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La politique est un sport de combat. L’ancien champion de judo y a réussi son entrée en remportant l’élection législative partielle des Yvelines. Secrétaire national aux sports à l’UMP depuis mars dernier, le sportif retraité gagne une place dans l’Hémicycle alors que certains dans son camp craignaient qu’il ne pâtisse de la controverse autour de la nomination du cadet du Président à la tête de l’Epad…

David Douillet, 1,96 m, 125 kg, silhouette de colosse et aplomb normand, va désormais siéger à l’Assemblée nationale.

Il y a une longue histoire d’amitié entre David Douillet et la famille politique gaulliste: le mastodonte au cœur tendre est connu pour être un proche des Chirac, et notamment de Bernadette avec qui il participe depuis des années à l’opération Pièces Jaunes. Depuis le début de l’année, le sportif a définitivement rangé son kimono, lui préférant le costume de bureaucrate et le cercle des people sarkozystes.

Ce massif Rouennais avait pris sa retraite sportive à 31 ans, après les Jeux de Sydney en 2000. Avec ses deux médailles d’or, sa médaille de bronze et ses quatre titres mondiaux chez les lourds et en toutes catégories, il était entré alors dans la légende du judo en devenant le combattant le plus titré de l’histoire.

L’athlète qui portait les couleurs de l’UMP, a remporté dimanche le second tour de la législative partielle organisée dans la 12e circonscription des Yvelines face au maire socialiste de Poissy, Frédérik Bernard. L’ex judoka a ironisé en demandant «une place assez importante» pour son fauteuil d’élu.

David Douillet a été plébiscité avec 52,10% des suffrages exprimés contre 47,90% à Frédérik Bernard, selon les résultats définitifs. L’as des arts martiaux l’a emporté avec 985 voix d’avance (12.203 contre 11.218). La participation a été de 33,70%.

Le nouveau député du parti majoritaire a été acclamé dimanche soir par ses partisans. La (frêle) candidate de l’UMP pour les régionales en Ile-de-France,

, à ses côtés, le Titan s’est félicité du score, «52–48, on a bien gagné». «Très heureux», le vainqueur a remercié ensuite sur i>télé les électeurs qui «ont compris à qui ils avaient affaire». «Le travail paie», s’est-il targué, promettant de «s’investir à 100%». «Les citoyens manquent d’écoute, manquent de proximité», a-t-il lancé souhaitant «que des gens de la société civile s’investissent en politique». «Ce n’est pas simple, ce sont de vrais combats, et c’est une vraie vocation. Il faut réfléchir, moi j’ai choisi, c’est ma nouvelle vie j’en suis fier».

Prié de dire si la polémique autour du parachutage de

à La Défense avait joué un rôle dans le résultat final, il a rétorqué: «La preuve que non, puisque j’ai gagné ce soir. On ne m’en a pas parlé, ce n’est pas la préoccupation majeure des gens, qui me parlent de logement, de transport et d’emploi…».
Après les tatamis, David Douillet, 40 ans, entre au Palais Bourbon, quelque mois seulement après avoir intégré les instances de l’UMP en même temps que le chanteur Gilbert Montagné. Le grand ami des Chirac avait été nommé en mars dernier à la direction nationale du parti majoritaire, comme secrétaire national à la Vie sportive. Le populaire Hercule (personnalité préférée des Français, il avait même réussi à détrôner l’abbé Pierre dans le classement du Journal du Dimanche en 2001) a ensuite été choisi pour défendre le siège de l’UMP après l’inéligibilité du député Jacques Masdeu-Arus, condamné dans une affaire de corruption.

Dans les affaires, il a connu moins de bonheur, avec la faillite de l’agence de voyage Travelstore dont il était actionnaire, qui lui avait valu une mise en examen pour «recel et complicité de banqueroute par détournements d’actifs». La gauche avait alors soupçonné l’Elysée d’avoir préparé la loi du 6 août 2002, qui permet une amnistie présidentielle pour des personnes s’étant distinguées de manière exceptionnelle dans des domaines comme le sport, pour lui venir éventuellement en aide.

Frédérik Bernard a lui accusé l’UMP d’avoir voulu profiter de la célébrité du grand Douillet, assurant que le géant se contentait de signer des autographes sur les marchés, et lui reprochant «une absence de propositions concrètes» et une «méconnaissance des dossiers».

Il va maintenant falloir que David se fasse un nom dans l’arène politique, …et pas Goliath!

Lundi 19 octobre 2009

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C’est un bilan effectué après trois mois de violences. Plus de 400 000 personnes ont été déplacées dans le nord-ouest de la Syrie, où la province d’Idleb et ses environs dominés par les jihadistes sont la cible de bombardements du régime et de son allié russe, a annoncé l’ONU, vendredi 26 juillet. Par ailleurs, plus de 730 civils, dont plus de 180 enfants, ont été tués.La province d’Idleb qui échappe au pouvoir de Bachar Al-Assad est contrôlée en grande partie par les jihadistes. D’autres factions rebelles y sont présentes. Soutenu par l’aviation russe, le régime pilonne quasi-quotidiennement depuis fin avril cette province, ainsi que les zones adjacentes dans les provinces limitrophes d’Alep, de Hama et de Lattaquié.Près de la moitié des trois millions d’habitants d’Idleb et de sa région sont déjà des déplacés. Ils ont fui par le passé les combats dans d’autres zones de la Syrie en guerre ou ayant refusé de rester dans des localités rebelles reconquises par le régime.

Plusieurs personnes ont été blessées et des milliers de personnes évacuées, lundi 5 août, à la suite d’explosions causées par un incendie dans un dépôt de munitions en Sibérie. Provoquées par un feu d’origine inconnue, les explosions se sont produites dans un dépôt d’obus sur une base militaire près de la ville d’Achinsk (région de Krasnoïarsk), à 3 000 kilomètres de Moscou.Les évacuations ont eu lieu dans un périmètre de 20 kilomètres autour du dépôt. Son personnel a également été évacué, a indiqué le gouverneur de la région de Krasnoïarsk, Alexandre Ouss, qui s’est rendu sur place. D’après les médecins, sept personnes ont été blessées par les explosions, et deux d’entre elles ont été hospitalisées, a rapporté l’agence publique Tass. Plusieurs médias russes, cités par le Guardian, parlent d’un soldat tué lors des explosions. Des trains de lutte anti-incendie sur placeDes témoins ont publié sur internet des vidéos montrant une épaisse fumée noire qui s’élève au-dessus d’une forêt située à côté du dépôt de munitions. Plusieurs trains équipés pour la lutte anti-incendie ont été dépêchés sur les lieux, a rapporté l’antenne locale du ministère russe des Situations d’urgence. “Des mesures ont été prises pour empêcher la propagation du feu et assurer la sécurité” dans la zone des explosions, a souligné cette source.

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L’élevage de lions ne répond à aucun objectif de conservation. On élève les lions comme on élève les faisans, pour la chasse. Selon des chiffres de la fondation britannique Born Free, pas moins de 8000 lions vivent dans 200 élevages en Afrique du Sud (ils sont moins de 3000 à l’état sauvage). Bébés, on les retire rapidement de leur mère pour en faire des peluches vivantes pour les touristes.Puis l’âge avançant, ils vont servir de cible pour une “chasse en boîte”, entendez  à l’affût dans un parc réservé à cela. Cette chasse est totalement légale. Il en coûtera 22 000 dollars au chasseur fortuné pour le “package” mâle-femelle, annonce sur son site Tinashe, une entreprise spécialisée.Un quota de 800 squelettesL’Afrique du Sud est ainsi devenue le champion de l’exportation de trophées. 7500 lions exportés en 10 ans, selon les chiffres officiels de 2013. En 2017, les pouvoirs publics ont fixé un quota annuel d’exportation de 800 squelettes de lions issus des élevages, officialisant ainsi une pratique apparue en 2008. Un quota atteint en quelques semaines.Le squelette entier, parfois avec la tête, ou simplement un assortiment d’os, sont vendu au kilo et exportés vers les marchés de médecine traditionnelle. Selon sa taille, le squelette se négocie, selon le fermier, de 1200 dollars à plus de 2000 dollars avec la tête. Le prix va atteindre les 15 000 dollars, une fois dans la boutique de médecine traditionnelle au Vietnam ou au Laos, les deux principaux pays importateurs.L’autorisation de ce commerce avait pour ambition de protéger les lions vivant en liberté des balles des braconniers. C’est l’inverse qui se produit, selon les adversaires de cette pratique. Ce commerce légal permet en effet de masquer facilement la vente d’animaux braconnés. D’autant que la demande est de plus en plus forte. L’os de lion remplaçant celui de tigre dans la pharmacopée asiatique.Pire même, ce trafic menacerait les lions des pays voisins comme le Mozambique. Dans le parc national du Limpopo, les braconniers empoisonnent les lions pour profiter de ce commerce juteux.Quel impact sur la faune sauvage ?Un impact nié par les pouvoirs publics sud-africains. En septembre 2016, sept organisations engagées dans la protection de la nature en Afrique du sud, ainsi que tous les membres de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), ont demandé en vain à Pretoria d’interdire l’élevage pour la chasse.En 2017, l’Afrique du Sud a enfin lancé une étude pour étudier l’impact de ces chasses sur la faune sauvage. Mais ses conclusions ne sont pas attendues avant 2020. Dans la Namibie voisine, bien que la chasse soit autorisée, le commerce des os est interdit. Tout contrevenant risque 10 ans de prison. En fait, ce commerce met une pression quant à la survie des animaux que la chasse ne met pas. D’autant que le niveau de vie augmentant en Chine ou au Vietnam, les candidats à la consommation d’os de lion sont de plus en plus nombreux. 

Italy ‘requests’ IMF checks

March 20, 2020 | News | No Comments

Italy ‘requests’ IMF checks

Monitoring team to verify implementation of austerity measures, tax cuts and structural reforms.

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The International Monetary Fund is to send a quarterly mission to Italy to verify the implementation of its economic reforms.

José Manuel Barroso, the president of the European Commission, broke off from the summit of G20 leaders in Cannes, to say that Silvio Berlusconi, Italy’s prime minister, had requested the move.

However, some reports suggest that Italy was put under pressure to accept the IMF visits.

Barroso said that the Commission would also be sending a monitoring team to make sure that the package of austerity measures, tax cuts and structural reforms go through.

A Commission spokeswoman played down claims that Italy, which unlike Greece has not formally requested financial support from the European Union or IMF, was being subjected to the same surveillance.

‘Not a troika’

“This is not a troika,” she said, referring to the three-pronged Commission-IMF-European Central Bank monitoring team sent to Athens. “Italy requested this itself. It will be adapted to the Italian situation.”

She added that the monitoring would act as a “watchdog” to verify that Italy was implementing “reforms and fiscal consolidation measures”.

Berlusconi presented his planned austerity measures to leaders of eurozone countries at their summit in Brussels on 26-27 October but leaders at the G20 have being expressing discontent that there shows little proof that he can implement them fully.

Berlusconi’s government coalition on Wednesday (2 November) failed to agree on a government decree that would have implemented the urgent fiscal measures.

Increased borrowing costs

In a sign that the eurozone debt crisis is rapidly moving to Italy, the country’s cost of borrowing rose to its highest level since the introduction of the euro yesterday.

Barroso said that the IMF move would “reinforce credibility and confidence” in the Italian reforms and that all results would be made public.

Herman Van Rompuy, the president of the European Council, said: “This is not a diktat. Italy is in a totally different situation from Greece.”

Rome in turmoil

Berlusconi will return to an increasingly volatile political situation in Rome after the G20 talks.

Six parliamentary members of his centre-right Party of Freedom (PDL) party issued a letter on Thursday (3 November) warning Berlusconi that they would not support him unless he formed a national unity government to push through urgent reforms.

Another two members of the party defected to an opposition centrist party, raising worries that Berlusconi will not survive a parliamentary confidence vote which is planned next week on a 2010 budget report.

Gianfranco Fini, the speaker of the Italian parliament’s lower house, urged Berlusconi to form a unity government as quickly as possible.

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Giorgio Napolitano, Italy’s president, held talks with leaders of political parties on Thursday to assess whether an alternative majority was possible to reach a consensus on passing reforms as quickly as possible.

Authors:
Ian Wishart in Cannes 

Limited treaty change ‘a possibility’

March 20, 2020 | News | No Comments

Limited treaty change ‘a possibility’

Van Rompuy says treaty change to strengthen governance of the eurozone ‘should not be taboo’.

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The European Council has agreed to allow the countries of the eurozone to explore “the possibility of limited treaty changes” to strengthen the governance of the eurozone.

Herman Van Rompuy, the president of the European Council, is to prepare a report on treaty changes, in collaboration with José Manuel Barroso, the president of the European Commission, and Jean-Claude Juncker, Luxembourg’s prime minister, who chairs meetings of eurozone finance ministers.

At their summit in Brussels today, the leaders of the 27 member states of the European Union agreed to note “the intention of the heads of state or government of the euro area to reflect on further strengthening of economic convergence within the euro area, on improving fiscal discipline and deepening economic union, including exploring the possibility of limited treaty changes”.

Angela Merkel, Germany’s chancellor, said: “On fiscal discipline, treaty changes cannot be excluded.”

Van Rompuy stressed that treaty change would be possible only if there was agreement among all 27 member states – a point that was emphasised separately by David Cameron, the UK’s prime minister.

Cameron is fighting a battle at home led by backbench members of parliament from his own party, who want a referendum on Britain’s membership of the European Union. There will be a vote on the issue in the British parliament tomorrow (24 October).

Cameron said treaty change would be an opportunity for the UK to “advance our national interest”.

But Van Rompuy said that limited treaty change would not mean re-opening questions of the EU’s institutional architecture addressed in the Lisbon treaty.

Fact File


From the summit conclusions, European Council of 23 October 2011


“The president of the euro summit will be designated by the heads of state or government of the euro area at the same time the European Council elects its president and for the same term of office.


“Pending the next such election, the current president of the European Council will chair the euro summit meetings. The president of the euro summit will keep the non euro area member states closely informed of the preparation and outcome of the summits.


“The European Council notes the intention of the heads of state or government of the euro area to reflect on further strengthening of economic convergence within the euro area, on improving fiscal discipline and deepening economic union, including exploring the possibility of limited treaty changes.”



 

Any changes would be limited to strengthening the economic governance of the eurozone, he said.

“If we need treaty change in a limited way, that should not be taboo,” he said. The aim would be too deepen economic union and strengthen fiscal discipline in the eurozone.

Authors:
Toby Vogel 

,

Tim King 

and

Simon Taylor 

Merkel’s ambitious plans

March 20, 2020 | News | No Comments

Merkel’s ambitious plans

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Updated

Angela Merkel, Germany’s chancellor, is known more for pragmatism than vision, but on Monday (15 November) she set out an ambitious vision for Germany and for Europe. “The task of our generation is to complete economic and monetary union and build political union in Europe step by step,” she told a conference of her party, the centre-right Christian Democrats.

A majority of the party voiced its support for this, Merkel’s clearest indication yet of what she means when she argues that the answer to the eurozone crisis is more, not less Europe.

On economic integration, the CDU’s proposals focus on disciplining countries that fail to respect limits on debts and public deficits. They would be referred to the European Court of Justice, and – as the programme describes it – an “EU Austerity Commissioner” would be appointed to chivvy the national government into budget cuts.

The freshest aspects of the proposals were political. Under the CDU’s plans, the right to make legislative proposals, which is currently the exclusive right of the European Commission, would be extended to both the Council of Ministers and to the European Parliament. The president of the Commission would be directly elected by EU citizens. And the EU would eventually develop a bicameral political system, made up of the Parliament and the Council, each enjoying equal status.

Could Merkel’s policy become German policy? That depends now on the two smaller parties in the governing coalition.

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Their consent on economic issues seems the easier task. The CDU’s Bavarian centre-right sibling, the Christian Social Union (CSU), is likely to support moves to tighten economic discipline. The liberal Free Democrats (FDP) also favour greater economic discipline.

However, the CSU has traditionally resisted the transfer of power away from Germany’s federal states to central government and to the EU institutions.
The FDP’s leaders will probably seek to keep the party true to its pro-European traditions, but voters’ frustration over the eurozone bail-outs has strengthened a Eurosceptic wing of the party.

Authors:
Simon Taylor 

The former Premier League star is stuck inside but understands he must take precautions after exposure to the novel Coronavirus

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Romelu Lukaku has lifted the lid on what life is like as an Inter player under quarantine, and revealed he was close to a move to their Serie A rivals Juventus when leaving Manchester United last summer.

The Belgium international and his Nerazzuri teammates took on Juventus before the suspension of Serie A and played against Daniele Rugani in that match. Rugani subsequently tested positive for Covid-19 and that diagnosis and their proximity to him sent the Inter squad into lockdown.

Lukaku says that being separated from his family has been a real struggle, but that the team is still taking care of him.

More teams

“I almost went crazy one day. I can’t go out, I can’t go shopping. I’m locked up in the house. I miss everyday life, being with my mom, with my son and brother,” he told Ian Wright in a video interview.

“I’m with my physiotherapist, they bring me food every day. At noon lunch arrives on time, I eat fish and vegetables.

“They provided me with an exercise bike.  I asked in our group chat who had one at home and after two hours they brought one to each of us”

Despite his frustrations the 26-year-old understands the importance of the precautions he and his teammates are being asked to take.

His mother has diabetes, putting her in a high risk group, and he understands he must not expose her to the deadly virus.

“You have to be careful. My mom, for example, has diabetes, so I can’t even go home and touch her.”

The two strikers didn’t only discuss the pandemic and when the subject turned to football the former Chelsea striker admitted he was a Juventus target but said his heart was always set on Inter and linking up with coach Antonio Conte.

“The Nerazzurri were my favorite team as a child thanks to Adriano, Ronaldo and Christian Vieri, with whom I now have an excellent relationship,” Lukaku revealed. 

“Conte already wanted me at Chelsea, I have never had any doubts and since I arrived in Milan I have concentrated on training and on returning to the best form.” 

La junte militaire qui a succédé à Omar el-Béchir au pouvoir à Khartoum a annoncé le 2 août 2019 avoir arrêté neuf membres des Forces de soutien rapide (RSF) après la mort de jeunes manifestants tués par balles le 29 juillet à Al Obeid, dans le centre du pays.”Les paramilitaires seront remis à la justice civile pour être jugés”Cette annonce est intervenue en même temps que quatre manifestants étaient tués à Omdourman, ville voisine de la capitale soudanaise, lors des rassemblements organisés à travers le pays à l’appel du mouvement de contestation pour dénoncer une nouvelle répression meurtrière.“Une enquête a été ouverte sur les événements d’Al-Obeid et sept membres des RSF ont immédiatement été limogés et remis à la justice civile pour être jugés”, a déclaré à la presse le général Shamseddine Kabbashi.“Hier, deux autres membres des RSF ont été arrêtés, donc ils sont neuf au total”, a poursuivi le porte-parole du Conseil militaire qui dirige le pays.Opération destinée à affaiblir Mohamed Hamdan Daglo, numéro deux du Conseil militaire ou à amadouer la contestation pour l’amener à négocier ? Le coup, en tout cas, est rude pour l’homme également connu sous le nom de Hemetti, qui dirige les RSF et qui a été un pilier de la sécurité du régime du président déchu.Accusées de terribles exactions, notamment pendant le conflit du Darfour dans l’ouest déclenché en 2003, ses forces paramilitaires, jadis baptisées Janjawid, restent toutefois, selon l’AFP, une force centrale de l’appareil répressif au Soudan.Des négociations pour finaliser l’accord de partage du pouvoirEn dépit de cette nouvelle vague de répression, les discussions interrompues en raison de la mort de six manifestants, dont quatre lycéens, ont repris dans la nuit du 1er au 2 août entre les dirigeants de la contestation et les militaires.Elles doivent permettre de finaliser certains points en suspens après la conclusion d’un accord de partage du pouvoir, le 17 juillet.Obtenu après de laborieux pourparlers, il prévoit un Conseil souverain composé de cinq militaires et six civils chargé de mener la transition sur une période de trois ans.Les points en suspens portent sur les pouvoirs de ce Conseil souverain, sur le déploiement des forces de sécurité et l’immunité de généraux impliqués dans la répression de rassemblements.L’opposition fait état de “bonnes nouvelles” à venirLes arrestations de paramilitaires à la suite de l’enquête officielle s’apparentent fort à des gages donnés à l’opposition.Après une nuit de négociations, un membre de l’équipe de la contestation, Ibrahim al-Amine, a même annoncé à la presse qu’il y aurait “de bonnes nouvelles” suite aux discussions en cours.De son côté, le général Hemetti, donné jusque là comme homme fort du pays, a nié toute responsabilité dans l’équipée sanglante des RSF et dénoncé une tentative de nuire à l’image de ses forces.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Rachida Dati, retour en grâce au Grévin

March 19, 2020 | News | No Comments

Si l’ex-ministre de la Justice a dû renoncer au faste de la Place Vendôme, elle peut se targuer d’être entrée pour l’éternité au panthéon des stars du showbiz. a inauguré hier son double de cire au Musée Grévin. Foule en délire et cérémonie apologique, la voici vernie… Reportage.

Notre Femme de Loi a quitté son maroquin en juin. Bannie de la Sarkozie, contrainte à l’exil belge et alsacien, l’ex-favorite de l’Elysée a néanmoins marqué les esprits. L’Académie Grévin, présidée par Bernard Pivot et composée de onze académiciens (dont

,

, Laurent Boyer ou encore Jean-Pierre Foucault), a considéré que Rachida Dati pouvait prétendre officiellement au statut d’icône républicaine. Récit d’une «consécration».

19h, Boulevard Montmartre: Un tapis rouge encore protégé par son plastique accueille les journalistes. Ou du moins, délimite l’entrée du Grévin. Reporters, cameramen et photographes sont relégués derrières les barrières. Les agents de sécurité veillent, scrupuleusement. Autour de nous, les badauds s’agglutinent: «C’est qui? C’est qui?». Nous finissons par avouer. Certains tournent leur nez, d’autres dégainent portables et appareils photos. La star du soir se fait attendre, mais devant nos yeux ébahis (et nos objectifs affutés) défilent Régine, Catherine Lara, Patrick Balkany, Dominique Bussereau (secrétaire d’Etat aux Transports), Stéphane Freiss et sa petite famille, mais aussi le grand Alain Delon «Des amis, des proches, des gens qui comptent pour moi…», relèvera Rachida Dati.

20h: Précédée de François Sarkozy, frère cadet du Président, «elle» arrive, enfin. C’est l’émeute. Une frénésie à laquelle nous participons, avec jubilation. Heureuse et fière, notre vedette se joue des flashes, bat des cils, garde un sourire, immaculé, puis s’éclipse. Nous la retrouverons dans le petit théâtre à l’italienne du musée parisien.

Petit coup d’œil au communiqué qu’on nous a distribué: «Volontaire et déterminée, Rachida Dati est résolument une figure emblématique de la nouvelle scène politique française. Icône médiatique et symbole politique de la diversité, elle impose le respect parmi ses pairs grâce à son esprit combatif et audacieux», peut-on lire dans le texte. Décidément, c’est son jour de gloire.

Après un discours de la directrice générale de Grévin, Béatrice de Reyniès, qui remercie «Madame le ministre» pour son «enthousiasme» à entrer dans ce lieu «touristique et glamour», Stéphane Bern, membre du comité, prend la parole et se répand en compliments. «Le collège choisit les impétrants selon trois critères: «popularité, excellence et visibilité», rappelle le spécialiste des têtes couronnées. Des conditions que satisfaits, sans doute, pleinement la diva Dati, mais pas seulement. L’éloge vire à la dithyrambe. On accueille une«étoile de la vie politique française», une «authentique star qui ne laisse personne indifférent», «celle qui a incarné la diversité au plus haut de l’Etat alors que l’intéressée ne revendiquait que le droit à l’indifférence», «une force de caractère», «un modèle qui permet aux jeunes de rêver à une intégration réussie autrement qu’en devenant le prochain Zinédine Zidane». Et le panégyrique n’est pas fini. «Vous savez mieux que quiconque ouvrir les portes closes», a clamé Stéphane Bern, estimant de surcroît, que Rachida Dati n’était «ni triste comme une porte de prison, ni raide comme la justice». N’en jetez plus, dites-vous? Rachida, elle, adore ça. Elle ne voit là que justice rendue. «En deux ans et demie, je n’avais jamais entendu autant d’authenticité et de vérités dans des propos me concernant», a-t-elle reconnu, sincèrement, en montant sur scène. Applaudissements et place à la poupée de cire.

«C’est une sensation très curieuse de se découvrir ainsi en plusieurs dimensions. C’est une partie de ma vie qui se consacre ce soir», a commenté notre poupée de son, face à sa sculpture.

Puis l’émotion s’est emparée de l’institution. La célibattante qui défend bec et ongles sa vie privée a consenti à quelques arrangements pour façonner sa copie conforme, et, devant le public, elle se livre encore. «Ce soir deux personnes me manquent: ma mère(décédée, NDLR)et ma fille», a confié l’attendrissante Rachida Dati pour qui son père M’Barek, ses soeurs Malika, Fatiha, Jamila, Sanaa et ses frères Houari et Omar avaient fait le déplacement.

Avant que sa statue ne soit placée au côté de son mentor, l’académicienne et ancienne ministre Simone Veil, la rayonnante Dati s’est prêtée au jeu de l’interview.

Au micro de gala.fr notre Dame de fer férue de mode explique qu’elle a choisi «un tailleur pantalon noir qu’elle affectionne tout particulièrement». Chaleureuse, l’Eurodéputée et maire du 7e arrondissement admet que pour jouer les mannequins, elle a mis de côté ses principes sur le respect de l’intimité. Plus accessible et ravissante que jamais, elle nous fait même part de son angoisse de voir l’empreinte de «ses dents» au moment où son joli minois était modelé dans la terre glaise! Irrésistible Rachida…

Regardez l’interview exclusive de la muse Dati et la réaction de ses proches

Justine Boivin

Mercredi 14 octobre 2009