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Avant Johnny Hallyday, Sébastien Farran a été le manager du groupe Suprême NTM, composé de Joey Starr et Kool Shen. Il aurait même aidé, avance Le Figaro, le rappeur emblématique à sortir de la drogue…

Ces dernières années, le nom de Sébastien Farran était associé à celui de Johnny Hallyday pour avoir été son manager. Adoubé par Laeticia, il a pris en main la carrière du Taulier dès 2012, jusqu’aux derniers instants, et même au-delà : c’est pour ses liens avec le rockeur qu’il a accordé une interview au JDD le 25 mars dernier, apportant tout son soutien à l’épouse endeuillée. Avant l’idole des jeunes, il s’était occupé d’un autre grand nom du paysage musical français : le groupe de rap Suprême NTM. Il n’a que 19 ans lorsqu’il devient le manager du duo, composé de Joey Starr et Kool Shen – Didier Morville et Bruno Lopes, de leurs noms de naissance.

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En 1998, lorsque Suprême NTM se sépare, Joey Starr aurait sombré dans la drogue, comme l’explique un article du Figaro publié mercredi 11 avril. Sébastien “Farran est à ses côtés et l’aide à s’en sortir“, soutient le média, citant des proches du manager. “Sans Farran, Didier serait mort“, confirme Fatou Biramah, la femme d’un ami du rappeur.

Cette épreuve n’aurait-elle pas suffit à consolider les liens entre le manager et Joey Starr ? Leurs relations se fanent, les deux ex-amis finissent par régler leurs comptes sur les réseaux sociaux, dans les médias. “Tu m’accuses d’escroque­­ries diverses que j’aurais commises à ton détri­­ment, te spoliant sans rete­­nue pendant 10 ans”, regrettait Sébastien Farran dans une lettre parue sur le Huffington Post en 2015. “La tech­­nique Farran consiste inva­­ria­­ble­­ment àse barrer avec la caisse à la fin, dénonçait Joey Starr en 2016, qui a déposé plainte pour abus de confiance, faux en écri­ture et vol. Sébastien Farran a été placé en garde à vue mardi, il a quitté les locaux de la police judi­ciaire mercredi 11 avril.

Crédits photos : GETTY

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The problem of empty ATMs and long queues, this time in summers, has returned to haunt people once again in several parts of India such, as Andhra Pradesh, Telangana, Karnataka, Bihar and Madhya Pradesh, instigating the government and the Reserve Bank of India to swing into damage control mode to calm frazzled depositors. Read more

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Jenifer et M Pokora étaient ensemble sur la scène du Casa Fashion Show ce week-end du 21 et 22 avril au Maroc. L’occasion pour les deux stars de proposer au public un joli duo. Un retour sur scène très attendu par les fans de Jenifer, qui a eu bien du mal à tourner la page de cette terrible année 2017.

Le Casa Fashion Show a eu lieu le week-end des 21 et 22 avril au Maroc. Une belle occasion pour le public de voir sur scène un joli duo, composé de M Pokora et de Jenifer, comme le rapportent nos confrères du site ChartsinFrance. Les deux anciens coachs de l’émission The Voice sur TF1 ont chanté leurs tubes respectifs devant un public très joyeux. M Pokora qui fait actuellement une pause dans sa carrière musicale a interprété les titres Juste une photo de toi, sa reprise du célèbre tube Cette année là de Claude François ou encore Juste un instant. De son côté, Jenifer a pris plaisir à chanter son titre phare Au soleil, mais aussi Tourner ma page ou encore Le souvenir de ce jour. Ensemble, les deux chanteurs ont donné de la voix sur la chanson Le monde de M Pokora, un joli moment pour les spectateurs qui avaient la chance d’assister au spectacle.

Un retour sur scène très attendu pour Jenifer dont un huitième album devrait sortir cette année. Il faut dire que ces derniers mois ont été très compliqués pour la star. En mars 2017, de retour d’un concert en Belgique et alors qu’elle était assise à bord de son van, elle a été le témoin d’un accident mortel. Deux personnes ont perdu la vie. Un drame qui avait éloigné Jenifer de la scène pendant plusieurs semaines. Une année maudite pour la chanteuse, qui avait également perdu son oncle, tué de plusieurs balles par des professionnels à Bastia en Corse, le 5 décembre dernier.

Crédits photos : Abaca

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Un moment d’égarement, remake du film homonyme de Claude Berri avec Vincent Cassel et François Cluzet, sort en salles ce 24 juin. Mais il est déjà possible de découvrir cette comédie de moeurs en avant-première…

Pour quel film ?

Un moment d’égarement : Antoine et Laurent, amis de longue date, passent leurs vacances en Corse avec leurs filles respectives : Louna, 17 ans et Marie, 18 ans.  Un soir sur la plage, Louna séduit Laurent…

Quand ?

Le mercredi 17 juin à 20h

Où ?

Au Gaumont Opéra Capucines

En présence de qui ?

Jean-François Richet, Vincent Cassel, François Cluzet, Lola Le Lann, Alice Isaaz

Comment réserver ?

https://www.cinemasgaumontpathe.com/reservation/information_client.html?i=23207654

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AlloCiné a rencontré Kacey Mottet-Klein, jeune comédien vu précédemment dans Gainsbourg (Vie héroïque), L’enfant d’en haut portrait et Gemma Bovery. Dans Une mère, il donne du fil à retordre à Mathilde Seigner. Portrait d’un jeune acteur.

Portrait d’un jeune acteur 

Premier souvenir marquant de spectateur ?

Un film qui m’a marqué, c’est Titanic. C’est une histoire d’amour touchante. Mais je ne me souviens pas du premier film que je suis allé voir au cinéma, c’était il y a trop longtemps. Ca devait être un dessin animé, comme Toy Story. 

Comment as-tu commencé à devenir comédien ? C’était un hasard de la vie ou une envie depuis tout petit ? 

C’est arrivé par hasard. Je me baladais dans la rue. C’était un casting sauvage. C’était assez marrant de tomber dans ce milieu que je ne connaissais pas du tout. Personne dans ma famille ne travaille dans ce milieu. C’était une découverte. Et c’est vrai qu’à l’âge de 7 ans, on ne se rend pas compte des responsabilités qu’on a, on ne se rend compte de rien. C’est plutôt un jeu, et petit à petit, on réalise.

Ça fait quoi de se voir à l’écran la première fois ?

Ça devait être pour Home [d’Ursula Meier], mon premier film, à Cannes, pour la première. Je trouvais ça intimidant, surtout qu’il y avait mes parents. C’était bizarre, avec, en plus, les scènes de nudité. C’est assez particulier de se dire que toute la salle est fixée sur moi.

La première fois qu’on regarde un film, on a tendance à ne voir que soi. Il faut s’oublier pour voir l’ensemble du film. Et même maintenant, c’est toujours bizarre de se voir.

As-tu des amis comédiens de ta génération ?

Oui, j’ai des amis comédiens. Mais j’essaye, quand je suis en dehors d’un tournage, de voir des amis qui ne sont pas dans le milieu pour vraiment faire la séparation, me recentrer et ne pas devenir fou ! J’ai vraiment besoin de cette séparation dans ma vie.

Y a-t-il des comédiens d’autres générations qui t’inspirent ?

Dans le cinéma américain, il y en a plein. Leonardo Di Caprio qui arrive à interpréter tout et n’importe quoi, je trouve ça fantastique. Il arrive à se détacher complètement de sa personnalité. De pouvoir interpréter des rôles vraiment différents, c’est mon rêve aussi de pouvoir faire ça un jour. Je trouve ça fascinant, j’admire ces gens. J’aimerais bien pouvoir les rencontrer, connaitre un peu leurs techniques de travail.

Le meilleur conseil qu’on t’ait donné ?

Un conseil qui peut aussi bien concerner le métier que la vie de tous les jours. Sandrine Kiberlain qui m’a simplement dit : « ait confiance en toi ». C’est un conseil qui m’a fait réfléchir. Il faut trouver le bon équilibre entre ne pas avoir trop confiance et pas assez. 

Est-ce qu’une musique peut t’inspirer dans ton travail ?

Oui. Pour les scènes de pleurs, j’écoute souvent Hallelujah de Jeff Buckley. Je l’écoute souvent pour me mettre dans un état mélancolique. C’est vrai que les musiques jouent beaucoup sur les sentiments, les émotions. Ça m’apaise, ou ça me rend jovial. 

==> “Grace” de Jeff Buckley a 20 ans : comment l’album a marqué le cinéma et les séries

Passer derrière la caméra, une tentation ?

Bien sûr. C’est quelque chose que j’aimerais expérimenter. Je suis encore trop jeune et pas assez d’expérience dans la vie pour passer derrière la caméra, mais c’est clair que ce serait un rêve. Réaliser son film, c’est quelque chose de magnifique. C’est porter quelque chose, aimer quelque chose. 

A propos d’Une mère

Il y a des scènes très fortes, très intenses dans Une mère, qui n’ont pas dû être faciles à jouer. Qu’est-ce qui t’a inspiré pour ces scènes ? Où es-tu allé puiser cette rage ?

Disons qu’on se raccroche un peu à la réalité. J’utilise un peu de ma personne. Je ne vais pas dire que je suis le personnage, et heureusement pas, mais j’ai utilisé de mon vécu, mes expériences, pour interpréter le rôle. C’est vrai que j’ai aussi eu ma période difficile avec ma mère. 

Après on va chercher dans les émotions, avec la réalisatrice, tout le travail en amont, en prépa… Il y avait certaines émotions. que je ne connaissais pas forcément aussi. C’est du long travail.

As-tu regardé des films pour t’inspirer aussi, ou tu voulais éviter ?

J’ai regardé Sweet Sixteen de Ken Loach. Christine [Carrière] me l’avait conseillé. Ce n’est pas forcément une bonne chose de se rattacher à ça, mais c’est bien de voir les émotions.

Ce qui est beau dans le film, c’est qu’on s’attache tout autant à la mère qu’au fils. Il y a une certaine empathie, grâce à l’écriture et l’interprétation… Etait-ce des choses que tu essayais d’avoir en tête en tounant ? 

C’est un adolescent. On se dit que chacun peut vivre ça et ça n’est pas forcément de sa faute. C’est peut être une question d’éducation. C’est peut être qu’on l’a trop laissé faire. Mais il est touchant. On ne peut pas se dire que c’est que un sale gosse, que c’est un « kéké ». Il a sa façon de penser, il s’est créé une personnalité autour de ses mauvaises fréquentations. On se dit que ce n’est pas que de sa faute. On s’attache à ce personnage.

Mathilde Seigner est connue pour avoir une forte personnalité. Vous avez fait copain-copain sur le tournage ?

On a noué une relation un peu mère-fils comme dans le film. C’était marrant de voir Mathilde qui me prenait sous son aile. Je me suis bien entendu avec elle. 

Et Christine Carrière, quelle réalisatrice est-elle ? Donne-t-elle beaucoup d’indications ou laisse-t-elle au contraire beaucoup de liberté?

Oui, elle donne beaucoup d’indications, mais elle laisse aussi pas mal de libertés, ce qui est assez intéressant. Mais on n’a pas peur de partir dans une mauvaise direction ; elle est là pour nous recadrer quand on va trop loin. C’est assez agréable. 

 

Et après ?

Depuis Une mère, Kacey Mottet-Klein a tourné dans un dans un premier long métrage belge de Guillaume Senez, Keeper, et commencé le tournage du prochain film d’André Téchiné, Quand on a 17 ans. Kacey Mottet-Klein tient le rôle principal avec Corentin Fila. Sandrine Kiberlain est également au casting, dans le rôle de la mère du personnage de Kacey. La première partie du film a été tournée en février, la seconde est prévue cet été pour un mois et demi. “C’est mon premier vrai rôle d’interprétation. C’est un défi que je me lance. Je pense que c’est un rôle qui va me faire murir un peu.”

==> André Téchiné et Céline Sciamma réunis par une bande de garçons 

Prochain défi pour Kacey ? “Après j’aimerais bien prendre du temps pour apprendre l’anglais. J’aimerais partir aux Etats-Unis ou en Angleterre pour vraiment bien apprendre la langue

La bande-annonce d’Une mère, à l’affiche ce mercredi :

Une mère Bande-annonce VF

Propos recueillis par Brigitte Baronnet, à Paris, le 15 juin 2015 

Grand amateur des bains de foules, Emmanuel Macron permettrait aux personnes qu’il touche de frôler la “transcendance“. C’est en tout cas ce qu’explique très sérieusement au journal le Monde le porte parole du chef de l’Etat.

Le 14 juin 2017, quatre semaines tout juste après l’arrivée au pouvoir du jeune Emmanuel Macron, le journal Le Monde publiait un article intitulé: Emmanuel Macron à l’Elysée, un mois de présidence impérieuse. Près d’un an plus tard, le quotidien publie ce week-end l’article suivant: Emmanuel Macron, un an de présidence impérieuse. Sous forme de bilan critique des douze premiers mois du chef de l’Etat, le journal explique qu’Emmanuel Macron a, depuis son accession au pouvoir, “installé une pratique verticale du pouvoir qui emprunte souvent à la symbolique monarchique“. Un parallèle est alors établi par les auteurs du texte entre le successeur de François Hollande et le Roi-Soleil, Louis XIV. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Le Monde n’est pas le seul à comparer le président de la République à un souverain absolu. Dans l’équipe même du chef de l’Etat, la comparaison semble faire sens.

Au cours de l’article consacré à Emmanuel Macron, Le Monde se penche sur l’intérêt particulier que porte le président aux bains de foules. Alors que cet exercice est craint par un certain nombre d’hommes politiques et par leurs officiers de sécurité, “Emmanuel Macron est devenu expert en bain de foule“. “Ce jeune président, qui a parfois des allures de prêcheur, s’y jette, s’y plonge, s’y complaît. Il touche, enlace, caresse, prend les enfants dans ses bras, n’a pas peur non plus d’affronter les mécontents, cherche à convaincre mais surtout à communiquer“, assure Le Monde. Elle est ici bien loin, l’image de l’homme politique entouré de gardes du corps, se précipitant de son bureau à sa voiture aux vitres teintées sans même un regard pour la foule. Emmanuel Macron donne une meilleure image de lui-même dans cet exercice, certains conseillers lui prêtant presque une aura divine. “Pour le porte-parole de l’Elysée, ce geste serait un écho lointain des rois thaumaturges qui guérissaient les écrouelles“, rapporte le journal avant de citer Bruno Roger-Petit Porte, le parole de la présidence de la République française: Pour lui, déclare l’ancien journaliste au sujet du chef de l’Etat, le toucher est fondamental, c’est un deuxième langage. C’est un toucher performatif: ‘Le roi te touche, Dieu te guérit.’ Il y a là une forme de transcendance. Pas sûr que la comparaison entre le président de la République et un monarque soit, pour son équipe de communication, la meilleure façon de vanter les qualités humaines du chef de l’Etat.

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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Le 19 mai prochain, Meghan Markle et le prince Harry se diront “oui” en la chapelle Saint-George du château de Windsor. Un événement qui sera suivi dans le monde entier et tout particulièrement par la famille de la mariée qui multiplie les frasques à quelques jours du grand événement.

Décidément, la famille de Meghan Markle n’en finit plus de défrayer la chronique. A quelques jours du mariage princier en la chapelle Saint-George du château de Windsor, la future mariée assiste impuissante aux déboires de sa famille. Tout d’abord, son père Thomas Markle, qui devait l’emmener à l’autel avant de provoquer une vive polémique après une fausse paparazzade, ne sera finalement pas présent, puisqu’il a dû être opéré du cœur en urgence. Ce dernier aurait alors donné sa bénédiction pour que son ex-femme, Doria Ragland, mène leur fille jusqu’à l’autel.

Puis, c’est au tour de sa demi-sœur, Samantha, de continuer d’embarrasser la future mariée. Tantôt menaçante, tantôt bienveillante, l’aînée des enfants Markle réserve bien des surprises. Elle a dernièrement admis que c’était elle qui avait conseillé à leur père Thomas Markle cette fausse paparazzade…Celle qui reproche à sa sœur de ne pas aider financièrement leur géniteur – “Ce qu’elle va dépenser pour son mariage pour­rait sauver notre père, ça devrait être sa prio­rité” – a dernièrement été victime d’un accident de voiture à un péage en Floride selon les informations du Daily Mail. Elle s’est cassé la cheville et fracturé le genou. Son petit ami aurait fait une embardée pour éviter la voiture d’un photographe et a percuté une barrière en béton.

Crédits photos : Bestimage

A l’occasion de la promotion de Microbe et Gasoil, Michel Gondry s’est prêté à quelques confidences sur l’expérience de Green Hornet, et plus largement sa vision des films de super héros, ou encore sur le statut culte d’Eternal Sunshine…

AlloCiné : Vous avez dit de Microbe et Gasoil qu’il s’agissait d’un croisement entre Mad Max et Les Fous du volant !

Michel Gondry, réalisateur : Oui, c’est une formule ! C’est plutôt la voiture qui est au croisement de Mad Max et des Fous du volant. J’aimais beaucoup Les Fous du volant quand j’étais enfant, avec ses voitures tordues, bricolées… Il y avait une inventivité et une folie qui me plaisait beaucoup. Et Mad Max, c’est une formule : c’est un peu pour contrecarrer et donner une sensation de vitesse, qui en fait n’existe pas. 

Ange Dargent, l’un des comédiens de Microbe et Gasoil, nous a dit de vous que vous étiez un “Peter Pan vivant” ! Vous l’a-t-il déjà dit et qu’est ce que cela vous évoque ?

Alors c’est marrant qu’il m’appelle un Peter Pan vivant parce que j’ai un souvenir très précis d’une projection test aux Etats-Unis de Eternal Sunshine. A un moment donné, la salle a commencé à critiquer le film… Quand on fait des projections test, les dix premières minutes sont très enrichissantes. Puis après, quand on donne au spectateur trop le temps de réfléchir, il commence à jouer au critique de cinéma. Finalement, le film se retouve complètement détruit car chacun a une idée négative. Je suis monté sur scène et j’ai commencé à défendre le film. Après, Charlie Kaufman, le scénariste du film, m’a décrit comme étant un croisement entre Peter Pan et Mussolini !

Justement Eternal sunshine of the spotless mind… On a l’impression que c’est vraiment devenu un film culte. Vous en parle-t-on encore beaucoup ?

On m’en parle toujours de ce film… A chaque fois les gens viennent et me disent : j’aime beaucoup votre dernier film, mais quand même, mon préféré est Eternal Sunshine… Donc c’est presque un boulet (sourire).

Avec le temps, j’ai presque l’impression qu’il ne m’appartient plus, de ne pas l’avoir fait. C’est vrai qu’ee 10 ans -ça fait 11 ans qu’il a été tourné-, il a grandi dans l’esprit des gens, D’ailleurs je pense qu’il y a très peu de gens qui l’ont vu en salles. Les 9/10e ont dû le voir en DVD, puis en VOD, mais au niveau sentimental, il a trouvé un écho dans une génération un peu plus jeune que la mienne… Ca fait toujours plaisir.

Les gens se sont retrouvé dans ce film, il y a des couples qui se sont formés ou re-formés en voyant le film. Ma réputation est plutôt liée à Eternal Sunshine, et je survis au niveau financier grâce à Green Hornet. C’est assez paradoxal.

Ma réputation est plutôt liée à Eternal Sunshine, et je survis au niveau financier grâce à Green Hornet. C’est assez paradoxal. 

Encore aujourd’hui ?

Ah oui oui. Je n’ai pas un train de vie délirant du tout, loin de là, ce qui fait que le salaire que j’ai gagné sur Green Hornet me permet de vivre sans me soucier de ce que je vais faire comme prochain film, en choisissant vraiment ce que j’ai envie de faire.

On sait que vous avez un souvenir un peu contrasté de Green Hornet, mais ça vous permet aujourd’hui de faire des films peut être un peu plus personnels. Est-ce que vous vous dites que vous pourriez refaire un film comme Green Hornet pour vous permettre après de faire des projets plus personnels?

C’est marrant parce que, d’une certaine manière, je me dis, je ne ferais plus jamais un film de super héros, et je rêve très souvent que je rencontre Seth Rogen et que je lui dis : allez, on fait Green Hornet 2 ! Mais si j’en refaisais un, j’essayerais vraiment d’imposer plus mes idées et d’être plus créatif et d’être plus délirant, parce que finalement ils ont essayé de ratisser large au niveau du public qui est très jeune, et on aurait pu aller beaucoup plus loin dans les idées, dans le côté inventif…

On cherchait trop à plaire à tout le monde

Green Hornet, c’est un projet que j’avais commencé à écrire 10 ans auparavant et la première version n’avait rien à voir avec ce qu’on a tourné. Elle était complètement délirante ; elle était mystique, et je pense qu’elle aurait mieux marché que cette version où là on cherchait trop à plaire à tout le monde.

Donc vous pourriez le refaire en ayant tout ça en tête, refaire un film de super héros en apprenant de ces erreurs si l’on peut dire ?

Je ne crois pas que je pourrais faire un film de super-héros parce que c’est très très codifié maintenant. Il y a un côté heroic fantasy, il y a plein de codes, et puis il y a le style Christopher Nolan, très noir, très sombre. Moi je suis beaucoup plus de la génération qui a aimé les Batman de Tim Burton, où il y avait vraiment un côté poétique et magique que les fans de super-héros détestent. Donc je ne sais pas si je serais la personne bien choisie. 

Il y a un peu des cycles : assez sombre avec Nolan, plus pop et “fluo” avec Schumacher, plus sombre avec Burton encore avant… Il pourrait y avoir un nouveau cycle…

Non, je ne suis pas d’accord avec vous. Je pense que ce qu’il s’est passé, c’est que Tim Burton a réinventé le personnage. Il l’a fait dans son style qui était un peu plus un conte magique, avec un côté très original et très bizarre, ce qui était son univers. Ensuite, peut être qu’il est allé trop  loin dans ce sens là, et ils ont passé le projet à Joel Schumacher qui a fait un truc limite vulgaire, et ça je crois que ça a dégouté les gens. Et après, Christopher Nolan a repris la noirceur de la bande-dessinée originale, c’est pour ça que ça a eu un succès énorme. Mais moi je ne m’y retrouve pas ; d’ailleurs, je détestais ce type de BD. Mon grand frère adorait lire tous les super-héros. Moi, j’étais Gaston Lagaffe, Spirou, Fantasio, la bande-dessinée belge, ou alors Hara-Kiri.

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Vous avez travaillé sur une adaptation d’Ubik de Philip K. Dick. Le projet est-il définitivement abandonné, ou dans un coin de votre tête, vous vous dites que c’est toujours possible ?

Non, je ne crois pas que ça se fera Ubik avec moi. C’est-à-dire que c’est un projet que je devais tourner juste après L’Ecume des jours, et c’est un livre culte aussi. J’ai eu un petit peur. C’était une histoire pas très construite dans le livre ; il fallait vraiment trouver une narration plus solide et je ne me sentais pas capable de le faire, donc j’ai abandonné.

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Propos recueillis par Brigitte Baronnet à Paris le 2 juillet 2015

Le réalisateur Bryan Singer a enfin confirmé qu’un crossover entre les X-men et les Quatre fantastiques était envisagé. Il a accepté de discuter des conditions de réalisation d’un tel projet cinématographique.

Depuis que le scénariste de Days of future past Simon Kinberg a évoqué l’idée d’un crossover entre les X-men et les Fant4stiques, les rumeurs sont allées bon train sur la faisabilité ou non du projet. Héros Marvel Comics dont les droits cinématographiques appartiennent à la Twentieth Century Fox, les X-men comme les Quatre fantastiques pourraient effectivement se croiser dans un futur plus ou moins proche, mais à deux conditions selon le réalisateur Bryan Singer :

“Cela serait un mélange naturel car ce sont tous les deux des films de groupe, et il y a un mécanisme qui nous permet de le faire, a-t-il confié à nos confrères de Yahoo Movies. (…) Je pense que simplement vous dire qu’on va le faire est une erreur. Je crois que  nous devons voir comment les films se comportent avant de [donner le feu vert au crossover], mais nous avons beaucoup d’idées à ce sujet”.

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Singer, largement pressenti pour tourner le futur crossover ajoute, mystérieux :[le crossover] sera en lien avec le temps”.

Autrement dit, encore faut-il que les films marchent. Surtout Les Quatre fantastiques, qui a connu une post-production mouvementée, et a décontenancé certains fans quant à l’approche des personnages choisie par les scénaristes du film.

Le prochain film X-men sortira en mai 2016. Avant cela, Les Fant4stiques seront dans nos salles à partir du 5 août.

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A 7 ans, Antoine Griezmann était déjà fan des Bleus. Preuve en est : les images du garçonnet partant à la chasse à l’autographe auprès des champions du monde de football.

Les images très mignonnes ont fait le tour du web et prouvent que l’attachement d’Antoine Griezmann au maillot bleu est bien ancré. Les internautes ont pu les voir durant le documentaire 98, Le sacre d’une nation, diffusé sur W9 lundi 10 juin. On y voit le petit Antoine Griezmann en 1998 qui, du haut de ses 7 ans, part à la chasse aux autographes auprès des champions du monde avec un copain et son ballon sur un terrain à Saint-Jean-d’Ardières, dans le Rhône.

Vêtu d’un maillot de l’équipe de France, se faufilant entre les jambes des joueurs qui prenaient un bain de foule, le footballeur en herbe a fait craquer les stars du foot. Et les deux garçonnets ont fait carton plein : “Henri, Lizarazu, Barthès, Pires, Lizarazu, Karembeu…“, énumère l’acolyte du futur Bleu face caméra. C’est la relève !“, a plaisanté Thierry Henri. Il ne croyait pas si bien dire…

Crédits photos : CYRIL MOREAU / BESTIMAGE

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