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Environ 600millions de personnes dans le monde souffrent d’une certaine forme de maladie rénale chronique. Elle devrait augmenter de 17% au cours de la prochaine décennie. Si elle est détectée à temps et gérée de façon appropriée, la détérioration de la fonction rénale peut être ralentie ou même enrayée. Mais il n’existe actuellement que peu d’efforts de sensibilisation sur ces troubles. Le 13 mars marque la neuvième Journée Mondiale du Rein.

Le 13 mars marque la neuvième Journée Mondiale du Rein.

Vos reins vieillissent tout comme vous !Environ une personne sur 10 souffre d’un certain degré de MRC. Cette maladie peut toucher des personnes de tous âges et races. Même si elle peut survenir à tout âge, elle devient plus fréquente avec l’âge. Après 40 ans, la filtration rénale commence à diminuer d’environ 1 % par an. En plus du vieillissement naturel des reins, de nombreuses conditions qui endommagent les reins sont plus fréquentes chez les personnes âgées, dont le

diabète,

l’hypertension artérielle et les

maladies cardiovasculaires. C’est important car la MRC augmente le risque de

crise cardiaque et d’

accident vasculaire cérébral, et dans certains cas, cela peut évoluer vers une

insuffisance rénale chronique nécessitant une

dialyse ou une

transplantation.Le Professeur John Feehally, co-président du Comité d’organisation de la Journée Mondiale du Rein au sein de l’ISN, explique : “Le thème de cette année est axé sur la MRC et le vieillissement : environ la moitié des personnes âgées de 75 ans ou plus ont un certain degré de maladie rénale chronique. Nous voulons les encourager à prendre soin de leurs reins en faisant un simple test de sang et d’urine pour détecter la MRC à temps. Notre message au grand public est : parlez-en à votre médecin“Pendant la Journée Mondiale du Rein, buvez un verre d’eauLors de la Journée Mondiale du Rein, vous êtes invités à commencer votre journée avec un verre d’eau et à encourager leurs familles, amis et collègues à faire de même. Ce geste symbolique apporte un lien puissant avec un acte simple et commun pour inciter le monde entier à penser à leurs reins, le 13 mars. Boire de l’eau peut protéger vos reins. Il n’y a cependant pas de déclaration scientifique derrière cette idée, dans la mesure où il n’est pas démontré scientifiquement que boire de l’eau réduise le risque de maladie rénale chronique.Le Professeur Guillermo Garcia, Co-président du Comité d’organisation de la Journée Mondiale du Rein au sein de l’IFKF, encourage tout le monde à soutenir la Journée Mondiale du Rein : “Boire un verre d’eau ne guérira pas vos reins, mais vous rappellera de l’importance de prendre soin de vos reins. Alors rejoignez-nous et commencez votre journée du 13 mars 2014 en buvant un verre d’eau. Nous espérons que cet acte quotidien deviendra à l’avenir un rappel puissant“.Cette année, une campagne en ligne permettra à tous de montrer son soutien et de s’engager dans la lutte contre la MRC. Pour plus d’informations et détails sur les événements organisés à travers le monde pour célébrer la Journée Mondiale du Rein, veuillez consulter le site

www.worldkidneyday.org David Bême Source : Communiqué conjoint ISN – IFKF – Mars 2014Cette journée est organisée par la Société Internationale de Néphrologie (ISN) et la Fédération Internationale des Fondations du Rein (IFKF).Click Here: camiseta seleccion argentina

A noter dans l’agenda des beautystas les 11 et 12 avril prochains, la marque Veet, spécialiste des produits dépilatoires, offre des ateliers beauté dans un lieu intimiste, le SPA Elysées Marbeuf.

La marque Veet ouvrira un boudoir éphémère, les 11 et 12 avril prochains, à Paris. ©Veet

Installé dans le SPA Elysées Marbeuf (17e arrondissement de Paris), ce boudoir éphémère proposera durant deux journées des ateliers pratiques 100% féminins, gratuits et sans rendez-vous. Les férues de beauté ou simples curieuses pourront ainsi venir se faire chouchouter en découvrant, notamment,  les nouvelles méthodes d’épilation de la marque et participer à l’une des activités proposées.Les élèves de l’École d’esthétique Elysées Marbeuf, partenaire de l’événement, animeront quatre ateliers pratiques. Au programme : maquillage, épilation, coiffure et manucure.(Boudoir éphémère Veet – Ouvert au public les 11 et 12 avril entre 10h30 et 19h – 45 bis, rue des Acacias – 75017 Paris).Source : RelaxnewsClick Here: Putters

Une majorité de Français estime que la prévention en matière de santé peut permettre de réduire leurs dépenses et celles de la Sécurité sociale mais juge inefficaces les actions de l’Etat dans ce domaine. Ils seraient , selon un sondage Opinionway pour Microsoft publié mardi.

