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La vertébroplastie, technique consistant à injecter du ciment dans les vertèbres après une fracture, est utilisée sur des centaines de milliers de patients. Mais, selon un rapport dévoilé jeudi 24 janvier 2019 par des médecins américains, cette méthode n’a pas démontré son efficacité.

La procédure, dont la France fut pionnière et qui s’est fortement développée depuis deux décennies, est remboursée dans de nombreux pays et vue comme un remède miracle par des patients souffrant de douleurs souvent insoutenables après une fracture.Mais seuls cinq essais cliniques avec groupes témoins ont été réalisés sur la vertébroplastie. Et leurs résultats sont formels : la technique ne réduit pas davantage la douleur qu’une opération

placebo, dans les deux années suivantes.Pour neutraliser l’éventuel effet placebo d’une opération, les auteurs de ces essais cliniques ont comparé les patients opérés à un groupe témoin de patients, qui sont allés au bloc opératoire et ont reçu l’aiguille d’anesthésie, mais n’ont pas eu d’injection de ciment, sans le savoir.C’est la meilleure méthode pour annuler l’effet placebo, car il est toujours possible que les patients ressentent une atténuation de leur douleur par effet psychologique, ou grâce à l’anesthésie. Après l’étude, ils sont informés qu’ils appartenaient au groupe témoin.Quant à une technique proche, la cyphoplastie par ballonnets, devenue dominante aux Etats-Unis, il n’existe pas d’essai clinique avec placebo.Le groupe de travail auteur du rapport avait été constitué par la Société américaine pour la recherche osseuse et minérale (ASBMR).”Pour les patients ayant des fractures des vertèbres très douloureuses, la vertébroplastie percutanée n’apporte aucun bénéfice clinique significatif prouvé par rapport au placebo“, concluent les auteurs.Alors pourquoi, malgré les études publiées depuis dix ans, les chirurgiens continuent-ils de prescrire l’opération, qui comporte des risques comme toute intervention chirurgicale ?”Parce que les gens qui ont des fractures très douloureuses sont désespérés, ils souffrent beaucoup“, explique à l’AFP le docteur Peter Ebeling, membre du groupe de travail et auteur principal du rapport. “Pourtant, le cours naturel de la douleur est qu’elle s’estompe après quatre à six semaines“.Si la douleur continue pendant des mois, il est probable que les patients demanderont une vertébroplastie, mais là encore, les données manquent, insiste le docteur Ebeling.Pour commencer, il recommande des

médicaments antidouleurs, et éventuellement un corset et de l’exercice physique, des mesures moins risquées qu’une opération.Pour éviter une seconde fracture, en revanche, des essais cliniques ont démontré que

les médicaments contre l’ostéoporose étaient efficaces et réduisaient le risque de 40 à 70%, indique le rapport.Aux Etats-Unis, au moins 300.000 patients ont été opérés entre 2005 et 2010, dont 27% de vertébroplastie et 73% de cyphoplastie, selon des chiffres gouvernementaux.

Moins connus que les allergènes "classiques", certains aliments comme le kiwi, le sarrasin ou le lait de chèvre sont à l’origine d’allergies graves chaque année en France, pointe ce vendredi l’agence sanitaire Anses, qui recommande de rendre obligatoire l’information sur leur présence dans les aliments.

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  1. Nouvelles habitudes alimentaires et nouvelles allergies
  2. Mieux informer les consommateurs

Nouvelles habitudes alimentaires et nouvelles allergiesActuellement, seuls 14 allergènes figurant sur une liste établie par l’Union européenne doivent obligatoirement être signalés sur l’emballage des produits: c’est notamment le cas des fruits à coque (noisette, noix, amande, etc.), de l’arachide, des crustacés ou encore du lait et des oeufs.Or, d’après les cas recensés depuis 2002 par le Réseau d’allergo vigilance (RAV), le sarrasin et le lait de chèvre ou de brebis ont causé tous les deux au moins autant d’

allergies graves que les mollusques et le soja (une soixantaine de signalements en 16 ans), explique

l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation.Quant au kiwi, au pignon de pin et à l’alpha-galactose, un glucide présent dans la viande de mammifères, ils sont tous à l’origine de plus d’1% des cas d’allergie graves recensés, soit une fréquence plus importante que la moutarde et les sulfites, dont la déclaration est obligatoire.Ces chiffres restent partiels, car ils ne recensent que les cas les plus graves (anaphylaxie alimentaire sévère) et leur déclaration n’est pas obligatoire, mais ils sont suffisamment importants pour inciter l’Anses à recommander “la mise à jour régulière de la liste des allergènes alimentaires qui doivent être signalés afin de mieux prévenir le risque d’allergie grave“.

Mieux informer les consommateursL’Agence, mandatée par le ministère de la Santé en 2015 pour mettre à jour les connaissances sur les allergies alimentaires en France, souligne également le “manque de données” disponibles sur le sujet, “notamment en raison des limites méthodologiques et de la diversité des méthodes utilisées“.Résultat, impossible de mesurer la fréquence du phénomène et de dire si les allergies alimentaires sont plus fréquentes qu’il y a une vingtaine d’années ou pas.”A partir de ce constat, l’Anses recommande aux pouvoirs publics d’améliorer les dispositifs de recueil de données relatives aux allergènes alimentaires, ainsi que l’évaluation de l’incidence ou de la prévalence des allergies, afin de mieux orienter les études et recherches sur les allergies alimentaires“.Elle préconise également d’évaluer l’efficacité des dispositifs mis en place pour informer les personnes allergiques dans la restauration collective et commerciale (ergonomie, accessibilité de l’information, pertinence des produits soumis à obligation d’information…)Dans une étude menée par l’agence en 2014 et 2015, 3,9% des adultes interrogés déclaraient souffrir d’intolérances ou d’allergies alimentaires. Celles-ci avaient été confirmées par un médecin dans un peu moins de la moitié des cas (45 %).

Le

Ministère chargé de la Santé a mis en ligne, ce jeudi 7 mars 2019, le nouveau calendrier des vaccinations 2019 dévoilant les nouveaux vaccins, ceux qui font l’objet d’arrêts de commercialisation ainsi que plusieurs recommandations et différentes mises à jour.

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  1. Les arrêts de commercialisation
  2. Les nouveautés du calendrier

Depuis le 1er janvier 2018, onze vaccins sont devenus obligatoires pour les enfants, le nouveau calendrier vaccinal 2019 intègre d’autres évolutions comme la vaccination contre le papillomavirus ou la formation des infirmiers et pharmaciens à la vaccination grippale.Les arrêts de commercialisation Le

nouveau calendrier indique les vaccins qui ne sont désormais plus commercialisés, à savoir : les vaccins trivalents

Vaxigrip et

Fluarix et les vaccins tétanique monovalent et les vaccins contre la typhoïde (

Typherix). Quant aux

vaccins trivalents contre la grippe saisonnière, ils sont remplacés par des vaccins tétravalents

Fluarix Tétra et

Vaxigrip Tétra qui disposent d’une AMM (autorisation de mise sur le marché) dès l’âge de 6 mois.Les nouveautés du calendrier”Toute nouvelle vaccination contre les

papillomavirus (transmis lors de rapports sexuels) doit être initiée avec le

Gardasil 9 pour les jeunes filles, jeunes femmes et jeunes hommes (homosexuels ou bisexuels) non antérieurement vaccinés“, rapporte l’

AFP. Le ministère de la santé précise toutefois que la vaccination contre les infections à papillomavirus “ ne se substitue pas au dépistage des

lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus par le frottis cervico-utérin, y compris chez les femmes vaccinées, mais vient renforcer les mesures de prévention”.De plus, les assistants dentaires en formation devront se faire vacciner contre l’

Hépatite B à partir du 1er avril 2019, la compétence de vaccination grippale va être étendue aux compétences des infirmiers et généralisée chez les pharmaciens pour la saison 2019-2020.Concernant la

tuberculose, la vaccination “par le

BCG ne sera plus exigée lors de la formation ou de l’embauche de ces professionnels dès le 1er avril 2019”, précise le gouvernement. Enfin, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la santé, rappelle que : «se vacciner, c’est se protéger contre des maladies infectieuses transmissibles et graves mais c’est aussi un acte solidaire et citoyen. Se protéger, c’est aussi protéger les autres ».

L’Assemblée nationale a voté vendredi la création d’une plateforme des données de santé, qui doit rassembler l’essentiel des données générées par des actes médicaux remboursés, des élus de gauche s’inquiétant pour la sécurisation de ces informations sensibles.

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  1. Un espace santé numérique pour chaque Français
  2. Des craintes quant à la sécurité des données
  3. Favoriser la recherche basée sur ces données

Un espace santé numérique pour chaque FrançaisAvec ce projet intitulé “Health Data Hub”, le gouvernement entend “multiplier les possibilités d’exploitation” de ces informations, notamment pour la recherche ou le “développement des méthodes d’intelligence artificielle”. La création de la plateforme avait été annoncée dans la foulée du rapport Villani sur ce sujet.La ministre de la Santé Agnès Buzyn a évoqué un “usage innovant” de ces données qui va “améliorer l’intérêt public“. Elle a souhaité “rassurer” les députés, mettant notamment en avant “la préservation d’un haut niveau de protection de la vie privée” et insistant sur “le système le plus sécurisé et le plus anonyme qui soit possible“.Des craintes quant à la sécurité des donnéesSelon elle, la plateforme, qui sera gérée via un groupement d’intérêt public, va conduire à sécuriser des données qui sont aujourd’hui “dispersées”, avec “une seule base, pérenne, sécurisée”. La ministre a également rappelé que quel que soit le support (papier ou numérique), les données de santé ne peuvent être vendues.Le rapporteur du projet de loi santé, Thomas Mesnier (LREM) a aussi défendu avec cet article un “pivot de la stratégie d’intelligence artificielle“.Jean-Paul Lecoq (PCF) a réclamé pour sa part des “garde-fous”. “Le risque zéro n’existe pas“, a-t-il fait valoir, jugeant impossible de démontrer que le système ne sera pas par exemple soumis à un risque de cybercriminalité.Caroline Fiat (LFI) a cherché à supprimer cet article qui “libéralise” la gestion des données, alors que les géants du numérique “lorgnent sur les données de santé” .”On ne parle pas de données basiques“, mais de santé, des “choses très importantes du domaine du privé“, a-t-elle souligné.Favoriser la recherche basée sur ces donnéesUn amendement du gouvernement a complété les missions de la plateforme en lui permettant “d’accompagner, y compris financièrement, les porteurs de projets sélectionnés“, la ministre expliquant qu’il s’agit notamment d’aider les chercheurs sur le plan technique.Un autre amendement MoDem a ajouté aux informations qui peuvent être recueillies des données de prévention issues des services de PMI (protection maternelle infantile), de la médecine scolaire ou de la médecine du travail.Click Here: Geelong Cats Guernsey

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La

Fédération Française d’Orthodontiemet en garde sur l’achat et l’utilisation de gouttières dentaires amovibles sans diagnostic d’un professionnel de santé.

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  1. Gouttières dentaires : un soin médical 
  2.  Consulter un orthodontiste

Plébiscitée par les adultes, la gouttière dentaire est un appareil conçu à partir de l’empreinte de la dentition du patient afin de corriger un mauvais positionnement des dents. Ce dispositif coûteux, qui peut atteindre plusieurs milliers d’euros, fait l’objet d’un effet de mode exploité par certaines sociétés commerciales non professionnelles qui vendent ces produits.Gouttières dentaires : un soin médical Il est important de rappeler que l’orthodontie est un soin médical avant d’être un soin esthétique. “Nous, on est vraiment dans une

logique thérapeutique. Car si les patients viennent pour remédier au problème de dents mal alignées pour des raisons avant tout esthétiques, cette mauvaise implantation cache en réalité un problème médical. Des dents mal alignées sont synonymes soit “d’un problème de déglutition”, soit “d’un problème de respiration“, soit “de mastication” explique le Pr Jean-Baptiste Kerbat.

 Consulter un orthodontisteS’il existe plusieurs solutions pour résoudre les problèmes d’orthodontie (bagues inamovibles, attaches métalliques, gouttières amovibles), la FFO souligne l’importance du diagnostic établi par un professionnel sur la base de radiographies des dents, du crâne et de l’évaluation de la qualité de l’os. Un danger qui n’atteint pas seulement la profession des orthophonistes mais aussi la santé des patients, alerte la FFO : “ une gouttière mal adaptée ou mal contrôlée peut provoquer des problèmes de gencive, des déchaussements, des infections voire des pertes de dents”, rapporte

France Inter.

La Commission des affaires sociales du Sénat a demandé une nouvelle délibération avant le vote solennel sur l’ensemble du projet de loi Santé. A cette occasion, les Sénateurs sont donc finalement revenus sur l’amendement voté vendredi qui prévoyait l’allongement du délai de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) de 12 semaines à 14 semaines.

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  1. Finalement pas d’allongement du délai d’IVG
  2. 5000 Françaises se rendent à l’étranger pour avorter

Quelques semaines après que l’Etat d’Alabama (Etats-Unis) votait une loi interdisant l’avortement – sauf en cas d’urgence vitale pour la mère ou d’anomalie du fœtus – et prévoyant une peine de prison allant de 10 à 99 ans pour les médecins pratiquant des

IVG, le Sénat français votait vendredi l’allongement du délai légal de l’interruption volontaire de grossesse de 12 à 14 semaines. Mais finalement moins d’une semaine plus tard, les Sénateurs font marche arrière.Finalement pas d’allongement du délai d’IVGVendredi dernier, Alain Milon (Les Républicains), président et rapporteur de la commission des affaires sociales rappelait dans un communiqué que l’adoption de l’amendement de l’ex-ministre PS Laurence Rossignol était “intervenue contre l’avis de la commission comme du gouvernement”. Selon lui, “Ce n’est pas en toute fin de texte, au détour d’un article additionnel et avec une majorité de circonstance, que l’on réforme le délai d’accès à l’IVG”. Avant le vote solennel sur l’ensemble du texte, la commission des affaires sociales a donc demandé une seconde délibération, qui a été acceptée par la ministre de la Santé Agnès Buzyn, malgré les protestations de l’opposition. Résultat, le Sénat a supprimé la disposition introduite vendredi par 205 voix contre 102. 

5000 Françaises se rendent à l’étranger pour avorterAlors que l’allongement voté vendredi avait été salué par Laurence Rossignol, et le planning familial comme “une victoire pour les femmes” et “un signal fort pour l’Europe !“, le recul est jugé par l’ancienne ministre comme “une petite combine de procédure mise au point par le groupe LR et le gouvernement pour s’opposer à une avancée très attendue“.Parallèlement, la ministre de la Santé a prévu de rencontrer le planning familial. En France, l’IVG est actuellement possible jusqu’à 5 semaines par

 voie médicamenteuse, 12 semaines par voie chirurgicale. Chaque année, près de 5000 Françaises doivent se rendre à l’étranger pour avorter car elles ont dépassé le délai légal.Pour être effectif, ce vote devra être confirmé à l’Assemblée Nationale.Click Here: new zealand rugby team jerseys

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Les musées ne doivent pas être “otages de l’histoire douloureuse du colonialisme”, plaide le président du Musée du quai Branly, Stéphane Martin, dans un entretien à Europe 1, dimanche 25 novembre. Le directeur de l’établissement s’est exprimé pour la première fois après la remise d’un rapport ouvrant la voie à des restitutions par la France à l’Afrique d’œuvres d’art africain.>> Entre la France et le Bénin, le casse-tête des restitutions d’œuvres “collectées” durant la période colonialeEmmanuel Macron a décidé de restituer 26 œuvres réclamées par le Bénin. Le rapport d’experts qu’il a commandé suggère un changement de la loi française sur le patrimoine pour redonner aux Etats d’Afrique subsaharienne une partie des œuvres transférées pendant la période coloniale.Tout en jugeant ce travail “intéressant”, Stéphane Martin a qualifié le texte des deux universitaires Bénédicte Savoy et Felwine Sarr de “rapport qui n’aime pas beaucoup les musées”. “Je veux qu’on parle d’art, de partage et pas que l’on ressasse éternellement un ressenti qui est tout à fait réel mais qui n’a rien à voir à mon avis avec une politique patrimoniale”, a-t-il encore déclaré.Vers une politique d’échanges d’œuvres d’art ?Le Musée du quai Branly, inauguré en 2006, réunit 70 000 des 90 000 objets d’arts d’Afrique subsaharienne présents dans les musées publics français. “Il y a une phrase terrible dans le rapport qui dit que ‘le problème commence quand un musée cesse d’être un musée national pour devenir le musée de l’autre'”, a regretté Stéphane Martin, en défendant la construction d’une “communauté mondiale de l’art, du musée, du partage”.L’idée que toute la peinture italienne devrait rentrer en Italie et que toute la peinture bretonne devrait rentrer en Bretagne, je ne trouve pas que ça fasse un monde meilleur.Stéphane Martinà Europe 1Dans une tribune publiée samedi par Le Figaro, l’ex-ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon a également critiqué le rapport, assurant que “la mise en œuvre des recommandations aurait pour effet de vider les collections africaines des musées français et, en premier lieu, celles du Musée du quai Branly”. Il a défendu les musées du Louvre, d’Orsay, de Guimet et du quai Branly comme des “musées universels”.Le chef de l’Etat a proposé de “réunir à Paris au premier trimestre 2019 l’ensemble des partenaires africains et européens” pour définir le cadre d’une “politique d’échanges” d’œuvres d’art.Click Here: Cardiff Blues Store

Les deux vagues de chaleur intenses de l’été 2019 ont entraîné 1 435 décès supplémentaires d’après Santé publique France. Soit dix fois moins qu’en 2003.

Environ 1 500 personnes de plus que la moyenne sont décédées lors des deux épisodes de

canicule qui ont touché la France au cours des mois de juin et juillet 2019. Une “surmortalité relative de 9,1 %” d’après Santé publique France, qui a annoncé dimanche 9 septembre recenser exactement “1 435 décès en excès”, dont 567 lors de la première vague de chaleur intense (24 juin – 7 juillet) et 868 lors de la seconde (21 juillet – 27 juillet). Si le record absolu de température enregistré a été battu au cours de cette période (46,0° C dans l’Hérault le 28 juin), la surmortalité de ces deux épisodes de canicule est bien inférieure à celle évaluée en 2003, qui avait causé 15 000 morts supplémentaires entre le 4 et le 18 août. Les personnes âgées, pas seules concernéesCôté classe d’âge, ce sont, sans surprise, les personnes âgées qui ont le plus souffert. “Les 75 ans et plus représentent la majorité des décès en excès (974 décès) pour les deux vagues”, informe Santé publique France qui alerte sur le fait que les plus jeunes ont eux aussi été impactés de manière significative. Aussi, les 65-74 ans ont “l’impact relatif le plus important (+13,3 %), notamment lors de la deuxième canicule (+16,4 %)” tandis que les 15-44 ans ont une part de surmortalité non négligeable (+12,2%), en particulier lors de la première vague (+17,4%).En outre, l’institut annonce que “dix décès sur le lieu de travail en lien possible avec la chaleur survenus durant les deux canicules ont également été notifiés”, dont huit lors de la première vague. Ils concernent exclusivement des hommes, âgés de 32 à 61 ans, dont l’activité professionnelle se situe essentiellement en extérieur (BTP et milieu agricole notamment).Agnès Buzyn met en avant le rôle de la préventionInvitée au micro de l’émission “Questions politiques” diffusée sur France Inter et France Info, la Ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn a salué “la mobilisation des acteurs de terrain“, notamment les “infirmières libérales qui vont hydrater les personnes âgées“, les “services de soins à domicile“, les mairies “qui se mobilisent pour contacter les personnes âgées qui sont isolées“, et toute la prévention effectuée dans les Ehpad. “Nous voyons que nous avons réussi grâce à la prévention, grâce à ces messages qui fonctionnent, que la population française a bien intégré, à diminuer la mortalité par un facteur 10 la mortalité de 2003”, s’est-elle félicitée. Tout en reconnaissant qu’il reste des efforts à fournir. “Nous devons avoir des plans et des organisations parce que ces phénomènes de canicule vont se renouveler et probablement s’intensifier dans les années qui viennent.”Click Here: NRL Telstra Premiership

Dans son premier long métrage “Nos plus belles ses années”, avec sa compagne Vanessa Demouy et Gérard Darmon (en salles ce mercredi), Philippe Lellouche évoque ses souvenirs d’enfance ensoleillés. AlloCiné l’a rencontré.

Nos plus belles vacances de et avec Philippe Lellouche, avec aussi Gérard Darmon, Julie Gayet, Christian Vadim, Vanessa Demouy, Nicole Calfan… Sortie le 7 mars

Synopsis : Juillet 1976, année de la canicule. Claude, juif d’Algérie arrivé en France quinze ans plus tôt, emmène sa jeune femme Isabelle, ses deux garçons et sa belle mère en Bretagne. C’est Isabelle, ayant pris Claude en flagrant délit d’adultère, qui a choisi pour les vacances le petit village où elle est née. Dès le lendemain de leur arrivée, Bernard et Bernadette, Jacky et Marie-France, deux couples d’amis, les y rejoignent. Au Rocher Abraham, ils sont accueillis avec méfiance par les autochtones à l’accent rugueux comme leurs mains… Principalement au café Pondemer, le café du village où les hommes se retrouvent. Juifs pieds-noirs, bretons catholiques, Parisiens, provinciaux… : la cohabitation n’est pas facile. Mais ce sont des hommes avant tout. Des vrais. Alors peu à peu, avec beaucoup d’humour, avec humanité, avec empathie, les choses vont évoluer, des liens se tisser…


Nos plus belles vacances

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French President Emmanuel Macron | Dan Kitwood/Getty Images

Emmanuel Macron: EU external borders to close from Tuesday

Travel will be suspended for 30 days, Macron said.

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3/16/20, 9:06 PM CET

Updated 3/16/20, 9:15 PM CET

French President Emmanuel Macron said Monday evening that EU leaders decided to close the bloc’s external borders to travelers in an attempt to limit the spread of the coronavirus pandemic.

“As of tomorrow noon, external borders of the European Union and the Schengen area will be closed,” Macron said in a televised address to the nation. “All travel between non-EU countries and the European Union will be suspended for 30 days,” he added.

He said French citizens would be able to get back to their home country.

European Commission President Ursula von der Leyen said earlier Monday she had proposed a travel ban to EU heads of states. The ban is expected to be endorsed Tuesday at a summit of EU leaders, held via a video conference.

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Authors:
Marion Solletty