À 29 ans, Martina Hingis a décidé de participer à Strictly Come Dancing, une émission de télé-réalité qui sera diffusée sur la BBC.
L’ancienne numéro 1 mondial de tennis revient sur le devant de la scène. Et pas n’importe quelle scène. Une scène de danse. Deux ans après avoir arrêté sa carrière lors du tournoi de Wimbledon en 2007 après un contrôle positif à la cocaïne, Martina Hingis va participer à une émission phare de la BBC dans laquelle des célébrités s’affrontent sur le dance floor.
Elle rejoindra pour l’occasion d’autres champions sportifs comme l’ex-boxeur Joe Calzaghe ou encore Jade Johnson, championne de saut en longueur. Il ne sera pas question de revers ou de coups liftés mais plutôt de pas de danses endiablés avec son partenaire (pour le programme) le bellâtre Matthew Cutler, habitué du show.
« J’adore regarder les gens danser, c’est très difficile d’apprendre les chorégraphies » a confié Martina Hingis à la BBC. Toujours aussi compétitive, elle rappelle que « Monica Seles (une de ses anciennes rivales) a participé à la version américaine du jeu, mais qu’elle s’est faite rapidement éliminer, j’espère aller plus qu’elle dans la compétition ». Martina Hingis n’a rien perdu de sa rage de vaincre. Pour autant, sa danse sera-t-elle à la hauteur de ses ambitions? Attention aux revers.
Des blindés de l’armée chargent violemment la foule des manifestants avant de les repousser avec des canons à eau. Les opposants ripostent à coups de cocktails Molotov. Une scène de chaos mardi 30 avril à Caracas, dans la capitale vénézuélienne. Juan Guaido, autoproclamé président du Venezuela il y a trois mois, appelle toute l’armée à se soulever contre le pouvoir en place, entouré de quelques militaires qui se sont rangés de son côté. Le nombre de militaires du côté de Juan Guaido incertainDans les heures qui suivent, dans un quartier de l’est de Caracas, des centaines d’habitants qui le soutiennent sont pris pour cibles par d’autres militaires qui sont restés fidèles au président Maduro. La confusion est totale. Les soldats qui se sont rangés dans les rangs de l’opposition font face à des tirs violents. Les civils utilisent des pierres et des cocktails Molotov. Des opposants exaspérés par une situation politique complètement bloquée. Combien de militaires ont réellement rallié l’opposition ? Quelques soldats du rang ou des contingents entiers ? C’est la question qui se pose mardi soir. Le ministre de la Défense a réaffirmé son soutien au pouvoir en place.Le JT
JT de 20h du mardi 30 avril 2019 L’intégrale
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Après trois années d’absence, Whitney Houston revient avec I Look To You. L’album de la rédemption. La chanteuse a profité de cette occasion pour s’exprimer sur l’enfer que son ex-mari Bobby Brown lui avait fait subir. Mais ce dernier ne l’entend pas de cette oreille. Selon Bobby Brown, Whitney Houston est elle aussi responsable de la déchéance que leur couple a connu…
Bobby Brown n’est pas le seul responsable de l’addiction à la drogue que Whitney Houston et lui ont connu. Selon l’ancien leader du groupe New Edition, son ex-femme a sa part de responsabilité dans la déchéance du couple.
Lors d’une émission de télévision américaine, l’ancien époux de Whitney Houston a déclaré: «Whitney et moi nous sommes débauchés tous les deux. Je ne suis pas le seul responsable de ce qui est arrivé à notre couple. Je n’ai pas voulu la blesser et elle non plus. Je pense juste que nous avons eu une période de 14 ans de mariage qui a eu ses hauts et ses bas, et ça, peu de monde l’a compris»
Pour le chanteur de 40 ans, Whitney Houston a commencé à consommer de la drogue seule, parce que leur mariage n’allait pas fort: «Les choses n’étaient plus ce qu’elles étaient entre nous. Je pense juste que je m’ennuyais. Je me suis tourné vers l’alcool et la drogue pour oublier», a renchéri Bobby Brown.
Ses déclarations surviennent peu après les révélations de Whitney Houston. La chanteuse aux 190 millions d’albums et singles vendus s’est confiée récemment sur le divan de son amie Oprah Winfrey. L’actrice de Bodyguard a raconté comment, dans les années 90, (lorsqu’elle a épousé Bobby Brown) elle était tombée dans l’enfer de la cocaïne et autres remontants:
«Je restais assise chez moi à fumer du crack. Je regardais mon mari et je lui demandais complètement stone: «Mais qu’est-ce qu’on fait…” a raconté avec beaucoup d’émotion Whitney…
Des nouvelles inquiétantes suite à la disparition de deux Français au Bénin. “Un corps blessé par balle a été retrouvé dans le parc de la Pendjari dans lequel séjournaient les deux touristes français”, précise Hugues Huet en direct du quai d’Orsay (Paris). Ils étaient accompagnés d’un guide, lui aussi disparu mercredi 1er mai dans le nord du pays.Un corps et une voiture retrouvésLe corps retrouvé serait celui du guide, information confirmée par son meilleur ami. Par ailleurs, une voiture similaire à celle qu’empruntaient les deux Français a été retrouvée de l’autre côté de la frontière, au Burkina Faso. Le parc de la Pendjari chevauche trois pays : le Niger, le Bénin et le Burkina Faso. Or, cette région est la cible d’attaques terroristes depuis trois ans environ. Al-Qaïda au Maghreb islamique en a fait un terrain de conquête. “Le quai d’Orsay, de son côté, ne confirme ni ne dément ces informations”, détaille Hugues Huet.Click Here: collingwood magpies 2019 training guernsey
Mokhtar Belmokhtar est-il vraiment mort ? Le jihadiste algérien, rallié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a été visé récemment par une frappe aérienne française en Libye, qui l’aurait tué. C’est ce qu’a indiqué, lundi 28 novembre, un responsable américain, confirmant des informations parues dans le Wall Street Journal (en anglais). Reste que le chef du groupe Al-Mourabitoune, qui a mené de nombreuses attaques sanglantes dans la région du Sahel, a déjà été donné pour mort à au moins quatre reprises. En juin 2012, lors d’un assaut contre des Touaregs du MNLAEn juin 2012, une rumeur annonce pour la première fois la mort de “mister Marlboro” – il a commencé sa carrière dans le trafic de cigarettes, nous rappelle L’Obs – à Gao, dans le nord du Mali, lors d’un assaut contre des Touaregs du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Mais la nouvelle est vite démentie par les associés de Mokhtar Belmokhtar, alors âgé de 44 ans.En mars 2013, par l’armée tchadienne au MaliUn an plus tard, en mars 2013, l’armée tchadienne annonce à son tour avoir tué le chef jihadiste au Mali. Une rumeur là encore démentie, qui permet au “Ben Laden du Sahara” de rebondir : en mai de la même année, le terroriste revendique un double attentat-suicide, contre l’armée nigérienne à Agadez et contre le site français d’uranium d’Areva, à Arlit. Avec, au total, une vingtaine de victimes.En avril 2015, par empoisonnement Selon El Watan, qui cite les services de renseignement de l’Algérie, du Niger et du Mali, Mokhtar Belmokhtar est porté disparu en avril 2015. Le même mois, des sources sécuritaires algériennes affirment au quotidien Al-Chourouk qu’il est mort empoisonné en mars. Mais comme le souligne L’Obs, le groupe Al-Mourabitoune revendique quelques jours plus tard un attentat-suicide contre une base de l’ONU.En juin 2015, lors d’une frappe américaine en LibyeLes autorités libyennes annoncent la mort du terroriste, tué par une frappe américaine à Ajdabiya, à 160 km à l’ouest de Benghazi (Libye), dans une ferme où il tenait une réunion avec d’autres responsables jihadistes.
Communiqué du gouvernement provisoire libyen annonçant la mort de Mokhtar Belmokhtar dans le raid #US sur Ajdabiya pic.twitter.com/o0EODJFri6 — Romain Caillet (@RomainCaillet) 14 juin 2015
Washington reste toutefois prudent, concédant simplement que le terroriste a été la cible de frappes menées dans la nuit du 13 au 14 juin. Signe que la mort de Mokhtar Belmokhtar n’est pas avérée, la branche libyenne de l’Etat islamique, qui combat Al-Mourabitoune, diffuse en août de la même année un avis de recherche (ou un appel à abattre) visant celui que l’on surnomme aussi “le Borgne”. L’homme se cacherait à Derna, théâtre de combats entre les deux organisations jihadistes.En mai 2016, le groupe Al-Mourabitoune diffuse une série de textes attribués à l’émir algérien, visant à prouver qu’il est bien vivant. Mokhtar Belmokhtar n’en finit pas de ressusciter. Les Etats-Unis ont mis la tête du jihadiste à prix à cinq millions de dollars.
Une victoire qui relève du “miracle”. La coalition conservatrice du Premier ministre australien, Scott Morrison, a créé la surprise samedi 18 mai, en remportant les élections législatives, malgré les sondages qui donnaient le camp travailliste vainqueur, après six années de gouvernement de centre-droit. “J’ai toujours cru aux miracles. Comme l’Australie est formidable !”, a lancé samedi Scott Morrison, âgé de 51 ans, à ses partisans réunis à Sydney (Australie), tout en saluant les Australiens de la majorité silencieuse.Reste encore à savoir si la coalition, formée par le Parti libéral et le Parti national, aura la majorité absolue, ou si elle devra aller courtiser des élus indépendants. Les dernières projections de la Commission électorale australienne, dimanche, indiquaient qu’il manquait six sièges à la coalition pour atteindre la barre des 76, nécessaires pour avoir la majorité absolue à la Chambre des représentants. La tâche de Scott Morrison, connu pour ses positions climatosceptiques, pourrait s’avérer compliquée s’il doit chercher le soutien des indépendants, soucieux d’écologie. Il marchera aussi sur des oeufs dans son propre camp, puisqu’il ne pourra se permettre aucune défection dans la coalition.Le leader du parti travailliste démissionneLe président américain, Donald Trump, a salué la victoire du Premier ministre conservateur dans un tweet, les deux hommes s’engageant ensuite par téléphone à poursuivre une “coopération étroite sur nos priorités communes”, selon la Maison blanche.Le réchauffement climatique a été au cœur de la campagne pour ces élections. Donné perdant du scrutin par les instituts de sondage, Scott Morrison a passé la campagne, non pas à expliquer son projet, mais à dénoncer celui de son concurrent travailliste Bill Shorten, en présentant ses propositions fiscales et environnementales comme risquées pour l’économie nationale. Au sein de l’opposition travailliste, Bill Shorten a reconnu sa défaite et démissionné de son poste de leader du parti. Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys
“C’est un village dogon qui a été quasiment rasé.” Au moins 95 habitants du village dogon de Sobane-Kou, dans le centre du Mali, ont été tués, dans la nuit du dimanche 9 au lundi 10 juin, par des hommes armés, selon un élu local et une source sécuritaire.Les auteurs du massacre ne sont pas identifiés. Cette région du Mali est, depuis 2015, le théâtre d’affrontements entre les Peuls, traditionnellement éleveurs, et les ethnies bambara et dogon, qui pratiquent essentiellement l’agriculture et ont créé leurs “groupes d’autodéfense”. L’apparition du groupe jihadiste du prédicateur Amadou Koufa, qui recrute prioritairement parmi les Peuls, joue aussi un rôle.“Selon les civils, ce sont des hommes armés qui sont venus tirer, piller et brûler. C’est un village de 300 habitants. C’est vraiment la désolation”, a ajouté, sous le couvert de l’anonymat, un élu de la commune de Koundou, où se situe ce village. “Nous avons pour le moment 95 civils tués, les corps sont calcinés, nous continuons de chercher des corps”, a déclaré l’élu. Une information confirmée par une source sécuritaire malienne.Un massacre d’un village peul en marsLe nord du Mali est tombé, en mars-avril 2012, sous la coupe de groupes jihadistes, en grande partie dispersés par une intervention militaire lancée en janvier 2013 à l’initiative de la France, qui se poursuit. Mais des zones entières échappent au contrôle des forces maliennes, françaises et de l’ONU, malgré la signature en 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards.Depuis 2015, ces violences se sont propagées du nord au centre du pays, voire parfois au sud. Elles se concentrent surtout dans le centre, se mêlant très souvent à des conflits intercommunautaires, un phénomène que connaissent également le Burkina Faso et le Niger voisins. Elles ont culminé le 23 mars avec le massacre à Ogossagou, près de la frontière burkinabè, de quelque 160 villageois peuls par des membres présumés de groupes de chasseurs dogons.Click Here: Putters
Ils étaient environ 430 000 personnes à participer à la marche. Une nouvelle manifestation monstre des opposants au gouvernement a eu lieu, dimanche 21 juillet, à Hong Kong. La marche était pacifique jusqu’à ce qu’elle dégénère en fin de journée. La police a en effet tiré des balles en caoutchouc et fait usage de gaz lacrymogène dans la soirée, pour disperser des groupes de protestataires.Hong Kong est le théâtre depuis le 9 juin de gigantesques manifestations contre le gouvernement local pro-Pékin, marquées de façon sporadique par des affrontements violents avec la police. Le mouvement est parti du rejet d’un projet de loi sur les extraditions vers la Chine continentale. Le texte est désormais suspendu, mais la contestation s’est élargie à des exigences plus vastes sur la préservation des acquis démocratiques et des libertés dont cette ancienne colonie britannique revenue dans le giron chinois en 1997 jouit.Des consignes pour manifester “sans violence”Dimanche, pour le septième week-end d’affilée, les manifestants anti-gouvernement ont défilé dans les rues de façon pacifique. Les protestataires exigent la démission de la cheffe de l’exécutif local, Carrie Lam, que Pékin soutient de tout son poids. Mais aussi le retrait pur et simple du texte sur les extraditions, une enquête indépendante sur les violences policières supposées et l’amnistie des personnes arrêtées. Ils appellent aussi à l’élection au suffrage universel du chef de gouvernement. Ils ont communiqué entre eux des consignes pour manifester “sans violence”, selon notre journaliste envoyée spéciale, Elise Lambert.Voici un résumé des demandes des manifestants aujourd’hui et de la façon de manifester « pas de violence, rester unis, pas de division » #HongKong pic.twitter.com/3O9JpZUgZ4 — Elise Lambert (@lambert_elise) July 21, 2019
Les manifestants répètent qu’ils ne veulent pas de violence et s’encouragent. #HongKong pic.twitter.com/XBP8NcnyZi — Elise Lambert (@lambert_elise) July 21, 2019
Des post its sont collés sur plusieurs murs dans la ville, on les appelle les « Lennon Walls ». Sur l’un d’entre eux : « il n’y a ps d’émeutiers, juste la tyrannie » #HongKong pic.twitter.com/ipShMlSMJe — Elise Lambert (@lambert_elise) July 21, 2019
Des consignes appliquées puisque le plus gros de la manifestation s’est terminée sans heurts.
Les manifestants ont même installé des petits points de recyclage pour récupérer les affiches et cartons à la fin #HongKong pic.twitter.com/WwSpMbCxEk — Elise Lambert (@lambert_elise) July 21, 2019
Le parcours autorisé était plus court que d’habitude. La police avait refusé le parcours initial demandé par les organisateurs afin d’éviter que le cortège ne passe devant des bâtiments officiels.Des œufs lancés sur un bâtiment chinoisToutefois, certains protestataires ont passé outre les consignes en allant jusqu’au bureau de liaison chinois, représentant le gouvernement de Pékin. Des milliers de manifestants portant des masques ont investi la rue devant cet imposant immeuble, érigé des barricades, et pris pour cible le bâtiment : ils ont jeté des œufs et d’autres projectiles et inscrit des graffitis sur sa façade.“Nous sommes ici pour dire que Pékin viole nos valeurs fondamentales et nos procédures judiciaires”, a déclaré à l’AFP un manifestant de 19 ans. Un homme portant un masque noir et un casque de vélo a ensuite lu une liste de revendications dans un mégaphone. “Il n’y a pas de protestataires violents ni d’émeutiers, il n’y a que la tyrannie. Nous protègerons notre patrie par tous les moyens”, a-t-il dit.Le chef du bureau de liaison du gouvernement chinois à Hong Kong a dénoncé lundi cette attaque des lieux. “Ces [agissements] ont sérieusement porté atteinte à l’esprit de l’Etat de droit auquel Hong Kong est fortement attaché (…) et sérieusement blessé l’ensemble du peuple chinois, y compris les sept millions de compatriotes hongkongais”, a-t-il déclaré à la presse.Une mystérieuse attaque “mafieuse”Par ailleurs, dans une gare du nord-ouest de la ville, dans le district de Yuen Long proche de la frontière chinoise, un groupe d’individus vêtus de blanc, pour certains équipés de bâtons, ont fait irruption dans un train où ils ont attaqué des passagers. C’est ce que montrent des images filmées par des passagers et par un élu du Parti démocratique. Ils ont également passé à tabac une journaliste qui diffusait un live des événements. L’opposition hongkongaise a annoncé, lundi, l’ouverture d’une enquête à la suite de cette attaque qu’elle attribue à une bande “mafieuse”.Click Here: Golf special
Oil prices have soared in recent days because of fears over the impact of the unrest on Libya’s oil and gas supplies. Several European energy companies, including Italy’s Eni, Spain’s Repsol YPF and Germany’s Wintershall, have closed or scaled back their operations in Libya and repatriated many of their staff, fearing for their safety.
EU energy ministers, who are meeting in Brussels on Monday (28 February), will probably raise the subject of oil prices and the situation in north Africa over lunch. Libya is an important supplier of oil and gas to the EU. It was the fourth biggest supplier of oil to the EU in 2008, behind Russia, Norway and Saudi Arabia, and the fifth biggest supplier of gas oil, after Russia, Norway, Algeria and Nigeria.
Italy is heavily reliant on supplies for gas and, to a lesser extent, oil. Italy, which imports 90% of its gas needs compared to the EU average of 62%, obtains 13% of its total gas imports from Libya. Algeria is the largest supplier of gas to Italy, accounting for 35% of Italy’s total imports, followed by Russia (32%). Italian energy companies have stressed the drop in supply from Libya can be made up by supplies from elsewhere. They have said there are no plans to tap the country’s gas reserves.
European energy companies have made very large investments in Libya since international sanctions were lifted in 2004. BP, Royal Dutch Shell and Total have invested heavily in exploration and extraction. The country is now the world’s 12th largest exporter of oil, accounting for 5% of OPEC’s output, and 2% globally.
EU direct investment in Egypt was €27.2 billion in 2009, and in Morocco was €13.6bn. The figures indicate the EU’s close trade and commercial relations with north African countries. It is the biggest trading partner of Tunisia, Morocco, Algeria and Egypt, and has agreements that include trade liberalisation and political co-operation with all of them.
Foodstuffs and live animals accounted for 26.5% of Morocco’s exports to the EU in 2009, worth €1.7bn, while the largest export category was manufactured goods, mainly textiles, accounting for 35.3%. The EU’s imports from Algeria consist almost entirely of energy products.
Most of the countries of north Africa are reliant on food imports, especially of wheat and rice. Egypt is the world’s largest importer of wheat. According to the Food and Agriculture Organisation (FAO), the increase in wheat prices at the start of the year will add substantially to the cost of Egypt’s programmes for wheat import and bread subsidy. Wheat prices in Egypt rose by 32% in the year to December 2010, but government subsidy programmes partially protected consumers. Rising food prices were one of the drivers of the initial protests against the Mubarak regime. Food prices increased by 17.2% in December 2010, according to the FAO.
Libya has observer status in the Euromed partnership. It is not part of the European Neighbourhood Policy although it is entitled to take part because of its geographical position. Negotiations on a framework agreement between the EU and Libya started in November 2008, but have been suspended.
Failed development policies?
The Arab revolts have raised some serious questions about the value of the EU’s development policies.
Andris Piebalgs, the European commissioner for development, admitted on Tuesday (22 February) that the “classic approach” had failed to deliver results in the Middle East. Despite top rankings for Tunisia and Egypt in meeting the Millennium Development Goals, the countries had experience revolts triggered by “lack of political reform and huge youth unemployment” – neither of which is measured under the MDG process.
Classic development achievements such as school enrolment have even contributed to disaffection as graduates failed to find jobs. Egypt doubled its tertiary enrolment rate to 28% over the last 20 years and Tunisia raised it from 8% to 34%. Development aid under the European Neighbourhood Policy (See Analysis – Page 7) provides around €80m a year in 2011-13 for Tunisia, and €150m for Egypt. Libya has never fully participated in the ENP and the €20m a year that was earmarked for the country in 2011-13 is blocked.
The EU held talks yesterday (23 February) with the US, Japan and international financial institutions on co-ordination of financial assistance to democratising countries in north Africa. The European Investment Bank is to raise its lending to the region for 2011-13 by €1 billion, to €3.8bn.
Evacuation of EU citizens
The Commission believes that there are around 10,000 EU citizens in Libya. EU member states have dispatched warships to protect citizens who are being evacuated and to guard against illegal migrants, with Italy taking the lead.
Since the EU has no delegation in Tripoli, member states are responsible for evacuations on the ground. Member states’ diplomats at Tripoli airport are monitoring the chaotic situation there as foreigners try to escape the violence.
The EU’s political and security ambassadors met yesterday afternoon (23 February) to discuss co-ordination. Several energy firms have organised the evacuation of their staff. Around 3,000 Turkish citizens yesterday left Benghazi aboard two ferries. The Turkish government believes that around 25,000 nationals, most of them construction workers, are in Libya. Ukraine is reported to have around 3,000 citizens in the country.
Supporting democracy
The EU has had close relations with most of the autocratic regimes in north Africa and the Middle East. It is now seeking to support democratic processes in Tunisia and Egypt, but without encouraging violent regime change elsewhere. Funding for programmes in Egypt in governance, democracy, human rights and justice currently totals €39m, and a further €20m is planned for “current needs”. In Tunisia, the Commission envisages a new €20m programme to support the justice system over the next three years. This year, around €2.5m should be available in grants for local civic groups, and a further €17m in aid has just been announced. Across north Africa and the Middle East in 2007-10, the EU provided €141m for programmes on human rights, good governance, justice reform and democracy under the European Neighbourhood Policy.
Middle East peace process
The overthrow of Hosni Mubarak in Egypt has removed a crucial player in the moribund Middle East peace process, heightening EU and US fears of a less friendly attitude in Egypt towards Israel, and complicating attempts to restart the talks. Following the Arab uprisings, restarting the process is “even more crucial”, János Martonyi, Hungary’s foreign minister, said on Tuesday (22 February), after a meeting of member states’ foreign ministers. But critics, such as Marwan Muasher, a former foreign minister of Jordan, believe that the current bilateral approach to seeking a settlement is doomed to failure in view of the resistance of Pale-stinians and Israelis to compromise. A regional approach, by contrast, could provide Arab cover for painful compromise by the Palestinians, while Israel could obtain security guarantees from a wider circle than just the Palestinians.
Commission wants more judicial progress in Bulgaria, Romania
Interim reports on two countries’ judicial reform and fight against corruption paint mixed picture.
The European Commission has called on Bulgaria and Romania to strengthen their judicial systems and to step up their fight against corruption. In interim reports on Bulgaria and Romania published today (18 February), the Commission highlighted shortcomings but also acknowledged progress in both countries.
Since they joined the EU in 2007, both countries have been subject to regular reporting under the Verification and Co-operation Mechanism.
Bulgaria is committed to implementing its judicial reform strategy, the report has found, and has created a specialised court and prosecution office for organised-crime cases. Convictions in high-level corruption cases have increased, but there have also been prominent acquittals, the report notes.
However, Bulgaria should improve the structure and management of the judiciary, the police and investigative bodies, according to the report.
Romania has provided a “constructive response” to the last report’s recommendations, the Commission said. The country has taken steps to speed up judicial proceedings and to improve the recruitment and training of magistrates. It has continued preparations for implementing new civil and criminal codes.
Romania’s National Anti-Corruption Directorate has continued investigating high-level corruption, the report has found, but also noted that the National Integrity Agency has suffered from budget cuts.
Romania should now focus on implementing the new legislative framework in civil and criminal law and undertake an independent review of the judicial system, the Commission has said. It also called on the country to speed up high-level corruption trials and strengthen its anti-corruption measures.
The next reports are to be presented in the summer.