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Mardi 26 décembre, Michel Sardou était à La Seine Musicale de Paris. Pour sa dernière tournée avant d’arrêter la musique, le chanteur a repris plusieurs de ses titres phares. Il en a profité pour revenir sur la polémique autour de la chanson Être une femme, sortie en 1981.

Michel Sardou effectue ses derniers concerts avant d’arrêter la musique pour se consacrer à une autre passion, le théâtre. À 70 ans, le chanteur s’est produit à La Seine Musicale de Paris mardi 26 décembre. Comme à son habitude, il n’a pas pu s’empêcher de jouer la provocation en évoquant certaines de ses chansons qui ont fait polémique. Le titre Être une femme, sorti en 1981, en fait partie. “Les féministes n’ont rien compris, elles n’ont rien dans la tête. J’ai été flagellé, crucifié, alors qu’il n’y avait rien d’antiféministe !, déclare-t-il en ignorant les quelques sifflets dans la salle. Et aujourd’hui elles font toutes ces métiers” affirme le chanteur.

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Dans une interview accordée à l’AFP en novembre dernier, Michel Sardou est déjà revenu sur le débat qu’alimente cette chanson. “Encore aujourd’hui, je suis un dangereux machiste ! Dans Etre une femme, tout ce que je disais, elles le font aujourd’hui. Pilote d’avion, chauffeur de bus… Elles font des métiers de mecs ! Est-ce dégradant ? Pourtant, de nombreuses associations féministes m’ont bastonné“, a-t-il expliqué. Il est clair que le féminisme n’est pas la tasse de thé de l’interprète des Lacs du Connemara. En juin dernier, il a exprimé son avis jugé bien macho sur le rôle de Brigitte Macron au sein de couple présidentiel.

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Le rêve américain… et son prix. C’est le sujet du documentaire “Print the legend” autour de la révolution de l’impression 3D, à découvrir en exclusivité sur Netflix.

Découvrir “Print the legend” sur Netflix

Comment devient-on le nouveau Steve Jobs ? Ils ont été biberonnés aux publications de l’homme à la pomme, ont bricolé jour et nuit dans leur sous-sol les futures inventions de demain, puis ont pris la voie de l’ingénierie informatique, fondant petit à petit leur propre micro-entreprise.

A l’instar de Makerbot Industries, start-up à taille humaine créée en 2009 par Adam Mayer, Zach “Hoeken” Smith et Bre Pettis. Ils n’étaient que trois dans un garage : ils ont fini à plus de 250 dans des locaux new-yorkais avant de se faire racheter pour 400 millions de dollars par Stratasys, une société concurrente.

Dans Print the legend, défilent ainsi plusieurs destins d’entreprise (Formlabs, 3D Systems…) devant la caméra des apprentis réalisateurs Luis Lopez et Clay Tweel, laissant apparaître deux catégories d’hommes.

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D’un côté, les fébriles à la montée en puissance de leur entreprise familiale. Et de l’autre, ceux, comme le charismatique et presque sympathique Bre Pettis, qui n’hésitent pas à piétiner les valeurs fondamentales de l’entreprise telles que la démocratisation de leur révolution pour s’imposer face aux géants du marché. Le prix est cher à payer puisqu’il inclût le licenciement de tous ceux qui ralentissent la locomotive. Amis de longue date ou pas.

Mais comme toute invention révolutionnaire, l’impression 3D a connu des dérives, portées principalement par l’étudiant texan Colin Wilson, un anarchiste qui a fait de l’impression 3D son cheval de Troie en imprimant pour la première fois des armes à feux en plastique.

Chacun à leur manière, Cody et les autres ne cherchent qu’une seule chose : entrer dans l’histoire et réaliser leur rêve américain, en se moquant de faire bonne impression.

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A 12 ans, Emmanuel Macron a pris une décision personnelle importante, contre l’avis de son père. L’actuel chef de l’Etat avait choisi de se faire baptiser, comme il l’avait confié à nos confrères de l’Obs en 2017. Une information reprise par le magazine l’Express, qui s’est intéressé dans son nouveau numéro au président de la République et son rapport à la religion.

Dans son nouveau numéro intitulé Macron, Dieu et la politique , l’Express a choisi de s’intéresser au président de la République et son rapport à la religion. L’hebdomadaire souligne que le chef de l’Etat n’a jamais fait part en public de ses propres convictions religieuses et qu’il a toujours su habilement garder le mystère sur sa foi. « Si Emmanuel Macron invoque régulièrement une ‘quête de transcendance’ qu’il assume volontiers, il s’est toujours gardé d’évoquer son rapport à Dieu. Soucieux de préserver cette part du domaine de l’intime, et attentif à rester un président qui parle aux athées aussi bien qu’à toutes les religions » précise l’Express.

Pour approfondir le sujet, le magazine cite un entretien donné par Emmanuel Macron à l’Obs en 2017. On y apprend que le chef de l’Etat avait confié avoir choisi de se faire baptiser au début de l’adolescence, contre l’avis de son père.« Tout juste sait-on ce qu’Emmanuel Macron a consenti à raconter (mais il l’a fait à plusieurs reprises, inscrivant délibérément l’anecdote comme l’un des événements fondateurs du mythe): il a choisi le baptême à 12 ans, contre l’avis de son père extrêmement hostile à cet engagement. ‘Je suis allé tout seul à l’église’, explique-t-il à Jérôme Garcin, en février 2017, dans L’Obs. » Par la suite, le chef de l’Etat se serait quelque peu éloigné de la religion. « Ce fut le début d’une période mystique, qui a duré plusieurs années, après quoi je me suis éloigné de la religion » avait précisé Emmanuel Macron.

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Ole Gunnar Solskjaer’s team have struggled to put away the Premier League’s lesser lights and with the transfer window open changes could be afoot

Manchester United will bring a mixture of confidence and trepidation to Turf Moor after their Boxing Day victory against Newcastle United. They will be relieved to have finally put one of the league’s most mediocre teams to the sword.

Misfires against the teams lower down have proven to be the undoing of United’s faltering campaign in the Premier League so far. They are yet to consistently prove themselves in front of deep defences focused on shut outs and have been shown to lack creativity, intelligence, patience and poise.

The game against Newcastle showed the players and the fans – as did the brief flash of excitement at Carrow Road against Norwich – that hitting the opposition down the wings can be effective if the delivery and technique are up to scratch.

Andreas Pereira’s layoff in the box for Anthony Martial and Aaron Wan-Bissaka’s cross for Marcus Rashford are two examples of attacking methods of that United have struggled to master.

Liverpool, by contrast, are constantly pressing through the flanks and have in Sadio Mane, Mohamed Salah and Roberto Firmino, three technically accomplished players to work openings in tight spaces.

United’s players should be concerned that they can match the teams at the top end but struggle against the also-rans. If they can’t beat Burnley, then the problems – as Jesse Lingard has suggested – could very well be on the psychological side.

This club has acquitted itself well against the very best sides in the league and occasionally in Europe since the days of Louis van Gaal’s tenure. But they cannot to raise their game week in, week out, as the Premier League now requires.

There are plenty of squads worse than United’s in terms of ability, but they don’t lack focus in the same way as Ole Gunnar Solskjaer’s players. Burnley – on paper – are an entirely surmountable obstacle, but United’s mentality problems could see them become an impossibly obdurate opponent.

This task is made harder by the almost certain absence of Scott McTominay from the side. As an example to the rest of the squad, McTominay’s desire to make the very best of himself – despite some technical shortcomings – makes it plain to those around him that effort is as essential a quality as skill.

If it is yet again made clear that the players are their own worst enemies, then Solskjaer has little choice. The clearout that began in the summer should continue in January.

Luke Shaw has not kicked on despite an extended run in the team following injury. Nemanja Matic and Andreas Pereira do not have the required pace through midfield. Martial, Jesse Lingard and Victor Lindelof are inconsistent. That is perhaps the clearest example of what needs be stamped out if the club are to improve meaningfully.

There are players who have been linked with moves inbound. Jadon Sancho appears to have put off-field issues to one side and is playing well for Borussia Dortmund.

Erling Braut Haaland has the physique of a man even at the age of 19 and is ruthless in front of goal.

Christian Eriksen remains a decisive matchwinner.

All may ultimately go elsewhere, but the fact they are targets for the Old Trafford transfer committee shows that the penny has dropped somewhere: players need to excel before there is even a chance of succeeding at United.

Nevertheless, there are reasons for optimism. Paul Pogba is back and appears to have recommitted himself to playing as he did at the very start of the season. A determined Pogba has the potential to be the very best midfielder in the Premier League, if not Europe. His presence should make light of McTominay’s absence if the French international is able to deliver something like his best against Burnley; the concern is that there is almost no guarantee of it.

Most promising though, is Mason Greenwood, now being openly compared to Robin van Persie. The youth product demonstrated yet again on Boxing Day why calls for him to now start regularly are entirely justified.

It is not just Martial blowing hot and cold that makes him the best option, but the nerveless certainty with which he approaches the goal. The strike to beat Martin Dubravka was not guided artfully into the top corner – although there is no suggestion that is beyond Greenwood – it was simply dispatched at such a pace that it didn’t matter where it was headed, as long as it was on target. A target man and focal point is one thing, a dead-eyed assassin is altogether far more exciting.

Burnley should be an easy victory for United. It will keep them in touch of the Champions League spots if they succeed, but failure may shunt them down to mid-table. If it isn’t won, then it could not only bring down the curtain on Manchester United’s 2019 but on the careers of some of their underperforming players.

Laura Smet et Nathalie Baye partagent l’affiche du nouveau film de Xavier Beauvois, les Gardiennes, un tournant dans la carrière de la jeune femme et pour sa mère. L’occasion d’une jolie rencontre et de confidences sur leur famille.

Entre la mère et la fille, Nathalie Baye et Laura Smet, les relations se sont apaisées. Plus complices que jamais, c’est au cinéma que les deux actrices rayonnent. A l’affiche de Les Gardiennes, Laura Smet a eu de très jolis mots pour sa maman, Nathalie Baye, expliquant que ce film de Xavier Beauvois les avait aidées à se réconcilier.

A Version Femina, Laura fait une jolie déclaration d’amour à sa maman, “Il faut que je le dise, car il ne s’agit pas seulement de ma mère. Elle est selon moi, l’une des plus grandes actrices françaises”, et celle-ci le lui rend bien, revenant au passage sur le début de carrière de Laura, quand tout est allé si vite, trop vite pour une jeune femme au patronyme trop célèbre. Le statut de fille de lui a pesé. Un “boulet” pour une jeune femme.

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“J’ai vu son premier film, «Les corps impatients» de Xavier Giannoli, et j’ai été subjuguée. Mais Laura a commencé trop tôt, c’est arrivé trop vite. Le film était formidable, la jeune actrice, étonnante, sans compter sa situation familiale avec son père et sa mère… Tout cela a fait que, dans les médias ils lui sont tombés dessus”. Et de poursuivre, avec émotion . «C’était dix fois trop lourd pour une petite gamine toute jeune et très timide en plus. Car Laura est timide, c’est l’une de ses grandes qualités ! Donc cet ensemble de choses l’a fragilisée». Fragile, c’est le qualificatif qui revient souvent à propos de Laura Smet. Mais avec son compagnon Raphael, avec qui elle vit une belle histoire depuis 4 ans, la fille de Johnny Hallyday semble enfin avoir trouvé l’équilibre qui lui a tant manqué.

Alessandra Sublet et le couple Hallyday se sont fâchés en 2013 avant de se réconcilier en 2016. Au jour du décès du chanteur, l’animatrice de télévision a tenu à ajouter sa parole et une photographie aux hommages et à assurer la famille de son soutien.

Pour une histoire de mots. En 2013, dans l’autobiographie Dans mes yeux co-écrite avec Amanda Sthers, Johnny Hallyday racontait comment un message provenant d’une animatrice de télévision qu’il ne cite pas était parvenu à la connaissance de son épouse Laeticia ” En substance, le message dit qu’il faut ‘se farcir’ les Hally­day parce que c’est impor­tant profes­sion­nel­le­ment, mais qu’elle et sa bande ne peuvent pas nous blai­rer”. L’histoire aurait pu en rester là si l’animatrice Alessandra Sublet, se sentant visée n’avait pas rétorqué sur le plateau de C à Vous.L’anima­trice avait attaqué“C’est mieux quand il chante que quand il écrit, avait-elle estimé. Il vaut mieux l’écou­ter que le lire.”

Quelques années plus tard, sous le soleil de St Barth, le couple s’était réconcilié avec l’animatrice et l’on avait pu voir Laeticia Hallyday faire la fête avec Alessandra Sublet comme si rien de ne s’était passé. Ce mercredi, quelques heures après le décès de Johnny Hallyday des suites d’un cancer des poumons, l’animatrice a publié une photographie sur le réseau social Instagram en assurant la famille du chanteur de son soutien : “J’ai eu la chance de te rencontrer, de partager des moments de fou, d’être le témoin de tes histoires que j’écoutais religieusement. À St Barth ou ailleurs tu seras à jamais dans nos cœurs. Et compte sur nous pour entourer Laetitia Jade et Joy”

J’ai eu la chance de te rencontrer, de partager des moments de fou, d’être le témoin de tes histoires que j’écoutais religieusement. À st barth ou ailleurs tu seras à jamais dans nos cœurs. Et compte sur nous pour entourer Laetitia Jade et Joy ✌️#johnny

A post shared by Al Sublet (@alessandra_sublet) on Dec 6, 2017 at 12:12am PST

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

Furieuse que Nicolas Dupont-Aignan se serve d’un épisode de Joséphine ange gardien pour défendre ses idées politiques sur les mère porteuses, Mimie Mathy a fait savoir qu’elle ne souhaitait en aucun cas être associée à lui.

Mimie Mathy n’apprécie pas que l’on utilise sa série à des fins politiques et le fait savoir. Le mercredi 6 décembre, NT1 diffusait un épisode de Joséphine ange gardien sur le thème de la gestation pour autrui. Les téléspectateurs y découvraient alors le parcours d’une jeune femme d’origine russe ayant accepté d’être mère porteuse pour un couple de Français, mais qui supportait avec beaucoup de difficulté d’être séparée de l’enfant qu’elle venait de porter.

Leader du mouvement Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan y a vu l’occasion parfaite de revendiquer son avis bien tranché sur la question. “Épisode très émouvant de Joséphine ange gardien sur la monstruosité du traitement des mères porteuses. Nouvel esclavage des femmes !“, a-t-il écrit sur son compte Twitter. De quoi susciter de nombreuses réactions de la part des internautes, mais aussi et surtout celle de l’héroïne du feuilleton.

Et c’est furieuse que Mimie Mathy lui a répondu, le taclant par la même occasion au sujet de son ralliement à Marine Le Pen. “Je découvre avec stupéfaction que Nicolas Dupont-Aignan s’appuie sur un épisode de Joséphine Ange Gardien pour tweeter sur le problème des mères porteuses. Je ne tiens en aucun cas à être associée à cet homme politique capable de faire un pacte avec le Front national au moment de l’élection présidentielle.Merci à tous de ne pas faire l’amalgame.”

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La femme de David Hallyday, la maman de leur fils Cameron, est aux côtés de son mari pour affronter l’épreuve ce 9 décembre à la Madeleine.

En ce triste jour de funérailles, la famille au grand complet s’est réunie pour accompagner Johnny Hallyday, le chanteur décédé dans le nuit du 5 au 6 décembre 2017, dans sa demeure de Marnes-la-Coquette. Dans le froid de ce drôle de samedi 9 décembre, Laura et David, les enfants aînés du chanteur attendent, grands dans la douleur, le corbillard qui va déposer le cercueil de leur père, aux abords de l’église de la Madeleine, à Paris.

Alexandra, la femme de David, 51 ans, la maman de leur fils Cameron, âgé de 13 ans, se tient auprès de son mari dans l’épreuve. La jeune femme, l’une des héri­tières de Jean-Baptiste Pastor, magnat de l’im­mo­bi­lier qui a contri­bué à faire de Monaco la ville la plus ruti­lante de la côte d’Azur, diplô­mée de la chambre syndi­cale de Haute Couture, à la tête de la marque rock chic Teen Reli­gion inspirée du style de ses belles-filles Ilona et Emma, nées de l’union de David avec la top modèle Estelle Hally­day, a déjà eu à affronter de dures épreuves.  

La maman de Cameron connaît la douleur de perdre un père. Le sien, Michel Pastor, an­cien président de l’AS Monaco est décédé des suites d’un long cancer en 2014. En mai de la même année, c’est sa tante Hélène, qui a perdu la vie dans de tragiques circonstances. L’hé­ri­tière moné­gasque prise au piège dans un guet-apens à Nice est décédée le 21 mai 2014. Forte de ces épreuves, Alexan­dra saura assurément trouver les mots justes pour adoucir la peine immense de son mari, David.

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Harcelée par le producteur Harvey Weinstein, Salma Hayek a écrit une lettre ouverte publiée par le New York Times ce 13 décembre. Elle y dévoile les agissements du magnat du cinéma, qui l’a menacée de mort quand elle a refusé de lui donner ce qu’il voulait.

Dans une lettre ouverte publiée par le New York Times ce 13 décembre, Salma Hayek dévoile comment Harvey Weinstein l’a harcelée. Après avoir longuement hésité, l’actrice joint sa voix à celles des autres victimes du producteur, accusé de harcèlement sexuel et de viol. C’est à l’occasion de leur travail ensemble sur le film Frida que le magnat du cinéma s’en est pris à la comédienne, qui croit désormais ne pas avoir été violée uniquement parce qu’elle était amie avec Quentin Tarantino et George Clooney, ce qui l’aurait protégée.

J’étais heureuse à l’idée de travailler avec lui. […] Il avait parié sur moi, moi qui n’étais personne. Il avait dit oui. Mais je ne me doutais pas que ça allait être à mon tour de dire “non”, décrit Salma Hayek. Non au fait de lui ouvrir la porte à n’importe quelle heure de la nuit, dans chaque hôtel, sur chaque lieu de tournage, où il apparaissait sans prévenir, y compris une fois dans le cadre d’un film sur lequel il n’était pas impliqué. Non au fait de prendre une douche avec lui. Non au fait de le laisser me regarder prendre une douche. Non au fait de le laisser me faire un massage. Non au fait de laisser un de ses amis, nu, me masser. Non au fait de lui faire une fellation. Non au fait de me retrouver nue avec une autre femme. Non, non, non… Je crois qu’il ne haïssait rien de plus que le mot “non”.

Salma Hayek, qui a aussi accusé Donald Trump d’avoir violé une fillette de 13 ans, dévoile qu’Harvey Weinstein l’a alors menacée de mort. “Pour essayer de me persuader il a essayé toutes les tactiques, dévoile-t-elle. Il a commencé par me parler mielleusement avec gentillesse, et est allé jusqu’à prononcer ces mots terrifiants une fois, dans un excès de furie : “Je te tuerai, ne crois pas que je n’en sois pas capable”.

Harvey Weinstein, dans l’une de ses rares déclarations depuis le début du scandale, n’a pas répondu aux accusations de Salma Hayek : tout juste a-t-il réfuté l’avoir forcée à tourner une scène de sexe avec une femme pour les besoins du film, arguant que Frida Kahlo était bisexuelle et que cela faisait “partie de l’histoire“.

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Les frères Coen : leur histoire d’amour cannoise

December 30, 2019 | News | No Comments

Depuis 1987 et la présentation d’Arizona Junior, les frères Coen sont devenus de grands habitués de la Croisette. Retour sur l’histoire d’amour cannoise de ceux qui présideront l’édition 2015 en mai prochain.

1. 1987 : Arizona Junior
+

© Circle Films

Au mois de mai prochain, Joel et Ethan Coen présideront ensemble le Jury du Festival de Cannes. Un aboutissement pour les deux frères, grands habitués de la Croisette depuis plus d’un quart de siècle et la présentation du film Arizona Junior.

Depuis 1987, les frères Coen sont venu à onze reprises présenter un long métrage à Cannes (soit environ deux tiers de leur filmographie). En grande majorité pour concourir aux plus hautes distinctions, puisqu’on les retrouve huit fois en Compétition de la sélection officielle (pour deux présences Hors Compétition et une présence dans la section Un Certain Regard).

Quand elle repart du Sud de la France, la fratrie a souvent le sourire. En 1991, Joel et Ethan font une razzia avec Barton Fink, un triomphe qui fera d’ailleurs jurisprudence (un film palmé n’aura ensuite plus le droit d’avoir un autre prix). A noter que les frères, souvent récompensés pour leur mise en scène, ont enfin le panache d’avoir goûté à nombre de distinctions cannoise différentes.

Année
Film
Sélection
Récompense


1987
Arizona Junior
Hors Compétition
/
1991
Barton Fink
Compétition
Palme d’or – Prix de la mise en scène – Prix d’interprétation masculine pour John Turturro

1994
Le Grand saut
Compétition
/
1996
Fargo
Compétition
Prix de la mise en scène
2000
O’Brother
Compétition
/
2001
The Barber : l’homme qui n’était pas là
Compétition
Prix de la mise en scène
2004
Ladykillers
Compétition
Prix du Jury
2006
Paris, je t’aime
Un Certain Regard
/
2007
No Country for Old Men
Compétition
/
2007
Chacun son cinéma
Hors Compétition
/
2013
Inside Llewyn Davis
Compétition
Grand Prix

Gilles Jacob parle des frères Coen :

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