80% des Français jugent que leurs médecins devraient pouvoir consulter leur dossier médical en ligne lors d’un diagnostic.

La prévention est l’affaire de tousDans le détail, 69% des Français pensent les mesures préventives peuvent permettre de réduire leurs dépenses de santé et 68% qu’elles peuvent réduire celles de la Sécurité sociale.Mettre en place de telles mesures, c’est “le rôle de chacun d’entre nous“ pour 64% des personnes interrogées, de l’Etat (ministère, Institut de veille sanitaire, etc.) pour 54% d’entre elles et du corps médical pour 52%.Seulement 4% jugent que c’est le rôle de l’entreprise et 3% celui des laboratoires pharmaceutiques.Les actions de l’Etat sévèrement jugées par les Français interrogésMais 56% des Français estiment que les actions de l’Etat en matière de prévention ne sont “pas efficaces“. L’Etat “ne joue pas suffisamment son rôle“ pour la prévention des jeunes, jugent 54% des personnes interrogées. Une sur deux pense la même chose pour les seniors et pour “les gens comme vous“. Pour les enfants en revanche, 56% trouvent que l’Etat joue “suffisamment“ son rôle.Concernant les campagnes de prévention (se laver les mains, bon usage des antibiotiques, manger équilibré, anti-tabac), 84% des Français disent les connaître, 82% pensent qu’elles sont “simples à appliquer“ et 78% qu’elles sont utiles.Les Français prêts à adopter des outils numériques pour leur prévention santéDans le cadre de la prévention des risques pour leur santé, plus d’un Français sur 2 (52%) utilise ou a déjà utilisé au moins un outil numérique (sites internet d’information sur les médicaments ou la prévention des accidents, jeux vidéo, travail sur la mémoire, outils permettant de gérer son poids, son cholestérol ou sa tension…). Près des deux tiers (62%) sont prêts à les utiliser à l’avenir pour réduire ces risques.

Autre chiffre témoignant d’un engouement pour les bénéfices santé du numérique : 70% des Français utilisateurs d’outils numériques sont prêts à s’équiper durablement et à y consacrer en moyenne 14,40 euros par mois. Plus d’un tiers des plus de 65 ans sont même prêts à y consacrer plus de 20 euros par mois.AFP/RelaxnewsSource :Sondage Opinionway pour Microsoft – 14 mai 2014Ce sondage a été réalisé en ligne les 23 et 24 avril auprès d’un échantillon de 1.008 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).Photo : ©Nejron Photo /shutterstock.comInfographie : MicrosoftClick Here: cheap INTERNATIONAL jersey

56% des Français effectuent leur séance de sport en compagnie de leur téléphone portable, rapporte une étude HTC et Médiamétrie ce vendredi 20 juin. Un tiers l’utilise pour écouter de la musique tandis que 15% en ont besoin pour mesurer leurs performances physiques grâce à une application.

Le smartphone, compagnon idéal pour faire du sport.

Le smartphone est un compagnon idéal pour qui aime le sport. 34% des personnes équipées utilisent en effet des applications dédiées. Et 14% se sont même abonnées à des notifications pour ne rien manquer de l’actualité sportive.En ce jour de deuxième match des Bleus dans le Mondial, le partage du score final devrait être effectué après l’événement, et ce surtout par sms ou mms (63%) et sur les réseaux sociaux (54%).Car 25% des sondés partagent l’information sportive via leur smartphone. Et parmi eux, 72% le font après un rendez-vous sportif. Sinon, 55% le font en direct. Les supporters s’échangent surtout des messages pour commenter les résultats (64%) ou le déroulé de la compétition (53%). Seuls 15% des Français concernés s’adonnent à cette correspondance digitale pour critiquer l’équipe adverse.Cette étude a été menée auprès d’un échantillon de 1.008 répondants équipés de smartphones et âgés de 15 ans et plus, interrogés fin décembre 2013.Source : RelaxnewsClick Here: New Zealand rugby store

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La Haute Autorité de Santé (HAS) estime inopportun de dépister systématiquement la thrombophilie avant une première prescription d’une contraception oestroprogestative, arguant d’une efficacité non démontrée pour un coût bien trop élevé.

La HAS estime inopportun de dépister systématiquement le risque de thrombophilie avant une première prescription d'une contraception oestroprogestative (Crédit photo : DACHSEL/TPH/SIPA).

Contraception oestroprogestative et risque thromboembolique Les

contraceptifs oestroprogestatifs augmentent, sans conteste, le risque de développer une maladie thromboembolique veineuse. A l’origine, un trouble de la circulation sanguine qui favorise la coagulation du sang et provoque la formation de caillots (on parle de thrombus), lesquels peuvent migrer et obstruer des veines des membres inférieurs (

phlébite ou 

thrombose) ou, plus grave, des artères pulmonaires (

embolie pulmonaire). Ce risque serait même plus élevé chez les femmes porteuses d’une anomalie de la coagulation. L’affaire des

pilules de 3ème et 4ème générations l’avait clairement mis en évidence et tous les scientifiques et médecins s’accordent sur ce point.A la suite de cette affaire, certains avaient suggéré de dépister systématiquement le risque de thrombophilie chez les femmes se faisant prescrire de tels contraceptifs pour la première fois.Pas opportun de dépister systématiquement le risque de thrombophilie, selon la HASA la demande de la Direction Générale de la Santé, la HAS s’est donc saisie de cette question. Et elle conclut que, si sur-risque il y a, celui-ci reste toutefois faible dans l’absolu puisqu’il serait de 5 à 12 maladies thromboemboliques pour 10 000 femmes sous contraceptif oestroprogestatif.En outre, “un test négatif de la thrombophilie à un moment donné ne garantit pas la non survenue ultérieure de cette maladie“, affirme la HAS, ajoutant que la “majorité des femmes ayant développé des phlébites et/ou des embolies pulmonaires n’avaient pas de thrombophilie identifiée“.Enfin, derniers arguments avancés par la HAS, l’absence d’évaluation des effets négatifs d’un dépistage systématique de la thrombophilie (impact psychosocial, freins potentiels à l’accès à la contraception…) et le coût très élevé d’une telle mesure.Deux outils pour aider les femmes et les médecins à choisir la bonne contraceptionDans un second document publié le même jour, la HAS propose deux outils d’aide à la décision médicale pour

choisir son mode de contraception. Le premier s’adresse aux femmes, qui trop souvent encore s’en remettent à leur médecin pour choisir leur contraceptif ; le second est destiné aux professionnels de santé, afin de les aider à aborder la question de la contraception, à prendre en compte les attentes et préférences des femmes avant de prescrire un moyen de contraception.Amélie PelletierSource : Communiqués de presse de la HAS, 25 septembre 2014.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Selon le nouveau rapport de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), l’état de santé des Français est globalement bon. Les Français vivent toujours plus longtemps même s’ils souffrent davantage de maladies chroniques, conséquence du vieillissement de la population.Par ailleurs, d’importantes disparités entre les âges, les régions et les catégories sociales perdurent.

Selon le rapport de la DREES, les Français sont en bonne santé, mais des disparités territoriales, sociales et de genre perdurent.

À travers plus de 200 indicateurs, la 6e édition du rapport sur “l’Etat de santé de la population en France“ conjugue approches par population, par déterminants et par pathologies. Ce rapport très complet met également en lumière les principaux problèmes de santé auxquels sont confrontées les politiques publiques, dont les inégalités sociales de santé.Les Français sont globalement en bonne santé Mortalité, espérance de vie à la naissance ou à 65 ans, mortalité cardiovasculaire… témoignent d’un état de santé des Français globalement bon et meilleur que ces voisins européens. Les Français vivent toujours plus longtemps, même s’ils souffrent davantage de pathologies chroniques et d’incapacités fonctionnelles, conséquences de ce vieillissement de la population.Mais au-delà de cette vision globale, le rapport insiste sur des disparités persistantes, entre les femmes et les hommes, entre les régions et entre les différentes catégories sociales.Hommes/femmes : l’espérance de vie se rapprocheSi les hommes déclarent davantage que les femmes être en bonne santé. “La santé perçue des hommes reste constamment meilleure que celle des femmes pour toutes les tranches d’âge en dessous de 75 ans et devient proche ensuite“ rappelle le rapport. Mais paradoxalement, ce sont bien eux qui présentent une espérance de vie moins importante, en particulier avant 65 ans. L’espérance de vie à 65 ans est toujours parmi les plus élevées en Europe, tant pour les femmes que pour les hommes.Mais avant cet âge, l’espérance de vie des hommes est moins favorable que celle des femmes et se situe dans la moyenne européenne. Un décalage qui s’explique un plus grand nombre de morts prématurées, des décès notamment attribuables aux abus d’alcool et de tabac, aux expositions professionnelles plus fortes et aux comportements nutritionnels plus défavorables…. “On relève ainsi 2,2 fois plus de décès prématurés chez les hommes que chez les femmes. Ce rapport grimpe à 3,1 pour les morts violentes (suicides, accidents) et à 3,3 pour les morts liées aux troubles mentaux et comportementaux“ précise la DREES.L’espérance de vie à la naissance demeure particulièrement élevée chez les femmes et supérieure à celle des hommes (85,4 ans en 2014, contre 79,2 ans pour les hommes). Cet écart s’est néanmoins réduit au cours des vingt dernières années, passant de 8,2 ans en 1994 à 6,2 ans en 2014.Populations défavorisées : de multiples facteurs d’inégalités de santé Selon le rapport, l’existence et l’importance des problèmes de santé sont étroitement liées à la position sociale et au niveau d’études. Ce sont les populations les plus défavorisées qui cumulent le plus souvent les expositions aux différents risques professionnels (travail pénible, de nuit, produits toxiques) ou autres (pollution, logements surpeuplés, etc.), et dont les comportements sont moins favorables à la santé (prévention, nutrition et activité physique notamment). Ces inégalités sociales de santé s’inscrivent avant même la naissance (on constate ainsi un taux de prématurés et de petits poids de naissance plus importants dans les foyers à faibles revenus) et se maintiennent à tous les âges de la vie.“On observe une diminution graduelle du risque tout au long de la hiérarchie sociale, sans aucun effet de seuil“ explique l’étude. L’écart d’espérance de vie à 35 ans entre cadres et ouvriers est ainsi de 6,3 ans pour les hommes et de 3 ans pour les femmes. Les Français aux faibles revenus et/ou peu diplômés cumulent “les expositions aux différents facteurs de risque pour la santé, que ce soit dans l’environnement professionnel ou dans l’environnement familial“. En outre, ces populations sont aussi davantage concernées par de mauvaises habitudes alimentaires, un manque d’activité physique… Par exemple, les enfants d’ouvriers, ceux scolarisés en zone d’éducation prioritaire ou en zone rurale présentent un état de santé buccodentaire plus mauvais ou sont plus souvent en surcharge pondérale que les autres enfants.A l’âge adulte, les inégalités persistent. Agriculteurs et artisans sont aussi concernés par un risque de surpoids le plus élevé (70% chez les hommes et 44% chez les femmes). Cadres et professions libérales se situent, elles, à l’opposé (51% chez les hommes et 27% chez les femmes). Les disparités sociales se traduisent également par une mortalité plus élevée. La différence d’espérance de vie à 35 ans entre cadres et ouvriers est de 6,3 ans pour les hommes et de 3,0 ans pour les femmes, un écart stable au cours des quarante dernières années. En outre, au sein d’une vie déjà plus courte, les ouvriers vivent un plus grand nombre d’années avec des incapacités.Disparités territoriales et sociales étroitement liées Des disparités territoriales expliquent l’état de santé des patients français. La mortalité infantile n’est par exemple pas la même en métropole et dans les départements d’Outre-mer, à la défaveur de ces derniers. Aussi, on ne vit pas aussi longtemps dans le nord que dans le sud. “En 2012, les espérances de vie à la naissance varient de près de 5 points pour les hommes et d’un peu plus de 3 points chez les femmes entre les régions Et la mortinalité périnatale et néonatale, la prématurité ainsi que la part des petits poids de naissance pris dans leur ensemble y sont constamment plus élevés“ révèle le rapport. Marisol Touraine réagit au rapport de la DREESA la lecture de ce rapport, Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, a déclaré que “le projet de loi de santé, bâti sur une réflexion collective de plus d’un an avec l’ensemble des acteurs du système de santé (dans le cadre de la stratégie nationale de santé), apporte des réponses structurantes et concrètes à ces trois enjeux majeurs (NDLR : allongement de la durée de vie, progression des maladies chroniques et persistances des inégalités de santé)“. Elle enjoint les professionnels de santé à s’engager pleinement dans cette réforme de notre système de santé “afin de le rendre plus juste et plus efficace, mais surtout mieux adapté aux problèmes de santé que les Français rencontrent aujourd’hui“. David BêmeSources : Communiqué du ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes – 12 février 2015L’état de santé de la population en France- Edition 2015 – Drees – 12 février 2015 (

rapport accessible en ligne)Click Here: Cheap France Rugby Jersey

MICHIGAN — While many Michiganders are dismayed at the approaching subzero temps, unplowed roads and devastating wind chills, one school district is having some fun with their snow day opportunity.

Swartz Creek Community Schools Superintendent Ben Mainka and Principal Jim Kitchen appeared in a video this week to announce a snow day in a unique way. The duo took on the classic “Hallelujah,” with some changes to the lyrics.

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Screenshot via Youtube.

Généralisation du tiers-payant, création d’un parcours éducatif en santé, instauration du médecin traitant pour les enfants, mise en place d’un numéro unique pour connaître les praticiens de garde… Telles sont quelques-unes des idées contenues dans le projet de loi santé dont Marisol Touraine a présenté les orientations le 19juin2014. Avec quels moyens ces mesures seront-elles mises en œuvre? La ministre de la Santé n’en a rien dit…

Marisol Touraine a présenté les principales mesures de la nouvelle loi de santé.

Refonder notre système de santé“, pas moins. C’est la lourde tâche à laquelle Marisol Touraine entend s’atteler afin de répondre aux défis du vieillissement et des maladies chroniques, enjeux majeurs des prochaines décennies auxquels ne saurait faire face un “système de santé arrivé au bout de sa logique“, selon les termes de Bernadette Devictor, présidente de la Conférence nationale de santé. Pour cette dernière, il y a une “véritable urgence à proposer une loi ambitieuse pour donner un nouveau souffle à notre système de santé“ et répondre ainsi aux acteurs qui “sont dans l’attente d’un signal politique fort“.
S’il prolonge la feuille de route présentée par la Marisol Touraine le 23 septembre 2013, ce projet de loi santé s’inspire également des 160 débats régionaux tenus entre novembre 2013 et février 2014, auxquels ont participé plus de 25 000 personnes, s’est félicitée Marie-Sophie Desaulle, présidente du Collège des directeurs généraux des Agences Nationales de Santé (ANS). Il s’articule autour de quatre grandes orientations :
– la prévention et l’éducation en santé ;
– le parcours de soins, afin d’assurer une prise en charge dans la proximité et la continuité ;
– l’innovation, pour maintenir à son plus haut niveau la qualité des soins ;
– et enfin les droits des patients, avec une association plus forte de ces derniers à l’élaboration de la politique de santé.La prévention, enfin une priorité de santé publique ?“Apporter aux Français les moyens de se prémunir et de se protéger“ contre la maladie. Pour cela, Marisol Touraine propose de mettre la prévention au cœur de la politique de santé. Si cette proposition est validée, il sera désormais de la responsabilité de l’État de prévenir la maladie. Comment ? Pas par des mesures de fiscalité, a assuré la ministre pour qui prévention ne rime pas nécessairement avec punition, réglementation ou taxe. Non, Marisol Touraine veut agir tôt en sensibilisant les enfants aux enjeux de santé et suggère pour cela d’instaurer un parcours éducatif en santé. “Il s’agit que les enjeux de santé imprègnent le contenu de tous les enseignements“, a-t-elle précisé, pour assurer de l’importance qu’elle accorde à cette idée.La ministre de la Santé envisage également d’élargir aux enfants de moins de 16 ans le recours au médecin traitant (généraliste ou pédiatre). Une proposition qui, sans surprise, recueille l’aval des médecins généralistes, mais à laquelle les pédiatres français s’opposent farouchement. “Les parents doivent garder le libre choix de consulter un pédiatre ou un médecin généraliste, en fonction des besoins de leur enfant et des disponibilités des professionnels de santé“, estiment-ils dans un communiqué de presse, appelant les Français à les soutenir sur le site

Jaimemonpediatre.com ou les réseaux sociaux (

Facebook et

Twitter) qu’ils ont dédiés à cette cause.Sans plus de précisions, Marisol Touraine a également fait part de son souhait de protéger les jeunes contre les addictions, que ce soit le tabac (la ministre devrait annoncer son programme national de réduction du tabagisme “prochainement“, a-t-elle indiqué) ou “les séances d’alcoolisation excessive“. Difficile de ne pas adhérer à cette idée… Mais quant aux mesures et aux moyens qui seront mis en œuvre, nous n’en saurons pas plus.La ministre a par ailleurs indiqué qu’elle souhaitait généraliser la pratique des Tests Rapides d’Orientation Diagnostiques (TROD) pour faciliter l’accès au dépistage du VIH des personnes les plus exposées et définir le cadre de l’expérimentation des salles de shoot.Si elles sont des priorités de santé, ces questions doivent faire l’objet d’une politique coordonnée entre les différents ministères, a plaidé la ministre, qui a annoncé la création d’un comité interministériel pour la santé “aujourd’hui même“. Et pour mesurer l’efficacité des mesures qui seront prises, “les résultats devront se voir, s’identifier rapidement“, a-t-elle souligné. Des études d’impact sur la santé des décisions politiques sont d’ailleurs appelées de leurs vœux par les acteurs de terrain, a fait savoir Marie-Sophie Desaulle. À cet effet, Marisol Touraine souhaite “doter la France d’un Institut pour la prévention, la veille et l’intervention en santé publique“.Simplifier le système de santéLa ministre de la Santé veut par ailleurs simplifier un “système de santé devenu trop complexe, opaque“ où le risque d’une médecine à deux vitesses est “bien réel“, par “la mise en place d’un service territorial de santé au public pour améliorer la prise en charge des patients“. Organiser le parcours de soins du malade afin qu’il sache à qui s’adresser, telle sera sa mission. Cela passe notamment par le renforcement des liens entre médecins de ville et médecins hospitaliers avec la remise à chaque patient sortant de l’hôpital d’une lettre de liaison, qui “pourra être dématérialisée“, et d’un “programme personnalisé de soins“ pour guider les patients chroniques. Les professionnels de santé bénéficieront pour cela de l’appui des agences régionales de santé, avec lesquelles ils concevront des “plateformes territoriales d’appui“ censées faciliter la prise en charge de leurs patients les plus complexes. Cette implication sera reconnue par une évolution de leurs modes de rémunération, qui font actuellement l’objet d’une négociation entre leurs représentants et l’assurance maladie. S’ils ne parviennent pas à un accord avant fin juillet, Marisol Touraine procédera à un règlement arbitral, a-t-elle prévenu.Pour les soins urgents, chaque département disposera d’un numéro d’appel unique à trois chiffres informant sur les médecins de ville de garde la nuit et le week-end. Et pour pallier le manque d’information qui constitue un obstacle à l’accès aux soins, un portail web d’information en santé, sur le modèle du site

medicaments.gouv.fr sera mis en place.Généraliser le tiers-payant à tousMesure phare qui a fait couler beaucoup d’encre avant même son annonce officielle, la généralisation du tiers-payant à tous. Autrement dit, les patients n’auront plus à avancer les frais lorsqu’ils se rendront chez leur médecin. Si beaucoup de médecins spécialistes libéraux  pratiquent déjà le tiers-payant, les généralistes se montrent assez réticents, reconnait MG France, arguant des difficultés techniques et du manque de coordination entre régimes obligatoires et complémentaires. Cette mesure interviendrait dès 2015 pour les bénéficiaires de l’aide à la complémentaire santé, puis d’ici 2017 pour tous les assurés. Répondant aux critiques formulées par certains, Marisol Touraine a insisté sur les avantages de ce système, qui “apportera au médecin une garantie de paiement sans délai et sera simple à utiliser“. “Le tiers-payant est une avancée pour les patients qui ne change en rien la conception de l’exercice des professionnels de santé. La liberté de choix du médecin traitant, du mode d’exercice médical reste inchangée ; il ne s’agit pas d’une invention étatiste issue de pays ex-soviétiques“. S’il est favorable à cette mesure, MG France conditionne son succès à sa facilité de mise en œuvre pour le médecin, sa simplicité (une facture, un paiement) et à la garantie du paiement (sans vérification préalable des droits), indique-t-il dans un communiqué.Le dossier médical partagé… le retour !Marisol Touraine a par ailleurs annoncé le retour du DMP… sigle qui signifiera désormais Dossier Médical Partagé. La maîtrise d’œuvre en sera confiée à l’Assurance maladie, alors que l’Asip Santé qui à la gérait jusqu’alors.La ministre a également évoqué la possibilité d’actions de groupe (“class action“) pour protéger les citoyens face à “la puissance de certains industriels“.Elle veut également “prolonger le mouvement d’ouverture des données de santé“, l’“Open data“, tout en garantissant le respect de la vie privée.À l’hôpital, les conditions de l’exercice libéral et de l’intérim médical seront clarifiées, a annoncé Marisol Touraine, ajoutant que les rémunérations seront plafonnées. Les groupements hospitaliers de territoire seront désormais obligatoires pour mutualiser certaines activités, tels que les achats.Enfin, parce que “la santé n’est pas seulement un coût, mais un atout formidable pour l’avenir de notre pays“, grâce notamment aux progrès scientifiques et technologiques, Marisol Touraine veut faire le pari de l’innovation et donner à la France les moyens d’être compétitive sur la scène internationale. Avec Arnaud Montebourg, ministre de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique, et Geneviève Fioraso, secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, elle vient de simplifier considérablement les démarches nécessaires aux industries souhaitant lancer des essais cliniques en France4, de façon à accélérer la recherche clinique, permettre à davantage de patients d’accéder aux dernières innovations thérapeutiques et de renforcer l’attractivité des hôpitaux français.Quant aux droits des usagers, Marisol Touraine a annoncé la création d’une commission et l’extension de l’obligation de représentation des usagers dans toutes les agences nationales de santé. Elle a également réaffirmé son soutien à la création d’un Institut du patient, confié à l’École des Hautes Études en Sante Publique. Enfin, les concubins ou partenaires de PACS pourront bénéficier des mêmes droits que les personnes mariées en termes d’accès au dossier médical d’une personne décédée.Le projet de loi sera présenté en septembre en Conseil des ministres, avant d’être transmis à l’Assemblée nationale et examiné début 2015 au Parlement.
Amélie Pelletier,
Créé le 19 juin 2014.Crédit photo : Lcham/SIPA
Sources
1. Présentation des orientations du projet de loi santé par Marisol Touraine, en présence de Bernadette Devictor, présidente de la Conférence nationale de santé, Geneviève Fioraso, secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, et de Marie-Sophie Desaulle, présidente du Collège des directeurs généraux des Agences Nationales de Santé (ANS), le 19 juin 2014.2. “Tiers-payant : MG France rappelle l’inquiétude légitime des médecins généralistes“. Communiqué de presse MG France3. “

Gracias a Marisol ?“. Communiqué de presse du CISS4. “Essais cliniques industriels : Le gouvernement simplifie et raccourcit la procédure“. Communiqué de presse, 18 juin 2014.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

L’éradication de l’amiante est loin d’être réalisée en France, car tous les bâtiments publics et privés construits avant 1997(date de son interdiction en France) en contiennent potentiellement. Rendu public en juillet 2014, un rapport sénatorial pointe les faiblesses de la lutte contre ce fléau et veut faire de la prévention des risques liés à l’amiante une grande cause nationale.

