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Maui Shark Attack Kills California Doctor

April 14, 2020 | News | No Comments

MAUI, HI — A 65-year-old California man was attacked and killed by a shark Saturday morning while swimming along the Maui shoreline with his wife.

According to witnesses and Maui Fire Department officials, the man was swimming in water about 20 feet deep when he was suddenly pulled under. The shark attack happened at about 9 a.m. near Ka’anapali Beach Park. By the time authorities pulled him ashore, he was unconscious and had lost part of his leg.

Allison Keller witnessed the traumatic scene.

“As we got closer, I saw some blood on his stomach and then I got looking a little bit more and his wrist, it looked like the skin on his wrist was just torn off,” Keller told Hawaii News Now. “And then I got looking closer and his entire left leg from his knee down was just missing. There was no blood or anything.”

According to a Maui Police Department spokesman, the victim was Thomas Smiley, a tourist from Granite Bay, California. The New York Post reported that Smiley was a recently retired optometrist, a father of three and grandfather to six. He was known for his adventurous spirit and his charitable work, organized racing events to raise money for children.

His death was the first fatal shark attack in Hawaii since 2015 when a snorkler was killed off Maui. It was Hawaii’s six shark attack this year and only the fifth fatal attack since 1995, Fox News reported.

Authorities searched the area for the shark in the aftermath of the attack, but they were unable to find it. Experts suspect a tiger shark, a common culprit in Hawaii shark attacks, is to blame.

“Maui has for some reason been a hot spot in the Hawaiian islands for tiger shark attacks, and I don’t think anybody can really say with any certainty why that is,” shark expert Michael Domier told KHON2. “There’s certainly great tiger shark habitat on Maui, a lot of shallow water, but a lot of people in the water, too.”

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Les surdoses de drogues font de plus en plus de morts en Europe, où circulent de nouvelles et nombreuses substances "dangereuses" pour la santé, s’inquiète l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) dans son rapport annuel publié mardi.

Sommaire

  1. Le cannabis, drogue la plus populaire en Europe
  2. Augmentation du nombre de décès par surdose
  3. Traitements de substitution : ils tuent plus que l’héroïne
  4. Attention aux opiacés de synthèse
  5. Plus de 50 décès associés à ces substances
  6. La cocaïne, une drogue de plus en plus disponible

