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Il y a des sujets dont on ne veut pas faire des histoires. Des sujets que certains s’efforcent d’effacer des mémoires comme dans ce petit cimetière de la ville kurde de Suruç, à quelques kilomètres de Kobané et de la frontière syrienne.Une semaine après le début de l’offensive turque en Syrie, les combats continuent de faire rage, en particulier dans plusieurs villes à la frontière. C’était encore le cas à Kobané, il y a quelques jours. Ville symbole de la résistance à Daech, de nombreux combattants kurdes y sont morts, il y a cinq ans seulement. Et c’est ici, dans ce cimetière de la ville proche de Suruç, que certains combattants sont enterrés. “Cette partie-là, c’était prévu pour enterrer les combattants de la résistance de Kobané, explique Adar, défenseur de la cause kurde. Ceux qui n’avaient pas de famille dont on ne savait d’où ils venaient, ils étaient enterrés ici surtout.”74 tombes de combattants kurdes détruitesAdar nous emmène dans ce qu’on appelait encore il y a peu de temps, le “carré des martyrs”. Des anonymes à qui on avait donné comme patronyme le nom de la ville dans laquelle ils étaient tombés. “Ali de Kobané, Serhildan Kobané, comme s’ils étaient tous de la même famille : Kobané, Kobané”, répète Adar. Soixante-quatorze tombes pour se souvenir de ceux qui ont lutté contre Daech. 74 tombes que Adar ne parvient pas à retrouver. “Hélas, je ne vois plus le tombeau”, se désole-t-il. Adar demande à un homme qui s’approche. Il désigne une petite parcelle derrière les arbres, où quelques tombeaux sont délimités par des parpaings. Sur les stèles, aucun nom, juste des numéros.”On a peur de dire qui a fait ça”Un peu plus loin, un groupe de femmes, coiffées du foulard traditionnel kurde, pleure un mort. Adar et l’homme discutent, discrètement, à l’abri des regards. Le sujet est sensible. “La dernière fois quand je suis venu, il y avait leur nom dessus et puis il y avait plus de tombes, non ? Je me trompe ?”, demande Adar. “Non, c’est juste, mais hélas certaines tombent ont été détruites”, lui répond l’homme. “Mais qui les a cassées ?”, reprend Adar. “Je ne peux pas vous le dire, dit l’homme. On a peur de dire qui a fait ça.” En 2016, les autorités turques, estimant que ce cimetière était de la propagande pro-kurde, décide de le faire disparaître. Il ne peut pas y avoir de héros chez l’ennemi.Pour moi, c’est pour effacer la mémoire de la résistance de Kobané et surtout pour effacer la mémoire du peuple kurde de son passé.Adarà franceinfoAvant de partir, l’homme s’approche d’une tombe sans nom mais avec un numéro, le 57. Il ramasse un peu de terre et se frotte le visage avec. Un signe d’humilité et de respect à celui qu’il considère comme beaucoup plus courageux que lui.

Une stèle du cimetière de la ville kurde de Suruç, en Turquie, numérotée 57.  (MATTHIEU MONDOLONI / RADIO FRANCE)

Kemal tient une épicerie au centre-ville de Suruç, dans ce qu’on appelle ici, le quartier “Kobané”. Il est habité par des réfugiés, comme lui, venus de la ville syrienne voisine. Sa gorge se serre quand il parle de son fils, mort il y a cinq ans en combattant Daech. “En détruisant le cimetière, ils les ont tués une deuxième fois…”, dénonce Kemal. Notre souffrance, à nous les Kurdes, est énorme. Est-ce qu’un être humain peut détruire des pierres tombales, les pierres d’un cimetière ? Est-ce qu’on se bat contre les morts ?Kemal, réfugié à Suruçà franceinfoEt est-ce qu’on tue les vivants dans l’indifférence générale, se demande Mustafa, son associé, debout à côté de lui. “Je pense que tous les gens, dans le monde, en Europe, toutes les organisations arabes, soutiennent les Kurdes. C’est bien, déclare Mustafa, mais concrètement personne n’agit ! Ce n’est plus possible que les massacres continuent comme avant…”  Les Kurdes se sentent abandonnés, délaissés. Eux qui se sont battus contre Daech, estiment l’avoir fait pour tout le monde… Aujourd’hui, ils ont le sentiment d’être tout seuls.

Turquie : dans un petit cimetière de Suruç, les stèles des combattants kurdes détruites–‘—-‘–

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Distancé par la Chine et les Occidentaux, Moscou opère un retour remarqué sur le continent africain. Au cœur de cette stratégie d’influence, l’Université moscovite d’amitié entre les peuples, qui a longtemps formé des élites africaines. Cette université, appelée à l’époque soviétique (de1961 à 1992) université Patrice Lumumba, du nom du héros indépendantiste congolais assassiné, était une pierre angulaire du soft power de l’URSS.Accroître l’influence de l’URSSL’université Patrice Lumumba avait fait les beaux jours de la politique “internationaliste” de l’URSS dans le tiers monde. Construite au plus fort de la décolonisation africaine et des tentatives de récupération des pays non-alignés par Moscou, elle a perdu sa raison d’être en 1991 avec la chute du communisme et l’implosion de l’URSS.En pleine Guerre froide, c’est elle qui a formé des générations d’ingénieurs, de médecins et de dirigeants africains. Parmi les plus connus, les présidents sud-africain Thabo Mbecki, nigérian Olusegun Obasanjo, angolais Eduardo Dos Santos et son successeur Joao Lourenço, namibien Sam Nujoma et bien d’autres. Une stratégie d’influence en pleine décolonisation.Après la chute de l’Union soviétique et la crise économique qui a suivi, ce haut lieu de l’éducation n’intéressait plus grand monde, faisant d’avantage les gros titres pour les attaques racistes sur son campus, que pour son haut niveau d’éducation.

Un des bâtiments de l’université Patrice Lumumba à Moscou. (VALERIY SHUSTOV / SPUTNIK)

1200 cadres et scientifiques africains formés par les universités russesSelon Vladimir Filippov, son recteur actuel interrogé par l’AFP, l’université a tourné cette page sombre et retrouve son rôle dans le soft-power russe. Et cela à l’heure où la Russie cherche à faire un retour en Afrique, comme en témoigne le tout premier sommet Russie-Afrique que Vladimir Poutine organise les 23 et 24 octobre 2019 à Sotchi. Une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernements africains y sont attendus.Si à l’époque de la Guerre froide, il s’agissait de marquer des points dans la guerre idéologique avec l’Occident et de placer des cadres de confiance dans l’élite politique, aujourd’hui ce n’est plus seulement avec les Occidentaux qu’il faut rivaliser. Moscou doit rattraper un retard considérable sur la Chine, qui accueille un grand nombre d’étudiants africains dans ses multiples universités, sans parler des dizaines de milliards investis chaque année par Pékin sur le continent même.L’Université moscovite d’amitié entre les peuples forme aujourd’hui un millier d’étudiants africains. “Bien sûr, c’est toujours une question d’intérêts géopolitiques et économiques”, reconnaît son recteur M. Filippov. Ainsi, cette université veut aussi convaincre ses étudiants russes de s’expatrier et organise, à cette fin, son premier salon de l’emploi baptisé Je veux travailler en Afrique.Click Here: cheap all stars rugby jersey

En 2019, le parti d’inspiration islamiste Ennahdha a gagné les législatives avec 52 sièges (sur 217), ce qui lui permet de revendiquer le poste de Premier ministre. Mais cette victoire est en trompe-l’œil. En 2011, lors des élections à la Constituante, il avait obtenu 89 sièges. Depuis, il n’a cessé de baisser : en 2014, il n’avait plus que 69 députés. Aujourd’hui, où en est cette formation, autorisée seulement en 2011, et qui depuis 2016 dit ne plus avoir de lien “avec la prédication religieuse”, mais suscite encore souvent la méfiance sinon les passions ? La pratique du pouvoir (2011-2014, 2015-2019) l’a-t-elle fait évoluer ? Eléments de réponse avec deux responsables nahdaouis que franceinfo Afrique a rencontrés à Tunis.Zied Ladhari, ministre et secrétaire général d’EnnahdhaAvocat de formation, Zied Ladhari, 44 ans, a été élu député en 2019 dans la circonscription de Sousse (146 km au sud de Tunis). Il est secrétaire général du parti et ministre du Développement et de la Coopération internationale. Selon la presse tunisienne, il est l’un des candidats favoris du parti pour devenir Premier ministre. Fin et réservé, il n’en laisse rien paraître. Il ne sait pas moins manier avec beaucoup d’aisance la langue de bois à l’heure où commencent des discussions serrées entre Ennadha et d’autres formations représentées au Parlement pour constituer une coalition.Saïda Ounissi, ministre et membre du bureau exécutif d’EnnahdhaAgée de 32 ans, Saïda Ounissi, élue députée de la circonscription France-Nord (dans l’Hexagone) et membre du comité exécutif d’Ennahdha, a vécu 20 ans en France, où son père avait dû fuir la répression du régime de Ben Ali en raison de ses activités islamistes. Elle y a étudié l’histoire et les sciences politiques. Plus jeune ministre du pays en 2018, cette personnalité brillante et souriante ne pratique pas la langue de bois. Et répond aux questions sans détours.
Comme son collègue Zied Ladhari, elle rappelle que son parti est né dans l’opposition à la dictature. Et qu’il “avait alors une vision de l’Etat qui n’était pas en harmonie” avec ce que l’on connaît aujourd’hui. “Après la révolution, il a compris que le seul cadre du pouvoir était l’Etat-nation, mis en place par Bourguiba, réplique de l’Etat jacobin français.” Manière de dire que la formation islamiste a beaucoup évolué sur ce point…Nous restons fidèles à la Constitution. Il n’y a donc pas de raison de parler de trahisonSaïda Ounissià franceinfo Afrique“Après 2011, nous avons été au pouvoir” de décembre 2011 à janvier 2014 et de février 2015 à 2019. Soit près de sept années. “Depuis 2016 (et l’effacement progressif du parti “laïc” Nidaa Tounès en raison de querelles internes, NDLR), nous avons assuré au gouvernement un semblant de stabilité, quand Béji (le président sortant Béji Caïd Essebsi, NDLR) a choisi son fils au détriment du pays. Je peux presque dire que nous avons porté la culotte ! La question est alors de savoir si nous ne nous sommes pas compromis avec la Realpolitik. Là, je n’ai pas de réponse. Je dirai simplement que nous sommes tributaires de la façon dont fonctionnent les institutions.” Saïda Ounissi se sent fière de son action au ministère. Notamment d’avoir réformé la formation professionnelle.Et que répond Mme la ministre à ceux qui s’impatient dans les régions défavorisées et ne votent plus Ennahdha ? “Je leur donne un exemple de mon action au ministère. Ainsi, entre le moment où l’on prend la décision d’installer un centre de formation dans une petite bourgade et sa réalisation effective, il faut cinq ans pour que les choses se mettent en place. Pour qu’un jeune puisse commencer à étudier.” Conclusion : “Il faut faire de la pédagogie. Nous n’avons pas assez fait l’effort d’expliquer” notre politique. Apparemment, il aurait peut-être aussi fallu être plus proche des citoyens : “Les gens ont besoin qu’on les écoute.” Je me sens bien au sein d’Ennahdha. Ce serait injuste de dire le contraireSaïda Ounissià franceinfo AfriqueEst-ce difficile d’être une femme à Ennahdha ? La réponse fuse : “C’est difficile d’être une femme en politique en Tunisie où la femme est souvent considérée comme un filet social ! Mais c’est peut-être encore plus difficile vis-à-vis de l’extérieur quand on est membre de ce parti : il faut continuellement montrer patte blanche !” Et ce alors même que son parti, qui se définit comme conservateur, est par exemple opposé à l’égalité pour l’héritage entre homme et femme ? Là encore, la réponse est sans détours. “Le projet de loi sur ce thème était un effet d’annonce. C’est une fausse question ! Il faudrait d’abord commencer par respecter la loi actuelle. Aujourd’hui, lors des héritages, 99% des femmes n’arrivent pas à obtenir leurs titres de propriété. Même au sein des familles progressistes.”Click Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

C’est déjà Noël chez Jennifer Aniston!

March 16, 2020 | News | No Comments

L’esprit de Noël plane déjà sur Hollywood: recevait dimanche soir autour d’un gigantesque sapin et d’un buffet ad hoc.

Jennifer Aniston est vraiment une bonne copine. Car à quoi sert d’avoir une grande maison si ce n’est pas pour y organiser des grandes fiestas entre amis. Dimanche, l’éternelle célibataire recevait une centaine de personnes et quelques stars dans sa villa de Beverly Hills.

et

étaient de la fête, ainsi que la prof de yoga, le coiffeur et la «coach» de la célèbre héroïne de Friends.

Et comme Jennifer Aniston dispose de chefs cuisiniers hors pair –elle avait embauché deux des meilleures toques d’Hollywood- et qu’elle aime en faire profiter les copains, la party girl avait concocté un buffet sur le thème de Noël, une fête qu’elle affectionne particulièrement. Côté déco, la maison avait déjà été illuminée par son lot de guirlandes clignotantes appropriées, des fleurs de saison et surtout, clou du spectacle, un magnifique sapin autour duquel les invités ont déambulé toute la soirée. Conifère qu’elle avait choisi un peu plus tôt dans la semaine: un «sapin ‘noble’, le plus cher car le plus majesteueux» selon le site de Mr Greentrees, la boutique chic de West Hollywood où la belle a mis un soin tout particulier à shopper son arbre.

L’an dernier, à la même époque, Jen’ vivait une relation tumultueuse avec celui dont elle pensait qu’il était l’homme de sa vie: depuis, le peu élégant John Mayer a pris la tangente, mais Miss Aniston sait qu’il vaut mieux aller seule que mal accompagnée. A l’heure où l’on célèbre Friends, la série la plus regardée de la décennie, elle ne se contente pas de vivre sur les vestiges du passé: joyeux Noël Miss Aniston!

Mardi 8 décembre 2009

Jacques Chirac de nouveau devant la justice

March 16, 2020 | News | No Comments

ilDéjà renvoyé en correctionnelle en novembre pour détournement de fonds publics dans le cadre des emplois fictifs de la Ville de Paris, est désormais soupçonné de prise illégale d’intérêts dans une affaire qui concerne sept emplois RPR pris en charge par la Mairie de Paris à l’époque où il en était le locataire. Le juge d’instruction Jacques Gazeaux a mis l’ancien chef de l’Etat en examen.

Sept anciens permanents de l’ex-RPR payés par la Ville de Paris? Dans cette affaire, l’ancien maire de la capitale Jacques Chirac (1977–1995) avait déjà été entendu comme témoin assisté et plusieurs responsables de l’ancien parti gaulliste –notamment

– avaient été condamnés.

En charge de cette enquête, ouverte en 1995 par une plainte de la Mairie de Paris, le juge d’instruction Jacques Gazeaux a décidé de mettre en examen le retraité préféré des Français. L’ex-chef de l’Etat a été entendu pendant une vingtaine de minutes vendredi matin dans les locaux du médiateur de la République, près de la place de la Concorde.

Dans la foulée, son service de presse s’est fendu d’un communiqué rappelant que Jacques Chirac avait déjà répondu aux questions concernant cette affaire et «qu’aucun ‘système’ n’a jamais existé à la Mairie de Paris». Gageons que cette nouvelle mis en examen n’altèrera pas la «sérénité» à toute épreuve du sémillant Chirac, qui, hormis quelques ennuis judiciaires, coule une retraite heureuse entre Paris et la Côte d’Azur…

Vendredi 18 décembre 2009

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Alors qu’elle fait ses débuts devant la caméra de Bruno Podalydès avec “Adieu Berthe ou l’enterrement de mémé”, Valérie Lemercier revient sur les premières fois marquantes de sa carrière…

A l’affiche d’Adieu Berthe ou l’enterrement de mémé, la comédie de Bruno Podalydès sortie le 20 juin, Valérie Lemercier revient sur les premières fois marquantes de sa carrière, de Palace aux Visiteurs en passant par les Césars…

Adieu Berthe ou l’enterrement de mémé

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Commission review must address ETS credibility issues

ETS review is of great importance.

6/6/12, 8:01 PM CET

Updated 4/12/14, 11:19 PM CET

The European Commission has brought forward an urgent review of the EU’s emissions trading scheme (ETS) and will report its recommendations in July (“Commission prepares to intervene in carbon market”, 16-22 May). Good news indeed, since the current situation is so far removed from the original expectation that there is a clear case for action. The key question, however, is this: what action will it take?

To answer this, the Commission’s review must clarify once and for all the objectives of the ETS and use this opportunity to ensure the long-term confidence (and revenues) of investors. Is it intended purely as a mechanism to deliver emissions-reduction targets efficiently or should it also support low-carbon investment and strategy?

The EU economy needs investment. In particular, the energy sector requires hundreds of billions of euros of private capital channelled into long-lived assets, which must meet Europe’s strategic needs for long-term energy and climate security. High-carbon investment carries inescapable, science-driven risks, but industry, having witnessed successive collapses of the carbon price, also lacks confidence in low-carbon investment. This is combined with (and reinforced by) the deeply uncertain economic outlook.

The Commission review must address the scheme’s credibility issues with potential investors. This will not be resolved, and could arguably be made worse, by intervention purely to ‘set aside’ allowances, without also increasing the ETS’s robustness to future shocks. Reform would need to introduce a mechanism that gives confidence that carbon prices will rise, and preclude the need for any further ad-hoc interventions. This could also restore and stabilise the revenues of €150 billion-€200bn originally expected over the rest of the decade.

The main options are well known. The question is whether the recommendations emerging out of the current debate will result in a piecemeal fix or a more systematic reform to ensure the ETS’s robustness and relevance to investment in an uncertain world. If the EU’s decision-makers are serious about getting the European economy back on track by focusing on growth and investment, while also reducing greenhouse-gas emissions, the answer is clear. The EU ETS review gives them an historic opportunity to boost investor confidence and attract badly needed capital into the European energy sector.

Michael Grubb

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Chairman of energy and climate policy, Cambridge University Centre for Mitigation Research

Michel Colombier

Scientific director, Institut du developpement durable et des relation

Parliament to debate female representation

March 16, 2020 | News | No Comments

Parliament to debate female representation

MEPs to discuss ‘Women on Board’ with Viviane Reding.

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Updated

MEPs will debate on Monday (12 March) whether the European Commission should propose legislation to oblige listed companies to increase the number of women directors

Viviane Reding, the European commissioner for justice, fundamental rights and citizenship, will take part in the debate in Strasbourg, which will also cover gender equality more generally.

Reding launched a public consultation on Monday (5 March) after presenting a report suggesting that self-regulation was not working and that companies had made only “limited progress” over the past year in increasing the number of women directors.

The European Parliament called last summer for Reding to propose binding quotas, and many MEPs want her to move forward with legislation straight away.

Sophie in ’t Veld, a Dutch Liberal MEP who drafted one of the Parliament’s reports on the issue, said that the Commission had to speed up its work. “The time for reports is over,” she said. “Now is the time for action.”

Reding’s progress report, which came a year after she called for “credible” self-regulatory measures, showed that 13.7% of board members in Europe’s biggest 600 companies were women in 2011, a slight increase from 11.8% in 2010. The commissioner said that at the current rate it would take 40 years to reach the target of at least 40%.

Only 24 companies had signed up to Reding’s ‘Woman on the Board Pledge’ committing themselves to having women making up at least 30% of the board membership by 2015 and 40% by 2020.

The Commission’s public consultation will run until 28 May, after which Reding will decide whether to propose legislation.

‘Patronising’ move

Helena Morrissey, the founder of the 30% Club aimed at encouraging companies to voluntarily increase their number of women directors, said binding quotas would be “patronising” to women.

“While we applaud any move to encourage greater female representation at an executive level, we believe mandatory quotas are both unnecessary and potentially damaging,” she said.

BusinessEurope, which represents employers’ groups from 35 countries, has also said that it opposes legislation.

Authors:
Ian Wishart 

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Brittany Murphy repose à Forest Lawn

March 15, 2020 | News | No Comments

Foudroyée par infarctus, a été enterrée jeudi 24 décembre au cimetière Forest Lawn Memorial Park.

Lolita connue pour ses rôles dans 8 Mile et Pour le Meilleur et Pour le Pire, l’actrice américaine Brittany Murphy a été inhumée jeudi dans au cimetière des stars de Hollywood. Ses funérailles se sont déroulées au cours d’une cérémonie privéeà Los Angeles, au Forest Lawn Memorial Park, a annoncé un porte-parole de la famille.

Joli brin de fille aux yeux pétillants, à la frimousse mutine et la silhouette parfaite, l’actrice américaine est décédée d’une crise cardiaque. La belle avait 32 ans, un mari attentionné, Simon Monjack (scénariste de Factory Girl) et une carrière prometteuse. Heureuse et amoureuse, la blondinette rêvait de pouponner.

Pourtant, dimanche 20 décembre, les secours ont retrouvé Brittany Murphy, inconsciente, terrassée sous sa douche, noyée dans son vomi. Son cœur, affaibli, n’a pas résisté. Transportée inanimée au Cedars-Sinaï de Beverly-Hills, Brittany a été déclarée morte à son arrivée. «Aucune enquête criminelle n’est envisagée», a déclaré un porte-parole de la police. «Pas une trace de drogue ou d’amphétamine n’a été découverte à son domicile», a-t-il poursuivi.

L’autopsie du corps de la jeune femme n’a révélé aucun «traumatisme» particulier. Cependant, les causes exactes de la mort ne seront pas connues avant «quatre à six semaines», le temps d’effectuer des analyses toxicologiques, selon l’institut médico-légal de Los Angeles.

Grippe A? Narcodépendance? Ravages de l’anorexie? Dépression?…Si les premières analyses de la dépouille confirment une «mort naturelle», la presse US fantasme sur la thèse de l’overdose.

Lundi 28 décembre 2009

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Sur le tournage de Mr & Mrs Smith, en 2004, l’histoire d’un couple de tueurs dont chaque membre ignore tout des activités de l’autre. Brad Pitt niera toujours avoir trompé son épouse, Jennifer Aniston, avec Angelina, mais le beau gosse d’Hollywood n’a pas mis longtemps à craquer pour la brune tatouée.

Entre le mâle le plus convoité d’Hollywood et la sublime Lara Croft, c’est le coup de foudre: le couple à l’écran devient couple à la ville, le plus glamour et le fascinant au monde.

Brad Pitt est vite acquis aux nombreuses causes défendues par Angelina Jolie. Ici en Haïti, où ils soutiennent le combat du chanteur Wyclef Jean. Lors du récent tremblement de terre, la pasionaria et son compagnon seront les premiers à s’engager auprès des victimes.

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L’ambassadrice de l’UNHCR et son nouvel amoureux passent leur premier Noël « officiel » au Costa Rica, avec des réfugiés colombiens. Le décor est planté.

Famille heureuse! Au Festival de Venise, en septembre 2007, où Brad Pitt présente L’Assassinat de Jesse James, les Brangelina viennent avec leurs enfants sous le bras. Deux ans d’amour, et les toutereaux ont déjà adopté Zahara, Pax Thien, et donné naissance à Shiloh Nouvel, qui viennent agrandir la famille qu’ils formaient déjà avec Maddox, le fils adoptif d’Angie, dont Brad est également devenu le père.

A Cannes, en mai 2007, Brad et Angelina offrent l’image d’un couple radieux sur le red carpet. Madame présente Un Coeur Invaincu, dans lequel elle incarne l’épouse du journaliste Daniel Pearl, Marianne.

Moins de quatre mois après avoir accouché de Knox et Vivienne, leurs jumeaux, Angelina promène de nouveau sa silhouette de rêve à travers le monde. Ici à New York, début octobre.

Angelina Jolie escortée par Brad à la première de Kung Fu Panda, où elle prête sa voix à l’un des personnages: elle accouchera moins de deux mois plus tard de jumeaux…

Leur petite Shiloh, née en mai, est encore trop petite pour parcourir le monde avec eux. Brad et Angelina en Inde avec Zahara et Maddox, l’aîné de leurs rejetons.

Janvier 2009: à Tokyo, où Brad Pitt vient présenter L’Etrange Histoire de Benjamin Button, les Brangelina débarquent en famille: première sortie publique pour Knox et Vivienne, en kangourou sur leurs parents et entourés par leurs frères et soeurs.

Un peu plus tard, sur le tapis rouge, Brad et Angelina font les pitres: un cliché plutôt rare des amoureux d’Hollywood…

Brad Pitt, excellent dans le rôle du lieutenant Aldo Raine, est la star US du casting de choc réuni par Tarantino pour Inglorious Basterds: pendant que Mélanie Laurent, Diane Kruger et leur réalisateur s’éclatent sur le red carpet, Brad et Angelina s’attachent à donner une image du bonheur conjugal retrouvé. Car les rumeurs courent déjà…

En octobre dernier, Brad Pitt accompagne de nouveau Angelina lors d’un déplacement en Syrie: tous deux vont à la rencontre des réfugiés irakiens.

Avec Angelina, c’est du sérieux, aurait pu lancer Brad Pitt à Jennifer Aniston, en la larguant il y a des années pour Lara Croft. Et de fait: pour la sulfureuse brune, l’ex-mari de la jolie Friend s’est transformé en super papa de six bambins (dont trois de lui éclos en moins de deux ans, tout de même) et il a réussi à concilier sa famille nombreuse avec une carrière sans faute doublée d’engagements humanitaires tous azimuts. Brad Pitt sans Angie, c’est un peu Hollywood sans ses étoiles, un tajine sans olives ou une raquette sans la balle: ces deux-là forment une sorte de duo parfait et inébranlable, en apparence, qui allie la richesse, la beauté, la sensibilité, la générosité et le glamour. Et comme on ne sait pas combien de temps cela peut encore durer, Gala.fr vous propose de vous replonger dans l’album-photo des Brangelina, qu’il convient de sous-titrer: «Cinq ans d’amour».

J.S

Lundi 25 janvier 2010