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La ménopause n’arrive pas brutalement. Elle estprécédée d’une période plus oumoins longue appelée périménopause. Cesquelques années d’irrégularités menstruellesprécèdent la cessation définitive desrègles.
Durant cette période, la production d’hormonessexuelles diminue et provoque des troubles des règles :allongement ou raccourcissement du cycle, modification d’abondanceou de durée des règles, saignements abondants etfréquents laissant peu d’intervalle entre eux et dessymptômes proches du syndrome prémenstruel (tensiondes seins, ballonnement abdominal, etc.). Mais c’est àun tout autre sujet que se sont intéressés leschercheurs de l’Université de Pennsylvanie. Ils ontévalué l’impact de la diminution progressivedes taux d’estrogènes sur ladétérioration du sommeil.
Pour vérifier leur hypothèse, ils ontétudié pendant deux ans 218 femmes blanches et 218femmes de couleur âgées de 35 à 47 ans etprésentant des cycles menstruels réguliers.Interrogées sur la qualité de leur sommeil, cesfemmes ont subi à quatre reprises une prise de sang pourdoser les variations hormonales, dont l’estradiol.Résultat : 17 % des femmes rapportèrent des troublesdu sommeil à chaque périoded’évaluation. Les auteurs ont mis en évidencedifférents facteurs affectant directement la qualitéde leur sommeil : une plus forte incidence de bouffées dechaleur, une prédisposition àl’anxiété et la dépression, une forteconsommation de caféine et enfin un faible tauxd’estradiol chez les femmes de 45 à 49 ans. Selon leschercheurs, les bouleversements hormonaux de lapériménopause peuvent ainsi directement affecter lesommeil des femmes durant cette période. De plus amplesétudes devront néanmoins déterminer si untraitement hormonal substitutif peut avoir l’effet inverse etaméliorer le repos des femmes de plus de 45 ans.
Source : Obstet Gynecol 2001 Sep;98(3):391-397

Un sourire de star hollywoodienne

May 19, 2020 | News | No Comments

Nous avons tous rechignés à porter des baguesargentées à l’heure de nos premiers flirts.Résultats : 80 % d’entres nous ont une ou plusieursdents en mauvaise position. Pourtant quand les dents sont malalignées, seul un appareil peut rectifier le tir.Coté esthétique, l’orthodontie a beaucoupprogressée ces dernières années. Onconnaissait déjà les bagues en céramiquestransparentes, ou encore les appareils disposés sur lasurface interne des dents, voilà que débarque desEtats-Unis un tout nouvel appareil quasi invisible. Il s’agiten fait d’une série de gouttières transparentesfaites sur mesure. Chaque gouttière se porte 15 jours etmillimètre par millimètre les dents sedéplacent jusqu’à la position définiepar l’orthodontiste.
Les plus :
– Amovible, on l’enlève au moment du brossage, ilpermet une bonne hygiène dentaire ;
– Les prix sont du même ordre que pour un appareiltraditionnel.
Les moins :
– Seuls les adultes peuvent pour l’instant enbénéficier puisqu’il faut avoir terminésa croissance.
Sources : Invisalign

Du thé pour les os

May 19, 2020 | News | No Comments

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La liste des vertus du thé s’allonge encore. Ainsi cetteboisson aux propriétés anti-oxydantesdéjà connues serait égalementbénéfique pour les os. C’est la conclusion d’uneétude taiwanaise menée sur plus de 1000 personnes.Après les avoirs interrogées sur leurs habitudes deconsommation, les chercheurs ont mesuré leur densitéosseuse aux rayons X. Le résultat était sanséquivoque : les buveurs de thé depuis au moins sixans avaient un squelette plus solide que les autres. Lerésultat maximum semblait être atteint au bout de dixans de consommation régulière. Les chercheurs neproposent pas d’explication à ce phénomènemais évoquent un effet des flavonoïdes ou du fluorcontenus dans ce breuvage. Là où ces résultatssont néanmoins surprenant, c’est que le thé contientde la caféine (certes à moins fortes doses que lecafé). Or cette substance est connue pour diminuer ladensité osseuse, une relation que vient donc contredirecette recherche. Attention, comme cette étude le souligne,c’est la durée, plutôt que la qualité, quisemble être le facteur déterminant. Inutile donc deboire trois litres de thé pour transformer vos os enbéton. Commencez à en boirerégulièrement aujourd’hui, pour espérer unbénéfice dans 10 ans…
Source : Archives of Internal Medicine, mai 2002 ;vol. 162 : p. 1001-1006.

