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Avec leurs grandes oreilles et leur museau pointu, ils ne passent pas inaperçus. Dès que la nuit tombe, les renards prennent possession des rues et font du centre-ville de Londres (Royaume-Uni), un territoire bien gardé. Rien ne semble perturber ces renards urbains, pas même la main tendue par l’homme.L’un d’eux, baptisé Gaspard, rend régulièrement visite à un habitant sur le pas de sa porte, et va même jusqu’à prendre la pose avec lui. “En s’agrandissant, la ville de Londres s’est petit à petit étendue dans les campagnes et les renards ont du trouver leur place, ils sont très attachés à leur territoire. Il y a entre 30 et 35 renards par km2”, explique l’habitant en question, soit entre 8 000 et 10 000 renards urbains à Londres.Le nombre de renards multiplié par quatre en AngleterreDans le pays, leur nombre a été multiplié par quatre ces 20 dernières années. Ils se nourrissent des poubelles laissées sur les trottoirs, et se retrouvent même parfois perdus dans les bus ou chez les habitants. Une association est là pour les recueillir et les soigner, certains peuvent être atteints d’une forme de gale, non transmissible à l’homme. Mais certaines personnes font un business de leur disparition pour les habitants excédés. Pour éviter leur prolifération, les mairies de quartiers invitent les habitants à ne pas les nourrir. De simples recommandations qui, bien souvent, ne sont pas entendues.Le JT

  • JT de 20h du mercredi 5 décembre 2018 L’intégrale

Les autres sujets du JT

  • 1

    Autoroutes : vers une augmentation des péages ?

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    “Gilets jaunes” : le discours d’Édouard Philippe fâche les chefs de partis

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    ISF : Emmanuel Macron recadre ses ministres

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    Les “gilets jaunes” ne décolèrent pas

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    “Gilets jaunes” : la France au ralenti

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    Le gouvernement évoque une prime défiscalisée

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    “Gilets jaunes” à Narbonne : le rejet des politiques ?

  • 10

    “Gilets jaunes” : les maires tentent de renouer le dialogue

  • 11

    Manifestations : la police change de stratégie

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    Trump et Salvini récupèrent pour leur compte les “gilets jaunes”

  • 13

    En Slovénie, les prix des carburants sont fixés par le gouvernement

  • 14

    Le gouvernement abandonne la taxe carbone

  • 15

    Malgré l’interdiction de l’Etat, des agriculteurs construisent un barrage

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Le suicide est un fléau qui touche durement les adolescents aux Etats-Unis, en particulier chez les jeunes afro-américains âgés de 15 à 19 ans, qui tentent de plus en plus de mettre fin à leurs jours, dévoile une nouvelle étude.

Les tentatives de suicide s'amplifient chez les adolescentes afro-américaines, tandis que le nombre de blessures liées aux tentatives augmentent chez les garçons, montre l'étude.

Des chercheurs de l’

Institut McSilver for Poverty Policy and Research de l’université de New York ont réalisé une étude sur les tendances suicidaires auprès d’adolescents d’origine afro-américaine âgés de 15 à 19 ans sur une période de 26 ans (1991-2017).Les auteurs de l’étude se sont basés sur des auto-déclarations des adolescents collectées par le Centers of Disease Control aux Etats-Unis. Quatre critères ont été pris en compte dans les réponses des participants : les pensées suicidaires, la planification des tentatives de suicide, les tentatives en elles-mêmes, et les blessures associées à ces actes. Selon les Centers for Disease Control and Prevention, le suicide était la troisième cause de décès chez les jeunes afro-américains et afro-américaines âgés de 15 à 19 ans en 2017. Cette nouvelle recherche publiée dans la revue 

Pediatrics révèle que les tentatives de suicide sont en hausse constante sur toute la période de suivi, en particulier chez les adolescentes, avec 1,2 suicide pour 100.000 par an en 2007 et 4 pour 100.000 par an en 2017.De manière générale, les tentatives de suicide auto-déclarées ont augmenté chez les adolescents afro-américains, alors qu’elles ont diminué ou stagné chez les ados d’autres groupes ethniques (blancs, hispaniques, asiatiques/insulaires du Pacifique et amérindiens et autochtones de l’Amérique et de l’Alaska). 

Les auteurs de l’étude ont par ailleurs constaté une augmentation significative des blessures causées par les tentatives de suicide, en particulier chez les garçons. Autre fait inquiétant : les pensées suicidaires et la planification de mettre fin à ses jours ont tendance à diminuer, mais les tentatives de suicide se font plus nombreuses dans cette catégorie de population. Autrement dit, les adolescents afro-américains hésitent moins qu’avant à passer à l’acte. “Il est urgent de comprendre pourquoi le taux de tentatives de suicide chez les adolescentes afro-américaines s’accélère. Nous devons aussi comprendre pourquoi les hommes afro-américains sont de plus en plus blessés dans les tentatives de suicide“, alerte le Dr Michael Lindsey, directeur exécutif du McSilver Institute et auteur principal de l’étude.Click Here: pinko shop cheap

Le Jury présidé par Elia Suleiman a décerné le Lotus du Meilleur film au drame iranien “Querelles” de Morteza Farshbaf.

C’est ce dimanche que s’est achevé la 14ème édition du Festival du Film Asiatique de Deauville. Le Jury, présidé par Elia Suleiman, a décerné le Lotus du Meilleur Film au drame iranien Querelles, réalisé par Morteza Farshbaf, 27 ans. Après plusieurs courts métrages, des ateliers et collaborations diverses avec le cinéaste Abbas Kiarostami, Morteza Farshbaf réalise ici son premier long métrage. Querelles succède ainsi à Eternity, Lotus du Meilleur film en 2011, réalisé par le thaïlandais Sivaroj Kongsakul.

 

Le Lotus du Jury a été attribué à Baby Factory, un premier film réalisé par le philippin Eduardo W. Roy Jr., qui marche sur les pas de Brillante Mendoza. La Presse a décerné son Prix de la critique à Himizu de Sion Sono. Le cinéaste japonais était déjà présent l’an dernier pour présenter son précédent film, Cold Fish, qui avait récolté ce même prix. Enfin, le Lotus Action Asia a été attribué à Wu Xia du chinois Peter Ho-Sun Chan.

 

Pour tout savoir sur cette 14ème édition, rendez-vous ici !

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The coronavirus crisis is turning into a garbage crisis.

Millions of people are stuck at home generating lots of extra trash — some of which is mixed with discarded face masks, gloves or other garbage that could be contaminated with the coronavirus. That’s turning into a growing problem for garbage collection workers, who face increased personal risk when picking up and sorting garbage.

Labor unions are demanding extra protection for workers, while some countries are suspending or reducing trash and recycling services — something that could endanger their ability to hit EU waste reduction and recycling targets.

In Brussels, “the situation is dramatic,” said Patrice De Brandt, permanent secretary of the CSC union representing garbage collectors working at Bruxelles Propreté, the city’s waste-management operator.

Trade unions called on Bruxelles Propreté to increase safety measures for trash collection workers, especially because it is impossible for workers to keep a safe distance from each other while on garbage trucks.

Following multiple meetings this week, a deal was struck to cut waste collectors’ working time, and to make water and soap available in garbage trucks for workers to wash their hands.

The coronavirus outbreak is also posing other challenges for the European waste sector and the estimated 1.1 million workers employed there.

China’s experience shows that there’s likely to be a surge in medical waste such as surgical masks and other protective gear. At the height of the epidemic in Wuhan, the city was producing 240 tons of medical waste a day, and the government had to deploy mobile treatment facilities to manage it.

Not all of that trash is generated by hospitals. Millions of people are wearing face masks and latex gloves when leaving their homes — and a lot of that waste is being dumped into home garbage bins. Then there’s the issue of normal garbage generated by people who are under quarantine or infected but asymptomatic — some of which might be potentially dangerous.

Treating trash

Countries are now trying to clarify how such waste should be treated.

