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Dans le but de faire bénéficier à des enfants du monde entier de chirurgies réparatrices du visage, l’association “Face au monde“ organise régulièrement des rapatriements en France et des prises en charge par les meilleurs chirurgiens maxillo-faciaux de l’Hexagone. Aujourd’hui compromise par manque de fonds, l’association lance un appel aux dons. 

 Une prise en charge pluridisciplinaire
 Le traitement des pathologies sévères de la face chez l’enfant nécessite la réunion de plusieurs disciplines : chirurgie maxillo-faciale,

chirurgie plastique, neurochirurgie, ophtalmologie, stomatologie,

orthodontie et/ou psychologie.
 
 L’intervention d’anesthésistes, d’ORLs et même d’assistantes sociales est souvent nécessaire pour ces interventions complexes. Les difformités faciales peuvent avoir des causes très diverses comme des tumeurs au visage, des accidents, des malformations congénitales, ou encore une exposition de la mère à des agents toxiques durant la grossesse. Si comme le dit un célèbre poète, le visage est “la fenêtre de l’âme“, vivre avec un visage meurtri s’avère un réel handicap, aussi bien physique que social.
 
Priorité aux situations les plus dangereuses pour la santé Au-delà de la gravité de l’atteinte physiologique, la prise en charge associative en France est envisagée dans les cas de précarité financière et lorsque le pays d’origine de l’enfant n’est pas à même de le traiter. Les différentes missions humanitaires envoyées sur place n’ont en effet pour la plupart pas les structures adaptées à ce genre d’interventions chirurgicales. La prise en charge se déroule en plusieurs étapes, les décisions émanent d’un comité médical et l’ordre de priorité est déterminé par la gravité de la situation de l’enfant. Comme certaines pathologies sévères peuvent gêner la respiration, l’alimentation et entraîner parfois la mort, le comité essaye avant tout de déceler les situations où le pronostic vital est menacé. Des cas d’infanticides de ces enfants malformés étant malheureusement à déplorer, le comité doit souvent agir dans l’urgence afin d’organiser au plus vite le rapatriement en France. Une forte demande, des coûts élevés Aujourd’hui, la liste d’attente est longue : les demandes affluent des quatre coins du monde, et plus particulièrement d’Afrique noire, du Maghreb, de Madagascar, de l’Asie du Sud-Est et de l’Europe de l’Est. La France n’est pas épargné par ce phénomène puisque certaines populations comme les Roms ne bénéficient pas de couverture sociale. De plus il faut environ 15 000 euros pour prendre en charge un enfant. “Face au monde“ a donc besoin de fonds et de bénévoles

Créée en 2003 et présidée par le Dr Gérald Franchi, membre fondateur et chirurgien plasticien, l’association “Face au monde“, reconnue d’intérêt général, a plusieurs missions principales :
 – Agir en faveur des pathologies des nourrissons et enfants victimes de difformités de la face en leur permettant d’avoir accès à une chirurgie réparatrice du visage ;
 – Favoriser la transmission et l’avancement des connaissances et des techniques spécifiques à ce genre de chirurgies ;
 – Faire prendre conscience au plus grand nombre du caractère vital et urgent de ces interventions.  Aujourd’hui en manque de fonds, l’action de l’association est compromise. Elle lance donc un grand appel aux dons, mais pas seulement : l’accueil des enfants nécessitant l’hébergement en famille d’accueil, une action bénévole est aussi envisageable. Pour tout renseignement supplémentaire ou pour aider cette association, rendez-vous sur le site

Face au monde. Marine Blondet Source : Communiqué de presse de l’association

Face au monde, remis le 4/03/2011.Click Here: Atlanta United FC Jersey

Etre accro au café, c'est génétique !

May 8, 2020 | News | No Comments

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Accros au café, vous pensiez que vous étiez le seul responsable de cette consommation frénétique ? Que nenni ! D’après une récente étude américaine, cette habitude serait liée à notre patrimoine génétique. Les personnes possédant des versions particulières de deux gènes, CYP1A2 et AHR, consommeraient plus de café que la moyenne…

