nouvelle étude danoise portant que près de 7 millions de malades hospitalisés démontre que les femmes sont en moyenne diagnostiquées plus tardivement que les hommes. Ces résultats suggèrent une prise en compte du sexe dans la prévention et le traitement d’un grand nombre de maladies.
Un diagnostic plus tardif pour la majorité des maladiesL’étude danoise a porté sur une large cohorte de 6 909 676 patients hospitalisés et sur une période de 21 ans (de 1994 à 2015). Environ la moitié de ces patients étaient des femmes (48,2%).Les chercheurs ont constaté que pour les mêmes maladies, le diagnostic se faisait en moyenne plus tardivement chez les femmes que chez les hommes : “Nous avons constaté que dans la majorité des cas, les femmes étaient diagnostiquées en moyenne à un âge plus avancé que les hommes. Les seules exceptions étaient
les néoplasmes, les maladies du sang et du système immunitaire et les maladies du système génito-urinaire” explique l’étude.Les femmes bénéficieraient donc d’un diagnostic plus tardif pour un grand nombre d’affections telles que : “les troubles endocriniens et métaboliques , les maladies des yeux et annexes , les maladies de la peau, les troubles musculo-squelettiques et les malformations congénitales”.
En analysant pas moins de 770 types de maladies, les femmes ont été diagnostiquées en moyenne plus tard que les hommes. Il y avait une différence moyenne d’environ quatre ans.
En cas de cancer, les femmes ont été diagnostiquées en moyenne 2,5 ans plus tard que les hommes.
Pour les maladies métaboliques telles que
le diabète, les femmes ont été diagnostiquées en moyenne environ 4,5 ans plus tard.
Deux exemples illustrent cette inégalité, concernant le trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (
TDAH), la différence est de presque 6 ans avec un diagnostic moyen chez les garçons à 14 ans et chez les filles à 20 ans. Les filles pourraient souffrir d’un type de TDAH, qui se manifeste de manière silencieuse et solitaire par opposition au comportement d’extériorisation souvent observé chez les garçons.A l’opposé,
l’ostéoporose constitue une des rares exceptions : les femmes sont diagnostiquées en premier, le plus souvent avant d’avoir subi une fracture, alors que c’est le contraire pour les hommes. Le diagnostic se faisant encore très souvent lors d’une fracture.Vers une médecine “stratifiée par sexe” ?L’étude démontre que les hommes et les femmes sont affectés par les mêmes problèmes de santé. Toutefois, ces pathologies ne sont pas manifestes au même âge (ou présentent une clinique et des symptômes différents) en fonction du sexe. Les chercheurs proposent de mieux prendre en compte la donnée du sexe dans la prévention et la prise en charge de la maladie.Les scientifiques ne savent pas encore si ces différences sont dues à la génétique, à l’environnement, à la culture, à des critères de diagnostic ou à un peu de tous ces paramètres. répondre à cette question est la prochaine étape de leurs travaux, en collaboration avec une équipe de recherche finlandaise.Mais sans en attendre les résultats, ils jugent dès maintenant nécessaire de prendre en compte ces différences dès la recherche clinique menée sur l’animal et chez l’homme, mais bien évidemment dans la clinique au quotidien.Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey
Une nouvelle étude scandinave montre qu’un régime alimentaire sain et équilibré préserve des maladies liées au mode de vie comme les pathologies cardiovasculaires et le diabète de type 2.
"La néophobie alimentaire augmente également le risque de développer des maladies cardiovasculaires ou le diabète de type 2", précisent les auteurs de l'étude.
