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WASHINGTON, DC — The PBS National Memorial Day Concert, set for Sunday, May 26, will honor the nation’s men and women in uniform, as well as their families. The free concert commemorates the 151st anniversary of Memorial Day and will be held on the West Lawn of the U.S. Capitol from 8 to 9:30 p.m. ET.

Actors Joe Mantegna and Mary McCormack will host the event. Other luminaries taking part include actor Sam Elliott, former Secretary of State Gen. Colin Powell, singer Patti LaBelle, country artist Alison Krauss, “24” and “The Unit” actor Dennis Haysbert, “Bull” and “Hamilton” star Christopher Jackson, singers Amber Riley, Justin Moore, Gavin DeGraw and more.

Performers include: Leona Lewis, the National Symphony Orchestra led by Jack Everly, U.S. Army Chorus and Army Voices, U.S. Navy Band Sea Chanters, Soldiers’ Chorus, U.S. Air Force Singing Sergeants and more.

The National Memorial Day Concert features performances documentary footage and dramatic readings. This year’s focus will be on the real meaning of the holiday since 2019 marks the 75th anniversary of the D-Day invasion. Through the eyes of a highly-decorated combat medic who landed in the first wave on Omaha Beach, the concert will pay tribute to those who sacrificed and died in service to our nation and the world. The concert will share the story of two infantrymen who formed a brotherhood while serving in Vietnam and now meet each year at the Wall. A special 50th anniversary commemoration honors the service and sacrifice of veterans of the Vietnam War.

For Gold Star families, every day is Memorial Day. This year, the concert will share one widow’s journey, beginning with the day her worst fears came true, says PBS. While she could never “move on” from this loss, she knew that for the sake of her daughter she would have to learn to move forward. Along the way, she found solace and empowerment in helping other widows and widowers.

Organizers say the concert unites the country in remembrance and appreciation of those who gave their lives for our nation and serves those who are grieving through the mission put forward by Abraham Lincoln in his second inaugural address, “Let us strive on to finish the work we are in; to bind up the nation’s wounds; to care for him who shall have borne the battle, and for his widow, and his orphan.”

Memorial Day had been first known at “Decoration Day” and was commemorated at Arlington National Cemetery.

If You Go
Best spots to watch are via the public entrances to the West Front of the U.S. Capitol:

All bags, coolers, backpacks and closed containers will be checked; all guests will have to go through a metal detector.

Prohibited items include:

The 2019 National Memorial Day Concert will be live-streamed Sunday night on PBS.org, YouTube and Facebook.

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MINNEAPOLIS — Gabriele Grunewald, a professional distance runner who competed for the University of Minnesota, died Tuesday after a 10-year battle with cancer. Grunewald, 32, was born in Perham, Minnesota.

She was diagnosed with adenoid cystic carcinoma — a form of cancer — in 2009. She was on both the Gophers’ track and cross-country teams at that time.

“At 7:52 I said ‘I can’t wait until I get to see you again’ to my hero, my best friend, my inspiration, my wife,” Justin, Gabriele’s husband, wrote on Instagram.

“I always felt like the Robin to your Batman and I know I will never be able to fill this gaping hole in my heart or fill the shoes you have left behind. Your family loves you dearly as do your friends.”

Even after treatment for her began — which included surgery and radiation therapy — Grunewald continued to compete and inspired many. She was the 2014 U.S. indoor champion in the 3,000, reports the Star Tribune.

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She also trained HGTV star Chip Gaines to run his first marathon.

“When @chipgaines made the final push in his #chipinchallenge I could feel your happiness building and could also see that this made you ready to head up to heaven,” Justin wrote Tuesday.

“Chip thanks for helping her to go up so peacefully with no suffering. To everyone else from all ends of the earth, Gabriele heard your messages and was so deeply moved. She wants you to stay brave and keep all the hope in the world. Thanks for helping keep her brave in her time of need.”

Malgré les campagnes de prévention et la hausse du prix du paquet de cigarettes, les jeunes Français ne sont pas prêts à arrêter de fumer. A l’occasion de l’opération Mois sans tabac qui débute ce 1er novembre, la mutuelle Smerep révèle que 20% des étudiants et 30% des lycéens ne comptent pas tourner le dos à la cigarette.

20% des étudiants et 30% des lycéens ne souhaitent pas arrêter de fumer.

Le nombre de fumeurs chez les étudiants a augmenté en 2017 avec 26% de fumeurs occasionnels ou réguliers contre 22% l’année dernière. Parmi eux, 20% n’ont pas l’intention d’arrêter leur consommation, révèle une étude Opinionway/Smerep publiée ce jeudi.Parmi les lycéens français, qui sont 15% à se considérer fumeurs, l’intention d’arrêter est plus faible que chez leurs aînés puisque 30% ne souhaitent pas arrêter leur consommation. Ils sont tout de même moins nombreux qu’en 2016 (50%) à vouloir persévérer.Pour ceux qui ont le désir d’arrêter de fumer, la santé reste la motivation principale (62% des étudiants et 47 % des lycéens) devant les raisons financières (44% et 33%). Plus d’un tiers évoquent les désagréments esthétiques comme les dents jaunes ou une mauvaise haleine.Si pour la majorité des jeunes Français ex-fumeurs, la volonté seule a suffi pour arrêter leur consommation de tabac (86% des étudiants), certains ont eu recours à divers moyens. Les étudiants d’Ile-de-France ont utilisé la E-cigarette (9%), la Gum (6%) ou encore l’Hypnose (3%) et la médecine douce (3%), tandis que pour l’ensemble les étudiants français, cet arsenal thérapeutique est quasi-inexistant.

De nouvelles recherches internationales pourraient permettre de comprendre pourquoi des bébés nés à différentes périodes de l’année sont plus susceptibles de développer certaines maladies.

Un enfant né en hiver et dans certains climats enregistrerait un risque accru de souffrir de certaines maladies. ©Mikolette / IStock.com

Une vaste étude sur des millions d’individusCette étude, menée par Nicholas Tatonetti de l’Université de Columbia (CUMC) et Mary Regina Boland de l’University of Pennsylvania’s Perelman School of Medicine, s’est intéressée aux données de santé de 10,5 millions d’individus américains, sud-coréens et taïwanais, comprenant notamment 1,7 million de patients résidant à New York.Des maladies en fonction de la saison de naissanceDes recherches précédentes avaient déjà mis au jour des liens entre l’exposition à certains environnements en période prénatale et néo-natale. Par exemple, les risques d’

asthme seraient plus fort chez les bébés nés entre juillet et octobre et les enfants nés en hiver auraient plus tendance à développer des symptômes de

diabète de type 2. De même les petits nés à l’automne enregistreraient un risque accru de souffrir plus tard de

dépression.Environnement, saison et climatCependant, en analysant les données des patients résidant dans trois pays différents et cinq climats, ces nouvelles recherches ont réussi à examiner comment l’exposition à une variété de facteurs environnementaux saisonniers pouvait affecter le risque de développer ces maladies.Les scientifiques ont trouvé que les mères qui étaient peu exposées à la lumière du soleil pendant leur troisième trimestre de grossesse donnaient naissance à des enfants qui enregistraient un risque accru de diabète de type 2 au cours de leur vie. Pour les New-Yorkaises, cela signifiait un

accouchement entre décembre et mars, au moment où la lumière naturelle était la plus faible.La pollution, dangereuse pour les bébés in uteroDe même, les mères exposées à de fortes doses de

pollution aux particules fines pendant leur premier trimestre de grossesse donnaient naissance à des petits plus susceptibles de souffrir de

fibrillation atriale, un trouble fréquent du rythme cardiaque. Comme la pollution atmosphérique est plus importante à New York pendant les mois d’été, cela veut dire que les bébés enregistrant le plus fort risque naissent en hiver.De plus, les mères exposées à de plus fortes doses de monoxyde de carbone pendant le premier trimestre de grossesse donnaient naissance à des bébés avec un risque accru de dépression et d’

anxiété.Le Dr Tatonetti a ainsi développé : “Par exemple, l’exposition maternelle aux particules fines augmente le risque d’

hypertension artérielle, qui est associée à une forte tension artérielle pour sa progéniture. Cette dernière est à son tour associée à un risque accru de fibrillation atriale. Nous utilisons les données pour établir un lien entre les choses. Et en clarifiant ces liens, il nous est permis de trouver de nouvelles manières de prévenir les maladies, en recommandant par exemple certains compléments alimentaires pendant la grossesse.”Ces résultats sont parus dans la revue Journal of the American Medical Informatics Association.Click Here: kanken kids cheap

La grippe saisonnière s’étend en France métropolitaine. Selon le dernier bulletin hebdomadaire de Santé Publique France, l’Ile de France a atteint le seuil épidémique et huit autres régions sont au stade pré-épidémique. Nos conseils pour l’éviter.

Sommaire

  1. Le virus de la grippe se propage rapidement sur toute la France
  2. Comment éviter la grippe ?

L’épidémie de

grippe  sévit en Ile de France et le stade pré-épidémique concerne 8 régions : les Hauts-de-France, la Normandie, la Bretagne, les Pays de la Loire, le Centre-Val de Loire, la Nouvelle-Aquitaine, l’Occitanie et Provence Alpes-Côte d’Azur. A ce jour, les seules régions épargnées sont : Grand-Est, Bourgogne-Franche-Comté et Auvergne-Rhône-Alpes.Le virus de la grippe se propage rapidement sur toute la FranceLa semaine dernière, seulement trois régions étaient au stade pré-épidémique, ce qui témoigne d’une progression rapide de l’épidémie sur l’ensemble du territoire national. Comme le souligne Santé Publique France, on est passé en de 54 consultations pour 100 000 habitants en moyenne à 98 consultations pour 100 000 habitants en une semaine. La semaine dernière, 1485 personnes se sont présentées aux urgences et 112 ont été hospitalisées à cause de la grippe. Huit cas graves ont été admis en réanimation (avec un âge moyen de 56 ans, et 53% n’étaient pas vaccinés). Le virus A a été identifié dans 86% des cas. Une personne est décédée.

Comment éviter la grippe ?L’année dernière, la mortalité liée à la grippe avait été très élevée avec 14 400 décès recensés. Pour se protéger de la grippe, les meilleurs moyens de prévention sont :La

vaccination contre la grippe est la meilleure façon de se protéger de la grippe et de ses complications. Un délai de 15 jours après la vaccination est nécessaire pour être protégé. Lancée en octobre, la 

campagne nationale de vaccination s’adresse aux 11 millions de personnes âgées ou fragilisées par certaines maladies chroniques, d’obésité morbide, à l’entourage de nourrissons prématurés, à certains professionnels de santé, ainsi qu’aux femmes enceintes qui peuvent se faire vacciner gratuitement. Neuf à 14 jours sont nécessaires pour être immunisé. Pour la première fois, les pharmaciens de deux régions (Auvergne-Rhône-Alpes et Nouvelle Aquitaine) sont également autorisés, à titre expérimental, à administrer le vaccin contre la grippe (sauf pour les femmes enceintes, les sujets immunodéprimés et ceux qui se font vacciner pour la première fois). Les mesures barrières 

  • Limiter ses contacts avec d’autres personnes, en particulier à risque (les personnes âgées de 65 ans et plus, les femmes enceintes, les personnes atteintes de certaines maladies chroniques, les nourrissons), ou porter un masque chirurgical en leur présence.
  • Se laver régulièrement les mains à l’eau et au savon, ou avec une solution hydroalcoolique.
  • Se couvrir la bouche et le nez avec le coude ou un mouchoir en cas de toux et d’éternuement.
  • Utiliser des mouchoirs en papier à usage unique et les jeter.
  • Porter un masque quand on présente un syndrome grippal. Les masques permettent de limiter la propagation du virus lorsque vous êtes malades. Il doit être changé toutes les 4 heures.
  • Limiter les contacts avec les personnes malades
  • Aérer son logement chaque jour pour en renouveler l’air

Enfin, les proches de personnes âgées doivent être vigilants concernant leur état de santé. Il est recommandé de prendre des nouvelles des personnes les plus vulnérables et les plus isolées dans votre entourage.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Le groupe pharmaceutique suisse Roche a annoncé mercredi que l’Agence européenne du médicamentavait donné un avis favorable pour son nouveau traitement contre la sclérose en plaques, Ocrevus, marquant une avancée dans le traitement de la maladie. La commission européenne devrait suivre cet avis dans les deux mois.

La sclérose en plaques survient lorsque le système immunitaire attaque par erreur des partie du système nerveux central telles que le cerveau, la moelle épinière et les nerfs optiques.

Sommaire

  1. Une nouvelle arme contre la sclérose en plaques
  2. Un médicament déjà autorisé aux Etats-Unis

Dépendant ed  l’Agence européenne de médicament, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) a donné un avis favorable pour l’Ocrevus, également appelé ocrelizumab, pour la sclérose en plaques récurrente active et la sclérose en plaques primaire progressive de stade précoce. Après cet avis, ce sera à la Commission européenne de valider cette autorisation, ce qu’elle fait généralement dans les deux mois suivant l’avis favorable du CHMP.Une nouvelle arme contre la sclérose en plaquesLes résultats des études de phase III, intitulées Opera I et Opera II ainsi qu’Oratorio ont démontré que ce nouveau médicament permet de réduire de près de moitié le nombre de crises (poussées) par an et ralentissant de manière significative la progression de la maladie, par comparaison avec l’interféron bêta-1a à haute dose (

Rebif®) sur l’ensemble de la période de traitement contrôlé de deux ans. Le médicament a également augmenté de manière significative la probabilité pour un patient de ne présenter aucun signe d’activité de la maladie (lésions cérébrales, poussées et aggravation de l’invalidité). Enfin, c’est le premier et seul traitement capable de ralentir de manière significative la progression de la maladie et de réduire les signes d’activité de la maladie au niveau cérébral (lésions révélées par IRM), par comparaison avec un placebo, sur une durée médiane de suivi de trois ans. Les effets secondaires les plus fréquemment observés ont été les réactions à la perfusion et les infections des voies respiratoires supérieures, d’intensité légère à modérée dans la plupart des cas.L’Ocrevus est administré par intraveineuse tous les six mois en deux doses de 300 mg à deux semaines d’intervalle, auxquelles s’ajoute ultérieurement une dose de 600 mg. Un médicament déjà autorisé aux Etats-UnisEn septembre 2017, Roche avait soumis des données aux autorités sanitaires américaines en vue de son homologation mais en décembre 2016 le délai d’examen avait été prolongé de trois mois. La Food and Drug Administration (FDA) avait finalement homologué ce médicament en mars 2017. Ce médicament avait obtenu le statut de percée thérapeutique, qui permet d’accélérer les procédures de mise sur le marché pour les médicaments destinés aux maladies graves pour lesquelles il existe peu ou pas d’options de traitements. Il est  également autorisé dans d’autres pays, dont l’Australie et la Suisse.La sclérose en plaques est une maladie chronique qui touche quelque 2,3 millions de personnes dans le monde mais pour laquelle il n’existe pas de remède.  La maladie survient lorsque le système immunitaire attaque par erreur des partie du système nerveux central telles que le cerveau, la moelle épinière et les nerfs optiques.  Elle se manifeste habituellement entre 20 et 40 ans et se traduit par de nombreux symptômes telles que la fatigue, un affaiblissement des muscles et des troubles de la vue, et peut entraîner des handicaps.Click Here: Ireland Rugby Shop

Des chercheurs américains ont conduit une étude préliminaire de phase 1 sur 3 patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Les patients ont été traités par électrostimulation cérébrale profonde dans le but de ralentir le déclin cognitif et d’améliorer les capacités à prendre des décisions.

Trois patients ont été traités par électrostimulation cérébrale profonde dans le but de ralentir le déclin cognitif et d’améliorer les capacités à prendre des décisions.

Sommaire

  1. Une étude pilote avec une électrostimulation cérébrale profonde
  2. Pourquoi l’électrostimulation cérébrale ?
  3. Une amélioration chez les trois patients traités
  4. Un espoir qui reste à confirmer

Une étude pilote avec une électrostimulation cérébrale profondeLes équipes de la Ohio State University Medical Center, Etats-Unis, ont conduit une étude pilote pour savoir si l’

électrostimulation cérébrale profonde pouvait ralentir le déclin cognitif et améliorer les prises de décision. Cette méthode est utilisée pour améliorer les symptômes des patients atteints de la

maladie de Parkinson.Pourquoi l’électrostimulation cérébrale ?Les chercheurs sont partis du principe que les lobes frontaux du cerveau sont responsables du jugement, de la résolution des problèmes et de l’organisation, mais aussi du contrôle cognitif. Ils ont donc implanté des électrodes très fines dans ces zones chez trois participants pour exercer une électrostimulation profonde, une sorte de pose de pacemaker cérébral.Le but était donc de savoir si cette électrostimulation améliorait la cognition et les capacités exécutives des patients.Les équipes médicales ont recruté trois personnes atteintes de la

maladie d’Alzheimer, avec des formes débutantes à modérées.Une amélioration chez les trois patients traitésProgressivement, les trois patients participant à cette étude ont présenté une amélioration qui était notable surtout au niveau des fonctions exécutives. Ainsi, une des 3 participantes âgée de 85 ans qui était incapable de préparer des repas, de faire son lit ou ses courses a récupéré ces fonctions au bout de deux ans d’électrostimulation. Selon son conjoint, il n’avait pas remarqué d’amélioration dans les fonctions cognitives mais avait l’impression que la maladie progressait moins vite. Il en était de même pour les deux autres participants.

Un espoir qui reste à confirmerSelon le Dr Ali Rezai, médecin chirurgien qui a réalisé la pose des électrodes, ces résultats sont encourageants, surtout pour une maladie contre laquelle nous ne disposons que de peu de moyens thérapeutiques et aucun curatif. Cependant, il admet que ces données restent préliminaires et qu’il faudrait une étude plus large pour confirmer les résultats et la durée de l’amélioration. Pour le Dr Rezai, l’idéal serait de trouver des méthodes non invasives pour stimuler les lobes frontaux.Click Here: New Zealand Rugby Shop

Les terrains de sport synthétiques sont-ils dangereux pour la santé? Le gouvernement a demandé jeudi un rapport sur cette question après plusieurs enquêtes dans les médias ces derniers mois.

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  1. Un rapport attendu fin juin
  2. Des substances dangereuses contenues dans les pneus

Plusieurs médias (Envoyé Spécial, So Foot) ont consacré une enquête sur l’éventuelle toxicité des granulés de caoutchouc dispersés en masse sur les terrains de sport en gazon synthétique, mais aussi dans les aires de jeux pour enfants et litières pour animaux. Ces granulés, fabriqués à partir de vieux pneus, aident à renforcer les pelouses artificielles.Un rapport attendu fin juinLe gouvernement a “pris la décision de saisir l’Agence Nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) sur les éventuels risques liés à l’utilisation des granulats de caoutchouc recyclé notamment dans les terrains de sports synthétiques“, ont indiqué six ministères (Transition écologique, Santé, Économie, Travail, Agriculture et Sports) dans un communiqué commun. Le rapport est attendu pour la fin juin.Des substances dangereuses contenues dans les pneus”Ces terrains synthétiques soulèvent des interrogations quant à leur impact sur la santé et l’environnement en raison des substances dangereuses potentiellement présentes dans les granulés“, poursuit le communiqué.En novembre, le magazine So Foot avait consacré une enquête à cette question, également abordée dans l’émission Envoyé Spécial diffusée ce jeudi sur France 2.Les ministères précisent que “l’Agence Européenne des produits chimiques (ECHA) a procédé en 2017 à une évaluation préliminaire des risques pour la santé humaine” liés à ces granulés.”Elle a conclu à un faible niveau de préoccupation au vu des concentrations d’hydrocarbures (…) mesurées dans les granulés, qui s’avèrent être sous les limites de concentration règlementaires prévues dans le cadre du règlement européen sur les produits chimiques“, soulignent-ils. Le problème, c’est que ces limites de concentration règlementaires ont été fixées dans le cadre d’une utilisation peu fréquente des pneus (toucher). Or, les personnes pratiquant un sport de façon régulière sur un terrain synthétique sont très souvent en contact avec ces granulés qui s’infiltrent partout : dans les chaussures, sous les vêtements, dans les yeux, dans la bouche…”Sur cette base, l’Anses analysera les données et études disponibles sur les principales substances présentes dans ces granulés et matériaux en caoutchouc et sur le niveau de préoccupation qu’elles génèrent“, ajoutent les ministères.Click Here: Athletic Club Jersey

88 % des 15-24 ans manquent de sommeil

April 12, 2020 | News | No Comments

83% des 15-24 ans passeraient plus d’une heure devant les écrans avant de s’endormir y compris la semaine et près de 40% dormiraient moins de 7 heures par nuit, révèle ce mardi 13 mars une enquête Opinionway menée pour l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV) et la mutuelle MGEN.

40% des 15-24 ans dormiraient moins de 7 heures par nuit.

88% des jeunes de 15-24 ans sont en manque de sommeil et 38% dormiraient moins de 7 heures par nuit, révèle une enquête INSV/MGEN réalisée à l’occasion de la 18ème Journée du Sommeil du 16 mars.42% des jeunes interrogés rencontrent des réveils nocturnes et évoquent des difficultés pour se rendormir. A la clé, fatigue (82%), manque d’attention (52%), irritabilité et nervosité (40%), somnolence (35%) et sentiment de tristesse (1 jeune sur 5) se font ressentir le lendemain.Le manque de sport, l’hyperconnexion aux écrans (tablettes, smartphones, ordinateurs) le soir et le décalage des rythmes entre la semaine et le week-end seraient en cause de cette dette de sommeil, pointe du doigt l’étude qui a interrogé 1014 personnes âgées de 15 à 24 ans.

Les jeunes s’endorment en moyenne à 23h20 en semaine et à 0h49 le week-end“, selon l’étude qui constate les effets néfastes des fameuses grasses matinées du week-end avec en moyenne un réveil de 2h40 plus tardif qu’en semaine.Délétères quel que soit l’age, les activités stimulantes le soir et l’exposition à la lumière bleue des écrans qui empêche l’endormissement sont plus problématiques chez les jeunes dont le cerveau est encore en développement et qui ont besoin de 8 heures de sommeil par nuit, rappellent les spécialistes de l’INVS dans un communiqué.Dans les faits, 83% des jeunes vont se coucher pour consulter- via leur smartphone ou tablettes- les réseaux sociaux, internet, ou s’adonnent à des jeux pendant 68 minutes avant l’extinction des feux (1h30 le week-end), selon l’étude. Par ailleurs, plus d’un jeune sur 3 ne feraient aucune activité physique, selon l’étude tandis que les spécialistes recommandent 30 minutes par jour la semaine et plus lors des temps libre. Pour lutter contre les effets du manque de sommeil, la majorité (75%) consomme des excitants tels que la caféine (28%), la nicotine ou médicaments (11%). 29% déclarent faire au moins une sieste dans la semaine (2 en moyenne). 20% ont recours au sport et 12% évoquent la relaxation pour récupérer. Seuls 2 % ont recours à des somnifères tandis que 12% optent pour le sexe. A l’occasion de la 18ème 

journée mondiale du sommeil le 16 mars, l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV) dévoile sur son site une vidéo pour, entre autres, alerter les jeunes contre les usages des écrans le soir en les invitant à se déconnecter une heure avant le coucher.Click Here: cheap wests tigers jersey

Des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm, en collaboration avec la société Genedrive, ont développé un test de dépistage HCV, transportable au chevet du patient, rapide et fiable.

Un nouveau test fiable et transportable au chevet des personnes a été mis au point par des chercheurs.

Pour l’éradication du virus de l’

hépatite C (HCV), un des enjeux émis par l’OMS est le diagnostic des cas chroniques qui sont la plupart du temps asymptomatiques. Les progrès doivent donc porter sur le diagnostic précoce et “décentralisé”, c’est-à-dire accessible aux populations des pays aux ressources limitées. Des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm, en collaboration avec la société Genedrive, ont développé un test de dépistage HCV, transportable au chevet du patient, rapide et fiable. Ce nouveau test de détection permet donc une prise en charge immédiate du patient suite au diagnostic, et une mise en place sans tarder d’un traitement contre la maladie. Ces résultats ont été publiés dans la revue Gut, le 04 avril 2018. 1 % de la population mondiale concernéeL’hépatite C est une inflammation du foie causée par le virus HCV. Le virus peut conduire à un état de portage chronique, pouvant entrainer de nombreuses années plus tard des complications graves : cirrhose et cancer du foie. L’infection chronique au virus de l’hépatite C concerne environ 1% de la population mondiale (71 millions de personnes) et est responsable de 400 000 décès par an dus à l’évolution sévère de la maladie.Les antiviraux récentsActuellement, les récents antiviraux d’action directe permettent de traiter les hépatites C chroniques à 95% s’ils sont pris à temps. Par conséquent, l’OMS a publié en 2016 un plan pour éliminer cette menace pour la santé publique d’ici 2030. Le défi majeur pour répondre à cet ambitieux objectif, reste cependant le dépistage des patients asymptomatiques, notamment dans les pays à revenus faibles ou intermédiaires, où l’accès aux tests classiques reste limité.Méthodes diagnostiques actuelsLe diagnostic actuel se fait, dans un premier temps, par la mesure des anticorps spécifiques au VHC. Mais ce test ne permet pas d’indiquer si le patient a été infecté par le passé (et qu’il y a eu une rémission spontanée) ou, s’il est encore infecté de façon chronique. Dans un deuxième temps, une recherche d’ARN du virus dans le sang doit être réalisée par PCR1 pour confirmer ou non l’infection chronique.Les tests rapidesIl existe des tests sérologiques des anticorps au HCV rapides mais les tests par PCR demandent des infrastructures dédiées et du personnel qualifié. Dans les pays à ressources limitées, ce type de test n’est disponible que dans des laboratoires centralisés. Ce qui a pour effet que moins de 1% des personnes infectées dans ces régions savent qu’ils le sont. De plus, ces tests demandent plusieurs visites et du temps entre chaque résultat ce qui augmente le risque de perdre les patients en cours de diagnostic. Pour améliorer la prise en charge du patient, depuis le diagnostic jusqu’au traitement, il était urgent de disposer d’un test de détection de l’ARN du virus, qui puisse être décentralisé dans les milieux ruraux, ou à faibles ressources.Un test plus rapide, fiable et transportableL’équipe de chercheurs menée par Darragh Duffy (unité d’Immunobiologie des cellules dendritiques, Institut Pasteur / Inserm) a développé un test, en collaboration avec la société Genedrive, capable de détecter l’ARN du virus HCV, tout en étant aussi fiable que les tests existants, plus rapide et transportable auprès du patient. Les opérations de PCR peuvent se faire dans le kit miniaturisé grâce à un ventilateur qui permet la succession des 40 cycles nécessaires. L’analyse peut être réalisée en une heure environ. Au final, ce type d’appareil est moins cher que les tests actuels qui demandent des infrastructures conséquentes.Un test validé par plusieurs cohortes de patientsLes chercheurs ont d’abord validé cliniquement le test sur des cohortes de l’Institut Pasteur en France et du National Health Service de Nottingham au Royaume-Uni, puis avec les données du Lancet Laboratories de Johannesburg avec des échantillons provenant d’Afrique du Sud, du Kenya, du Ghana, du Nigeria, et d’Uganda.L’étude démontre que le test a une spécificité de 100%, c’est-à-dire qu’il ne fournit aucun faux positif, et a une sensibilité de 98,6%, ce qui répond aux exigences de l’OMS pour ce type de test.Un Kit avec certification CELe kit a obtenu une certification CE pour une distribution en Europe, et sera disponible à la vente au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie du Sud-Est, et en Inde une fois que l’autorisation réglementaire locale aura été obtenue.Click Here: nrl shops