas suffisamment en compte le sujet.Ainsi, 79% estiment que le gouvernement devraient investir davantage dans la recherche sur ces maladies, et 65% que les malades doivent être plus accompagnés. Sachant que 95% des maladies rares sont sans traitement, qu’elles entraînent une fois sur deux un déficit moteur, sensoriel ou intellectuel “avec un impact important sur la qualité de vie”, et qu’elles engagent souvent le pronostic vital.Click Here: los jaguares argentina

Pas moins de 47 propositions ont été formulées dans un rapport parlementaire dévoilé mardi 11 février visant à “déconstruire le tabou des règles” et mieux informer les filles et les femmes sur ce sujet. La distribution de protections hygiéniques gratuites pour les femmes précaires a également été annoncée.

Sommaire

  1. Une information plus précoce et plus claire
  2. Expérimentation des protections hygiéniques gratuites dès 2020

Un sujet angoissant, mal abordé, et dont “la prise en charge insuffisante contribue à perpétuer les inégalités entre les femmes et les hommes” : les députés Laëtitia Romeiro Dias (LREM) et Bénédicte Taurine (LFI) ont rendu public mardi 11 février un rapport parlementaire fort de 47 recommandations visant à “déconstruire le tabou” des

règles.

Une information plus précoce et plus claire“Diversité des produits de protection”, “précautions d’usage et d’hygiène”, “risques sanitaires” : autant d’informations qui restent insuffisamment connues par les filles et les femmes, affirment les deux députés. Afin de pallier cette méconnaissance et sensibiliser à la question des menstruations, elles souhaitent que cette dernière soit “systématiquement [abordée] dès la classe de 6e”, chez les filles comme chez les garçons, et qu’un “site Internet public soit créé pour délivrer des ‘informations ludiques et accessibles’”, rapporte l’AFP. “Informer au plus tôt c’est le mieux, dans un premier temps en décorrélant cette question de l’éducation à la sexualité”, a expliqué Laëtitia Romeiro Dias.Les députés préconisent également l’apposition d’un “pictogramme clair” sur les tampons et les coupes menstruelles afin de mieux informer les utilisatrices sur le risque de

syndrome du choc toxique : temps de port d’une protection interne recommandé et présence de traces de substances toxiques devraient être mentionnés.Expérimentation des protections hygiéniques gratuites dès 2020Alors qu’en novembre dernier la sénatrice Patricia Schillinger (LREM) avait proposé la gratuité des protections hygiéniques pour les femmes précaires, Marlène Schiappa et Christelle Dubos ont annoncé mercredi 12 février que cette mesure allait être testée dès 2020 “dans plusieurs lieux collectifs” : collèges, lycées et universités mais aussi certains lieux publics via des distributeurs pour les femmes sans domicile “grâce à des cartes prépayées”. Selon les secrétaires d’État chargées respectivement de l’Égalité entre les hommes et les femmes et de la Solidarité et la Santé, un budget d’un million d’euros sera réservé à ce projet. 

10 remèdes naturels contre les règles douloureuses

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Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a annoncé jeudi que les cliniques publiques du pays allaient fournir gratuitement des traitements pour favoriser la fertilité, afin de ralentir le déclin démographique de la Hongrie.

C'est la dernière en date d'une série de mesures prises par Budapest pour freiner le déclin démographique de ce pays de 9,8 millions d'habitants, dont des primes versées aux couples pour les encourager à avoir plus d'enfants.

Le gouvernement a décidé qu’à partir du 1er février les médicaments utilisés dans le traitement des problèmes de fertilité seraient gratuits“, a déclaré le responsable souverainiste dans une conférence de presse à Budapest. Ainsi dans l’avenir, la fécondation in vitro “ne sera plus soumise aux lois du marché“.

Le mois dernier le gouvernement a annoncé avoir acheté six cliniques privées spécialisées, dont quatre à Budapest.Ces établissements ont été “achetés” et non pas “nationalisés”, a précisé M. Orban.Ce secteur de la médecine est “d’une importance stratégique pour le pays“, a-t-il affirmé. Il a cherché à dissuader les entrepreneurs privés d’y investir car, a-t-il dit,  “ils n’obtiendront pas les autorisations“.C’est la dernière en date d’une série de mesures prises par Budapest pour freiner le déclin démographique de ce pays de 9,8 millions d’habitants, dont des primes versées aux couples pour les encourager à avoir plus d’enfants.Outre la baisse des naissances, la Hongrie a perdu depuis dix ans des centaines de milliers de citoyens qui ont émigré, principalement en Europe de l’ouest, et M. Orban refuse l’immigration comme solution.

