Depuis la fin du printemps, les stars en couple paradent avec leur heureux évènement à venir. Scarlett Johansson, Mila Kunis, Christina Aguilera et bien d’autres se préparent à donner la vie au coeur de l’été.

Est-il plus facile de cacher son ventre rond en robe légère ou sous des couches de vêtements? Pour certaines célébrités, la question se pose réellement à l’heure de devenir mère. L’été et ses douces températures semblent être pour les personnalités sous les feux des projecteurs une saison idéale pour attendre bébé. De Los Angeles à New York en passant par Paris, le nombre de stars enceintes s’est donc multiplié ces derniers mois.

Si Scarlett Johansson a choisi de vivre sa grossesse aux États-Unis, tout laisse à penser que Paris fut l’écrin de son amour avec Romain Dauriac. La jolie blonde camoufle depuis habilement sa grossesse entre tissus amples et salopettes en lin. En mars, on disait l’héroïne de Lucy enceinte de 5 mois, ce qui rendrai imminente l’arrivée de son premier enfant.

A quelques semaines, voire quelques jours près, Mila Kunis donnera également naissance à son premier bébé. Et le climat californien semble être bénéfique à la compagne d’Ashton Kutcher. En t-shirt moulant (aux couleurs des Dodgers, l’équipe de baseball) et blue jean, la future maman ne se cache plus. La joie d’être bientôt parents ne suffit même plus à Ashton Kutcher et Mila Kunis qui envisagent déjà de se marier à l’été prochain et, pourquoi pas, à l’occasion du premier anniversaire de leur baby girl.

L’enfant star le plus mystérieux et le plus attendu de ces prochains jours est le bébé qu’attendent Eva Mendes et Ryan Gosling. La comédienne a réussi à cacher sa grossesse jusqu’à 7 mois en choisissant de vivre totalement recluse. La naissance du petit garçon (selon les rumeurs) du couple le plus sexy d’Hollywood est attendu pour le début du mois d’août.

Chrisitna Aguilera, déjà maman d’un petit Max né à l’hiver 2008, attend actuellement une fille. Très pressée de donner naissance à cette enfant, la chanteuse devrait bientôt être délivrée. Elle a en tout cas porté ses formes voluptueuses jusque sur scène dans une robe noir en dentelle très sexy.

De ce côté-ci de l’Atlantique, Jenifer, notre future maman préférée, porte haut les couleurs du chic à la française en marinière Jean Paul Gaultier et micro-short Tara Jarmon. La chanteuse et jeune comédienne poussera son heureuse grossesse jusqu’à la fin août. En attendant, la star profite pleinement des bains de mer avec bébé, en Corse.

Retrouvez tous les détails des grossesses estivales de Zoe Saldana, Chelsea Clinton, Rachel Bilson, Christina Ricci, Poppy Mongomery, Jelena Ristic…

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Crédits photos : Interstar / NPG / Starface

Depuis son altercation avec Orlando Bloom dans une boîte de nuit à Ibiza, Justin Bieber est plus que jamais dans l’œil du cyclone. Avec cette histoire, il ne s’est pas fait que des amis. Loin s’en faut.

En provocant Orlando Bloom, Justin Bieber est devenu persona non grata auprès de nombreuses personnalités à Hollywood.

Dernière en date à s’en être prise à l’idole des jeunes filles en fleurs : Kate Moss.

Connue pour son caractère bien trempé, le top-modèle ne s’est pas fait prier pour dire ce qu’elle avait sur le cœur au jeune chanteur canadien dont elle pourrait être la mère (elle était de 20 ans son aînée)…

Le Sun relate la savoureuse scène dans son édition du jour alors qu’ils étaient tous les deux invités à la soirée privée des 40 ans du créateur Ricardo Tisci qui avait lieu à Ibiza. «C’était comme une enseignante avec un élève, explique une source au tabloïd. Évidemment, Justin lui a dit salut avec son air arrogant habituel et s’attendait surtout à ce qu’elle l’embrasse. C’était une belle claque pour lui. C’était assez embarrassant”. Aux dires des témoins de cette scène, Justin n’en menait pas large après pareille remontrance. Il a au moins pu se faire reconforter par le clan Kardashian avec lequel il s’est montré très proche tout au long de la soirée en multipliant les photos.

