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La barre du million de patients vaccinés contre la grippe en pharmacie a été franchie, a indiqué mardi la Fédération des pharmaciens d’officine (FSPF), dans un premier bilan de cette nouvelle possibilité offerte aux patients.

Un quart des Français déjà vaccinés l’ont été par leur pharmacien“, s’est félicitée la FSPF dans un communiqué.”La campagne de vaccination 2019, qui a débuté le 15 octobre, a d’ores et déjà dépassé le million de patients vaccinés par leur pharmacien sur un total de près de 4 millions de doses délivrées (…) au 1er novembre“, a ajouté la FSPF.”Cette campagne, marquée par la généralisation de la possibilité de se faire vacciner en pharmacie, s’annonce donc déjà comme un franc succès“, a-t-elle estimé.Après deux ans d’expérimentation dans quatre régions tests, la possibilité de se faire

vacciner contre la grippe en pharmacie a été généralisée cette année.Chaque année, cette maladie virale touche 2 à 6 millions de personnes, entraîne des dizaines de milliers de passages aux urgences et fait 10.000 morts en moyenne.La campagne de vaccination vise en priorité les personnes fragiles face au virus : plus de 65 ans, personnes atteintes d’une maladie chronique (diabète, insuffisance cardiaque ou respiratoire…) ou d’une obésité sévère et femmes enceintes, soit plus de 13 millions de personnes selon les autorités sanitaires.Toutes les personnes majeures éligibles peuvent retirer le vaccin à la pharmacie “sur présentation de leur bon de prise en charge de l’Assurance maladie” et se faire vacciner au choix par un médecin, un infirmier, une sage-femme ou un pharmacien volontaire.

Quand varier les plaisirs… fait grossir !

May 20, 2020 | News | No Comments

Selon des chercheurs anglais, disposer d’un large choix deplats est l’une des raisons de la prise de poids ! Ilscondamnent ainsi les repas de type buffet : vous attaquez avec unemacédoine de légumes et des petites saucisses, puisvous embrayez sur une part de quiche… Même si vousn’avez plus faim, vous goûtez la saladepiémontaise et les œufs mayonnaise… Lavariété nous empêcherait ainsi de ressentirnotre satiété…
Il serait ainsi préférable de manger la mêmechose à chaque repas : cela émousserait le sens dugoût, entraînant une diminution de la quantitéde nourriture ingurgitée. Si en pratique, il est impossibled’adopter ce comportement, les chercheurs préconisentde composer nos repas avec des aliments aux qualitéssensorielles similaires (goût, texture, couleur…), nousaurions alors tendance à moins manger. Bientôt lerégime couleur, avec melon, carottes et oranges le midi etcéleri, purée et yaourt le soir…
Plus sérieusement, il est dans tous les caspréférable d’avoir une alimentationvariée pour éviter les carences et la frustration. Etsi vous souhaitez réellement perdre du poids, lisez lesarticles de Doctissimo et demandez conseil à votremédecin.
Source : Psychological Bulletin, mai 2001 Vol.127, No. 3, p. 325-341.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Vaccinée en 2010 à l’âge de 15 ans avecGardasil®, une jeune fille a développéune sclérose en plaques. Sur la base d’un rapport de la commission régionale d’indemnisation d’Aquitaine qui relie les deux événements, l’avocat de sa famille a porté plainte contre le laboratoire SanofiPasteur MSD et l’Agence nationale de sécurité du médicament. D’autres plaintes pourraient suivre. Entretemps, le fabricant du vaccin dément tout lien entre son médicamentet la survenue de la maladie.

La vaccination contre le papillomavirus est recommandée entre les âges de 11 et 14 ans.

Marie-Océane, la jeune plaignante, a reçu une première dose du vaccin contre le 

papillomavirus à l’âge de 15 ans, en octobre 2010. Deux semaines plus tard, elle a présenté des altérations sensorielles et motrices qui ont disparu spontanément. En décembre de la même année, elle reçoit la 2èmedose du vaccin et 3 mois plus tard, elle est hospitalisée pour des altérations de l’état général et des symptômes moteurs et sensitifs importants. L’IRM réalisée à l’hôpital montre des lésions cérébrales de la substance blanche. Le diagnostic tombe alors :

sclérose en plaques ou encéphalomyélite aiguë disséminée (des maladies inflammatoires du système nerveux central).Selon la commission d’indemnisation, l’imputabilité de la vaccination évaluée à 50 %Au terme d’une expertise assurée par deux médecins de la Commission de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (CRCI) de la région Aquitaine (Bordeaux), les experts ont précisé “qu’il n’existe aucun argument scientifique en faveur de l’incrimination du Gardasil comme facteur causal pour les pathologies inflammatoires démyélinisantes du système nerveux central“. Tout en ajoutant que chez cette jeune fille ayant des antécédents familiaux de sclérose en plaques, “la cascade inflammatoire démyélinisante post-vaccinale ayant atteint l’intéressée présente tous les caractères objectifs d’imputabilité médico-légale“. En conséquence, “ils évaluent l’imputabilité totale de la vaccination sur le dommage à 50 %“. La jeune, âgée actuellement de 18 ans, a donc porté plainte contre le laboratoire Sanofi Pasteur MSD pour “atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine“.D’autres plaintes pourraient suivreD’autres plaintes seront déposées pour les mêmes raisons contre le 

Gardasil, annonce un cabinet d’avocats à Paris. Rappelons qu’en France, d’autres patientes ont saisi des commissions régionales d’indemnisation d’accidents médicaux contre le vaccin anti-HPV, ce qui a suscité des polémiques. En juillet 2011, Laura Agnès et Laëtitia Celli, âgées de 16 et 20 ans, avaient envoyé une

demande d’indemnisation à la commission régionale de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux (CRCI) de Lyon.Concernant les vaccins contre le papillomavirus, d’autres pays semblent méfiants : dans l’attente de nouvelles études, le Japon a

décidé en juin 2013 de ne plus recommander cette vaccination en raison de douleurs chroniques apparues chez certaines adolescentes. Ces études devront répondre à plusieurs questions : ces symptômes sont-ils liés à cette vaccination ? Existe-t-il des personnes plus à risque de développer des effets secondaires graves liés à cette vaccination ? Si oui, est-il possible de les identifier et d’identifier le composé à l’origine de ces réactions ?… Autant de questions qui animent la controverse autour de ces nouveaux vaccins.Le laboratoire dément tout lien entre Gardasil® et la sclérose en plaquesDans un communiqué daté du 24 novembre 2013, le fabricant du vaccin, le laboratoire Sanofi Pasteur MSD, nie formellement toute relation de cause à effet entre Gardasil® ou tout autre vaccin contre le papillomavirus et la

sclérose en plaques. Le laboratoire précise que “les études conduites en France et dans le monde pour évaluer l’association éventuelle entre la vaccination anti-HPV et la survenue de cas de sclérose en plaques n’indiquent aucune augmentation du risque d’apparition de cette maladie“. Sanofi Pasteur MSD conteste par ailleurs l’avis de CRCI de Bordeaux car il “est basée sur une coïncidence temporelle entre la survenue de la maladie et la vaccination“ et la juge en contradiction avec les données de la littérature scientifique et des avis des autorités nationales et internationales, ce qui concourt “à une perte de chance pour les jeunes filles d’être vaccinées“.Les données rassurantes des autorités de santéEn mars 2013, la Haute autorité de santé précise que le service médical rendu par Gardasil “est important dans la nouvelle population recommandée par le Haut conseil de la santé publique (HCSP) dans le calendrier vaccinal en vigueur dans les indications de l’autorisation de mise sur le marché (AMM)“. Rappelons que dans le calendrier vaccinal actuel, la vaccination contre le papillomavirus est recommandée entre les âges de 11 et 14 ans. De son côté, dans son rapport mis à jour en juin 2013, le Comité consultatif mondial de la sécurité vaccinale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) précise, dans le chapitre correspondant à la mise à jour sur les vaccins contre les papillomavirus humains, que “pendant les 4 dernières années, les données d’innocuité ont continué de s’accumuler à mesure que les pays lançaient et étendaient leurs programmes de vaccination“.Les vaccins contre les papillomavirus font l’objet

d’une surveillance renforcée par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et des mesures ont été prises aux niveaux national et européen pour évaluer les effets indésirables, les effets sur la femme enceinte ou encore le développement de pathologies auto-immunes. Selon le dernier

bilan de l’ANSM datant de fin 2011, “1 672 cas d’effets indésirables ont été notifiés, dont 352 cas graves depuis la commercialisation jusqu’au 20 septembre 2011“, soit un taux de notification de 38 pour 100 000 doses de vaccin distribuées et un taux de notification des effets graves de 8 pour 100 000 doses. Selon l’ANSM, “ce bilan est proche des données publiées dans d’autres pays et ne fait pas apparaître de signal particulier“.Les études conduites en France et à l’étranger pour évaluer la possible association entre cette vaccination et la survenue de sclérose en plaques (comparaison entre des cohortes de jeunes filles vaccinées ou non vaccinées) n’ont indiqué aucune augmentation du risque d’apparition de cette maladie.Vaccins contre les papillomavirus : des recommandations vaccinales récemment changéesPlus de 136 millions de doses de Gardasil ® ont été distribuées à travers le monde depuis son lancement. Il n’est pas obligatoire en France mais recommandé pour toutes les jeunes femmes de 11 à 14 ans. L’âge recommandé a été rajeuni lors de la dernière mouture du calendrier vaccinal afin d’augmenter la couverture vaccinale face aux papillomavirus (HPV). Aujourd’hui, cette couverture reste insuffisante selon les autorités de santé nationales. La couverture contre les papillomavirus était de 31,3 % en 2009 et est descendu à 22,9 % en 2012… Recommander une première vaccination à 11 ans devait permettre d’augmenter la couverture vaccinale, en faisant coïncider une dose de ce vaccin avec le rappel diphtérie, tétanos, polio et coqueluche prévu à cet âge (… et permettait accessoirement de ne plus avoir de concordance temporelle entre l’âge de la vaccination et l’âge le plus probable de survenue de sclérose en plaques).Plus récemment, une étude tendait à montrer qu’une seule dose de Cervarix® (l’autre vaccin contre les papillomavirus) pourrait suffire à offrir

une protection suffisante et durable.Rappelons enfin qu’en dehors des vaccinations contre les papillomavirus, la prévention du cancer du col de l’utérus repose sur le dépistage régulier par frottis. Entre 25 et 65 ans, il est conseillé aux femmes de procéder à un frottis tous les 3 ans, puis un tous les deux ans après 65 ans. Mais seules 57 % des 17,5 millions de femmes concernées procèdent effectivement au dépistage par frottis. Ce qui conduit certains experts à recommander un

dépistage organisé systématique.A la lumière de ce cas dramatique, une seule question principale se pose : le bénéfice escompté en termes de réduction du nombre de cancers du col utérin est-il supérieur au risque d’effets secondaires graves liés à ce vaccin ? Aujourd’hui, l’Agence nationale de sécurité du médicament et le Haut Conseil de Santé publique répondent par l’affirmative.Et vous, qu’en pensez-vous ? Venez-vous exprimer sur nos 

Forums.Dr Jesus Cardenas et David Bême
Sources
Avis de la Commission de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (CRCI) de la région Aquitaine réunie en formation de règlement à l’amiable le 18 septembre 2013 à Bordeaux, concernant l’affaire de la jeune fille plaignante.
– Communiqué de presse du laboratoire Sanofi Pasteur MSD du 24 novembre 2013.
– JDD – 24 novembre 2013
– Haute autorité de santé (HAS). Avis de la Commission de la transparence du Gardasil, daté du 20 mars 2013 (

disponible en ligne).
– Organisation mondiale de la santé (OMS). Comité consultatif mondial de la sécurité vaccinale, 12-13 juin 2013 (

document en ligne).

Le Viagra bon pour le cœur ?

May 20, 2020 | News | No Comments

Le Viagra est le médicament phare de ces dernièresannées. Destiné à soigner lesdysfonctionnements érectiles, il pourrait bientôttraiter le cœur et les poumons.
En effet, une équipe de chercheurs d’Europe del’Est et de Grande-Bretagne a étudié les effetsdu sildénafil, le principe actif du Viagra, surl’hypertension pulmonaire. Ce problème est liéà une pression trop élevée dans lesartères qui entourent les poumons. Il peut notammentêtre dû à une malformation cardiaque. Lesscientifiques ont cherché à évaluer les effetsde la petite pilule bleue sur cette maladie. Ils ont placé10 volontaires dans une atmosphère pauvre en oxygène,provoquant artificiellement une hypertension pulmonaire.Résultat : les sujets ont vu la pression dans leursvaisseaux augmenter de 50 %. Puis ils leur ont donné duViagra et ont renouvelé l’expérience. Cettefois, aucune hypertension pulmonaire n’a étédétectée ! Ce résultat a d’ailleursété confirmé par des études similaireschez des souris.
Les indications du Viagra vont-elles être étendues ?Il est pour l’instant trop tôt pour le dire. Leproblème qui se poserait alors serait celuid’éventuels effets secondaires plutôt…gênants !
Source : Circulation, juillet 2001, vol. 104 : p.424-428Click Here: Cardiff Blues Store

Après 50 ans : faites tester votre vue !

May 20, 2020 | News | No Comments

La dégénérescence maculaire liéeà l’âge (DMLA) est la première cause demalvoyance en France. Un million de personnes sontconcernées. Cette maladie, dont la fréquence augmenteavec l’âge, est liée à unedégénérescence de la partie centrale de larétine, la macula. Cela entraîne une baisse, voire uneperte de la vision centrale précise. Les difficultéspour la lecture, la conduite, regarder la télévisionapparaissent. Détecter précocement le problèmeest essentiel pour pouvoir intervenir. C’est pourquoil’association Retina France, en partenariat avec laSociété Française d’Ophtalmologie (SFO),le Syndicat National des ophtalmologistes de France (SNOF) etl’Association Représentative des Initiatives enBasse-vision (ARIBa) lancent une campagne nationale desensibilisation et de dépistage. Il est ainsi proposéaux personnes de plus de 50 ans d’appeler un numéroAzur, le 0810 30 20 50, afin de recevoir une brochure etd’être orientées vers un centre dedépistage. Alors, si votre vision s’estlégèrement altérée ces derniers temps,n’hésitez pas à vous faire dépister!
Source : communiqué de l’associationRetina FranceClick Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Du nouveau sur l'IVG médicamenteuse

May 20, 2020 | News | No Comments

30 ans après la légalisation de l’avortement, l’IVGmédicamenteuse peut être pratiquée enmédecine « de ville », et remboursée.Philippe Douste-Blazy, a signé vendredi 26 novembre unecirculaire attendue, relative à l’amélioration desconditions de réalisations des interruptions volontaires degrossesses. Ainsi, cet acte peut aujourd’hui êtreeffectué sous la surveillance d’un gynécologue oud’un médecin généraliste travaillant enréseau avec un établissement de santé aveclequel il a passé convention. Cette méthode ne pourrapas être utilisée au-delà de 7 semainesd’absence de règles. Concrètement, la femmeeffectuera une première consultation chez son médecinqui l’informera des différentes techniques et lui proposeraun entretien psycho-social. Lors d’un deuxième rendez-vous,elle signera un consentement, puis au cours de la troisièmeconsultation, un comprimé de Mifégyne®(Mifépristone) lui sera administré. 48 heures plustard, la femme devra prendre le Gymiso® (Misoprostol). Il fautsavoir que la Mifépristone interrompt la grossesse et leMisoprostol provoque l’évacuation de l’oeuf, comme lorsd’une fausse-couche. Enfin une visite de contrôle estobligatoire 15 à 20 jours plus tard. Si cette méthodeest efficace dans 98 % des cas, dans 2 % des cas, la grossesse peutcontinuer. Aussi il est impératif de revoir sonmédecin pour s’assurer de l’absence de complications.Click Here: camiseta seleccion argentina

ATLANTA, GA — A toddler battling cancer had her medicine stolen, her family tells WHNS. Thieves broke into their car when it was parked at the downtown Atlanta Sheraton; the family is in the city while the little girl undergoes treatment at Children’s Healthcare of Atlanta. Her daughter’s cancer medicine was stolen, along with cancer beads and a diary.

“There’s only a 20 percent chance my daughter is going to live to the age of four,” Hailey Allen tells the station.

The couple were led to a house last Thursday morning in Union City following a tracking device the suspects picked up. The parents said they called 911 so an officer could escort them to the door. Without a warrant, the officer couldn’t go inside.

“He said his son had just gotten home two hours previously and he was sleeping so he wasn’t going to wake him up and told us he didn’t care that our daughter had cancer,” Allen said of a resident who was confronted.

The family is asking the public to help them identify the thief. According to Atlanta Police, the investigation is on-going.

Learn more about Hailey-Holder here. A GoFundMe site has been established to help the family with Hailey’s medical expenses. So far, about $46,000 has been donated toward the $100,000 goals.

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UPDATE: A former agent of Delonte West confirmed that the retired NBA star is the man in handcuffs in the video a Prince George’s County Police officer posted to social media, according to news reports. The officer who posted the video has been suspended and remains the subject of an internal investigation.

Aaron Goodwin, West’s former agent, told TMZ Sports that West was the subject of the video that showed him in handcuffs following a fight. He went on to say that West is with his family recovering from injuries he received during the fight and need further assistance.

A representative from the PGCPD public information office told Patch the department could not confirm that the video showed West and that it does not identify victims involved in incidents under investigation.

In high school, West played basketball for Eleanor Roosevelt High School in Greenbelt. He played basketball for Saint Joseph’s University in college, before going on to an NBA career playing for the Boston Celtics, Seattle SuperSonics, Cleveland Cavaliers and Dallas Mavericks.

West’s former St. Joseph’s teammate posted a message about the video his Twitter account:

Patch’s Original Story:

LANHAM, MD — A Prince George’s County Police officer has been suspended and remains under investigation after a video believed to have been taken during a police investigation showing a handcuffed individual was posted to social media, according to a police release.

“That action was irresponsible,” said Police Chief Henry P. Stawinski III, in a video press conference Tuesday afternoon. “My information, preliminarily, is that video was taken by a Prince George’s County Police officer who had responded to a call for two individuals engaged in a fight yesterday morning. Let me just cut to the chase and tell our community that that’s under investigation. The individual who we believe to be responsible for taking that video is suspended and the suspect in an internal investigation.”

Stawinski went on to add that if it’s determined the video was taken as evidence in an investigation and it was mishandled by the suspended officer or any other individual, then they would be under investigation as well.

On Jan. 20, at about 9:45 a.m., officers responded to the report of a fight between two men in the 6700 block of Oxon Hill Road in Oxon Hill.

Arriving on the scene, officers determined the two men were no long fighting, but one of them was bleeding from his face. Officers handcuffed the second male as patrol officers began their investigation of the scene.

After speaking to both men, they interviewed an independent witness, who saw both men fighting with each other. The witness claimed the handcuffed man had started the altercation by hitting the other man with a glass bottle. The second man responded by striking the other man. A witness had recorded video of a portion of the fight on a cellphone.

Officers learned that the two men knew each other and had been involved in a separate dispute earlier in the day. The second man had spotted the handcuffed man later walking on Oxon Hill Road. Police requested emergency medical assistance, but both men refused treatment or transportation to a hospital.

PGCPD detectives arrived on the scene, interviewed witnesses, reviewed the cellphone video and spoke to both men. Neither of the men chose to press charges and they both refused to cooperate with the detectives. After a 45 minute on-scene investigation was completed, both men were released and advised they had a year and a day to press charges against each other through a district court commissioner.

On Jan. 21, at 12:15 p.m., PGCPD learned that video of the man in handcuffs recorded by a police officer was posted on social media. The circumstances surrounding the video and its release are part of an internal investigation.

According to Stawinski, the video shows only a portion of the altercation and may misrepresent what one witness described as a very protracted fight.

“That person who was the aggressor was the individual you see on the ground,” he said, describing the video in question. “Now that’s contradicted entirely by the video, and I know my community is going to be troubled when it sees that video. I’m troubled by these events as well. The video shows one person on the ground and the other person as primarily the aggressor.”

Stawinski said that after detectives had interviewed both men and the witnesses and viewed the video, they were unable to determine who was primarily responsible for the fight.

“The independent witness provides one perspective of who was primarily responsible. The video tends to point in another direction,” he said.

Stawinski has directed detectives to follow up with both of the men involved in the altercation. In addition, he asked PGCPD’s mental health capacity to reach out to the two men and offer assistance.

“I’m troubled by this video,” Stawinski said. “I’m particularly troubled by the fact that it appears to have been taken by a Prince George’s County Police officer and released to the community. I’m troubled by what I see in the citizen’s video. But I also have to weigh that against the statements of an independent witness.”

This remains an ongoing investigation.

M.A.C Cosmetics annonce avoir enrôlé la chanteuse Sia comme nouvelle porte-parole de sa gamme solidaire Viva Glam, dont les bénéfices sont reversés à des associations pour venir en aide aux femmes, hommes et enfants touchés par le VIH/Sida. Une annonce qui intervient à l’occasion de la journée mondiale du sida, ce vendredi 1er décembre.

Après Taraji P. Henson et Jussie Smollett, c’est au tour de l’interprète de “Chandelier” et “Cheap Thrills” de devenir l’ambassadrice de la ligne Viva Glam de M.A.C Cosmetics. L’auteure-compositrice-interprète australienne incarne les désormais célèbres rouges à lèvres de cette gamme solidaire destinée à aider les personnes touchées par le VIH/Sida dans le monde.Pour cette nouvelle collaboration, M.A.C et Sia dévoilent un rouge à lèvres Viva Glam à la couleur profonde et intense, décliné dans une texture mate. Celui-ci sera disponible à compter de janvier 2018. L’intégralité des bénéfices de la vente du produit sera reversée à des associations oeuvrant pour la lutte contre le VIH/Sida.A l’occasion de la journée mondiale du Sida, la marque de cosmétiques invite également le public à aborder la cause de la maladie sur les réseaux sociaux via le hashtag #VivaGlam.Pamela Anderson, Christina Aguilera, Cyndi Lauper, Elton John, Ricky Martin, Missy Elliott, Miley Cyrus, Rihanna, Lady Gaga ou encore Ariana Grande, comptent parmi les personnalités qui ont été associées au projet depuis plus de deux décennies.Pour le moment, le MAC AIDS FUND est parvenu à collecter pas moins de 470 millions de dollars.(AFP RelaxNews)Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Rien ne sert de vous forcer à pédaler pendant uneheure sur votre vélo d’appartement pour vous donner bonneconscience. S’il ne s’agit pas d’une activitérégulière, vous n’améliorerez ni votresanté, ni votre physique ! En effet, l’étude du Pr.Klaas Westerterp, de l’Université de Maastricht le prouve.Ces résultats sur les conséquences du degréd’activité physique sur la santé plaident en faveurd’une activité physique régulière
Pendant deux semaines, il a mesuré à l’aide d’unappareil portatif, le “Tracmor“, le type d’activitéeffectuée par 30 adultes des deux sexes, non obèses,ainsi que leur dépense énergétique. Il aensuite pu les regrouper en trois groupes d’activité, faible(repos, assis ou debout), modérée (marche ouvélo) et intense (ménage, sport et gymnastique). Sesrésultats ont clairement montré que seule uneactivité physique régulière, mêmemodérée, influençait le métabolismeénergétique.
Selon lui, quelques petits conseils d’hygiène de viesuffiraient à perdre quelques kilos en trop.Préférer une promenade avec son chien à desheures passées devant la télévisionpermettrait de voir ses dépenses énergétiquesaugmenter de façon significative. Laissez la voiture augarage et enfourchez votre vélo ou chaussez vos rollers pourles courses de proximité ! Quant aux courtes périodesd’activité physique, aussi intenses qu’elles puissentêtre et même associées à une restrictionalimentaire, elles ne font absolument pas maigrir ! Faut-il pourautant déserter les salles de sport ? Non, car un peud’activité est meilleure que pas d’activité du tout.Cependant avec le retour des beaux jours, n’hésitez pasà investir dans un nouveau vélo pour aller travailler!
Source : Nature 29 Mars 2001, Vol.410, 539Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks