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Le fait qu’un bébé attrape un index placé dans sapaume n’est pas qu’un simple réflexe. Un nouveau-népossède, dès ses premières heures, une perceptionmanuelle. Mais un bébé prématuré présentedes fonctions neurologiques plus immatures. Il semblerait pourtantque ses sens soient plus développés que l’on pourrait lecroire. Les bébés prématurés peuvent, en effet,différencier la forme d’objets avec leurs mains, comme l’adémontré une étude récente de chercheurs duCNRS

Un bébé né à terme, au bout de neuf mois degrossesse, reçoit des stimulations en grand nombre :lavé, langé, posé sur le ventre de la maman,allaité, il entre en effet en contact avec de nombreux objetset d’autres peaux que la sienne, ce qui fait progresser saperception manuelle. Mais il en est tout autrement pour lesbébés prématurés (nés environ deux moisavant le terme), qui sont souvent mis en couveuse et sont alorsmoins stimulés par les éléments extérieurs.Pourtant cela n’altère en rien leur perception des formes desobjets, selon les résultats d’une étude de chercheurs delaboratoires spécialisés en psychologie (CNRS :Université Grenoble 2,Université deChambéry,Université Paris Descartes). En collaborationavec une équipe du service de néonatologie du CHU deGrenoble, ils ont mené une expérience basée surl’apprentissage et la réaction à la nouveauté,auprès de 24 bébés prématurés nésaprès environ 7 mois de grossesse, âgés de deuxsemaines.

Lors de la première phase d’apprentissage,l’expérimentateur a mis un petit objet (prisme pour lamoitié des bébés et cylindre pour l’autre) dans unemain du bébé. Dès que le nourrisson lâchaitl’objet, l’expérimentateur le lui remettait dans la main etmesurait ainsi à chaque essai le temps de tenue de l’objet.Les chercheurs ont observé que celui-ci diminue aux cours desessais, témoignant que le bébé s’est “habitué“à la forme de l’objet.
C’est là qu’intervient la seconde phase de réactionà la nouveauté. Les chercheurs présentent à lamoitié des bébés un objet avec une nouvelle forme,et à l’autre moitié l’objet devenu familier.Résultat : le temps de tenue est plus élevépour l’objet nouveau que pour l’objet familier. “Tout comme lesbébés nés à terme, si l’objet est le même,les prématurés cessent de le tenir, s’il estdifférent, ils s’y intéressent davantage. Lesbébés prématurés sont donc eux aussi desconsommateurs de nouveauté tactile, et donc des apprenants enherbe“.“Ces résultats apportent une meilleure connaissance descapacités perceptives des bébésprématurés“, conclue le communiqué. Ils devraientaider les professionnels des services de néonatologie àoptimiser les interventions et les soins qui leur sontprodigués, notamment dans le but de réduire leur stresset d’offrir des conditions optimales à leurdéveloppement.Ioanna Schimizzi
Sources :
– “Même prématurés, les bébés “voient“avec leurs mains“, communiqué du CNRS, février 2010
– “The Manual Habituation and Discrimination of Shapes in
Preterm Human Infants from 33 to 34+6 Post-
Conceptional Age“, PLoS One, février 2010,

téléchargeable en ligne (enanglais)
Photos : bébés prématuréstenant des objets, © FrédériqueBerne-Audéoud
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Le sommeil n’est pas une perte de temps, bien au contraire c’est une composante essentielle pour bien vivre et bien vieillir. La 10ème Journée du Sommeil s’intéresse ainsi au sommeil de nos aînés. Principal constat : les seniors dorment bien.

Pour la journée du sommeil 2010, l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV), en partenariat avec la MGEN, s’est intéressé au sommeil des seniors pour mieux connaître ses spécificités et faire évoluer les comportements et les pratiques.
Des seniors qui dorment mieux que les cadets
Nos seniors dorment plus que leurs cadets, 7h13 la semaine et 7h30 le week-end. En majorité, ils se disent satisfaits de la qualité et de la quantité de leur sommeil. Les seniors, dormant plus durant la semaine, ont un besoin de récupération moindre le week-end, augmenté de 17 minutes au lieu de 1h15 chez les adultes plus jeunes (enquête “Sommeil et rythmes de vie 2009“).Le temps sommeil des seniors est ainsi mieux réparti au fil de la semaine.
Après 50 ans, certains changements physiologiques s’opèrent :
– Réduction du temps total de sommeil la nuit (sommeil lent profond et paradoxal) ;
– Allongement du délai d’endormissement ;
– Difficulté de maintien du sommeil et de l’éveil ;
– Augmentation de la fréquence et allongement des périodes d’éveils nocturnes ;
– Répartition différente du besoin de sommeil sur 24h ;
– Augmentation de la fréquence des siestes ;
– Fréquence des avances de phase : le coucher se fait plus tôt, la quantité de sommeil nécessaire est donc obtenue plus tôt, ainsi le réveil est plus précoce. (Ce phénomène est souvent confondu avec une insomnie)
10ème Journée du Sommeil, vendredi 19 mars 2010
L’espérance de vie augmente et la population vieillit, aussi le grand public a besoin d’être informé sur son importance vitale, à tous les âges de la vie, et sur les signes d’alerte, nécessitant d’en parler avec leur médecin généraliste. Telle est la vocation de la Journée du Sommeil® qui se tient chaque année au mois de mars.
Portes ouvertes dans 58 centres de sommeil, dans 46 villes de France, destinées au grand public et aux professionnels de santé.
www.journeedusommeil.org
Des adeptes de la sieste
Près de la moitié des seniors renouent avec la sieste, 3 à 6 fois par semaine, selon leur âge 42 % des seniors font la sieste en tout début d’après-midi, pendant 28 minutes (la durée idéale de sieste recommandée par les spécialistes étant de 20 minutes). Le besoin de sieste est un besoin physiologique qui existe dès l’enfance et qui revient avec le vieillissement. A partir de 50 ans, le nombre de siestes par semaine augmente, allant de 3 entre 50 et 60 ans à 6 siestes après 80 ans.
Ce retour à la sieste s’accompagne d’une modification de sa durée ; courte chez les 50-60 ans, elle s’allonge progressivement jusqu’à 1 heure et plus au-delà de 80 ans, ce qui peut entraîner des difficultés d’endormissement. En effet, trop dormir dans la journée “consomme“ du sommeil sur la nuit suivante et diminue le besoin de sommeil lors du coucher.
Sortir pour garder son horloge biologique à l’heure
Dans l’ensemble, les seniors passent 5h19 hors de leur domicile par jour en semaine, et 4h24 le week-end. Ce laps de temps diminue avec l’âge et s’accompagne d’une augmentation de la durée de sommeil sur 24h, au risque d’entraîner une déstructuration du rythme du sommeil. En effet, 23,5 % des seniors atteints d’insomnie sortent ainsi moins d’une heure à l’extérieur, tout comme près de la moitié des plus de 80 ans…
Or, l’exposition à la lumière du jour permet de réguler l’horloge biologique interne, qui identifiera correctement l’alternance jour-nuit. A l’inverse, rester dans la pénombre durant la journée entraîne des troubles de sommeil nocturne et conduit à un état propice à la somnolence.
Des troubles du sommeil parfois liés à de plus graves problèmes
22 % des seniors rapportent des difficultés de sommeil : insomnie (72 % d’entre eux), horaires de sommeil qui se décalent, syndrome d’apnées du sommeil ou syndrome des jambes sans repos altèrent la qualité du sommeil des personnes qui ont ainsi tendance à s’endormir facilement dans la journée. Outre un état de somnolence, avéré chez 65 % de ces seniors, des pertes de mémoire sont également constatées.
Les spécialistes notent qu’une augmentation du temps de sommeil chez les personnes âgées (plus de 9h, et des siestes longues) doit être le signe d’une possible altération des fonctions mnésiques. A contrario, cause ou conséquence, le sommeil tend à se réduire (moins de 6 à 7 h) en présence de pathologies associées, telles que maladies du dos et des articulations, diabète, hypertension artérielle et maladies cardiaques, cancers…
Abandonner ses mauvaises habitudes pour devenir centenaire !
Encore aujourd’hui, plus de la moitié de seniors qui dorment mal prennent des somnifères. Les spécialistes du sommeil conseillent davantage de se tourner vers les méthodes de relaxation (8 % seulement), avant la prescription de thérapeutiques. Une règle d’or, en cas d’insomnie, pour tous : éviter les activités d’éveil dans son lit (télévision, téléphone, radio…), préférer en sortir, et n’y retourner que pour dormir !
Certes, les centenaires n’échappent pas aux troubles du sommeil liés à l’âge, mais bien dormir est pour eux une priorité ! Leur qualité de vie est liée à la conservation d’un bon rythme veille – sommeil structuré ; quand ils le peuvent, ils dorment beaucoup, près de 10 h par nuit !Source : Communiqué de l’Institut national du sommeil et de la vigilance, avec le soutien de la MGEN – 9 mars 2010Click Here: New Zealand rugby store

Pourquoi les Occidentaux ont-ils davantage de mal à digérer les sushis que les Japonais ? Une réponse sur les habitudes ancestrales de ces derniers est certes souvent avancée, mais des chercheurs français viennent d’y rajouter une explication scientifique pertinente…

Notre flore intestinale, constituée d’une multitude de bactéries, est indispensable pour nous aider à digérer. En effet certaines molécules, comme les polysaccharides, ne peuvent être dégradées par nos cellules intestinales. Par contre nos bactéries intestinales, via des mécanismes enzymatiques spécifiques, vont pouvoir venir casser ces sucres complexes.La confection de sushis -dont les Japonais sont particulièrement friands depuis des générations- nécessite l’utilisation d’une algue rouge appelée Porphyra. Dans sa paroi, on trouve de grandes quantités d’un polysaccharide, le Porphyrane, qui est dégradé de façon spécifique par une enzyme, la Porphyranase.Des chercheurs japonais, devant le constat d’une moins bonne digestion des sushis par les amateurs occidentaux de poissons crus, ont donc étudié l’activité enzymatique de la Porphyranase : ils l’ont d’abord, et sans grande surprise, décelée dans des bactéries marines, puis, poussant leur curiosité plus loin, ils ont découvert que l’enzyme était également présente dans la microflore intestinale des 13 patients japonais chez qui ils l’ont recherché, mais pas chez les 18 patients nord-américains.Selon les chercheurs, l’explication tiendrait à un “transfert de gènes des bactéries marines vers les bactéries de l’intestin“. En effet, à force d’être exposés, via leur alimentation, aux bactéries marines possédant l’équipement adéquat, l’enzyme serait passée dans certaines bactéries intestinales des personnes vivant sur l’archipel nippon.Au-delà de la digestion des sushis, cette découverte permet surtout de comprendre comment notre flore intestinale, en consommant des produits d’origine marine, peut acquérir de nouvelles capacités enzymatiques, expliquant la diversité de celle-ci en fonction des diverses populations.Frédéric TronelSource : “Transfer of carbohydrate-active enzymes from marine bacteria to Japanese gut microbiota“ Jan-Hendrik Hehemann et coll., Nature, 8 avril 2010, résumé

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Une équipe de chercheurs belges a peut-être identifié ce qui correspond à une signature de la maladie d’Alzheimer, en l’espèce de 3 biomarqueurs présents dans le liquide cérébrospinal dans lequel baigne le cerveau. Cette découverte, si elle était confirmée, constituerait une avancée majeure dans la recherche pour la mise au point d’un test diagnostic fiable et précoce de cette maladie neurodégénérative dont le dépistage est, pour l’heure, très tardif.

La

maladie d’Alzheimer correspond à une dégénérescence du

système nerveux central et se caractérise par une détérioration immuable des facultés mentales du patient. Elle concerne près d’un million de personnes en France et ce chiffre devrait encore augmenter avec le vieillissement de la population. A l’heure actuelle, il n’existe pas de test unique pour déterminer si une personne en est atteinte. Dans le cadre d’une évaluation systématique, on établit un diagnostic en éliminant les autres causes possibles des symptômes à l’aide d’examens médicaux, psychologiques, biologiques… Tout cela prend beaucoup de temps et retarde d’autant le diagnostic. Actuellement, on considère qu’il est établi environ 3 ans après l’installation des premiers signes. Sans compter la dizaine d’années, voire plus, pendant lesquelles le processus pathogénique a suivi son cours à bas bruit. Une sensibilité de 90 %C’est dire si les travaux de Geert De Meyer et de ses collègues de l’Université de Gand (Belgique) suscitent l’espoir ! Ces chercheurs ont en effet démontré qu’à certaines concentrations dans le liquide cérébrospinal (ou liquide céphalorachidien – LCR), trois protéines (la protéine bêta-amyloïde 1-42, la protéine tau et la protéine tau phosphorylée 181P) constituaient des indicateurs fiables du processus de pathogénicité à un stade précoce. Pour parvenir à cette conclusion, ils ont analysé les données issues de 114 adultes âgés dont les fonctions cognitives étaient normales, 200 personnes âgées présentant un

déclin cognitif modéré et 102 autres décédées pour lesquelles le diagnostic de la maladie d’Alzheimer avait été posé. L’analyse du LCR de ces volontaires a mis en évidence la présence de la “signature“ protéique chez 90 % des malades reconnus, chez 72 % des personnes présentant un déclin cognitif modéré et chez 36 % de celles en bonne santé. Pour les chercheurs, “la présence de la signature de la maladie d’Alzheimer chez plus d’un tiers des personnes normales sur le plan cognitif suggère que la maladie d’Alzheimer est active et détectable plus précocement que cela a été envisagé jusqu’alors“. Ces résultats ont par ailleurs été confirmés dans deux autres études pratiquées l’une auprès de patients dont l’autopsie avait confirmé la maladie d’Alzheimer (94 % de sensibilité au test) et l’autre auprès de personnes suivies pendant 5 ans et progressant vers la maladie neurodégénérative, précisent les auteurs. Ils plaident donc pour la révision des critères de diagnostic de la maladie, afin qu’elle soit dépistée le plus tôt possible.Toujours pas de traitementOr c’est bien là que le bât blesse. Car si cette découverte constitue une avancée remarquable dans le diagnostic de la maladie d’Alzheimer, qui souffre aujourd’hui d’un grand retard, cette pathologie n’en reste pas moins incurable. Or, que faire d’un test de dépistage précoce pour une maladie que l’on ne sait pas encore soigner ? En outre, s’il se révélait effectivement fiable (c’est-à-dire sensible -détection des malades qui le sont – et spécifique – détection des personnes saines qui le sont-), ce test serait très délicat à mettre en oeuvre : le prélèvement du LCR nécessite en effet de piquer avec une très longue aiguille dans la moelle épinière, au niveau de la colonne vertébrale, un geste délicat qui comporte des risques.Alors saluons le travail de ces chercheurs, qui représente incontestablement un progrès majeur dans la compréhension de la maladie d’Alzheimer, mais ne crions pas victoire. La route est encore longue avant de pouvoir triompher de cette terrible pathologie…Amélie PelletierSource :Diagnosis-Independent Alzheimer Disease Biomarker Signature in Cognitively Normal Elderly People – Archives of Neurology août 2010 – vol. 67(8), p. 949-956

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Présente en France métropolitaine depuis mars dernier, la varicelle s’est solidement installée dans de nombreuses régions de l’Hexagone. Avec 38 cas pour 100 000 habitants, l’activité de la maladie a été modérée à forte au cours de la semaine du 9 au 15 mai derniers, selon le dernier bulletin du réseau Sentinelles, publié mercredi 18 mai. Six régions demeurent particulièrement touchées par la

varicelle. Il s’agit de l’Auvergne avec 140 cas pour 100 000 habitants, du Poitou-Charentes (125 cas), de la Provence-Alpes-Côte d’Azur (78 cas), de la Lorraine (66 cas), du Nord-Pas-de-Calais (59 cas) et du Languedoc-Roussillon (57 cas). Les activités de

gastro-entérite, de

grippe saisonnière et de crises d’

asthme, autres maladies surveillées par les médecins Sentinelles, ont été faibles au cours de la même semaine. RelaxnewsSourceDonnées du réseau de surveillance Sentinelles n° 2011s19, pour la semaine du 09 au 15/05/11 (

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Countries tapping the European Stability Mechanism would then have 10 years to pay back the debt | Ina Fassbender/AFP via Getty Images

Eurozone backs 10-year credit lines for coronavirus costs

Countries have until end-2022 to obtain funds with the Commission watching how they’re spent.

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5/8/20, 6:53 PM CET

Updated 5/8/20, 7:37 PM CET

Eurozone governments have until the end of 2022 to open credit lines from a shared bailout fund to pay health costs stemming from the coronavirus, finance ministers agreed Friday.

Countries tapping the European Stability Mechanism would then have 10 years to pay back the debt, under the preliminary agreement struck by the Eurogroup ministers in a short videoconference. Their leaders have asked for the credit lines to be ready by June 1.

Once ministers complete legal formalities, the ESM rescue fund — created during the government-debt crisis last decade — could offer as much as 2 percent of a country’s annual economic output. The European Commission would monitor how the money is spent.

“There are no other strings attached to the use of the facility,” Eurogroup President Mário Centeno said after the meeting.

Roberto Gualtieri, the Italian finance minister, hailed the agreement not to impose conditions such as economic and labor reforms, mandated in the fund’s original rules for government rescues. The prospect of such terms, along with opposition to shared bonds, had sparked outrage from Italy while it was bearing the brunt of the pandemic.

The ministers who sit on the ESM board could decide later to shorten or extend the end-2022 deadline to draw on the fund.

The credit lines are part of a three-pronged, €540 billion economic package that aims to protect governments, workers and companies from financial ruin because of the pandemic.

Treasury officials earlier this week tentatively agreed on a €100 billion jobless reinsurance plan that would compensate employees for lost income if their companies reduce working hours. This jobless initiative also ends December 31, 2022.

The European Investment Bank, meanwhile, is finalizing a €200 billion guarantee fund that can issue loans to cash-strapped companies.

Authors:
Bjarke Smith-Meyer 

Recent images captured by the Associated Press depict the harmful storm conditions currently underway in Arizona, prompting evacuations in certain areas. The flooding is being caused by rainfall from the remnants of Hurricane Rosa.

Amid mounting fear that the Menagers Dam will likely fail, officials began evacuations in Ali Chuck, the small town consisting of 162 residents located on the Tohono O’odham Nation reservation. Tohono O’odham officials said Tuesday night that residents need to move as far to the north end of the community as possible and said to avoid the area for the next 24 hours. The more than 30 members of the Nation’s Kohatk Village in Pinal County were also being evacuated.

With various flash flood warnings in full affect, areas such as Phoenix and just north of the city in Yavapai County are already experiencing dangerous water levels making this one of rainiest months of October for the state. In addition, Utah and Colorado are also on standby as forecasters expect heavy rain to dump there as well.

See the latest photos below:


In these two images provided by the Tohono O’odham Nation Dept. of Public Safety, severe flooding can be seen near the Kohatk Village in Pinal County, Arizona, prompting massive fear among officials and locals.

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The earthen dam, which is located in Arizona’s southern desert, is expected to fail because the lake behind it is swollen with runoff from the remnants of Tropical Storm Rosa. (Photo credits: Tohono O’odham Nation Dept. of Public Safety via AP)


Harsh flooding has already hit the streets of many densely populated areas, such as Phoenix, above. A car owner is seen waiting to get towed from a badly affected street as several other vehicles are left stranded. (Photo credit: AP Photo/Ross D. Franklin)


Acting quickly, residents and local business owners were seen helping one another to fill and deliver sand bags to protect the oncoming threats from the the storm. Determined to deliver sand bags, a Jeep was even able to manage driving through the awful conditions.



Phoenix’s Stonecreek Golf Course is seen practically underwater as onlookers check out the devastation. (Photo credit: AP Photo/Ross D. Franklin)

Lead image credit: AP Photo/Ross D. Franklin


Bullying isn’t anything new. Once shrugged off as a childhood rite of passage, there is a renewed sense of urgency surrounding the torment that has resulted in a rash of “bullycides” — young people who are literally bullied to death and chose suicide over another day of torment — and a declaration by public health officials that bullying has reached “epidemic” proportions.

Many anti-bullying campaigns are focused on middle and high school students, but that puts the focus on corrective rather than preventive measures, according to Susan Raisch, a Staten Island mother of four adult children who wrote a book about bullying and founded Tangled Ball, a website that connects parents with resources to combat bullying and cyberbullying.

Research shows that bullying behavior can begin in kids as young as 4, so parents need to start talking to their children about it before they go to school. They’re like sponges at that age, and parents have enormous power to actively teach their children confidence, kindness and resilience — in other words, leadership skills needed to navigate bullying, as well as life, Raisch said.

And as important as talking is, listening is at least as or more important, and that’s where some parents come up short without realizing it, Raisch said. Experts all agree that children should tell a trusted adult if they’re being bullied, and they need reassurance their parents are actively listening.

“Most of us are well meaning but to be trusted, we need skills on teaching empathy, communication, online safety and the big one — listening,” she said, emphasizing that requires the adult the fully engage with the child instead of multi-tasking during the conversation.


Patch caught up with Raisch as part of our year-long national reporting project on bullying and cyberbullying. The federal government estimates about 160,000 kids stay home every day to avoid being bullied, and about one in three U.S. students say they’ve been bullied at school. Many fewer have been cyberbullied, according to the nonprofit PACER Center, which runs the National Bullying Prevention Center.

Raisch became interested in the topic after the 1999 Columbine massacre, when two teenagers in Littleton, Colorado, killed 13 people and wounded 20 others before killing themselves. A publicist for ABC News at the time, Raisch said news outlets’ coverage of the tragedy didn’t grasp “the heart of what happened.”

As she and her 16-year-old son watched the horrible event unfold in real-time on television, he surmised the two teens “were probably bullied,” Raisch said. She had never heard him use the word before, and was surprised when other kids her son’s age concluded the same.

“It wasn’t bullying at the core, but mental illness,” Raisch said. “But whether that was the case or not, kids thought bullying was an issue.”


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Eight years ago, Raisch dug deeper into the topic. She attended anti-bullying conferences, talked with experts and wrote Superheroes Wear Mom Jeans: The Tangled Ball Guide to Anti-Bullying for Parents of Young Children. She offers advice for parents via Harvard and Yale universities, the Committee for Children, the PACER Center, Understood.org, the International Bullying Prevention Association and others.


Tangled Ball is a metaphor for the messy, knotted-up emotions associated with bullying. Her particular piece “string” is talking about bullying with young children before they start school and in early elementary school years.

Her best advice to parents: Keep it simple.

“It’s all about skill-building, for the parent and the child, which has a wonderful flip side — teaching leadership skills that will be good for the child for the rest of their life,” Raisch told Patch. “It’s not about talking about bullying. Kids don’t even understand that word. It’s talking about not being mean, about respecting others, and teaching them to be very direct about how they want to be treated.”

Those conversations should include deliberate strategies.

“Notice their behavior and compliment them when they’re doing the right thing — ‘I noticed you were nice to your little brother, and I was proud of that’; ‘in school, I heard you shared your pencil, that’s a wonderful thing to do,’ ” Raisch said. “Then if they need a course correction, you might say: ‘I notice you didn’t allow Tommy to be in the circle when you were playing.’ “

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Not all kids will be direct about why Tommy was excluded, but if a child’s response is that he just doesn’t like Tommy, go a little deeper with something like:

“You don’t have to like everybody in your class, but you have to be kind to everyone in your class. If someone did something to you that would hurt your feelings, you would feel bad. You don’t want another child to feel bad.”

Read on for more of Patch’s conversation with Raisch.

Patch: In many families, both parents work or households are headed by single parents who may work more than one job. Their children may spend more time at day care than with their parents. How can parents work those conversations into their frantic lives?

Raisch: Everybody is busy, but it goes back to making it a priority. You don’t have to have separate conversations. You roll into your parenting these concepts of making sure respect is No. 1. I think that as parents, we need to learn how to communicate ourselves and teach the child communication skills.

If you’re encouraging your child to talk even if you’re busy, you have to learn to listen. Often, a lot of parents say one of the biggest challenges is the cellphone — a child is trying to talk to them and realizes they’re staring at a phone and answering a text. When a child starts talking, it’s time to put the cellphone down.


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At my favorite cafe, I notice when moms bring in young kids after dropping the older ones off at school. You can see by their body language they’re excited to be with parents, but unfortunately as the mom slips into the habit of checking her phone, the excitement turns into dismay and they may start acting up to get attention.

As kids grow, they’re not going to tell you they’re being bullied if you’re not fully listening. No child should feel alone, and that they have to take on bullying on their own.

Patch: What can parents do if they know something is bothering their kids, but they shut down and won’t talk?

Raisch: There are two types of listening. Sometimes we have to start the conversation. If you notice a change in body language, eating habits, sleeping or that they’re a little more reluctant to go to school, you have to listen to that behavior. Some communication is vocal, some not.

Listen to the answer and repeat it back so they know you heard that.

Dr. Barbara Greenberg, author of “Teenage As a Second Language, A Parent’s Guide to Becoming Bilingual,” points out that kids sometimes don’t like the direct question and that it makes them uncomfortable. For younger kids, ask them, “How was recess?” You may be able to pick up on problems. “Any drama at school today?” Teenagers are far more comfortable talking about it in an indirect way.

Those moments when you first see a child after school or when you get home from work are precious, and often when you get the most information. A lot of kids will say “fine” and keep moving, but if it’s a consistent thing and they know you’re open to listening to everything about their day, they know they can count on you.

Driving with my kids was the world’s best way to listen. We were in an enclosed space, I was looking at the road and not uncomfortably at them. They were doing the same, and we could talk the whole thing out. I’d often suggest in the car that we turn off the phone and music. It was a nice time to get to the heart of things.

Patch: You note that parents walk a line between overreacting or under-reacting— talking to the parent of the student causing the problem or ignoring it — because either approach can discourage kids from talking to them about bullying, or anything else that’s going on in their lives. Why shouldn’t parents talk to the other kid’s parents?

Raisch: Kids still want a little bit of control. When they’re in school and having the situation, the parent isn’t there to witness it. They’re coming home to describe it. I understand that whole parenting feeling, “I have to protect my cub.” A child knows what the child bullying them is like and is afraid the parent might make it worse.

Parents need to answer all these questions before reacting: Did it happen once? Is it consistent? Does it make you feel unsafe? Assure them you heard them, repeat back to them what the child’s concern is and say, as a parent, you have to step in if your child feels unsafe. You have to learn how to communicate your thoughts — outline them calmly, ask for their assistance, and keep checking in.

Bullying often plays out not in the classroom, but the bathroom, the cafeteria, on the bus or where there isn’t a lot of adult supervision. If you determine there is supervision, very often, the teacher will say, “I did not see that exact situation, but if you ask the child if he told the teacher, the boy might say, “No, but she saw it.”

But there are a lot of kids who don’t tell their parents or a trusted adult. Kids think adults are really smart and assume the teacher saw it and didn’t do anything.

Patch: We’ve heard in emails from readers since we started this bullying series that schools don’t do enough to combat bullying. How much responsibility do schools have?

Raisch: Schools have a responsibility to handle bullying issues as a priority and with care. I applaud schools who ensure that the school staff has been trained to handle peer-to-peer mistreatment and who work alongside parents to resolve issues. There are many good and well-researched bullying prevention programs for schools.

Parents and school administrators should be able to create a strategy together to resolve an issue and to follow through and follow up. If that’s not happening, there’s a problem and depending on the severity, tough decisions have to made such as moving classrooms or schools.

Patch: Kids today are digital natives and haven’t known a time when technology wasn’t at their fingertips. Kids can’t escape cyberbullying the way they can schoolyard bullying — the online threat is always there, and often it is anonymous. What should parents do to protect their kids while still respecting their privacy?

Raisch: Online complicates it. I often ask parents who taught them to use social media. The answer is, nobody did and there was no mentorship, so how do we pull back? As a parent, I have to know more, have a strategy about how they get involved in technology from a young age and be a good role model for them.

There are more ways to exhibit mean behavior, and there is a cost to that — a lot of anger and people who don’t choose their words.

We have to be the role model on civility. If they watch us treat people with kindness, if they hear us speak understanding and thoughtful words, they are more apt to follow our lead.

When your kids are young, building in a sense of empathy is very important. Bring up examples of empathy — books and movies that show good role models, and talk about it all the time. If you see something harsh, talk about it right there. Ask opinions. And some great conversations can be based on bedtime stories.

Patch: Are there any common mistakes parents make when they’re talking to their kids about bullying?

Raisch: It’s very dangerous to label anyone. Language is important. To call anyone a bully is not the best way to go. Talk about the behavior, but maybe not the labels. This is all a moveable piece. A child can act like a bully one day, be the target the next, and the next day be bystander — which we like to turn into an “upstander.” Kids are always growing.

If you do a course correction with a behavior, they can grow up to be very respectful adult. If you are being mentored, you can grow out of it.

Patch: What if your child is in middle school and you’re just now realizing you should have been more tuned in when she was younger?

Raisch: Stay close. I don’t think any age is too late. Kids always want someone to be interested in them, regardless of whether they will give any indication they want you to be interested in them. Just always assume it’s the best to stay interested no matter what. No matter what, kids want to know they are important, they are loved and this, too, shall pass. Just showing interest, just showing up at what they’re interested in, is great.

Patch: What else would you like to say to parents?

Raisch: We are the experts on our own children, but often we need the help of other experts to get involved in schools to help contribute to your child’s school climate. We all can provide some positive impact if we get involved in a variety of ways. There’s no one way. It’s difficult for parents who work, but we can make sure we’re involved in some way.

We want our child to grow to have a positive impact. It all boils down to leadership, and if we believe it’s important to raise little leaders. Leadership is the anti-bully.


Throughout the year, Patch is looking at society’s roles and responsibilities in bullying and a child’s unthinkable decision to end their own life in hopes we might offer solutions that save lives.

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Les victimes d’inceste souffrent de nombreuses pathologies et l’impact du traumatisme passé sur leur vie familiale, affectueuse et professionnelle est considérable, selon les résultats d’une enquête menée par l’institut Ipsos pour l’Association Internationale des Victimes d’Inceste (AIVI).

En comparant les comportement de 341 victimes d’inceste avec ceux d’une population représentative de 946 Français, les enquêteurs ont tenté de dresser un état des lieux de la situation des victimes de ce type d’agressions sexuelles. Les résultats montrent que les victimes d’inceste souffrent de pathologies multiples dans des proportions bien plus importantes que la majorité des Français. La quasi totalité des victimes ressentent ou ont ressenti dans le passé le sentiment d’être régulièrement déprimés, contre seulement la moitié des Français. La peur de l’autre et le simple fait de répondre “non“ est un comportement retrouvé chez 93 % des victimes (contre 29 % des Français). Les troubles compulsifs alimentaires, tels l’anorexie ou la boulimie sont rapportés pour 76 % d’entre elles, contre 9 % seulement dans la population générale. Par ailleurs, l’irritabilité, la colère, les sursauts ou les tremblements sont aussi des attitudes observées en proportion bien plus importante.L’enquête révèle également l’impact de ce traumatisme sur leurs vies quotidiennes, mais aussi dans leurs relations avec leur entourage. Près de la totalité des victimes éprouvent des difficultés à dormir (90 %) et font régulièrement des cauchemars (86 %). Les comportements d’addiction sont particulièrement fréquents : consommation de plus de 10 cigarettes par jour (55 % vs 44 %), de plus de 3 verres par jour d’alcool (30 % vs 17 %), ou la prise de drogue chaque semaine (27 % vs 9 %). Les trois quarts des victimes ont déjà été dans l’impossibilité d’avoir un rapport sexuel, même souhaité. Enfin, plus des deux tiers sont ou ont été dans l’impossibilité de se concentrer ou d’exercer une activité professionnelle.Ainsi, le traumatisme semble tel qu’il semble difficile à ces victimes de vraiment reconstruire leurs vies. Le souvenir de l’agression (pour 94 %) et la culpabilité (88 %) sont les deux principales notions qui les hantent. L’appréciation personnelle des victimes sur leur vie amoureuse (4,9/10), familiale (5,4), et professionnelle (5,4) dévoile d’ailleurs des notes peu satisfaisantes.Le fait de parler de l’inceste représente déjà une belle avancée. Mais les victimes attendent en moyenne 16 ans après l’agression avant de passer le cap ! De plus, cette révélation se fait pour les trois quarts des victimes hors du cercle familial, préférant amis ou conjoint. Cependant, les 341 victimes ayant répondu à cette enquête ont forcément franchi le cap du témoignage et sont suivies pour 84 % d’entre elles par un spécialiste. Mais qu’en est-il des innombrables autres victimes encore restées silencieuses ?Frédéric TronelSource : “Sondage AIVI/IPSOS 2010 : la santé des victimes d’inceste“ –

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De multiples explications ont déjà été avancées pour expliquer la survenue d’une schizophrénie ou d’un trouble psychotique : terrain génétique, consommation de cannabis, traumatismes, etc. Afin d’en savoir plus, une grande étude européenne débute en juin 2010, sous l’égide de la fondation FondaMental.

Plusieurs études ont déjà tenté d’isoler les facteurs environnementaux favorisant la constitution d’un trouble psychotique. Ainsi il est démontré que le fait de grandir en ville plutôt qu’à la campagne double quasiment le risque pour les garçons de développer une schizophrénie (risque multiplié par 1,9 pour les garçons, 1,3 pour les filles). Mais le facteur de risque précis n’est pas connu : pollution urbaine  ? Exclusion sociale plus fréquente ?
Le fait d’être un migrant, de venir d’un autre pays majore également le risque de schizophrénie, à la fois par rapport à la population d’origine et par rapport à celle du pays d’accueil.
Le

cannabis, en particulier lorsqu’il est utilisé à forte dose chez les adolescents, augmente aussi le risque de schizophrénie. Cette augmentation est faible, mais vu l’importance de la consommation de cette drogue en Europe, ce risque faible devient un facteur majeur en termes de santé publique (voir notre article : “

Quand le joint monte à la tête…“).
Par ailleurs, les recherches montrent un lien entre l’existence de traumatismes durant l’enfance et la survenue ultérieure de troubles psychotiques. Là encore, malheureusement les maltraitances ou la négligence pendant l’enfance sont très fréquentes, d’où l’importance d’en savoir plus sur ces liens.
Enfin les études chez les jumeaux ont permis de constater qu’il y avait une vulnérabilité génétique particulière chez les personnes schizophrènes. Cependant cette vulnérabilité et les variations génétiques la sous-tendant n’ont pas encore été identifiées précisément, probablement en raison de l’interaction entre les différents facteurs de risques, génétiques et environnementaux : le terrain génétique altéré pourrait rendre la personne vulnérable aux autres facteurs, comme les traumatismes, le cannabis, l’urbanicité, la migration.

Il est donc nécessaire d’en savoir plus, en réunissant à la fois les chercheurs spécialistes de la génétique et ceux qui travaillent sur les circonstances environnementales. C’est l’objectif de la grande étude collaborative lancée début juin par la communauté européenne, avec un budget de 10 millions d’euros. En France, cette étude est placée sous l’égide de la fondation FondaMental et sera mise en place en ville (région du Val-de-Marne : Créteil, Boissy, Maisons-Alfort) et à la campagne (Puy-de-Dôme), afin de comparer l’impact des facteurs génétiques et environnementaux.
Les troubles psychotiques touchent de 2 à 3 % des adolescents et jeunes adultes, avec le plus souvent une évolution chronique et des traitements au long cours. Les personnes atteintes ignorent souvent leur pathologie, d’où un retard au diagnostic fréquent et un traitement insuffisant.
De plus ces personnes sont souvent stigmatisées (voir notre interview du Pr. Leboyer, présidente de FondaMental, et du Pr. Sartorius, Président de l’Association for the Improvement of Mental Health Programmes : “

Maladies mentales : mieux informer pour éviter la stigmatisation“) et ne sont donc pas une priorité de santé publique, alors qu’il s’agit pourtant de pathologies fréquentes, graves, touchant des jeunes et avec une prise en charge à vie.
Ce genre d’études peut permettre de faire avancer la connaissance de ces maladies, d’améliorer leur dépistage et donc de permettre une prise en charge plus précoce, plus adaptée. Les maladies mentales représentent la

première cause d’invalidité en France.
Jean-Philippe Rivière
Sources :
– “Lancement d’une grande étude européenne pour identifier les facteurs environnementaux et génétiques dans les troubles psychotiques“, fondation FondaMental, 15 juin 2010
– “Schizophrenia and the city: A review of literature and prospective study of psychosis and urbanicity in Ireland.“ Kelly BD et coll., Schizophr Res. 2010 Jan;116(1):75-89, résumé

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