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Il se murmure même que Kendall Jenner ne serait pas restée insensible au charme de l’insaisissable Justin qui n’aura donc pas tout perdu de son périple à Ibiza.

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Bradley Cooper a annoncé qu’il allait jouer dans “Chef”, le prochain film de Derek Cianfrance (“Blue Valentine”, “The Place Beyond the pine”), et qu’il pourrait y donner la réplique à Omar Sy.

Lors d’une interview accordée à RTL pour la promotion de son nouveau film Happiness Therapy, Bradley Cooper a annoncé qu’il allait jouer dans Chef, le prochain film de Derek Cianfrance (Blue Valentine, The Place Beyond the Pines), et qu’il pourrait y donner la réplique à Omar Sy. Annoncé depuis 2008 avec David Fincher à la réalisation et Keanu Reeves au casting, le long métrage est en cours d’écriture par Steven Knight (Les Promesses de l’ombre). Produit par les frères Weinstein le film suit les aventures du chef cuisinier (Bradley Cooper) d’un restaurant parisien qui vient de perdre son classement dans le guide Michelin. Bien décidé à retrouver sa place il embarque toute son équipe (dont Omar Sy) en Angleterre afin d’ouvrir le meilleur restaurant de Londres ! Omar Sy serait donc actuellement en négociations pour jouer dans Chef, le premier long métrage en langue anglaise de sa carrière. Bradley Cooper est également annoncé au casting du film policier The Man from Primrose Lane et sera à l’affiche le 20 mars prochain de The Place Beyond the Pines de Derek Cianfrance.

The Place Beyond the Pines

Laëtitia Forhan avec RTL et Variety

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Après Marion Cotillard, Jean Dujardin et plus récemment Omar Sy, c’est aujourd’hui au tour de Bérénice Béjo de faire ses premiers pas à Hollywood. La compagne de Michel Hazanavicius démarre fort puisqu’elle partagera l’affiche avec Robert Pattinson.

Dans le sillage du succès de The Artist, Jean Dujardin a immédiatement saisi sa chance et traversé l’Atlantique pour s’essayer au cinéma américain. Il faut dire que sa victoire aux Oscars lui a donné l’élan nécessaire pour pareille transition. De son côté, Bérénice Béjo est restée en France, où elle a tourné plusieurs longs-métrages.

L’heure est enfin venue pour elle de suivre les traces de son camarade de jeu. Pour la première fois de sa carrière, l’épouse de Michel Hazanavicius s’apprête à tourner dans une production hollywoodienne, un rôle pour lequel elle peut remercier Juliette Binoche. L’actrice de 50 ans a en effet fait faux bond au réalisateur américain Brady Corbet. Résultat, à trois mois du début du tournage de son premier film, le cinéaste de 25 ans a été contraint de trouver une remplaçante prête à reprendre le rôle au pied levé.

Béjo était partante, Corbert aussi, que demander d’autre? La Française intègre donc le casting de The Childhood of a leader. Selon son réalisateur, « le film racontera la jeunesse d’un futur dictateur dans les années 30. Une sorte de mélange entre Hitler, Mussolini et quelques autres ». Pour donner la réplique à la comédienne française, pas d’acteurs de seconde zones mais deux vraies têtes d’affiche. Robert Pattinson (Twilight, Remember Me) qui se glissera dans la peau du personnage principal, et l’excellent Tim Roth (Four Rooms, Reservoir Dogs) qui récupère le second rôle. Bérénice Béjo entre donc dans la cour des grands (Américains). Sa prestation et sa maîtrise de l’anglais détermineront ensuite son avenir à Hollywood. Le tournage débutera au mois de novembre, à Budapest.

Crédits photos : Mike Marsland / Getty

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Robert Downey Jr. a longtemps été l’esclave des drogues. Il ne s’en est jamais caché. Aujourd’hui, l’acteur se livre sur cette lutte incessante et sur la situation de son fils, qui combat lui aussi sa part d’ombre.

Robert Downey Jr a longtemps aimé les drogues. Il les aime encore beaucoup aujourd’hui, mais lutte pour ne plus jamais y toucher. L’acteur a accepté de se livrer au magazine américain Vanity Fair, pour son numéro du mois d’octobre. Assis dans le jardin de sa villa de Malibu, en Californie, il s’est repenché sur sa sortie des enfers.

Malgré les nombreuses drogues qu’il consommait à une époque, Robert Downey Jr. assure qu’il n’était pas du genre à perdre connaissance. Mais comme pour tout, il y a des exceptions à la règle. Ainsi ce jour de 1996, où les voisins du comédien rentrent chez eux et découvrent Robert, évanoui dans le lit de leur fils de 11 ans. Le genre de situation qui pousse le futur Iron Man à se remettre en question.

Entre la prison d’état et le centre de cure de désintoxication, l’acteur se hisse lentement vers la lumière. « La première étape est de sortir de cette cave, explique-t-il. Mais beaucoup de gens s’en sortent sans vraiment changer. Donc il faut tout d’abord s’en sortir (évacuer la drogue) mais également prendre conscience du violent déni de notre destin. Sortir de ce creuset en étant forgé d’un métal plus solide. Ou quelque chose comme ça ». Une révélation qui n’est apparue à l’acteur que quelques années après sa sortie de cure. Sur le moment, il ne réalisait pas forcément les étapes qu’il était en train de franchir.

Avec ce recul, le comédien est désormais tout à fait conscient de la situation dans laquelle se trouve son fils, Indio. Le jeune homme de 20 ans a été arrêté en juin dernier par la police de Los Angeles alors qu’il consommait de la cocaïne. Selon le comédien, son cas est typique de la nouvelle génération. « Vous êtes confrontez à des prédispositions et des influences et d’un coup vous vous retrouvez à plusieurs lieux de là, au beau milieu d’un bois. Peut-on sortir la personne de ce bois? Oui, à condition de ne pas se perdre pendant que vous la cherchez. »

L’analogie du comédien pour les drogues a beau être alambiquée, elle n’en est pas moins lucide. Robert Downey Jr. se concentre désormais sur l’aide qu’il peut apporter à son fils. Cela ne veut pas dire qu’il arrête sa carrière pour autant. Au contraire, son film Le Juge remporte actuellement un grand succès dans les festivals où il est projeté. Il y joue, au côté de Robert Duvall, un fils venu sauver son père…

Crédits photos : Laurent Emmanuel / Getty

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« Marc et moi sommes pleins d’amour, d’admiration et de gratitude alors que nous célébrons la naissance de notre fille, Charlotte Clinton Mezvinsky ». C’est dans ces termes que la fille de Bill et Hillary Clinton, Chelsea, a partagé ce week-end son heureuse nouvelle avec la twittosphère. Il s’agit du premier enfant du couple Mezvinsky, marié en 2010.

Quatre ans après les noces de leur fille unique, Bill et Hillary Clinton agrandissent leur clan avec l’arrivée de leur premier petit enfant. Et c’est une fille, prénommée Charlotte! L’heureuse maman, Chelsea Clinton, a partagé la nouvelle aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Une arrivée qui comble de joie toute la famille. La petite fiancée de l’Amérique s’est donc jointe à son mari, le banquier d’affaires Marc Mezvinsky, pour officialiser : « Marc et moi sommes pleins d’amour, d’admiration et de gratitude alors que nous célébrons la naissance de notre fille, Charlotte Clinton Mezvinsky »

Cela faisait des mois que la grossesse de Chelsea était scrutée à travers la planète. Mariée depuis 2010 à son ami d’enfance, la fille de l’ancien président américain avait dévoilé le pot aux roses en avril dernier avant de partager son souhait d’être « une aussi bonne mère que la mienne le fut avec moi ». Des mots pleins de tendresse qui ont rendu la future grand-mère complètement gaga. Aussi, en attendant les cigognes, Hillary s’est dite impatiente, et « de garde en permanente », plaisantant même en public: « ne soyez pas surpris si nous devons filer (avec Bill) en coulisses! ».

La naissance de la petite Charlotte arrive à point nommé alors que le public américain attend encore de savoir si oui ou non Hillary Clinton se lancera dans la course à la Maison Blanche. Ancienne First Lady, devenue Sénateur de New York puis Secrétaire d’Etat de Barack Obama, la femme de Bill sait en tout cas qu’elle pourra compter sur le soutien de toute sa famille. Pour le vote de mini Clinton, il faudra encore attendre 18 ans.

Crédits photos : Evan Agostini/AP/SIPA

Modèle dans le catalogue printemps été 2015 de la marque new yorkaise Franziska Fox, Rumer Willis a peu goûté aux retouches qui ont été faites sur ses photos. Elle a poussé un coup de gueule dans le magazine Us Weekly.

« C’est n’importe quoi! C’est inacceptable car ça n’est pas du tout l’image que je souhaite renvoyer ni ce que je veux représenter. » C’est peu dire que Rumer Willis est remontée contre la marque Franziska Fox. L’aînée des trois filles de Bruce Willis et Demi Moore a dit ce qu’elle avait sur le coeur dans les colonnes du magazine américain Us Weekly.

« J’étais plus que frustrée en découvrant les photos, explique-t-elle. Les choses auraient été différentes si j’avais été un mannequin engagée par une marque. Je comprends qu’il y a certaines choses qu’ils veulent changer ou quoi. Mais, si vous m’engagez pour représenter votre marque et que vous êtes en train de changer la personne que je suis – de manière drastique – c’est très bizarre. Tout le monde sais à quoi je ressemble- en retirant mes muscles… C’est vraiment juste étrange.”

Connue pour son franc-parler, Rumer s’indigne contre le diktat de la mode et ses consequences. »Cet idéal véhiculé par l’industrie de la mode, toutes ces photos que l’on voit quand on est petites et avec lesquelles ont grandi, tout est retouché et photoshoppé. On ne devrait pas véhiculer un message laissant sous-entendre que notre corps tel qu’il est au naturel n’est pas parfait. Vous devez être en mesure de vous sentir belle sans maquillage, totalement nue, d’être totalement satisfaite de ce vous donnez à voir, et personne ne devrait vous juger pour quoi que ce soit.» Quand Rumer met les chose au point, elle ne fait décidément pas dans le dentelle!

TEL AVIV — Pink Floyd vocalist Roger Waters is an “idiot” with a “hateful agenda” that is a “bunch of lies” about Israel, Canadian-Israeli philanthropist Sylvan Adams said.

Adams’ remarks comes after he paid the $1.3 million it took to bring pop superstar Madonna to Israel for Saturday night’s Eurovision Song Contest in Tel Aviv. Last month, Waters joined the BDS chorus urging Madonna to boycott the contest, saying it “normalizes the occupation, the apartheid, the ethnic cleansing, the incarceration of children, the slaughter of unarmed protesters.”

Responding to Waters, Adam did not mince words.

“He’s an idiot. He’s an idiot with a serious ignorance about history,” Adams told Breitbart News.

Jews “are in fact the indigenous people of this land. If anyone wants to take him to Jerusalem, built by our King David, that might enlighten him,” he said.

“He’s an ignoramus. And he has an agenda and it’s a hateful agenda. Somebody obviously spun his head around and fed him with a bunch of lies about this place which any visitor to Israel knows is not true after five minutes.”

Bringing Madonna to Israel was a way of “showing off our beautiful Tel Aviv” to the world — in particular to the U.S., which would otherwise not care about Eurovision, despite its status as the biggest song competition in the world.

“She makes news, and by the way, so does Israel,” he said. “This combination will have us in every major newspaper in the U.S.”

Madonna, who arrived Tuesday night accompanied by an entourage of some 135 people including rapper KoVu, a choir of 40 singers, and 25 dancers, told Reuters that she would “never stop playing music to suit someone’s political agenda.”

Adams praised the megastar’s stance: “She’s an artist, why should she have a political agenda?”

Madonna’s visit isn’t the first time the 60-year-old billionaire has put Israel in the cultural spotlight on the world stage. Last year, he reportedly invested $80 million to bring the Giro d’Italia to Israel, marking the first time the cycling competition — the world’s largest — took place outside Italy. Adams, an avid cyclist who also competed in the Giro, said at the time that bringing the competition to Israel constituted an “antidote to BDS.”

According to Adams, who immigrated to Israel four years ago, first-time visitors to the country are invariably “surprised and impressed.”

“They are shocked to see that we are open, tolerant, friendly, pluralistic, democratic and most importantly, safe,” he said. “My idea is to show the true Israel … and because the media doesn’t want to portray that, this is a way of reaching over them.”

With close to 200 million viewers, Eurovision has the potential to reach “200 million first-time visitors to Israel via their television sets,” Adams added.

While Adams acknowledged that last week’s rocket barrage into Israel from the Hamas-ruled Gaza Strip left Eurovision — and Madonna’s visit — on shaky ground, he remained confident in Israel’s military and political leaders.

“Sure, it’s possible to spook Eurovision from wanting to host here,” Adams said, “but we have confidence in our military and missile defense system. Yes, I got a bit nervous, but I have confidence in our prime minister that he knew that Eurovision was on the following week.”

“Hamas used [the contest] as leverage to get some more concessions,” Adams said.

“It’s all a big game for them. For us, we just want to live like normal people.”

WASHINGTON — President Donald Trump is not known for backing down, but the Europeans are coming to Washington anyway to see if they can convince him to rein in his trade policies.

Less than two weeks after calling the European Union a “foe,” Trump will meet with European Commission President Jean-Claude Juncker at the White House on Wednesday. The sit-down comes as the 28-country bloc is fuming about the administration’s decision to slap hefty tariffs on imported steel and aluminum, and is hoping to dissuade the president from imposing new tariffs on imported cars.

Juncker has been one of Europe’s most vocal critics of Trump’s trade policies. In March, he called the president’s aluminum and steel tariffs “stupid.” Warning that Europe would retaliate with tariffs on U.S. products, he added, “We can also do stupid.”

Former officials expect Wednesday’s White House meeting to be tense.

“The negotiating view of Donald Trump is unconditional surrender of the other side,” said Ivo Daalder, who served as the U.S. ambassador to NATO during the Obama administration. “If you’re a betting person, it’s not going to be a great meeting.”

The president, for his part, has shown little interest in rolling back his trade policies. He campaigned on an aggressive trade platform and he is reluctant to waver publicly, for fear of angering his supporters.

“You have to see these trade deals I’m working on, they are a disaster,” Trump said on Tuesday during a speech in Missouri. “We’re losing hundreds of billions of dollars with individual countries a year. And you’ve got to stick it out. You’ve got to fight it. Nobody else fought it.”

Earlier in the day, he tweeted: “Tariffs are the greatest! Either a country which has treated the United States unfairly on Trade negotiates a fair deal, or it gets hit with Tariffs. It’s as simple as that — and everybody’s talking! Remember, we are the “piggy bank” that’s being robbed. All will be Great!”

And after returning to the White House from Missouri on Tuesday night, the president posted on Twitter: “The European Union is coming to Washington tomorrow to negotiate a deal on Trade. I have an idea for them. Both the U.S. and the E.U. drop all Tariffs, Barriers and Subsidies! That would finally be called Free Market and Fair Trade! Hope they do it, we are ready — but they won’t!“

Republicans in Congress and some of Trump’s own advisers are hoping he won’t move forward with the auto tariffs, arguing that they would greatly harm the U.S. economy and cost American jobs.

Trump’s trade agenda is already having negative effects, especially in the U.S. agriculture sector. And in an apparent acknowledgment of the fallout from Trump’s policies, the administration is planning to announce on Tuesday about $12 billion in aid to farmers hurt by retaliatory tariffs from China, the EU and other countries.

Trump and Juncker have had several interactions over the last 18 months — and they’ve often been tense. One person who tracks European politics closely said Juncker “doesn’t suffer fools lightly.” Juncker, like other world leaders, was exasperated by Trump’s critiques of the European Union on trade during the June G7 summit in Canada, according to a person familiar with the meeting.

European officials say they are unsure exactly what to expect when Trump and Juncker sit down on Wednesday, and they initially feared the U.S. president might snub Juncker or give him just a few minutes of his time. But the two men are slated to sit down for a one-on-one meeting, followed by an expanded meeting with officials from Europe and the United States.

While European officials insist that Wednesday’s meeting won’t be a negotiating session, Juncker will nonetheless come prepared to discuss two proposals aimed at de-escalating the tensions between the EU and the United States — in exchange for a commitment to lift the steel and aluminum tariffs and exempt Europe from any future auto tariffs.

One idea Juncker will raise Wednesday will be for the United States, the EU, Japan, South Korea and other nations that are significant makers of autos and auto parts to negotiate a “plurilateral” agreement aimed at reducing tariffs on those products to zero, according to a senior European official.

The second idea Juncker will raise would be to negotiate a limited free-trade agreement between the United States and the EU focused only on industrial tariffs, the official said. Under such a pact, the U.S. and the EU could eliminate tariffs on each other’s auto exports, but they wouldn’t be obliged to provide duty-free treatment for other countries.

Trump’s tough trade talk has often perplexed foreign officials. “I went to some of the countries, I said, ‘How did it get so imbalanced?’ They said ‘Nobody ever called.’ They said ‘nobody ever called.’ They do whatever they wanted and we just put up with it. Not any longer,” Trump said during his speech in Missouri Tuesday.

In the EU’s view, bilateral trade between the United States and the EU is largely in balance, despite Trump’s complaints about the U.S. goods trade deficit with the EU, which totaled $151 billion last year.

However, the U.S. had about a $55 billion trade surplus in services trade with the EU, and American firms doing business in Europe earned about $95 billion more in net income than European firms operating in the United States, the senior EU official said.

In that regard, a big part of Juncker’s task will be simply to try to better understand what Trump is asking the EU to do, the European official said.

“We’re still trying to figure out what the question is, so we can get the right answer,” he said.

The EU is willing to enter into negotiations with the United States to address bilateral trade concerns on both sides of the Atlantic, as it was doing with the Obama administration in talks on the proposed Transatlantic Trade and Investment Partnership, the senior European official said.

But if Trump wants the EU to take some specific efforts to reduce the bilateral trade deficit, he’s likely to be disappointed because there’s not a lot the EU can do to address that concern, the official said.

Neither European officials nor members of Trump’s own administration know whether the president is open to negotiating with Juncker. ”The fundamental political question is whether Trump wants to reach an agreement or does he see a political benefit to stoking a sense of aggrievement with the rest of the world between now and the midterm election,” said Jeffrey Rathke, the deputy director of the Europe Program at the Center for Strategic and International Studies.

Empire creator Lee Daniels blames Jussie Smollett for the cancellation of the hit TV show and has cut him out of his life.

In a lengthy interview with Vulture, Daniels is asked: “It was a little surprising to learn that Fox was ending Empire. Do you think the Jussie situation played a part in that decision?”

Without any apparent hesitation, Daniels answers, “Certainly, that played a major part.”

Although he refused to say he Smollett is outright lying about being the victim of a hate crime, Daniels did admit to being “beyond embarrassed” for initially believing him and that he does “doubt” Smollett’s now-debunked story about being the victim of two white, racist and homophobic Donald Trump supporters last January:

“Of course, there’s some doubt. I’m telling you that because I love him so much. That’s the torture that I’m in right now, because it’s literally if it were to happen to your son and your child, how would you feel? You would feel, Please, God, please let there be that glimmer of hope that there is some truth in this story.” Daniels continued. “That’s why it’s been so painful. It was a flood of pain.”

You can certainly understand why someone would want to hold on to a glimmer of hope regarding a friend in this situation, but just as telling is when Daniels describes how the Smollett affair ate up so much of his time, energy, and creative spirit — to a point where it appears as though Daniels has cut off all contact with Smollett.

“I had to detach myself and stop calling [Smollett],” Daniels admits, “because it was taking away the time I have for my kids, the time I have for my partner. It was affecting my spirit and other shows, everything.”

Daniels also says he barely had the time to read the coverage of the scandal because he was “too busy putting out fires.”

It is not difficult to read between the lines here. Daniels has already announced that Smollett is fired, that he will not be invited back for Empire’s sixth and final season. And since he obviously believes Smollett’s depraved hoax cost him his TV show, and all the money, power, and professional prestige that comes with having a network show on the air, Daniels has every right to fire Smollett and kick him out of his life.

There is simply no question Smollett’s hate crime hoax devastated Empire’s ratings. Sure, the show was already showing its age in the ratings, but the Smollett thing buried it forever.

Later in the interview, Daniels accuses Fox TV of racism, but doesn’t blame racism for the cancellation of Empire:

Throughout the Smollett affair, I speculated about the massive disruption this scandal must have had on the Empire production and that those behind it had to be worried about how Smollett’s behavior would undermine the show’s legacy. How could it not?

And let’s not forget that just prior to the hate crime hoax, Smollett received a threatening letter filled with white powder. Thankfully, the powder was harmless, but many now believe Smollett sent the letter to himself. Either way, it was sent to the Empire studio, which must have resulted in chaos, maybe even a temporary and very expensive suspension of production.

According to various reports the feds are looking into the letter. The city of Chicago is also suing Smollett for all the expense that went into investigation the hoax, some $130,000.

Unlike Smollett’s career, this scandal is far from over.

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