Comme chaque année, Halloween nous a donné l’occasion de découvrir les stars sous un autre jour. Déguisements, masques et maquillages, les célébrités s’en sont donné à cœur joie!

Les tapis rouges et les tenues de cocktails qui vont avec c’est agréable, mais pas autant que les soirées d’Halloween et son lot de surprises. Les stylistes de stars se sont arraché les cheveux en découvrant leurs meilleurs clients vêtus des pires tenues disponibles à Hollywood.

Championne toute catégorie des jupettes courtes et moulantes, Paris Hilton a profité d’Halloween pour sortir accompagnée de son nouveau toyboy, River Viiperi avec trois déguisements différents: Dame de carreaux, super-héroïne de comics et courtisane. Le tout, toujours au dessus du genoux. Le couple s’est rendu bras dessus bras dessous à la petite fête organisée par Rihanna.

La chanteuse a d’ailleurs choisi de s’autoproclamer reine (de Sabah) pour cette soirée. Un costume des milles et unes nuit qu’elle n’aura pourtant pas gardé longtemps sur les épaules… Et coïncidence ou non c’est en taliban que son ex-futur Chris Brown est venu déguisé. Une nouvelle sortie de mauvais goût pour le rappeur qui, une fois de plus, s’en moque.

Plus sage, en tout cas sur le principe, Kim Kardashian et Kanye West ont opté pour leur seconde soirée d’Halloween pour le très classique ensemble Batman-Catwoman. Mention spéciale pour leur arrivée dans la Lamborghini-mobile dorée de monsieur, du meilleur effet. Moins bling bling mais tout aussi mignonne, Jessica Simpson s’est transformée en gauloise hyper sexy pour la fête. Son mari a accepté de jouer le rôle de Vercingetorix et leur fils, celui d’un… poulet!

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Très belle imitation également du côté de Katy Perry et Fergie. L’interprète de Californian Gurls a requisitionné une de ses amies pour camper l’héroïne de la série Daria tandis que la chanteuse s’offrait le rôle de sa « BFF » (best friend for ever) Jane. Plus vraie que la fiction! Fergie qui est une pro en matière d’imitation s’est amusée à caricaturer cette année une Lindsay Lohan, absoulement diva.

Vingt ans après la mort du mythique chanteur et guitariste du groupe de rock Nirvana, la vie de l’icône grunge pourrait être adaptée au cinéma. C’est sa veuve, la très controversée Courtney Love, qui est à l’origine du projet qui devrait voir le jour en 2014, sous la direction du cinéaste Brett Morgen.

Le biopic est un business rentable à Hollywood. Ce genre cinématographique, qui consiste à raconter la vie d’une personnalité à l’écran, en a vu de toutes les couleurs ces dernières années. Entres autres oscarisés: Ray (sur Ray Charles), Walk the Line (sur Johnny Cash), ou encore La môme (sur Edith Piaf). Dernier en date, Kurt Cobain, le lead-singer du groupe grunge Nirvana fera également l’objet d’un film.

A l’origine de ce projet, la veuve de Cobain, Courtney Love. Et la chanteuse, très critiquée, a peut-être raison d’en profiter puisqu’une brèche est restée ouverte. Depuis le suicide de l’idole en 1994, sa mort n’a cessé de passionner les foules. Kurt Cobain, qui s’est tiré une balle dans la tête à 27 ans appartient au tristement célèbre « club des 27 », qui rassemble notamment Janis Joplin, Jimi Hendrix, Jim Morrison, et depuis peu Amy Winehouse. Pour Courtney Love, il s’agit de concrétiser un projet qu’elle mûrit depuis 2007. Une bonne nouvelle pour les fans, une semaine après qu’elle a mis fin aux rumeurs autour d’une comédie musicale sur la superstar.

Pour réaliser ce film, l’ancienne femme de Cobain a choisi Brett Morgen. Ce réalisateur est déjà connu aux Etats-Unis pour son documentaire sur les Rolling Stones « Crossfire Hurricane » produit par la chaîne américaine HBO qui l’a diffusé le 15 décembre dernier. Le réalisateur a expliqué au New York Daily Post que ce nouveau projet devrait voir le jour en 2014 et serait chapeauté par la veuve de Kurt Cobain.
« Courtney m’a entraîné dans ce projet. Nous avons essayé de trouver le parfait moment pour le réaliser, et ce moment c’est maintenant » a reconnu le réalisateur. Et d’ajouter : « Kurt n’était pas seulement un compositeur et un musicien de génie, il était aussi un incroyable artiste et réalisateur. Nous allons faire ce film comme une autobiographie racontée à la troisième personne ».

L’interprète de « Smells like teen spirit » a déjà fait l’objet de plusieurs oeuvres par le passé. En 1998, le documentaire « Kurt and Courtney », centré sur le couple, avait relancé la controverse sur les circonstances obscures de la mort du chanteur. En 2005, le réalisateur Gus Van Sant s’était inspiré des derniers jours de la vie du chanteur pour son « Last Days », avec Michael Pitt.

C’est une belle revanche pour Jennifer Lawrence. Alors qu’elle confiait récemment être raillée pour son poids à Hollywood, l’actrice vient d’être distinguée femme la plus séduisante au monde par le site AskMen.com.

«Je mange comme un ogre. Je dois être la seule actrice qui n’a pas fait face à des rumeurs d’anorexie. A Hollywood, je suis obèse. Je suis considérée comme une actrice grosse. Jamais je ne m’affamerais pour un rôle. Je ne veux pas que les petites filles se disent ‘Oh, je veux le corps de Katniss (son rôle dans Hunger Games, NDLR) alors je ne vais pas dîner ce soir’. Durant mon entraînement, j’ai voulu avoir un corps sculpté et pas maigre et sans forme.»

Dans une interview accordée au magazine Elle il y a un mois, l’actrice étonnait son monde avec pareilles déclarations. Il faut croire que les 2,4 millions de votants qui ont participé au sondage sur le site AskMen.com ne partagent pas l’avis du microcosme hollywoodien. Jennifer (47e du classement l’année dernière) succède ainsi Sofia Vegara. L’actrice de The Hunger Games devance Mila Kunis, Kate Upton et Rihanna. À noter le gros flop de Kim Kardashian qui rétrograde de 90 positions (elle passe de la 8e à la 98e position). Les fêtes vont décidément être joyeuses pour Jennifer Lawrence puisqu’elle vient également d’apprendre qu’elle nommée dans trois catégories aux 18ème Critic’s Choice Movie Awards : meilleure Actrice, meilleure Actrice dans un film d’Action pour le film Hunger Games et meilleure actrice dans une comédie pour son prochain film Silver Lining Playbook. Jennifer Lawrence: une actrice à suivre de très près…

Jamais deux sans trois pour Hugh Hefner. Après s’être marié deux fois (en 1949 avec Millie Williams puis en 1989, avec la playmate Kimberley Conrad), le très médiatique créateur de Playboy a épousé Crystal Harris, sa cadette de 60 ans.

« Crystal et moi nous sommes mariés à la veille du nouvel an (…). J’aime cette fille! ».

À 86 ans Hugh Hefner est en phase avec son temps. C’est en effet sur Twitter qu’il a annoncé son mariage en troisième noces dans la Playboy Mansion, sa luxueuse propriété de Los Angeles. À 86 ans, l’homme d’affaires n’a donc pas tenu rigueur à sa jeune épouse de ses déclarations peu flatteuses il y a quelques mois lorsqu’elle avait annulé son mariage in extremis. « Il n’enlève jamais vraiment ses vêtements. Je n’ai jamais vu Hef nu. Notre rapport a duré en tout et pour tout quelque chose comme deux secondes », avait-elle confié. Ce à quoi Hugh avait répondu sur Twitter: « Crystal a donné une interview délirante à Howard Stern aujourd’hui, qui n’a rien à voir avec la réalité. Ma première relation sexuelle avec Crystal était suffisamment bonne pour que j’accepte de la garder avec moi pour deux nuits de plus …Crystal a menti sur notre relation, mais je ne sais pas pourquoi. Crystal m’a convaincu qu’elle m’adorait. Ça a été le premier mensonge. Je me sens désolé pour Crystal, elle semble perdue. » Pas si perdue donc puisqu’après lui avoir posé un lapin retentissant, l’ancienne playmate a très vite retourné sa veste. Sans doute attirée par la fortune de son mari qui avoisine… les 40 millions d’euros!

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Retour en grâce pour Mariah Carey. La star qui peinait à retrouver le succès d’antan a été choisie pour interpréter Almost Home, la chanson phare du Magicien d’Oz, le nouveau film des studios Disney.

Comme dans les contes merveilleux, le destin d’une jeune femme en disgrâce bascule vers des jours heureux. Mariah Carey n’a rien d’une pauvre Cendrillon en péril, mais quand même. Depuis quelques années ses albums ne se vendent plus et les questions liées à son poids font la Une des magazines. Mais grâce au monde formidable de Walt Disney, la gentille Mimi va donner un nouveau souffle à sa vie.

Pour Oz, leur nouvelle épopée merveilleuse, les studios ont fait appel à la star aux cinq octaves. Très impliquée dans le projet, Mariah Carey a elle-même écrit le texte de Almost Home. Un titre qu’elle décrit comme «une chanson qui vous fait vous sentir bien, qui vous donne le sentiment d’être chez vous, au milieu des gens que vous aimez». Rien de mieux pour raconter l’histoire du magicien Oscar Diggs interprèté par James Franco, en voyage au pays d’Oz, à la fois émerveillé et terrifié par cette terre nouvelle et ses étranges habitants.

La bande-originale du film sera accompagnée d’un clip exceptionnel. David LaChapelle, le célèbre photographe fantasque, retrouve l’une de ses muses – il avait réalisé en 2001 son clip ultra-kitsch Loverboy- et tous deux ont imaginé un duo entre Mariah et le film. Ça promet !

Le single Almost Home sera disponible dès le 19 février sous le label Island Def Jam Music. Les aventures du magicien d’Oz version 2013 arriveront, elles, sur nos écrans le 13 mars prochain.

La 18ème édition du Festival Jean Carmet, manifestation entièrement dédiée aux seconds rôles du cinéma français, c’est dès aujourd’hui et jusqu’au 16 octobre !

Le programme complet juste ici !

Au Festival de Jean Carmet, les seconds rôles sont à l’honneur ! Qu’ils soient des comédiens de renom ou des jeunes espoirs, tous sont à l’affiche de grands films, de premiers films ou de films rares. Ils sont les seconds rôles du cinéma et cette manifestation leur est dédiée. Du 10 au 16 octobre, c’est donc une compétition seconds rôles (A perdre la raison, Comme un homme, Hors les murs), une compétition jeune espoir, mais aussi des avants premières, une leçon de cinéma par Philippe Nahon et une nuit du cinéma américain (Killer Joe, Une femme sous influence, Blue Valentine) qui animeront la ville de Moulins. À Jean Carmet, on fait rimer cinéma avec rencontres. Et si vous doutez encore de la bonne ambiance qui y règne, voici la bande-annonce du festival, réalisée par les membres du Jury Jeune Espoir de l’an passé !

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Que reste-t-il, une fois que les feux de la passion se sont éteints? Après avoir creusé les origines et la famille dans The Tree of Life, Palme d’or à Cannes, Terrence Malick déconstruit la religion du couple. Magistral.

Organique, mystique, mélancolique… Déjà empruntés pour La balade sauvage, Les moissons du ciel, La ligne rouge, Le nouveau monde et The Tree of Life, ces adjectifs qualifient à nouveau le sixième long-métrage du mystérieux Terrence Malick, capable de disparaître du circuit cinématographique pendant vingt ans, de refuser le jeu des interviews, comme de fuir la mitraille des flashs.

Commencé tout en haut du Mont-Saint-Michel (d’où le titre du film, surnom de notre fierté nationale) pour s’évanouir dans les mornes plaines de l’Oklahoma, son dernier film est un voyage jusqu’au bout de l’amour – ou plutôt de la foi en l’amour – dont personne ne sort indemne. Ni les protagonistes, le désenchanté Neil (Ben Affleck, intriguant) et l’incomprise Marina (Olga Kurylenko, pleine de grâce), dont la relation vacille, en même temps que celle qui unit le père Quintana (Javier Bardem, marquant) à Dieu. Ni les spectateurs, invités à s’interroger sur l’œuvre de la nature, celle du divin et celle de l’homme.

Certes, à certains, le cinéma de Malick paraîtra exigeant, lent et peu bavard. D’autres – dont nous faisons partie – aimeront, au contraire, sa façon de nous impliquer dans une réflexion, la beauté de son style contemplatif et la résonance de certaines de ses répliques pour peu que la métaphysique les inspire («celui qui vit sous terre, Dieu ne le reconnaît pas», «ce sont ses choix qui font un homme», «Dieu pardonne à celui qui se trompe»…). «Ne deviens pas un ruisseau qui s’assèche», est l’une des autres sentences marquantes du film.

A la Merveille est tout sauf un long fleuve tranquille.

Toutes les critiques des sorties de la semaine (The Sessions, Au bout du Conte, 20 ans d’écart) et toutes les news ciné dans le cahier cinéma de Gala, ce mercredi en kiosque.

Loin des yachts et des destinations spéciales stars, le couple a opté pour une lune de miel simple et authentique.

Décidément Keira Knightley et le chanteur James Righton aiment la France. L’héroïne de Pirates des Caraïbes s’est mariée la semaine dernière à Mazan près de Carpentras dans le Vaucluse. A l’image du couple, la cérémonie s’est déroulée dans l’intimité et surtout la simplicité, et il en a été de même pour leur lune de miel.

Pas de destination renversante et tape à l’œil comme les choisissent en général les stars, mais à nouveau la France. Le couple a profité de quelques jours en amoureux en Corse.Promenades à Calvi, découverte des restaurants et siestes sur la plage au soleil, Keira Knightley et James Righton se sont offert des petits plaisirs simples mais authentiques comme des vacanciers lambdas.

A un détail près cependant, la comédienne de 28 ans et son jeune chanteur de mari ont posé leurs bagages à l’hôtel 5 étoiles luxe et relais et château La Signoria à Calvi. La simplicité oui, mais avec quand même une petite pointe de confort. Et ce n’est pas un hasard si Keira Knightley a choisi la France pour célébrer son amour, l’actrice descend régulièrement se reposer dans la maison de sa mère en Provence. Après les Brangelina, les « Knighton » seront peut-être les prochains à s’installer en France!

Presque vingt ans après son dernier rôle au cinéma, Sylvie Vartan s’apprête à reprendre le chemin des plateaux de tournage. La chanteuse a été séduite par la proposition de Toni Marshall qui souhaite lui faire jouer le rôle de la maman de Patrick Bruel dans son prochain film.

Il fallait bien tout le talent et la force de persuasion de Toni Marshall pour convaincre Sylvie Vartan de refaire du cinéma. Jouer la comédie reste épisodique dans la carrière de la chanteuse et son dernier rôle sur grand écran remonte à L’ange noir, de Jean-Claude Brisseau. C’était en 1994. Vingt ans après, Sylvie Vartan s’est donc laissée séduire par le projet de la réalisatrice de Vénus Beauté, nous révèle Le Parisien dans son édition de jeudi.

Il faut dire que le prochain film de Toni Marshall a de quoi séduire. Il aura en effet pour interprètes principaux Patrick Bruel et Sophie Marceau, un couple inédit à l’écran mais au potentiel romantique évident. Les deux acteurs, qui se connaissent un peu dans le privé car leurs enfants fréquentent la même école, joueront deux collègues accros au sexe. Sylvie Vartan interprètera le rôle de la mère du personnage joué par Patrick Bruel.

Le titre du film, pour l’instant provisoire, est Les missionnaires. Tout un programme. Il mettra également à l’affiche Jean-Pierre Darroussin, François Morel et André Wilms. Le tournage est prévu pour le mois d’août.

Actualité chargée donc pour Sylvie Vartan puisqu’elle vient d’enregistrer aux Etats-Unis son nouvel album, Sylvie in Nashville, dont la sortie est prévue pour le mois d’octobre. La chanteuse s’est en même temps lancée dans une tournée symphonique puis présentera son album en février prochain aux Folies Bergères dans un spectacle intitulé Sylvie à la folie, qu’elle devrait ensuite donner un peu partout à travers la France.

Pour son nouveau film choc, Capitaine Phillips, Paul Greengrass s’est associé cette fois à Tom Hanks. Un choix judicieux tant l’acteur deux fois oscarisé excelle dans l’interprétation de ce capitaine de la marine marchande américaine dont le porte-container est pris en otage par des pirates somaliens.

Inspiré d’une histoire vraie qui s’est déroulée en 2009, Capitaine Phillips raconte l’histoire de Richard Philips, capitaine de navire de la marine marchande américaine, qui embarque à bord d’un cargo. Il doit transporter des containers et croiser au large de la corne de l’Afrique, une zone de navigation réputée dangereuse pour les nombreuses attaques qui sont perpétrées contre les navires étrangers. L’inéluctable se produit lorsque le bateau et son équipage sont pris en otage par quatre pirates somaliens motivés par l’appât du gain. Commence alors un long bras de fer mêlant violence, intimidation, mais aussi une certaine forme de respect, entre le capitaine Philips et le chef des pirates.

Après le formidable Green Zone, sur la guerre en Irak, Paul Greengrass signe avec Capitaine Phillips un nouveau film coup de poing en prise avec l’actualité et dénué de tout manichéisme. Sans les excuser ou les absoudre, il permet de mieux comprendre ce qui anime les pirates, ce qui les pousse à commettre ces actes, mettant en danger leur vie et celles des otages. Caméra à l’épaule, comme il avait l’habitude de le faire à ses débuts, lorsqu’il filmait des documentaires dans des zones de guerre, le metteur en scène nous plonge au cœur de l’action et de la tension qui règnent à bord du bateau.

Outre la qualité de sa réalisation et l’intelligence de son propos, le film est surtout porté par un éblouissant Tom Hanks qui parvient encore à nous étonner par l’étendue de son talent. Anti-héros, il exprime brillamment toutes les phases par lesquelles passe son personnage: la peur, l’incompréhension, le courage ou la ruse aussi parfois. Les derniers plans sont bouleversant d’émotion

De Paul Greengrass. Avec Tom Hanks, Catherine Keener, Barkhad Abdi, Faysal Ahmed. 2h14

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