Les Oméga 3 attaquent

May 19, 2020 | News | No Comments

Qui n’a pas entendu parler des fameux acides grasOméga 3 ? Ces molécules, que l’on trouvenotamment dans le poisson ou la margarine, sontréputées pour leurs vertus protectrices sur lesvaisseaux sanguins. En effet, les Oméga 3 augmententnotamment le taux de bon cholestérol dans l’organismeet évitent la formation de caillots dans le sang. Il estdonc important d’en consommer pour éviter les risquescardiovasculaires.
Une étude montre que même après un infarctus,les acides gras Oméga 3 gardent tout leurintérêt. Un essai sur 11 323 patients aété mené sur trois ans et demi pour diminuerles risques de mortalité après un accidentcoronarien. Cette étude a utilisé une formemédicamenteuse des Oméga 3, pour éliminer lavariabilité de la prise alimentaire. Et les résultatssont spectaculaires : l’apport en Oméga 3 de 1 g parjour permettait de réduire de 30 % la mortalitéliée aux maladies cardiovasculaires et de 20 % lamortalité toutes causes confondues. Mieux, l’effetprotecteur apparaissait très rapidement : dès letroisième mois !
Ces données sont donc extrêmementintéressantes. En effet, il y a chaque année enFrance plus de 100 000 infarctus du myocarde. Parmi ces accidents,20 % des victimes décèdent pendant cet accident et 10% dans les mois qui suivent. Prévenir cette mortalitéest donc essentielle. A noter : ces Oméga 3 sous formemédicamenteuse viennent d’être autorisésau niveau européen et devraient arriver sous peu en France.En attendant pour protéger votre cœur, pensez poissonet margarine !
Source : Circulation, avril 2002 ; vol. 105 : p.1897-1903. et communiqué de presse des laboratoires PierreFabre.

La dépression est une véritable maladie. De plus en plus fréquente, elle est aussi de mieux en mieux traitée. Le médecin généraliste dispose aujourd’hui de nombreuses armes pour aider les malades à sortir du cycle infernal et éviter les échecs des traitements. Le point sur un allié pour retrouver le sourire.

