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La Cour de cassation a validé l’inscription à l’état civil d’enfants nés à l’étranger de mères porteuses. Cette décision, très attendue et qui fera jurisprudence, a été rendue le 3juillet, un an après la condamnation de la France par la Cour Européenne des Droits de l’Homme(CEDH) pour défaut de transcription dans l’état civil français des actes de naissance d’enfants issus de gestation pour autrui(GPA).

Les enfants issus d'un processus de GPA réalisé à l'étranger pourront désormais être inscrits à l'état civil français, selon une décision de la Cour de cassation.

A la question de savoir si “le refus de transcription sur les actes de l’état civil français de l’acte de naissance d’un enfant dont au moins l’un des parents est français, régulièrement établi dans un pays étranger, peut-il être motivé par le seul fait que la naissance est l’aboutissement d’un processus comportant une convention de

GPA ?“, la Cour de cassation a répondu “Non“.“Une GPA ne justifie pas, à elle seule, le refus de transcrire à l’état civil français l’acte de naissance étranger d’un enfant ayant un parent français“, écrit-elle dans un communiqué de presse.L’interdiction de la GPA en France n’est pas un motif valableLa Cour était saisie de deux affaires, rappelle-t-elle : dans chacune d’elles, un Français avait reconnu la paternité d’un enfant à naître en Russie et l’acte de naissance établi dans ce pays mentionnait l’homme en tant que père et la femme ayant accouché (la mère porteuse) en tant que mère. C’est lors de la transcription de l’acte de naissance russe à l’état civil français, que les pères des deux enfants nés en Russie se sont vu refuser ce droit par le procureur de la République, “soupçonnant le recours à une convention de gestation pour le compte d’autrui (GPA)“.Or, la Cour de cassation estime dans son jugement que “les règles de transcription sur les actes de l’état civil français […] doivent s’appliquer au cas d’espèce“, et que “la théorie de la fraude ne peut donc faire échec à la transcription de l’acte de naissance“. En d’autres termes, ce n’est pas parce que la GPA est interdite en France, que les enfants issus de cette méthode de procréation réalisée à l’étranger doivent se voir interdire leur inscription sur l’état civil français.Cette décision casse de facto l’arrêt qui écartait la demande de transcription au seul motif que la naissance était l’aboutissement d’un processus comportant une convention de GPA.Amélie PelletierSource : Communiqué de presse de la Cour de cassation, 3 juillet 2015.

L’été et la rentrée sont synonymes de remise en forme après les excès des vacances. Accueil, hygiène, vestiaires, matériel et compétences de l’encadrement sont autant d’éléments à prendre en compte avant de s’inscrire dans une salle de gym. Les conseils de Yakisan Cagdas, coach sportif, pour bien choisir l’établissement.

Prenez vos précautions avant de choisir votre club de fitness.

Les infrastructures : hygiène avant toutPour s’assurer que l’éclairage, la ventilation, la propreté ou encore la qualité des services sont conformes à ses attentes, demander à visiter les lieux avant. Mieux, faire une séance d’essai. Aucune salle digne de ce nom ne la refusera. Lors de la visite, jauger la température de l’endroit ainsi que les aérations.L’espace doit être également pris en compte : il en faut assez pour ne pas se marcher sur les pieds. Dans les vestiaires, l’eau chaude doit également exemple être disponible. Les toilettes sont le “vrai“ révélateur de la propreté.Les professeurs : les diplômes et la pédagogieFormation, préparation et professionnalisme des entraîneurs sont essentiels. Leur disponibilité et la clarté de leurs conseils sont également primordiales, car il ne faut pas confier au premier venu ses lombaires, fessiers, tendons et autres articulations. En France, la loi est claire, seuls les titulaires de brevets d’État peuvent enseigner.En fonction des ateliers, ne pas hésiter à contrôler la disponibilité de vos professeurs et leur professionnalisme (capacité à expliquer, à corriger, à motiver). Par exemple, un bon professeur fixera un programme d’entraînement après avoir évalué la condition physique de l’élève et surtout le suit dans la durée et fait régulièrement un bilan avec lui.Le parc des machines : un bon équilibre cardio-muscuUn bon équipement doit être à la pointe des nouveautés. Dans l’idéal, les équipements de cardiotraining (pour courir, pédaler, ramer, etc.) doivent représenter 50% du matériel, les appareils de body-building 30%, la fonte et les haltères 20%. Un bon parc de dix appareils de cardiotraining doit comporter au minimum 4 tapis roulants, 2 vélos d’intérieurs, 3 steppers et 1 rameur. Pour la musculation, les “big five“ s’imposent : une presse à jambes, une presse à pectoraux, une machine à dorsaux, une presse à épaules et une poulie haute pour les membres supérieurs.Le suivi médical personnaliséUn centre sérieux ne se contente pas de demander un certificat médical d’aptitude. Un bilan de santé approfondi est recommandé. Idéalement le centre devrait disposer de sa propre structure médicale, même si cela est difficile à réaliser. Cette dernière devrait disposer d’un matériel adéquat avec un appareil de test à l’effort, un pour mesurer la capacité pulmonaire, un autre pour la mesure de la capacité de la force musculaire. La détermination de masses maigres, de masses grasses et de muscles doit être possible de manière à pouvoir se fixer des objectifs.Les plus des clubs de fitnessVérifiez enfin qu’au niveau des tendances, le club propose les dernières activités du marché. Certains proposent également une piscine, idéal pour se détendre et se décrasser après l’effort. Enfin, les meilleures salles disposent fréquemment d’un bar-restaurant-cafétéria où sont vendus des aliments fitness sains dont l’origine et la composition sont connues.Source : RelaxnewsClick Here: cheap sydney roosters jersey

Le mannequin Gigi Hadid n’est pas contente et elle le fait savoir ! Depuis quelques temps, de nombreux internautes n’hésitent pas à s’attaquer à son physique via des commentaires virulents. Lundi, la jeune femme a décidé de réagir en postant un long message sur son compte Instagram.

Gigi Hadid fait partie de la nouvelle génération de mannequins que les créateurs s'arrachent.

Gigi Hadid, 20 ans, commence à peine une brillante carrière de mannequin qu’elle est déjà la cible d’internautes et de leurs commentaires haineux. Celle qui défile sur les podiums du monde entier n’a pas voulu se laisser faire et a rédigé un long texte à l’attention des “haters“ qui la jugent trop “grosse“ pour être mannequin. Le message, publié lundi sur son compte Instagram, comptabilise déjà 257 000 likes. 

“De nombreuses personnes ont la critique si rapide ce mois-ci. D’accord, les critiques sur les réseaux sociaux proviennent de personnes qui, 99% du temps, n’ont aucune idée de quoi elles parlent, mais je suis humaine, je ne vais pas mentir, ça a commencé à me toucher un peu (…). Non, je n’ai pas le même corps que la majorité des mannequins. Non, je ne pense pas être la meilleure en quoi que ce soit (…). Non, je ne suis pas le premier ou le dernier mannequin de ce genre à travailler dans ce milieu. Vous pouvez inventer toutes les raisons pour lesquelles vous pensez que j’en suis là, mais je suis vraiment une bosseuse qui est simplement arrivée à un moment où l’industrie de la mode était prête à changer. Je fais juste mon boulot. (…) Oui, j’ai des seins, j’ai du ventre, j’ai des fesses mais je ne demande pas de traitement de faveur. Vos commentaires méchants ne me donnent pas envie de changer, ils ne me donnent pas envie de dire non aux créateurs qui me veulent dans leur défilé (…). Si vous n’aimez pas mon corps, ne me suivez pas sur les réseaux sociaux, ne me regardez pas, car je ne vais pas abandonner. Si je n’avais pas le corps que j’ai, je n’aurais pas la carrière que j’ai. J’adore être sexy. J’en suis fière.   Je l’avais déjà dit auparavant, je souhaite que chacun arrive à un stade de sa vie où il préfère parler de choses qui l’inspire plutôt que de choses qui font du mal aux autres (…)“.

Aurélie SognyClick Here: camiseta rosario central

On a souvent tendance à se coucher plus tard et à profiter plus longuement de notre lit le week-end. Pourtant, une nouvelle étude révèle qu’il veut mieux, pour la santé, se coucher et se lever à la même heure tous les jours de la semaine.

Les grasses matinées du week-end seraient néfastes pour la santé.

Ceux qui travaillent en semaine attendent bien souvent le week-end avec impatience pour dormir plus longtemps. Mais, ces grasses matinées seraient néfastes pour la santé. En effet, se coucher et se lever à des horaires différents le week-end et la semaine pourrait entraîner des problèmes métaboliques. C’est en effet ce que révèle une étude américaine publiée dans le 

Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism. Risques plus élevés de maladies cardiovasculairesPour dresser ce constat, des chercheurs américains de l’université de Pittsburgh en Pennsylvanie ont analysé le schéma de sommeil et le risque cardiométabolique de 447 hommes et femmes, participants à la phase 2 de l’étude Adult Health and Behavior Project. Les participants étaient âgés de 20 à 54 ans, travaillaient au moins 25 heures par semaine et portaient des bracelets mesurant leurs mouvements et leur sommeil sur 24 heures durant une semaine. Les volontaires ont également complété des questionnaires sur leurs habitudes alimentaires et pratiques sportives.L’étude a démontré que 85 % des participants présentaient un décalage dans leurs cycles de sommeil, se réveillant plus tardivement durant leurs jours de congé que pour aller travailler. Ils n’étaient que 15 % à avoir un cycle raccourci en se réveillant plus tôt le week-end qu’en semaine.Mais surtout, les chercheurs ont observé que les sujets présentant un décalage de sommeil le plus important entre jours travaillés et jours chômés étaient aussi ceux qui avaient les plus mauvais

taux de cholestérol, les plus forts taux de résistance à l’insuline, un important tour de taille et un

Indice de masse corporel (IMC) élevé. Des effets mêmes chez des personnes en bonne santé Ces problèmes de santé pourraient s’expliquer par le dérèglement de l’horloge circadienne, qui perturberait le rythme biologique établi sur 24 heures avec les phases d’éveil et de sommeil auxquelles sont soumis les êtres humains et les animaux. La perturbation du sommeil est l’un des facteurs à l’origine de l’augmentation des maladies du métabolisme comme le diabète et l’obésité, même chez des personnes sans problème de santé.Inadéquation entre le rythme circadien et l’emploi du temps de sommeil socialement imposéCe décalage horaire social, que les scientifiques nomment “social jetlag“, persistait même lorsque les scientifiques ajustaient d’autres variables liées au sommeil et habitudes de vie, telles que l’activité physique ou l’apport calorique. “Le décalage horaire social se réfère à l’inadéquation entre le rythme circadien biologique individuel et l’emploi du temps de sommeil socialement imposé“, analyse Patricia M.Wong. “D’autres chercheurs ont découvert que le décalage horaire social était corrélé à l’obésité ainsi qu’à des indicateurs de la fonction cardiovasculaire. Notre étude est toutefois la première à aller au-delà de ce travail et à montrer que, même parmi des

adultes travaillant, en bonne santé et éprouvant un moindre éventail d’inadéquation dans leurs habitudes de sommeil, le décalage horaire social peut contribuer à des problèmes du métabolisme“, conclut les chercheurs.Elodie-Elsy Moreau avec AFP/Relaxnews Sources : Press.endocrine.org, Social Jetlag, Chronotype, and Cardiometabolic Risk; (

étude en ligne)Click Here: cheap Cowboys jersey

Marisol Touraine donne son feu vert aux expérimentations des salles de consommation à moindre risque, plus communément appelées “salles de shoot“. L’arrêté publié aujourd’hui au Journal Officiel précise les modalités concrètes que devront respecter ces espaces. Les premières salles à Paris et Strasbourg pourraient être ouvertes avant la fin de l’année.

Avec la publication de l'arrêté précisant les modalités à respecter, toutes les conditions légales sont désormais réunies pour que les expérimentations de “salles de shoot“ débutent.

L’arrêté publié aujourd’hui fixe les modalités concrètes (présence du matériel médical, horaires d’ouverture, déroulement de la consultation d’accueil, etc.) que devront respecter les associations porteuses de projets de salles de consommation à moindre risque (SCMR), en lien avec les collectivités locales.Salles de shoot : pour qui et pourquoi ?Pour rappel, les SCMR sont un nouveau dispositif visant à réduire les risques auxquels s’exposent les usagers de drogues, voté dans le cadre de

la loi de modernisation de notre système de santé. Ces 

salles de shoot, destinées à des toxicomanes très désocialisés pour éviter qu’ils se droguent dans la rue, ne pourront accueillir que des usagers majeurs, qui apporteront leur propre produit pour leur seule consommation sur place, sous supervision d’une équipe de professionnels de santé. Les salles de consommation à moindre risque permettront aux toxicomanes de consommer leurs propres produits dans de bonnes conditions d’hygiène et sous la supervision de personnels de santé.

Elles existent dans près d’une dizaine de pays, dont la Suisse et l’Allemagne. En 2009, il existait déjà 25 CIS dans 16 villes en Allemagne, 1 en Australie, 1 au Canada, 6 dans 3 villes en Espagne, 1 au Luxembourg, 1 en Norvège, 45 dans 30 villes aux Pays-Bas et 12 dans 8 villes en Suisse. “L’expérience étrangère a en effet montré que les SCMR permettent aux usagers de recevoir conseils spécifiques, induisant ainsi une diminution des comportements à risque, des overdoses mortelles et parfois même l’accompagnement vers des traitements de substitution. Ont également été mis en évidence une réduction de l’usage de drogues en public et des nuisances associées“ précise le communiqué du ministère de la Santé.Les objectifs des salles de consommation à moindre risqueUne expertise collective de l’Inserm publiée en 2010, ainsi que 

d’autres travaux scientifiques publiés dans des revues de 

référence Lancet ont permis de souligner l’intérêt de ces salles de consommation à moindre risque pour :- éviter les infections, les surdoses mortelles et les autres complications sanitaires des usagers les plus marginalisés en leur fournissant des conditions d’injection sécurisée et du matériel stérile ;- permettre à ces usagers d’entrer en contact avec des  professionnels du soin et de l’accueil médico-social, pour les inciter notamment à se soigner ;- améliorer la situation pour les riverains, dans des quartiers où les toxicomanes sont nombreux, en réduisant le nombre d’injections et la présence de seringues usagées dans l’espace public.Salles de shoot : ce que prévoit la loiComme le précisait la loi de santé adoptée en avril 2015, l’arrêté précise que l’expérimentation durera 6 ans des “salles de consommation à moindre risque“ destinées aux toxicomanes. L’expérimentation sera d’abord proposée à Paris, Bordeaux, Marseille et Strasbourg. Le cadre juridique précise que les toxicomanes détenant pour leur seul usage et consommant des stupéfiants dans ces salles ne pourront être poursuivis pour usage et détention illicite. Les professionnels des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques chez les usagers de drogue (Carrud) y intervenant ne pourront être poursuivis pour complicité d’usage illicite de stupéfiants. Le coût de ces salles est estimé à environ 800 000 euros par an, si l’on se base sur le projet d’expérimentation parisien. Le financement est assuré par l’Etat, via le ministère de la santé, les collectivités territoriales, les associations et la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca).“Il ne s’agit en aucun cas de banaliser la consommation de drogues. Mais fermer les yeux face à telle une réalité sociale et sanitaire ne fera pas disparaître le problème. La France fait donc le choix d’inclure plutôt que d’exclure. D’accompagner,  plutôt que de stigmatiser“ a déclaré Marisol Touraine.David BêmeSources :Communiqué du ministère de la Santé – 25 mars 2016Arrêté du 22 mars 2016 portant approbation du cahier des charges national relatif à l’expérimentation d’espaces de réduction des risques par usage supervisé, autrement appelés « salles de consommation à moindre risque » – JORF n°0072 du 25 mars 2016 – texte n° 19 (

accessible en ligne)Photo : VALINCO/SIPAClick Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Michael Bloomberg Not Running For President

April 21, 2020 | News | No Comments

NEW YORK — Michael Bloomberg won’t be moving into the White House. The former New York City mayor and multibillionaire financial services magnate announced Tuesday that he will not run for president after months of mulling a 2020 campaign.

In an article on his eponymous website, Bloomberg said he will instead continue his work to fight climate change, promote gun control and back candidates “who can provide the leadership we need” on those and other crucial issues.

“I’ve come to realize that I’m less interested in talking than doing,” Bloomberg wrote. “And I have concluded that, for now, the best way for me to help our country is by rolling up my sleeves and continuing to get work done.”

Bloomberg served three terms as the city’s chief executive, first as a Republican and then as an independent. He officially registered as a Democrat in October amid speculation that he would mount a presidential campaign under the party’s banner.

Bloomberg said he felt confident that he would beat President Donald Trump in a general election, but was “clear-eyed” about how hard it would be to defeat an already crowded field for his new party’s nomination.

The nation’s most dire problems — including climate change and gun violence — are also likely to worsen in the next two years, Bloomberg said. He said he’s launching a new “grassroots effort” called Beyond Carbon to address the former issue by pushing the nation toward 100 percent renewable energy “as quickly as possible.”

While the Democratic Party has moved to the left, Bloomberg has reportedly questioned the #MeToo movement and stood behind the controversial stop-and-frisk tactics the NYPD used during his tenure as mayor.

Even though he won’t be joining the field of presidential hopefuls, Bloomberg warned his fellow Democrats against picking someone too liberal to beat Trump.

“It’s essential that we nominate a Democrat who will be in the strongest position to defeat Donald Trump and bring our country back together,” Bloomberg wrote. “We cannot allow the primary process to drag the party to an extreme that would diminish our chances in the general election and translate into ‘Four More Years.'”

NEW JERSEY — A person is in custody in New Jersey in connection with the shooting death of the reputed boss of the Gambino crime family Francesco Cali, the NYPD confirmed on Saturday.

The NYPD said 24-year-old Anthony Comello has been taken into custody. Comello, who was apprehended in New Jersey, is expected to be charged with the murder of Cali, officials said at a press conference.

Comello was being held in the Ocean County jail on no bail this weekend.

The accused killer was snatched up by the New York/New Jersey Regional Task Force three days after the mobster known as “Franky Boy” was murdered outside his Staten Island home, according to The New York Daily News.

The suspect’s fingerprint was lifted from Cali’s car — possibly off the license plate of the mob boss’s Cadillac Escalade SUV, according to The Daily News.

Comello was taken into custody in Brick, about 50 miles from where he allegedly lured Cali to his death by staging a car crash, plowing a pickup truck into the mob boss’s parked SUV outside his house on Wednesday night, according to NBC4 and The Daily News.

Cali, 53, was then shot dead in front of his home on Wednesday night, according to police and reports. He suffered multiple gunshot wounds to the torso and was rushed to Staten Island University North where he was pronounced dead, police said.

A blue pickup truck was seen fleeing from the scene. NYPD Chief of Detective Dermot Shea said at a press conference that the truck was recovered when authorities apprehended Comello in New Jersey.

Shea said the investigation was far from over.

The New Tork Post described Comello as a “Staten Island hothead” who killed the Gambino boss because he had a personal beef, police and sources said. Comello, 24,works odd construction jobs, the report said.

This report will be updated.

Feroze Dhanoa and Colin Miner contributed reporting. Brendan Krisel contributed to this report.

Dans le cadre de la modernisation du système de santé, les sénateurs ont voté un amendement à la loi Santé en faveur d’un contrôle de la pratique promotionnelle des “Happy Hours“. Le but : faire cesser des pratiques entraînant une consommation excessive d’alcool.

Le sénat souhaite lutter contre les nouvelles pratiques de la jeunesse en matière d’alcoolisation massive.

Pendant les “heures joyeuses“, les débits de boissons offrent à leurs clients des réductions sur les prix des coktails, bières et autres boissons alcoolisées. Ces tarifs attractifs pousseraient les jeunes à boire plus pour moins cher, et donc à pratiquer le “

binge drinking “, qui est très dangereuse pour la santé des consommateurs.Un prix minimum fixé par décretEn premier lieu, les sénateurs considèrent que “le prix unitaire des boissons alcoolisées pratiqué par les commerçants lors d’opérations de promotion ponctuelle dans le temps ne peut être inférieur à un seuil, fixé par décret, correspondant à une fraction du prix de vente unitaire affiché dans l’établissement“.Ainsi, les sénateurs ont donné leur accord pour qu’un seuil maximum de réduction soit mis en place. Une boisson ne pourrait ainsi voir son prix diminuer de moitié pendant les “Happy Hours“, mais par exemple de 30% tout au plus.Protéger les jeunes contre l’alcoolisationCette mesure permettrait, pour ses défenseurs, de décourager les jeunes consommateurs qui n’auraient ainsi plus les moyens de consommer de nombreux verres dans les bars. En effet, les sénateurs déclarent dans l’amendement adopté que l’article 4 du projet de loi de modernisation de notre système de santé “vise à renforcer les moyens de lutter contre les nouvelles pratiques de la jeunesse en matière d’alcoolisation massive“.

La consommation d’alcool chez les jeunes est particulièrement préoccupante. La recherche d’ivresse est véritablement marquée dans les jeunes générations. En 10 ans, la part des 18-25 ans ayant connu une ivresse dans l’année est passée de 33 % à 46 % et la part de ceux en ayant connu au moins trois a presque doublé, de 15 % à 29 %“,  alertait François Bourdillon, directeur général de l’Inpes, lors de l’examen du projet de loi à l’Assemblée. Aujourd’hui, le “

binge drinking“ s’observe surtout chez les plus jeunes :  selon le

dernier baromètre santé, 14 % des 15-24 ans, 10 % des 25-34 ans et 6 % des 35-44 ans ont bu cette année pour s’enivrer. Ce mode de consommation d’alcool excessive aussi appelé “beuverie express“ s’est particulièrement développé depuis une trentaine d’années.Pour ses détracteurs, un risque d’aggraver le problèmeLes détracteurs à ce projet de loi avancent en revanche qu’il aggraverait le problème. En effet, plus de 85% de l’

alcool consommé en France est acheté en supermarché.Limiter les tarifs des “Happy Hours“ risquerait, pour les opposants à l’amendement, d’encourager les jeunes à boire encore plus d’alcool, de moins bonne qualité, à domicile.Avec AFP/RelaxnewsSource :

Projet de loi du sénat  du 14 septembre 2015.

Le vaccin antigrippe, disponible en pharmacie depuis ce matin, devrait être efficace à 60% cet hiver, selon les autorités sanitaires américaines. Les souches virales correspondant exactement à ce que l’on retrouve dans le nouveau vaccin.

Le vaccin contre la grippe devrait être plus efficace en 2015-2016.

L’épidémie de grippe, particulièrement virulente l’an passé, notamment en raison de la faible efficacité du vaccin (13 à 20%°), ne devrait rester qu’un mauvais souvenir si l’on en croit les autorités américaines. Les Centres fédéraux américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont annoncé, en septembre dernier, que la composition du nouveau vaccin, devrait se révéler beaucoup plus efficace cet hiver apportant un taux de protection compris entre 50 et 60%.Pourquoi l’efficacité du dernier vaccin était décevante ?C’est en février qu’est élaboré le vaccin antigrippal qui doit être commercialisé dans les pays de l’hémisphère nord à l’automne suivant. Le choix des souches virales entrant dans sa composition repose donc sur les souches en circulation dans les pays de l’hémisphère sud 6 mois auparavant. D’après les données américaines, les virus grippaux en circulation qui prédominaient en 2015 étaient de type A(H3N2), c’est donc eux qui ont été sélectionnés majoritairement pour élaborer le vaccin. Problème, 70% d’entre eux ont évolué depuis qu’ils ont été sélectionnés en février pour entrer dans la composition du vaccin, avec pour conséquence un “manque d’efficacité contre ces sources éloignées“.Cette année, un vaccin nettement plus efficace“L’an passé a été très décevant compte tenu de ce que le vaccin est capable de faire, explique le docteur William Schaffner, professeur en médecine préventive et des maladies infectieuses de l’université Vanderbilt de Nashville (États-Unis). En ce moment, nous sommes raisonnablement confiants que nous allons avoir une bonne articulation entre les souches virales en circulation présumées et ce qu’il y a dans le vaccin“.Cela peut s’expliquer par la présence dans le nouveau vaccin des différentes souches du virus en circulation, dont H3N2, qui reste virulente, et H1N1, apparu en 2009. Le vaccin 2015-2016 protègerait contre 3 des 4 principales souches, selon le Dr Schaffner qui rappelle néanmoins que la grippe est versatile, mais que si même une seule souche mute, le vaccin restera efficace.De nouveaux vaccins sur le marchéDe nouveaux vaccins devraient également être disponibles sur le marché français : il s’agit du vaccin vivant atténue administré par voie intranasale et des vaccins quadrivalents, dont la composition inclut une souche supplémentaire de virus grippal de type B par rapport aux vaccins trivalents.Une quinzaine de jours est nécessaire pour être protégé. L’an passé, la plupart des cas de grippe avaient été provoqués par la seule souche virale H3N2 qui a muté de façon très rapide après la fabrication du vaccin. “Une situation très inhabituelle“, remarque Dr Joseph Breese, médecin épidémiologiste au CDC.En France, l’épidémie de grippe 2015-2016 avait été responsable d’un excès de mortalité estimé à 18.300 décès à l’échelle du pays selon l’Institut national de veille sanitaire (Invs). Près de 50% des personnes admises dans des centres de réanimation n’avaient pas été vaccinées.La vaccination est recommandée chez toutes les personnes de plus de 65 ans, ainsi que chez les personnes fragiles, femmes enceintes et malades chroniques. La

campagne nationale de vaccination contre la grippe a été lancée le 12 octobre.Avec AFP/RelaxnewsSource : CDC

Si aujourd’hui, seulement 5 % des femmes donnent naissance à leur enfant à la date estimée de leur terme, une nouvelle méthode pourrait permettre de mieux évaluer le jour de l’accouchement…

Ce nouveau procédé permettrait d'évaluer la date de l'accouchement à plus ou moins 7 jours.

Connaître précisément la date de son accouchement est un souhait de nombreuses futures mamans. Or, aujourd’hui, seules 5 % des femmes donnent naissance à leur enfant à la date estimée de leur terme. Une nouvelle méthode pourrait faire grimper significativement ce taux et permettre aux médecins et

sages-femmes de mieux évaluer la date de l’accouchement. Celle-ci consiste à mesurer la longueur cervicale du canal du col de l’utérus grâce à une échographie transvaginale entre la 37 et la

39e semaine de grossesse. En effet, si jusqu’ici, ces échographies par voie vaginale étaient essentiellement utilisées pour prévoir le risque d’accouchement prématuré, cette méthode pourrait aussi permettre d’indiquer, avec précision, la date du terme pour les grossesses sans complication. Mesurer le col de l’utérus en fin de grossesseLa revue BJOG (An international journal of obstetrics and gynaecology) a publié, le 28 octobre dernier, les résultats d’une méta-analyse menée par des chercheurs de l’université italienne de Naples, en collaboration avec des scientifiques de l’université Thomas Jefferson de Pennsylvanie, aux Etats-Unis. Ces derniers se sont basés sur cinq études, portant, au total sur 735 patientes, attendant un seul bébé. Les scientifiques se sont aperçus que lorsque le col de l’utérus mesurait moins de 30 millimètres, les femmes avaient moins de 50 % de chance d’accoucher dans la semaine. En revanche, si le col de l’utérus mesurait 10 millimètres ou moins, les patientes avaient 85 % de chance d’accoucher lors des sept prochains jours. Enfin, celles ayant un col mesurant 5 millimètres accouchaient, dans 94 % des cas, dans la semaine. Et pour cause, le col de l’utérus se modifie au cours de la grossesse, et ce, jusqu’au terme. Plus l’accouchement approche, plus le bébé est bas et

plus le col de l’utérus est mou et court.Ce procédé simple et peu invasif pourrait dorénavant être un examen de routine en fin de grossesse pour rassurer et informer les futurs parents.Source : Transvaginal ultrasound cervical length for prediction of spontaneous labour at term : a systematic review and meta-analysis, Dr G. Saccone, B. Simonetti, V. Berghella; BJOG; 28 octobre 2015 (

abstract en ligne)