Infertilité : les stars qui ont eu recours à la FIV

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Une étude internationale a montré que les femmes qui fumaient pendant la grossesse, même si elles avaient réduit leur consommation de cigarettes, pouvaient augmenter leur risque de diabète gestationnel.

Cette nouvelle étude, menée conjointement par des chercheurs des Braun School of Public Health and Community Medicine d’Israël et l’université d’Ohio américaine, a analysé des données collectées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains concernant 222.408 femmes, dont 12.897 (5,3%) étaient atteintes de

diabète gestationnel.Les participantes devaient rapporter leur consommation de tabac au cours de leur grossesse, si elles étaient fumeuses ou non, si elles avaient réduit ou non leur consommation et devaient aussi préciser si elles souffraient ou non de

diabète. On notera que le diabète de grossesse est une maladie qui augmente certains risques pendant la grossesse ainsi que les complications à la naissance (

césariennes, enfants plus gros…). Leurs conclusions, parues cette semaine dans 

Obstetrics & Gynecology, ont montré qu’après avoir pris en compte des facteurs de risques bien connus du diabète gestationnel (comme l’âge maternel, l’IMC avant grossesse et la prise de poids pendant la grossesse) les femmes enceintes qui fumaient le même nombre de cigarettes ou plus qu’avant de tomber enceintes enregistraient un risque d’environ 50% supérieur de développer du diabète gestationnel. Le fait de réduire le nombre de cigarettes fumées chaque jour abaissait considérablement ce risque, mais même celles qui réduisaient leur consommation enregistraient toujours un risque accru de 22% de développer du diabète par rapport aux femmes qui n’avaient jamais fumé ou qui avaient arrêté deux années avant de tomber enceinte.“Idéalement, les femmes devraient arrêter de fumer avant même d’essayer de concevoir”, a expliqué le Dr. Yael Bar-Zeev. “De plus, en raison des forts risques associés, il est impératif que les fumeuses enceintes aient accès à des programmes spécifiques d’aide à l’arrêt. Actuellement, aux Etats-Unis et en Israël, ces services ne sont pas assez accessibles ou ne sont pas adaptés aux femmes enceintes, et il est nécessaire que cela change.”Les chercheurs ont aussi tenu à souligner que fumer enceinte est l’un des facteurs de risques les plus importants, les bébés risquant de naître prématurément ou de souffrir de retards de développement plus importants que les bébés nés de mères non-fumeuses.Click Here: cheap nrl jerseys

C’est l’épreuve de course à pied à ne pas rater pour les joggers. “Run in Lyon“, librement inspiré du marathon de la ville des Gaules, vivra sa quatrième édition le 6 octobre, avec plus de 18.000 participants. Un record.

Course Lyon le 6 octobre 2013

Sous la houlette du spécialiste des rendez-vous sportifs majeurs comme le Tour de France, Amaury Sport Organisation réunira plus de 18.000 joggers sur la ligne de départ lyonnaise de cet événement réservé à la course à pied.Trois formules de course permettront aux coureurs de s’adapter : un marathon, un semi-marathon et un 10 km. Les frais d’inscription s’élèvent respectivement à 43 euros, 28 euros et 17 euros. Les démarches sont à effectuer sur le site

http://asochallenges.comLe départ des trois épreuves sera donné simultanément depuis la place Bellecour, à 9h pour une arrivée au point de départ.Cette année, la filiale française du laboratoire Mylan, fabricant américain de génériques, s’engage aux côtés de l’association

Petits Princes en participant à deux épreuves, les 10 km et le semi-marathon. Les dons collectés seront intégralement reversés à l’association, dont la mission est de réaliser le rêve des enfants malades. Depuis 1987, ce sont 2.100 enfants qui ont vu leurs 4.700 rêves exaucés.Relaxnews
Source
Communiqué du laboratoire Mylan , 1er octobre 2013.Click Here: cheap Cowboys jersey

