Dans le dernier film dramatique d’André Téchiné, est Judith, ancien mannequin à la sexualité hésitante, reconvertie dans l’immobilier. L’occasion pour l’actrice de se confier sans tabou.
En pleine promotion d’un des films français événement de l’été, Impardonnables, Carole Bouquet s’est livrée comme rarement dans les colonnes de l’Express. À la question «est-ce que vous pourriez être attirée par une femme ?», la fringante quinquagénaire répond sans détour. «Bien sûr. Autour de moi, il y a des femmes qui sont amoureuses d’un homme, puis d’une femme, puis d’un homme. On fait des rencontres dans la vie: quand on aime, le sexe de la personne n’est pas si important.»
Habituellement peu diserte sur sa sexualité en interview, Carole s’était épanchée pour la première fois dans le magazine Femme Majuscule en mai dernier: «Je ne souhaite pas tomber amoureuse d’un homme très jeune, avait-elle expliqué. Ça doit être épuisant, non? Qu’est-ce qu’on fait dans un lit? Quelles seraient les stratégies à inventer pour paraître en permanence désirable? Non, non… Je ne me suis jamais donné tant de mal et je ne vais pas commencer à le faire maintenant.»
Des confessions étonnantes pour celle qui a longtemps été considérée comme la beauté froide du cinéma français. Dans Impardonnables, ce mercredi en salles, Carole est resplendissante. Les critiques sur sa prestation sont d’ailleurs unanimes. Un joli cadeau d’anniversaire puisque l’actrice fêtera ses 54 ans le lendemain de la sortie du film.
La princesse Victoria de Suède et son époux, le prince Daniel, ont participé à la cérémonie des dix ans de mariage du prince Haakon de Norvège et de la princesse Mette-Marit. Réunion de couples princiers chics à Oslo.
Dix ans d’amour, c’est ce que l’on souhaite et bien plus encore à la princesse Victoria de Suède et au prince Daniel. Une décennie d’amour et de vie conjugale que fêtent aujourd’hui le prince Haakon de Norvège et la princesse Mette-Marit. À cette occasion le couple princier a convié amis et têtes couronnées à participer à une grande fête à Oslo. La princesse Victoria de Suède et son époux, très proches du couple princier norvégien, ont répondu présent à l’appel.
Une semaine après l’annonce de sa grossesse, l’héritière du trône de Suède n’a pas encore de petit ventre rond. Toujours aussi féminine, elle est arrivée dans la capitale norvégienne et avait choisi de porter une petite robe chocolat à pois blancs, réhaussée d’escarpins et d’une pochette à imprimé python. Les effets de plis de sa tenue auraient pu laisser apparaître quelques rondeurs, mais en y regardant de plus près, il n’en est rien. La princesse Victoria de Suède est enceinte depuis à peine quelques mois et on imagine déjà que la grossesse lui ira à ravir.
Bien que les photographes se soient attardés sur le couple princier suédois, les vraies stars de la journée étaient la princesse Mette-Marit et le prince Haakon. Dans un tailleur blanc, Mette-Marit a illuminé la cérémonie du dixième anniversaire de son mariage avec son prince norvégien. Des noces d’étain auxquelles participaient évidemment les deux enfants du couple, la princesse Ingrid et le prince Sverre Magnus, ainsi que le fils aîné de la jeune femme, Marius.
Pas de duel de princesses mais un duo au service du glamour, c’est ce qu’a pu apprécier la foule de Norvégiens réunie autour de la Cathédral d’Oslo.
Anh Dao Traxel, fille adoptive de Jacques et , affirme que son père adoptif ne l’aurait pas reconnue, alors qu’ils s’étaient croisés dans la rue en février dernier.
Alors que les problèmes de santé de Jacques Chirac font couler beaucoup d’encre depuis le week-end dernier, la fille adoptive de l’ancien chef d’Etat entre en scène. Pour Anh Dao Traxel, il est évident que son père n’est pas en mesure de comparaître. Elle l’affirme, il a de sérieux troubles de la mémoire. «Je l’ai rencontré devant chez lui, raconte-t-elle à l’AFP, et il ne m’a pas reconnue», décrivant
comme un «vieil homme malade». Des propos qui viennent corroborer la thèse de la détérioration de la santé de l’homme d’état.
Convaincue que son père voulait être jugé, mais a été contraint d’abandonner l’idée, Anh Dao Traxel pense que «c’est trop tard». «Au tout début, il voulait aller jusqu’au bout du procès, indique-t-elle. Malheureusement, il a été obligé d’accepter (d’y renoncer). C’est très dur», ajoutant que «la justice doit être la même pour tous».
Le procès de l’ancien président, aujourd’hui âgé de 78 ans, s’est ouvert hier, lundi 5 septembre, à Paris. Il est jugé dans l’affaire des emplois fictifs de la Ville de Paris. Le président du tribunal a accepté l’excuse médicale de Jacques Chirac, et le rapport présenté par ses médecins pour qu’il n’assiste pas aux audiences. D’après la défense, l’ancien président n’est «plus dans une situation aujourd’hui de se souvenir de faits qui ont plus de vingt ans».
Anh Dao Traxel vient ainsi ajouter son témoignage à l’expertise médicale qui maintient que la mémoire de Jacques Chirac n’est pas intacte. La fille adoptive des Chirac, adoptée à son arrivée en France en juillet 1979, à l’âge de 21 ans, après avoir quitté le Vietnam à bord d’un boat people, a elle-même été employée par la mairie de Paris. Elle explique qu’elle y a travaillé de 1980 à 2001, «sans jamais avoir eu de passe-droit».
Anh Dao Traxel devrait assister au procès de son père, discrètement, dans le public, mercredi ou jeudi, pour «savoir comment on va juger (son) ancien patron».
Dominique Strauss-Kahn avait promis qu’il s’exprimerait à son retour en France. C’est sur le plateau du 20 heures de Claire Chazal qu’il s’est livré à l’exercice en réalisant une audience record.
12,5 millions. C’est le nombre de téléspectateurs qui ont regardé l’interview de Dominique Strauss-Kahn hier soir sur TF1. Deux semaines jour pour jour après son retour en France et après quatre mois de silence, l’ancien président du FMI a rassemblé 44,5% des téléspectateurs avec un pic d’audience à 14, 2 millions de personnes devant leur télé à 20h30.
On est loin des audiences historiques des matches de football (la finale entre l’équipe de France et l’Italie lors du mondial 2006 avait réuni plus de 22 millions de téléspectateurs) mais pour atteindre une telle performance cathodique lors d’une interview politique, il faut remonter au 3 février 2004 avec l’intervention d’Alain Juppé dans le JT de Patrick Poivre d’Arvor au lendemain de sa condamnation dans l’affaire des emplois fictifs au RPR. À titre d’exemple, la meilleure audience réalisée par une émission politique cette année revenait jusqu’à présent à l’émission Paroles de Français (diffusée le 10 février), avec Nicolas Sarkozy en invité, qui avait réuni 8,6 millions de téléspectateurs alors que DSK avait rassemblé 6,7 millions de téléspectateurs lors de son entretien avec Laurent Delahousse le 20 février lors du 20 heures de France 2. Avec ses 12, 5 millions de téléspectateurs le JT de TF1 hier s’accapare la meilleure audience de l’année ex-aequo avec l’émission dans l’œil des Enfoirés (diffusé le 11 mars 2011). Sur les réseaux sociaux, l’interview de Claire Chazal avec DSK a aussi été très suivie et surtout très commentée. Selon le site « Devant la télé », 14248 messages ont été postés sur Twitter pendant les vingt minutes d’entretien soit 7,2 tweets à la seconde. Une intervention qui était indubitablement très attendue donc.
Georges Moustaki ne chante déjà plus depuis 2009, mais aujourd’hui il sait que c’est définitif. Il s’est confié au journal La Croix, un entretien au cours duquel il a évoqué sa maladie et la manière dont il envisageait l’avenir.
Même si on ne l’entendait plus depuis 2009, date à laquelle il a annoncé au public de Barcelone qu’il était obligé d’arrêter de chanter à cause de problèmes respiratoires, on apprend cette semaine que cela sera malheureusement définitif. Georges Moustaki ne pourra plus interpréter ses plus grands standards, Le métèque, Ma liberté ou encore La longue Dame brune. Il l’a déclaré lui-même au journal La Croix auquel il a accordé un long entretien.
«Ma maladie est donnée comme irréversible. Elle touche toutes les régions du corps et de l’esprit et me rend définitivement incapable de chanter» explique-t-il. A cause d’elle, Moustaki déclare: «Je ne peux plus faire de sport, pratiquer le tennis de table qui fut mon exercice quotidien pendant quarante ans. Je m’exprime avec peine, mes muscles ont fondu».
Il raconte également qu’à une époque où il était en réanimation à l’hôpital, les infirmières l’ont soutenu. «Elles m’ont aidé à ne pas céder au découragement, m’ont poussé à remarcher, à rejouer de la guitare».Une expérience qui l’a changé: «Je suis devenu plus sensible aux témoignages qui me réchauffent le cœur. Vincent Delerm, à qui je songe, m’offre depuis des années une amitié aussi belle que désintéressée. Ces marques d’humanité m’ont permis de conserver l’envie de me battre».
Et après avoir reconnu «J’ai eu une vie passionnante. Je voudrais qu’elle le reste jusqu’au bout», Georges Moustaki dit qu’il s’occupe chaque jour grâce à l’écriture, au dessin et à la peinture. Des activités qu’il pratique chez lui. «Désormais, je voyage dans ma chambre…» s’exclame-t-il dans La Croix. Celui qui vient de sortir un livre intitulé La sagesse du faiseur de chanson aborde alors le thème de la vieillesse. Selon lui, en France, «les anciens acceptent moins facilement de vieillir. On ne voit que l’aspect négatif, l’approche de la mort». Une approche radicalement différente de celle qu’il observait, enfant, à Alexandrie où il vivait. «Je trouvais les vieux remplis de joie de vivre. (…) Je rêvais d’accéder au grand âge. J’y décelais cette soif de liberté, présente dans l’enfance et la vieillesse, qui a toujours guidé mes pas».
Que Georges Moustaki se rassure, sa vie et ses pensées sont passionnantes jusqu’au bout.
En déplacement à Bordeaux, Nicolas Sarkozy a rencontré des mères de famille à qui il a confié que Carla Bruni allaitait leur petite Giulia. Le chef de l’Etat a alors eu une étonnante discussion sur l’allaitement, ses avantages et ses inconvénients.
Nicolas Sarkozy était mardi à la Caisse d’Allocations Familiales de Bordeaux. Il n’y était pas en tant que jeune papa afin de déposer un dossier pour obtenir une aide financière, mais bien en tant que chef de l’Etat pour présenter son plan anti-fraude aux allocations. Il a alors rencontré des mères de famille avec qui il a discuté des joies de la paternité.
Un échange au cours duquel Nicolas Sarkozy a révélé que Carla Bruni allaitait leur petite Giulia. «Carla la nourrit. Vous êtes pour ou contre ça? Ce n’est pas la tradition en France». Un choix que semble approuver à 100% le Président de la République. «Moi, je crois que c’est beaucoup mieux pour toutes les allergies, toutes les maladies» affirme-t-il, même s’il reconnaît que «pour la femme, c’est à la fois une grande joie et en même temps un esclavage». Il avoue que cela l’arrange bien de ne pas avoir à se lever au beau milieu de la nuit pour nourrir sa petite fille: «Quand même ça déculpabilise les hommes parce que ça ne pose pas le problème de donner le biberon. Vous n’avez pas à vous lever la nuit. Par solidarité, je lève un œil».
Mais Nicolas Sarkozy est bien conscient des craintes que peut susciter l’allaitement chez les mamans. «Vous savez qu’elle a peur de ne pas avoir assez de lait?» révèle-t-il à son auditoire. Avec un brin d’humour, il glisse: «Maintenant je suis devenu un spécialiste. A mon âge». Puis conclut sa discussion avec un compliment sur Giulia: «Mais elle est belle… avec une mère pareille». Le chef de l’Etat est bel et bien un papa gâteau.
Charlize Theron produira un film sur Marie Colvin, une journaliste tuée en Syrie en février 2012. La comédienne pourrait également y tenir le rôle principal.
Charlize Theron et le producteur Basil Iwanyk (The Town) sont fortement intéressés pour produire un film sur Marie Colvin, une journaliste qui a brusquement trouvé la mort dans un bombardement alors qu’elle couvrait la guerre civile en Syrie. Cette tragique histoire est racontée dans un article du Vanity Fair écrit par Marie Brenner et intitulé “Marie Colvin’s Private War”, témoignant du caractère déterminé de cette femme. Il se pourrait même que Theron prête ses traits à Colvin, mais pour le moment la priorité réside dans la recherche d’un scénariste qui adapterait cet article…
C’est officiel, Kelly Rowland est seule. Mais la diva de la pop avoue que trouver l’homme de sa vie demande beaucoup de travail. Surtout quand on a une existence bien remplie, à l’image de la sienne.
A 30 ans, l’ex-chanteuse du groupe Destiny’s Child –bien connu pour avoir révélé les plus beaux talents r’n’b- n’a toujours pas trouvé l’âme sœur, à défaut de sa collègue Beyoncé, qui attend un heureux événement. Entre sa carrière solo et ses prestations en tant que juge de l’émission X Factor britannique, Kelly Rowland avoue avoir des difficultés pour faire des rencontres. «Ma carrière me prend tellement de temps. Je n’ai même pas une minute pour regarder les beaux mecs.» En tout cas si la belle n’a pas un instant à consacrer aux bellâtres, on se doute que les prétendants doivent se bousculer au portillon.
«Mais vous savez, c’est tellement de travail une relation, que parfois c’est bien mieux de crouler sous le boulot», poursuit-elle. Quant à son homme idéal, Kelly Rowland à défaut d’avoir un archétype physique, à une idée bien précise de sa personnalité: «J’aime un homme gentil, respectueux. Mais j’aime qu’il soit indépendant, qu’il ait sa propre vie, parce que j’ai la mienne. Et il faut aussi qu’il soit ambitieux, drôle, qu’il ne se prenne pas trop au sérieux et qu’il soit proche de sa famille.»
Même si la belle est la première à s’amuser de sa description de l’homme idéal –car oui Kelly, toutes les femmes recherchent le même!-, elle affirme un caractère sans pitié: «Je suis très intelligente et je tiens des conversation formidables donc je veux une personne qui soit à ma hauteur.» La messe est dite: si vous êtes intéressés par la pétillante brune, vous devez avoir remporté un concours d’éloquence…
Political group leaders urge Commission president to criticize countries’ response to migration crisis.
STRASBOURG — The European Parliament’s party leaders called on Commission President Jean-Claude Juncker Tuesday to use his State of the Union speech to take aim at countries that have opposed his plans to relocate refugees across the EU.
In a meeting behind closed doors, the political group leaders urged Juncker to join them in criticizing EU member states for their lack of unity on how to handle the influx of asylum-seekers from the Middle East to Europe.
“President Pittella will not be challenging the President but challenging the governments,” said a spokesperson for Italian MEP Gianni Pittella, the president of the Progressive Alliance of Socialists & Democrats group, who will be among the parliamentarians responding to Juncker’s speech.
“Finally the Commission had the courage to put together a real number, 160,000,” the spokesperson said. “Now it’s up to the member states to give up their selfishness and irresponsibility. Juncker must underline that some countries have proven solidarity while others haven’t.”
German MEP Manfred Weber, the president of the European People’s Party group, also said it was up to EU countries to act.
“I ask the member states to use this week now as a starting point for a discussion especially on the solidarity mechanism,” Weber said at a press conference after the meeting. “There are a lot of questions on the details of the legislation, but the starting point is to be open for the debate after the decision from the European Commission.”
Belgian MEP Guy Verhofstadt, leader of the Alliance of Liberals and Democrats for Europe, took direct aim at European Council President Donald Tusk, saying he had failed to rally support from countries that oppose a mandatory relocation mechanism for asylum-seekers.
Verhofstadt has demanded that Tusk attend the State of the Union speech Wednesday so that he can take part in the debate, and has also been pushing for EU leaders to convene a special summit on the migration issue.
Tusk will be traveling throughout Turkey, Israel and Palestinian-controlled territories to visit refugee camps and discuss the migration, but will not attend the plenary. Tusk did give a speech on the subject Monday evening in Brussels, saying “Today’s disputes about how to apply solidarity in practice, especially in the context of refugees, show us that although we are not perfect, we address this idea with all seriousness.”
Verhofstadt said in a statement: “If nothing else, [Tusk] should come to the European Parliament to explain why EU member states have totally failed to reach a common position; this is one of the the biggest human tragedies since the foundation of the EU.”
Added Verhofstadt, “Why is he refusing to organize an extraordinary summit to deal with this humanitarian disaster? It is unacceptable that he refuses to do his job.”
EU ministers of home affairs are set to meet on September 14 to discuss migration; the next EU summit is scheduled for October 15 and 16.
Sources said that if there seems to be a wide divergence in positions between the ministers next week on how to handle the crisis, an emergency summit could still be called ahead of the U.N. General Assembly on September 26.
“Tusk is in close contact with EU leaders and as always ready to convene a meeting should that prove necessary,” said Council spokesperson Preben Aamann. “Migration will be at the next [summit] on 15-16 October. At this stage, there is no plan to convene another emergency meeting of the European Council on migration before that.”
Political turmoil could push turnout in the election to the European Parliament to a new low.
The political turmoil that has engulfed Slovenia and last week toppled its government could, paradoxically, push turnout in the election to the European Parliament to a new low.
Voters are disaffected with the country’s political parties, especially those in the coalition government that collapsed on 5 May – the centre-left Positive Slovenia (PS) and its junior partner, the Social Democrats (SD). The government fell when Zoran Jankovic΄, the founder of the PS, regained the party leadership from Prime Minister Alenka Bratušek, prompting her resignation. The junior coalition parties refuse to work with Jankovic΄, the mayor of Ljubljana, who is under investigation for corruption.
At the same time, the prospect of an early national election, which could be called any day and would be likely to take place in July, will prompt many voters to stay home for the European election.
“Interest in the European elections is dismal,” says Aljaž Pengov Bitenc, editor-in-chief of Radio KAOS and a prominent columnist. “But they are an important factor in how the parties will seek to position themselves ahead of the national election, and they show the depth of voters’ dissatisfaction with the politicians.”
A low turnout will benefit the centre-right opposition, whose electorate tends to be more disciplined than that of the centre-left, says Pengov Bitenc. The centre-right list is headed by Alojz Peterle, a sitting MEP from New Slovenia (Nsi); Milan Zver, another current MEP, from the Slovenian Democratic Party (SDS), is also certain of re-election. The two parties, both members of the European People’s Party, are projected to win five of Slovenia’s eight seats, up from four at present.
Slovenia’s centrist and centre-left parties, by contrast, have all but imploded. The SD, with two current MEPs, is unlikely to hold on to even a single seat, polling last among the main parties. Its list is headed by party chief Igor Lukšic΄, who is campaigning on the idea of Slovenia as a European swing state whose election result could make the difference between a centre-right or a centre-left victory. That message appears to have fallen flat.
The remaining two current MEPs, Jelko Kacin from the Liberal Democrats (LDS) and Ivo Vajgl from Zares, both sit with the liberal ALDE group in the European Parliament, which has two other member parties in Slovenia. Vajgl himself recently switched to the Pensioners’ Party. Polls suggest that Kacin might scrape in, largely on the strength of his personal appeal.
There had been plans for the four Slovenian ALDE members to compete on a single list, headed by Janez Potocnik, Slovenia’s European commissioner. But neither the single-list plan nor the idea of putting Potocnik forward as head of the list took off. Potocnik stands a fair chance of being re-appointed as a European commissioner, although Bratušek has been exploring the option of moving to the Commission herself.
The events of the past few weeks have been traumatic for the PS, which is currently a member of ALDE but has no MEPs because it was launched after the last European elections. The PS filed its candidate list before the pro-ALDE Bratušek was toppled as its leader; the list includes candidates who have since left the party, following Bratušek’s lead. Jankovic, meanwhile, sees the Party of European Socialists (PES) as the PS’s natural home, but that option has been blocked by the SD, the Slovenian PES member party. The head of the PS’s list, Jože Mencinger, is an outspoken leftist in the Jankovic΄ model.