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Puma annonce que la top britannique Cara Delevingne sera le visage de sa nouvelle campagne femme "Do You", placée sous la direction de Rihanna, autre égérie de marque, mais également directrice artistique de la marque.

Première image de Cara Delevingne pour la campagne "Do You" de Puma ©Courtesy of PUMA

La campagne va être lancée d’ici la fin septembre 2016 jusqu’à la fin de l’année. Elle fera la part belle aux collections de course à pied, de training et de sportswear.D’autres personnalités participeront à cette campagne, dont Mimi Staker et Olivia Boisson du ballet de New York, les athlètes allemandes Alexandra Wester et Tatjana Pinto ou bien encore les volleyeuses cubaines Leila Consuelo Ortega Martinez et Lianma Flores Stable.Click Here: cheap sydney roosters jersey

Une nouvelle étude suggère que non seulement promener son chien permet d’être plus actif physiquement, mais cela permet aussi de se sentir plus en sécurité dans son quartier.

Conduite par le docteur Hayley Christian de l’université d’Australie-Occidentale (University of Western Australia, UWA), cette étude est la première de son genre au niveau international à examiner systématiquement les corrélations entre la promenade du chien, l’activité physique et le sentiment de sécurité des gens dans leur voisinage.Promener son chien participe à l’activité physiquePlus de 1000 propriétaires de chiens habitant à Perth (Australie) et à San Diego, Nashville et Portland (États-Unis) ont été suivis pour l’étude, et les chercheurs ont découvert que, dans chacune de ces quatre villes, les chiens étaient promenés cinq à six fois par semaine pour une durée cumulée hebdomadaire supérieure à 90 minutes.Cela signifie que les gens qui promènent leur chien réussissent à faire au moins 30 minutes supplémentaires d’activité physique (et sur un plus grand nombre de jours) par rapport aux autres, et qu’ils atteignent ainsi les 150 minutes d’activité hebdomadaire recommandées pour rester en bonne santé.Une forme de contrôle social par la promenadeEn outre, l’équipe a découvert que presque 60 % des promeneurs de chien, en Australie comme aux États-Unis, disent se sentir plus en sécurité lorsqu’ils marchent avec leur animal. Ce sentiment accru de sécurité est encore plus prononcé chez les femmes que chez les hommes, et chez les Américains que chez les Australiens de l’étude, ce qui peut sans doute s’expliquer par le fait que davantage de gens, à Perth, promènent leur chien dans un parc plutôt qu’autour de leur quartier.”Les propriétaires de chien sont également trois fois plus enclins à marcher dans leur quartier, ce qui suggère que promener son chien permet de mieux connaître son environnement et ses voisins“, explique le docteur Christian. “Cette forme naturelle de contrôle social offre aux gens des occasions d’interaction et leur permet de surveiller leur quartier afin d’y remarquer les comportements inhabituels, ce qui peut contribuer à décourager la délinquance et la criminalité et à rassurer les habitants“. Le docteur ajoute que puisqu’ils sont souvent dehors, les propriétaires de chien peuvent ainsi devenir “les yeux et les oreilles du quartier“.Le docteur Christian pense que les résultats de l’étude illustrent non seulement les bénéfices à la fois sociaux et physiques que procure le fait de promener des chiens, mais également le besoin de mettre en place davantage de politiques et de programmes de santé qui apportent une aide spécifique à leurs maîtres.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé vendredi que le virus Zika, lié à de graves anomalies cérébrales chez les nourrissons, n’était plus "une urgence de santé publique de portée mondiale", suscitant aussitôt l’inquiétude dans les régions les plus concernées.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé vendredi que le virus Zika, lié à de graves anomalies cérébrales chez les nourrissons, n'était plus "une urgence de santé publique de portée mondiale".

Le virus Zika reste un problème hautement important à long terme (…) mais ce n’est plus une urgence de santé publique de portée mondiale“, a déclaré le Dr David Heymann, président du Comité d’Urgence de l’OMS sur Zika lors d’une conférence de presse virtuelle.Le statut d’Urgence de santé publique mondiale avait été décrété le 1er février”Le Comité d’Urgence estime que le virus Zika et ses conséquences restent un défi de santé publique persistant et important, qui requiert une action intense, mais ne représente plus une urgence de santé publique telle que définie par les Règlements de santé internationaux“, a souligné l’OMS dans un communiqué.”Nous ne minimisons pas l’importance de ce virus“, a toutefois tenu à relever le Dr Peter Salama, directeur exécutif du Programme d’urgences de santé de l’OMS, lors de la conférence de presse.”En fait, en en faisant un programme de travail d’une durée plus longue, nous envoyons le message que Zika est destiné à durer et que la réponse de l’OMS va se maintenir d’une manière très solide“, a-t-il ajouté.Depuis 2015, 73 pays sont touchés par le virus Zika, majoritairement en Amérique Latine et dans les Caraïbes, et quelque 23 pays ont annoncé avoir constaté des cas de microcéphalie et de syndrome de Guillain-Barré, atteinte neurologique elle-aussi potentiellement liée à Zika. Ces deux affections peuvent être mortelles.”L’infection par le virus Zika et les conséquences qui y sont liées (…) doivent être gérées par l’OMS, les Etats et les autres partenaires de la même façon que d’autres menaces de maladies infectieuses sont traitées“, a estimé l’OMS dans son communiqué.”Beaucoup d’aspects de cette maladie et des conséquences qui y sont liées restent encore à être élucidées, mais cela peut être fait encore mieux par une recherche soutenue“, a ajouté l’organisation.Le virus se transmet par la piqûre du moustique Aedes aegypti, mais aussi par voie sexuelle.Inquiétude au BrésilL’annonce de l’OMS a immédiatement suscité une réaction particulièrement inquiète au Brésil, qui compte le plus de cas de microcéphalies potentiellement liés à Zika avec un total de 2.033, suivi par la Colombie (46 cas).”Nous sommes préoccupés du fait que le message de l’OMS puisse être interprété comme un signe négatif, que le (virus) Zika n’est plus une urgence, une priorité. L’effort international doit continuer, ne peut pas baisser. Le problème du Zika ne disparaît pas avec le fait que (le virus) n’est plus une urgence de santé publique mondiale“, s’est alarmé pour l’AFP Paulo Gadelha, le président de la Fondation gouvernementale brésilienne Oswaldo Cruz (Fiorcruz), chargée de lutter contre les problèmes de santé publique au Brésil.Le ministre brésilien de la Santé, Ricardo Barros, avait d’ailleurs annoncé vendredi devant la presse à Brasilia, quelques heures avant la conférence de presse de l’OMS, que le Brésil maintenait tout son territoire en situation d’urgence de santé publique en raison de Zika et ce, “jusqu’à ce que le suivi (de la situation) nous donne toute tranquillité”.”Je pense que c’est une mesure tout à fait appropriée pour le Brésil de continuer à maintenir l’urgence car c’est une urgence dans beaucoup de pays“, a reconnu le Dr Heymann. “Toutefois, comme je l’ai dit, une urgence de santé publique de portée mondiale a une connotation spéciale (…) ces règlements sont destinés à amener le monde à identifier et travailler sur des questions variées qui ont une portée globale“.Un expert des questions sanitaires à l’université de Georgetown à Washington, Lawrence Gostin, a estimé aussi que la décision de l’OMS était “assez inquiétante”, à l’approche de la saison d’été dans l’hémisphère sud, avec les risques liés aux moustiques que cela représente.Les Etats-Unis sont également concernés car la Floride (sud-est) a enregistré de nombreux cas de microcéphalies et Guillain-Barré liés à Zika.”La réponse internationale au virus Zika a été léthargique et (la décision) de l’OMS fournit des arguments aux gouvernements et aux donateurs à se retirer encore davantage” de la lutte contre le virus, a déploré cet expert.Click Here: New Zealand rugby store

En décembre, le Comité des médicaments à usage humain (CMPH) de l’Agence Européenne a recommandé l’autorisation de 7 nouveaux médicaments en vue de leur commercialisation en Europe, ce qui porte à 81 le nombre de nouveaux médicaments ayant eu le feu vert en 2016, soit 12 de moins qu’en 2015.

En 2016, l'Europe aura approuvé 81 médicaments, soit 12 de moins qu'en 2015.

Lors de la réunion qui s’est tenue du 14 au 17 décembre 2015, le Comité des médicaments à usage humain de l’Agence européenne du médicament (EMA) a recommandé l’autorisation de 9 nouveaux produits ayant des indications très diverses. Au cours de cette année,

12 médicaments de moins qu’en 2015 ont ainsi eu un avis favorable en Europe.Les 7 médicaments ayant eu un avis favorable en décembre 2016- Olumiant® (baricitinib) a eu un avis favorable d’octroi d’AMM (Autorisation de mise sur le marché dans le traitement de la

polyarthrite rhumatoïde active modérée à sévère. Il s’agit d’un traitement pris par voie orale, qui peut être prescrit seul ou en association avec du méthotrexate.- Alecensa® (alectinib) dans le traitement du

cancer du poumon non à petites cellules au stade avancé et positif au marqueur ALK (Anaplastic Lymphoma Kinase).- Lifmior® (

etanercept) a reçu un avis favorable dans le traitement de l’

arthrite chronique juvénile idiopathique, du rhumatisme psoriasique

rhumatisme psoriasique, de

spondylarthrite axiale, du

psoriasis en plaques (chez l’adulte et l’enfant).- Truxima® (

rituximab) pour traiter les patients atteints de

lymphome non Hodgkingien, de

leucémie lymphoïde chronique, de polyarthrite rhumatoïde et de

granulomatose avec polyangéite et

polyangéite microscopique.- Ledaga® (chormethine) dans le traitement de

mycose fungoïde (lymphome cutané à cellules T). Cette recommandation est issue des données cliniques d’autres produits de référence.- Le médicament générique

prégabaline Zentiva (prégabaline) a reçu un avis positif dans le traitement de l’

épilepsie, de la

douleur neuropathique et de l’

anxiété.- Vihuma® (simoctocog alpha) pour la prévention et le traitement des saignements chez des patients atteints d’hémophilie

hémophilie A.Par ailleurs, le CMPH a recommandé l’autorisation de commercialisation de Zinplava (bezlotoxumab) dans la prévention des récidives

d’infections à Clostridium difficile, et cela dans une procédure écrite en novembre 2016.En outre, le CMPH a recommandé neuf extensions d’indications thérapeutiques et émis 4 avis négatifs au cours de l’année.Au total, en 2016, 81 nouveaux médicaments ont reçu un avis favorable. Pour les 7 derniers, les recommandations du CMPH sont transmises à la Commission européenne qui rendra ses décisions d’octroi d’AMM dans l’ensemble des pays de l’Union européenne.

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Le gouvernement a décidé de suspendre l’utilisation du métam-sodium, un pesticide utilisé notamment par les producteurs de mâche, jusqu’à fin janvier 2019, après la survenue récente de plusieurs cas d’intoxication de personnes lors de traitements phytosanitaires”, selon un décret publié vendredi 26 octobre au Journal officiel. L’utilisation des produits phytopharmaceutiques contenant la substance active ‘métam’ ou ‘métam-sodium’ est suspendue”, précise le texte, “considérant qu’il existe des doutes sur la possibilité d’utiliser les produits concernés de façon sûre selon les modalités actuellement en vigueur”.>> ENQUETE FRANCEINFO. Un “poison”, une “kalachnikov”… Inquiétudes autour du métam-sodium, le pesticide qui a intoxiqué 70 personnes dans le Maine-et-LoireL’utilisation du métam-sodium était déjà interdite en Maine-et-Loire, où des dizaines de personnes ont récemment été intoxiquées par ce produit. “La suspension au niveau national est “une sage décision pour la santé des agriculteurs et des citoyens”, ont réagi des députés LREM des Pays de la Loire, dont Matthieu Orphelin, dans un communiqué. “Il faut maintenant accompagner les acteurs dans le déploiement rapide des alternatives existantes.” L’Anses doit se prononcer sur l’utilisation de ce produit fin novembre.Après le Maine-et-Loire, le gouvernement a par ailleurs fait état d’“un quatrième cas d’intoxication” respiratoire signalé, “la semaine passée”, dans le département du Finistère.

Des experts ont tiré la sonnette d’alarme: le nombre de cas de stéatohépatite non alcoolique est en pleine croissance en raison de l’explosion du nombre de personnes obèses et diabétiques. Pour ces personnes non alcooliques et sans hépatite virale, le risque de développer une cirrhose ou un cancer du foie est important. Un problème de santé majeur d’autant que la stéatohépatite non alcoolique évolue de manière silencieuse.

Le nombre de cas de cirrhose et cancers du foie risque d'augmenter avec l'épidémie d'obésité et de diabète.

Plus de 250 spécialistes réunis à l’Institut Pasteur de Paris le 25 et 26 juin ont alerté le public sur le risque de voir augmenter le nombre de

cirrhoses et

cancers du foie . La raison ? De plus en plus de gens présentent des tests hépatiques perturbés en l’absence d’

alcoolisme ou d’

hépatite virale. Il s’agit de personnes présentant un

surpoids ou obésité, un

diabète ou un

syndrome métabolique ou encore une

hypertension artérielle.Rappel sur la stéatohépatite non alcooliquePlus connu sous le terme de

stéatose hépatique non alcoolique  (NASH pour son acronyme en anglais), la stéatohépatite non alcoolique correspond à une accumulation d’acides gras sous forme de

triglycérides dans le foie. Cette anomalie est surtout retrouvée chez les personnes diabétiques, en surpoids, obèses ou présentant un syndrome métabolique. Ces personnes ont une

résistance à l’insuline et une quantité importante de graisses viscérales qui vont s’accumuler dans le foie.Les spécialistes rappellent que la cause principale de cette anomalie est une alimentation riche en graisses saturées et en

cholestérol  et pauvre en graisses non saturées, en fibres et en vitamines C et E. De plus, les personnes consomment des boissons riches en fructose, qui contribue aussi à l’accumulation d’acides gras dans le foie.Une augmentation parallèle à l’épidémie d’obésité et de diabèteLa prévalence de surpoids, d’obésité et de diabète est en constante croissance et des études montrent que plus d’un tiers des Américains auraient une stéatose non alcoolique dans les populations à risque.Le problème est que cette anomalie hépatique est asymptomatique mais évolue lentement dans le temps vers la fibrose, la cirrhose et éventuellement vers un cancer du foie. Résultat : lorsque les symptômes apparaissent, il est souvent trop tard car il n’existe pas à l’heure actuelle de traitement curatif contre ces atteintes du foie.Alerter mais surtout prévenirFace à ces constats et pour éviter de faire face à une explosion de maladies du foie irréversibles, les spécialistes insistent tout particulièrement sur des actions de prévention en insistant sur des mesures hygièno-diététiques : perdre du poids, éviter les aliments riches en graisses saturés en cholestérol ou en fructose, avoir une activité physique régulière. Adoptées à temps, ces mesures peuvent faire régresser la stéatose hépatique et par là même, prévenir la

fibrose, la

cirrhose et le

cancer primitif du foie.Les spécialistes soulignent l’importance de cette prévention et réitèrent leur message d’alerte : “Il est important aujourd’hui de tirer la sonnette d’alarme car dans les années à venir, il faut nous attendre à devoir faire face à une véritable épidémie de cancers du foie et de cirrhose“.Dr Jesus CardenasClick Here: Cheap Golf Golf Clubs

Le nombre de bénéficiaires des aides à l’accès aux soins (CMU-C et ACS) a continué de croître en 2016, mais à un rythme ralenti, pour atteindre les 7 millions de personnes, selon des données communiquées mardi par le Fonds CMU.

Le nombre de bénéficiaires des aides à l'accès aux soins (CMU-C et ACS) a continué de croître en 2016 selon des données communiquées par le Fonds CMU.

Fin 2016, près de 5,5 millions de personnes avaient bénéficié de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C), qui permet de se faire soigner gratuitement en cas de faibles revenus. Un chiffre en hausse d’1,9% sur un an et sur l’ensemble du territoire.Dans le détail, le nombre de ces bénéficiaires a progressé de 2,4% en métropole et baissé d’autant dans les DOM, où les effectifs “sont en régression depuis le mois de mars 2016”, constate le Fonds CMU.Fin 2015, le nombre de bénéficiaires de la CMU-C avait augmenté de 4% en métropole et de 0,2% dans les DOM par rapport à fin 2014, rappelle-t-il.L’année dernière, la “dépense totale de soins prise en charge pour les bénéficiaires de la CMU-C au régime général” représentait 1,84 milliard d’euros, pour un coût moyen de 417 euros par bénéficiaire, en “baisse de 1,6% sur l’année“.Parallèlement, près de 1,5 million de personnes ont obtenu une attestation ouvrant droit à l’ACS (aide à l’acquisition d’une complémentaire santé), soit une hausse de 8,2% par rapport à 2015.L’ACS s’adresse aux personnes aux revenus modestes (moins de 980 euros par mois environ pour une personne seule) mais supérieurs au plafond d’attribution de la CMU-C (environ 730 euros par mois pour une personne seule). Elle prend la forme d’un “chèque santé” à présenter à sa mutuelle ou son assureur pour réduire le montant de sa cotisation annuelle.Parmi les bénéficiaires de l’attestation, 1,12 million de personnes l’avaient ainsi utilisée fin 2016 pour souscrire l’une des complémentaires labellisées par le gouvernement dans le cadre d’une réforme lancée en 2015.Entre avril et décembre 2016, le taux d’utilisation des attestations ACS est “passé de 70% à près de 78%”, se félicite le Fonds CMU.Plus des trois quarts des personnes couvertes par un contrat ACS, qui ont le choix entre trois niveaux de garanties, ont souscrit des offres de niveau supérieur et/ou intermédiaire.Click Here: cheap nsw blues jersey

61% des Français seraient prêts à avoir recours à une procréation médicalement assistée (PMA) en cas de difficultés à concevoir un enfant et 32% à faire appel à une gestation pour autrui (GPA), selon une enquête MGEN/OpinionWay sur la perception des Français de la parentalité et des aides à la procréation rendue publique ce mercredi 24 janvier.

94% des interrogés déclarent connaître la PMA, 91% la congélation des ovocytes et 90% la gestation pour autrui (GPA).

Près de 2 Français sur 10 rencontrent ou ont déjà rencontré des difficultés à avoir un enfant, révèle une enquête MGEN/OpinionWay.54% des Français connaissent au moins une personne ayant eu recours à l’adoption à l’étranger (34%) et la

procréation médicalement assistée (PMA) en France (33%) pour avoir un enfant, toujours selon l’étude.Concernant les différentes formes de procréation, 94% des interrogés déclarent connaître la PMA, 91% la

congélation des ovocytes et 90% la

gestation pour autrui (GPA). 74% des Français jugent l’ouverture de la PMA à toutes les femmes, comme une avancée sociale importante. 61% seraient prêts à y avoir recours si besoin et 32% ayant eu des difficultés pour concevoir un enfant y ont eu recours, selon l’étude.60% des Français seraient favorables à la légalisation de la congélation d’ovocytes en France. Près de la moitié des Françaises (48%) concernées seraient d’ailleurs prêtes à congeler leurs ovocytes, mais dans une moindre mesure à l’étranger (28%).Les avis semblent plus partagés sur la légalisation de la GPA : 40% se disent “pour” et 43% “contre”, surtout les hommes et les seniors évoquant des problèmes éthiques dont la marchandisation de cette forme de procréation (28%) ainsi que les risques d’abus/dérives/médicaux associés (15%).Malgré tout, 32% seraient prêts à avoir recours à une GPA à l’étranger en cas de besoin, selon l’étude.41% se déclarent favorables à revoir le principe d’anonymatInterrogés sur le contenu de la loi bioéthique, 75% savent qu’elle permet de réaliser un

don de spermatozoïdes, 62% un

don d’ovocytes et seulement 23% un don d’embryon.L’étude montre que la question de l’anonymat et de la gratuité des dons partage : 41% se déclarent favorables à revoir le principe d’anonymat tandis que 39% souhaitent qu’il perdure. 42% sont pour faire évoluer le principe de gratuité et la même proportion est contre.À noter que le don d’ovocytes est moins envisagé (26% des femmes) que les dons de spermatozoïdes (40% des hommes).Concevoir un enfant ne signifie pas être parent pour une grande majorité de Français qui voient ce rôle comme subvenir aux besoins affectifs des enfants avant tout (76%), être présent au quotidien aux côtés de l’enfant (67%) et leur transmettre des valeurs (67%). Subvenir aux besoins matériels arrive derrière (42%).L’étude révèle que près de la moitié des Français (49%) considèrent le rôle de parent plus difficile qu’il y a 50 ans contre 37% qui le jugent ni plus facile ni plus difficile.Ainsi, près de 7 Français sur 10 seraient favorables à la reconnaissance du statut de beaux-parents.

BOSTON — Two Democratic district attorneys and legal advocates filed an “unprecedented” lawsuit in federal court Monday that would ban U.S. Immigration and Customs Enforcement agents from local courthouses. Middlesex County District Attorney Marian Ryan and Suffolk County District Attorney Rachael Rollins claim ICE’s practice of arresting people at courthouses on immigration matters has hampered their efforts to prosecute cases, as victims and witnesses are often reluctant to go to court. The lawsuit comes after last week’s indictment of state Judge Shelley Joseph, accused of helping an inmate escape ICE agents by allowing him to sneak out a back door in her court.

“This case is about our belief that people have a constitutional right to go to the courthouse,” Ryan said, adding ICE is “violating” that right.

“Immigrants are being hunted down,” said Ivan Espinoza-Madrigal, executive director of the group Lawyers for Civil Rights. “This is harmful to all of us. And we are fighting back. This is our legal and moral responsibilities.”

Massachusetts U.S. Attorney Andrew Lelling, who was nominated by President Trump in 2017, announced the indictment against Joseph last week.

“Laws have to apply equally, even if you’re a state court judge,” Lelling said. “Everyone in the justice system … should be held to a higher standard. The people of Massachusetts expect that.”

Joseph, a Newton district judge, and Wesley MacGregor, a court officer, were charged with obstruction of justice. Joseph, of Natick, has not commented on the case.

Ryan and Rollins said the case had no bearing on their announcement Monday, as they worked on the lawsuit for the past two years.

Joseph and MacGregor are accused of helping an undocumented man escape from Newton District Court on April 2, 2018. According to court documents, Joseph knew the ICE officer was waiting outside in the lobby to detain the man, who was facing drug charges.

Later that afternoon, the audio recording captured Joseph, the defense attorney and the ADA speaking about the defendant and the ICE detainer. According to court documents, Joseph then ordered the courtroom clerk to turn off the audio recorder — which it was for just under a minute, which is a violation of District Court rules.

According to court documents, the defense attorney asked to speak with Medina-Perez downstairs, Joseph let them and had MacGregor escort the attorney and an interpreter downstairs to the lockup and used his security access card to open the rear door and let man go at 3:01 p.m.

State Attorney General Maura Healey blasted the indictment.

“[It’s] a radical and politically-motivated attack on our state and the independence of our courts,” she said in a statement. “It is a bedrock principle of our constitutional system that federal prosecutors should not recklessly interfere with the operation of state courts and their administration of justice … I am deeply disappointed by U.S. Attorney Andrew Lelling’s misuse of prosecutorial resources and the chilling effect his actions will have.”

Ryan and Collins said allowing ICE agents in courthouses has a “hugely detrimental effort.”

“To ask people to engage people in that process when they themselves fear that their very coming to court will cause them to be whisked away by ICE, or more tragically … disrupt and tear apart their families, makes our prosecution of cases more difficult and in many, many cases, impossible,” Ryan said. “Prosecutors are forced to abandon cases because many victims and witnesses are deterred from appearing in court.”

Not all Massachusetts law enforcement officials agree. Bristol County Sheriff Thomas Hodgson said the lawsuit is frivolous.

“I don’t see these DAs or advocates filing bills and lawsuits to keep U.S. citizens and legal immigrants shielded from law enforcement in a courtroom,” Hodgson said in a statement. “Barring ICE from a courthouse is the same as barring the FBI or the DEA. And anyone in that courtroom, whether they came to court voluntarily or not, has a warrant or is suspected to be a part of criminal activity, why shouldn’t law enforcement be there to act?”

The practice of arresting individuals on immigration charges when they were in court on unrelated matters intensified in January 2018. Former ICE acting director Thomas Homan issued a directive, saying ICE arrests were necessary because local jurisdictions often refused transfer of custody of “aliens” from their prisons and jails to ICE.

In March, Suffolk County DA Rachael Rollins told her staff to begin reporting all interactions with ICE agents directly to her. She also wanted them to report when they saw ICE agents questioning or arresting people in or near Suffolk County courthouses. Last April, Ryan filed an amicus letter with the Supreme Judicial Court raising concerns about ICE practices in court houses.

Although officials said it’s difficult to track the numbers, Ryan said the complaint gives about 15 to 20 examples where ICE enforcement in court houses caused a problem in the state in the past two years.

Gladys Vega who is an advocate in Chelsea for immigrants said her organization sees as many as five cases each week in which people are scared to go to court.

The Committee for Public Counsel Services, which provide legal services to people who cannot afford it, is also listed as a plaintiff in the case. Attorneys at Lawyers for Civil Rights and Goodwin Procter will represent plaintiffs pro bono.

Watch the full press conference with the DAs April 29, 2019:

U.S. Attorney Andrew Lelling announces the indictments of Judge Shelley Joseph, court officer Wesley MacGregor April 25, 2019:

Jenna Fisher, Patch Staff, contributed to this report from Boston. She can be reached at [email protected] or by calling 617-942-0474. Follow her on Twitter and Instagram (@ReporterJenna). Jason Claffey, Patch Staff, also contributed.

Dave Copeland can be reached at [email protected] or by calling 617-433-7851. Follow him on Twitter (@CopeWrites) and Facebook (/copewrites).

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BOWIE, MD – A 44-year-old woman from Bowie was leaving her temp job in Greenbelt May 10 when she was gunned down by an unidentified assailant. Further investigation of the case has revealed that the victim, Bettie Jenifer, actually was targeted and had a rather intriguing past.

The Maryland woman happened to be married to two different men at the same time, one who is a convicted Baltimore drug lord, Greenbelt police revealed Sunday. According to the police department, Jenifer was walking to her vehicle when a man carrying a handgun approached her. She tried to flee, but the man pursued and fired multiple rounds at her.

At least one bullet struck her in the head, police reported. The assailant took off in what police believe to be a blue colored car. Jenifer was pronounced deceased on the scene, the police shared on Facebook.

Saturday, police disclosed that Jenifer was married to Ghana TV host and actor Chris Attoh. They had married in October in Ghana. But Jenifer also was married to Kedrick Jenifer, who currently is behind bars serving a 20-year prison sentence for trafficking sizable amounts of cocaine into Baltimore from Texas.

NBC News – Los Angeles revealed that Kedrick Jenifer had filed for divorce April 9. Bettie Jenifer filed for divorce six days later. She lived in a house in his name in Bowie. As of Monday, May 13, police had not named a suspect or motive in the case.

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