Compte tenu du délai entre l’exposition et la survenue de la maladie, 60 000 à 100 000 décès liés à l'amiante sont attendus dans les 20 à 25 ans à venir.

Amiante : l’indemnisation des victimes pose toujours problèmeLe 28 février 2013, la commission des affaires sociales a créé un comité de suivi

amiante afin de dresser un bilan de la mise en œuvre des propositions formulées en 2005. Regroupant des sénateurs issus de tous les groupes politiques, le comité a souhaité approfondir la réflexion sur l’indemnisation des victimes et les enjeux du désamiantage.

Selon le

rapport rendu public en juillet 2014 et après 42 auditions d’associations, professionnels du désamiantage, médecins, syndicats, experts, fonds d’indemnisation et branches professionnels du bâtiment, le comité de suivi constate que les propositions formulées en 2005 ont été majoritairement suivies (17 des 28 mesures préconisées en 2005). Celles-ci concernaient principalement les mesures à prendre pour la protection des travailleurs. Mais 7 propositions concernant l’indemnisation des victimes et son financement sont restées lettre morte, faute de moyens mais également de consensus sur l’idée de faire payer les entreprises ayant produit des matériaux amiantés. Relever le défi du désamiantageSelon le comité, la réglementation actuelle est globalement satisfaisante, mais quatre faiblesses ont été identifiées et les membres du comité mis en place en février 2013 avance autant de séries de propositions pour y pallier :1. Faire de la prévention des risques liés à l’amiante une grande cause nationale en mettant en place un pilotage national interministériel afin d’élaborer une stratégie nationale avec un calendrier et des priorités (sans doute sur plusieurs décennies) et la création d’une structure de coordination interministérielle rattachée au Premier ministre. Il faut également instituer une mission d’appui pour les maîtres d’ouvrage publics, flécher des crédits vers la recherche et le développement et créer une plateforme internet unique sur le risque amiante à destination à la fois du grand public et des professionnels ;2. Améliorer le repérage de l’amiante en formant de façon rigoureuse les personnes chargées d’établir les diagnostics, pour informer l’ensemble des professions du bâtiment des risques ; créer une base de données Internet avec tous les DTA (diagnostics techniques amiante) et renforcer la coordination et la cartographie ;3. Renforcer la sécurité des travailleurs exposés à l’amiante, en demandant notamment aux organisations professionnelles de sensibiliser leurs adhérents à ce risque, de renforcer le rôle des CHSCT et de l’inspection du travail et d’élargir la possibilité de “l’arrêt de chantier amiante“ ;4. Mieux protéger la population en général en abaissant le seuil d’amiante dans l’air déclenchant les travaux de désamiantage, mieux informer les particuliers sur la gestion des déchets, aider les employeurs publics à contacter les agents susceptibles d’avoir été exposés à l’amiante et renforcer les effectifs de l’InvS (Institut national de veille sanitaire).Pour Aline Archimbaud, présidente du comité de suivi sur l’amiante : “Il serait irresponsable de croire que l’amiante est un problème du passé. Près de vingt ans après son interdiction, le drame sanitaire est bien devant nous ; on comptera 100 000 victimes en 2050. Si des mesures rapides ne sont pas prises par les pouvoirs publics, le désamiantage sera fait dans des conditions catastrophiques et c’est une seconde épidémie qui pourrait se développer, concernant notamment un million de salariés du bâtiment, dont les petits artisans, les salariés des entreprises de désamiantage, mais aussi les riverains“. Tous les bâtiments publics et privés construits avant 1997 (date de l’interdiction en France de l’amiante) contiennent potentiellement de l’amiante (l’ANDEVA estime à 20 millions de tonnes les matériaux contenant de l’amiante encore en place). Aline Archimbaud a adressé ce jour le rapport au Premier Ministre et a sollicité une rencontre afin de lui présenter les propositions du Sénat à mettre en oeuvre sans délai. On estime qu’en France, plus de 35 000 décès ont été constatés en France du fait de l’amiante entre les années 1960 et son interdiction. Compte tenu du délai entre l’exposition et la survenue de la maladie, 60 000 à 100 000 décès sont attendus dans les 20 à 25 ans à venir. “Certes, la France n’est pas le seul pays touché par cette catastrophe sanitaire, mais les carences de notre système de santé au travail et de prévention des risques professionnels, l’absence à l’époque de tout système de veille et d’alerte, l’existence d’un lobby industriel de l’amiante ont contribué à une prise de conscience tardive de ce drame“ jugeait le rapport sénatorial “

Le drame de l’amiante en France : comprendre, mieux réparer, en tirer des leçons pour l’avenir“ datant de 2005. David Bême Sources :Rapport d’information du comité de suivi sur l’amiante présidée par Mme Aline Archimbaud – juillet 2014 – (

consulter le rapport en ligne)Communiqué du Groupe écologiste du Sénat – juillet 2014Photo : SIMON ISABELLE/SIPAClick Here: All Blacks Rugby Jersey

Un médicament expérimental du laboratoire Novartis s’est montré très efficace lors d’une vaste étude clinique pour prolonger la vie de malades souffrant d’insuffisance cardiaque, réduisant la mortalité d’au moins 15%. Les résultats ont été présentés à Barcelone, lors du congrès de la Société européenne de cardiologie.Ce traitement pourrait ainsi remplacer les thérapies actuelles contre cette pathologie qui affecte au moins 26 millions de personnes dans le monde.

Le LCZ696 réduit significativement la mortalité et le nombre d'hospitalisations.

Le laboratoire a présenté samedi 30 août les résultats très attendus de cet essai clinique appelé LCZ696 lors du congrès de la Société européenne de cardiologie (ESC) réunie ce week-end à Barcelone en Espagne. Ces données ont été publiées simultanément dans la revue médicale américaine New England Journal of Medicine.Réduction de la mortalité et des hospitalisationsMenée auprès de 8.442 patients dans 47 pays suivis durant 27 mois, cette étude, la plus vaste jamais réalisée, visait à évaluer l’innocuité et l’efficacité de ce traitement chez des sujets souffrant d’insuffisance cardiaque en comparant avec ceux soignés avec l’enalapril, le traitement de choix actuel.A la fin de cette période d’observation, 21,8% des participants traités avec le LCZ696 sont morts d’insuffisance cardiaque et 26,5% chez ceux traités avec l’

enalapril, ce qui représente 20% de moins. Le laboratoire a souligné dans un communiqué que l’ampleur des bienfaits de ce traitement était “statistiquement et cliniquement très importante“.Outre la réduction de la mortalité cardiovasculaire, cette étude a également démontré que ce médicament réduisait de 21% le nombre d’hospitalisations pour insuffisance cardiaque.“Je pense que quand les médecins vont voir ces résultats, ils vont les trouver convaincants et nous allons assister à un changement complet dans le traitement de l’insuffisance cardiaque“, a estimé le Dr Milton Packer, un professeur de sciences cliniques à l’Université du sud du Texas à Dallas, l’un des principaux auteurs de l’étude.Malgré les traitements existants, le taux de mortalité de l’

insuffisance cardiaque demeure élevé, avec jusqu’à 50% des patients décédant dans les cinq ans après le diagnostic, a pointé le laboratoire.L’insuffisance cardiaque, qui empêche le coeur de pomper suffisamment de sang dans les organes, entraîne un manque de souffle, de la

fatigue et une rétention de liquide dans les membres inférieurs.Demande d’autorisation prévue fin 2014Selon plusieurs analystes, ce nouveau traitement pourrait devenir un “blockbuster“, un médicament dont les ventes dépassent le milliard de dollars par an. Novartis prévoit de déposer des demandes d’autorisation de mise sur le marché auprès de l’agence américaine des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA), d’ici fin 2014 et auprès de son équivalent de l’Union Européenne début 2015.
Novartis avait annoncé en mars dernier qu’il mettait fin à cet essai clinique plus tôt que prévu car le traitement était nettement supérieur à l’enalapril, le médicament le plus utilisé actuellement contre l’insuffisance cardiaque, l’

hypertension artérielle et des dysfonctionnements du ventricule gauche du coeur.
Click Here: cd universidad catolicaMais ce nouveau traitement (LCZ696) va probablement être cher, selon l’analyste Tim Anderson, de la firme Sanford C. Bernstein, cité dans le New York Times.Selon lui, ce traitement pourrait coûter sept dollars par jour aux Etats-Unis ou 2.500 dollars par an alors que les versions génériques des autres traitements contre l’insuffisance cardiaque peuvent revenir à 4 dollars par jour.Parmi les effets secondaires les plus fréquents du LCZ696, ces chercheurs ont relevé davantage d’hypotension mais moins de problèmes rénaux.Avec AFP/Relaxnews.Source : Communiqué de presse de Novartis du 28 août 2014.