Et pourtant, nous sommes particulièrement nombreux à consommer régulièrement de la caféine, la principale substance active du

café. Environ 90 % de la population à travers le monde consomme quotidiennement des produits en contenant : café bien sûr, mais également thé, sodas ou chocolat. Généralement, la consommation de café est liée à des facteurs sociaux et démographiques. Et avant les travaux de l’équipe du Dr. Neil Caporaso du National Institute Cancer (Etats-Unis), aucune étude ne s’était penchée sur d’éventuels facteurs génétiques. Pour ce faire, ils ont croisé les données issues de 4 études épidémiologiques d’envergure, disposant ainsi de la consommation quotidienne de caféine de 47 341 personnes de type caucasien, âgées en moyenne d’une cinquantaine d’années.Après avoir classé ces personnes en fonction de leur consommation, ils ont pu établir une méthode consistant à repérer les similitudes génétiques dans leur génotype.Résultat, ils ont identifié deux gènes associés à une consommation plus élevée de caféine que la moyenne : CYP1A2 et AHR. Les personnes ayant une version donnée de ces deux gènes consommeraient 40 mg de caféine par jour supplémentaire par rapport aux autres. On retrouve cette dose dans une tasse de thé, une canette de soda ou un tiers de tasse de café.Et cette conclusion semble plausible dans la mesure où CYP1A2 est responsable du métabolisme de la caféine dans l’organisme tandis que AHR régule l’activité de CYP1A2. Cette découverte serait de taille si elle venait à être confirmée par d’autres études plus poussées, puisqu’elle serait la première à identifier un gène associé à une dépendance à des substances psychoactives (hormis le tabac et ses récepteurs nicotiniques naturellement présents sur nos neurones). Selon les auteurs, “la connaissance des déterminants génétiques de la consommation de caféine fournit un éclairage nouveau sur les mécanismes sous-jacents et permettrait de mieux comprendre les effets positifs du café sur la santé“.Par ailleurs, c’est la première fois que des gènes ont été associés à un certain type de consommation alimentaire. Ces travaux ouvrent donc de nombreuses pistes relatives aux liens entre dépendance et génétique mais également entre prise alimentaire et génétique.Emeline DufourSource : Genome-Wide Meta-Analysis Identifies Regions on 7p21 (AHR) and 15q24 (CYP1A2) As Determinants of Habitual Caffeine Consumption – PLoS Genetics, avril 2011 –

(étude accessible en ligne)Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Les tumeurs gastro-intestinales (GIST) sont des tumeurs rares du tube digestif de la famille des sarcomes des tissus mous, dont les plus fréquentes touchent l’estomac et l’intestin grêle. On compte 800 à 1 000 nouveaux cas par an en France. Cette maladie est traitée par chirurgie et par une thérapie ciblée, le Glivec ®. Utilisé lorsque la chirurgie n’est pas possible, ce médicament est aussi utile après la chirurgie pour réduire le risque de récidive. Une étude présentée lors du congrès américain d’oncologie (ASCO 2011) plaide aujourd’hui en faveur d’un traitement post-chirurgie (adjuvant) de longue durée : trois ans au lieu d’un seul.Une prise en charge révolutionnée par le Glivec ©

Agissant spécifiquement sur une protéine oncogène impliquée dans la maladie, la molécule appelée “imatinib mésylate“, et initialement conçue pour traiter les cas de Leucémie Myéloïde Chronique (L.M.C.) a bouleversé la prise en charge de ces cancers. Le

Glivec ® ne s’attaque qu’aux cellules malignes, et ne tue pas les cellules saines. Son action vise à bloquer le processus de croissance et de prolifération des cellules cancéreuses dans l’organisme. Avec ce traitement, 90 % des GIST en rechute ont pu être traités efficacement1.Grâce à ce médicament, la maladie même au stade inopérable peut être contrôlée et l’espérance de vie de ces mêmes patients a augmenté de façon considérable puisque plus de 90 % d’entre eux sont encore en vie au bout d’un an de traitement. Ce médicament est également utilisé en adjuvant après chirurgie chez les patients présentant des risques de rechutes2.Vers un traitement adjuvant de longue durée ?

C’est dans cette indication de traitement adjuvant après chirurgie qu’une étude présentée à l’ASCO 2011 pourrait bien changer la prise en charge3. L’étude a porté sur 400 patients atteints de GIST. La moitié des patients ont reçu le Glivec ® en adjuvant après chirurgie pendant 12 mois, les autres pendant 36 mois. Au terme du suivi, l’étude a montré que les patients traités durant une longue durée avec Glivec après une intervention chirurgicale ont vu leur survie prolongée sans réapparition de la tumeur. Dans le cas de Glivec (Imatinib) les plus récentes données d’une étude de 5 ans montrent que 66 % des patients qui ont été traités durant 3 ans avec le médicament n’ont pas souffert de réapparition de la tumeur. 48 % des patients seulement des patients traités durant un an avec Glivec n’ont pas eu de nouvelle tumeur. Par ailleurs, 92 % des patients traités durant trois ans ont survécu, contre 82 % pour ceux qui n’avaient été traités que durant un an. Le médicament a globalement été bien toléré même si 7,7 % des patients traités un an et 13,7 % de ceux traités 3 ans ont arrêté la prise en charge à cause des effets secondaires. Les chercheurs ont recensé peu de cas de résistance au Glivec (2 % et 6,1 % pour les patients respectivement traités un an et trois ans).Selon Heikki Joensuu, professeur d’oncologie à l’Université d’Helsinki, “Cela pourrait constituer le premier exemple d’un traitement adjuvant de longue durée avec une thérapie ciblée inhibiteur de tyrosine kinase, et cela pourrait devenir le traitement standard“. Pour autant, il n’est pas question aujourd’hui de laisser indéfiniment les patients sous traitement (d’autant plus que chez certains, la chirurgie suffit à éliminer le cancer, mais il n’est pas possible de déterminer ceux qui auront besoin du médicament). Enfin, ce traitement efficace reste très coûteux. Le chercheur insiste également sur la nécessité de poursuivre les recherches pour pouvoir identifier plus finement les patients pour qui le bénéfice d’un traitement adjuvant de longue durée est utile (identification de facteurs de risque spécifiques de récidive…). L’étude se poursuit actuellement avec un groupe qui continue le traitement pendant 5 ans.David Bême1 – Effect of the tyrosine kinase inhibitor STI571 in a patient with a metastatic gastrointestinal stromal tumor. – Joensuu H, Roberts PJ, Sarlomo-Rikala M, Andersson LC, Tervahartiala P, Tuveson D, Silberman S, Capdeville R, Dimitrijevic S, Druker B, Demetri GD – N Engl J Med. 2001 Apr 5;344(14):1052-6. –

(accessible en ligne)2 – RCP du Glivec

(accessible sur notre guide des médicaments)3 – Twelve versus 36 months of adjuvant imatinib (IM) as treatment of operable GIST with a high risk of recurrence: Final results of a randomized trial (SSGXVIII/AIO) – Abstract LBA1 –

(accessible en ligne)

PITTSBURGH, PA — The man federal prosecutors say massacred 11 people at a Squirrel Hill synagogue on Saturday made his first appearance in court on Monday. The initial hearing lasted only a few minutes, but enabled the public to get its first glimpse of the man charged with the heinous act.

U.S. Marshals rolled Robert G. Bowers, 46, of Pittsburgh, into the eighth-floor courtroom at 1:30 p.m. sharp. He wore a light blue sweatshirt and remained in the wheelchair. Five marshals stood by as U.S. Magistrate Judge Robert Mitchell entered the courtroom.

Mitchell briefly reviewed the charges, including murder and hate crimes, against the accused gunman, and Bowers responded that he understood the charges. Federal public defenders Robert Navarro and Elisa Long represented the accused during the hearing, and declined having a review of the potential penalties he faces.

Federal prosecutors have said they are pushing for the death penalty. He is accused of the massacre at the Tree of Life Synagogue in Pittsburgh. Eleven people were killed and six others injured in the mass shooting.

To conclude the brief arraignment, Judge Mitchell set a preliminary hearing for 10 a.m. Thursday. The accused was recommitted to the custody of the U.S. Marshals Service. Officials declined to say where he will be housed.

After the hearing, U.S. Attorney Scott W. Brady said that the case against Bowers will be presented to a federal grand jury within 30 days. Prosecutors expect an indictment on the murder charges and hate crimes.

Bowers was released around 9:45 a.m. Monday morning from Allegheny General Hospital where he was treated after being shot by police during the horrific 20-minute massacre.

Patch Editor Jeff Stacklin is at the courthouse:

The 11 dead range in age from 54 to 97, and the six wounded include four police officers who rushed to the scene at the Tree of Life synagogue in Pittsburgh’s Squirrel Hill neighborhood.

The federal complaint alleges the gunman walked into the synagogue with an AR-15 and three Glock handguns. KDKA reported he yelled “All Jews must die” when he started the massacre. At one point, he flat-out told an officer ,”I just want to kill Jews,” the complaint says.

The accused gunman faces charges from Pennsylvania and the federal government, including hate crime charges. His state charges include 11 counts of criminal homicide, six of aggravated assault and 13 of ethnic intimidation, Fox reports.

He’s also facing 29 federal charges:

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Article image: Muslim mourners seen front of the makeshift memorial at the site of the mass shooting.| Aaron Jackendoff/SOPA Images/Shutterstock

Suite à la révélation lundi, par RTL, selon laquelle les prothèses mammaires PIP contiendraient des produits industriels jamais testés cliniquement pour leur éventuelle nocivité sur l’organisme, nous avons interrogé Murielle Ajello, présidente de l’association Mouvement de défense des femmes porteuses d’implants et de prothèses (MDFPIP) pour savoir comment les femmes ont perçu ce nouveau rebondissement.

L'association de défense des femmes Mouvement de défense des femmes porteuses d'implants et de prothèses (MDFPIP) demande des explications aux autorités.

Doctissimo : Comment réagissez-vous aux dernières informations selon lesquelles le gel composant les implants mammaires PIP était un mélange de produits industriels jamais testés chez l’Homme ?Murielle Ajello : Cela ne change pas la donne. À partir du moment où il y a fraude, on peut s’attendre à tout et n’importe quoi. Il est donc peu surprenant que des produits totalement absurdes se retrouvent dans les prothèses PIP. Ce qui nous étonne, c’est que cette information de fraude ne soit pas sortie plus tôt alors que d’anciens salariés en avaient connaissance dès avril 2010.Doctissimo : L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a réalisé des contrôles des prothèses PIP en mars 2010. Elle n’a pourtant pas indiqué la présence de tels composants dans les gels.Murielle Ajello : Si l’Afssaps a fait des analyses sur les gels en mars 2010, comment aurait-elle pu passer à côté de leur potentielle dangerosité ? S’agissait-il d’une volonté étatique de ne pas affoler la population ou les implants ne contiennent pas les produits suspects ? Si des produits de type adjuvants de carburants étaient contenus dans les gels, comment se fait-il qu’on ne nous ait pas informés ? On reste donc très prudent en attendant les résultats de l’enquête car ces révélations ne vont pas dans le sens de ce que nous a dit l’Afssaps.Doctissimo : Votre association comporte 700 membres mais bien davantage de femmes vous sollicitent pour connaître les démarches à entreprendre. Que leur conseillez-vous ?Murielle Ajello : Nous leur conseillons d’aller faire vérifier l’intégrité de leur prothèse (menace de rupture, fuite) afin qu’elles arrivent avec des éléments concrets chez leur chirurgien. Il leur suffit de consulter leur médecin traitant ou leur gynécologue pour qu’il leur prescrive des examens de contrôle : échographie, voire IRM, mais en aucun cas une mammographie, bien trop contraignante pour le sein et donc la prothèse.Doctissimo : Les patientes ont-elles bien été contactées par leur chirurgien, comme le veut la procédure recommandée par les autorités sanitaires ?Murielle Ajello : Dans la majorité des cas, les chirurgiens ont rappelé leurs patientes. Certains, néanmoins, ont eu des difficultés à les joindre en raison du déménagement des unes, du changement de nom (mariage, divorce) des autres… Quelques-uns, malheureusement, profitent de la situation : certaines cliniques privées non conventionnées n’hésitent pas à proposer des opérations avec options (du bas de gamme au haut de gamme !), d’autres proposent d’intervenir en ambulatoire ou carrément sous anesthésie locale. On est dans la chirurgie low-cost ! Mais globalement, ils coopèrent pleinement.Doctissimo : Concernant l’indemnisation des victimes, pourquoi demander réparation à l’État ?Murielle Ajello : On est dans la malfaçon d’une société, peut-être même dans un cas de malversation et de fraude (mais cela reste encore à prouver), il est donc logique que les victimes se retournent vers l’entreprise en cause ; or, celle-ci n’existe plus, elle a été mise en liquidation judiciaire le 1er avril 2010, au lendemain de l’annonce faite par l’Afssaps. On est d’ailleurs en droit de s’interroger sur la disparition aussi rapide d’une entreprise, sur la procédure qui a permis à cette société de plier bagages aussi vite et de protéger ainsi ses dirigeants. Elle aurait pu rester ouverte et permettre ainsi aux victimes de se retourner contre elle.Mais au-delà de ça, il s’agit d’un problème de santé publique. Si la malversation est avérée, cela signifie que le système permettant la certification et l’homologation de produits de santé présente des failles : l’Afssaps est certes garante de ce système mais celui-ci a été mis en place en 2002 par le ministère de la Santé. Pour nous, le problème est du même ordre que pour l’affaire Mediator.Amélie PelletierSource                                                                            Interview de Murielle Ajello, présidente de l’association Mouvement de défense des femmes porteuses d’implants et de prothèses (MDFPIP), le 3 janvier 2011.Click Here: geelong cats guernsey 2019

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PARADISE, CA — Among the victims of one of the deadliest wildfires in California history are the officers tasked with helping evacuees to safety. At least three different law enforcement agencies in Northern California reported members of their force lost their homes in the Camp Fire, which by Monday morning, claimed the lives of 29 people, a death toll that’s expected to climb.

Seventeen officers and staff from the Paradise Police Department lost their homes in the blaze that has burned more than 113,000 acres by Monday. Another 30 members from the Butte County Sheriff’s Office and eight employees from the Chico Police Department also lost their homes, the Sacramento Bee reported.

A GoFundMe was created Sunday for the members of the Paradise Police Department, the small town that’s been hardest hit by the Camp Fire.

ALSO SEE: Camp Fire: 29 Dead, 113,000 Acres Burned In Butte County

Despite losing their homes, “these officers and support staff are still showing up and working to help the community,” the GoFundMe page said.

“We now need to come together and show these dedicated officers and support staff how much we value and appreciate them,” the GoFundMe page said. “The police department has worked around the clock to protect citizen lives and property within the Town of Paradise during and after the Camp Fire.”

By Monday morning, the fundraiser received $2,500 in donations but hopes to raise $200,000.

Four days after igniting, the Camp Fire has destroyed more than 6,500 structures. Another 15,000 that remained threatened.

–Patch is a GoFundMe promotional partner/Photo via GoFundMe

Être mère à 40 ans aurait aussi des vertus ! Constamment mises en garde contre les risques d’une maternité tardive, les femmes qui ont un enfant alors qu’elles ont depuis longtemps soufflé leurs 20bougies auraient un risque de cancer de l’endomètre bien moindre que leurs benjamines, affirment les auteurs d’une étude publiée dans l’American Journal of Epidemiology.

Le risque de cancer de l'endomètre serait réduit de 44% chez les femmes qui ont mené une grossesse après 40 ans.

Le

cancer de l’endomètre, qui affecte le corps de l’utérus, est en augmentation ; il frappe aujourd’hui près de 5 000 femmes par an. On estime que 1 800 en décèdent chaque année. 
Survenant après la 

ménopause, ce cancer serait favorisé par la prise d’estrogènes (dans le cadre de 

traitement hormonaux de substitution), certains médicaments 

d’hormonothérapie contre le 

cancer du sein notamment (mais le bénéfice de ces traitements reste largement supérieurs aux risques), la surcharge pondérale et les maladies associées (

obésité, 

diabète, 

hypertension…). On distingue deux types de cancer de l’endomètre : 
– le cancer de l’endomètre de type 1, le plus fréquent, qui serait liée à l’exposition aux estrogènes
– le cancer de l’endomètre de type 2, le plus rare mais aussi le plus agressif, qui, lui, serait indépendant de l’imprégnation hormonale.Si la

maternité tardive a déjà été associée à un moindre risque de cancer de l’endomètre, les médecins manquaient néanmoins de données objectives issues d’études suffisamment larges. Les travaux réalisés par Veronica Setiawan, doctorante en médecine préventive à l’école de médecine Keck de l’Université de Californie du Sud, ont porté sur 4 cohortes et 13 études, soit un total de 25 233 femmes dont 8 671 souffrant d’un cancer de l’endomètre. Et les résultats confirment le lien. En effet, comparées aux femmes dont la dernière

grossesse remontait à leurs 25 ans, celles qui avaient eu leur dernier enfant entre 30 et 34 ans avaient un risque de cancer de l’endomètre réduit de 17 % ; pour celles qui avaient accouché entre 35 et 39 ans, ce risque était réduit de 32 % ; et pour celles qui devenaient mères passé 40 ans, il l’était de 44 %.“L’âge tardif lors de la dernière maternité est un facteur protecteur contre le cancer de l’endomètre, même après la prise en compte des facteurs connus pour leur capacité à influencer la maladie“, conclut l’auteur. Et cette dernière d’ajouter que l’effet protecteur conféré par une maternité tardive semble se prolonger dans le temps et ne pas varier en fonction du type de cancer de l’endomètre.
Des travaux doivent à présent être approfondis pour comprendre pourquoi l’âge tardif de la dernière maternité protège contre le risque de cancer de l’endomètre. Plusieurs mécanismes potentiels ont déjà été évoqués par le passé, rappelle Veronica Setiawan :
– les femmes capables d’être enceintes à un âge avancé auraient un endomètre d’excellente “qualité“ ou auraient moins de cycles menstruels sans ovulation ;
– une exposition prolongée à la

progestérone au cours de la grossesse serait particulièrement bénéfique à un âge avancé, au moment où le cancer de l’endomètre se développe ;
– les cellules malignes ou pré-malignes de l’endomètre, qui se développent à un certain âge, seraient éliminées pendant la grossesse.Pour l’auteur, “cette étude met en évidence un facteur protecteur important du cancer de l’endomètre, et lorsque l’on connaîtra les mécanismes exacts sous-jacents, cela nous aidera à mieux comprendre comment se développe le cancer de l’endomètre et ainsi à mieux le prévenir“.Amélie Pelletier
Source
 Age at last birth in relation to risk of endometrial cancer: pooled analysis in the approximately 13 percentage points for each five-year delay in last births“, American Journal of Epidemiology (résumé en ligne sur le

site de la revue et sur le

site de l’école Keck de l’Université de Californie du Sud)

La maison Thierry Mugler a fait appel en mars 2011 à Eva Mendes pour incarner son parfum Angel. Et la nouvelle égérie de cette fragrance va prêter son physique exceptionnelle et sa voix pour la prochaine campagne, en poussant la chansonnette…

L’actrice américaine d’origine cubaine Eva Mendes a enregistré une chanson pour la prochaine campagne publicitaire de la marque. Mise en scène dans des positions acrobatiques et parée de tenues glamour, Eva Mendes reprendra le titre The Windmills of Your Mind, composé par Michel Legrand et extrait de la bande originale du film L’Affaire Thomas Crown.Depuis le lancement d’Angel en 1992, plusieurs égéries se sont succédé, parmi lesquelles Jerry Hall, Bianca Balti ou Naomi Watts.Source : RelaxnewsClick Here: Putters

Un médecin urgentiste de Bayonne vient d’être mis en examen pour “empoisonnement sur personnes vulnérables“ après le constat de plusieurs décès suspects dans son service. Une mise en examen qui fait polémique, 6 mois après le rejet par les sénateurs d’une proposition de loi pour la légalisation de l’euthanasie dite “active“.

A Bayonne, 4 décès suspects aux urgences
Un médecin de l’hôpital de Bayonne qui travaille au service des urgences, le Dr Nicolas B., a été placé en garde à vue le 10 août par la police suite au décès d’une patiente de 92 ans survenu 24 heures après son admission.

Selon le journal Sud Ouest, cette enquête a été enclenchée suite au signalement d’autres employés du service d’urgences, qui “s’étonnaient depuis plusieurs semaines de la mort prématurée de plusieurs personnes âgées admises depuis peu dans leur service“.
Le Dr Nicolas B. est soupçonné d’avoir administré à 4 personnes âgées très malades et incurables une injection mortelle, alors que la loi interdit ce genre de geste actif, même avec l’accord du patient et/ou de ses proches. Après 48 heures de garde à vue, il a été relâché mais encourt une lourde peine, du moins si ces faits sont avérés et en fonction des réponses aux nombreuses questions en suspens (a-t-il pris ces décisions de manière collégiale, en consultant les proches, ou tout seul dans son coin ? Etait-il en état d’épuisement non repéré par ses supérieurs hiérarchiques ? etc.).
En parallèle de l’enquête judiciaire, l’inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) a été saisie par le ministère de la Santé afin d’analyser précisément le contexte et les conséquences de cette affaire.
Pétition de soutien et manifestation
Cette inculpation a beaucoup fait réagir, que ce soit pour défendre le médecin incriminé ou, au contraire, pour tenter d’expliquer son geste, voire l’accuser. Le tout dans une remise en question de l’interdiction de l’euthanasie active.
De nombreux internautes ont ainsi pris fait et cause pour le Dr Nicolas B., estimant notamment qu’il a abrégé les souffrances indicibles de personnes qui de toute façon allaient mourir. D’autres, qui ont été soignés (ou leur entourage) par cet urgentiste de 50 ans, soulignent son humanité et son efficacité. Ce soutien s’est matérialisé par

une pétition signée ce jour par près de 22 000 personnes sur le site mesopinions.com et mentionnant un “soutien inconditionnel au Dr B. qui a toujours pratiqué la médecine avec humanité, intégrité et intelligence“. Cette pétition a été

relayée par un groupe sur Facebook avec de nombreux commentaires en faveur du droit à mourir dans la dignité, sans acharnement thérapeutique excessif.
Par ailleurs, plus de 300 personnes ont manifesté le 16 juillet devant le Centre hospitalier de Bayonne pour soutenir le médecin urgentiste. Le mari d’une des patientes,

qui a témoigné ce matin sur RTL, a affirmé de son côté qu’il ne porterait pas plainte, se disant entièrement aux côtés du médecin : “Si je le rencontre demain, je lui serrerai la main“.
Enfin de nombreux médias ont, à l’occasion de cette affaire et des commentaires passionnés qu’elle suscite, reparlé de l’éventualité d’une légalisation de l’euthanasie active, possibilité écartée par la loi actuellement en vigueur.

La loi Leonetti de 2005 : un cadre à la limitation des soins
La loi relative aux droits des malades et à la fin de vie, dite loi Leonetti (le député UMP du même nom, qui a porté ce texte, est cardiologue),

a été votée en avril 2005. Elle stipule notamment que “lorsqu’une personne, en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable, quelle qu’en soit la cause, est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin peut décider de limiter ou d’arrêter un traitement inutile, disproportionné ou n’ayant d’autre objet que la seule prolongation artificielle de la vie de cette personne, après avoir respecté la procédure collégiale définie par le code de déontologie médicale et consulté la personne de confiance visée à l’article L. 1111-6, la famille ou, à défaut, un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de la personne. Sa décision, motivée, est inscrite dans le dossier médical“.
En clair, cela signifie que le médecin peut arrêter les traitements vitaux d’une personne incurable après concertation avec l’équipe de soins (“procédure collégiale“) et de l’entourage (ou l’éventuelle “personne de confiance“ désignée par le patient avant l’aggravation de son état). C’est pour cela que l’on a parlé d’“euthanasie passive“, puisque l’arrêt des traitements signifie, à court ou moyen terme, le décès anticipé du patient.
Cette loi précise dans le même article que “le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l’article L. 1110-10“ (qui sont les soins palliatifs).
Il s’agit donc d’une loi qui proscrit l’acharnement thérapeutique et prône une sorte de “laisser mourir“, d’euthanasie passive dans un contexte le plus accompagné possible : lutte contre la douleur, la souffrance psychique, etc. (soins palliatifs).
La légalisation de l’euthanasie active rejetée par le Sénat en janvier
Début 2011, un nouveau projet de loi prônant “l’assistance médicalisée pour mourir“, définie comme “un acte délibéré permettant une mort rapide et sans douleur“,

a été discuté au Sénat afin de compléter la loi Leonetti.
Cette possibilité d’euthanasie active, prévue pour les cas les plus difficiles (souffrances indicibles résistant à tous les traitements, même palliatifs), a été rejetée par 172 sénateurs contre 143 (voir notre article : “

L’euthanasie toujours illégale en France“).

Développer les soins palliatifs plutôt que changer la loi ?
Les politiques et associatifs interrogés depuis quelques jours par les médias sur l’euthanasie active expriment des positions radicalement opposées mais se retrouvent sur l’amélioration de l’application de la loi actuelle, comme par exemple :
Le Pr. Emmanuel Hirsch, président du Collectif “Plus digne la vie“,

estime que la loi actuelle est suffisante : “elle permet aujourd’hui de renouer avec l’humanité, l’humilité et la retenue que sollicite de notre part la mort d’un homme, de s’élever au-delà du médical pour renouveler notre regard, nos attitudes et plus encore nos responsabilités à l’égard du mourant et de ses proches“. Il rappelle son opposition à l’euthanasie active et appelle à signer

un manifeste affirmant
que la priorité et le devoir des décideurs politiques devraient être de favoriser l’application de la loi en assurant un égal accès de tous les malades qui en éprouvent le besoin aux soins palliatifs, ainsi qu’une meilleure prise en charge spécifique des situations les plus complexes“.
Jean-Luc Romero, président de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité, réclame de son côté,

dans une interview au journal Sud Ouest, “un débat sur une loi humaine et claire, qui légalise l’euthanasie. Une loi protectrice pour ceux qui font le choix d’abréger leurs souffrances, et qui garantirait aux soignants la possibilité d’accompagner“. M. Romero rappelle également que l’offre de soins palliatifs est encore très insuffisante en France aujourd’hui, 6 ans après le vote de la loi Leonetti.
Ces deux fervents partisans, l’un de l’interdiction de l’euthanasie active, l’autre de son autorisation, sont donc d’accord sur un point essentiel : il faut développer l’offre palliative en France.
Or l’affaire du Dr Nicolas B., fortement médiatisée (alors qu’il ne s’agit peut-être pas d’euthanasie, puisque nous ne savons pas, pour le moment, si les patients ou leur entourage ont sollicité un tel geste létal), relance une fois de plus le débat sur la légalisation de l’euthanasie active, à quelques mois de la prochaine élection présidentielle. Ne faudrait-il pas auparavant mettre enfin en oeuvre les moyens suffisants pour traiter avec le plus d’humanité possible la fin de vie douloureuse de certaines personnes (développement massif des soins palliatifs, information du grand public, formation des soignants) ?
Jean-Philippe Rivière
Sources
– “Euthanasie : un médecin de l’hôpital de Bayonne en garde à vue“, Sud Ouest, 11 août 2011, article

accessible en ligne
– “Soutien au Docteur Nicolas B.“, pétition mise en ligne le 12 août 2011,

accessible en ligne
– “Soutien au Dr Nicolas B.“,

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– “Euthanasie : le mari d’une patiente ne portera pas plainte“, RTL.fr, 17 août 2011, article et extrait audio

accessibles en ligne
– “Loi relative aux droits des malades et à la fin de vie“, avril 2005, texte et rapports

accessibles sur le site du Sénat
– “Le Sénat a rejeté la proposition de loi sur l’aide médicalisée pour mourir“, Senat.fr, présentation

accessible en ligne
– “Il y a trahison à la vocation du médecin de confondre l’acte de sollicitude avec le geste du meurtre“, Emmanuel Hirsch, Collectif “Plus digne la vie“, août 2011, article

accessible en ligne
– “Manifeste pour le droit à la dignité de la personne en fin de vie“, Collectif “Plus digne la vie“, 16 août 2011,

accessible en ligne
– “Euthanasie : l’élu Jean-Luc Roméro veut «une loi protectrice pour tous»“, Interview de Jean-Luc Romero, Sud Ouest, 14 août 2011, article

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Les blouses blanches sont des nids à microbes, selon une récente étude américaine qui montre que 60 % des médecins et infirmiers hospitaliers sont porteurs de germes sur leurs uniformes.

Yonit Wiener-Well et ses collègues du Shaare Zedek Medical Center à Jérusalem (Israël) ont réalisé des prélèvements d’échantillons de blouses en trois endroits (au niveau de l’abdomen, poches et bouts de manches), auprès de 75 infirmiers et 60 médecins. La moitié des prélèvements, représentant 65 % des uniformes des infirmiers et 60 % de ceux des médecins, étaient porteurs de germes. Parmi les germes identifiés, 21 de ceux retrouvés sur les blouses des infirmiers et 6 de ceux retrouvés sur celles des médecins résistaient à plusieurs antibiotiques ; et 8 de ces germes antibiorésistants étaient des staphylocoques dorés résistant à la méthicilline. Même si les blouses elles-mêmes ne posent pas un risque de contamination directe, ces résultats révèlent la prévalence des souches de bactéries résistantes aux antibiotiques dans un environnement on-ne-peut plus proches des patients hospitalisés. “À partir du moment où un vêtement est porté, il est forcément contaminé par des microorganismes. La pierre angulaire de la prévention infectieuse reste le lavage des mains pour empêcher le passage des microbes de ces surfaces aux patients“, a commenté Russell Olmsted, président de l’Association for Professionals in Infection Control. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le risque infectieux associé aux soins peut être 20 fois plus élevé dans certains pays en développement que dans les pays développés. Un risque coûteux et trop souvent mortel. Les auteurs de l’étude insistent donc sur l’importance de la prévention et de l’hygiène, les meilleurs moyens à ce jour d’assurer la sécurité des patients. Amélie PelletierSourceAmerican Journal of Infection Control, Volume 39, Issue 7, p.  555-559, Septembre 2011 (

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