Le 19 août, le ministre de la santé,Jean-François Mattei lance une mission d’expertise etd’évaluation chargée d’analyser “lesévénements“ des derniers jours de canicule. Selon lestermes du communiqué du ministère, ce travail devrarépondre à deux principales questions : “Pourquoi lessystèmes d’information, de veille et d’alertesanitaire n’ont-ils pas permis aux autoritéssanitaires d’anticiper la vague de chaleur, d’enprévenir les conséquences sanitaires ou, tout aumoins, d’identifier suffisamment en amont les actions quiauraient pu être mises en place dans cette situationd’urgence ? Quelles leçons faut-il tirer de la gestionde la crise par les autorités sanitaires ?“. Lespremières conclusions devront être remises dèsla fin du mois d’août.
Cette annonce intervient au lendemain de la démission dudirecteur général de la santé, le Pr. LucienAbenhaim qui avait été mis en cause par son ministrede tutelle. Alors que les chiffres officiels du nombre dedécès imputables à la canicule oscillenttoujours entre 3 000 et 5 000, les pompes funèbresgénérales annoncent une projection qui faitétat de 13 600 morts ! Là encore, la réponsegouvernementale prend la forme d’une mission de deux expertschargés de donner les chiffres précis desdécès causés par la canicule. Les premiersrésultats devraient être rendus dans un mois.Nommée par Jean-Pierre Raffarin, cette équipe sesubstitue donc pour un temps à l’Institut de VeilleSanitaire, mis en cause par le Premier ministre dans les colonnesdu Figaro.
Le 21 août, le nouveau directeur général de lasanté est nommé, il s’agit du Professeur William Dab,qui a mené une double carrière de médecinhospitalier et d’épidémiologiste. Le même jour,le président de la république s’exprime aprèstrois semaines de silence. Appelant à plus desolidarité envers nos aînés, leprésident a souligné que les causes des drames serontanalysées “en profondeur, et dans la plus totaletransparence“ et que “notre système de prévention, devigilance et d’alerte sera revu afin d’assurer une plusgrande efficacité“. Dans le même temps, le porteparole du gouvernement Jean-François Copé assuraitque le gouvernement avait fait ce qu’il fallait, dès qu’il aété alerté. Avant même lespremières conclusions de la mission d’expertise, il sembleque la DGS soit déjà désignée commeseule et unique coupable…
Source : Communiqués du ministère dela santéClick Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

ILLINOIS — Gov. J.B. Pritzker issued an “immediate stay-at-home order for the state of Illinois” Friday during his daily press conference to address the coronavirus epidemic, saying it was the “inescapable conclusion” after consulting with experts, including epidemiologists and mathematicians, to predict the rate of infection and mortality in Illinois.

The order takes effect at 5 p.m. Saturday and ends April 7. Schools will remain closed until April 8. As of Friday, Illinois had reported 585 coronavirus cases in 25 counties.

Announcing the fifth Illinois coronavirus death — a Cook County woman in her seventies — Pritzker said Illinois residents deserved to know “why I’ve taken the actions that I’ve taken.”

“I don’t come to this decision easily,” Pritzker said. “I fully recognize that in some cases, I am choosing between saving people’s lives and saving people’s livelihoods. But ultimately you can’t have a livelihood if you don’t have your life.”

He added, “You have a right to the truth, as difficult as it may be to hear, because you can bear it. My bedrock has been to rely upon science.”

Illinois health officials estimate as many as 3,400 residents could test positive for coronavirus based upon the illness’ current trajectory. That would be a more than 700 percent increase in coronavirus cases in Illinois.

Pritzker said the guidance he’s received shows an immediate stay-in-place order is the only way to potentially save tens of thousands of lives in Illinois.

State officials in California and New York have already issued similar orders.

What does a stay at home order mean?

The order means residents are required to hunker down at home, leaving only for essentials such as groceries, gas and medication. Local roads, interstate highways and tollways will remain open to traffic.

Those who violate the order could face a citation.


Coronavirus: What A Shelter-In-Place Order Would Look Like In IL


Parks, including state parks, as well as libraries will be closed. Residents will still be able to go outside, walk their dogs, play with their kids — as long as they maintain “social distancing” of at least six feet from others.

“We’re not cordoning off the park space,” Chicago Mayor Lori Lightfoot said, adding that people will still be able to go to parks and walk around, but facilities will be closed.

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Airports will be open and the CTA will still run, and the mayor urged residents to stick to their usual shopping habits.

“This is not martial law,” she said.