France told people to put used tissues, face masks and gloves into separate plastic bags and to wait 24 hours before putting them out for garbage collection; in the U.K. the waiting time is 72 hours.

In order to ensure all countries have the right rules, the European Commission is drafting guidelines sharing best practices and tips.

The document, seen by POLITICO, advises countries to tell households to store closed garbage bags, in particular with dry materials that can be recycled such as paper and plastics, for a longer period in the house before they throw it in separate waste bins. That’s to protect workers in recycling facilities who sort through the waste manually.

“The duration of the storage of the waste has to take account of the rapidly developing science as regards the stability of the virus on different services,” the document reads, referring to a study led by the U.S. National Institutes of Health, which found that traces of the virus survive less than 24 hours on cardboard but up to three days on plastic and stainless steel.

The Commission document, which has not yet been sent to national capitals, also says that it might make more sense to store waste at central facilities rather than at homes as it can be kept under more controlled conditions.

But the industry wants more.

“I understand the Commission wants to contribute, but as the situation evolves every day, such a document could rapidly become obsolete,” said Valérie Plainemaison, the secretary-general of FEAD, the private waste industry lobby.

Although she welcomed the Commission’s recognition of the waste sector as an essential service, Plainemaison added that “day-to-day adaptation is needed at local level, under public authorities’ control.”

The EU executive also told countries they may suspend household waste recycling if there’s a shortage of staff or if the trash can’t be deemed coronavirus-free.

“Some countries continue to recycle, but others like France and Italy are no longer in the position where priority is given to recycling,” said Plainemaison.

It’s happening across the Continent. Residents of Lisbon were asked to stop separating trash for recycling, while in Brussels garbage collectors are dumping normal trash bags and those aimed for recycling into the same truck.

Those changes could prevent some EU countries from hitting their mandatory recycling targets. Under the EU Waste Framework Directive, countries are required to ensure that by this year at least 50 percent of their municipal waste is prepared for reuse or recycling — but even before the crisis some countries weren’t on track to reach that goal.

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Three Houston-area residents drowned and two children were rescued while on vacation in the Turks and Caicos Islands earlier this week, according to officials and news reports.

A search and rescue mission was underway in the islands on Monday, the Royal Turks and Caicos Islands Police Force said. Island officials began the search and rescue mission around 1 p.m. local time.

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About an hour later, a 33-year-old woman was confirmed dead and the body of an adult male was recovered just after 5 p.m. The following day, the body of a second man was recovered shortly after 6 a.m.

Two girls were rescued by good samaritans and are in the care of social services. The authorities said the two girls were related to the adults but didn’t say how.

According to a report in KPRC, one of the girls was the daughter of two of the drowning victims, who family members identified as Irma Barrera, 33, and Roy Perez, 38, of Lake Jackson. The second girl was the daughter of the third victim, identified in the KPRC report as Dr. Richard Okoloise.

“Yesterday the Turks and Caicos suffered a very human and terrible tragedy when five tourists from two families got into difficulties in the waters off Middle Caicos,” the Turks and Caicos Commissioner of Police said in a statement on Tuesday.

The nature of the difficulties the tourists faced was not immediately clear.

DEARBORN, MI — Ford has released a safety recall for some 2015 Ford Fusions and 2015 Lincoln MKZ models, according to a release from the company. The cause of the recall is seat belt anchor pretentioners.

In these affected vehicles, which total over 100,000, “increased temperatures generated during deployment of the driver or front-passenger seat belt anchor pretensioner could degrade the tensile strength of the cable below the level needed to restrain an occupant.”

The company adds that seat belt assemblies that can’t restrain the occupant can increase the risk of injury in an accident.

One person so far has been injured in relation to this defective seat belt assembly.

The affected 2015 Ford Fusions were built at Flat Rock Assembly Plant from Aug. 1, 2014 to Jan. 30, 2015 and at Hermosillo Assembly Plant from Aug. 1, 2014 to Nov. 24, 2014.

The affected 2015 Lincoln MKZs were built at Hermosillo Assembly Plant from Aug. 1, 2014 to Nov. 21, 2014.