On nous répète depuis notre plus tendre enfance qu’il est important de manger “de tout”. Une nouvelle étude scientifique publiée dans
The American Journal of Clinical Nutrition donne raison à ce précepte, souvent utilisé par les parents pour inciter leur enfant à manger des légumes verts. Néophobie ou la peur d’essayer de nouveaux aliments
Dirigée par l’Institut national finlandais pour la santé et le bien-être, l’Université d’Helsinki (Finlande) et l’Université de Tartu (Estonie), l’étude analyse un phénomène connu depuis peu sous le nom de “néophobie alimentaire“, qui désigne la réticence à intégrer de la nouvelle nourriture dans son régime alimentaire. A partir de deux cohortes estoniennes et finlandaises, l’étude a analysé les comportements liés à la néophobie alimentaire et leur impact sur la qualité du régime alimentaire ainsi que sur les maladies liées au mode de vie, en suivant plus de 4.000 individus âgés de 25 à 74 ans pendant sept ans. Augmentation des risques cardiovasculaires et du diabète de type 2
L’étude a révélé que la néophobie alimentaire est souvent liée à une consommation insuffisante de
fibres, de protéines et d’acides gras mono-insaturés et à une consommation plus importante de graisses saturées et de sel. De surcroît, une association significative a été établie entre la néophobie alimentaire et un niveau accru de marqueurs inflammatoires dans le sang. “La néophobie alimentaire augmente également le risque de développer des
maladies cardiovasculaires ou le diabète de type 2“, précisent les chercheurs. D’après les auteurs, les impacts de la néophobie alimentaire décrits dans cette étude se sont manifestés indépendamment du poids, de l’âge, du statut socio-économique, du sexe ou du lieu de vie des participants.
Pour les auteurs de l’étude, ces résultats renforcent l’idée selon laquelle une alimentation équilibrée et saine joue un rôle crucial dans la santé et que l’éducation représente la clé pour l’instaurer dès l’enfance. “Les facteurs héréditaires et notre génotype ne déterminent que notre prédisposition à la néophobie alimentaire. L’éducation et l’orientation en matière de mode de vie à l’âge adulte peuvent contribuer au développement d’une alimentation diversifiée“, explique Markus Perola, professeur de recherche à l’Institut national finlandais de la santé et du bien-être et co-auteur de l’étude.Click Here: pinko shop cheap
«Chassez le naturel, il revient au galop», écrit l’Express de Madagascar qui constate que les principaux partis engagés dans la course se trouvent désormais sur le même front dans la contestation des résultats publiés par la Ceni.
«La tension monte sérieusement au fur et à mesure que l’éventualité d’un second tour se précise. Peut-on encore aller au second tour quand ceux qui s’y sont qualifiés ne font plus confiance à l’organisateur de l’élection ?, s’interroge le quotidien malgache.
Le journal constate que ce sont les gagnants qui sont les premiers à remettre en cause les résultats fournis par la Ceni. C’est le cas du candidat Andry Rajoelina, classé en tête du scrutin et crédité provisoirement de 39,45% des voix.
Rumeurs de piratage informatique L’ancien président a d’ores et déjà retiré ses représentants à la commission électorale à laquelle il n’accorde plus de crédit. Selon la Gazette de Madagascar, il n’est pas exclu qu’il déclenche la mobilisation de ses militants pour dénoncer le dépouillement du scrutin. Avec un score au-dessus de plus de 50% enregistré dans les premiers jours du dépouillement, ses résultats ont ensuite fondu au fur et à mesure des opérations de dépouillement.
«Le quartier général d’Andry Rajoelina pointe un doigt accusateur sur le système informatique de la Ceni, lequel serait pénétré par des hackers nationaux ou étrangers. Ce qui provoquerait l’infléchissement de son score vers le bas», écrit la Gazette de Madagascar.
Le camp d’Andry Rajoelina n’est pas le seul à contester. Ses deux principaux rivaux, Marc Ravalomanana et Hery Rajoanarimampianina, sont aussi montés au créneau pour mettre en cause le travail de la commission électorale. Classé en deuxième position avec 36,43% des voix, le candidat Marc Ravalomanana soupçonne «une basse manœuvre» de la Ceni.
«Les partisans de l’ancien président pensent qu’il y a une manipulation des voix quelque part. Mais le camp Ravalomanana semble pourtant se résigner à la tenue d’un deuxième tour», croit savoir Tribune Madagascar.
«On commence à être fatigués…Qu’ils nous laissent travailler» Sous le feu des critiques, la Commission nationale électorale tape du poing sur la table. Son vice-président, Thierry Rakotonarivo, s’est adressé à la presse le 14 novembre pour dénoncer la mauvaise foi des candidats contestataires.
