Category: News

Home / Category: News

Click:webbing sling
Découvrez la nouvelle bande-annonce de Jurassic World dans laquelle on peut apercevoir Omar Sy et l’Indominus Rex, fameux dinosaure génétiquement modifié. Sortie prévue dans nos salles le 10 juin prochain.

Après la toute récente moisson d’affiches teaser, voici la bande-annonce tant attendue de Jurassic World qui nous en montre beaucoup plus sur les dinosaures qui peuplent ce quatrième opus. Vélociraptors, dimorphodons, mosasaurus… et Indominus Rex sont ainsi au programme de ces nouvelles images pour le moins impressionnantes.

L’action se fait plus explicite, et le fameux parc d’attraction se transforme bientôt en véritable décor apocalyptique sous les assauts destructeurs du dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing (Bryce Dallas Howard) complètement dépassée par les événements. Un pitch qui n’est pas sans rappeler celui des Dents de la mer 3.

Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne semblent alors se porter sur le dresseur de raptors Owen Grady (Chris Pratt) et sa cool attitude. Pour lui prêter main forte, son acolyte incarné par Omar Sy que l’on peut apercevoir furtivement à 01:51 du trailer. Sa réplique “Y’a un problème, ils communiquent entre eux” pourrait laisser penser que les créatures préhistoriques s’unissent pour se révolter contre leurs maîtres humains…

Pour rappel, ce quatrième volet de la célèbre saga initiée par Steven Spielberg en 1993 sortira dans nos salles le 10 juin prochain. Sa réalisation a été confiée à Colin Trevorrow, dont c’est ici la première expérience en termes de blockbuster.

Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Les remarques et les critiques se succèdent depuis l’annonce des conditions de l’héritage de Johnny Hallyday. La question que tout le monde se pose désormais: Laeticia a-t-elle influencé le père de famille ou celui-ci a-t-il pris ses décisions en son âme et conscience?

La décision a eu de quoi surprendre. Alors qu’il se trouvait à la tête d’une belle famille recomposée et d’une fortune estimée à près de 100 millions d’euros, Johnny Hallyday a choisi de léguer l’ensemble de son patrimoine à sa seule épouse, Laeticia Hallyday. Un choc pour son entourage. Aucun de ses enfants, ni aucun de ses petits-enfants n’est cité comme héritier. Si les petites Jade et Joy peuvent espérer hériter un jour d’une partie de la fortune grâce à leur mère, Laura Smet et David Hallyday n’auront, sauf modification ultérieure, droit à rien. Une décision si radicale que beaucoup de proches de la famille ont fait savoir leur étonnement à l’annonce des conditions. Certains sont même allés jusqu’à laisser entendre que Johnny avait été manipulé, qu’il n’avait pas vraiment choisi de déshériter ses enfants mais que son épouse, Laeticia, se cachait derrière cette décision. Une vision des faits pas forcément partagée par l’ensemble des proches des Hallyday.

Dans un numéro de Gala datant de 2013, l’un des complices de la rock star donne son impression sur l’entourage de Johnny. Il confirme ainsi les coups de balai successifs pour se débarrasser d’amis trop encombrants. Un fait souvent imputé à Laeticia, que l’on accuse d’avoir voulu prendre le contrôle de Johnny en se débarrassant de ses proches. Pourtant, à en croire son complice, Johnny jouait de cette image mais n’était pas aussi docile que certains amis auraient pu l’imaginer. Certes, Johnny est influencé par son entourage, admettait alors la source de Gala, mais il ne faut pas croire qu’il est malléable. Au final, il prend seul les décisions les plus lourdes de conséquences. Pour le reste, il fait l’observateur sans rien perdre de se qui se trame autour de lui.” Johnny Hallyday aurait-il été moins marionnette qu’il le laissait penser autour de lui? Selon ce proche, le rockeur analysait son entourage, prenait la décision d’évincer telle ou telle personne puis laissait Laeticia apporter la mauvaise nouvelle pour ne pas être lui-même confronté à la déception de ses amis. Si cette vision venait à être confirmée, cela pourrait remettre en cause la version des faits selon laquelle Laeticia Hallyday a influencé son mari au moment d’établir son dernier testament.

Crédits photos : Simon Decleves/SIPA

Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence, le nouveau film du maître suédois Roy Andersson, sort ce mercredi 29 avril en France. Rencontre avec un cinéaste à part… et un vrai artisan du plan cinématographique.

AlloCine : L’inspiration pour ce film vous est venue par hasard un jour, alors que vous cherchiez des idées pour un scénario, un pigeon s’est posé sur le rebord de votre fenêtre…

Roy Andersson : J’étais assis dans ma cuisine, dans une maison du Sud de la Suède, en train de plancher sur ce film. Tout à coup je lève les yeux et vois un pigeon sur ce rebord, à quelques centimètres à peine de moi. Il avait l’air de réfléchir à quelque chose… (Rires) Je suis persuadé qu’il songeait à son existence, à comment survivre un jour de plus. Ces animaux ne peuvent avoir qu’une vision à très court terme. La perspective temporelle n’existe pas pour eux.

Faut-il avoir une philosophie à court terme dans la vie ?

Nous vivons avec cette philosophie. Nous ne savons pas ce que le lendemain nous réserve. Il ne faut pas blâmer les gens de penser ainsi. C’est dans l’ordre des choses. Les enfants vivent dans l’instant présent, cherchent des réactions immédiates, et ça leur suffit. Les adultes ont des responsabilités, parfois qui les dépassent, comme l’avenir du monde, de la nature. De fait, il devient impossible, voire dangereux, de ne se projeter que dans le court terme. D’un autre côté, il ne faut pas oublier que c’est le court terme qui régit réellement ce monde.

Ce qui est amusant avec vos films, c’est justement que vos scènes s’inscrivent toujours dans la durée, dans le temps… justement pour montrer la réalité de ce court terme !

C’est un sacré paradoxe ! (Rires)

J’ai longtemps été jaloux de la peinture.

Et ces durées de scènes ouvrent de belles perspectives cinématographiques, notamment parce qu’elles enregistrent le temps qui passe. Est-ce que l’on pourrait considérer cela comme une définition de votre cinéma ?

C’est intéressant… mais qu’une partie de la vérité. Pendant longtemps j’ai été jaloux de la peinture. Les spectateurs peuvent rester face à un tableau pendant des heures et des heures. Les films ne laissent pas cette possibilité aux gens. On ne reste pas planté devant un film pendant des heures et des heures. C’est un art de la fugacité. En tout cas, peu de films ont cette capacité. J’ai longtemps été jaloux de cette qualité intrinsèque à la peinture.

Vous dites que peu de films ont ce pouvoir. Pouvez-vous m’en citer un qui a eu cet effet sur vous ?

Il y a certains plans de Luis Buñuel que je peux voir et revoir et pendant longtemps. Dans Viridiana, il y a une scène avec des mendiants magnifique. Les personnages y sont représentés comme dans La Cène de Leonard De Vinci… C’est absolument magnifique.

Faire durer une scène chez vous, c’est souffler au spectateur que, finalement, tout peut arriver, surtout quelque chose d’inattendu, un accident… Et cela peut parfois déboucher sur une situation comique… ou sur une réflexion philosophique.

C’est très bon d’entendre cela…

En 40 ans de carrière, vous avez réalisé très peu de films. Cinq au total. Là encore vous prenez votre temps…

La vérité c’est que… mon second film (ndlr : Giliap en 1975) a été une catastrophe financière et critique. Après cet échec, personne ne voulait travailler avec moi, d’autant plus qu’on a fait de moi le bouc émissaire de ce naufrage financier, me rendant responsable des dépassements de budget. Ce différend avec le producteur m’a fait prendre conscience qu’il fallait que je sois indépendant, en achetant par exemple une caméra. C’était mon premier objectif et cela m’a pris quelques années pour le remplir. Je ne pensais pas bien sûr que ça allait me prendre plus de 20 ans avant de refaire un film (ndlr : Chansons du deuxième étage, en 2000). Pendant ce laps de temps, j’ai tout de même travaillé, j’ai réalisé des publicités qui m’ont permis d’acheter du matériel, des projecteurs et même un studio. Cela a pris du temps. Tellement de temps ! Mais ça valait le coup ; j’ai pu réaliser cette trilogie (ndlr : Chansons, Nous les Vivants et Un Pigeon perché), des films que je n’aurais jamais pu réaliser en n’étant pas indépendant. Je peux donc retirer quelque chose de positif de cette trop longue attente.

Depuis ce retour, il se passe 7 ans entre chacun de vos films…

J’ai besoin de temps pour faire un film. Et notamment pour construire les décors, dont certains sont particulièrement complexes. Et j’attache beaucoup d’importance au placement des objets dans ces décors, ainsi qu’à la place des personnages. Je songe à la distance entre les objets, à ce qui sépare le personnage du mur… Cela me prend du temps de déterminer la place de chaque élément dans un décor. Si on bouge la position d’une chaise face à une fenêtre, cela engendre quelque chose de complètement différent ! Il faut trouver la position parfaite. La seule position possible, en réalité.

 

Pour chacune de vos scènes, vous pensez sincèrement qu’il ne peut y avoir qu’un seul positionnement de votre caméra ?

Oui. Je le crois vraiment. (Rires) Je ne trouve pas cet angle rapidement. Je sens très facilement lorsqu’une caméra n’est pas bien placée. Mais une fois que j’ai trouvé, je suis persuadé en mon for intérieur que la caméra ne pouvait être placée que “là.”

Une des thématiques de vos films est de montrer comment l’Homme vit. Et comment son existence peut parfois être totalement absurde…

Mon thème principal est en effet la vulnérabilité de l’Homme. Vous savez, je suis touché, profondément touché par les humiliations que peuvent parfois endurer les gens. Il y a plusieurs degrés d’humiliations. A la guerre par exemple, des choses terribles peuvent arriver. C’est malheureusement aussi le cas dans la vie normale. Cela me brise le coeur. L’humiliation est la chose la plus insoutenable dont je puisse être témoin.

Vos films montrent aussi à quel point nous pouvons être déconnectés les uns des autres. Encore une de vos thématiques de prédilection ?

Oui. Et cet éloignement est tellement dommage. Je ne vois pas non plus comment il pourrait en être autrement. Là encore, je trouve cela insupportable. Mais les coeurs, les gens changent.

Avez-vous conscience d’avoir une place à part dans le cinéma mondial ? Un statut presque “culte”, que l’on peut rattacher à votre style si particulier et aussi la rareté de vos films…

Pas vraiment… ou plutôt j’en prends de plus en plus conscience peut-être. (Rires) Je ressens un peu plus de respect année après année. Mais cela prend du temps encore une fois ! Pendant longtemps je me suis considéré comme un cinéaste peu intéressant, sans doute parce que je n’avais pas beaucoup de succès. Peut-être ai-je pris un peu plus de confiance après Un Pigeon perché justement, même si je pense que l’on ne peut jamais être pleinement satisfait de son travail. Quand on considère ce qu’il est possible créativement de faire, on se rend compte qu’on est toujours loin de l’objectif. Avec plus de ressources et de temps, je pourrais faire de bien meilleurs films.

Pendant longtemps je me suis considéré comme un cinéaste peu intéressant.

Maintenant que vous avez terminé “Un Pigeon perché”, quand peut-on espérer le prochain ? Dans 7 ans, à nouveau ?

Dans 4 ans ! (Rires) Après Nous les vivants, j’ai fait une pause de 3 ans… mais là j’ai déjà commencé à travailler sur le prochain. Je le considère comme le 4ème épisode de ma trilogie ! (Rires) Je n’ai pas encore de titre mais la thématique sera l'”infinité.” Rien n’est jamais fini.

La bande-annonce ahurissante du Pigeon perché :

Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence Bande-annonce VO

Propos recueillis par Thomas Destouches à Paris le 8 avril 2015

La famille de Laeticia Hallyday est aujourd’hui sous le feu des projecteurs. Suite aux révélations autour de testament de Johnny Hallyday, les proches de rockeur remettent en cause l’influence du clan Boudou dans les affaires du Taulier.

La famille Boudou aurait-elle influencé les décisions de Johnny Hallyday autour de sa succession ? “Depuis le mariage de la ‘petite’ avec le rockeur, le clan Boudou a peu à peu fait de la maison de Marnes-la-coquette son camps de base” peut-on lire dans les colonnes de Gala, en kiosques ce mercredi 28 février. Depuis les révélations concernant le testament laissé par le rockeur avant sa mort, la famille Boudou apparaît sous un nouveau jour.

La grand-mère de Laeticia Hallyday, Elyette Boudou surnommée par le Taulier Mamie Rock, est devenue à 82 ans la représentante légale de toutes les sociétés françaises de l’idole des jeunes. Sans compétence dans les éditions musicales, elle est la gérante de la Sarl Mamour, créée en 2012 pour encaisser 8 millions d’euros d’avance pour la tournée Jamais seul. Du côté du frère de l’épouse du chanteur, Grégory Boudou, le testament stipule qu’il est l’exécuteur testamentaire en cas de décès de sa sœur, seule héritière du chanteur. Quant à André Boudou, père de Laeticia Hallyday, il a aiguillé son beau-fils sur certains investissements : il lui aurait vendu un “bateau défectueux”, selon un proche, dans les années 90, comme l’a rapporté Sudinfo.be. Depuis, le patriarche de la famille Boudou reste très discret dans les médias.

L’entrée des membres de la tribu Boudou au sein des affaires de Johnny Hallyday provoque le malaise parmi certains proches de rockeur. “On avait depuis longtemps senti que quelque chose se tramait, que tout ce ménage fait autour de Johnny n’était certainement pas dû au hasard“, explique un ami du Taulier qui ne comprend pas que le rockeur n’ait rien laissé à ses deux aînés David Hallyday et Laura Smet. Le biographe de Johnny Hallyday, Bernard Violet, avait estimé quant à lui, dans une interview donnée à L’Express, que les membres de la famille Boudou “ont clairement pris l’ascendant sur le business de Johnny“.

Crédits photos : Bestimage

Sorties cinéma : Les Jardins du Roi en tête

December 28, 2019 | News | No Comments

“Les Jardins du Roi” d’Alan Rickman arrive en tête des premières séances parisiennes, suivi de “Un peu, beaucoup, aveuglément” de Clovis Cornillac, et “My Old Lady”. Aucun film ne dépasse les 1000 entrées.

Rang Film Entrées* Nombre de copies* Moyenne par copie*

1
Les jardins du roi
878
20
44
2
Un peu, beaucoup, aveuglément
717
14
51
3
My old lady
584
8
73
4
Pyramide
507
10
51
5
L’épreuve
447
8
56
6
La talent de mes amis
426
15
28
7
Partisan
204
6
34
8
Titli, une chronique indienne
202
8
25
9
Hyena
169
5
34
10
Les terrasses
67
3
22
11
L’impératrice Yang Kwei-Fei
38
1
38
12
L’armée des ombres (reprise)
34
3
11
13
Melody
29
3
10
14
Il était une fois en Amérique (reprise)
26
1
26
15
Zaneta
18
3
6
16
Blanches colombes et vilains messieurs (reprise)
14
1
14
17
Ladygrey
11
2
6
18
La Tribu des fourmis
11
2
6

“Les Jardins du Roi”, avec Kate Winslet et Matthias Schoenaerts, arrive en tête des 1ères séances:

Les Jardins du Roi – EXTRAIT VOST "La rencontre"

Source : CBO Box-Office

 

Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Click:Capacitors
Quelques mois après l’annonce de son cancer de l’estomac, une première opération et une première séquence de chimiothérapie, Bernard Tapie a accordé au journal Le Point une interview où il s’étend sur son état de santé.

Bernard Tapie reste combatif. En septembre dernier, l’homme d’affaires confirmait souffrir d’un cancer de l’estomac. Depuis, malgré les attaques, Bernard Tapie a subi une opération chirurgicale ainsi qu’une première séquence de chimiothérapie. S’il n’est pas totalement optimiste, l’ancien président de l’Olympique de Marseille a affirmé au journal Le Point vivre le cancer comme une compétition sportive : “Le cancer, c’est le match de ma vie. Mais je ne suis pas sûr de le gagner.”

À ceux qui s’inquiètent pour sa santé, il tient à donner des nouvelles rassurantes : “J’ai perdu énormément de poids, j’ai beaucoup de mal à me nourrir, mais les médecins sont relativement optimistes, même si je sens bien que je vais avoir droit à une deuxième séquence de chimiothérapie. On verra bien. En tout cas, je ne baisse pas les bras, j’ai plein de projets dans la tête et, si la chimio ne me met pas K.-O., j’ai bien l’intention de continuer. Je n’ai finalement que 75 ans…”

Et à ceux comme lui qui mènent ce combat, il donne ses conseils : “Primo : bouge ton corps même quand tu n’en peux plus. L’énergie donne de l’énergie. Monte sur la table et descends. Recommence plusieurs fois. Fais circuler tout ce qui ne circule pas assez dans ta carcasse. Secundo : il n’y a pas de surhomme. Le coup de pompe peut te mener à l’abandon. Tu ne peux compter que sur toi. Fixe-toi un but pour aller au-delà de ta volonté. Va voir un concert, un match, va faire tes courses, cela te forcera à t’habiller et à sortir.”

Crédits photos : Agence / Bestimage

Click Here: Maori All Blacks Store

In order to fight scarcity of water, a competition-‘Water Cup’ is being held between several villages in Mahrashtra’s Parli town to see who is able to conserve the excess quantity of water.

The Water Cup competition is being organised Bollywood Actor, Aamir Khan’s NGO, Paani Foundation where they happen to evaluate the villages over a period of 45 days. They also announced a cash reward of Rs 50 lakh for the winner.

Kaudgaon Huda, Shrikrishna Nagar Tanda, Shriram Nagar Tanda, Bhilegaon, Mamdapur, Moha, Parchundi, Vaka, Waghala, Vadkhel, Rewali and Maknathpur are the villages inside Parli which have been selected to participate in this unique competition.Click Here: Maori All Blacks Store

Le 68ème Festival de Cannes se poursuit avec la fureur de Mad Max sur la Croisette, le retour d’Adèle Exarchopoulos sur la Croisette, une Salma Hayek mangeuse de coeur… et notre mascotte Chewie !

Le récit de la première journée !

Cannes. 2ème jour. Une journée pleine de fureur, d’émotions et de WTF. 24 heures marquées par la résurrection de Mad Max mais aussi par les retrouvailles d’Adèle Exarchopoulos avec cette Croisette qui l’a vue naître actrice. Sans oublier notre Chewie en voyage de presse…

La déclaration de la journée

Mais de quoi peut bien parler Salma Hayek lorsqu’elle s’exclame “C’était dégoûtant !” en pleine conférence de presse de The Tale of Tales ? De la déjà fameuse scène où l’actrice mexicaine déguste le coeur énorme d’un monstre marin, et pour laquelle Matteo Garrone a poussé le souci du détail au maximum : “Il voulait que l’intérieur soit identique à un vrai coeur”, a-t-elle expliqué face aux journalistes. “Au cas où je croque dedans et qu’un docteur se rende compte qu’il manquait une artère.”

“Il y avait des pâtes et des bonbons dedans, et j’ai cru que j’allais vomir. Heureusement, ma fille Valentina était là derrière le moniteur (…) et elle m’a dit que si je croquais le coeur sur le devant, je pouvais recracher dans la partie arrière sans que ça se voit à l’écran.” Bon appétit bien sûr ! Salma Hayek a aussi vécu un tournage rock’n’roll à cause de sa robe poids lourd, qu’elle a évoquée à notre micro peu de temps après.

Le Festival de Cannes en vidéo Emissions d'Actu

Le selfie (interdit)

Salma Hayek n’a pas seulement fait rire les journalistes pendant la conférence de presse de Tale of Tales : elle les a aussi pris en photo, profitant du fait que les selfies ne sont pas encore interdits dans cette salle.

Press for Tale of Tales . Terrible at selfie #cannes2015 #TaleofTales

Une photo publiée par Salma Hayek Pinault (@salmahayek) le 14 Mai 2015 à 3h39 PDT

(“Je suis terrible pour les selfies”, peut-on lire en légende)

Dans le genre, on attend avec impatience celui dont rêve cet internaute sur Twitter (et il n’est pas le seul).

Chewie, on est à Cannes !

Pour sa 2ème journée au Festival de Cannes, Chewbacca a fait un petit tour au Marché du Film, qui vient à peine d’ouvrir ses portes. L’occasion de bien noter dans son carnet de Wookie les films à ne pas rater…

Une Légende, un Héros, le Roi du Caviar

…Marché du Film toujours donc avec un petit cadeau “WTF” de derrière les fagots. Si le Marché est parfois l’occasion de dénicher une pépite (la première photo de Don Cheadle en Miles Davis pour Miles Ahead par exemple), c’est surtout le lieu où on peut mettre la main sur des films hautement improbables. Comme par exemple ce Pirate avec Catherine Deneuve, venue présenter à Cannes en ouverture La Tête Haute. “Une Légende, un Héros, le Roi du Caviar” comme l’annonce la tagline. Du coup, on a très envie de voir ce Pirate, forcément…

Restez à l’écoute sur AlloCine et sur Twitter, on a quelques petits objets “WTF” en stock pour les prochains jours !

Le souvenir de Cannes

Cannes, c’est une belle histoire pour Tahar comme Adèle. Tous les deux ont vécu des moments inoubliables avec LE film qui les a révélé respectivement : Un Prophète et La Vie d’Adèle. Et pour tous les deux, logiquement, le meilleur souvenir de Cannes est la projection cannoise de ces deux films, nous ont-ils confirmé.

Mais Tahar Rahim nous a confié avoir eu une pensée toute particulière au moment de voir le jeune Rod Paradot vivre ses premières émotions sur la Croisette… “Hier, quand j’ai vu le film d’ouverture, La Tête haute, le jeune acteur qui vivait exactement la même chose que nous, je me suis souvenu de ce moment là. Il m’a fait revivre un peu ce moment exceptionnel, qui reste tout le temps inoubliable… Tout d’un coup, il a rafraichi ça !

Le Festival de Cannes en vidéo Emissions d'Actu

 

LA scène qui tabasse

Vu comme les bandes-annonces en mettaient plein les yeux, on pouvait, sans trop se mouiller, penser que la scène marquante de la journée serait dans Mad Max : Fury Road. Problème : laquelle choisir ? Le film est si riche en moments hallucinants que n’en garder qu’une relève du dilemne. Avec le recul, il est quand même difficile d’oublier cette séquence où, poursuivi par des motards voltigeurs, le héros révèle ses aptitudes au tir au pigeon, tout en gardant une main sur le volant et les yeux le plus souvent sur la route. Jouissif, vous avez dit jouissif ?

==> La presse n’y est d’ailleurs pas restée insensible

Une séquence qui se révèle d’autant plus impressionnante que les cascades ont réellement été exécutées sur le plateau en Namibie.

Le Festival de Cannes en vidéo Emissions d'Actu

La chanson qu’on a aimé entendre

“I Go to Sleep” des Kinks dans Les Anarchistes, le film d’ouverture de la Semaine de la critique. Si le répertoire du groupe a illustré de nombreuses BO (de Juno à Hot Fuzz), il faut dire que ce titre donne une atmosphère toute particulière à la scène dans laquelle on peut l’entendre.

On les a croisés

Dans Tale of Tales, John C. Reilly joue un roi. Sur la Croisette, l’acteur américain est plutôt en mode dandy, comme on a pu le constater de près en attendant Salma Hayek, son épouse dans le film. En voilà un qui est prêt pour le Festival de canne.

Au programme demain : du homard, l’irrationnel Woody Allen et Chewie !

La série The Crown de Netflix n’en finit plus de séduire. Alors que le programme a été adoubé par la reine Elisabeth II, il semblerait que d’autres membres de la famille royale britannique en soient adeptes. C’est la cas du prince Harry et de Meghan Markle qui aiment passer du temps ensemble devant la série, selon les révélations de Katie Nicholl, auteure du livre Harry, la vie, la perte et l’amour, à paraître ce mardi 20 mars.

Les créateurs de la série The Crown diffusée sur Netflix peuvent être fiers. En mai 2017, le Daily Express révélait que la reine d’Angleterre avait regardé la série consacrée à sa vie puis à ses années de règne, avec son fils Edward et sa belle-fille Sophie. “Ils s’étaient mis d’ac­cord pour orga­ni­ser un week-end avec la reine à Wind­sor et regar­der un film ou une série pendant le souper. Ils ont un compte Netflix et lui ont expres­sé­ment demandé de regar­der avec elle”. Et le verdict de la reine a été plutôt positif malgré quelques petits reproches : “Fort heureu­se­ment elle a vrai­ment aimé, même si elle a trouvé que certains évène­ments ont été drama­ti­sés”.

La reine d’Angleterre ne semble pas être la seule au sein de la famille royale britannique à apprécier la série The Crown. Dans son livre Harry, la vie, la perte et l’amour, à paraître ce mardi 20 mars, la journaliste spécialiste de la royauté Katie Nicholl a révélé que le prince Harry et sa future femme Meghan Markle appréciaient également passer du temps devant la série. “Cuisinière accomplie, Meghan adore préparer des dîners extravagants pour Harry et ils aiment rester chez eux, manger leurs délicieux repas faits maison, regarder des films et des séries télé comme The Crown sur Netflix” apprend-t-on dans le livre, dont plusieurs extraits ont été publiés par le New York Post. L’occasion pour les futurs mariés de mieux connaître le parcours de la reine Elisabeth II, les événements importants qui ont jalonné sa vie et forgé son caractère.

Crédits photos : Bestimage