In total the vehicles affected total:

When owners bring their vehicles in, the dealer will apply a coating to protect the cable during pretentioner deployment. The recall reference number is 19S25

Une étude à échelle européenne dévoilée par le site Naturavox a évalué l’influence des diktats de beauté sur la perception des Françaises de leur propre apparence physique. L’enquête révèle une forte propension à l’auto-dévalorisation

Sommaire

  1. Dévalorisation vis-à-vis du partenaire

Qui n’aime pas se prélasser sur sa serviette de plage et plonger dans une piscine bien fraîche quand le thermomètre affiche plus de 30 degrés ? Mais pour certaines femmes, la saison estivale rime avec complexes, voire la peur de se dénuder et de confronter ses rondeurs aux diktats impitoyables de beauté imposés par la société.Où se situent les Françaises par rapport à leurs voisines européennes ? C’est la question posée par cette enquête Ifop x

Naturavox, réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 5.000 femmes européennes (Italiennes, Espagnoles, Allemandes et Anglaises), dont 1.000 Françaises. L’étude montre que l’auto-critique est fortement répandue parmi les habitantes de l’Hexagone : seules 22% d’entre elles s’estiment “jolies”, contre 28% chez les Espagnoles et les Anglaises et 39% chez les Italiennes. Dévalorisation vis-à-vis du partenaireConformément à l’injonction fortement ancrée dans les esprits selon laquelle minceur et beauté vont de pair, l’impression d’être physiquement attirante est particulièrement forte dans les catégories de la population féminine les moins affectées par des problèmes de surpoids : 40% des femmes à l’indice de masse corporelle “normal” se jugent “jolies,” contre 10% des femmes en situation d’obésité. L’étude rappelle toutefois qu’en terme d’obésité, les Françaises se situent en bas de l’échelle européenne (15,3%), loin devant les pays du Nord-Ouest (21% au Royaume-Uni et 20% en Allemagne), ce qui laisse sous-entendre que ce diktat pèserait davantage sur l’image et l’estime des habitantes de l’Hexagone. Le sondage montre également une tendance des femmes interrogées à survaloriser l’attrait physique de leur conjoint par rapport à la leur. Près d’un tiers des sondées (29%) estiment en effet que leur partenaire est “plus beau” qu’elles (contre 24% moyenne dans les autres pays étudiés). Sans surprise, cette impression est nettement plus marquée chez celles qui ont une piètre opinion de leur physique (57%).

L’utilisation détournée du protoxyde d’azote comme gaz hilarant inquiète de plus en plus, aussi bien dans les soirées étudiantes que sur les réseaux sociaux. Car aussi “drôle” soit-il, ce gaz, lorsqu’il est aspiré, n’est pas sans risques pour la santé.

Usuellement appelé “proto” ou

“gaz hilarant”, le protoxyde d’azote est un gaz principalement utilisé dans le milieu médical, comme anesthésiant, ou industriel, comme gaz de pressurisation d’aérosol. Mais depuis plusieurs années, il est détourné de son usage initial pour ses propriétés euphorisantes et se retrouve conditionné dans des ballons de baudruche afin d’être inhalé. Une pratique inquiétante et qui tend à se banaliser sur certains réseaux sociaux, en particulier Snapchat, d’après le site web d’actualité informatique Numerama. Le média spécialisé s’appuie notamment sur l’exemple récent d’une candidate de téléréalité qui a publié des images d’une soirée où elle aspire à plusieurs reprises le contenu d’un ballon de baudruche. Fin 2018, l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies s’inquiétait également de la résurgence de ce gaz dans divers contextes festifs observée depuis 2015 ainsi que par sa visibilité accrue dans certaines métropoles où “les cartouches vides jonchent les trottoirs de certains quartiers”. Des risques, quelque soit la fréquence de l’usage ou la doseOutre une courte sensation d’euphorie, qui disparaît au bout de quelques minutes, l’inhalation du protoxyde d’azote expose à plusieurs effets indésirables, comme le rapporte le site du ministère de la Santé drogues-info-service : nausées et vomissements,

maux de tête,

crampes abdominales,

diarrhées,

somnolence et baisse de la vigilance,

vertiges,

acouphènes. A plus forte dose, le gaz peut engendrer une

confusion, une

désorientation, une

difficulté à parler et à coordonner ses mouvements, une faiblesse musculaire et des

irrégularités cardiaques. Le surdosage se manifeste, lui, par des troubles moteurs,

des altérations de la perception, et plus rarement des convulsions.Toujours d’après le site gouvernemental, en cas d’usage régulier, le protoxyde d’azote peut entraîner des

pertes de mémoire,

des troubles de l’érection,

des troubles de l’humeur de type paranoïaque,

des hallucinations visuelles,

des troubles du rythme cardiaque ainsi qu’une baisse de la tension artérielle. Ces altérations sont néanmoins réversibles à l’arrêt de la consommation. De plus, indépendamment de la fréquence d’utilisation, le gaz hilarant expose à un risque de brûlure par le froid due à sa température, à un

trouble de la déglutition ainsi qu’à un manque d’oxygène pouvant provoquer la mort par

asphyxie en raison de la très forte concentration en protoxyde d’azote des cartouches. Des troubles neurologiques en cas d’usage chronique à forte doseLa consommation chronique de protoxyde d’azote à fortes doses expose, sans surprise, à des effets encore plus sévères. Le gaz peut effectivement causer

une carence en vitamine B12, à l’origine de troubles neurologiques tels que des

engourdissements des doigts ou des orteils, un difficulté à se mouvoir due à une faiblesse des jambes,

des troubles de l’équilibre ainsi que des sensations de décharges électriques dans la nuque. Cette carence en vitamine B12 peut également être à l’origine d’une

anémie. Ces troubles peuvent apparaître tardivement, après plusieurs mois d’utilisation. Ils sont généralement réversibles à l’arrêt de la consommation et en cas de traitement à base de vitamine B12.Une situation à risque donc, qui pousse certains élus à réagir. Début juillet, deux maires de la métropole Lilloise ont pris un arrêté interdisant la vente de cartouches de protoxyde d’azote aux mineurs. Le département du Nord étant particulièrement impacté par ce phénomène.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Les femmes pourront-elles un jour se vacciner contre l’infection à chlamydia, maladie sexuellement transmissible courante qui rend parfois stérile ? Des travaux préliminaires sur un vaccin ont donné des résultats encourageants, même si le chemin est encore long, selon une étude publiée mardi.

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  1. L’infection à chlamydia, fréquente et potentiellement grave 
  2. “Le besoin d’un vaccin est réel”

Publiés dans la revue The Lancet Infectious Diseases, ces travaux montrent qu’un vaccin en cours d’élaboration est “sûr et capable de provoquer une réponse immunitaire“.Mais même si ces éléments sont “encourageants“, on n’en est encore qu’à un stade très préliminaire : d’autres recherches seront en effet nécessaires “pour déterminer si la réponse immunitaire provoquée protège efficacement contre l’infection à chlamydia“, selon l’étude.L’infection à chlamydia, fréquente et potentiellement grave Il s’agit du premier vaccin contre cette infection bactérienne à être testé dans le cadre d’un essai clinique (il en est à la phase 1, le stade le plus préliminaire).Chaque année, 131 millions de personnes dans le monde contractent une infection à la bactérie chlamydia, selon des estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces estimations pourraient être en-dessous de la réalité, car quelque 70% des femmes infectées ne ressentent aucun symptôme et ignorent qu’elles ont contracté cette infection sexuellement transmissible (IST).Elle est plus fréquente chez les femmes de 18 à 25 ans que chez les hommes du même âge. Chez les femmes, elle peut entraîner des complications sévères, parmi lesquelles des inflammations pelviennes, des grossesses extra-utérines voire la stérilité.En outre, elle augmente les risques de contracter d’autres IST, comme la gonorrhée ou l’infection au VIH, le virus du sida.”Le besoin d’un vaccin est réel”L’infection à la bactérie chlamydia peut être soignée grâce à un traitement antibiotique. Mais “vu l’impact de cette épidémie sur la santé des femmes, sur la santé reproductive, sur la santé des enfants en cas de transmission (…), le besoin d’un vaccin est réel“, estime l’un des auteurs de l’étude, le professeur Peter Andersen, de l’institut de recherche danois Statens Serum Institut.Les chercheurs ont mené l’étude sur 35 femmes qui n’avaient pas été infectées par la chlamydia, en utilisant deux formulations différentes du vaccin.Quinze femmes ont reçu l’une de ces formulations (administrée en cinq fois, par piqûres dans le bras puis vaporisations dans le nez), quinze autres ont reçu la seconde (également en cinq fois), et les cinq dernières ont reçu un placebo.Les deux formulations du vaccin ont provoqué une réponse immunitaire (c’est-à-dire la production d’anticorps) chez toutes les femmes testées.Pour autant, les performances de la première formulation étaient meilleures car elle a permis de produire davantage d’anticorps. C’est donc elle qui a été choisie pour la suite des recherches.”Bien que de nombreuses années supplémentaires de recherche soient nécessaires, nous prévoyons de passer au prochain state, l’étude clinique de phase 2“, a expliqué l’une des scientifiques, Helene B. Juel.

Les gouvernements canadien et écossais sont en train d’évaluer l’intérêt d’apposer des messages d’avertissement sur toutes les cigarettes et plus simplement le paquet pour arrêter de fumer. Et selon une étude, cette mesure serait efficace.

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  1. Un message d’avertissement plus difficile à éviter 
  2. Une stratégie politique jugée viable

Dans le cadre de leur programme national de

lutte contre le tabac, les gouvernements écossais et canadien suggèrent que le message d’avertissement “Fumer tue” apparaisse sur chaque cigarette, en plus de celui apposé sur le paquet. Dans une étude publiée le 29 août dernier dans la revue Addiction Research and Theory, les chercheurs de l’université de Stirling ont souhaité connaître l’impact d’une telle mesure si elle était adoptée. Et visiblement, celle-ci aurait l’effet escompté.Un message d’avertissement plus difficile à éviter Les scientifiques écossais ont demandé à 120 fumeurs âgés entre 16 et 50 ans de donner leur avis sur cette approche innovante. Et tous ont en effet affirmé qu’elle serait efficace pour les décourager : “un avertissement sur chaque cigarette est perçu comme un prolongement du message sanitaire, étant visible lorsque la cigarette est sortie du paquet, allumée, laissée dans un cendrier et à chaque bouffée. Il est donc plus difficile pour le fumeur de l’éviter”, suggèrent les chercheurs. Certains interrogés ont expliqué que cet avertissement exposé à la vue de tous pouvait leur donner une image négative et ainsi les embarrasser. Des participantes ont par ailleurs jugé ce message répété “déprimant, inquiétant et effrayant”. Les plus jeunes ont assuré que si la mesure était mise en place, elle les encouragerait à réduire leur consommation de tabac, voire à l’arrêter complètement.Une stratégie politique jugée viable“Le consensus est que cela serait rebutant pour les jeunes, les personnes qui commencent à fumer et même les non-fumeurs”, écrivent les auteurs de l’étude. “Ces résultats suggèrent que l’introduction de tels avertissements pourrait avoir un impact sur les décisions de ces groupes d’individus. Cela montre également que cette approche est une option politique viable qui pourrait, pour la première fois, étendre le message sanitaire jusqu’à l’expérience de consommation.”Des résultats en phase avec les études ultérieures menées depuis la mise en place du

paquet neutre : selon

l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui a passé en revue les résultats de ces travaux, “les campagnes choc contre le tabac et les mises en garde illustrées apposées sur les paquets permettent de dissuader les enfants et d’autres groupes vulnérables de commencer à fumer et d’inciter un plus grand nombre de fumeurs à décider d’arrêter”, à condition qu’elles soient renouvelées régulièrement afin que la population ne s’y accoutume pas.