Le cannabis, drogue la plus populaire en EuropeLa drogue “reste un défi majeur pour les sociétés européennes“, souligne Dimitris Avramopoulos, commissaire européen pour la Migration, les Affaires intérieures et la Citoyenneté, cité en préambule du rapport, en notant que “plus de 93 millions d’Européens“, soit plus du quart des personnes âgées de 15 à 64 ans, “ont déjà consommé des drogues illicites.“Le cannabis reste de loin la drogue la plus populaire en Europe, devant la cocaïne, la MDMA (principe actif de l’ecstasy) et les amphétamines (amphétamine et méthamphétamine).Augmentation du nombre de décès par surdoseDeux phénomènes préoccupent plus particulièrement M. Avramopoulos: “l’augmentation, pour la troisième année consécutive, du nombre de décès par surdose” de drogue, et l’exposition croissante des jeunes “à de nombreuses drogues nouvelles et dangereuses” pour la santé, notamment les “drogues de synthèse“.Le rapport de l’OEDT, fondé sur des données collectées en 2015 et 2016, souligne l’augmentation “grave” et “préoccupante” du nombre de décès par surdose dans les 28 Etats de l’UE ainsi qu’en Turquie et Norvège (8.441 décès en 2015, +6% par rapport à 2014), “principalement liés à l’héroïne et à d’autres opiacés” (dérivés de l’opium).Traitements de substitution : ils tuent plus que l’héroïneCette hausse de la mortalité, pour la troisième année consécutive, concerne “presque toutes les tranches d’âge” et des pays comme l’Allemagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Suède, la Lituanie ou la Turquie. Elle frappe plus particulièrement les 1,3 million d’Européens considérés comme des “usagers problématiques d’opiacés“, un groupe particulièrement “vulnérable”.L’OEDT souligne que dans des pays comme la France, le Danemark, l’Irlande ou la Croatie, les surdoses d’opiacés utilisés dans des traitements de substitution (méthadone et buprénorphine notamment) tuent plus que l’héroïne. Il appelle donc les Etats à s’adapter pour lutter contre “le détournement de ces substances”.Attention aux opiacés de synthèseAutre préoccupation de l’OEDT, les “nouvelles substances psychoactives” (drogues ou produits de synthèse) qui “représentent toujours un défi considérable pour la santé publique en Europe“, d’autant plus que ces produits se renouvellent rapidement (66 nouveautés détectées en 2016 par l’UE) et “ne sont pas assujettis aux mesures de contrôle international”.Leur “disponibilité globale reste élevée” – l’OEDT en surveillait plus de 620 en 2016, contre environ 350 en 2013 – avec des ventes “de plus en plus clandestines”, notamment “sur des marchés en ligne ou illicites“, souligne le rapport.L’OEDT s’inquiète notamment des dangers des nouveaux opiacés de synthèse à forte teneur en principe actif, qui imitent les effets de l’héroïne et de la morphine, et constituent une “menace croissante pour la santé” en Europe et en Amérique du Nord.Car si ces substances restent encore minoritaires sur le marché des drogues, on les retrouve de plus en plus impliquées dans “des intoxications, mortelles ou non“.Plus de 50 décès associés à ces substancesCes poudres, comprimés, gélules, voire pour certains liquides et pulvérisateurs nasaux, sont “facile à distribuer et à transporter“, et donc difficiles à traquer, note l’OEDT.Parmi ces substances figure les fentanyls, des sédatifs très puissants qui provoquent chaque année des overdoses par dizaines de milliers, notamment en Amérique du Nord. Selon le rapport, “plus de 50 décès associés à ces substances” ont déjà été signalés en Europe.Ces fentanyls, “dont la teneur en principe actif est exceptionnellement élevée (parfois beaucoup plus que l’héroïne), représentaient plus de 60% des 600 saisies de nouveaux opiacés de synthèse signalées en 2015“, selon l’OEDT.La cocaïne, une drogue de plus en plus disponibleQuant à la cocaïne, davantage consommée dans les pays de l’Ouest et du Sud alors que les amphétamines le sont plus au Nord et à l’Est, elle semble être de plus en plus disponible dans certaines régions d’Europe, avec une hausse du nombre de saisies et une présence accrue de ses résidus dans les eaux usées, souligne le rapport.Click Here: Cardiff Blues Store

Les hommes grossissent après le mariage

April 13, 2020 | News | No Comments

C’est prouvé scientifiquement: selon une récente étude britannique publiée dans la revue Social Science & Medecine, les hommes auraient tendance à prendre du poids après le mariage, et à en perdre en situation de divorce.

L’étude, conduite par le Dr Joanna Syrda, maître de conférences à l’Université de Bath en Grande-Bretagne, a porté sur 8 729 hommes, dont 90% d’hommes mariés entre 1999 et 2013, et 12% de divorcés. Le rapport a pu mettre en évidence les relations de cause à effet, entre le mariage, la parentalité et le divorce, avec

l’Indice de Masse Corporelle (IMC).L’envie de séduire limite l’embonpoint des hommesRésultats : les hommes mariés pèseraient environ 1,4 kg de plus que les hommes célibataires. De plus, ils prendraient souvent du poids dans les jours qui suivent la naissance de leur enfant. D’autres facteurs peuvent créer cette tendance à l’embonpoint : une routine, des repas copieux, la perte de l’envie de plaire, un manque de temps évident pour une activité sportive, etc.En revanche, ils maigriraient immédiatement lorsqu’ils divorcent de leur femme. Un amaigrissement soudain, expliqué par le fait de vouloir séduire à nouveau, et de se réapproprier leur corps, comme un nouveau départ.Les femmes moins concernées par ce phénomèneLa gente féminine est épargnée par la prise de poids après le mariage. En effet, les femmes célibataires affichent en moyenne un IMC de 25,1, tandis que celui des femmes mariées indique 25,6. C’est donc une différence infime, qui ne permet pas d’établir une réelle prise de poids des femmes après le mariage.Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Douze départements du Sud-Est sont placés en vigilance orange pour canicule, a confirmé Météo-France, dans son bulletin publié mercredi 2 août à 6 heures. Pour vous aider à mieux supporter la chaleur pendant cet épisode caniculaire, Doctissimo vous donne quelques conseils.

Sommaire

  1. Alerte canicule pour 12 départements, alerte levée pour 18 autres
  2. Conseils pour mieux supporter la chaleur

Alerte canicule pour 12 départements, alerte levée pour 18 autresL’alerte canicule concerne les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l’Ardèche, les Bouches-du-Rhône, la Corse-du-Sud, la Haute-Corse, la Drôme, l’Isère, le Rhône, le Var et le Vaucluse.La fin de cet épisode canicule est prévu “au plus tôt” jeudi à 21h00.En revanche, l’alerte orage concernant les départements de l’Ain, Allier, Côte-d’Or, Doubs, Jura, Loire, Haute-Loire, Haute-Marne, Meurthe-et-Moselle, Moselle, Puy-de-Dôme, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Rhône, Haute-Saône, Saône-et-Loire, Vosges et Territoire-de-Belfort, a été levée, comme prévue, dans la nuit.“En cette fin de nuit il fait déjà chaud en région lyonnaise avec un peu plus de 21 degrés, autour de 25 degrés vers Nice, et il fait très chaud en Corse où on relève déjà plus de 31 degrés ponctuellement comme à Marignana ou vers l’Ile-Rousse”, selon Météo-France. “Les températures maximales mercredi en journée dépasseront facilement les 34 degrés sur le Lyonnais et le Dauphiné, 36 degrés en vallée du Rhône, et dépasseront souvent les 38°C en région PACA, voire ponctuellement plus en Corse pour les jours à venir”, annoncent les prévisionnistes.Mardi, les températures ont atteint plus de 36°C en vallée du Rhône, 32 à 33°C en plaine lyonnaise et dans le Dauphiné. En PACA, on a relevé 40,6°C à Carpentras, 37,9°C à Avignon, 37,3°C à Marignane et à Apt. En Corse, les températures ont atteint les 42°C à Sartene, 40°C à Oletta, 39.2°C au Cap Corse, 38.8°C à Sampolo et 38°C à Conca.Conseils pour mieux supporter la chaleurPendant cet épisode caniculaire, et en cas de fortes chaleurs en général, quelques recommandations s’imposent.Découvrez nos

Conseils pour mieux supporter la chaleurDécouvrez nos

Conseils pour supporter la chaleur pendant la grossesseDécouvrez nos

Conseils pour bien dormir quand il fait chaudDécouvrez les

aliments à privilégier quand il fait chaud et

ceux à éviterPensez à boire régulièrement et en quantité suffisante. Pour éviter la déshydratation, découvrez les

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Le vaccin Gardasil 9, qui protège contre 9 types de papillomavirus humain, pourrait réduire de plus de 90% le risque de souffrir d’un cancer du col de l’utérus. L’étude, publiée dans The Lancet, a suivi plus de 14000 femmes pendant six ans.

Sommaire

  1. Vers une éradication du cancer du col de l’utérus ?
  2. Le Gardasil 9 disponible dans 60 pays

Des chercheurs ont suivi 14 215 femmes âgées de 16 à 26 ans, vivant dans 18 pays différents. La moitié de la cohorte a reçu plusieurs injections du vaccin Gardasil 9 et l’autre moitié a été vaccinée avec l’ancien vaccin qui protège contre quatre types de papillomavirus humain. Elles ont ensuite été suivies sur une période de six ans. Le suivi médical a permis de mesurer la production d’anticorps contre neuf types d’infections HPV et de vérifier la présence de lésions précancéreuses grâce aux frottis.Vers une éradication du cancer du col de l’utérus ?Après analyse des résultats, les auteurs de l’étude ont conclu que le vaccin Gardasil 9 pouvait prévenir à plus 97 % (97,4 % exactement) l’apparition d’infections et de maladies causées par les cinq génotypes d’HPV non inclus dans l’ancien vaccin. “Avec ce nouveau vaccin, il est possible d’éradiquer les cancers liés aux virus HPV, notamment le

cancer du col de l’utérus”, se félicite Warner Huh, auteur principal de l’étude.Le Gardasil 9 disponible dans 60 paysLe vaccin Gardasil 9 est actuellement disponible dans 60 pays, pour la prévention des cancers provoqués par des virus HPV : cancers et lésions précancéreuses de l’appareil génital féminin, et verrues génitales.A noter que cette étude a été publiée dans la revue The Lancet (qui possède un comité de relecture composé de scientifiques) mais a été financée par le laboratoire Merck, fabricant du Gardasil aux Etats-Unis. En 2013, le vaccin a été l’objet d’une polémique suite à la 

plainte d’une patiente qui relie sa vaccination à la survenue d’une sclérose en plaques.Click Here: Golf special

Oeuf, lait, farine, arachide, fruits à coque, fruits de mer… Face à l’explosion des allergies alimentaires chez l’enfant, mais aussi chez l’adulte, les spécialistes s’interrogent sur les moyens de prévenir le phénomène. Les explications du professeur Christophe Dupont, pédiatre, chef du service d’explorations digestives et d’allergies alimentaires à l’hôpital Necker à Paris.

En cas d'allergie alimentaire, outre l'éviction, des études récentes ont montré qu'allaiter son bébé durant 4 à 6 mois a un effet protecteur sur le développement d'une allergie alimentaire.

Sans jamais pouvoir expliquer le phénomène, les médecins n’ont pour le moment aucun traitement adapté pour se débarrasser des

réactions allergiques chez l’enfant et l’adulte, hormis

l’éviction complète de l’allergène en question, qui est le plus souvent une protéine alimentaire.5 à 6 % des moins de 5 ans ont une allergie alimentaireOn considère qu’environ 5 à 6 % des enfants de moins de 5 ans peuvent avoir d’

allergies alimentaires. L’

allergie au lait de vache (APLV) est probablement plus fréquente encore chez le petit nourrisson.En cas d’allergie au lait, supprimer tous les laitagesQuand il y a une allergie au lait, c’est le lait et les laitages qu’il faut supprimer et pas uniquement le lactose. Parfois l’allergie est légère et le sujet allergique aux protéines de lait peut toutefois consommer des petites quantités de lait ou de laitages ou des aliments dans lequel le lait a été cuit, comme les gâteaux.Allergie à l’arachide, redoutée chez l’enfant et l’adulteChez le grand enfant et l’adulte, l’allergie la plus redoutée est l’allergie à l’arachide

allergie à l’arachide, qui peut tuer. Elle touche 1 à 2 % de la population aux États-Unis, probablement moins en France, selon le professeur Christophe Dupont, pédiatre, chef du service d’explorations digestives et d’allergies alimentaires à l’hôpital Necker à Paris.Deux fois plus d’allergies alimentaires en dix ansDevenues fréquentes, les allergies alimentaires, qui ont doublé en dix ans, seraient dues à des facteurs environnementaux. ”

L’allergie est une maladie moderne, liée à une propreté accrue, l’utilisation très fréquente de détergents, une très bonne maîtrise des infections, notamment par les

antibiotiques, indique le professeur Christophe Dupont. Cette hygiène, dont nous profitons, prive le système immunitaire d’un combat qu’il est prêt à mener. En l’absence d’infection, ce système immunitaire se défend contre les seuls “corps étrangers” restant”, les

allergènes“.Des pistes de prévention”L’utilisation de formules infantiles à charge allergénique réduite est probablement une bonne solution, mais les résultats des études menées à ce sujet ne sont pas tous concordants“, constate le pédiatre.La

dermatite atopique, étant le phénomène allergique le plus fréquent dans l’allergie alimentaire du petit enfant, les spécialistes se tournent vers la prévention de l’eczéma. ”

L’allergie à l’œuf est très liée à la présence d’un eczéma chez l’enfant”, précise le professeur Christophe Dupont.L’allaitement protège contre les allergies alimentaires
Des études récentes ont montré qu’allaiter son bébé durant 4 à 6 mois a un effet protecteur sur le développement d’une allergie alimentaire. La poursuite de l’allaitement maternel au début de la diversification alimentaire permet également de mieux tolérer les aliments renfermant du gluten.
Les dernières études montrent que certains laits infantiles hypoallergéniques, comme le Nidal H.A. par exemple, ont un effet préventif sur la dermatite atopique.Diversifier l’alimentation entre 4 et 6 moisOn préconise aujourd’hui de diversifier entre 4 et 6 mois pour tous les aliments, même ceux allergisants comme l’œuf, le poisson, la viande, l’arachide, les fruits à coque, que l’enfant vienne d’une famille atopique ou non.Le professeur Christophe Dupont interviendra lors des Entretiens de Bichat, événementClick Here: cheap nrl jerseys

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Selon le rapport Planète Vivante 2018 du WWF sur la biodiversité, la disparition massive d’espèces devient de plus en plus critique. Gilles Bœuf, biologiste et professeur à l’université Pierre et Marie Curie, considère qu’on “ne prend pas du tout la mesure et l’ampleur du problème” a-t-il estimé sur franceinfo.franceinfo : Après le rapport du WWF sur la biodiversité, peut-on dire que l’on est en train de scier la branche sur laquelle on est assis ?Gilles Bœuf : On est dans une imprévoyance totale. En 2002, lors du sommet de Johannesburg, le président Chirac disait “Notre maison brûle et on regarde ailleurs“. On s’engageait alors pour 2010 à arrêter l’effondrement de la biodiversité. En 2010, on se réunit à Paris, et on se rend compte qu’on a échoué, alors on dit “Ce n’est pas grave, on repousse ça pour 2020”. Or aujourd’hui, comme le dit très bien le rapport du WWF, c’est bien pire qu’en 2010, alors quand va-t-on réussir, la dernière semaine de 2019 ? Non, on ne prend pas du tout la mesure et l’ampleur du problème. On parle beaucoup du climat, c’est très bien, les gens ont peur du changement climatique, mais on ne prend pas la mesure de ce qui va nous arriver avec l’effondrement du nombre d’individus dans les populations vivantes.Est-ce que ce sont les prémices d’une extinction de masse ?Ça pourrait l’être, si on continue comme ça, si on ne fait rien pour juguler le problème, pour faire prendre conscience de ses aspects. Là, dans le rapport du WWF, on parle des espèces emblématiques, on ne suit que quatre ou cinq mille espèces, sur un peu plus de deux millions différentes sur Terre. On se rend compte que même les espèces que l’on aime subissent cela. Il ne reste que 9% des tigres, 8% des lions, quelques pour cents des guépards. Selon les pays africains on a tué en quarante ans entre 50% et 90% des girafes.Pourquoi on ne le voit pas ? C’est parce que ce n’est pas encore à nos portes ?On dit souvent “on va dans le mur”, mais c’est faux, le mur on le verrait. Je dis plutôt qu’on va dans une espèce de marécage infâme, un pied après l’autre, puis un bras, puis l’autre bras, puis la tête. On le dit pourtant, il y a des alertes partout, des articles en continu de tous les scientifiques du monde depuis des années. Ça va très très vite. Alors, ça fait du buzz, je passe à la radio, on en parle à la télévision, mais quand arrivera-t-on à mobiliser les citoyens ? Il faut s’indigner. Il faut que le monde politique, poussé par les populations, réagisse. Il ne s’agit pas de revenir dans une situation antérieure, à la bougie, mais de respecter le vivant.Click Here: kanken kids cheap

Selon les informations du numéro 0 du nouvel hebdomadaire Ebdo, 14décès de patients prenant du Levothyrox auraient été enregistrés dans la base nationale recensant les effets indésirables des médicaments. De son côté, l’agence du médicament a confirmé ces informations, certifiant qu’à ce stade "aucun lien ne peut être établi avec le médicament".

Sommaire

  1. 14 décès de patients sous Levothyrox
  2. Quel est le lien entre ces décès et le médicament ?

La nouvelle formule du Levothyrox a été mise sur le marché en mars à la demande des autorités sanitaires qui voulaient une formule plus stable dans le temps, mais certains patients se sont rapidement plaints d’effets secondaires. Face à leur colère, les autorités de santé ont réagi tardivement et ont dû mettre en place des alternatives, alors que le Levothyrox (Merck) était jusque-là en situation de quasi-monopole, avec quelque 3 millions d’usagers. Aujourd’hui encore, il est difficile d’estimer le nombre de cas d’effets secondaires liés à ce changement de formule. 14 décès de patients sous LevothyroxLe rapport de pharmacovigilance rendu public le 10 octobre rapportait l’ensemble des données recensées concernant les effets secondaires liés à la nouvelle formule du Levothyrox. Dans ce

rapport (page 17), 4 décès “pour lesquels le lien avec LEVOTHYROX® n’est pas établi” étaient rapportés :

  • Un cas d’arrêt cardiorespiratoire chez une patiente de 34 ans recevant un lourd traitement psychiatrique ;
  • Un cas de mort subite chez une femme de 78 ans ;
  • Un cas de femme de 39 ans chez laquelle un diagnostic de thyroïdite d’Hashimoto est posé en juillet 2017 ;
  • Un cas d’AVC ischémique chez une femme de 87 ans diabétique chez laquelle est retrouvée une TSH à 0,0270 au cours de l’hospitalisation, exposition LEVOTHYROX® AF ou NF non précisée).

Mais depuis 10 autres décès auraient été rapportés dans la base nationale de pharmacovigilance selon le magazine l’Ebdo.

Plus réactive qu’elle ne l’a été jusqu’alors concernant cette affaire, l’ANSM a réagi via un tweet, confirmant ces chiffres mais précisant que ces décès sont sans lien établi avec le Levothyrox.

Sur BFM TV le 5 décembre, la ministre de la Santé a été dans le même sens, déclarant que : “Quatorze décès ont été signalés dans la base, mais sur 3 millions de personnes prenant du Levothyrox, il est attendu d’avoir des décès (…) Je rappelle qu’il y a 50.000 personnes qui meurent chaque mois en France, donc parmi elles il y en a qui prennent du Levothyrox“. Selon la ministre, les décès concernaient “plutôt des personnes très âgées, avec beaucoup de pathologies et qui prenaient beaucoup de médicaments “, précisant qu’aujourd’hui il n’y avait “pas de lien établi entre les décès et le Levothyrox”.Quel est le lien entre ces décès et le médicament ?Mais concrètement aujourd’hui, il est impossible de savoir si ces décès sont liés ou ne sont pas liés au Levothyrox. Les déclarations certifiant qu’il n’y a aucun décès sous Levothyrox comme l’affirmait le directeur de l’ANSM Dominique Martin dans les

colonnes de Libération le 11 octobre dernier témoignent d’un optimisme ou d’un amateurisme étonnant, quand dans le même temps, ces services reconnaissent que ces cas font chacun l’objet d’une enquête. A l’inverse, sachant que ce médicament a été distribué à près de 3 millions de patients dont certains souffrent de plusieurs pathologies graves, il est mathématiquement “logique” que certains soient décédés alors qu’ils prenaient ce médicament, sans qu’un lien de cause à effet ne soit impliqué.

Seule une enquête pour chacun des cas permettra de savoir s’il y a un lien de causalité entre ces décès et la prise du Levothyrox. Les résultats devraient être connus et présentés en présence des associations de patients et des professionnels de santé fin janvier 2018.

Plus qu’une “crise médiatique” comme le certifiait le député Jean-Pierre Door, chargé d’une “mission flash” sur le Levothyrox, cette affaire témoigne d’une gestion approximative dans l’anticipation des possibles effets secondaires liés au changement de formule d’un médicament à très faible marge thérapeutique donné à trois millions de patients, la gestion de ces effets secondaires (il a fallu attendre qu’une pétition en ligne récolte plus de 200 000 signataires pour obtenir une réaction des autorités sanitaires), la qualité du système de pharmacovigilance (on ne sait toujours pas combien de personnes souffrent d’effets secondaires liés à cette formule), la communication et l’écoute des patients (peu ou pas d’information sur le changement de formule, la justification des cas d’effets secondaires n’a longtemps été qu’un effet nocebo dû à un “emballement médiatique”…).Le volet juridique de l’affaire ne fait que commencer avec des centaines de dossiers et de plaintes de patients, maus aussi de médecins contre le laboratoire, la ministre de la Santé, l’ANSM…Aujourd’hui, plusieurs

options thérapeutiques sont disponibles pour les patients au-delà du Levothyrox : L-Thyroxin Henning (Sanofi), Euthyrox (ancienne formule du Levothyrox importé pour une durée limitée dans le temps),  L-Thyroxine (Serb), qui se prend sous forme de gouttes et début décembre Thyrofix (Unipharma) devrait être disponible.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Des chercheurs japonais ont annoncé avoir développé une méthode de culture très rapide de follicules capillaires qui pourrait permettre à terme, selon eux, de dire adieu à la calvitie ou de remédier aux pertes de cheveux dues à la chimiothérapie ou à certaines maladies.

Cette méthode est présentée comme un grand pas par rapport aux laborieuses techniques existantes qui parviennent à créer juste une cinquantaine de ces "germes" à la fois.

Leur étude utilise deux types de cellules placées dans des petits récipients de silicone afin de cultiver des “germes de follicules pileux”, source des petites cavités où naît et est nourri le cheveu.Dirigée par le professeur Junji Fukuda de l’Université nationale de Yokohama, l’équipe nippone est parvenue à cultiver 5.000 de ces “germes” en quelques jours.Cette méthode est présentée comme un grand pas par rapport aux laborieuses techniques existantes qui parviennent à créer juste une cinquantaine de ces “germes” à la fois.Les tests sur des humains ne sont pas envisagés avant cinq ans mais les chercheurs sont convaincus que cette technique pourrait être utilisée pour reconstituer d’abondantes mèches. Elle pourrait également venir en aide aux personnes atteintes de cancers et suivant une chimiothérapie ou souffrant de maladies provoquant une perte de cheveux, a déclaré M. Fukuda, dont les travaux ont été publiés dans la revue Biomaterials.”Les cliniques spécialisées utilisent souvent des cheveux de la nuque pour les planter sur les zones frontales dégarnies. Le problème c’est que cela n’accroît pas le volume total de cheveux“, a expliqué M. Fukuda.Les traitements médicamenteux existants peuvent ralentir la chute des cheveux mais ne parviennent pas forcément à inverser le processus, a-t-il souligné. Un nouveau traitement faisant usage de cette technique pourrait être disponible dans 10 ans, a estimé le professeur.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Des chercheurs ont présenté mercredi un nouveau casque d’imagerie cérébrale, plus léger, permettant de reconstituer l’activité du cerveau alors que le patient vaque librement à ses occupations, élargissant ainsi le champ des possibles de l’examen.

Des chercheurs ont présenté un nouveau casque d'imagerie cérébrale, plus léger, permettant de reconstituer l'activité du cerveau.

Cela nous permet d’étudier des choses que nous n’avons jamais pu étudier auparavant“, explique Gareth Barnes de l’University College de Londres, coauteur d’une étude publiée dans la revue Nature.S’il existe déjà des casques d’électroencéphalographie (EEG) détectant l’activité électrique du cerveau, la technique d’imagerie cérébrale dite magnétoencéphalographie (MEG) reste, elle, très encombrante.

Pourtant cette méthode, en analysant les champs magnétiques induits par les impulsions électriques des cellules du cerveau, permet d’obtenir une image quasi instantanée de l’activité cérébrale et d’étudier ainsi les fonctions sensorielles, motrices et cognitives du cerveau.Actuellement, les capteurs nécessaires à cet examen doivent être maintenus à – 269 degrés Celsius et nécessitent une technologie de refroidissement encombrante. Les appareils, extrêmement sophistiqués, atteignent la demi-tonne.Pour créer leur prototype, les chercheurs ont utilisé un nouveau type de capteurs, très légers et pouvant fonctionner à température ambiante. Hocher la tête, s’étirer, boire du thé ou même jouer au ping-pong : “notre scanner peut-être porté comme un casque, ce qui signifie que les gens peuvent faire des choses et se déplacer librement“, explique Gareth Barnes.De plus, ce prototype permet de mener les examens sur un panel plus large d’individus. Avec les appareils traditionnels, le patient doit en effet rester parfaitement immobile le temps de l’examen. Impossible pour certains enfants, les épileptiques ou encore les patients atteints de troubles neurodégénératifs comme la maladie de Parkinson. Les chercheurs mettent en avant un autre avantage à leur “casque” : sans le système de refroidissement, les électrodes peuvent être placées directement sur le cuir chevelu, au plus près du cerveau. “Cela augmente la quantité de signal que nous recevons“, explique Matthew Brookes de l’Université de Nottingham, coauteur de l’étude.Click Here: Rugby league Jerseys