“Stores will continue to be stocked. Do not take this direction as a reason to run to the stores, buy everything in sight and hoard supplies,” Lightfoot said. “Be mindful of your neighbors.”

Lightfoot said what’s happened in places like Italy shows the need for the stay-at-home order.

“Now is not the time for half measures,” she said. “Sadly, we are witnessing what is happening in countries that did not mobilize.”

Under a similar order that took effect Friday in Oak Park, businesses that provide essential services remain open, including grocery stores, banks, convenience stores, pharmacies, restaurants for delivery and pick up only, laundromats, skilled trades essential to maintaining the safety and sanitation of residences, hardware stores, medical service providers, first responders, transportation providers, government activities and essential social service providers and shelters.

The City of Chicago also issued a shelter in place order earlier in the day Friday for anyone who is sick. Anyone who violates the order will be fined $100-$500 for each violation, according to the city’s municipal code — meaning anyone who is sick could earn a fine of $1,000 if caught outside twice, according to Block Club Chicago.


Don’t miss updates about precautions in the Chicago area as they are announced. Sign up for Patch news alerts and newsletters.


What’s ‘essential’?

All first responders, emergency management personnel, law enforcement personnel, health care workers and others working to support essential businesses and essential government functions like grocery stores and pharmacies are exempt from this stay at home order.

These activities and businesses are also exempt from the order:

Essential Activities:

Essential government functions:

Essential businesses and operations:

‘No second chances’

Dr. Emily Landon, an infectious diseases associate professor at the University of Chicago, stressed how dire the situation could get if Illinois does not stop the spread of coronavirus.

“We have a brand-new virus with too little information, not enough personal protective equipment, changing protocols every single day and no second chances,” she said. “This is the only way forward.”

The virus “infects you before you know you’re sick,” and those who are infected spread it without knowing.

“Now the virus is taking what’s left of our precious liberty,” Landon said. “Our problem is not the 80 percent who will get over this in a week,” it’s the 20 percent of elderly or immunocompromised who will get extremely sick or die.

“There are no empty wards for patients or nurses waiting in the wings. We barely have enough masks for the nurses we have,” Landon said. If Illinois waits, “there won’t be a hospital bed when my mother can’t breathe or your mother is coughing too much.”

Staying at home could save thousands of people, she said.

“It’s really hard to feel like you’re saving the world when you’re watching Netflix from your couch,” Landon said. “A successful shelter in place will make you feel like it was all for nothing. And you’d be right — because nothing means that nothing will happen to your family.”

It will take some time to see infection rates go down, because coronavirus has an incubation period of up to 14 days — meaning there are people infected right now who don’t know it yet, Landon said.

“So please don’t give up,” she said, urging patience. “I know we’ll get through this together and find a way back to the life we used to live.

“Now it’s your turn to do your part. A huge sacrifice that will make thousands of differences — maybe even in your family.”

She said the difference a stay-at-home order can make is illustrated by the different outcomes in St. Louis versus Philadelphia during the 1918 flu pandemic.

“St. Louis shut itself down and sheltered in place,” Landon said, while Philadelphia threw a parade with hundreds of thousands in attendance. “A week later, Philadelphia hospitals were overrun and thousands were dead, many more than in St. Louis.”

Read Illinois Gov. JB Pritzker’s complete COVID-19 Executive Order No. 8:

Follow our latest coronavirus coverage in Illinois:

How To Teach Our Kids Patience

May 21, 2020 | News | No Comments

In today’s speedy culture, sometimes it feels as if there’s no time to breathe — let alone practice patience. However, kids take our lack of patience challenge to a whole new level.

“Get it now!” my 4-year-old sobs when I’m trying to quickly make him dinner (even though he just ate 20 minutes ago). “Daddy! Let’s play, let’s play, let’s play,” he says five minutes after my husband walks in the door. My husband responds, “Hold on, I have to use the bathroom first!”

And I’m sure you’ve all heard the “Are we there yet?” question in the car two minutes after you start toward your destination. Hopefully, for your sake, it’s a quick trip.

All these examples make me wonder: How will my son ever handle trying situations in the future or learn to become more patient in life?

Child psychologist Dr. Brittany Webber sheds some light on this stage of my son’s life and assures me that his ability to be patient hasn’t quite developed yet. “Children in this age range are still developing their executive functioning skills like impulse control, organization skills, self-monitoring and self-regulation, managing emotions, focus, attention, etc. The area of the brain that is responsible for these functions is the frontal lobe, which is not fully developed until 25 years old!”

That’s a long time to wait for a peaceful car ride! Sure, we can whip out the iPad and distract them, but that creates other issues, such as an unhealthy TV addiction.


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Because of this undeveloped frontal lobe, Webber goes on to say, “Young children are more impulsive, less emotionally regulated and have less self-control than we might expect, and this is especially true when a young child is very bright and verbally articulate. Parents often expect that these children have the ability to be conscientious, use logic and remain calm. However, that is an unrealistic expectation.”

So let’s give these kids a break and understand that they are doing the best they can. In other, words, let’s practice our own patience when our kids are impatient. Here are some mom-tested and expert solutions for teaching our kids patience:


Understand and Model
Webber says, “Parents should consider that young children do not yet have the ability to take on the perspective of others — their thinking at this age is still very black and white — and it is important that parents both understand what the child is truly capable of as well as model for their children how to do so.”


Validate and Distract

Mom Lizzie says, “I feel like dealing with impatience comes with the territory of parenting. My route is to validate my kid’s feelings, (‘Yes! I hear you: It is so hard to wait!’) and then distract.”


Frame and Describe

Mom Emily encourages her child to use the tools available to her to figure out the answers to her question. “‘Can you see where we are right now? We’re still riding on the highway. Here comes a sign — it tells us how many miles until we get there,’ etc. I will try to frame things in terms she can understand. For example I’ll also say, ‘You have time to read two more pages, and then it will be time for dinner,'” she says.


Yoga and Meditation

I know a yoga teacher who started meditating and doing yoga with her child by the age of 2. Her daughter seems like the calmest child on Earth, at least from their Facebook photos. I’ve thought of teaching my boy to meditate, but that seems a bit difficult at this moment in time. Still, there is a great yoga class for kids in town, and I will try to sign him up for it, or we will find some YouTube videos on yoga for kids.


Timers and Your Own Patience

Mom Kate also says, “The Greeks have two words for time — chronos (quantitative, clock-time) and kairos (qualitative, right-time or lost in the moment). I sometimes think parents are all chronos and little kids are all kairos, and that’s where it gets tricky. Not sure how to solve that other than a.) timers (which we use) and b.) having patience of our own while they learn how to gauge the social construct of time!”


Introducing children to the idea and practice of patience at a young age will help them develop these skills more quickly in the future. Webber says, “While the part of the brain that helps with patience and attention is not fully developed until our mid-20s, how children think, feel and interact with others in the present ultimately affects how their brains develop. What they practice and focus on now will impact the connections their brain makes. So if they start practicing patience in the early years, those connections in the brain will grow stronger. All that is to say, if we want our children to grow up as patient adults, we need to help them practice that skill in developmentally appropriate ways over time.”

Webber adds that the frequent use of screen time will not help young children’s patience skills, especially since screen time is based on immediate gratification. Parents use this as a distraction from bad behavior, but it often has the opposite effect in the long run.

Patience is something we all struggle with, even with developed lobes. Let’s have compassion for our impatient littles ones and help them practice good habits, while us mamas model calm, patient behavior, too.


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Des chercheurs britanniques ont montré que malgré de récentes inquiétudes concernant la consommation de viandes transformées et industrielles et un lien avéré avec un risque accru de cancer, ce sont peut-être les nitrites utilisés par les industriels qui poseraient le plus grand risque.

Sommaire

  1. Toutes les viandes ne sont pas concernées

Pour mener cette vaste méta-analyse, des chercheurs de la

Queen’s University de Belfast ont passé en revue 61 études précédemment menées sur la relation entre la consommation de charcuteries et

viandes transformées et le risque de développer des

cancers de l’intestin ou colorectal.Leurs résultats, repris par la revue

Nutrients, ont montré que malgré les inquiétudes, ce ne sont pas tous les types de viandes industrielles qui affichent le même niveau de risque. Environ la moitié des études ont montré un lien évident entre la consommation de charcuteries et le cancer colorectal. De plus, lorsque les scientifiques se sont intéressées aux viandes transformées qui avaient été traitées aux

nitrites de sodium, un conservateur utilisé pour améliorer la couleur et prolonger la durée de conservation, ils ont trouvé que 65% des études montraient un lien entre charcuteries et

cancer colorectal.”Lorsque nous nous sommes intéressés aux viandes transformées contenant des nitrites de façon isolée (…) les résultats étaient bien plus clairs”, a expliqué le Dr. William Crowe. “Près de deux tiers des études ont montré un lien avec le

cancer.“L’

Organisation Mondiale de la Santé a classé les viandes transformées ainsi que la viande rouge comme cancérigènes en 2015.Toutes les viandes ne sont pas concernéesLe site de l’OMS précise que “les produits carnés transformés (ou viande transformée) font référence à la viande qui a été transformée par salaison, maturation, fermentation, fumaison ou d’autres processus mis en oeuvre pour rehausser sa saveur ou améliorer sa conservation. La plupart des viandes transformées contiennent du porc ou du boeuf, mais elles peuvent également contenir d’autres viandes rouges, de la volaille, des abats ou des sous-produits carnés comme le sang“.L’agence internationale précise: “À titre d’exemples de viandes transformées, on trouvera les hot-dogs (saucisses de Francfort), le jambon, les saucisses, le corned-beef, les lanières de boeuf séché, de même que les viandes en conserve et les préparations et les sauces à base de viande“.Mais les chercheurs britanniques ont souligné que certaines charcuteries ne contenaient pas de nitrites. Par exemple, les saucisses britanniques et irlandaises ne subissent pas d’ajouts de nitrites contrairement aux saucisses et saucissons européens comme le pepperoni et le chorizo. Et certains types de bacon et de jambons sont désormais proposés sans nitrites.Les chercheurs pensent qu’une distinction serait nécessaire pour montrer les différences de risques en lien avec l’ajout ou non de ces

conservateurs.Est-il nécessaire de bannir les nitrites de notre alimentation ? Le Dr. Brian Green, en charge de cette étude, conseille de suivre les recommandations des autorités sanitaires. “Les recommandations actuelles du département de la santé britannique conseillent de ne pas consommer plus de 70g de viande rouge ou transformée par jour.“Il précise qu’il espère que “des recherches futures sur le lien entre alimentation et cancer colorectal prendront en compte chaque type de viande individuellement plutôt que de les grouper. Nos résultats montrent clairement que toutes les viandes transformées n’entraînent pas le même niveau de risque.“Click Here: camiseta rosario central

Une récente étude démontrant l’augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes utilisatrices de coloration permanente crée l’inquiétude.

Les femmes qui utilisent fréquemment des produits de colorations et de lissages permanents pour les cheveux auraient plus de risque de

cancer du sein que celles qui n’en utilisent pas. Ces résultats d’une étude publiée, dans la revue scientifique International Journal of Cancer, le 4 décembre 2019 ont créé l’inquiétude. 

60% de risques en plus chez les femmes afro-américainesPour en arriver à ce constat, les chercheurs ont recensé les données médicales de 46 079 femmes. Le taux de risque de développer un cancer du sein en cas d’usage de produits de coloration permanente a été estimé à 60%, donc particulièrement élevé chez les femmes afro-américaines utilisant le produits environ toutes les 5 à 8 semaines et 9% chez les femmes caucasiennes. Aucun risque ou vraiment très peu n’a été identifié avec les produits de colorations temporaires. Pour rappel les produits de

coloration permanente contiennent des molécules qui pénètrent en profondeur la fibre capillaire afin d’obtenir une couleur définitive. Cependant des retouches sur les racines ou pour raviver l’éclat sont souvent nécessaires tous les un à deux mois. En renouvelant la même analyse, les chercheurs ont aussi découvert une augmentation du risque de développer un cancer du sein de 30% chez les utilisatrices régulières de produits de lissage permanent. Cette fois-ci, le risque était le même pour les caucasiennes et les afro-américaines, mais ces dernières sont celles qui en utilisent le plus. Pour tempérer les inquiétudes, Dale Sandler, chef du département d’épidémiologie à NIEHS, établissement où a été effectuée l’étude a reconnu que plus de recherches devaient encore être effectuées avant de tirer des conclusions. “Nous sommes exposées à bien d’autres produits qui multiplient aussi le risque de cancer du sein. Il s’agit d’un début d’étude et sur une généralité. Notre risque individuel ne dépend pas d’un seul facteur, mais de bien d’autres choses de l’environnement et la vie de chacun”. Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers