Category: News

Home / Category: News

Parmi l’ensemble des dossiers présentés au Forum de Praia, une proportion significative avait trait à la reproduction et aux maladies sexuellement transmissibles, dans des pays où l’éducation sexuelle est encore souvent taboue, en raison du poids de la tradition et de l’absence d’échanges avec les parents. Des pays où, de surcroît, l’avortement, généralement illégal, risque de mener les femmes à la prison ou à la tombe.NigeriaLorsqu’il était étudiant en médecine, le Dr Akhimien a été bouleversé par le décès d’une camarade de lycée particulièrement brillante, victime d’un avortement clandestin. Grâce à des technologies informant les jeunes sur la sexualité, en toute discrétion, de telles tragédies pourraient, selon lui, être évitées de nos jours.”L’absence de communication autour de la contraception génère toujours plus de contaminations par le sida et de grossesses non désirées“, diagnostique Charles Immanuel Akhimien devant le Forum de l’Organisation mondiale de la Santé. Le Nigeria compte 3,1 millions de porteurs du VIH et 34 000 décès par an dus à des avortements clandestins, selon des statistiques officielles.Son application, myPaddi, met en relation anonymement les jeunes avec des médecins, pour recevoir des conseils sur la sexualité et la contraception. En cas d’agression sexuelle ou de viol, l’appli propose aussi du soutien et du conseil.Voir cette publication sur InstagramWE BELIEVE YOU! myPaddi is a SAFE PLACE to TALK about SEXUAL ABUSE any FEAR or JUDGEMENT. On myPaddi you can get the NECESSARY help you NEED, you can CHAT with a DOCTOR about any ISSUE get the DESIRED help you need. _ myPaddi is available on Google Play Store (Link in Bio) and App Store. #myPaddiAppUne publication partagée par myPaddi (@mypaddi_ng) le

“Nous vous croyons”, clame l’appli myPaddi à l’intention des victimes de violences sexuelles. Et propose de les aider par tous les moyens, y compris médicaux.Risquer de “se faire sermonner ou bombarder de questions”Autre initiative bienvenue, celle de Morenike Fajemisin. D’une énergie contagieuse, la compatriote du Dr Akhimien est animée de la même détermination à accorder aux femmes le droit de disposer de leur corps.Parce qu’elle ne supportait plus d’être confrontée aux conséquences des carences de l’éducation sexuelle au Nigeria, cette pharmacienne de 30 ans a créé Whispa (pour whisper, chuchotement en anglais), une application mobile permettant aux jeunes femmes d’accéder au moyen de contraception de leur choix, dans le strict respect de leur intimité.”Si une jeune fille va demander la pilule à son médecin ou à un pharmacien, elle risque de se faire sermonner et bombarder de questions. Est-ce qu’elle n’est pas trop jeune ? Est-ce qu’elle est vierge ? Combien a-t-elle eu de partenaires ?“, explique à l’AFP Morenike Fajemisin. “Avec une application mobile, il n’y a plus d’ingérence humaine.“Zimbabwe et Afrique du SudMême en cas de grossesse désirée, et alors que l’enfantement et la maternité sont valorisés dans les sociétés africaines, rares sont les applications adaptées à la culture et aux traditions locales. Des lacunes que vise à combler l’application zimbabwéenne Afrimom, en anglais et en langues locales, ou encore My Pregnancy Journey (Mon parcours de grossesse), financée de sa poche par l’entrepreneuse sud-africaine Jacqueline Rogers.”Avoir une influence positive sur la maternité en Afrique”Cette application, qui verra le jour au mois d’avril 2019, propose aux femmes enceintes une multitude de conseils et les informe, mois par mois, sur les problèmes qu’elles pourraient être amenées à rencontrer au cours de leur grossesse. “Je veux que les femmes africaines aient accès à toute la connaissance possible sur leur grossesse et avoir une influence positive sur la maternité en Afrique”, confie à l’AFP Jacqueline Rogers. “En Afrique, le besoin d’informations fiables sur la grossesse est énorme“, souligne-t-elle. Parmi les dix pays au monde où le taux de mortalité infantile est le plus élevé, neuf sont africains.CamerounC’est dans ce pays qu’est née la première application mobile d’informations sexuelles à destination de la jeunesse. En 2016, la journaliste Mallah Tabot, 28 ans, engagée dans le combat contre le sida, lance Ndolo 360, en français L’amour à 360°. Selon elle, un outil indispensable dans la prévention du VIH, mais aussi dans la lutte contre les mariages forcés, dans la promotion de l’éducation des jeunes filles. Au quotidien camerounais Le Devoir, Mallah Tabot raconte alors son histoire personnelle, à l’origine de sa motivation : “Je suis née au Cameroun et j’ai compris très tôt les limites autour de la sexualité dans notre pays. A mon âge, ma mère était enceinte de son sixième enfant. Elle était encore une fille, et si confuse qu’elle ne comprenait pas comment tout était arrivé si vite.”Après le décès prématuré de sa mère, la jeune femme se décide à prendre la question à bras-le-corps, sentant que personne ne le ferait à sa place. “L’éducation sexuelle n’existe tout simplement pas ici. Ces questions sont abordées dans des cours appelés ‘de moralité’ où le mot ‘sexe’ n’est jamais prononcé”, déclare-t-elle encore à la reporter du journal Le Devoir. Avant de lancer son application mobile, Mallah Tabot avait fondé United Vision, une association créée pour développer et défendre les droits des femmes. Une action qui lui a valu de recevoir en 2015 un prix remis par la reine Elisabeth II qui récompense les efforts en faveur du développement local et du bien-être des populations.Click Here: West Coast Eagles Guernsey

Click:Custom Georgia Jerseys
C’est avec la volonté d’apaiser les tensions entre la France et le Rwanda, 25 ans après le génocide des Tutsis, qu’Emmanuel Macron a annoncé vendredi 5 avril la création d’un comité d’historiens qui auront accès à toutes les archives françaises sur la période 1990-1994, pour faire la lumière sur le rôle joué par les autorités françaises.Une annonce dévoilée à l’issue d’une rencontre entre le président et une association de victimes du génocide qui travaillent sur la mémoire. “Il a répondu à nos questions” résume à la sortie de l’Elysée, dossier sous le bras, l’historien rwandais Manuel Kabanda. “En France, notre travail est souvent rendu difficile par la polémique sur le rôle de ce pays, les accusations, les révélations, le silence de l’État.”Un geste symbolique fortPour le président de l’association Ibuka France qui représente des rescapés du génocide des Tutsis, la création de cette commission de chercheurs et historiens est un geste symbolique fort pour éclaircir les zones d’ombres sur la responsabilité de la France, mais il reste prudent. J’ai le sentiment que la France est largement impliquée, mais jusqu’où ? Ce sont peut-être ces archives qui vont nous l’apprendre.Manuel Kabandaà franceinfo“Je pense aussi que tout ne se trouve pas dans ces papiers. Nous avons souvent été déçus, ou trahis. Donc j’ai des craintes” s’inquiète également Manuel Kabanda.Les neuf historiens et chercheurs de cette commission auront un accès complet aux archives nationales, qui comprennent les opérations militaires, les actions diplomatiques ou encore le renseignement. Ils analyseront toute la chaîne de décision. “Les archives disent beaucoup car ce sont des archives d’État” explique le président de la commission et historien Vincent Duclert. “C’est la volonté du président de la République de sortir de cette extrême tension et que la France regarde bien en face son rôle au Rwanda entre 1990 et 1994.”Pas de spécialiste du génocidePlusieurs universitaires déplorent cependant l’absence de spécialiste du génocide des Tutsis dans cette commission. L’Élysée dit avoir voulu sortir des clivages et privillégié la méthode plutôt que l’expertise géographique.À la veille du 25ème anniversaire du massacre, Jeanne Allaire, une survivante aimerait que l’on pense aussi aux victimes. “Le génocide détruit tout. C’est pour cela que nous refusons de considérer que la question du génocide s’arrête au rôle de la France et aux archives. Ce n’est pas vrai. Ce sont nos parents, nos soeurs, nos frères. Et il faut arrêter de concentrer la parole là dessus.”Une réflexion a été lancée pour trouver un lieu de mémoire national en France pour les victimes du génocide, près d’un million selon l’ONU.

Le reportage de Sandrine Etoa-Andegue–‘—-‘–

Click Here: essendon bombers guernsey 2019

Vous aimez tout savoir des stars et de l’actu people? Vous avez manqué un événement? Vous n’avez pas pu surfer sur gala.fr la semaine dernière ou vous avez un dîner en ville? Vite, branchez-vous le week-end sur Gala.fr! Vous y découvrirez non seulement les informations liées au monde des beautiful people en temps réel, mais vous pourrez y découvrir notre rubrique dominicale: le résumé people de la semaine. Gala.fr, c’est aussi le samedi et le dimanche!

Les ultimes funérailles du Roi de la Pop ont eu lieu cette semaine. Dans la plus stricte intimité mais au centre de l’attention du monde entier… C’est ainsi qu’à l’issue de plus de deux mois d’enquête, d’examens post-mortem et de tergiversations de son clan,

va enfin être enterré. Le choix de sa dernière destination était au moins décidé depuis un certain temps: ce sera au cimetière hollywoodien de Forest Lawn, à Glendale, dans la banlieue de Los Angeles. Loin des regards et surtout de l’oeil de verre des caméras. A moins qu’un chasseur de scoops plus malin que les autres ne parvienne à immortaliser cette ultime sortie de scène du Roi de la Pop…

Tandis que Michael Jackson s’est tu à jamais, une autre star de la Pop, n’a pas arrêté de faire parler d’elle:

ne quitte plus son apollon de 22 ans, et son prénom le prédestinait sans doute à ce qu’elle le traîne en Israël, où la chanteuse a donné deux concerts, mardi et mercredi, à Tel-Aviv devant 100 000 fans… Et la madone ne va pas très fort en ce moment: elle s’est écroulée à deux reprises sur scène et le choc a été amorti au moins une fois par le matelas humain de sa valeureuse troupe de danseurs.

Bilan: il se pourrait que Madonna en fasse trop. Du moins plus que son état de santé actuel ne lui permet. Ce qui ne lui empêche pas de vouloir en faire encore plus. Elle envisage de participer au 25e Marathon Des Sables. Et pour gagner. Objectif qu’elle vise d’évidence, puisqu’elle a demandé à son management de libérer entièrement son calendrier de tout engagement durant le mois d’avril 2010.

Seul petit problème: comment la quinquagénaire pourra-t-elle garantir sa participation à cette épreuve hautement sportive alors qu’elle s’est trouvée mal par deux fois lors d’un récent concert?

Heureusement, dans le petit monde des people il n’y a pas que des mauvais nouvelles:

et son mari, le mannequin Gabriel Aubry attendent un deuxième enfant. Déjà mère d’une petite Nahla, l’actrice s’est battue pour lui donner un petit frère ou une petite sœur. Elle avait confié à plusieurs reprises qu’elle serait enchantée d’avoir deux enfants.

Le rêve d’Halle Berry est sur le point de se réaliser puisqu’elle est enceinte de trois mois: «Halle est très heureuse, elle est surexcitée» à l’idée d’avoir un deuxième enfant avec son mari, Gabriel Aubry, a indiqué un de ses proches au magazine Life And Style Weekly. Une joie que connaît également la jolie Laetitia Casta.

A 31 ans, l’ancienne égérie d’Yves Saint Laurent a donné naissance à son troisième enfant. C’est une adorable petite fille qui a pointé le bout de son nez. Une surprise pour l’actrice qui déclarait il y a peu ne pas vouloir connaitre le sexe du bébé… Enceinte, notre jolie guerrière confiait aussi: «C’est fort, sauvage, violent…».

Et bien, ça y est: Laetitia Casta a mis au monde une petite battante baptisée Athéna…

Vendredi 4 septembre 2009

Et aussi:

Nelson Montfort victime de la crise

Natalie Portman se paye un château

Sarah Jessica Parker, aussi bien protégée qu’Obama

Anna Wintour sort de l’ombre

Carla Bruni-Sarkozy fait son cinéma

Rama Yade invitée à la Maison Blanche!

Jouez!

Le quiz

En vidéo:

Le rendez-vous des stars à Angoulême…

Natty Belmondo pose pour Gala

Les manifestants portaient les fameux gilets fluorescents, en référence au mouvement français des “gilets jaunes” en fronde contre la politique fiscale et sociale du président français Emmanuel Macron depuis fin 2018.”La France doit cesser de soutenir le rebelle Haftar en Libye”, “la France fournit des armes aux rebelles pour le pétrole”, pouvait-on lire en français sur des pancartes brandies par les manifestants.Rassemblés sur la place d’Alger au coeur de la capitale, les manifestants ont appelé à rompre les relations diplomatiques avec les pays qui “appuient l’agression”, référence à l’offensive du maréchal Haftar.Ils ont encore estimé que le soutien de ce pays à Haftar “peut être considéré comme une déclaration de guerre” à la Libye.Offensive sur TripoliDe violents combats opposent depuis le 4 avril 2019 dans la banlieue sud de Tripoli les forces du Gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale, à l’Armée nationale libyenne (ANL) autoproclamée du maréchal Haftar, qui veut s’emparer de la capitale, siège du GNA.Le 12 avril, lors d’une manifestation contre l’attaque de Haftar, des slogans hostiles au gouvernement français avaient déjà fusé. Considérée comme un des appuis du maréchal Khalifa Haftar, au même titre que l’Egypte ou les Emirats arabes unis, la France a cependant démenti avoir soutenu son offensive sur Tripoli.

Des manifestants libyens à Tripoli qui dénoncent le “soutien” de la France au maréchal Haftar, le 16 avril 2019. (MAHMUD TURKIA / AFP)

“Plan caché”Le 8 avril, une source diplomatique française avait indiqué que Paris n’avait aucun “plan caché” pour mettre au pouvoir Haftar, auquel elle “ne reconnaîtra aucune légitimité” s’il prend le contrôle de Tripoli par les armes.Mais les pro-GNA accusent Paris de bloquer notamment des résolutions condamnant l’offensive au Conseil de sécurité de l’ONU ou à l’Union européenne. “Il y a des divergences dans la position européenne, en raison du différend entre la France et l’Italie (sur la Libye)”, a déclaré le 15 le ministre des Affaires étrangères du GNA, Mohamad Tahar Siala, alors que Rome affiche clairement son soutien au GNA.Paris est accusé par Tripoli de relayer la rhétorique du maréchal Haftar, qui justifie son attaque par le fait qu’il cherche à combattre les “terroristes” dans la capitale, selon une source gouvernementale à Tripoli qui a requis l’anonymat.

Nous menons actuellement des consultations pour décider du pourcentage de civils et de militaires dans le Conseil conjoint”, a déclaré dans la soirée au nom du mouvement de la contestation Ahmed al-Rabia, qui a participé à la première réunion d’une instance regroupant des représentants des deux camps. Selon des militants, le Conseil sera formé de 15 membres: huit civils et sept généraux.
L’accord obtenu représente une percée dans la crise qui faisait craindre un dérapage dans ce pays pauvre de la Corne de l’Afrique. Les militaires refusaient jusque-là de céder le pouvoir en dépit des appels des Etats africains et occidentaux à transférer le pouvoir aux civils. L’armée et l’opposition soudanaises avaient repris les pourparlers le 24 avril 2019 afin de sortir le pays de l’impasse politique dans laquelle il se trouve depuis la chute du président Omar el Béchir. Ce dernier a été déposé par l’armée le 11 avril, après plusieurs mois de contestation dans les rues.La mobilisation toujours de miseAprès le départ de l’ancien président soudanais, au pouvoir pendant près de trois décennies, l’opposition exigeait que le pouvoir soit rapidement rendu aux civils alors que les militaires jugeaient que ce processus pourrait prendre jusqu’à deux ans. Les manifestants ont ainsi maintenu la pression pour obtenir que le Conseil militaire de transition cède le pouvoir. Ils exigeaient également qu’Omar el Béchir et les principaux responsables de son régime soient jugés.Cet accord répond ainsi aux revendications des milliers de Soudanais qui campent depuis trois semaines devant le QG de l’armée à Khartoum pour réclamer le transfert du pouvoir aux civils. Désormais, ils attendent l’instauration effective du Conseil conjoint annoncé le 27 avril, avant de décider du sort de leur sit-in.Ce Conseil, qui remplacera le Conseil militaire, constituera l’autorité suprême du pays et sera chargé de former un nouveau gouvernement civil de transition pour gérer les affaires courantes et ouvrir la voie aux premières élections post-Béchir.Les discussions entre l’armée et l’opposition se sont poursuivies dimanche 28 avril 2019. Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

L’ancien directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Mohamed el-Baradei, qui s’était illustré dans les interminables négociations sur le programme nucléaire iranien, serait attendu au Caire après la fête du Fitr clôturant le mois de ramadan.Brandir, à 76 ans, l’étendard de l’opposition de l’intérieurC’est du moins ce qu’affirme l’opposant égyptien Mohamed Salah el-Cheikh, ancien directeur adjoint de l’Assemblée pour le changement, dans un entretien exclusif accordé au site Arabia 21.Ballon sonde ou réelle information distillée par ce proche de l’ancien diplomate et homme politique égyptien ?“J’avais appelé une première fois le docteur el-Baradei à rentrer en Egypte en 2009, dans un article publié deux jours avant son retour et aujourd’hui je l’appelle une deuxième fois à revenir dans son pays le plus tôt possible”, affirme el-Cheikh sans préciser s’il s’agit d’une simple demande ou d’une assurance.Il multiplie toutefois les indications sur les tâches qui attendent el-Baradei dès son retour d’Autriche où il s’est exilé en août 2013 après avoir démissionné du pouvoir de transition en raison de la répression sanglante du sit-in des Frères musulmans sur la place Rabaa al-Adawiya.Il le voit, à 76 ans, “brandir l’étendard et prendre la direction de l’opposition de l’intérieur en créant un large front national des différentes confessions autour duquel vont se rassembler tous les Egyptiens”.“L’Egypte a besoin d’un Saad Zaghloul, d’un Gandhi, d’un Nehru ou d’un de Gaulle”“Je ne vois aucune alternative au régime de Sissi avant le retour d’el-Baradei, attendu dans les semaines qui viennent. Il contribuera avec d’autres à élaborer la relève national du régime actuel”, a-t-il ajouté. “Je continue de penser que la conscience patriotique et humaniste d’el-Baradei ne le laissera pas abandonner ses frères au pays, livrés au bûcher de l’oppression, la pauvreté et la corruption”, a-t-il insisté.Pour lui, le pays a besoin aujourd’hui d’un dirigeant de l’envergure d’un Saad Zaghloul, père du nationalisme égyptien, d’un Gandhi, d’un Nehru, d’un Mandela ou d’un de Gaulle ou de tout autre dirigeant démocrate. “Voilà ce qui manque au paysage politique en Egypte, après l’échec des partis et forces d’opposition à faire émerger un tel dirigeant”, estime-t-il.“El-Baradei est un grand homme au charisme mérité, à la conscience en éveil et l’esprit ouvert, tenant d’une vision percutante de croire qu’activer les capacités du peuple par la liberté et la justice est la base solide d’un progrès durable”, ajoute-t-il.Une arrestation d’el-Baradei “contribuerait à faire chuter le régime”Au cours de l’entretien, l’opposant el-Cheikh a exclu l’hypothèse d’une arrestation d’el-Baradei par le régime à son retour. “Inconcevable”, selon lui, tant l’ancien fonctionnaire international jouit d’une grande réputation, au-delà des frontières nationales.“Il sera très difficile pour le régime d’assumer la facture de son arrestation”, a-t-il commenté. “Je ne pense pas qu’il puisse le faire, et même si le régime perd la raison et le fait, ce sera positif pour le mouvement du changement et cela contribuera à faire chuter le régime”, a encore prévenu Mohamed Salah el-Cheikh.

Il y a un mois, l’alerte n’avait finalement pas été déclenchée. Cette fois-ci, l’épidémie d’Ebola a été élevée, mercredi 17 juillet, au rang d’“urgence sanitaire mondiale” par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Une décision prise trois jours après la mort d’un malade à Goma, la deuxième ville de la République démocratique du Congo (RDC). Franceinfo vous explique ce que change cette procédure.Pourquoi passer en “urgence sanitaire” ?Cette mesure exceptionnelle coïncide avec la mort d’un malade à Goma en début de semaine. Cette ville de deux millions d’habitants située sur les rives du lac Kivu est un carrefour majeur dans la région car elle se trouve à proximité des frontières avec le Rwanda et l’Ouganda. Sur le plan aérien, elle dispose de liaisons avec l’Ouganda, l’Ethiopie et Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo.

Capture d’écran de la ville de Goma, en République démocratique du Congo. (GOOGLE MAPS)

Se pose désormais la question du nombre de contacts que le malade a pu avoir à partir du moment où il a développé les premiers symptômes. Mercredi soir, les autorités ougandaises disaient rechercher des personnes qui auraient pu le croiser. Car le virus Ebola se transmet à l’être humain par contact, soit avec des animaux infectés (en général en les dépeçant, en les cuisant ou en les mangeant), soit avec des fluides biologiques de personnes infectées. Si les autorités de la RDC sont sur le qui-vive, c’est parce que l’épidémie a déjà fait près de 1 700 morts dans le pays depuis l’été dernier.Que prévoit cette mesure exceptionnelle ? Cette mesure n’a été décrétée que quatre fois par l’OMS : en 2009 pour la grippe H1N1, en 2014 pour la poliomyélite, en 2014 pour l’épidémie d’Ebola qui a fait 11 000 morts au Liberia, en Guinée et au Sierra Leone et en 2016 pour le virus Zika. Selon les critères du règlement sanitaire international de l’OMS, cette procédure signifie que la situation est “grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue”, avec des conséquences sanitaires “au-delà des frontières nationales de l’Etat touché”, ce qui “peut exiger une action internationale immédiate”.Dans un communiqué, l’OMS précise que cette déclaration d’urgence sanitaire mondiale ne préjuge pas de l’efficacité des équipes sanitaires sur place. Mais qu’il s’agit “plutôt d’une mesure pour reconnaître les risques potentiels au niveau local et régional et la nécessité d’une action intensifiée et coordonnée pour y faire face”. En clair, “il est crucial que les Etats n’utilisent pas le statut d’urgence mondiale comme excuse pour imposer des restrictions au commerce et aux déplacements qui auraient un impact négatif sur la réponse sanitaire et sur la vie de la population dans la région”, souligne le professeur Robert Steffen, chef du comité d’urgence de l’OMS.Quels sont les risques de propagation ?Sur ce point, l’OMS se veut assez rassurante. Selon l’organisation onusienne, l’épidémie demeure à l’heure actuelle une menace régionale plutôt que mondiale. “Le risque de dissémination d’Ebola dans la région reste élevé, mais il reste faible en dehors”, explique le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, soulignant qu’il n’est pas nécessaire pour le moment de fermer les frontières, de contrôler les ports ou les aéroports en dehors de la région concernée ou d’arrêter de faire du commerce. “Il est essentiel d’éviter les conséquences économiques punitives avec des restrictions sur les voyages et le commerce pour les communautés affectées”, ajoute-t-il.

Néanmoins, l’OMS demande aux Etats et aux laboratoires de “redoubler d’efforts” pour “en finir avec cette épidémie et construire un meilleur système de santé”. Réunis à Genève, les experts ne cachent pas leur “déception au sujet des retards dans le financement” de l’aide. La priorité est d’accélérer la production du vaccin, dont les stocks s’amenuisent.“Nous devons changer de méthode” dans la riposte anti-Ebola, a réagi de son côté Médecins sans frontière. “Dans un contexte où la recherche des contacts n’est pas totalement efficace et où toutes les personnes affectées ne sont pas atteintes, une approche de plus grande envergure est indispensable pour la prévention de l’épidémie”, ajoute l’association. Début mars, l’ONG avait annoncé le retrait de ses équipes de Beni et Butembo, les principaux foyers de l’épidémie, après des attaques armées contre des centres de traitement d’Ebola.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Congratulations, Mr Karimov!

March 26, 2020 | News | No Comments

Congratulations, Mr Karimov!

A letter penned in admiration of Uzbekistan’s wily president, on the eve of his visit to Brussels.

By

Updated

On the eve of your first official visit to Brussels in years, President Islam Karimov of Uzbekistan, you deserve high praise. You have played the long game expertly and outmanoeuvred European foreign-policy makers so deftly that you have become a model of how to shrug off international pariah status.

Any old authoritarian ruler can dismiss UN reports of “systematic” torture in police custody and human-rights groups’ long lists of political prisoners. But you managed to overcome so much more and win yourself a welcoming reception by José Manuel Barroso, president of the European Commission, which is far more than the average tin-pot dictator from, say, Africa or Belarus ever gets.

After your security forces massacred some 700 civilian protesters in the city of Andijan in May 2005, things might have seemed a bit bleak to you. The EU set up sanctions against your country, including visa bans against some of your officials (not you, of course – well done, yet again). Brussels established clear criteria for the lifting of those sanctions, with a call for an independent international investigation and improvement in human rights (whatever those are) among them.

But did you let all that get you down? No, sir. You played the international community off against itself with the talent that comes from boldness and the experience that comes from more time in the top office than almost any leader in the world.

To be fair, of course, you have to laugh at some of the amateurs the international community throws at you. I mean, when you took power over 20 years ago, that Barroso chap was not even Portugal’s foreign minister yet. And Hillary Clinton was merely ‘First Lady’. Of Arkansas.

And you always had a few perennial aces up your sleeve. If the West ever seemed to lose interest, you could always pretend to be friendly with Russia, and that got Washington and Brussels keen to meet you. If outside criticism got a little too heated, you could always release a political prisoner or two to show good will – while reminding your national audience of what really matters by arresting four or five others at the same time.

Still, yours was not an easy hand to play, and you had to execute your long game carefully. You quickly turfed out the Americans from their military base in southern Uzbekistan, a clear warning to the Germans, with their own base there. Thus, you won the constant support of Berlin at every stage of the sanctions review process, so that step by step, the sanctions were dropped in the course of just a few years.

Somehow, you realised those sanctions were never serious. Was it because Germany was willing to break them the minute they came into force, hosting your interior minister for medical treatment at a plush clinic in Hannover at the time? Was it because the EU’s Special Representative kept requesting meetings with you and then rushed to publicly congratulate you in January 2008, one day after your latest inauguration, after winning 88% in a national exercise you got the world to accept as an election?

Whatever the reason, you saw that a bit of patience was all it would take to wear down the EU. Its heart was never in it.

Plus, your regime’s diplomats exhibited far more political acumen than their counterparts in the EU. With the regular replacement of staff dealing with central Asia at the Commission, your team was able to convince every new generation that human-rights improvements were just around the corner. By the time their frustration with your regime’s uncompromising approach to reform took hold, they were already looking for new positions elsewhere in the European machinery, and a new crop of eager innocents took their places.

Again, all the players around you keep changing, while you remain, so admirably, the constant.

When another wave of international condemnation emerged, you neatly brushed it aside. You understood better than anyone that very few people in the world actually care where the cotton in their clothes comes from. So, the fact that your country’s number-one export is harvested by forced child labour, with over two million kids shut out of school and sent into the fields for up to two months – that is not going to disturb international diplomacy at all.

As you did with all that noise about political prisoners and torture, you accurately predicted that no one would mind what happens in some distant land few Westerners have ever heard of. You stayed the course, ignoring the pesky flies of your critics.

And through it all, you knew – somehow you knew – that no one in the West could play the long game like you were willing to do. It was only a few years before the world forgot all about Andijan and started courting you again for bases and military logistics support for the international effort in neighbouring Afghanistan. What a bonus: not only was the word ‘pariah’ never heard again, the US and its NATO allies actually started paying you and your small group of elite to allow for transport and provide a whole range of goods and services to their forces. To top it all off, last year, as ethnic pogroms erupted in Kyrgyzstan next door, you managed to take advantage of the situation, soaking up international praise for allowing some refugees into your country – credit just for not helping slaughter people. Nice. You could not have played your hand more brilliantly.

Thus, Mr Karimov, as you sit down with Mr Barroso on 24 January – just a week after the EU expressed support for those who brought down another double-decade dictatorship, in Tunisia – you will do so as a true winner. You have won the respect of the West and the admiration of us all. You have outfoxed and outlasted everyone, and the international community now bends to your will just as your own countrymen do. You are truly the master of this game and a model for others. Congratulations.

Andrew Stroehlein
Brussels

Authors:
Andrew Stroehlein 

Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Italy has been left devastated by the Covid-19 outbreak and the shot-stopper highlighted that not all players can afford to waive their salaries

Cittadella goalkeeper Alberto Paleari has said that footballers are “not all like Cristiano Ronaldo” as clubs around the world ask their players to defer their wages amid financial instability during the coronavirus pandemic.

In Europe, Italy has been hit the hardest by the Covid-19 outbreak, with over 57,000 confirmed cases to date and the death toll passing the 7,500 mark on Wednesday.

Government protocols have been put in place in an attempt to curb the spread of the deadly illness, with all sport in the country having been suspended indefinitely and citizens under strict quarantine rules amid the global emergency.

More teams

As such, all tiers of Italian football will see clubs lose huge amounts of revenue and face major financial difficulties when it comes to ensuring all debts are honoured during lockdown.

Several high-profile stars have offered to waive their salaries in the short term in order to help their sides stay afloat, while Ronaldo himself has donated €1 million of his own money to aid in the battle against coronavirus.

Paleari, however, has urged people to grasp that not all footballers are in the same situation when it comes to personal wealth and individuals should be judged on a case-by-case basis as a result.

“If it was a question of delaying wages for a month and receiving a double payment at a later date, I would say yes without any hesitation,” Paleari told Telechiara programme Strictly Cittadella. “But if it were a question of spreading my wages out for longer then in all honesty I would have to say no.

“We are not like Ronaldo. If they take away two months of his wages then he would certainly not go into financial difficulty. If they take the same away from us, our landlord will come and knock on our doors looking for the rent.

“You can’t judge everyone with the same view, it’s two different situations.”

Elsewhere in Italy, Roma players and staff gave up a day’s salary to aid in the fight against Covid-19, the Serie A side donating the proceeds to hospitals to provide beds and ventilators for those affected by the virus.

In Germany, Bundesliga new boys Union Berlin have waived their wages entirely to help ensure the club’s future, while fellow top-tier side Borussia Monchengladbach have offered to do the same.

Click Here: kanken kids cheap

Click:algaecide in pool
Quatre jours après sa prestation de serment le 2 avril, le président Macky Sall a reconduit son Premier ministre sortant Mahammed Boun Abdallah Dionne. Au même moment, il le chargeait de préparer la “suppression” du poste de Premier ministre. Une évolution radicale qui devrait lui permettre, dit-il, d’avoir une prise directe sur les administrations chargées de mettre en oeuvre sa politique.Le chef de l’Etat sénégalais, qui se définit comme un libéral social, a décidé “d’insuffler une nouvelle dynamique à la conduite des affaires publiques” avec pour objectif “la simplicité dans l’organisation“, “la souplesse dans l’action” et “la clarté et la lisibilité des échelles de responsabilités“, selon le secrétaire général de la présidence de la République sortant Maxime Jean-Simon Ndiaye. Pas étonnant, dans ces conditions, que le président Sall ait voulu “reconsidérer” la fonction de Premier ministre.”Davantage d’impact sur les populations”Tout juste re-nommé, l’intéressé, pas du tout inquiet, a expliqué à la télévision que “ce dont il s’agit, c’est de diminuer les goulots d’étranglement pour que l’information circule davantage” et pour que les réformes aient “davantage d’impact sur les populations“. La mission de M. Dionne désormais est de préparer une réforme de la gouvernance et de présenter le projet à l’Assemblée nationale où le parti au pouvoir détient une large majorité.Lorsque le poste de Premier ministre aura été supprimé, “la deuxième fonction qui m’a été confiée prendra le dessus“, a tranquillement précisé M. Dionne, évoquant son rôle de secrétaire général de la République, une fonction qui dépend directement du chef de l’Etat.Macky Sall, 57 ans, a vu dans sa réélection dès le premier tour, avec 58,26% des voix, la validation de son plan Sénégal émergent (PSE), qui s’est traduit, entre autres, par des grands travaux tels que la construction d’un nouvel aéroport international, d’une ville nouvelle, Diamniadio, aux portes de Dakar ou d’un Train express régional.Vers un référendum ?L’importante réforme politique annoncée après la campagne électorale, et dont les contours n’ont pas été précisés, a pour l’instant laissé l’opposition sans réaction. Interrogé par Jeune Afrique, l’opposant Thierno Bocoum, de la coalition Idy2019, estime pour sa part que “si l’on devait changer totalement de régime pour aller vers un régime présidentiel, il serait nécessaire qu’un vrai débat ait lieu et que cette réforme soit soumise au peuple sénégalais par référendum“.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks