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Ministère chargé de la Santé a mis en ligne, ce jeudi 7 mars 2019, le nouveau calendrier des vaccinations 2019 dévoilant les nouveaux vaccins, ceux qui font l’objet d’arrêts de commercialisation ainsi que plusieurs recommandations et différentes mises à jour.

Sommaire

  1. Les arrêts de commercialisation
  2. Les nouveautés du calendrier

Depuis le 1er janvier 2018, onze vaccins sont devenus obligatoires pour les enfants, le nouveau calendrier vaccinal 2019 intègre d’autres évolutions comme la vaccination contre le papillomavirus ou la formation des infirmiers et pharmaciens à la vaccination grippale.Les arrêts de commercialisation Le

nouveau calendrier indique les vaccins qui ne sont désormais plus commercialisés, à savoir : les vaccins trivalents

Vaxigrip et

Fluarix et les vaccins tétanique monovalent et les vaccins contre la typhoïde (

Typherix). Quant aux

vaccins trivalents contre la grippe saisonnière, ils sont remplacés par des vaccins tétravalents

Fluarix Tétra et

Vaxigrip Tétra qui disposent d’une AMM (autorisation de mise sur le marché) dès l’âge de 6 mois.Les nouveautés du calendrier”Toute nouvelle vaccination contre les

papillomavirus (transmis lors de rapports sexuels) doit être initiée avec le

Gardasil 9 pour les jeunes filles, jeunes femmes et jeunes hommes (homosexuels ou bisexuels) non antérieurement vaccinés“, rapporte l’

AFP. Le ministère de la santé précise toutefois que la vaccination contre les infections à papillomavirus “ ne se substitue pas au dépistage des

lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus par le frottis cervico-utérin, y compris chez les femmes vaccinées, mais vient renforcer les mesures de prévention”.De plus, les assistants dentaires en formation devront se faire vacciner contre l’

Hépatite B à partir du 1er avril 2019, la compétence de vaccination grippale va être étendue aux compétences des infirmiers et généralisée chez les pharmaciens pour la saison 2019-2020.Concernant la

tuberculose, la vaccination “par le

BCG ne sera plus exigée lors de la formation ou de l’embauche de ces professionnels dès le 1er avril 2019”, précise le gouvernement. Enfin, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la santé, rappelle que : «se vacciner, c’est se protéger contre des maladies infectieuses transmissibles et graves mais c’est aussi un acte solidaire et citoyen. Se protéger, c’est aussi protéger les autres ».

L’Assemblée nationale a voté vendredi la création d’une plateforme des données de santé, qui doit rassembler l’essentiel des données générées par des actes médicaux remboursés, des élus de gauche s’inquiétant pour la sécurisation de ces informations sensibles.

Sommaire

  1. Un espace santé numérique pour chaque Français
  2. Des craintes quant à la sécurité des données
  3. Favoriser la recherche basée sur ces données

Un espace santé numérique pour chaque FrançaisAvec ce projet intitulé “Health Data Hub”, le gouvernement entend “multiplier les possibilités d’exploitation” de ces informations, notamment pour la recherche ou le “développement des méthodes d’intelligence artificielle”. La création de la plateforme avait été annoncée dans la foulée du rapport Villani sur ce sujet.La ministre de la Santé Agnès Buzyn a évoqué un “usage innovant” de ces données qui va “améliorer l’intérêt public“. Elle a souhaité “rassurer” les députés, mettant notamment en avant “la préservation d’un haut niveau de protection de la vie privée” et insistant sur “le système le plus sécurisé et le plus anonyme qui soit possible“.Des craintes quant à la sécurité des donnéesSelon elle, la plateforme, qui sera gérée via un groupement d’intérêt public, va conduire à sécuriser des données qui sont aujourd’hui “dispersées”, avec “une seule base, pérenne, sécurisée”. La ministre a également rappelé que quel que soit le support (papier ou numérique), les données de santé ne peuvent être vendues.Le rapporteur du projet de loi santé, Thomas Mesnier (LREM) a aussi défendu avec cet article un “pivot de la stratégie d’intelligence artificielle“.Jean-Paul Lecoq (PCF) a réclamé pour sa part des “garde-fous”. “Le risque zéro n’existe pas“, a-t-il fait valoir, jugeant impossible de démontrer que le système ne sera pas par exemple soumis à un risque de cybercriminalité.Caroline Fiat (LFI) a cherché à supprimer cet article qui “libéralise” la gestion des données, alors que les géants du numérique “lorgnent sur les données de santé” .”On ne parle pas de données basiques“, mais de santé, des “choses très importantes du domaine du privé“, a-t-elle souligné.Favoriser la recherche basée sur ces donnéesUn amendement du gouvernement a complété les missions de la plateforme en lui permettant “d’accompagner, y compris financièrement, les porteurs de projets sélectionnés“, la ministre expliquant qu’il s’agit notamment d’aider les chercheurs sur le plan technique.Un autre amendement MoDem a ajouté aux informations qui peuvent être recueillies des données de prévention issues des services de PMI (protection maternelle infantile), de la médecine scolaire ou de la médecine du travail.Click Here: Geelong Cats Guernsey

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La

Fédération Française d’Orthodontiemet en garde sur l’achat et l’utilisation de gouttières dentaires amovibles sans diagnostic d’un professionnel de santé.

Sommaire

  1. Gouttières dentaires : un soin médical 
  2.  Consulter un orthodontiste

Plébiscitée par les adultes, la gouttière dentaire est un appareil conçu à partir de l’empreinte de la dentition du patient afin de corriger un mauvais positionnement des dents. Ce dispositif coûteux, qui peut atteindre plusieurs milliers d’euros, fait l’objet d’un effet de mode exploité par certaines sociétés commerciales non professionnelles qui vendent ces produits.Gouttières dentaires : un soin médical Il est important de rappeler que l’orthodontie est un soin médical avant d’être un soin esthétique. “Nous, on est vraiment dans une

logique thérapeutique. Car si les patients viennent pour remédier au problème de dents mal alignées pour des raisons avant tout esthétiques, cette mauvaise implantation cache en réalité un problème médical. Des dents mal alignées sont synonymes soit “d’un problème de déglutition”, soit “d’un problème de respiration“, soit “de mastication” explique le Pr Jean-Baptiste Kerbat.

 Consulter un orthodontisteS’il existe plusieurs solutions pour résoudre les problèmes d’orthodontie (bagues inamovibles, attaches métalliques, gouttières amovibles), la FFO souligne l’importance du diagnostic établi par un professionnel sur la base de radiographies des dents, du crâne et de l’évaluation de la qualité de l’os. Un danger qui n’atteint pas seulement la profession des orthophonistes mais aussi la santé des patients, alerte la FFO : “ une gouttière mal adaptée ou mal contrôlée peut provoquer des problèmes de gencive, des déchaussements, des infections voire des pertes de dents”, rapporte

France Inter.

La Commission des affaires sociales du Sénat a demandé une nouvelle délibération avant le vote solennel sur l’ensemble du projet de loi Santé. A cette occasion, les Sénateurs sont donc finalement revenus sur l’amendement voté vendredi qui prévoyait l’allongement du délai de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) de 12 semaines à 14 semaines.

Sommaire

  1. Finalement pas d’allongement du délai d’IVG
  2. 5000 Françaises se rendent à l’étranger pour avorter

Quelques semaines après que l’Etat d’Alabama (Etats-Unis) votait une loi interdisant l’avortement – sauf en cas d’urgence vitale pour la mère ou d’anomalie du fœtus – et prévoyant une peine de prison allant de 10 à 99 ans pour les médecins pratiquant des

