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On est vieux à 70 ans pour les Français

April 23, 2020 | News | No Comments

79% des Français considèrent que l’âge de la vieillesse est atteint à partir de 60 ans et 14% entre 40 et 59 ans, révèle une étude OpinionWay pour Damart. En croisant toutes les réponses de ce sondage, l’âge de la vieillesse est estimée en moyenne à 70 ans.

Ainsi, 80% des Français pensent qu'on est vieux quand on a des rides ou des cheveux blancs.

Le tabou de la vieillesse. Les Français en ont conscience, même si 55% d’entre eux se sentent en accord avec leur âge. Toutefois, 37% se trouvent plus jeune et 8% plus vieux. En confondant toutes ces réponses, il s’avère que les Français ont l’impression d’avoir trois ans de moins que leur âge réel.À noter que les hommes ont davantage de facilité avec leur âge, puisqu’ils sont plus nombreux que leurs homologues féminins à être en accord avec leur âge (59% contre 50%). Sans doute plus craintives du temps qui passe, sous peut-être l’effet des stéréotypes générés par les magazines féminins, ces dames veulent repousser l’âge de la vieillesse au maximum, soit en moyenne à 71 ans (contre 68 ans pour les hommes).Car la vieillesse est avant tout une apparence. Ainsi, 80% des Français pensent qu’on est vieux quand on a des rides ou des cheveux blancs.AFP/RelaxnewsSource : Cette étude Opinion Way pour Damart a été réalisée auprès d’un échantillon de 1.005 personnes âgées de 18 ans et plus, interrogées du 18 au 25 septembre.Photo : ©Monkey Business Images/shutterstock.comClick Here: cheap INTERNATIONAL jersey

La réalité augmentée, l'avenir du fitness ?

April 23, 2020 | News | No Comments

Runtastic, éditeur d’applications mobiles et montres connectées pour les sportifs, a annoncé le développement d’un programme de fitness pour casque à réalité augmentée

Runtastic développe une application de fitness pour les casques à réalité augmentée Oculus Rift.

S’immerger à 360 degrés dans un monde virtuel et personnalisable pour réaliser ses exercices physiques chez soi, c’est ce que proposera ce module adapté aux casques Oculus Rift.Cette application dispensera des exercices de musculation, cuisses-abdo-fessiers ou encore yoga. Munis du casque sur les yeux, les utilisateurs pourront se retrouver dans un décor de bord de mer ou dans une ambiance futuriste pour suivre les mouvements d’un avatar présent à l’écran, qui leur prodiguera des conseils de coach. Comme pour tous les produits Runtastic, cette application connectée au smartphone enregistrera les performances et évolutions du sportif.“L’expérience est ressentie comme totalement réelle et changera certainement la façon dont les gens s’entraînent au quotidien“, explique Florian Gschwandtner, directeur général et cofondateur de Runtastic.L’application pourra être testée au CES 2015, salon international consacré aux nouvelles technologies, qui se tiendra à Las Vegas du 6 au 9 janvier prochain. Néanmoins, aucune date de commercialisation n’est pour l’instant annoncée, et pour cause, le casque Oculus Rift, développé par une filiale de Facebook, ne devrait être distribué que courant 2015.Dans le domaine du sport individuel, l’immersion dans un univers virtuel inspire les concepteurs de programmes d’entraînement. L’Immersive Fitness, développé par Les Mills et Reebok, vient d’être lancé aux États-Unis et devrait arriver en France début 2015. Dans un studio spécialement conçu, les pratiquants sont plongés dans le noir et suivent les mouvements devant les images en HD diffusées sur un écran géant.

Source : RelaxnewsClick Here: cheap nrl jerseys

Un dépistage du sida ou de la syphilis en 15 minutes, sans passer par la case “prise de sang et laboratoire d’analyses“, c’est désormais possible. Des ingénieurs américains ont mis au point un accessoire de smartphone bon marché, capable de dépister rapidement ces maladies avec une seule goutte de sang.

L'appareil, qui se branche sur un smartphone, reproduit toutes les fonctions mécaniques, optiques et électroniques d'un système d'analyse de laboratoire. (Capture d'écran)

Un accessoire aussi fort qu’un système d’analyse de laboratoireL’appareil se branche sur un smartphone ou sur un ordinateur. L’utilisateur doit d’abord recueillir une goutte de

sang et la déposer dans un petit récipient en plastique qui sera inséré dans une puce intégrée dans l’appareil. Après une analyse de 15 minutes, l’application du smartphone relié à l’appareil vous annonce les résultats.Démonstration d’un test sanguin réalisé avec l’appareil

Cet appareil reproduit pour la première fois toutes les fonctions mécaniques, optiques et électroniques d’un système d’analyse de laboratoire, précisent ses concepteurs dans la revue médicale américaine Science Translational Medicine. Toute l’énergie électrique est fournie par le smartphone.Ce petit accessoire, qui peut aussi être branché sur un ordinateur, a récemment été testé par des personnels de santé au Rwanda. Ils ont analysé une goutte de sang prélevée sur le doigt de 96 femmes recrutées dans le cadre d’un programme de prévention de la

transmission du sida de la mère à l’enfant.Un appareil qui pourrait révolutionner les dépistages dans le monde entier“Nos travaux montrent qu’une analyse complète de laboratoire peut être effectuée par un accessoire de smartphone“, se félicite Samuel Sia, professeur d’ingénierie biomédicale à l’Université Columbia à New York, principal auteur de cette invention.“Combiner la technique des microfluides avec les récentes avancées dans l’électronique grand public peut rendre certains diagnostics de laboratoire accessibles à presque toutes les populations ayant accès aux smartphones“, explique-t-il, ajoutant que “cela peut transformer la manière dont les services de santé sont prodigués partout dans le monde“.Cet accessoire, suffisamment petit et léger pour tenir dans une seule main, peut être fabriqué à un coût usine de 34 dollars, soit nettement moins que les 18 450 $ de l’équipement équivalent de laboratoire, selon les chercheurs.Ces derniers ont trouvé un moyen pour que l’appareil consomme peu d’électricité, ce qui est essentiel dans certains pays où la distribution électrique est aléatoire. Il est aussi très solide, requiert peu de formation pour l’utiliser et ne nécessite aucun entretien, ont fait valoir ces ingénieurs.AFP/RelaxnewsSource : A smartphone dongle for diagnosis of infectious diseases at the point of care, Samuel Sia and al, 4 février 2015, Science Transnational Medecine (

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Dans un avis rendu publique fin juillet, le Haut conseil de la santé publique estime que le risque de propagation du virus Zika, transmis par le moustique tigre, est élevé dans les départements français d’Amérique et réel en métropole.

Le virus Zika est transmis par les moustiques du genre Aedes. 

Tout comme le virus de la

dengue et le

virus chikungunya , le virus Zika est transmis par les moustiques du genre Aedes. Depuis 2007, cet arbovirus, proche du virus de la dengue et de la fièvre jaune, a provoqué plusieurs épidémies dans le monde et actuellement, une épidémie importante sévit au Brésil.Une surveillance épidémiologique recommandéeLe Haut conseil de la santé publique (HCSP) préconise d’instaurer une surveillance épidémiologique car le risque de transmission du virus Zika est élevé dans les départements français d’Amérique, réel à la Réunion et à Mayotte mais aussi “dans les départements métropolitains ou Aedes albopictus (le moustique vecteur) est implanté pendant sa période d’activité de mai à novembre“.Le HCSP préconise également la surveillance des cas d’importation en métropole et des cas groupés, ainsi que des mesures de protection  comme l’isolement ou la protection par une moustiquaire des malades pendant la période symptomatique pour éviter la dissémination des virus à d’autres moustiques qui viendraient piquer le patient.Une maladie difficile à diagnostiquerLa maladie Zika est difficile à diagnostiquer cliniquement car les symptômes sont très proches des autres maladies provoquées par d’autres arbovirus, comme le virus de la dengue ou du chikungunya, à savoir, éruption cutanée, fièvre, conjonctivite, douleurs articulaires et musculaires.       Le diagnostic biologique est également difficile car le virus demeure peu de temps dans le sang et de ce fait son diagnostic direct est aléatoire alors que pour le diagnostic indirect, les tests présentent des réactions croisées avec le virus de la dengue.Souvent sans symptômes mais des complications possiblesL’avis du HCSP précise que dans une proportion importante des cas (74 à 81 %), la maladie de Zika donne peu ou pas de symptômes. Cependant, des formes graves et des complications ont été identifiées, notamment des complications neurologiques comme le

syndrome de Guillain-Barré . Ce syndrome a été observé notamment au cours de l’épidémie en Polynésie Française, raison pour laquelle le HCSP recommande de rechercher la maladie de Zika chez les patients présentant un Guillain-Barré.Outre la surveillance des patients, le traitement de la maladie de Zika est symptomatique, comme pour les autres maladies provoquées par des arbovirus.Enfin, le HCSP préconise un signalement des cas suspects d’infection par le virus Zika à la plateforme régionale de veille et d’urgences sanitaires de l’ARS (Agence régionale de santé).Dr Jesus CardenasSource : Avis du Haut conseil de la santé publique du 28 juillet 2015 relatif à la prise en charge médicale des personnes atteintes par le virus Zika (

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PHOENIX, AZ — The Phoenix facility where an incapacitated woman became pregnant and gave birth after being sexually assaulted will not be closing after all, Hacienda Healthcare, the company that operates the facility, said in a statement.

Hacienda HealthCare’s board of directors voted to accept voluntary regulation by the Arizona Department of Health Services, subject to a final agreement.

“In light of the recent events, we have complied with directives from multiple state agencies and done everything in our power to ensure the safety and welfare of our patients,” the company said in a statement Friday. “Among the changes now in place as a result of the incident, we have installed dozens of cameras and monitors; enhanced security; hired off-duty police officers to provide facility security; and retrained every Hacienda staff member on Abuse and Neglect protocols using an AHCCCS-approved training module.”

In a statement on Saturday, Hacienda had said “it is simply not sustainable to continue to operate our Intermediate Care Facility for the Intellectually Disabled.”

The incapacitated woman gave birth on Dec. 29 and police started their investigation into the sexual assault on the same day when they responded to the facility to a call of a baby in distress.

In January, police announced the arrest of a male nurse who worked at the facility and who police said was responsible for providing care to the victim at the time of the sexual assault.

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Nathan Sutherland, 36, a licensed practical nurse, pleaded not guilty earlier this week to sexual assault and vulnerable adult abuse.

Photo by Matt York/Associated Press

LAKELAND, FL — An 11-year-old Florida boy who declined to stand for the “Pledge of Allegiance” and who was later arrested after being told more than 20 times to leave his sixth-grade classroom, will most likely not face prosecution, according to the state attorney’s office responsible for Polk County.

Some national media outlets and social media posts portrayed the student as being charged for his political stance, a portrait that wasn’t accurate, local officials insisted.

“This case has never been referred to us for prosecution. We are not prosecuting it. But it’s not that we chose not to — or that we chose to,” Assistant State Attorney Jake Orr told Patch Wednesday. “We just simply have never been referred this case for criminal prosecution.”

The child, who is black, made his political stand — not to stand for the “Pledge of Allegiance” — at the Lawton Chiles Middle Academy on Feb. 4, something that he had reportedly done all year as he insisted that the American flag was racist and that the National Anthem stood for discriminatory treatment of blacks, according to published reports. But on that particular day, the sixth-grader ran up against a substitute teacher who didn’t know that Polk County Schools allow students to choose not to participate in the pledge.

As a result, the substitute teacher will be barred from all future county substitute teaching assignments based on the handling of the incident, according to Kyle Kennedy of Polk County Public Schools.

The case has generated headlines around the country, including: “Florida student arrested for disturbance after he refused to participate in the Pledge of Allegiance” from CNN, “Arrest of Lakeland 6th grader after argument over Pledge of Allegiance sparks outrage” said an NBC affiliate “Florida student faces misdemeanor charges after refusing to stand for Pledge of Allegiance” wrote USA Today and “Florida Student, 11, Arrested After Dispute Over His Refusal to Say Pledge of Allegiance” via The New York Times.

The ACLU of Florida called the child’s arrest “outrageous” in a social media post. “Students do not lose their First Amendment rights when they enter the schoolhouse gates,” ACLU officials said. “This is a prime example of the over-policing of black students in school.”

But Lakeland police and Polk County school officials were emphatic that the boy was not arrested for his refusal to stand for the “Pledge of Allegiance.” “This arrest was based on the student’s choice to disrupt the classroom, make threats and resisting the officer’s efforts to leave the classroom,” police argued.

“The school resource officer and dean of students responded to the classroom and attempted to calm the student down,” according to an account by the Lakeland Police Department. “The student was asked over 20 times to leave the classroom by the dean of students.”

The account said that the student also refused to leave the classroom when he was asked to do so by the school resource officer.

“The student left the classroom and created another disturbance and made threats while he was escorted to the office,” Lakeland police said.

Gary Gross of the Lakeland Police Department told Patch Wednesday he was not aware of any discussions to drop the charges against the boy.

“We would hope that the child would have an opportunity to participate in the Juvenile Diversion program which would redirect him away from formal processing in the juvenile justice system,” Gross told Patch.

Florida’s Tenth Judicial Circuit, where the charges were brought, offers a juvenile diversion program for certain non-violent misdemeanors. Such cases never rise to the level of prosecution by the State Attorney’s Office. But it wasn’t immediately clear if the child’s family would agree to the program.

Roderick Ford, an attorney retained by the boy’s mother, Dhakira Talbot, told Patch that he met with the child and his mother late Wednesday afternoon to discuss the case. He referred questions to a spokesperson for his law firm, who did not immediately provide a response.

Talbot, told Spectrum Bay News 9 that she believes the charges should be dropped against her son.

“I am upset. I’m angry. I’m hurt, more so for my son,” Talbot said in an earlier interview with the TV station. “My son has never been through anything like this and I feel like they should have handled it different.”

The substitute teacher was hired through temporary staffing firm Kelly Services.

“We are looking into this matter, but this individual will no longer be allowed to substitute at any of our schools,” the school district’s Kennedy told Patch last week. “Our HR department will contact Kelly Services, which provides our substitutes, to further refine how our substitutes are trained.”

Le cerveau ne s’use que si l’on ne s’en sert pas… Cet adage semble se confirmer avec une nouvelle étude menée à l’université de Pennsylvanie selon laquellel’apprentissage d’une nouvelle langue permet de le renforcer.

Le Dr. Li précise que ces changements anatomiques dus à l'apprentissage d'une langue peuvent se produire dans le cerveau à n'importe quel âge.

Apprendre et pratiquer quelque chose, par exemple une deuxième langue, renforce le cerveau, commente Ping Li, professeur de psychologie et de linguistique. Comme l’exercice physique, plus on utilise une zone spécifique de son cerveau, plus elle se développe et se renforce“.Entraîner le cerveau comme un muscle…Le Dr. Li et ses collègues ont travaillé avec un groupe de 39 anglophones de naissance pendant six semaines, au cours desquelles les participants ont appris des mots de vocabulaire chinois. Afin de suivre les évolutions neuronales, l’équipe a fait passer des

IRM à chaque participant, avant et après chaque cours de chinois.Avant le début de la leçon, les étudiants les plus performants du groupe affichaient des réseaux cérébraux plus connectés que les personnes en difficulté d’apprentissage. Les chercheurs expliquent que les réseaux intégrés préparent mieux le cerveau à l’apprentissage d’une langue. Une fois les cours terminés, les meilleurs élèves enregistraient des changements fonctionnels rendant leurs réseaux cérébraux encore mieux intégrés.Un bénéfice quel que soit l’âgeLe Dr. Li précise que ces changements anatomiques dus à l’apprentissage d’une langue peuvent se produire dans le cerveau à n’importe quel âge. “Contrairement à ce que montraient des études précédentes, le cerveau serait beaucoup plus malléable que ce que nous pensions, commente Ping Li. Nous enregistrons même des changements anatomiques du cerveau [des personnes âgées], ce qui est très encourageant. L’apprentissage d’une nouvelle langue peut aussi aider à mieux vieillir“.Cette étude a été relayée par le Journal of Neurolinguistics.AFP/RelaxnewsSource : 

Neural changes underlying successful second language word learning: An fMRI study – Jing Yang, Kathleen Marie Gates, Peter Molenaar, Ping Li – Journal of Neurolinguistics – 11 octobre 2014 (

étude accessible en ligne)Photo : ©Sebastian Kaulitzki/shutterstock.comClick Here: All Blacks Rugby Jersey

Commercialisé depuis 2010, le test Elecsys de Roche permet d’exclure ou de prédire de manière fiable le développement de pré-éclampsie chez la femme enceinte. Les résultats d’une étude récente ont démontré l’efficacité du test pour prédire l’absence de pré-éclampsie pendant la semaine suivant le test sanguin et son développement au cours des quatre semaines suivantes.

Le test sanguin Elecsys de Roche peut prédire l’absence de pré-éclampsie pendant la semaine suivant le test et son développement au cours des quatre semaines suivantes.

Eviter des hospitalisationsLa

pré-éclampsie survient au cours d’une grossesse sur 20 environ et représente la deuxième cause de décès maternel. Elle se traduit par une hypertension et la présence de protéines dans les urines. La pré-éclampsie, si elle est grave, peut impliquer un accouchement immédiat avant terme et une éventuelle hospitalisation pour la femme enceinte. Des situations qu’il est désormais possible d’éviter grâce au test sanguin Elecsys de Roche.Les résultats de l’étude Prognosis1 présentés lors du 20e World Congress on Controversies in Obstetrics, Gynecology and Infertility ont démontré l’efficacité du test pour prédire l’absence de pré-éclampsie pendant la semaine suivant le test et son développement au cours des quatre semaines suivantes.Mesurer la quantité de deux protéinesLe test de pré-éclampsie Elecsys mesure la quantité de deux protéines, sFlt-1 (soluble fms-like tyrosine kinase-1, tyrosine kinase 1 soluble analogue au fms) et PlGF (facteur de croissance placentaire) dans le sang maternel. En fonction du résultat du test, présenté sous forme de quotient de ces deux protéines, les médecins peuvent exclure ou prédire de manière fiable à court terme le développement de cette maladie, et cibler en toute confiance les femmes présentant un risque élevé de pré-éclampsie. Un quotient faible est prédictif d’une absence de pré-éclampsie, d’éclampsie et de

syndrome HELLP pour la semaine suivant le test alors qu’un quotient élevé est prédictif de l’apparition d’une pré-éclampsie, d’éclampsie ou d’un syndrome HELLP dans un délai de quatre semaines.“Le test de pré-éclampsie Elecsys permet aux médecins de prédire à court terme l’absence et l’apparition de cette maladie. Son utilisation en pratique clinique pourrait réduire la morbidité et la mortalité fœtale et maternelle, et éviter des hospitalisations inutiles“, précise le Professeur Harald Zeisler, du département d’obstétrique et de gynécologie de l’Université médicale de Vienne (Autriche).Le test est actuellement disponible dans tous les pays d’Europe, d’Amérique Latine, du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Asie. Il n’est pas disponible aux Etats-Unis et au Japon.Annabelle Iglesias
Sources :
Etude PROGNOSIS : étude multicentrique, prospective et non interventionnelle menée en double insu, évaluant la prédiction à court terme de la pré-éclampsie, de l’éclampsie et du syndrome HELLP (hémolyse, enzymes hépatiques élevées, numération plaquettaire basse) chez des femmes enceintes chez lesquelles on suspectait une pré-éclampsie. Entre décembre 2010 et janvier 2014, plus de 1270 femmes enceintes ont été recrutées dans 30 centres répartis dans 14 pays. 1 Prediction of short-term outcome in pregnant women with suspected preeclampsia study,  Hund, M., et al. (2014). BMC Pregnancy and Childbirth 14, 324.Click Here: cd universidad catolica

Une nouvelle étude danoise révèle qu’il n’y a pas d’augmentation de survenue de sclérose en plaques et de maladies démyélinisantes (troubles qui affectent le système nerveux central) après une vaccination contre le papillomavirus (HPV). Des résultats qui viennent corroborer d’autres études et avis faits en Europe, en France, aux Etats-Unis et dans d’autres pays.

Une nouvelle étude danoise confirme l'absence de lien entre le vaccin contre la papillomavirus et l'augmentation de cas de sclérose en plaques ou de maladies démyélinisantes.

Sommaire

  1. Aucun lien de cause à effet entre vaccination anti-HPV et sclérose en plaques
  2. Vaccin contre le papillomavirus : une plainte déposée contre le Gardasil © en 2013
  3. Le rapport bénéfice/risque du vaccin reste favorable
  4. Des cancers évités et des vies sauvées grâce à la vaccination

Aucun lien de cause à effet entre vaccination anti-HPV et sclérose en plaquesL’étude, menée par des chercheurs danois du Statens Serum Institut, a porté sur des jeunes filles et femmes danoises et suédoises âgées de 10 à 44 ans. La cohorte a été suivie de 2006 à 2013. Pendant cette période, 789 082 participantes ont été vaccinées contre le

papillomavirus. Dans ce groupe, 4 322 cas de

sclérose en plaques et 3 300 cas de maladies démyélinisantes ont été signalés : 73 cas de SEP et 90 cas de

maladies démyélinisantes sont apparus pendant la période dite “à risque“ (soit deux ans après la vaccination).Après analyse des données, les auteurs de l’étude n’ont établi aucun lien entre le vaccin anti-HPV et l’augmentation de cas de sclérose en plaques ou de maladies démyélinisantes. “Les résultats de notre étude vont à l’encontre des études et experts qui affirment qu’il existe un lien de cause à effet entre vaccin anti-HPV et maladies démyélinisantes. La cohorte importante et le choix des participantes qui ne s’est pas fait selon des critères précis permettent de généraliser ces résultats à grande échelle“, concluent les chercheurs.Vaccin contre le papillomavirus : une plainte déposée contre le Gardasil © en 2013Comme le vaccin contre l’hépatite B, et plus globalement les vaccins contenant des adjuvants à base d’aluminium, le vaccin 

Gardasil © est soupçonné par certains d’être à l’origine de cas de sclérose en plaques. Plusieurs plaintes ont été déposées en France contre le laboratoire Sanofi Pasteur MSD qui commercialise ce vaccin. Marie-Océane fait partie des plaignantes. Vaccinée en 2010 à l’âge de 15 ans, la jeune fille a développé une sclérose en plaques quelques mois après l’injection de Gardasil. Une expertise menée par plusieurs médecins conclut “qu’il n’existe aucun argument scientifique en faveur de l’incrimination du Gardasil comme facteur causal pour les pathologies inflammatoires démyélinisantes du

système nerveux central“. Mais ils ajoutent que chez cette jeune fille ayant des antécédents familiaux de sclérose en plaques, “la cascade inflammatoire démyélinisante post-vaccinale ayant atteint l’intéressée présente tous les caractères objectifs d’imputabilité médico-légale“. En conséquence, “ils évaluent l’imputabilité totale de la vaccination sur le dommage à 50 %“. En novembre 2013, alors âgée de 18 ans, la jeune fille porte plainte contre le laboratoire Sanofi Pasteur MSD pour “atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine“.Le rapport bénéfice/risque du vaccin reste favorableSuite à ces plaintes, le laboratoire Sanofi Pasteur MSD fait une mise au point sur les données de surveillance post-enregistrement qui montrent qu’il n’y a pas d’augmentation de survenue de maladies auto-immunes après la vaccination par Gardasil ©. Une mise au point publiée par l’Agence de sécurité du médicament (ANSM) va dans le même sens et rappelle que le rapport bénéfice/risque de ce vaccin reste favorable.Par ailleurs, les données du SNIIRAM (Système national d’information inter-régimes de l’assurance maladie), portant sur une cohorte de près de 2 millions de jeunes filles nées entre 1992 et 1996 et suivies sur une période allant de 2008 à 2010, confirment ces résultats : “le taux d’apparition des maladies auto-immunes observé chez les personnes vaccinées ne différait pas de celui observé chez les personnes non vaccinées“.Des cancers évités et des vies sauvées grâce à la vaccinationLes papillomavirus humains seraient responsables de plus de la moitié des cancers du col de l’utérus, à l’origine de 1 000 décès par an en France. Dans son avis du 20 mars 2013, la Haute Autorité de Santé (HAS) “considère que le service médical rendu par ce vaccin est important dans la population recommandée par le Haut Conseil de Santé Publique dans le calendrier vaccinal en vigueur“.  L’ANSM rappelle également que les vaccins contre le papillomavirus font l’objet d’une surveillance renforcée.

Des patients atteints de la maladie de Parkinson, traités à leur insu avec un placebo, réagissent mieux lorsqu’ils croient que le médicament plus cher. La perception du coût du traitement pourrait ainsi avoir un effet sur son efficacité.

La perception du coût d'un médicament pourrait affecter son efficacité.

Les attentes des malades jouent un rôle important dans l’efficacité de leur traitement et cet effet

placebo a été bien établi pour différentes maladies. Le Dr Alberto Espay, de l’université de Cincinnati dans l’Ohio a voulu évaluer cet effet placebo chez des patients atteints de la

maladie de Parkinson, en y introduisant un nouveau paramètre. “Nous avons voulu vérifier si la perception du coût d’un médicament pouvait affecter l’effet placebo“, explique-t-il. Pour l’évaluer, ils ont mis au point une méthodologie assez singulière.Plus un traitement est perçu comme cher, plus il semble efficaceLes chercheurs ont indiqué à 12 patients souffrant de la maladie de Parkinson qu’ils recevraient des injections de deux formulations d’un même médicament, la deuxième une fois que les effets de la première auraient cessé. Les chercheurs leur ont aussi expliqué que les deux formulations avaient la même efficacité, mais qu’elles avaient été fabriquées à des coûts différents : 100 dollars pour l’une et 1 500 dollars pour l’autre.En fait, les participants ont reçu deux injections d’une solution saline, mais on leur a alors dit qu’il recevait soit le médicament bon marché, soit le médicament très onéreux. Avant et après chaque injection, les participants ont répondu à différents tests permettant d’évaluer leur capacités motrices et des scanners ont permis de mesurer leur activité cérébrale.Chez les deux groupes, les injections de placebo ont amélioré les capacités motrices. Mais chez ceux qui ont reçu la dose prétendument la plus chère, cette amélioration a été de 28 % par rapport à une amélioration de 13 % chez ceux traités avec la dose “bon marché“.“Si on peut trouver des stratégies pour contrôler la réaction placebo, on pourrait potentiellement optimiser les effets des traitements, en réduisant les doses et peut-être aussi les effets secondaires“, relève le Dr Espay.Des résultats qui restent à confirmerSelon ce spécialiste, l’effet placebo pourrait être plus puissant chez les malades de Parkinson car cette maladie réduit la quantité de dopamine dans le cerveau alors qu’on sait que les effets placebo sont connus pour accroître la production de ce neurotransmetteur.La dopamine agit au niveau des mouvements (le manque expliquant les problèmes moteurs liés à la maladie de Parkinson), mais elle est également impliquée la motivation, l’anticipation d’une récompense et la réponse aux nouveautés. Les participants ayant reçu les injections les plus chères attendaient peut-être un plus grand effet, un peu comme l’attente d’une récompense favorisée par la dopamine, selon ce neurologue.Au terme de l’étude, les patients ont été informés de la véritable nature des travaux. Parmi eux, huit participants ont expliqué qu’ils s’attendaient à davantage d’effets de l’injection la plus chère et étaient très surpris de l’ampleur des différences liées à leurs attentes. Les quatre autres malades, sans attente particulière, n’ont connu que peu de changement de leur état de santé.Les résultats de cette petite étude (12 patients) restent à confirmer sur un plus grand échantillon et sur d’autres pathologies. Néanmoins, comme le souligne un éditorial accompagnant l’article dans Neurology, il pourrait s’agir d’une mauvaise nouvelle pour les autorités en charge du contrôle du prix des médicaments…David BêmeSources :Placebo effect of medication cost in Parkinson disease – Alberto J. Espay et al. – Neurology –Published online before print January 28, 2015 (

abstract accessible en ligne)The pharmacodynamics of placebo – Peter A. LeWitt and Scott Kim – Neurology –Published online before print January 28, 2015 (

extrait accessible en ligne)Click Here: cheap sydney roosters jersey