«Je peux vous dire qu’on commence à être fatigués. Nous demandons aux candidats de laisser la Ceni travailler tranquillement. On ne cache rien aux candidats. Et si les résultats issus de leur quartier général sont différents de ceux publiés par la Ceni, on est prêt à utiliser tous les documents en notre possession pour vérifier et même de faire le recomptage des voix», a-t il déclaré.
Mais pas question pour la Ceni de remettre ses procès-verbaux aux candidats comme ils le souhaitent. Ce n’est pas du tout prévu par la loi, a précisé le vice-président de la Commission nationale électorale. La tension ne cesse de monter à Antananarivo et suscite l’inquiétude de la société civile.
«Au fur et à mesure que les résultats sortent, les candidats n’ont pas les scénarios qu’ils souhaitaient. C’est pour ça qu’ils créent cette atmosphère délétère. Ils ont tous les trois peur des résultats», confie à RFI Faraniaina Ramarosaona, membre du mouvement Rohy.
La Ceni espère publier l’ensemble des résultats du premier tour vendredi 16 novembre. Click Here: cheap all stars rugby jersey
A demonstration held by drivers of Uber and Cabify in Madrid in 2018 | Gabriel Bouys/AFP via Getty Images
What top EU lawyer thinks about Uber, Airbnb and gig workers
The Polish CJEU advocate general behind major legal opinions affecting platform economy firms warms up for his next big case.
LUXEMBOURG — Maciej Szpunar may be the most important European tech influencer you’ve never heard of.
The Polish lawyer, an advocate general at the Court of Justice of the European Union in Luxembourg, is the legal mind behind two landmark opinions concerning Uber and Airbnb that are defining how platforms can operate in Europe.
In the former case he found that Uber’s business model meant it could be regulated like a transport firm, while in the latter he opined that Airbnb should be seen as a tech platform. Both opinions — which are non-binding but tend to influence the court’s final decision — are still reverberating through the EU’s tech ecosystem.
Now Szpunar is turning to his next big case, which involves StarTaxi, a Romanian ride-hailing service that wants to be classified as a tech platform.
He stopped short of offering any spoilers, but did offer this clue into his thinking: “The determination of the price is essential as transport services are concerned, especially taxi services,” Szpunar told POLITICO in an interview that took place in his office at the court in Luxembourg. “If you’re looking for a taxi, the only two things you’re interested in are when the taxi is arriving, and how much you have to pay.”
Other considerations, like the ranking of drivers and the platform’s relationship with its workers, are also key, he added.
Szpunar will hand down his latest opinion just as the European Commission is getting to work updating the bloc’s e-commerce directive, a law penned 20 years ago which protects internet platforms from direct liability and underpins much of the web-based economy.
The so-called Digital Services Act, which is set to be unveiled in late 2020, will adapt the e-commerce directive to take a range of concerns into account. But Szpunar said there would always be a role to play for courts — and lawyers like himself — due to the fact that regulation could not predict every real-world situation.
“To regulate the internet is a very challenging adventure for the legislator,” he said. “They will never be in a position to predict all the varieties of situations that would have to be regulated.”
“There will always be some lacuna, some further need for precision,” he added.
Uber, Airbnb and StarTaxi
The 49-year-old doctor of law, who holds degrees from the University of Silesia and the College of Europe, first emerged as a key player in the platform economy in 2017, when he handed down his opinion in a case pitting Spanish taxi association Elite Taxi against Uber and its now-defunct car-sharing service, UberPop.
In the midst of an uproar over Uber, with taxi drivers in several cities physically battling gig-economy rivals in the streets, Elite Taxi argued that UberPop — which allowed anyone with a car to provide rides — was effectively a transport company. Uber countered that it was a platform acting as a middleman to connect drivers and passengers.
Szpunar’s advice, which led to a CJEU ruling later the same year that Uber should be regulated as a transport firm, was important for its expansion plans in Europe. While the firm was already being regulated under transport laws in several countries, the ruling emboldened national regulators to press ahead with restrictions, and Uber disbanded its UberPop service.
Now Szpunar’s reasoning is set to be put to the test with StarTaxi.
The Romanian service, which connects people seeking rides with licensed drivers, wants to be defined as an “information society service,” as opposed to a transport company, arguing that it exerts less direct control over its service than Uber.
Szpunar, who is set to render his opinion in the fall ahead of a final ruling expected by year-end, declined to comment on a pending case.
But he added that a crucial factor was determining the degree of control a platform exerts over the final service provided to a customer. In other words, while a service that provides hotel accommodation directly to customers would not qualify as an “information society service,” one that merely facilitates reservations with third parties would.
“You cannot exercise too much control over the final service because this final service is not the information society service,” he said.
However, Szpunar is quick to underline that what goes for ride-hailing companies does not apply without distinction to other platforms. In the case of Airbnb, which faced a legal challenge from French hotel lobby AhTop, he found that control over pricing was less crucial than for a ride-hailing firm because price was only one of many criteria considered by a buyer when making their choice.
“With accommodation services, it’s not that people are always choosing the cheapest accommodation,” he said.
In an opinion from April of last year, Szpunar said Airbnb should be seen as a tech platform, not a hotel company, prompting a wave of outrage from European cities.
Mayors warned that the opinion gives Airbnb carte blanche to undermine traditional hotels and encourage excessive tourism. The European Committee of the Regions complained that the EU’s executive arm had failed to properly define what constitutes an “information society service,” or tech platform, leaving courts to take “highly political decisions.”
“I understand the concerns,” Szpunar said, referring to the backlash against the Airbnb advice. “But I think the values or the needs that have to be protected can be protected in accordance with the e-commerce directive.”
‘Fooled by appearances’
In coming months, as the Polish lawyer sizes up his next case, he will be paying attention to another key variable in the internet economy: platforms’ relationships with their workers.
Around the world, a debate is raging over whether gig-economy workers — from Uber drivers to bike delivery riders for Deliveroo, Foodora and others — should be redefined as employees.
California has passed a law, known as the AB5, that forces Uber to do just that, while a British court has ruled that drivers are employees in a case headed to the country’s Supreme Court this summer. Some drivers themselves argue that Uber uses algorithmic control to manage them in a way that is equivalent to an employer.
In his Uber opinion from 2017, Szpunar does not take a stand on whether Uber drivers should be classified as employees. But he does issue a warning not to be “fooled by appearances” when it comes to how Uber exerts control.
“Indirect control such as that exercised by Uber, based on financial incentives and decentralised passenger-led ratings, with a scale effect, makes it possible to manage in a way that is just as — if not more — effective than management based on formal orders given by an employer to his employees and direct control over the carrying out of such orders,” he wrote.
Spzunar now says it is only a matter of time before the court will have to decide whether the control platforms exercise over workers is comparable to the relationship that exists between an employer and an employee.
The first sign that platforms are trying to exercise the control of an employer is whether they punish workers for accepting gigs through a competitor. Another is whether the platform tries to control when and for how long workers work.
This definition is the kind of lacuna that Spzunar doesn’t have a clear-cut answer to.
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The case shows that the EU's copyright reform has teeth | Denis Charlet/AFP via Getty Images
French publishers win decisive battle against Google
Europe’s copyright directive proves its mettle as France orders the US search giant to pay for press content.
French publishers on Thursday notched up a critical win in the long-running tug of war with Google over how money is generated from online content.
France’s competition watchdog ordered the U.S. tech giant to negotiate “in good faith” with French publishers and news services over the licensing fees it should pay for press content. The Autorité de la Concurrence said the talks should be wrapped up in three months, and insisted that they should result in a “remuneration” scheme for the publishers.
Google’s refusal to pay for press content has risen right to the top of the French political agenda and even drew in President Emmanuel Macron, who cast the debate as a matter of national sovereignty and declared last year: “Some actors, such as Google, wish to free themselves from those [copyright] rules. We won’t let them.”
Crucially, Thursday’s case shows that the EU’s copyright reform has teeth. The reform, which was adopted nearly a year ago in Brussels, granted press publishers a so-called neighboring right allowing them to request a fee from platforms such as Google and Facebook when they display their content online. France was the bloc’s first country to transpose the reform into national law.
“This is an important step toward the effective enforcement of the publishers’ neighboring right,” France’s Culture Minister Franck Riester said in response to the watchdog’s decision. “Some people wanted this right to remain a dead letter. They made a mistake,” he added.
The Autorité is still investigating whether the U.S. search behemoth breached competition rules at the expense of the French press, but Thursday’s decision means Google has to pay publishers when it uses their content online, and soon.
Third time’s a charm
In September, Google announced it would no longer publish small excerpts of press articles below web links, also called snippets, instead of entering into licensing agreements with the press. Publishers and the news agency AFP decided to lodge a complaint before the Autorité arguing that the search company’s behavior was an abuse of its powerful position as a search engine.
France is set to become the first country where publishers have succeeded in wresting payment from Google for their content.
Before the EU copyright reform was adopted, press publishers in Europe struggled to negotiate with Google.
In Spain, Google decided to stop its Google News service after a debate over the right to payments. In Germany, some publishers — including Axel Springer, POLITICO Europe’s co-owner — decided to allow the U.S. tech giant to publish their content for free after a drop in traffic.
Thursday’s decision means the French press could soon benefit from new revenue streams — a welcome relief for an industry hit hard by plummeting ad spendings amid the coronavirus crisis.
“The objective of the EU is that the editors are better paid when they negotiate the use of their articles which largely benefit the platforms through the advertising revenues,” a spokesman for the European Commission said.
Temporary victory
The watchdog issued a preliminary ruling that Google may have “impos[ed] unfair transaction conditions on publishers and news agencies” after France introduced new EU copyright rules for the press in October.
Isabelle de Silva, the Autorité’s chief, said the watchdog “found that Google’s practices vis-à-vis publishers and news agencies were likely to constitute an abuse of a dominant position.”
The Autorité also found Google caused “serious and immediate damage to the press sector,” the official statement reads, and ordered urgent measures.
“The injunction requires that the negotiations actually result in a remuneration proposal from Google,” the authority’s official statement reads.
“This is an exceptional decision,” said Jacques-Philippe Gunther, a lawyer for Latham & Watkins. The counsel of the Alliance de la Presse d’Information Générale (APIG), one of the complainants, told POLITICO in his view, the Autorité recognized “Google has circumvented the law on neighboring rights, which could constitute an abuse of dominant position.”
The negotiations cannot exceed three months, and the terms and conditions should apply retrospectively starting when France implemented its new rules. The watchdog also imposed additional measures preventing Google from retaliating against the complainants. Google is bound to send the Autorité a follow-up report every month.
Google “will comply with the [authority]’s order while we review it and continue those negotiations,” said Richard Gingras, Google’s vice president for news.
Damien Gerardin, a lawyer who acts for publishers in other antitrust cases, said this was a “very important decision … but these are interim measures so [the] battle is not over.”
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ILLINOIS — The Rev. Jesse Jackson has reportedly asked President Donald Trump to pardon former Illinois governor Rod Blagojevich. The request came from Jackson and his son, Jesse Jackson Jr., in a letter to the president, according to the Wall Street Journal.
Blagojevich has served about half of his 14-year sentence since he was convicted in 2011 of trying to sell the open U.S. Senate seat vacated by the election of then-President Barack Obama. In 2015, five of the 18 counts against the former governor were thrown out, but his sentence remained unchanged.
In the Jacksons’ letter appealing to the president, they cite Blagojevich’s record as a governor in his support. “[E]very child had health care,” under Blagojevich’s governance, they said, according to the Journal, adding that “every senior citizen and disabled person had free public transportation and every 3- and 4-year-old had the opportunity to go to preschool.”
In April 2018, the United States Supreme Court declined to hear Blagojevich’s appeal.
However, in May 2018, President Trump said he was considering Blagojevich’s request. “I am seriously thinking about, not pardoning, but I am seriously thinking of,” commuting Blagojevich’s sentence, the president said.
See more on Patch:
In June, Illinois’ seven Republican members of Congress urged the president not to commute the former governor’s sentence. Blagojevich is a Democrat.
Referencing the president’s campaign promises to “drain the swamp,” the seven Republicans said in the letter that commuting Blagojevich’s sentence would “send a damaging message on your efforts to root out public corruption in our government.”
Jesse Jackson Jr. himself was convicted in 2013 of misusing campaign funds, an amount totaling about $750,000.
SOUTHHAVEN, MS — Two people are dead and a police officer was shot at a Walmart store in Southaven, Mississippi, Tuesday morning, according to news reports. DeSoto County Sheriff Bill Rasco said two people were found dead at the scene of the shooting, which occurred around 6:30 a.m. local time.
The police officer was taken to a hospital for treatment, but is expected to survive. The officer was reportedly wearing a bulletproof vest.
A Southhaven police officer shot the shooter, whose condition was not immediately available, according to news station KRON.
Multiple injuries were reported, and police asked people to avoid the area near Interstate 55 and Goodman Road, where the store is located.
One of those killed was the manager of the store, WREG reported. The news outlet described the suspect as a “disgruntled employee,” and a reporter for Local24, citing employees, said the shooter had worked at the tore for 25 years before he was recently fired.
Both of those killed were employees of the store, the Local24 report said.
Carlos Odom told CNN gunshots rang out as he walked out of the store.
“I heard a bunch of gunshots,” he said. “Pop pop pop pop — more than a dozen shots.”
Odom said his first thought was “run!” and dashed to his car.
“This is crazy,” he said. “The world is crazy nowadays.”
Southhaven, Mississippi’s third-largest city with a population of about 49,000, is a suburb of Memphis, Tennessee.
This is a developing story. Stay on Patch and refresh your browser for the latest.
La marque de styling ghd se lance dans une opération de recyclage. Videz vos placards de vos vieux fers à lisser et autres sèches-cheveux et rapportez les dans un salon partenaire de la marque. A la clé, une remise sur l’achat d’un nouvel outil de coiffage ghd.
Que faire de son vieux sèche-cheveux ou de ce fer à boucler que l’on utilise plus ? Pour éviter de jeter ou de laisser dans vos placards vos vieux outils de coiffage, ghd s’est lancée dans une opération de recyclage. Depuis le 7 janvier et jusqu’au 30 avril, vous pourrez ainsi rapporter dans tous les salons partenaires de la marque vos sèche-cheveux et autres appareils de styling. Une remise sur l’achat d’un nouvel outil ghd sera offerte contre tout ancien appareil collecté en état de fonctionnement ou non. Et ce, peu importe la marque !Grâce à cette opération réalisée en partenariat avec Eco-Systèmes pour les étapes de collecte et de recyclage, ce sont donc tout un tas de matériaux qui pourront être ainsi recyclés : le plastique pour des pièces automobiles, le cuivre pour fabriquer des nouveaux câbles… Plus d’une personne sur 2 reconnait stocker chez elle un appareil électrique inutilisé.C’est le moment de faire une bonne action, un geste fort pour l’environnement et d’alléger vos placards !Click Here: Golf Equipment Online
La vertébroplastie, technique consistant à injecter du ciment dans les vertèbres après une fracture, est utilisée sur des centaines de milliers de patients. Mais, selon un rapport dévoilé jeudi 24 janvier 2019 par des médecins américains, cette méthode n’a pas démontré son efficacité.
La procédure, dont la France fut pionnière et qui s’est fortement développée depuis deux décennies, est remboursée dans de nombreux pays et vue comme un remède miracle par des patients souffrant de douleurs souvent insoutenables après une fracture.Mais seuls cinq essais cliniques avec groupes témoins ont été réalisés sur la vertébroplastie. Et leurs résultats sont formels : la technique ne réduit pas davantage la douleur qu’une opération
placebo, dans les deux années suivantes.Pour neutraliser l’éventuel effet placebo d’une opération, les auteurs de ces essais cliniques ont comparé les patients opérés à un groupe témoin de patients, qui sont allés au bloc opératoire et ont reçu l’aiguille d’anesthésie, mais n’ont pas eu d’injection de ciment, sans le savoir.C’est la meilleure méthode pour annuler l’effet placebo, car il est toujours possible que les patients ressentent une atténuation de leur douleur par effet psychologique, ou grâce à l’anesthésie. Après l’étude, ils sont informés qu’ils appartenaient au groupe témoin.Quant à une technique proche, la cyphoplastie par ballonnets, devenue dominante aux Etats-Unis, il n’existe pas d’essai clinique avec placebo.Le groupe de travail auteur du rapport avait été constitué par la Société américaine pour la recherche osseuse et minérale (ASBMR).”Pour les patients ayant des fractures des vertèbres très douloureuses, la vertébroplastie percutanée n’apporte aucun bénéfice clinique significatif prouvé par rapport au placebo“, concluent les auteurs.Alors pourquoi, malgré les études publiées depuis dix ans, les chirurgiens continuent-ils de prescrire l’opération, qui comporte des risques comme toute intervention chirurgicale ?”Parce que les gens qui ont des fractures très douloureuses sont désespérés, ils souffrent beaucoup“, explique à l’AFP le docteur Peter Ebeling, membre du groupe de travail et auteur principal du rapport. “Pourtant, le cours naturel de la douleur est qu’elle s’estompe après quatre à six semaines“.Si la douleur continue pendant des mois, il est probable que les patients demanderont une vertébroplastie, mais là encore, les données manquent, insiste le docteur Ebeling.Pour commencer, il recommande des
médicaments antidouleurs, et éventuellement un corset et de l’exercice physique, des mesures moins risquées qu’une opération.Pour éviter une seconde fracture, en revanche, des essais cliniques ont démontré que
les médicaments contre l’ostéoporose étaient efficaces et réduisaient le risque de 40 à 70%, indique le rapport.Aux Etats-Unis, au moins 300.000 patients ont été opérés entre 2005 et 2010, dont 27% de vertébroplastie et 73% de cyphoplastie, selon des chiffres gouvernementaux.
Moins connus que les allergènes "classiques", certains aliments comme le kiwi, le sarrasin ou le lait de chèvre sont à l’origine d’allergies graves chaque année en France, pointe ce vendredi l’agence sanitaire Anses, qui recommande de rendre obligatoire l’information sur leur présence dans les aliments.
Sommaire
Nouvelles habitudes alimentaires et nouvelles allergies
Mieux informer les consommateurs
Nouvelles habitudes alimentaires et nouvelles allergiesActuellement, seuls 14 allergènes figurant sur une liste établie par l’Union européenne doivent obligatoirement être signalés sur l’emballage des produits: c’est notamment le cas des fruits à coque (noisette, noix, amande, etc.), de l’arachide, des crustacés ou encore du lait et des oeufs.Or, d’après les cas recensés depuis 2002 par le Réseau d’allergo vigilance (RAV), le sarrasin et le lait de chèvre ou de brebis ont causé tous les deux au moins autant d’
allergies graves que les mollusques et le soja (une soixantaine de signalements en 16 ans), explique
l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation.Quant au kiwi, au pignon de pin et à l’alpha-galactose, un glucide présent dans la viande de mammifères, ils sont tous à l’origine de plus d’1% des cas d’allergie graves recensés, soit une fréquence plus importante que la moutarde et les sulfites, dont la déclaration est obligatoire.Ces chiffres restent partiels, car ils ne recensent que les cas les plus graves (anaphylaxie alimentaire sévère) et leur déclaration n’est pas obligatoire, mais ils sont suffisamment importants pour inciter l’Anses à recommander “la mise à jour régulière de la liste des allergènes alimentaires qui doivent être signalés afin de mieux prévenir le risque d’allergie grave“.
Mieux informer les consommateursL’Agence, mandatée par le ministère de la Santé en 2015 pour mettre à jour les connaissances sur les allergies alimentaires en France, souligne également le “manque de données” disponibles sur le sujet, “notamment en raison des limites méthodologiques et de la diversité des méthodes utilisées“.Résultat, impossible de mesurer la fréquence du phénomène et de dire si les allergies alimentaires sont plus fréquentes qu’il y a une vingtaine d’années ou pas.”A partir de ce constat, l’Anses recommande aux pouvoirs publics d’améliorer les dispositifs de recueil de données relatives aux allergènes alimentaires, ainsi que l’évaluation de l’incidence ou de la prévalence des allergies, afin de mieux orienter les études et recherches sur les allergies alimentaires“.Elle préconise également d’évaluer l’efficacité des dispositifs mis en place pour informer les personnes allergiques dans la restauration collective et commerciale (ergonomie, accessibilité de l’information, pertinence des produits soumis à obligation d’information…)Dans une étude menée par l’agence en 2014 et 2015, 3,9% des adultes interrogés déclaraient souffrir d’intolérances ou d’allergies alimentaires. Celles-ci avaient été confirmées par un médecin dans un peu moins de la moitié des cas (45 %).