IVG, le Sénat français votait vendredi l’allongement du délai légal de l’interruption volontaire de grossesse de 12 à 14 semaines. Mais finalement moins d’une semaine plus tard, les Sénateurs font marche arrière.Finalement pas d’allongement du délai d’IVGVendredi dernier, Alain Milon (Les Républicains), président et rapporteur de la commission des affaires sociales rappelait dans un communiqué que l’adoption de l’amendement de l’ex-ministre PS Laurence Rossignol était “intervenue contre l’avis de la commission comme du gouvernement”. Selon lui, “Ce n’est pas en toute fin de texte, au détour d’un article additionnel et avec une majorité de circonstance, que l’on réforme le délai d’accès à l’IVG”. Avant le vote solennel sur l’ensemble du texte, la commission des affaires sociales a donc demandé une seconde délibération, qui a été acceptée par la ministre de la Santé Agnès Buzyn, malgré les protestations de l’opposition. Résultat, le Sénat a supprimé la disposition introduite vendredi par 205 voix contre 102. 

5000 Françaises se rendent à l’étranger pour avorterAlors que l’allongement voté vendredi avait été salué par Laurence Rossignol, et le planning familial comme “une victoire pour les femmes” et “un signal fort pour l’Europe !“, le recul est jugé par l’ancienne ministre comme “une petite combine de procédure mise au point par le groupe LR et le gouvernement pour s’opposer à une avancée très attendue“.Parallèlement, la ministre de la Santé a prévu de rencontrer le planning familial. En France, l’IVG est actuellement possible jusqu’à 5 semaines par

 voie médicamenteuse, 12 semaines par voie chirurgicale. Chaque année, près de 5000 Françaises doivent se rendre à l’étranger pour avorter car elles ont dépassé le délai légal.Pour être effectif, ce vote devra être confirmé à l’Assemblée Nationale.Click Here: new zealand rugby team jerseys

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Les musées ne doivent pas être “otages de l’histoire douloureuse du colonialisme”, plaide le président du Musée du quai Branly, Stéphane Martin, dans un entretien à Europe 1, dimanche 25 novembre. Le directeur de l’établissement s’est exprimé pour la première fois après la remise d’un rapport ouvrant la voie à des restitutions par la France à l’Afrique d’œuvres d’art africain.>> Entre la France et le Bénin, le casse-tête des restitutions d’œuvres “collectées” durant la période colonialeEmmanuel Macron a décidé de restituer 26 œuvres réclamées par le Bénin. Le rapport d’experts qu’il a commandé suggère un changement de la loi française sur le patrimoine pour redonner aux Etats d’Afrique subsaharienne une partie des œuvres transférées pendant la période coloniale.Tout en jugeant ce travail “intéressant”, Stéphane Martin a qualifié le texte des deux universitaires Bénédicte Savoy et Felwine Sarr de “rapport qui n’aime pas beaucoup les musées”. “Je veux qu’on parle d’art, de partage et pas que l’on ressasse éternellement un ressenti qui est tout à fait réel mais qui n’a rien à voir à mon avis avec une politique patrimoniale”, a-t-il encore déclaré.Vers une politique d’échanges d’œuvres d’art ?Le Musée du quai Branly, inauguré en 2006, réunit 70 000 des 90 000 objets d’arts d’Afrique subsaharienne présents dans les musées publics français. “Il y a une phrase terrible dans le rapport qui dit que ‘le problème commence quand un musée cesse d’être un musée national pour devenir le musée de l’autre'”, a regretté Stéphane Martin, en défendant la construction d’une “communauté mondiale de l’art, du musée, du partage”.L’idée que toute la peinture italienne devrait rentrer en Italie et que toute la peinture bretonne devrait rentrer en Bretagne, je ne trouve pas que ça fasse un monde meilleur.Stéphane Martinà Europe 1Dans une tribune publiée samedi par Le Figaro, l’ex-ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon a également critiqué le rapport, assurant que “la mise en œuvre des recommandations aurait pour effet de vider les collections africaines des musées français et, en premier lieu, celles du Musée du quai Branly”. Il a défendu les musées du Louvre, d’Orsay, de Guimet et du quai Branly comme des “musées universels”.Le chef de l’Etat a proposé de “réunir à Paris au premier trimestre 2019 l’ensemble des partenaires africains et européens” pour définir le cadre d’une “politique d’échanges” d’œuvres d’art.Click Here: Cardiff Blues Store

Les deux vagues de chaleur intenses de l’été 2019 ont entraîné 1 435 décès supplémentaires d’après Santé publique France. Soit dix fois moins qu’en 2003.

Environ 1 500 personnes de plus que la moyenne sont décédées lors des deux épisodes de

canicule qui ont touché la France au cours des mois de juin et juillet 2019. Une “surmortalité relative de 9,1 %” d’après Santé publique France, qui a annoncé dimanche 9 septembre recenser exactement “1 435 décès en excès”, dont 567 lors de la première vague de chaleur intense (24 juin – 7 juillet) et 868 lors de la seconde (21 juillet – 27 juillet). Si le record absolu de température enregistré a été battu au cours de cette période (46,0° C dans l’Hérault le 28 juin), la surmortalité de ces deux épisodes de canicule est bien inférieure à celle évaluée en 2003, qui avait causé 15 000 morts supplémentaires entre le 4 et le 18 août. Les personnes âgées, pas seules concernéesCôté classe d’âge, ce sont, sans surprise, les personnes âgées qui ont le plus souffert. “Les 75 ans et plus représentent la majorité des décès en excès (974 décès) pour les deux vagues”, informe Santé publique France qui alerte sur le fait que les plus jeunes ont eux aussi été impactés de manière significative. Aussi, les 65-74 ans ont “l’impact relatif le plus important (+13,3 %), notamment lors de la deuxième canicule (+16,4 %)” tandis que les 15-44 ans ont une part de surmortalité non négligeable (+12,2%), en particulier lors de la première vague (+17,4%).En outre, l’institut annonce que “dix décès sur le lieu de travail en lien possible avec la chaleur survenus durant les deux canicules ont également été notifiés”, dont huit lors de la première vague. Ils concernent exclusivement des hommes, âgés de 32 à 61 ans, dont l’activité professionnelle se situe essentiellement en extérieur (BTP et milieu agricole notamment).Agnès Buzyn met en avant le rôle de la préventionInvitée au micro de l’émission “Questions politiques” diffusée sur France Inter et France Info, la Ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn a salué “la mobilisation des acteurs de terrain“, notamment les “infirmières libérales qui vont hydrater les personnes âgées“, les “services de soins à domicile“, les mairies “qui se mobilisent pour contacter les personnes âgées qui sont isolées“, et toute la prévention effectuée dans les Ehpad. “Nous voyons que nous avons réussi grâce à la prévention, grâce à ces messages qui fonctionnent, que la population française a bien intégré, à diminuer la mortalité par un facteur 10 la mortalité de 2003”, s’est-elle félicitée. Tout en reconnaissant qu’il reste des efforts à fournir. “Nous devons avoir des plans et des organisations parce que ces phénomènes de canicule vont se renouveler et probablement s’intensifier dans les années qui viennent.”Click Here: NRL Telstra Premiership

Dans son premier long métrage “Nos plus belles ses années”, avec sa compagne Vanessa Demouy et Gérard Darmon (en salles ce mercredi), Philippe Lellouche évoque ses souvenirs d’enfance ensoleillés. AlloCiné l’a rencontré.

Nos plus belles vacances de et avec Philippe Lellouche, avec aussi Gérard Darmon, Julie Gayet, Christian Vadim, Vanessa Demouy, Nicole Calfan… Sortie le 7 mars

Synopsis : Juillet 1976, année de la canicule. Claude, juif d’Algérie arrivé en France quinze ans plus tôt, emmène sa jeune femme Isabelle, ses deux garçons et sa belle mère en Bretagne. C’est Isabelle, ayant pris Claude en flagrant délit d’adultère, qui a choisi pour les vacances le petit village où elle est née. Dès le lendemain de leur arrivée, Bernard et Bernadette, Jacky et Marie-France, deux couples d’amis, les y rejoignent. Au Rocher Abraham, ils sont accueillis avec méfiance par les autochtones à l’accent rugueux comme leurs mains… Principalement au café Pondemer, le café du village où les hommes se retrouvent. Juifs pieds-noirs, bretons catholiques, Parisiens, provinciaux… : la cohabitation n’est pas facile. Mais ce sont des hommes avant tout. Des vrais. Alors peu à peu, avec beaucoup d’humour, avec humanité, avec empathie, les choses vont évoluer, des liens se tisser…


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French President Emmanuel Macron | Dan Kitwood/Getty Images

Emmanuel Macron: EU external borders to close from Tuesday

Travel will be suspended for 30 days, Macron said.

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3/16/20, 9:06 PM CET

Updated 3/16/20, 9:15 PM CET

French President Emmanuel Macron said Monday evening that EU leaders decided to close the bloc’s external borders to travelers in an attempt to limit the spread of the coronavirus pandemic.

“As of tomorrow noon, external borders of the European Union and the Schengen area will be closed,” Macron said in a televised address to the nation. “All travel between non-EU countries and the European Union will be suspended for 30 days,” he added.

He said French citizens would be able to get back to their home country.

European Commission President Ursula von der Leyen said earlier Monday she had proposed a travel ban to EU heads of states. The ban is expected to be endorsed Tuesday at a summit of EU leaders, held via a video conference.

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Authors:
Marion Solletty 

The European Commission has recommended staff use a special messaging app | Josh Edelson/AFP via Getty Images

EU Commission to staff: Switch to Signal messaging app

The move is part of EU’s efforts to beef up cybersecurity, after several high-profile incidents shocked diplomats and officials.

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The European Commission has told its staff to start using Signal, an end-to-end-encrypted messaging app, in a push to increase the security of its communications.

The instruction appeared on internal messaging boards in early February, notifying employees that “Signal has been selected as the recommended application for public instant messaging.”

The app is favored by privacy activists because of its end-to-end encryption and open-source technology.

“It’s like Facebook’s WhatsApp and Apple’s iMessage but it’s based on an encryption protocol that’s very innovative,” said Bart Preneel, cryptography expert at the University of Leuven. “Because it’s open-source, you can check what’s happening under the hood,” he added.

Signal was developed in 2013 by privacy activists. It is supported by a nonprofit foundation that has the backing of WhatsApp founder Brian Acton, who had left the company in 2017 after clashing with Facebook’s leadership.

Privacy experts consider that Signal’s security is superior to other apps’. “We can’t read your messages or see your calls,” its website reads, “and no one else can either.”

While WhatsApp’s technology is based on Signal’s protocol (known as Open Whisper Systems), it isn’t open-source. Another popular messaging app, Telegram, meanwhile, faces similar concerns over the lack of transparency on how its encryption works.

EU not-so-confidential

After a series of high-profile incidents that shocked diplomats and officials in Brussels and across the Continent, the European Union is beefing up its cybersecurity standards.

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In December 2018, cybersecurity research firm Area 1 Security said it found that thousands of diplomatic cables were downloaded from the EU’s COREU (or Courtesy) system, which is used by national governments and EU institutions to exchange day-to-day information on foreign policy.

Then in June last year, the news broke that the EU’s delegation in Moscow had suffered what appeared to be a cybersecurity breach in 2017, with two computers allegedly hacked to steal diplomatic information. The Commission said it was investigating the issue and informed its top diplomats.

The EU on Wednesday said it would soon draft a new European cybersecurity strategy. It announced earlier it would set up a “joint cybersecurity unit” to support EU countries and organizations in the event of an attack.

Commission officials are already required to use encrypted emails to exchange sensitive, non-classified information, an official said. Classified documents fall under tighter security rules.

The use of Signal was mainly recommended for communications between staff and people outside the institution. The move to use the application shows that the Commission is working on improving its security policies.

Promoting the app, however, could antagonize the law enforcement community.

Officials in Brussels, Washington and other capitals have been putting strong pressure on Facebook and Apple to allow government agencies to access to encrypted messages; if these agencies refuse, legal requirements could be introduced that force firms to do just that.

American, British and Australian officials have published an open letter to Facebook CEO Mark Zuckerberg in October, asking that he call off plans to encrypt the company’s messaging service. Dutch Minister for Justice and Security Ferd Grappehaus told POLITICO last April that the EU needs to look into legislation allowing governments to access encrypted data.

Cybersecurity officials have dismissed calls to weaken encryption for decades, arguing that it would put the confidentiality of communications at risk across the board.

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It’s the real Fortress Europe but not the way anyone expected.

EU leaders on Monday imposed a new wave of drastic measures aimed at slowing the spread of the coronavirus that has infected more than 180,000 people worldwide, killed more than 7,000 and is now threatening to overwhelm health systems in the richest, most-advanced countries on Earth.

“We are at war,” French President Emmanuel Macron declared in a televised speech to his nation, in which he announced a 15-day lockdown that would permit only the most essential movements, beginning at noon on Tuesday.

“It is of course a sanitary war,” Macron said. “We are not fighting against an army, or another nation. But the enemy is here. It is invisible, elusive and it is progressing. And this requires our general mobilization.”

Macron’s speech was just one of many remarkable public appearances on Monday by world leaders who rolled out unprecedented measures to fight the microscopic enemy.

German Chancellor Angela Merkel, appearing at a news conference in Berlin, said Germany would take “radical” steps including a ban on all travel “domestically or abroad” except for urgent work trips. She said bars, theaters, museums, cinemas and non-essential shops would be closed.

“These are measures that have never been seen before in our country,” Merkel said, adding later: “We haven’t seen a similar situation in the 70 years existence of the Federal Republic of Germany.”

In Brussels, European Commission President Ursula von der Leyen and Council President Charles Michel announced that EU leaders would impose a 30-day travel ban on foreign visitors — a move aimed at sealing off all 27 EU nations as well as Iceland, Lichtenstein, Norway and Switzerland, which are part of the Schengen passport-free travel zone.

“We propose to introduce a temporary restriction on non-essential travel to the European Union,” von der Leyen said at a news conference, “in order to not to spread the virus further, be it within the European Union or by leaving the European Union, but also to avoid non-essential travels, also not to have more potential strain on our health care system.”

A senior Council official said that while the extraordinary travel ban would be “endorsed” by EU heads of state and government, legally it would be adopted and imposed by national governments. Von der Leyen said there would be some exemptions for goods traffic, health care workers, scientific experts and other emergency personnel.

Britain may no longer be part of the EU but it is facing similar challenges due to the pandemic. Prime Minister Boris Johnson warned the U.K. is fast approaching the peak of the coronavirus epidemic and asked everyone to stop non-essential contact and unnecessary travel.

“It looks as though we are now approaching the fast growth part of the upward curve and without drastic action, cases could double every five or six days,” Johnson told a press conference.

Shortly after the new measures were announced, research by a team of scientists at Imperial College London, one of many groups advising government strategy on the disease, indicated that more than 250,000 people could die if the U.K. did not step up its containment measures.

Capitals make moves

On the Continent, even as the EU moved to ban travelers from third countries, airlines reeled from the near-total collapse of their industry, with Air France-KLM announcing it would cut 70 to 90 percent of its flights for the next two months, SAS Scandinavian suspending 90 percent of its operations, and an array of major carriers including Lufthansa and Alitalia turning to their home governments for giant emergency bailouts.

In Italy, the EU country with the most infections and deaths, Prime Minister Giuseppe Conte on Monday announced the approval of a €25 billion economic rescue package, including emergency aid for national and local businesses. Italian officials also said that they were racing to build a pop-up hospital for 500 patients in critical condition. The goal is to build the facility, in Milan’s fairgrounds area, in just 10 days.

“Nobody should feel abandoned,” Conte said in a speech. “The state is there.”

In Spain, the second hardest-hit EU country, which is already in a state of alarm, officials on Monday announced they would postpone upcoming elections in two northern regions, the Basque Country and Galicia. Spain and neighboring Portugal also announced their own partial border closures. And, in a sign that politics continues even in a pandemic, Prime Minister Pedro Sánchez urged a leadership role in fighting coronavirus for the G20 — the wider group of economic powers of which Spain happens to be a member. Sánchez said he had spoken to Crown Prince Mohammad bin Salman of Saudi Arabia, which currently chairs the G20, about holding an emergency summit.

An array of countries also declared new states of emergency on Monday, including Finland, Romania and Switzerland.

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In the Netherlands, Prime Minister Mark Rutte on Monday became the first Dutch leader since 1973 to deliver an emergency address to the entire nation. “Many people have the feeling that we are on a roller coaster, which is going to ride faster and faster,” Rutte said, adding that measures to the fight the coronavirus pandemic were “unprecedented for countries in peacetime.” He said the Netherlands would for now avoid the more drastic lockdown approach in other EU nations, but would work to bolster the health care system and to prop up struggling businesses.

In Belgium, King Philippe also gave a rare speech, telling his nation: “The current situation reminds us of our vulnerability, but at the same time it brings out our strength.”

But even if the worst is avoided, by slowing the virus and limiting deaths, the response looks certain to decimate the global economy.

Leaders of the G7, the world’s most advanced economic powers, held an extraordinary meeting by videoconference on Monday, and pledged expanded international cooperation to fight the pandemic and stabilize world financial systems.

“We express our conviction that current challenges related to the COVID-19 pandemic need a strongly coordinated international approach, based on science and evidence, consistent with our democratic values, and utilizing the strengths of private enterprise,” the G7 leaders said in a statement coordinated by the United States, which holds the presidency of the group.

But in a sign of potential underlying tensions, von der Leyen on Monday announced new EU financial support for CureVac, a German biomedical research firm working to develop a COVID-19 vaccine, after reports that the Trump administration had made overtures to buy the company. (U.S. officials denied making such a bid.)

Late Monday night, the finance ministers of eurozone countries announced an initial package of national and joint European fiscal measures and efforts to safeguard liquidity.

“We will protect our citizens and our currency — come what may and with everything we have got,” the Eurogroup president, Mário Centeno, said. “Our commitment to provide support in this time of need is unlimited. We will do whatever it takes and more, to restore confidence and support a rapid recovery.”

The “and more” seemed inevitable.

In addition to the external travel ban, EU countries continued to impose a haphazard array of new internal border controls that officials, including von der Leyen, said posed a risk to the smooth functioning of the bloc’s internal market. Some of the restrictions, including a move by Hungary to seal its borders even to other EU citizens, also seemed to call into question the fundamental freedoms of the EU.

“I understand that the member states, the governments in the member states, do everything they can to protect their people,” von der Leyen said. “But indeed we have to be very careful to find the right balance between on one hand restricting the social contacts, and therefore the virus to spread, but on the other hand not to hamper our single market.”

In Paris, what was supposed to be the most solemn speech of Macron’s presidency left some listeners confused, as he insisted that the movement of French citizens would be severely restricted for 15 days but also that “necessary outings to do a little bit of physical activity” would be permitted.

In any event, Macron insisted that France, and Europe, would triumph.

“We will prevail,” he said. “But this period will have taught us a lot. A lot of certainties, beliefs will be swept aside, will be called into question. A lot of things we thought impossible are happening. Let us not be impressed. Let us act with force but let us remember this: The day after, when we will have prevailed, won’t be like the day before. We will be stronger morally, we will have learned and I will know, alongside you, to draw the lessons, all the lessons.”

Aitor Hernández-Morales, Silvia Sciorilli Borrelli, Cristina Gallardo, Giorgio Leali, Lili Bayer, Saim Saeed, Melissa Heikkilä, Barbara Moens, Cristina Gallardo, Eline Schaart and Hans von der Burchard contributed reporting.