La dépression est une maladie très bien connueaujourd’hui. On estime que 5 % de la population estconcernée. Et il n’existe pas de parité en lamatière, puisque 2 femmes sont touchées pour unhomme.Votre médecin, votre alliéSi l’on a l’habitude de penser aux psychiatres et psychologues poursoigner nos maux de la tête, la réalité esttout autre. Dans les faits, les médecinsgénéralistes sont en première ligne dans letraitement de la dépression. Ils sont les premiersconsultés par les personnes qui connaissent des troubles del’humeur et sont aujourd’hui bien formés pourreconnaître les symptômes de la dépression.Votre médecin est à même de vous proposer untraitement adapté, en fonction de la gravité de votreétat, mais aussi de votre histoire et des difficultésque vous rencontrez. Sachez qu’il vous prescrira certainement unantidépresseur (inhibiteur sélectif de la recapturede la sérotonine ou une molécule plus ancienne). Maisdans tous les cas, il ne faut pas négliger l’approchepsychothérapeutique globale, qu’il s’agisse d’un soutienpsychologique, d’une thérapie comportementale et cognitiveou autre… Discutez-en avec votre médecin. Il travaillecertainement de concert avec des psychologues ou psychiatres verslesquels il pourra, si vous le souhaitez, vous orienter.Gare aux échecsEn matière de dépression, l’échec dutraitement n’est pas rare. Pour connaître les facteurspermettant de prédire le risque de rechutes, leslaboratoires Chiesi ont réalisé une vasteenquête auprès de 1 600 généralistes,baptisée ORPHEE. Les médecins devaient noter laréussite ou non du traitement qu’ils mettaient en place, aubout de 4 à 8 semaines. Puis ils devaient le mettre enrapport avec différentes caractéristiques du patient.Leurs conclusions permettent de mieux comprendre lesdifficultés rencontrées lors du traitement de lamaladie dépressive. Ainsi, ils ont constaté que lerisque d’échec était plus élevé si unautre trouble existait (anxiété, alcool..). Demême, si le patient est réticent à prendre desantidépresseurs, ces médicaments ont moins d’effets.Les antécédents du patient jouent également unrôle important dans le risque d’échec.Consulter le plus tôt possibleIl ressort également de cette l’étude que ledélai moyen entre l’apparition des symptômes et lapremière consultation est de 11 semaines et que plus lapersonne attend, plus le risque d’échec est important…Selon le Pr. Philippe Nuss, de l’hôpital Saint-Antoine, il nes’agit pas simplement du fait que la dépression est“aggravée“ par le temps, mais la difficulté àse rendre chez son médecin traduirait plutôt unegêne à parler de ses problèmes, des tendancesau repli sur soi et ces malades seront donc plus difficile àtraiter.Alors n’attendez pas pour consulter ! Certes pour en parlerrapidement avec son médecin, il est important de se sentiren confiance. Et il est bien sûr essentiel qu’il vous associeau soin, en vous apportant une réponse adaptée. Enretour, n’oubliez pas l’importance de suivre jusqu’au bout letraitement prescrit. Et si vous ne ressentez pasd’amélioration, ou si vous éprouvez des effetssecondaires gênants, n’hésitez pas à lesignaler. Votre traitement pourra être modifié pourvous permettre rapidement de voir la vie du bon côté!Alain SousaSource : Dépression et anxiété, lesdéfis pour le médecin généraliste,Présidé par le Pr. Maurice Ferreri et parrainépar les laboratoires Chiesi, Medec 2004.

Manger bio, c'est pas si cher !

May 19, 2020 | News | No Comments

La plupart des consommateurs le disent : manger bio a un coût ! Il est vrai que la plupart des produits sont 10 à 20 % plus chers élevé que leurs homologues classiques. D’où vient cet écart de prix ? Peut-on manger bio à moindre frais ? Tour d’horizon pour concilier capital santé, empreinte écologique et porte-monnaie…

Le bio connaît un succès grandissant. Le nombre d’agriculteurs bio a ainsi été multiplié par trois en 10 ans, et aujourd’hui 540 000 hectares sont cultivés en biologique en France. Près de la moitié des français achète au moins un produit bio par mois. Pourtant, le bio ne représente en volume que 2 % des achats. Car de nombreux consommateurs ne font pas cette démarche pour une raison simple : le prix !
Pourquoi c’est plus cher ?
Bien sûr, les produits issus de l’agriculture biologique sont chers. Mais cela est malheureusement justifié : les agriculteurs qui ont choisi cette filière ont des rendements plus faibles que leurs homologues. Par exemple, une vache laitière “conventionnelle“ fourni jusqu’à 10 000 litres de lait par an, alors qu’une vache élevée selon les principes du bio ne produira “que“ 4 500 litres de lait. Sans parler des coûts d’exploitation souvent supérieurs, et du prix de la certification biologique. D’ailleurs, de nombreux agriculteurs soulignent le manque de soutien de l’Etat et des collectivités. Pourtant, en n’utilisant pas de pesticides ou d’engrais, les agriculteurs bio permettent de diminuer le coût des traitements des eaux…
Un argument qu’ils utilisent pour demander des aides plus importantes.
Epargnez votre porte-monnaie…
Alors comment faire pour manger bio sans se ruiner? Il faut savoir que les grandes surfaces proposent des prix attractifs. Et certains ont une gamme très étendue, c’est le cas de Monoprix qui s’est lancé dans le bio dès 1993, et de Carrefour, qui proposait du pain bio dès 1991. “Carrefour Bio“ existe depuis 1997.
Par ailleurs, de nombreux magasins bios se sont ouverts, et proposent un large choix à tous les prix. Certaines chaînes telles que Biocoop ont décidé de démocratiser les produits, en baissant les prix sur les aliments de consommation courante : oeufs, sucre, riz, confiture, thé, café… Pour cela, la chaîne baisse les marges, en espérant que l’arrivée de nouveaux consommateurs va compenser la perte. De quoi se mettre au vert sans être dans le rouge !
Enfin, pourquoi ne pas “sauter“ les intermédiaires, et vous adresser directement aux producteurs près de chez vous ? L’agence bio propose un annuaire avec plus de 5 000 adresses dans toute la France. Vous le trouverez à l’adresse : http://annuaire.agencebio.org.
Certes, si vous habitez en Ile de France, vous aurez du mal à trouver des agriculteurs bio… Mais ne désespérez pas, la situation devrait s’améliorer : le conseil régional a prévu de transformer tout le secteur en “écorégion“…
Des bio enfants !
Assez paradoxalement, les produits pour enfant bio ne sont pas franchement plus chers que les produits équivalents de grandes marques. Petits pots pour bébé, compotes ou biscuits pour les plus grands qui ne sont pas trop onéreux. Des marques telles que Kalibio sont spécialisées dans l’offre enfant. A noter, votre enfant est peut-être déjà habitué à manger bio, si vous habitez paris notamment : les cantines scolaires parisiennes proposent une fois par semaine des aliments bios. Certes, le choix reste limité : carottes, pommes de terre, épinards et steaks hachés sont au menu. Et il faut reconnaître que dans ce cas, le surcoût est important pour la municipalité : 200 000 Euros supplémentaires (pour un budget total de 1,8 millions…) Mais donner à vos enfants le goût de bien manger n’a pas de prix !
Le vrai coût des aliments
Difficile aujourd’hui d’acheter sans regarder au-delà de l’étiquette du prix, et s’intéresser à la provenance des produits et leur mode de production. D’ailleurs, le premier geste bio, c’est d’acheter local : en évitant le transport par camion, avion, etc. On limite ainsi la pollution et l’émission de gaz à effet de serre. A ce propos, les pommes Bio de Nouvelle Zélande et autres fruits et légumes bio en provenance de pays lointains sont une contradiction !
Acheter bio est certes un peu plus cher, mais quand on le peut, c’est une démarche qui a long terme est forcément bénéfique pour le consommateur !
Alain Sousa
Un livre pour en savoir plus :
“Manger bio, c’est pas cher“ de France Guillain, éditions Jouvence, 4,90 Euros

Now that the awards season is in full swing, it’s time to turn the spotlight on the 62nd Annual Grammy Awards, which will take place Sunday at the Staples Center in Los Angeles. For the second time, musician Alicia Keys is back on the Grammy stage as host of the awards ceremony, presented by the Recording Academy, to honor the outstanding achievements in the music industry.

This year, singer-rapper Lizzo leads the pack of contenders with eight nominations, while 18-year-old neo-goth songstress Billie Eilish and country-rap artist Lil Nas X follow closely behind with six nominations each.

Since the Grammys’ inception in 1959, this is the first year ever that two new artists — Lizzo and Eilish — have both garnered nominations in the top four Grammy categories: Album of the Year, Record of the Year, Song of the Year and Best New Artist.

But the musical beat does not stop there — real-life couple Blake Shelton and Gwen Stefani are also set to perform together live for the first time in Grammy’s history.

Now that we have piqued your interest, here’s everything you need to know about music’s biggest night of the year.


Where, When And What To Watch The 2020 Grammys:


‘The Premiere Ceremony’ at 12:30 p.m. PT/3:30 p.m. ET

Grammy.com will kick off the 2020 Grammy Awards with a livestreamed premiere ceremony Sunday preceding the 62nd Annual Grammy Awards. Slated to perform at the event are Nicola Benedetti, Chick Corea, I’m With Her, Angelique Kidjo and Yola.


‘E! Live From The Red Carpet’ at 1 p.m. PT/4 p.m. ET


Get all the scoop on the latest fashion trends and winner predictions from the red carpet. Watch Ryan Seacrest and Giuliana Rancic as they welcome celebrities, nominees, presenters and performing artists, including Ariana Grande, Demi Lovato, Taylor Swift, Camila Cabello, The Jonas Brothers, Aerosmith, Run-DMC, Bonnie Raitt, H.E.R., Dua Lipa and many more.


2020 Grammy Awards Tributes


The Grammys will pay tribute to the late rapper Nipsey Hussle with show-stopping performances by John Legend, DJ Khaled, Meek Mill and Kirk Franklin. Posthumously, Hussle is nominated for Best Rap Performance, Best Rap/Sung Performance and Best Rap Song.

The Recording Academy will also honor the legacy of the late Grammy legend Prince with a special celebration featuring an all-star tribute concert, enlisting the likes of Alicia Keys, Beck, Chris Martin, Juanes and many more.


‘The 62nd Annual Grammy Awards’ on Sunday at 5 p.m. PT/8 p.m. ET

See if your predictions ring true as the 62nd Annual Grammy Awards, hosted by Alicia Keys, airs live on CBS from the Staples Center in Los Angeles. For those without access to a TV set, the awards ceremony can be streamed live through CBS’s website.


The 2020 Grammy Awards Nominees:


Album of the Year


Record of the Year


Song of the Year


Best New Artist


Best Pop Solo Performance


Best Pop Duo/Group Performance


Best Pop Vocal Album


Best Traditional Pop Vocal Album


Best Rap Album


Best Rap Song

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Best Rap Performance


Best Rap/Sung Collaboration


Best Rock Performance


Best Metal Performance


Best Rock Song


Best Rock Album


Best Alternative Music Album


Best R&B Performance


Best Traditional R&B Performance


Best R&B Song


Best Urban Contemporary Album


Best R&B Album


Best Latin Rock, Urban or Alternative Album


Best Dance Recording


Best Dance/Electronic Album


Best Comedy Album


Best Spoken Word Album (Includes Poetry, Audio Books & Storytelling)


Best Remixed Recording


Best Compilation Soundtrack for Visual Media


Best Score Soundtrack for Visual Media


Best Song Written for Visual Media


Best Recording Package


Best Boxed or Special Limited Edition Package


Best Album Notes


Producer of the Year, Non-Classical


Best Music Video


Best Music Film

PHILLIPS, WI — Florence Teeters was born in a small town in rural Wisconsin as World War I began to rage in Europe. She still lives in that small Wisconsin town.

She survived the great pandemic flu outbreak of 1918, lived through the Great Depression as a teen, and saw a man walk on the moon when she was in her 50s, and saw the Chicago Cubs win the World Series when she was 101.

And this past weekend, at the age of 104, Florence Teeters did something she’s never done before — she shot and killed a buck during her first-ever hunting trip. More than a half-million hunters applied for and received hunting licenses in Wisconsin this year. State officials are pretty sure she’s the oldest.

Florence’s son Bill went with her to the local gas station, Ball Petroleum, to get her first hunting license. The staffers working behind the counter were amazed as they tended to Florence’s license — and snapped a photo of her license.

Days later, they took another photo. But this time, donning an orange hunting jacket and orange hat, Florence was smiling in the parking lot with her first kill in the bed of a pickup truck.

“I took Mom out to the blind this year,” Bill said in an NBC 15 report. “I had a nice chair for her, and it was nice and warm. A little after 4 p.m., a buck shows up about 30 yards away. I tapped her on the knee, and I pointed. She nodded and smiled and was real quiet. Then she took the shot!”

Bill said his mother’s kill was a “spike” buck — a smaller animal with un-branched antlers.

This wasn’t Florence’s first adventure this year. Loved ones shared a photo on social media of the 104-year-old adventurer zip lining.

Wisconsin Hunt Down From Last Year

In total, 90,286 deer were harvested by gun and registered statewide during the opening weekend of the gun deer hunt in 2019, compared with 123,090 in 2018, the Wisconsin Department of Natural Resources reported. A total of 46,866 bucks were registered on opening weekend, compared with 67,636 in 2018 — a decline of about 30 percent.

“In 2018, we held the earliest possible deer season followed by the latest possible season in 2019,” DNR big game ecologist Kevin Wallenfang said in a statement about the 2019 opening weekend. “This occurred between the 2012-13 and 2007-08 seasons as well, and we saw similar declines in opening-weekend registration totals.”

Despite the lower kill numbers, Wisconsin officials say more than half a million hunters purchased licenses to take part in opening weekend of Wisconsin’s 168th gun deer season.

According to state data released this week, sales for gun, bow, crossbow, sports and patron licenses reached 782,815 as of midnight Sunday. Of that total, 555,227 were for gun privileges only. This number includes gun, patron and sports licenses.

La méningite fait son retour dans l’actualité.Le ministère de la santé vient de décider delancer une grande campagne de vaccination semblable à celleeffectuée dans le Puy-de-Dôme en janvier dernier. Maiscette fois, ce sont trois départements du Sud-Ouest qui sontconcernés : les Hautes-Pyrénées, les Landes etles Pyrénées-Atlantiques.
Cette décision a été motivée par letaux d’infections à méningocoque C plusélevé que dans le reste de la France.
Le 8 octobre 2002, l’Institut de Veille Sanitaire recensait25 personnes frappées par le méningocoque C (6 dansles Landes, 7 dans les Hautes Pyrénées et 12 dans lesPyrénées-Atlantiques). Face à ces chiffres, ilconvient de stopper la progression de cette bactérie qui adéjà fait plusieurs morts. Ainsi, “Le comitétechnique des vaccinations (CTV) a recommandé la vaccinationcontre la méningite C des personnes les plus susceptiblesd’être exposées à cette infection (jeunesâgés de moins de 25 ans) dans ces départements“précise le communiqué de la Directiongénérale de la santé. Comme en débutd’année, les autorités se veulent rassurantes :“Le Comité technique des vaccinations précisequ’il ne s’agit pas d’une vaccination en urgencemais d’une mesure préventive destinée àprocurer une protection individuelle aux personnesconcernées avant le début de l’hiver“.
On sait déjà que l’ensemble des professionnelsde santé sera sollicité même si “la mise enplace des conditions de vaccinations avant la périodehivernale est en cours et sera communiquée par la Directiongénérale de la santé dans les prochainsjours“.
Il ne s’agit que d’une campagne de vaccination localeet il n’est toujours pas question d’étendrecette vaccination à toute la France comme c’est le casen Angleterre. Cependant, la situationépidémiologique nationale n’est pas comparable.La France se trouve parmi les pays à incidence faible,où le sérogroupe B prédomine. Mais pour cetype de méningite, il n’existe aucun vaccin…
Source : Communiqué de presse de la DGS du9 octobre 2002
Situation au 08/10/02 de l’InVS sur les infections invasivesà méningocoque dans le Sud-Ouest de la FranceClick Here: camiseta rosario central

D’après l’Institut de Veille Sanitaire, pasmoins d’un décès sur huit survenu en 1998 apour cause une maladie infectieuse. En se basant sur lesstatistiques nationales du Centred’épidémiologie CepiDc de l’Inserm,Françoise Pequinot et ses collègues ont isoléles décès liés à des maladiesinfectieuses durant la période 1979 à 1998.
Résultat : 66 000 cas sont plus ou moins liésà une maladie infectieuse. Les décès qui leursont directement attribuables se chiffrent à 33 000 parmilesquelles on compte 19 000 cas de pneumonie et de grippe, 1 400 desepticémie, 1 000 de sida, 1 400 de cardiopathierhumatismale, 725 de tuberculose, 750 d’infection intestinaleet 233 d’hépatite virale.
Par rapport à 1979, le risque de décès parmaladie infectieuse a augmenté de 16 % chez l’homme et21 % chez la femme. Les épidémies de grippe et desida en seraient les principales responsables. Si l’onexcepte l’épidémie de sida au cours desannées 1990, les auteurs jugent que le taux dedécès par maladies infectieuses a connu uneprogression modérée. Depuis 1995, le nombre dedécès par sida est en nette diminution grâceà la généralisation des traitements partrithérapie. Mais les auteurs soulignent que leshépatites et plus particulièrement leshépatites chroniques sont en progression (multipliépar 7 chez les hommes et par 5 chez les femmes entre 1979 et 1998).Cette évolution est-elle due à un meilleur recueildes cas ou à une réelle augmentation ? Les auteurs nepeuvent pas répondre à cette question.
Source : Rapport de l’Institut de VeilleSanitaireClick Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers