Après avoir été adoubée par Karl Lagerfeld, Zahia peut désormais aussi compter sur le soutien d’Isabelle Adjani. L’actrice veut même réaliser un documentaire sur la scandaleuse avec la complicité de son amie Farida Khelfa.

Quelques jours après avoir fait le buzz en présentant sa première collection de lingerie au palais de Chaillot, Zahia est de nouveau sur le devant de la scène médiatique après que l’actrice Isabelle Adjani a flashé sur elle.

À l’occasion du vernissage de la nouvelle exposition de Pierre Passebon à la galerie parisienne du Passage, intitulée «Zahia de 5 à 7», Isabelle Adjani a dit à Gala tout le bien qu’elle pensait de sa nouvelle protégée. Elle ne tarit pas d’éloges quand il s’agit de la décrire. «Zahia comme Bardot dans Et dieu… créa la femme, a une beauté évidente, irrésistible, confie Isabelle Adjani. Une beauté bien au-delà des critères de l’image d’aujourd’hui. Elle a l’air de sortir d’un bloc d‘onyx, cette pierre précieuse et rare». Pour qualifier l’ancien cadeau d’anniversaire de Franck Ribéry, Isabelle Adjani n’est pas avare en métaphores: «Zahia me fait penser à l’Olympia des contes d’Hoffmann, qui parle de la lutte du bien contre le mal» ou encore «Elle est une sorte de petite sœur de My Fair Lady, une Eliza Doolitlle jouée par Audrey Hepburn». Sous le charme de Zahia, Isabelle Adjani confie même qu’elle songe à lui consacrer un documentaire avec son amie Farida Khelfa-Seydoux «sur le modèle de ce qu’avait fait Farida sur Jean-Paul Gaultier pour France 5». Retrouvez l’intégralité de cette interview dans Gala numéro 975 cette semaine en kiosque.

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Dans l’édition de mai du Vogue anglais, Scarlett Johansson a pris le sens du vent de printemps et s’est laissée aller à de grandes confessions sur ses amours déchus, son divorce mais aussi sur son nouveau bonheur.

«Je pleure d’habitude quand il pleut ou sous ma douche». Scarlett Johansson joue la pudi-comique. Mais chez cette actrice qui a pour réputation d’être une grande farceuse, se cache un véritable cœur d’artichaut. Dans un entretien fleuve accordé au magazine Vogue, l’héroïne de Lost in translation revient sur sa vie sentimentale bouleversée par son parcours professionnel. Après le film de Sofia Coppola dont elle partageait l’affiche avec Bill Murray, Scarlett Johansson le concède, sa carrière a explosé et «il était difficile de savoir vraiment se diriger après ça». A cette époque, l’actrice rencontre alors Ryan Reynolds qui devient sa lumière dans l’obscurité froide d’Hollywood.

Ils décident alors de garder leur histoire rien que pour eux. «Comment nous nous sommes rencontrés, notre mariage, tout; tout cela ne regardait que nous» se souvient la jeune femme aujourd’hui divorcée. C’est avec nostalgie mais sans regret qu’elle parle d’une séparation décidée «comiquement à l’amiable» et de leur relation «enterrée avec amour». Scarlett Johansson semble vivre avec apaisement ce divorce aujourd’hui mais confie avoir été «dévastée» et s’être «sentie si seule».

Après avoir tourné la page Ryan Reynolds qui s’est lui même consolé dans les bras de Blake Lively, la muse pulpeuse de Woody Allen s’en est allée butiner du côté de Sean Penn. «Oui, nous avons passé du temps ensemble» avoue-t-elle enfin, mais sans n’avoir jamais pu «définir ce que c’était». Pas de définition de leur rupture non plus, mais on l’imagine cordiale puisque c’est aujourd’hui avec beaucoup de respect qu’elle parle de la personnalité «géniale de Sean».

Scarlett Johansson partage en ce moment le quotidien d’un publicitaire new-yorkais, Nate Naylor. Un parfait inconnu donc, qui doit s’habituer aujourd’hui à être assailli par les paparazzis. «C’est plus difficile pour lui de s’adapter à ça que cela ne l’a était pour moi quand j’ai eu dix neuf ans» regrette l’actrice amoureuse qui en profite aussi pour le féliciter pour ses premiers pas dans la vie de petit ami de star…

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Pierre Salviac devrait désormais réfléchir à deux fois avant de tweeter. Son tweet sur la première dame jugé «intolérable» par RTL lui a valu son renvoi de la radio sans autre forme de procès.

«A toutes mes conseurs, je dis ‘baisez utile, vous avez une chance de vous retrouver première Dame de France’ ;-)» Non vous ne rêvez pas, ce message a été diffusé en 2012.

Aujourd’hui, même. Sur Twitter, par le journaliste Pierre Salviac, qui sévit sur l’antenne d’RTL et sur l’Equipe TV et qui se définit comme un «vanneur», et un «persifleur».

Notez qu’il n’a pas prétendu faire de bonnes vannes…

Cette figure de la première radio de France a très vite regretté son geste visant la compagne du président élu François Hollande, au vu du tollé qu’a suscité son tweet jugé «intolérable», «à vomir», «sexiste», par quelques uns de ses 10000 «followers».

Même son employeur, Jacques Esnous, directeur de l’information d’RTL a voulu lui tirer les oreilles par un post remarqué sur Twitter: «Ton tweet est absolument intolérable. J’y vois un sexisme vulgaire inqualifiable que je condamne.»

Pierre Salviac a aussitôt réagi: «En balançant une vanne j’ai blessé mes. Consœurs. Je leur présente mes excuses et retire mon tweet;-( »

Mais trop tard, la station a fait savoir aux alentours de 18 heures qu’elle «interrompait toute forme de collaboration avec Pierre Salviac».

A bon -twitto- entendeur…

La 5ème édition du Festival Européen du film fantastique c’est du 14 au 22 septembre à Strasbourg ! Au programme, de l’inédit, des grands classiques et une bonne dose d’hémoglobine !

La sélection complète ici !

Le Festival européen du film fantastique de Strasbourg, c’est parti ! Jusqu’au 22 septembre, la capitale alsacienne donne rendez-vous à tous les fantasticophiles pour une semaine d’horreur et de science fiction. Au programme de cette 5ème édition, un jury présidé par Mick Garris, une compétition internationale de 13 films fantastiques dans laquelle figure Antiviral de Brandon Cronenberg (bande-annonce ci-dessous), des séances spéciales hors compétition, des classiques du cinéma post apocalyptique (Mad Max 2, New York 1997), des rétrospectives (Michael Powell et Emeric Pressburger) et des incontournables, tels que Shining et La Nuit déchirée.

Mais on ne peut parler du Festival européen du film fantastique de Strasbourg sans citer sa traditionnelle Zombie Walk (la plus grande d’Europe !). Pour les amateurs de sensations fortes, de maquillages monstrueux et de rencontres insolites, rendez-vous ce samedi à 15h, Place Broglie. La marche funèbre sera suivie d’un apéro zombie. Amateurs d’hémoglobines et de sueurs froides, rendez-vous à Strasbourg !

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Après avoir profité de trois semaines de repos à Marrakech avec leur petite Giulia, Nicolas Sarkozy et son épouse, Carla Bruni-Sarkozy, se sont rendus ensemble au bureau de vote à Paris (16e) à l’occasion du premier tour des législatives, dimanche. Le couple est apparu heureux et soudé.

Conjuguer plaisir avec devoir civique? Pour l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, rien d’insurmontable. Accompagné de son épouse Carla, il a voté dimanche peu avant midi dans un bureau de vote du lycée La Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris. Des «Bravo!», «Hip! Hip! Hourra!», «Le retour» ou «Merci!» ont ponctué le parcours du président sortant dans le lycée.

L’ancien couple présidentiel se porte-t-il bien depuis la défaite de Nicolas Sarkozy aux présidentielles en mai dernier? Cette première apparition publique depuis le séjour prolongé du couple au Maroc au lendemain de cette défaite électorale aura été l’occasion d’en juger. Main dans la main devant les photographes, Nicolas Sarkozy et Carla sont apparus souriants et détendus. Nicolas Sarkozy avait choisi l’élégance en costume sombre, cravate bleue marine et chemise blanche. L’ex-première dame avait, quant à elle, préféré la sobriété, vêtue d’une simple veste grise, d’un pantalon et d’un chemisier noirs.

Quel avenir pour l’ancien président de la République?

Interrogé par les journalistes à la sortie du bureau de vote, Nicolas Sarkozy n’a souhaité faire aucun commentaire. Le mystère quant à l’avenir professionnel de celui qui, le soir de sa défaite électorale, le 6 mai dernier, avait affirmé que son «engagement» serait «différent», n’est donc toujours pas levé. L’ancien président n’a fait aucune déclaration publique depuis. Seule certitude: devenu membre du Conseil constitutionnel, Nicolas Sarkozy passe désormais son temps dans son bureau de 20 m² situé à 200 mètres de l’Élysée.

Urmas Paet, the Estonian minister of foreign affairs, today (3 November) announced that he will be taking a seat in the European Parliament, a week after turning down the job.

Paet will replace former prime minister Andrus Ansip, who was elected to the European Parliament in May but left to be vice-president of the European Commission responsible for the digital single market.

Until last week it was unclear who would replace Ansip as an MEP. On Thursday (30 October), Paet, who was next on the list for the liberal Reform Party in the Parliament elections, said that he wanted to remain as foreign minister. “Taking into consideration the stressful situation in Europe and in neighbouring areas, I think the right thing to do is to carry on protecting Estonian interests as the foreign minister and turn down the chance to go to the European Parliament,” he said.

Paet said today that he intends to deal with the same issues in the European Parliament. Ansip had said that Paet had the backing of the voters and that he should take up his seat.

When Paet ruled himself out of becoming an MEP, Igor Gräzin, a member of the national parliament, was lined up to replace Ansip. That move is now off.

Paet said today: “Eleven and a half years in the government has been quite a long time. I think that change is necessary.”

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He has been foreign affairs minister since 2005, but joined the government in 2003 as minister of culture.

Estonian media reports suggest that the reason for Paet’s change of heart is that he was unlikely to remain in his post for much longer.

Paet’s successor in the foreign ministry will be Keit Pentus-Rosimannus, the environment minister. Mati Riadma, a member of parliament since 2007, will become environment minister.

The changes follow another cabinet change. Maris Lauri was today sworn in as Estonia’s first female finance minister after Jürgen Ligi submitted his resignation after making offensive remarks about a political rival.

Digital single market commissioner Andrus Ansip joined members of the European Parliament in blaming the Council for not delivering on its promises at a presentation Tuesday of the newly-launched strategy on a digital single market.

MEPs Michel Boni of the European People’s Party, Josef Weidenholzer of the Socialists & Democrats, Marietje Schaake of the Alliance of Liberals and Democrats for Europe and Jan Philipp Albrecht of the Group of the Greens/European Free Alliance acknowledged their failure to implement the telecoms single market (TSM) strategy, which is seen as the precursor to the digital single market strategy.

Several panelists at the Parliament briefing directly blamed the Council for the struggles of the Connected Continent package, which was launched with great fanfare in 2013.

The only remaining elements of the TSM, net neutrality and mobile roaming, are currently limping through due three-party discussions with few signs of a consensus among Commission, Council and Parliament.

But unless Council can come to the table, Europe risks being left behind, the MEPs and Commissioner said.

“I think we should openly discuss that problem,” said Boni, referring to issues with the Council. “Without a united view on the digital single market, I think we will have only a document. What we need is a game changer. This is the last chance for European economy and society to go forward using digital drivers.”

Schaake agreed: “The Council has had disappointingly low levels of ambitions on the telecoms single market. We can’t negotiate down to a lower common denominator than anyone had hoped.”

Ansip, arriving 45 minutes late to the presentation due to a DSM briefing with the S&D group that went into overtime, also joined in on the criticism.

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Referring to the stalled talks on roaming, he said: “All the political parties in the last European election promised to abolish roaming surcharges. All the people running in the Commission election promised to abolish roaming surcharges. Everyone has to keep those promises. Especially the politicians,” to laughter from the crowd.

Ansip reiterated that he expected agreement on the DSM because everyone had been consulted.

“Fourteen Commissioners took part in the DSM project team. The president [of the European Commission], Jean-Claude Juncker, took part in this process… Practically all the member states gave their input. We got proposals from all the political groups from European Parliament,” he said. “They feel this DSM is owned by them. They would like to get results.”

Without copyright reform and a ban on geoblocking that prevents consumers accessing cross-border content, piracy, which currently costs the film industry €15 billion, will continue to flourish, Ansip said.

“People aren’t complaining so much about geoblocking. Why? It’s because of torrents and [Virtual Private Networks]. According to polls 20 percent of users in Europe are using VPN and 68 percent of film viewers are using so-called free downloads, and half of those people are using them weekly,” he said.

Ansip ended the event on a stern note. “If you would like to survive, you have to adapt. It’s progress.”

Frans Timmermans

Country: The Netherlands
Portfolio: Vice-president for better regulation
Previous: Foreign minister
Party: Labour (PES)
Age: 53

2013 profile: Open flame

22 ans après la sortie de Pretty Woman, Richard Gere dit pour la première fois du mal du film qui a fait de lui une star. Dans une interview publiée par le magazine Woman’s Day, l’acteur s’est montré des plus incisifs avec le film de Garry Marshall.

« On n’arrête pas de me parler de ce film, mais je l’ai complètement oublié. C’était une comédie romantique stupide. »

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Richard Gere est visiblement excédé que les journalistes le questionnent à l’envi sur Pretty Woman, l’un des plus gros succès de l’histoire du box-office américain avec plus de 350 000 millions d’euros générés depuis sa sortie en 1990 (le magazine Forbes a par ailleurs récemment calculé que le couple qu’il a formé à l’écran avec Julia Roberts est le septième le plus rentable du cinéma avec 770 millions de dollars cumulés pour Pretty Woman et Just Married). Richard en rajoute même une couche en faisant un rapprochement entre son personnage d’Edward Lewis (un golden boy de Wall Street) et la crise économique. « Le film montrait ces types (les traders) de manière très positive, une grosse erreur », explique Gere. Heureusement, aujourd’hui, on se méfie d’eux”. Décidément, l’année 1990 ne restera pas impérissable dans la mémoire de celui qui fut récompensé par le golden globe du meilleur acteur pour sa prestation dans Chicago en 2002. Au moment de la sortie de la comédie, Richard se mariait en grande pompe avec la mannequin Cindy Crawford, une décision qu’il regrette aussi. « J’ai épousé Cindy simplement parce que je ne voulais pas la perdre, confiait l’acteur engagé au tabloïd britannique Daily Mail en 2010. Mais notre mariage était loin d’être parfait. Rien de se passait comme nous le voulions. Le mariage, ça signifie marcher dans la même direction. Moi je n’étais pas sûr de vouloir m’occuper de mon propre enfant. » Aigri, Richard Gere?